Sandra et son laisser-baiser
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sandra et son laisser-baiser
On dit souvent que des femmes ont le fantasme de l'homme noir. On dit moins souvent que des hommes ont aussi le fantasme de la femme noire. Pas la peine d'en chercher les raisons. Elles y échappent. Une attirance ne se commande pas. Il est cependant vrai que les attributs sexuels souvent généreux des hommes noirs inspirent un certain nombre de femmes. Il est tout aussi vrai que les fortes cambrures et les seins opulents de la plupart des femmes noires stimulent aussi certains hommes. Plus souvent dans leur esprit que dans la réalité d'ailleurs, puisque hommes et femmes "de couleur" demeurent le plus souvent entre eux. C'était précisément le cas du couple formé par Boubacar et Sandra, tous deux quadragénaires mais aux caractéristiques corporelles parfaitement conformes aux clichés. Boubacar était doté d'une queue digne d'un manche de pioche et Sandra d'un ensemble cul-seins tellement saillant qu'on aurait cru qu'ils étaient nés pour former un équilibre symétrique. Il était difficile de trouver un couple évoquant davantage l'acte sexuel que celui-là. Trois beaux enfants étaient d'ailleurs nés de cette union.
Boubacar était d'ailleurs tellement sexué qu'il n'avait pas résisté parfois à de véritables offrandes de femelles en chaleur, quelque soit la couleur de leur peau. Sandra, très occupée par son travail et par ses obligations de mère de famille, s'était montrée plus fidèle mais n'avait pas fait grand cas des escapades de son mari, du moment qu'il continuait à la satisfaire dans le cadre conjugal.
Néanmoins, arrivée à un âge où elle se sentait en pleine possession de ses capacités de séduction mais en sachant que le temps lui était compté, elle commençait à regarder un peu autour d'elle. Les regards concupiscents de certains mâles blancs ne lui étaient plus aussi indifférents. L'envie d'un petit changement ne lui semblait pas inconcevable, ayant toujours copulé avec un homme de sa couleur de peau. Dès que les beaux jours arrivaient, ses robes chatoyantes se mettaient subitement à raccourcir et ses seins à se découvrir. Elle voyait bien que certains collègues de travail, ou des intervenants extérieurs, bavaient d'envie devant son corps altier (1,78m pieds nus) et sa tête à tresses, le tout dégageant une certaine animalité propre à susciter tous les fantasmes mâles. La question que ces hommes se posaient, parfois entre eux, était simple : "Est-ce que Sandra baise ?"
Elle en eut vent et s'en amusa. Elle en parla même à Boubacar qui s'en amusa aussi. Ayant à se faire pardonner quelques escapades, il alla même jusqu'à lui dire que, si jamais, un jour, elle avait envie d'une aventure, pourquoi pas, si elle lui en parlait, si elle restait avec lui etc. Sandra en conclut qu'elle disposait d'un "laisser baiser". Et elle compta bien s'en servir.
*****
Sébastien était un peu l'homme à tout faire de l'administration où travaillait Sandra. Les petites interventions ne nécessitant pas un appel à une entreprise, c'était pour sa pomme. Voilà pourquoi il connaissait tout le monde. Notamment cette grande black qui le faisait fantasmer depuis le début de son emploi. Quand il la voyait marcher, il la suivait des yeux et il se demandait sans cesse à quoi ressemblait son cul une fois à poil. Et ses nichons aussi. Il ne manquait pas une occasion de lui faire la causette et adorait la faire rire de toutes ses dents éclatantes. Elle était bienveillante à son égard, pas du genre à le prendre de haut, lui l'ouvrier. Elle lui avait un jour demandé son âge et elle lui avait juste répondu "dix ans de moins que moi". Il n'en avait pas tiré de conclusions particulières si ce n'est qu'il avait senti depuis qu'elle le sollicitait davantage, parfois pour des futilités matérielles. Elle lui avait mis un jour ses nichons sous le nez et il avait un peu louché. Elle jouait à quoi, Sandra ? Elle l'allumait ou quoi ?
