Sandrine 1
Récit érotique écrit par MrPostal [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-09-2007 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Sandrine 1
Sandrine
Bonjour, je m’appelle Sandrine, j’ai 28 ans, actuellement mère au foyer depuis que je suis fiancée. Je suis actuellement mariée avec l’homme de ma vie, le père de notre petite fille âgée de 4 ans. Nous vivons une vie tout à fait respectable, nous sommes mon mari et moi très liés. Nous sommes sur la même longueur d’onde.
Mais depuis quelques mois je me sens quelque peu frustrée, je ressens une sorte de vide en moi, un manque. Quelque chose que je n’arrive pas à comprendre, je n’arrive pas à savoir quoi.
Comme chaque samedi soir, je me rendis avec ma fille et moi chez ma copine Virginie.
Ma petite aimait aller chez elle, Virginie en profite pour la gaver de sucrerie, et ma fille ne s’en plaignait pas ! Une habitude maintenant.
Nous marchons sur le paillasson de la porte, je sonne, la petite très excitée comme une puce, qui ne s’empêche pas de gigoter partout, elle les voulait ses sucreries !
Virginie ouvre la porte.
- Bonjour Virginie, comment v…. Mais, que ce passe t’il ?!
(Virginie était en larme, son maquillage coulait le long de ses magnifiques yeux)- Je… Je t’expliquerais plus tard, je ne veux pas que ta fille me voit dans cette état, entré donc vous installez je vais aller retournée me maquiller.
- D’accord Virginie
Je me suis installé avec ma fille sur mes genoux, qui au passage, réclame son bien depuis la sortie de la voiture.
- Sandrine, j’ai mis les bonbons pour la petite, dans le tiroir dans la petite table basse.
Voilà, ma fille enfin calmée s’est mise dans son coin à désinner sur son cahier de brouillons, à s’empiffrer des petites sucreries.
Virginie revenue de sa salle de bain, son regard n’avait pas changé, la pauvre été très mal !
- Virginie, raconte moi maintenant ce qui se passe- C’est… C’est Guillaume, il m'a trompée… Dans notre lit conjugal en plus…- Quoi ?! Mais vous êtes un couple merveilleux, vous avez un fils, comment a t’il pu faire ça ?!
- Malheureusement, je ne le satisfaisais pas comme il le voudrait, il a certains fantasmes que je ne pouvais pas réaliser avec lui, Guillaume est un sadique, surtout pendant nos relations sexuelles…(Elle s’est mise à sangloter)- Mon dieu…- Je lui ai dit que je le détestais, le haïssais, que je souhaitais sa mort, et qu’il dégage avec sa pouffe.
- Ma pauvre puce, viens là.
Je l’ai prise dans mes bras, elle devait être réconfortée.
- J’ai envie de l’appeler et de lui dire que je le pardonne et que nous reprendrons notre vie, que tout serait oublié. C’est trop dur, j’ai l’impression que tout ça est de ma faute…- Chut… Je suis là maintenant, si tu veux je peux rester un peu plus tard dans la soirée si tu le souhaite.
- Tu n’es pas obligée…- Nous sommes amie Virginie tu étais là dans mes moments difficiles, tu t’occupais toujours de moi quand je me sentais mal, maintenant c’est à mon tour, nous sommes comme deux sœurs.
- Sandrine… Je ne sais pas quoi dire…- Ne t'en fais pas, je vais bien m’occuper de toi, mais pour ma fille… - Tu n’auras qu'à mettre la petite dans la chambre de mon fils. N’étant pas là, partie passer une semaine avec ses copains en Bretagne.
- Oui, ce sera parfait. Chérie ! Ce soir tu dormiras chez Virginie, ça ne te dérange pas ma puce ?
(Les yeux pétillants de ma fille m’ont confirmé que non)
Nous avons tout les trois dîné dans la cuisine, avec ma petite puce qui était, à ma grande surprise, très sage et calme elle est tellement trognon, quand elle ne fait pas de caprice. Virginie commencait à aller légèrement mieux. De vagues petits sourires sont apparus sur son visage.
- Ah enfin un petit sourire !
- Oui… Heureusement que tu es là Sandrine…- Je vais aller coucher la petite en lui racontant une histoire, tu nous prépares un café ?
