Sandra, ou mon soleil un jour de pluie
Récit érotique écrit par Judith [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2004 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Sandra, ou mon soleil un jour de pluie
Il y a peu de temps, un soir en rentrant du travail, il y avait beaucoup de vent et de pluie. Je suis passée prendre ma fille à la sortie du lycée. Une de ses copines était avec elle sous un abri d’autobus. Sachant qu’elle habitait non loin de chez nous, je lui ai proposé de la ramener chez elle.
-C’est très gentil, Madame, j’accepte , dit elle avec un grand sourire montrant du doigt la pluie qui redoublait sur le pare brise.
Les deux filles se sont engouffrées dans la voiture, entraînant avec elle cette odeur de pluie mélangée à leurs cheveux.
-Maman ! Une seule chose ; tu me déposes à l’école de danse, j’ai un cours ce soir.
-Oui chérie, je reviendrai te chercher à la fin sur le coup de vingt heures.
-Ok maman, ça marche. Tu ramènes Sandra chez elle alors ?
-Oui, oui comme je le lui ai proposé.
En accompagnant ma fille à son cours de danse, je me suis rappelé mes expériences amoureuse avec des amies quand j’étais adolescente. Et, j’ai eu l’impression de retrouver mes seize ans. Je pensais soudain que j’allais me retrouver seule avec la petite Sandra dans quelques instants. Cette seule pensée me faisait trembler intérieurement, et, si j’essayais…
Il ne fallait pas que j’affole la petite, que j’aille sur la pointe des pieds, que je l’apprivoise. J’avais très envie de la chasser et de l’attraper. Je comprend ce sentiment de chasseur, qui observe, traque, déguste à l’avance tous les gestes qu’il va accomplir. Oui, il me fallait être prudente. Je déposais ma fille comme prévue, un rapide baiser échangé, et je me trouvais avec Sandra à mon coté, le cœur battant comme jamais. Elle sentait terriblement bon . Ses cheveux mouillés par la pluie exhalait son odeur. J’étais enivrée par son parfum naturel, l’odeur de son corps. Je la désirais, oubliant totalement notre différence d’age.
-Tu es dans la même classe que Virginie je crois ?
-Non, mais on se connaît depuis la sixième.
Après quelques phrases futiles, je décidais d’en venir à ce qui m’intéressais de plus en plus : ELLE !
-Dis donc ! Es tu comme Virginie à changer de garçon tous les quinze jours ?
-Non, dit elle, j’avais un copain mais on a cassé il y a peu. Mais ce n’est pas plus mal comme ça.
-Tu aimes les garçon ?
Un instant interloquée, Sandra se tourna vers moi pour me répondre que oui elle aimait bien. Je continuais de conduire doucement, le temps et mon excitation ne me permettait pas de faire autrement.
-Moi, quand j’avais ton age, j’aimais bien aussi . J’aimais bien les séduire surtout. Mais tu sais, j’étais en internat, et ce n’était donc pas très évident.
-Moi aussi j’aurais aimé être en internat, déjà, pour ne plus subir mes parents tous les jours. Virginie a
de la chance elle, de vous avoir. Vous semblez cool !
-Tu trouves ? Oui c’est vrai, je pense l’être.
Je laissais quelques secondes s’écouler, avant de lancer mon ballon d’essai.
-En internat c’est très différent, on est…comment dire…amenée à fréquenter des filles, tu comprends ?
Les essuies glace virevoltaient, la pluie était toujours aussi intense. Je tendais l’oreille pour enfin enten-
dre la petite murmurer comme pour s’en excuser :
-Oui je sais.
-Tu as déjà eu une expérience comme ça, lui glissais je avec un aplomb qui ne pouvait, à cet instant précis, lui laisser penser où je voulais en venir.
-Contrairement à ce que beaucoup pensent, mais ce n’est pas contre nature, au contraire…Alors ! cela t’est arrivé ?
Le murmure fut encore plus inaudible que le précédent. La pluie battait les vitres, mon cœur allait chavirer, toute ma vie était là dans cette voiture, et j’étais accrochée à ses lèvres.