Sébastien ne le savait pas encore mais Sandra avait jeté son dévolu sur lui. Elle aimait sa virilité manifeste, ses bras puissants, ses yeux bleus si différents des siens et de ceux de Boubacar. Elle avait conscience qu'elle l'attirait, qu'il la déshabillait des yeux. Elle se voyait bien coucher avec lui mais serait-il à la hauteur de son appétit ? C'était sa seule réserve. Quitte à commettre l'adultère, fusse-t-elle "autorisée", elle ne voulait pas être déçue. Elle se décida néanmoins à faire le premier pas car elle sentait Sébastien timide.
L'occasion lui fut offerte lors du déménagement d'un bureau éloigné. Sébastien fut commis d'office et Sandra dirigea les opérations. L'affaire était déjà bien avancée lorsque, porte fermée, Sandra se planta devant Sébastien, seins hauts, comme pointés vers leur cible, et lui dit tout de go :
- J'ai envie de coucher avec toi.
Sébastien en fut tout décontenancé. Il pensa brièvement à sa petite femme, qui n'aurait jamais imaginé une telle entrée en matière avant leurs ébats conjugaux. Mais quand Sandra lui prit le visage dans ses mains et l'embrassa, il oublia tout. Le contact des deux obus sur son torse l'électrisa. Alors, tout s'enchaina : Sandra ferma la porte à clé, s'accroupit devant Sébastien, tira sur sa braguette et en sortit un pénis certes moins volumineux que celui de son mari mais suffisamment épais et surtout tendu pour régaler sa bouche gourmande. Stupéfait mais ravi, Sébastien observa la tête tressée s'agiter autour de sa queue avec une maestria dont son épouse ne l'avait guère habitué. Le fourreau de la bouche le mit dans un état de tension que seule une pénétration pouvait apaiser. Il restait une table et une chaise dans le bureau. Sandra se releva, tout sourire et lui dit :
- On va baiser. Ici, tout de suite.
Elle fit passer sa robe par-dessus sa tête, dégrafa son soutien-gorge en faisant jaillir ses seins, baissa son mini slip, déboucla ses sandales et apparut dans sa somptueuse nudité d'ébène. Enfin, il la voyait à poil.
- Mets ça, lui dit-elle en sortant une capote de son sac. Elle avait pensé à tout.
Elle prit position sur la table, cuisses ouvertes sur une chatte rose. Et lui dit :
- Déshabille-toi complètement. Je veux te voir tout nu.
Son corps athlétique lui fit briller les yeux et mouiller ses lèvres. Elle avait vraiment envie de lui. Et le plus tôt serait le mieux vu les lieux et les circonstances.
- Allez, baise-moi. Donne-moi ta bite.
Quand il s'enfonça en elle, debout, elle l'encercla de ses mollets en ouvrant grand la bouche, les yeux écarquillés. Ainsi verrouillé et validé, il n'avait plus qu'à faire son devoir de mâle et il l'accomplit avec résolution, pugnacité et constance. Bien remplie, Sandra sut d'emblée qu'elle allait jouir. Une harmonie parfaite se fit jour dans ce couple contrasté. Sous l'effet des coups de boutoir, la table se déplaça jusqu'au mur où elle se cala et la pénétration de Sébastien se fit encore plus tonique et vigoureuse. Il ne voyait plus que la langue rose qui s'agitait dans la bouche en signe de contentement. Son regard capta aussi les seins larges suivant le rythme de ses coups de bite. Il se sentait dur et surtout en capacité de durer. Suite à une rafale, elle étouffa un cri qui marqua son orgasme. Elle le regarda, rayonnante de gratitude.
Quand Sandra lui demanda de changer de position, elle le félicita pour son endurance et lui dit qu'elle allait le récompenser. Elle posa ses coudes sur la table et lui présenta son cul. Enfin, il le voyait, ce cul tant désiré. Puissant, la raie bien ouverte, joufflu à souhait.
- Fais ce que tu veux, lui souffla-t-elle.
Il marqua une certaine incertitude. Que voulait-elle dire ?
- Allez, encule-moi, j'aime ça.
C'était trop beau. Il présenta son gland sur l'anneau sombre, marqua un temps d'hésitation mais elle vint d'un coup de reins à sa rencontre et très vite, la peau de son ventre entra en contact avec ses fesses. Sandra émit un bruit bizarre, entre gargouillis et roucoulement. La sodomie était pour elle une habitude. Boubacar en usait largement avec sa grosse bite. Elle n'avait aucun mal à jouir de son anus. Elle tourna la tête vers Sébastien :
- Allez, vas-y, fais-toi plaisir.