- Ok
Je suis montée à l’étage pour raconter la petite histoire pour ma fille, elle m'a demandé si on pouvait revenir une prochaine fois, elle l’adore sa Virginie on dirait !
Je suis redescendue 20 bonnes minutes plus tard, je voulais rester à contempler ma petite puce, ça grandit vite malheureusement les enfants.
J’ai rejoins Virginie, elle nous avait préparé un café.
- Merci Virginie- De rien Sandrine, c’est moi qui devrais te remercier…- Mais non ma petite chérie, tu as tellement fait pour moi, je te devais au moins ça. Et puis nous sommes toutes les deux amies.
- Oui…
Nous nous sommes installées sur le sofa pour regarder la télé, nous étions très proches l’une de l’autre. Nous regardions un film romantique qui passait sur M6. Elle s’exclama dès les premiers mots doux de la part de l’acteur principal à sa partenaire.
- Et ben, ça ne m’étonnerait pas qu’il la trompe celui là ! Regarde cette fille beaucoup trop naïve… Comme je l’ai étais pendant toutes ces années...
(Elle commençait à sangloter dans le coin du canapé, puis à allonger sa tête sur mon ventre)- Virginie, je sais que ce n’est pas facile à oublier… Mais tu verras au fil du temps…- Il ne reviendra pas, je ne sais plus quoi faire. Dis le moi Virginie, je faisais tout pour que notre famille soit parfaite, dit moi pourquoi tout s’est arrêté ?!
- Tu n’as pas à te sentir coupable, Guillaume est un pervers et un salaud au fond de lui. Il t'a laissé tomber pour une grognasse, il ne te méritait pas.
- … Peut être bien…- Bien sur que oui, tu es rayonnante, belle comme le jour, tu vaux beaucoup plus que lui.
- M… Merci Sandrine, je ne sais plus quoi dire…- Tu es beaucoup trop tendue je vais te préparer un bon bain, ne bouge pas- Mais…- Non, non ! Ce soir JE m’occupe de toi.
(Je suis allée dans la salle de bain, j’ai allumé des bougies, de la musique douce, du bain moussant, elle va être parfaite ma petite Virginie !)- Virginie s’est prêt !
- J’arrive tout de suite
Elle est entrée dans la pièce, émerveillée et très touchée, quelques larmes coulèrent de son visage.
- M’enfin Virginie, qu’est-ce qui te prends ?
- C’est la première fois que quelqu’un s’occupe aussi bien de moi…- Jamais Guillaume n’a…- Non…- Oublie ce que je viens de dire, je vais te laisser te détendre, petite chanceuse va ! Je ne fais pas ça à toutes mes amies je te préviens ! Profites-en bien.
Je lui ai fait un petit clin d’œil taquin, puis elle m'a parlé très doucement, en rougissant.
- Euh… Sandrine…- Oui ?
- Et ben… Je me demandais… Ce serait dommage que j’en profite toute seul de ce bain, si tu veux tu peux venir avec moi…- ?
- Nous sommes amies, pas besoin de t’inquiéter, c’est juste que je ne voudrais pas en profiter toute seule… Ce serait dommage.
- Je vois… D’accord mais seulement pour notre amitié et parce que j’ai aussi envie de prendre un bon bain, je me suis pris du mal, pourquoi ne pas en profiter toutes les deux effectivement !
- Ca marche.
Je me suis mise toute nue assez vite, en lui demandant de se retourner le temps que j’entre dans le bain.
- C’est bon. Tu peux te retourner.
Elle s’est déshabillée très lentement, très pudique comme elle est, même avec son mari, puis au moment où elle devait enlever sa petite culotte, elle est rentrée dans le bain en vitesse.
- Mais que fais tu ? Tu vas la mouiller !
- …
Aucune réponse, vu la façon dont elle rougissait, autant changer de sujet.
- Alors comment tu le trouves ce bain ?
- Magnifique… Il est parfait… Vraiment parfait…- Je suis contente qu’il te plaise !
Après plusieurs minutes, Virginie commencait enfin à se décontracter.
- Dis moi Sandrine…- Oui ?
- Est-ce que toi et ton mari… C’est…- Oui ?
- Et bien…- Allez pose moi ta question Virginie, promis je ne me fâche pas.
- Et bien est-ce que sexuellement…- Tu veux savoir si il me comble ?