Un tout petit, un infime « oui » sortit dans un souffle de sa bouche. Mon cœur explosa de bonheur. Très vite j’entrepris de la rassurer, de la conforter en ce sens, insistant sur la tendresse que seules les femmes étaient capables de se prodiguer. Je sentais sa respiration saccadée, j’imaginais que son cœur battait la chamade. Elle commençait à penser à la même chose que moi, et ne semblait pas vouloir se dérober, mais au contraire les rares mots qui sortaient de sa bouche étaient comme hachés par l’intense émotion qui l’envahissait. J’étais toute à elle, ma proie était là, assise à coté de moi toute à moi. Je sentais qu’elle réagissait à chaque parole que je lui disait, qu’elle se mettait en accord avec moi, que plus le temps passait plus cela paraissait inévitable. Oui, elle comprenais que j’avais envie d’elle, et elle ne faisait rien pour repousser cette idée,
allant jusqu’à prendre une assurance que je n’aurais pas soupçonné une minute avant.
Comme dans une invite, elle me dit qu’elle ne l’avait jamais fait avec une personne plus agée qu’elle. La seule pensée d’arrêter la voiture dans un recoin du bas coté de cette route de campagne m’emplissait d’une joie totale. Il me fallait prendre les devants, puisque j’étais « la plus agée ». J’ouvris ma main et la lui tendit devant le visage. Elle la prit entre les siennes et la porta à ses lèvres pour l’effleurer et l’embrasser doucement. J’ai senti comme une décharge électrique me parcourir l’esprit et le corps. Je devais m’arrêter tout de suite.
Par bonheur, une allée s’enfonçait dans un bois. Je m’y engageais, stoppais le moteur pour enfin me retourner vers elle.
Avec le peu de lumière qui subsistait encore à cette heure de la journée, je pouvais enfin voir ma somptueuse, ma délicieuse proie, des mèches de cheveux humides collées sur son front et son cou. Ses yeux brillaient et trahissaient son émotion. Après avoir défait ma ceinture de sécurité, je me penchais vers elle appelant ses lèvres à rencontrer les miennes.
Elle renversa sa tête en arrière en un doux mouvement de soumission. Nos corps se tendaient l’un vers l’autre. Ma bouche
se posait enfin sur la sienne, et déjà sa langue cherchait la mienne. Nous nous dégustions avec une telle envie un tel désir, que je me souviens avoir été surprise par la fougue de cette enfant. Ce n’était qu’une enfant qui vibrait sous mes mains qui avaient commencé à la caresser. Ses seins étaient opulents pour une petite de son age, ils étaient désirables, tendant à le déchirer son tee shirt en coton. Mes doigts couraient sur l’un de ses seins, à traque vers le tissu, je me rendais compte que ses tétons étaient durs et dressés, que son aréole était petite et ferme comme celles des toutes jeunes filles.
Sandra me roulait la plus belle pelle que l’on m’ai offerte depuis longtemps. Mais par expérience, je savais que s’était à moi de diriger nos ébats, qu’elle se soumettrait à mes désirs avec fougue, mais je devais prendre le rôle du dominant. C’était cela dont je rêvais il y avait à peine dix minutes, et ce que j’allais nous offrir sur ce chemin en sous bois.
Pour plus de confort, sans cesser de gober sa bouche, je l’invitais à passer sur les sièges arrières. Nous le fîmes je ne sais comment, mais nous nous sommes retrouvée sur la banquette. Elle allongée, et moi qui commençait à défaire le zip de son jean. Elle suréleva ses fesses pour que je l’aide à s’en débarrasser tout en relevant son tee shirt sous son cou pour m’offir ses seins.
Cette gamine était délurée, déjà une petite pute ! Elle me ressemblait ,je me retrouvais ado, avec ce désir fou de tout faire et de tout connaître avec si peu de mauvaise conscience mais tant de plaisir.
Ses seins étaient lourds et volumineux, ses tétons étaient bruns foncés et tranchaient sur le blanc de sa peau. Je pris un téton qui dardait entre mes dents pour le sucer du bout de la langue. Le souffle de Sandra m’innondait le visage, elle fermait les yeux, je glissais une main dans son string. Elle n’était pas totalement rasée,
Elle avait conservé un peu de poil juste au dessus de son sexe. Il était très doux, je me souviens avoir regretté qu’elle n’en ait pas davantage. Du bout du majeur j’allais chercher son petit bouton que je ne tardais pas à trouver après avoir écarté avec deux autres doigts ses lèvres. Elle mouillait. Mon doigt n’avait plus qu’à caresser sans relâche son clitoris, et de la sentir s’exciter de plus en plus, serrer les cuisses pour les ouvrir encore plus grandes un instant après.