Elle vint le chercher à grands coups de fesses et il se laissa emporter par sa frénésie. Le confort du rectum lui était inconnu. C'était une vraie découverte. Il savoura le moment rare en considérant les deux magnifiques hémisphères qui l'avaient tant fait rêver. Il ressentait la montée inexorable de son sperme. Elle l'essora littéralement en roulant des hanches tout en gémissant de plaisir. Il grogna sur sa nuque, vidé de sa substance. Ils se détachèrent avec précaution, elle tout sourire :
- Alors, ça t'a plu ?
Il fit oui de la tête, un peu abruti par le coït. Elle ria de toutes ses dents et se rhabilla.
- Bon, on finit le déménagement et tout ça reste entre nous, hein ?
Il opina de nouveau. Il se demanda si ce qu'il venait de vivre ne relevait pas d'un rêve éveillé.
******
Lorsque Sandra retourna au bercail, elle reprit ses activités domestiques comme à l'accoutumée. Elle s'affairait dans la cuisine, un tablier sur ses vêtements, lorsque Boubacar la rejoignit. Après l'avoir embrassée, il raconta sa journée et lui demanda de faire de même. Et Sandra répondit illico :
- J'ai baisé.
- Comment ça, tu as baisé ? Avec qui ?
- Avec un gars qui bosse chez nous. Tu ne le connais pas.
- Et tu me dis ça comme ça ?
- Ben, comment voulais-tu que je te le dise ? Avec des fleurs ? Tu m'as donné la permission, je l'ai prise, voilà.
- Bon. Dis-moi tout alors. Comment ça s'est passé ?
Sandra raconta le déménagement, l'attirance qu'elle provoquait depuis longtemps auprès de l'appariteur qu'elle ne nomma pas, le désir qui avait fini par naître en elle et l'occasion qui s'était présentée dans cette pièce quasi nue.
- Donne-moi des détails. Il t'a baisée comment ?
- Sur la table qui restait, moi dessus, lui debout.
- Tu l'as sucé ?
- Même pas. J'avais trop envie d'être baisée et il ne fallait pas s'attarder non plus.
- Il a une grosse bite ?
- Moins grosse que la tienne mais il sait s'en servir.
- Tu as joui ?
- Oui. J'ai joui. Et ça te dérange ?
Boubacar ne répondit pas mais ça s'agitait un peu dans sa tête. Le "laisser-baiser" accordé à son épouse avait été adopté à la lettre et plus vite que prévu.
- Et je vais te dire encore un truc : il m'a enculée.
- Quoi ! Il t'a... enculée ?
- Eh oui. Mon cul l'a inspiré, faut croire.
​
Alors, Boubacar prit Sandra par la main, l'arracha à sa tâche cuisinière au point qu'elle n'eut même pas le temps d'ôter son tablier et la tira vigoureusement vers la chambre dont il ferma la porte à clé, tandis que les enfants regardaient la télé. Le tablier vola, la robe l'accompagna, Boubacar fit basculer Sandra sur le lit, ignorant ses exclamations, tira sur le slip, baissa son pantalon, exhibant son pénis monumental, s'insinua entre les cuisses puissantes qui s'étaient ouvertes en grand, comme par réflexe en même temps qu'elle se débarrassait de son soutif et il la pénétra en travers du lit, sans préparation, jusqu'à la garde. Pour la deuxième fois de la journée, Sandra était baisée. Ce fut un coït tumultueux, bruyant d'onomatopées et de peaux claquées, toutes dents dehors, une baise sauvage, sans concession, une baise de culs en mouvement, trop intense pour durer mais aboutissant à un orgasme simultané. Sandra était en arc de cercle quand Boubacar gicla en elle. Et tel un soufflet, l'accouplement retomba sur le lit après apaisement.
- Alors ? Qu'est-ce que tu préfères ? demanda ensuite Boubacar.
- Mais tu seras toujours mon préféré, chéri, répondit une Sandra énamourée.