- Euh, oui…(J’étais étonnée qu’elle puisse me poser une question comme celle-ci)- Et bien, vraiment je ne me plains pas, toujours aussi parfait et attentionné avec moi, mais j’ai l’impression qu’il me manque quelque chose, et je n’arrive pas à savoir quoi…- Je vois…
Après plusieurs minutes, Virginie ne m'a pas parlé, perdue dans ses pensées. Alors pour la réveiller un petit peu, je lui envoie quelques gouttelettes sur sa petite bouille. Elle prend ça pour une invitation à jouer, elle faisait de même, puis ce fut pendant un quart d’heure de franche rigolade, nous éclations de rire après en avoir mit partout sur le carrelage. Nous échangions des petits sourires taquins, en rougissant, je me sentais très bizarre, rien que le fait de voir Virginie me regarder me faisait rougir. Elle voyait que je ne me sentais pas très bien.
- Il y a un problème Sandrine ?
- Non, non, ce n’est rien.
Elle s’est rapprochée de moi puis s’est mise dos contre moi, je ne pouvais plus bouger, j’étais tétanisée.
- Sandrine… Je suis si bien auprès de toi…- Virginie, que t’arrive t’il ?!
- S’il te plait laisse moi me reposer dans tes bras…
Le choc et l’émotion ont du la rendre comme ça, je ne pouvais rien faire à par mettre mes mains sur ses hanches.
- Tu sens tellement bon, tu es si belle et douce ma Sandrine…
Avant même que je ne sortes un mot elle à prit une de mes mains et la rapproché de son sein gauche. Que s’est-il passait ? J’étais incroyablement excitée et terrorisée par sa réaction. Que dois-je faire ?!
- Virginie, je suis sure que c’est parce que tu te sens très mal, que tu te comportes comme ça, mais il faut que tu te ressaisisses.
- Non Sandrine, tu ne comprends pas- Je ne comprends pas quoi ?
- Je… Je suis…- Oui ?
- Je… Je suis amoureuse de toi ! Je suis amoureuse de toi Sandrine !
(Un court instant je n’ai pas répondu, j’étais bouche bée, surprise. Je n’ai rien compris, toute la situation a changé en un instant, le fait d’être avec elle dans un bain, par exemple)- Qu… Quoi ? Tu es amoureuse de moi ?
- Oui, depuis que nous sommes amies je ne fais que penser à toi, jour et nuit, où je faisais l’amour avec Guillaume en pensant à toi.
- Je ne… Sais pas quoi dire…- Laisse moi t’embrasser s’il te plait…
Elle approcha ses lèvres des miennes, puis les toucha, nous fermions toutes les deux nos yeux, je n’ai jamais ressenti autant de douceur et de tendresse dans un baiser.
Après 5 bonnes minutes elle me regarda droit dans les yeux.
- Tu sais pourquoi j’ai gardé ma petite culotte…- Non, je ne sais pas…- Ma culotte été déjà toute mouillée, avant d’entrer dans le bain…- …!
Que voulez vous que je fasse ? Je n’ai jamais ressentis des sentiments pour une femme.
Elle prit mon autre main, pour la glisser dans sa petite culotte.
- Sandrine, s’il te plait, caresse moi, j’en ai tellement envie…
Elle utilisait ma propre main pour se masturber.
- Je…- S’il te plait…
Elle était comme sous mon emprise sous ces caresses, elle se tordait dans tous les sens en gémissant. J’ai enlevé sa main pour me concentrer et explorer seule son intimité.
N’ayant jamais pratiqué ça avec une femme, j’ai essayé de faire la même chose que je faisais quand je suis seule à me masturber. J’ai commencé à lui lécher doucement sa nuque, sentit. En lui caressant et malaxant ses petits seins devenus tout pointus.
- C’est si bon, j’aime tant ce que tu me fais… Continue s’il te plait.
Elle ne se sentait plus, toute détendue, comme endormie dans mes bras, je continuais mes douces caresses, en commencent à lui titiller son clitoris sous sa petite culotte. En continuant à lui lécher la nuque.
- Je t’aime Sandrine, je t’aime, et toi ma chérie…- ...
Elle arrêta ma main, et s’est retournée en me regardant droit dans les yeux, attendant une réponse à sa question.