Où était la petite voix de toute à l’heure ? La gamine que je pouvais imaginé encore vierge et qui râlait, à présent en me suçant le cou.
J’ai relevé la jupe de mon tailleur jusqu’à la ceinture, et lui ai intimé l’ordre de me caresser le sexe également.
Elle n’attendait que cela, et entreprit sans même essayer de me retirer mon string, mais en l’écartant, de m’enfouir un doigt dans le vagin. Elle le fit si bien que presque tout de suite après elle en enfonça un second. Mon sexe était trempé, et elle le visitait avec des doigts d’experte. Cette petite salope devait se toucher souvent, elle avait un savoir faire indéniable.
Je me suis ensuite dégagée, pour m’accroupir comme je le pouvais sur son visage, sans cesser de lui caresser le sexe que j’avais aussi commencé à visiter. Elle n’était plus vierge, et la largeur de sa chatte en disait long sur set s ébats avec son ou ses copains. Elle continuait de serrer les cuisses et de les écarter largement, libérant ainsi les mouvements de ma main.
Ayant fait glissé mon string pour libérer largement mon sexe, je balançais mon bassin d’avant en arrière et caressais des lèvres de mon sexe largement ouvertes son nez et sa bouche. La petite, à l’air de sainte, ne tarda pas à tirer une langue quasi animale pour titiller ma chatte. Sa langue s’agitait dans tous les sens pour visiter ma vulve. J’ai joui à cet instant précis lorsque de ses deux mains libres, elle m’a saisi les cuisses pour me plaquer sur sa bouche en m’enfonçant sa langue dans le vagin. J’ai crié, et elle n’a pas cessé d’explorer toute mon intimité. Je me souviens m’être penchée en avant, me pliant pour aller, moi aussi, plonger entre ses cuisses.
J’ai le souvenir d’un joli sexe brun, d’un parfum de lait corporel qui ne masquait pas les exquises senteurs que son corps dégageait. Je me suis enfoui la tête dans son sexe, l’ai délicieusement goûté, sucé, lissé de la langue, visité chaque petit recoin sensible de son intimité. Sandra, les deux mains agrippées à mes fesses me dévorait le sexe et l’anus. Cette gosse était invraisemblable. Je pensais avoir une maturité sexuelle certaine, mais elle était si déterminée, si précise dans chacun de ses gestes qu’il n’y avait aucune différence d’age entre elle et moi.
Un instant, je me suis dit qu’elle avait peut être fait ses armes avec ma propre fille…et je n’y ai plus pensé. Mais aujourd’hui, je me repose la question, et penche volontiers pour une telle hypothèse, sachant l’enfant aussi libérée sexuellement.
La vulve de mon amante se relâchait sous mes caresses buccales, elle se dilatait même comme pour accueillir un sexe improbable, elle coulait, et sa saveur se mélangeait à ma salive. Dans ces moments là , personne ne peut évaluer le temps qui passe, d’ailleurs, le temps s’écoule-t-il encore ? Je sais que je l’ai entendu gémir, de plus en plus fort, que rien ne saurait l’arrêter, j’ai aussi senti mon ventre se contracter doucement puis une vague immense m’a emportée dans un spasme grandiose. Sandra était en accord avec moi. Nous nous sommes étreintes violemment pour enfin relâcher chaque nerf tendu de nos corps. Pour moi, le plaisir est après le plaisir. C’est ce moment où la joie d’avoir donné et reçu apparaît, avec la satisfaction de me dire que je n’ai plus de tabou.
Lentement, nous avons continué à nous caresser avec une infinie tendresse, à effleurer nos peaux plus qu’à les malaxer, à sentir les odeurs d’amour que nous dégagions l’une l’autre, à dire un éventuel « au revoir » à ce corps, à cet être que l’on a aimé.
Dehors, la pluie avait cessé et la nuit était totale. Dans une quasi obscurité nous nous étions offertes l’une à l’autre. Nous nous donnions avec affection ces derniers baisers qui augurent une fin proche. Nous avions vibré ensemble, mais ne pouvions continuer ainsi. C’était « notre » histoire, et je savais que nous la garderions secrète l’une et l’autre.