Mais elle ne lui dit pas que ses ébats avec l'appariteur lui avait procuré un plaisir inédit. Et que le "laisser-baiser" que lui avait accordé son mari, elle allait encore s'en servir tôt ou tard. C'était trop bon.
Boubacar était d'ailleurs tellement sexué qu'il n'avait pas résisté parfois à de véritables offrandes de femelles en chaleur, quelque soit la couleur de leur peau. Sandra, très occupée par son travail et par ses obligations de mère de famille, s'était montrée plus fidèle mais n'avait pas fait grand cas des escapades de son mari, du moment qu'il continuait à la satisfaire dans le cadre conjugal.
Néanmoins, arrivée à un âge où elle se sentait en pleine possession de ses capacités de séduction mais en sachant que le temps lui était compté, elle commençait à regarder un peu autour d'elle. Les regards concupiscents de certains mâles blancs ne lui étaient plus aussi indifférents. L'envie d'un petit changement ne lui semblait pas inconcevable, ayant toujours copulé avec un homme de sa couleur de peau. Dès que les beaux jours arrivaient, ses robes chatoyantes se mettaient subitement à raccourcir et ses seins à se découvrir. Elle voyait bien que certains collègues de travail, ou des intervenants extérieurs, bavaient d'envie devant son corps altier (1,78m pieds nus) et sa tête à tresses, le tout dégageant une certaine animalité propre à susciter tous les fantasmes mâles. La question que ces hommes se posaient, parfois entre eux, était simple : "Est-ce que Sandra baise ?"
Elle en eut vent et s'en amusa. Elle en parla même à Boubacar qui s'en amusa aussi. Ayant à se faire pardonner quelques escapades, il alla même jusqu'à lui dire que, si jamais, un jour, elle avait envie d'une aventure, pourquoi pas, si elle lui en parlait, si elle restait avec lui etc. Sandra en conclut qu'elle disposait d'un "laisser baiser". Et elle compta bien s'en servir.
*****
Sébastien était un peu l'homme à tout faire de l'administration où travaillait Sandra. Les petites interventions ne nécessitant pas un appel à une entreprise, c'était pour sa pomme. Voilà pourquoi il connaissait tout le monde. Notamment cette grande black qui le faisait fantasmer depuis le début de son emploi. Quand il la voyait marcher, il la suivait des yeux et il se demandait sans cesse à quoi ressemblait son cul une fois à poil. Et ses nichons aussi. Il ne manquait pas une occasion de lui faire la causette et adorait la faire rire de toutes ses dents éclatantes. Elle était bienveillante à son égard, pas du genre à le prendre de haut, lui l'ouvrier. Elle lui avait un jour demandé son âge et elle lui avait juste répondu "dix ans de moins que moi". Il n'en avait pas tiré de conclusions particulières si ce n'est qu'il avait senti depuis qu'elle le sollicitait davantage, parfois pour des futilités matérielles. Elle lui avait mis un jour ses nichons sous le nez et il avait un peu louché. Elle jouait à quoi, Sandra ? Elle l'allumait ou quoi ?
Sébastien ne le savait pas encore mais Sandra avait jeté son dévolu sur lui. Elle aimait sa virilité manifeste, ses bras puissants, ses yeux bleus si différents des siens et de ceux de Boubacar. Elle avait conscience qu'elle l'attirait, qu'il la déshabillait des yeux. Elle se voyait bien coucher avec lui mais serait-il à la hauteur de son appétit ? C'était sa seule réserve. Quitte à commettre l'adultère, fusse-t-elle "autorisée", elle ne voulait pas être déçue. Elle se décida néanmoins à faire le premier pas car elle sentait Sébastien timide.
L'occasion lui fut offerte lors du déménagement d'un bureau éloigné. Sébastien fut commis d'office et Sandra dirigea les opérations. L'affaire était déjà bien avancée lorsque, porte fermée, Sandra se planta devant Sébastien, seins hauts, comme pointés vers leur cible, et lui dit tout de go :
- J'ai envie de coucher avec toi.