Ne jugez pas de l'immoralité ou de l’amoralité de notre aventure d’un jour, je vous la livre telle que nous l’avons vécue, ayant eu un encore, un très grand plaisir à me la remémorer et à tenter de vous la raconter.
-C’est très gentil, Madame, j’accepte , dit elle avec un grand sourire montrant du doigt la pluie qui redoublait sur le pare brise.
Les deux filles se sont engouffrées dans la voiture, entraînant avec elle cette odeur de pluie mélangée à leurs cheveux.
-Maman ! Une seule chose ; tu me déposes à l’école de danse, j’ai un cours ce soir.
-Oui chérie, je reviendrai te chercher à la fin sur le coup de vingt heures.
-Ok maman, ça marche. Tu ramènes Sandra chez elle alors ?
-Oui, oui comme je le lui ai proposé.
En accompagnant ma fille à son cours de danse, je me suis rappelé mes expériences amoureuse avec des amies quand j’étais adolescente. Et, j’ai eu l’impression de retrouver mes seize ans. Je pensais soudain que j’allais me retrouver seule avec la petite Sandra dans quelques instants. Cette seule pensée me faisait trembler intérieurement, et, si j’essayais…
Il ne fallait pas que j’affole la petite, que j’aille sur la pointe des pieds, que je l’apprivoise. J’avais très envie de la chasser et de l’attraper. Je comprend ce sentiment de chasseur, qui observe, traque, déguste à l’avance tous les gestes qu’il va accomplir. Oui, il me fallait être prudente. Je déposais ma fille comme prévue, un rapide baiser échangé, et je me trouvais avec Sandra à mon coté, le cœur battant comme jamais. Elle sentait terriblement bon . Ses cheveux mouillés par la pluie exhalait son odeur. J’étais enivrée par son parfum naturel, l’odeur de son corps. Je la désirais, oubliant totalement notre différence d’age.
-Tu es dans la même classe que Virginie je crois ?
-Non, mais on se connaît depuis la sixième.
Après quelques phrases futiles, je décidais d’en venir à ce qui m’intéressais de plus en plus : ELLE !
-Dis donc ! Es tu comme Virginie à changer de garçon tous les quinze jours ?
-Non, dit elle, j’avais un copain mais on a cassé il y a peu. Mais ce n’est pas plus mal comme ça.
-Tu aimes les garçon ?
Un instant interloquée, Sandra se tourna vers moi pour me répondre que oui elle aimait bien. Je continuais de conduire doucement, le temps et mon excitation ne me permettait pas de faire autrement.
-Moi, quand j’avais ton age, j’aimais bien aussi . J’aimais bien les séduire surtout. Mais tu sais, j’étais en internat, et ce n’était donc pas très évident.
-Moi aussi j’aurais aimé être en internat, déjà, pour ne plus subir mes parents tous les jours. Virginie a
de la chance elle, de vous avoir. Vous semblez cool !
-Tu trouves ? Oui c’est vrai, je pense l’être.
Je laissais quelques secondes s’écouler, avant de lancer mon ballon d’essai.
-En internat c’est très différent, on est…comment dire…amenée à fréquenter des filles, tu comprends ?
Les essuies glace virevoltaient, la pluie était toujours aussi intense. Je tendais l’oreille pour enfin enten-
dre la petite murmurer comme pour s’en excuser :
-Oui je sais.
-Tu as déjà eu une expérience comme ça, lui glissais je avec un aplomb qui ne pouvait, à cet instant précis, lui laisser penser où je voulais en venir.
-Contrairement à ce que beaucoup pensent, mais ce n’est pas contre nature, au contraire…Alors ! cela t’est arrivé ?
Le murmure fut encore plus inaudible que le précédent. La pluie battait les vitres, mon cœur allait chavirer, toute ma vie était là dans cette voiture, et j’étais accrochée à ses lèvres.
Un tout petit, un infime « oui » sortit dans un souffle de sa bouche. Mon cœur explosa de bonheur. Très vite j’entrepris de la rassurer, de la conforter en ce sens, insistant sur la tendresse que seules les femmes étaient capables de se prodiguer. Je sentais sa respiration saccadée, j’imaginais que son cœur battait la chamade. Elle commençait à penser à la même chose que moi, et ne semblait pas vouloir se dérober, mais au contraire les rares mots qui sortaient de sa bouche étaient comme hachés par l’intense émotion qui l’envahissait. J’étais toute à elle, ma proie était là, assise à coté de moi toute à moi. Je sentais qu’elle réagissait à chaque parole que je lui disait, qu’elle se mettait en accord avec moi, que plus le temps passait plus cela paraissait inévitable. Oui, elle comprenais que j’avais envie d’elle, et elle ne faisait rien pour repousser cette idée,
allant jusqu’à prendre une assurance que je n’aurais pas soupçonné une minute avant.
Comme dans une invite, elle me dit qu’elle ne l’avait jamais fait avec une personne plus agée qu’elle. La seule pensée d’arrêter la voiture dans un recoin du bas coté de cette route de campagne m’emplissait d’une joie totale. Il me fallait prendre les devants, puisque j’étais « la plus agée ». J’ouvris ma main et la lui tendit devant le visage. Elle la prit entre les siennes et la porta à ses lèvres pour l’effleurer et l’embrasser doucement. J’ai senti comme une décharge électrique me parcourir l’esprit et le corps. Je devais m’arrêter tout de suite.
Par bonheur, une allée s’enfonçait dans un bois. Je m’y engageais, stoppais le moteur pour enfin me retourner vers elle.
Avec le peu de lumière qui subsistait encore à cette heure de la journée, je pouvais enfin voir ma somptueuse, ma délicieuse proie, des mèches de cheveux humides collées sur son front et son cou. Ses yeux brillaient et trahissaient son émotion. Après avoir défait ma ceinture de sécurité, je me penchais vers elle appelant ses lèvres à rencontrer les miennes.
Elle renversa sa tête en arrière en un doux mouvement de soumission. Nos corps se tendaient l’un vers l’autre. Ma bouche
se posait enfin sur la sienne, et déjà sa langue cherchait la mienne. Nous nous dégustions avec une telle envie un tel désir, que je me souviens avoir été surprise par la fougue de cette enfant. Ce n’était qu’une enfant qui vibrait sous mes mains qui avaient commencé à la caresser. Ses seins étaient opulents pour une petite de son age, ils étaient désirables, tendant à le déchirer son tee shirt en coton. Mes doigts couraient sur l’un de ses seins, à traque vers le tissu, je me rendais compte que ses tétons étaient durs et dressés, que son aréole était petite et ferme comme celles des toutes jeunes filles.
Sandra me roulait la plus belle pelle que l’on m’ai offerte depuis longtemps. Mais par expérience, je savais que s’était à moi de diriger nos ébats, qu’elle se soumettrait à mes désirs avec fougue, mais je devais prendre le rôle du dominant. C’était cela dont je rêvais il y avait à peine dix minutes, et ce que j’allais nous offrir sur ce chemin en sous bois.
Pour plus de confort, sans cesser de gober sa bouche, je l’invitais à passer sur les sièges arrières. Nous le fîmes je ne sais comment, mais nous nous sommes retrouvée sur la banquette. Elle allongée, et moi qui commençait à défaire le zip de son jean. Elle suréleva ses fesses pour que je l’aide à s’en débarrasser tout en relevant son tee shirt sous son cou pour m’offir ses seins.
Cette gamine était délurée, déjà une petite pute ! Elle me ressemblait ,je me retrouvais ado, avec ce désir fou de tout faire et de tout connaître avec si peu de mauvaise conscience mais tant de plaisir.
Ses seins étaient lourds et volumineux, ses tétons étaient bruns foncés et tranchaient sur le blanc de sa peau. Je pris un téton qui dardait entre mes dents pour le sucer du bout de la langue. Le souffle de Sandra m’innondait le visage, elle fermait les yeux, je glissais une main dans son string. Elle n’était pas totalement rasée,
Elle avait conservé un peu de poil juste au dessus de son sexe. Il était très doux, je me souviens avoir regretté qu’elle n’en ait pas davantage. Du bout du majeur j’allais chercher son petit bouton que je ne tardais pas à trouver après avoir écarté avec deux autres doigts ses lèvres. Elle mouillait. Mon doigt n’avait plus qu’à caresser sans relâche son clitoris, et de la sentir s’exciter de plus en plus, serrer les cuisses pour les ouvrir encore plus grandes un instant après.
Où était la petite voix de toute à l’heure ? La gamine que je pouvais imaginé encore vierge et qui râlait, à présent en me suçant le cou.