Sébastien en fut tout décontenancé. Il pensa brièvement à sa petite femme, qui n'aurait jamais imaginé une telle entrée en matière avant leurs ébats conjugaux. Mais quand Sandra lui prit le visage dans ses mains et l'embrassa, il oublia tout. Le contact des deux obus sur son torse l'électrisa. Alors, tout s'enchaina : Sandra ferma la porte à clé, s'accroupit devant Sébastien, tira sur sa braguette et en sortit un pénis certes moins volumineux que celui de son mari mais suffisamment épais et surtout tendu pour régaler sa bouche gourmande. Stupéfait mais ravi, Sébastien observa la tête tressée s'agiter autour de sa queue avec une maestria dont son épouse ne l'avait guère habitué. Le fourreau de la bouche le mit dans un état de tension que seule une pénétration pouvait apaiser. Il restait une table et une chaise dans le bureau. Sandra se releva, tout sourire et lui dit :
- On va baiser. Ici, tout de suite.
Elle fit passer sa robe par-dessus sa tête, dégrafa son soutien-gorge en faisant jaillir ses seins, baissa son mini slip, déboucla ses sandales et apparut dans sa somptueuse nudité d'ébène. Enfin, il la voyait à poil.
- Mets ça, lui dit-elle en sortant une capote de son sac. Elle avait pensé à tout.
Elle prit position sur la table, cuisses ouvertes sur une chatte rose. Et lui dit :
- Déshabille-toi complètement. Je veux te voir tout nu.
Son corps athlétique lui fit briller les yeux et mouiller ses lèvres. Elle avait vraiment envie de lui. Et le plus tôt serait le mieux vu les lieux et les circonstances.
- Allez, baise-moi. Donne-moi ta bite.
Quand il s'enfonça en elle, debout, elle l'encercla de ses mollets en ouvrant grand la bouche, les yeux écarquillés. Ainsi verrouillé et validé, il n'avait plus qu'à faire son devoir de mâle et il l'accomplit avec résolution, pugnacité et constance. Bien remplie, Sandra sut d'emblée qu'elle allait jouir. Une harmonie parfaite se fit jour dans ce couple contrasté. Sous l'effet des coups de boutoir, la table se déplaça jusqu'au mur où elle se cala et la pénétration de Sébastien se fit encore plus tonique et vigoureuse. Il ne voyait plus que la langue rose qui s'agitait dans la bouche en signe de contentement. Son regard capta aussi les seins larges suivant le rythme de ses coups de bite. Il se sentait dur et surtout en capacité de durer. Suite à une rafale, elle étouffa un cri qui marqua son orgasme. Elle le regarda, rayonnante de gratitude.
Quand Sandra lui demanda de changer de position, elle le félicita pour son endurance et lui dit qu'elle allait le récompenser. Elle posa ses coudes sur la table et lui présenta son cul. Enfin, il le voyait, ce cul tant désiré. Puissant, la raie bien ouverte, joufflu à souhait.
- Fais ce que tu veux, lui souffla-t-elle.
Il marqua une certaine incertitude. Que voulait-elle dire ?
- Allez, encule-moi, j'aime ça.
C'était trop beau. Il présenta son gland sur l'anneau sombre, marqua un temps d'hésitation mais elle vint d'un coup de reins à sa rencontre et très vite, la peau de son ventre entra en contact avec ses fesses. Sandra émit un bruit bizarre, entre gargouillis et roucoulement. La sodomie était pour elle une habitude. Boubacar en usait largement avec sa grosse bite. Elle n'avait aucun mal à jouir de son anus. Elle tourna la tête vers Sébastien :
- Allez, vas-y, fais-toi plaisir.
Elle vint le chercher à grands coups de fesses et il se laissa emporter par sa frénésie. Le confort du rectum lui était inconnu. C'était une vraie découverte. Il savoura le moment rare en considérant les deux magnifiques hémisphères qui l'avaient tant fait rêver. Il ressentait la montée inexorable de son sperme. Elle l'essora littéralement en roulant des hanches tout en gémissant de plaisir. Il grogna sur sa nuque, vidé de sa substance. Ils se détachèrent avec précaution, elle tout sourire :
- Alors, ça t'a plu ?
Il fit oui de la tête, un peu abruti par le coït. Elle ria de toutes ses dents et se rhabilla.
- Bon, on finit le déménagement et tout ça reste entre nous, hein ?
Il opina de nouveau. Il se demanda si ce qu'il venait de vivre ne relevait pas d'un rêve éveillé.
******
Lorsque Sandra retourna au bercail, elle reprit ses activités domestiques comme à l'accoutumée. Elle s'affairait dans la cuisine, un tablier sur ses vêtements, lorsque Boubacar la rejoignit. Après l'avoir embrassée, il raconta sa journée et lui demanda de faire de même. Et Sandra répondit illico :
- J'ai baisé.
- Comment ça, tu as baisé ? Avec qui ?
- Avec un gars qui bosse chez nous. Tu ne le connais pas.
- Et tu me dis ça comme ça ?
- Ben, comment voulais-tu que je te le dise ? Avec des fleurs ? Tu m'as donné la permission, je l'ai prise, voilà.
- Bon. Dis-moi tout alors. Comment ça s'est passé ?
Sandra raconta le déménagement, l'attirance qu'elle provoquait depuis longtemps auprès de l'appariteur qu'elle ne nomma pas, le désir qui avait fini par naître en elle et l'occasion qui s'était présentée dans cette pièce quasi nue.
- Donne-moi des détails. Il t'a baisée comment ?
- Sur la table qui restait, moi dessus, lui debout.
- Tu l'as sucé ?
- Même pas. J'avais trop envie d'être baisée et il ne fallait pas s'attarder non plus.
- Il a une grosse bite ?
- Moins grosse que la tienne mais il sait s'en servir.
- Tu as joui ?
- Oui. J'ai joui. Et ça te dérange ?
Boubacar ne répondit pas mais ça s'agitait un peu dans sa tête. Le "laisser-baiser" accordé à son épouse avait été adopté à la lettre et plus vite que prévu.
- Et je vais te dire encore un truc : il m'a enculée.
- Quoi ! Il t'a... enculée ?
- Eh oui. Mon cul l'a inspiré, faut croire.
​
Alors, Boubacar prit Sandra par la main, l'arracha à sa tâche cuisinière au point qu'elle n'eut même pas le temps d'ôter son tablier et la tira vigoureusement vers la chambre dont il ferma la porte à clé, tandis que les enfants regardaient la télé. Le tablier vola, la robe l'accompagna, Boubacar fit basculer Sandra sur le lit, ignorant ses exclamations, tira sur le slip, baissa son pantalon, exhibant son pénis monumental, s'insinua entre les cuisses puissantes qui s'étaient ouvertes en grand, comme par réflexe en même temps qu'elle se débarrassait de son soutif et il la pénétra en travers du lit, sans préparation, jusqu'à la garde. Pour la deuxième fois de la journée, Sandra était baisée. Ce fut un coït tumultueux, bruyant d'onomatopées et de peaux claquées, toutes dents dehors, une baise sauvage, sans concession, une baise de culs en mouvement, trop intense pour durer mais aboutissant à un orgasme simultané. Sandra était en arc de cercle quand Boubacar gicla en elle. Et tel un soufflet, l'accouplement retomba sur le lit après apaisement.
- Alors ? Qu'est-ce que tu préfères ? demanda ensuite Boubacar.
- Mais tu seras toujours mon préféré, chéri, répondit une Sandra énamourée.
Mais elle ne lui dit pas que ses ébats avec l'appariteur lui avait procuré un plaisir inédit. Et que le "laisser-baiser" que lui avait accordé son mari, elle allait encore s'en servir tôt ou tard. C'était trop bon.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore des fantasmes idiots sur les africains et africaines.Leur peau est graniteuse pour les hommes à la trentaine ils sont déjà bedonnant leur sexe pour beaucoup est comme ceux des européens quand aux femmes elles ont les cuisses remplies de cellulite et leur seins tombes à trente ans faute de mettre des soutiens gorges bien sûr il y a toujours des exceptions mais l exception ne fais pas la règle.
Histoire pleine de stéréotypes du genre les noirs ont de gros sexe les femmes noires ont un gros cul et des gros seins. Un véritable ramassis d idioties que l ont retrouvent malheureusement dans ce genre de récits fantasmés pour la plupart. Avis à certains auteurs messieurs au lieu de regarder votre sexe avec une grosse loupe soyez plus modeste et revenez à la réalité.