J’ai relevé la jupe de mon tailleur jusqu’à la ceinture, et lui ai intimé l’ordre de me caresser le sexe également.
Elle n’attendait que cela, et entreprit sans même essayer de me retirer mon string, mais en l’écartant, de m’enfouir un doigt dans le vagin. Elle le fit si bien que presque tout de suite après elle en enfonça un second. Mon sexe était trempé, et elle le visitait avec des doigts d’experte. Cette petite salope devait se toucher souvent, elle avait un savoir faire indéniable.
Je me suis ensuite dégagée, pour m’accroupir comme je le pouvais sur son visage, sans cesser de lui caresser le sexe que j’avais aussi commencé à visiter. Elle n’était plus vierge, et la largeur de sa chatte en disait long sur set s ébats avec son ou ses copains. Elle continuait de serrer les cuisses et de les écarter largement, libérant ainsi les mouvements de ma main.
Ayant fait glissé mon string pour libérer largement mon sexe, je balançais mon bassin d’avant en arrière et caressais des lèvres de mon sexe largement ouvertes son nez et sa bouche. La petite, à l’air de sainte, ne tarda pas à tirer une langue quasi animale pour titiller ma chatte. Sa langue s’agitait dans tous les sens pour visiter ma vulve. J’ai joui à cet instant précis lorsque de ses deux mains libres, elle m’a saisi les cuisses pour me plaquer sur sa bouche en m’enfonçant sa langue dans le vagin. J’ai crié, et elle n’a pas cessé d’explorer toute mon intimité. Je me souviens m’être penchée en avant, me pliant pour aller, moi aussi, plonger entre ses cuisses.
J’ai le souvenir d’un joli sexe brun, d’un parfum de lait corporel qui ne masquait pas les exquises senteurs que son corps dégageait. Je me suis enfoui la tête dans son sexe, l’ai délicieusement goûté, sucé, lissé de la langue, visité chaque petit recoin sensible de son intimité. Sandra, les deux mains agrippées à mes fesses me dévorait le sexe et l’anus. Cette gosse était invraisemblable. Je pensais avoir une maturité sexuelle certaine, mais elle était si déterminée, si précise dans chacun de ses gestes qu’il n’y avait aucune différence d’age entre elle et moi.
Un instant, je me suis dit qu’elle avait peut être fait ses armes avec ma propre fille…et je n’y ai plus pensé. Mais aujourd’hui, je me repose la question, et penche volontiers pour une telle hypothèse, sachant l’enfant aussi libérée sexuellement.
La vulve de mon amante se relâchait sous mes caresses buccales, elle se dilatait même comme pour accueillir un sexe improbable, elle coulait, et sa saveur se mélangeait à ma salive. Dans ces moments là , personne ne peut évaluer le temps qui passe, d’ailleurs, le temps s’écoule-t-il encore ? Je sais que je l’ai entendu gémir, de plus en plus fort, que rien ne saurait l’arrêter, j’ai aussi senti mon ventre se contracter doucement puis une vague immense m’a emportée dans un spasme grandiose. Sandra était en accord avec moi. Nous nous sommes étreintes violemment pour enfin relâcher chaque nerf tendu de nos corps. Pour moi, le plaisir est après le plaisir. C’est ce moment où la joie d’avoir donné et reçu apparaît, avec la satisfaction de me dire que je n’ai plus de tabou.
Lentement, nous avons continué à nous caresser avec une infinie tendresse, à effleurer nos peaux plus qu’à les malaxer, à sentir les odeurs d’amour que nous dégagions l’une l’autre, à dire un éventuel « au revoir » à ce corps, à cet être que l’on a aimé.
Dehors, la pluie avait cessé et la nuit était totale. Dans une quasi obscurité nous nous étions offertes l’une à l’autre. Nous nous donnions avec affection ces derniers baisers qui augurent une fin proche. Nous avions vibré ensemble, mais ne pouvions continuer ainsi. C’était « notre » histoire, et je savais que nous la garderions secrète l’une et l’autre.
Ne jugez pas de l'immoralité ou de l’amoralité de notre aventure d’un jour, je vous la livre telle que nous l’avons vécue, ayant eu un encore, un très grand plaisir à me la remémorer et à tenter de vous la raconter.
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j'adore
excellent
excellent réçit