[La suite une prochaine fois]
Bonjour, je m’appelle Sandrine, j’ai 28 ans, actuellement mère au foyer depuis que je suis fiancée. Je suis actuellement mariée avec l’homme de ma vie, le père de notre petite fille âgée de 4 ans. Nous vivons une vie tout à fait respectable, nous sommes mon mari et moi très liés. Nous sommes sur la même longueur d’onde.
Mais depuis quelques mois je me sens quelque peu frustrée, je ressens une sorte de vide en moi, un manque. Quelque chose que je n’arrive pas à comprendre, je n’arrive pas à savoir quoi.
Comme chaque samedi soir, je me rendis avec ma fille et moi chez ma copine Virginie.
Ma petite aimait aller chez elle, Virginie en profite pour la gaver de sucrerie, et ma fille ne s’en plaignait pas ! Une habitude maintenant.
Nous marchons sur le paillasson de la porte, je sonne, la petite très excitée comme une puce, qui ne s’empêche pas de gigoter partout, elle les voulait ses sucreries !
Virginie ouvre la porte.
- Bonjour Virginie, comment v…. Mais, que ce passe t’il ?!
(Virginie était en larme, son maquillage coulait le long de ses magnifiques yeux)- Je… Je t’expliquerais plus tard, je ne veux pas que ta fille me voit dans cette état, entré donc vous installez je vais aller retournée me maquiller.
- D’accord Virginie
Je me suis installé avec ma fille sur mes genoux, qui au passage, réclame son bien depuis la sortie de la voiture.
- Sandrine, j’ai mis les bonbons pour la petite, dans le tiroir dans la petite table basse.
Voilà, ma fille enfin calmée s’est mise dans son coin à désinner sur son cahier de brouillons, à s’empiffrer des petites sucreries.
Virginie revenue de sa salle de bain, son regard n’avait pas changé, la pauvre été très mal !
- Virginie, raconte moi maintenant ce qui se passe- C’est… C’est Guillaume, il m'a trompée… Dans notre lit conjugal en plus…- Quoi ?! Mais vous êtes un couple merveilleux, vous avez un fils, comment a t’il pu faire ça ?!
- Malheureusement, je ne le satisfaisais pas comme il le voudrait, il a certains fantasmes que je ne pouvais pas réaliser avec lui, Guillaume est un sadique, surtout pendant nos relations sexuelles…(Elle s’est mise à sangloter)- Mon dieu…- Je lui ai dit que je le détestais, le haïssais, que je souhaitais sa mort, et qu’il dégage avec sa pouffe.
- Ma pauvre puce, viens là.
Je l’ai prise dans mes bras, elle devait être réconfortée.
- J’ai envie de l’appeler et de lui dire que je le pardonne et que nous reprendrons notre vie, que tout serait oublié. C’est trop dur, j’ai l’impression que tout ça est de ma faute…- Chut… Je suis là maintenant, si tu veux je peux rester un peu plus tard dans la soirée si tu le souhaite.
- Tu n’es pas obligée…- Nous sommes amie Virginie tu étais là dans mes moments difficiles, tu t’occupais toujours de moi quand je me sentais mal, maintenant c’est à mon tour, nous sommes comme deux sœurs.
- Sandrine… Je ne sais pas quoi dire…- Ne t'en fais pas, je vais bien m’occuper de toi, mais pour ma fille… - Tu n’auras qu'à mettre la petite dans la chambre de mon fils. N’étant pas là, partie passer une semaine avec ses copains en Bretagne.
- Oui, ce sera parfait. Chérie ! Ce soir tu dormiras chez Virginie, ça ne te dérange pas ma puce ?
(Les yeux pétillants de ma fille m’ont confirmé que non)
Nous avons tout les trois dîné dans la cuisine, avec ma petite puce qui était, à ma grande surprise, très sage et calme elle est tellement trognon, quand elle ne fait pas de caprice. Virginie commencait à aller légèrement mieux. De vagues petits sourires sont apparus sur son visage.
- Ah enfin un petit sourire !
- Oui… Heureusement que tu es là Sandrine…- Je vais aller coucher la petite en lui racontant une histoire, tu nous prépares un café ?
- Ok
Je suis montée à l’étage pour raconter la petite histoire pour ma fille, elle m'a demandé si on pouvait revenir une prochaine fois, elle l’adore sa Virginie on dirait !
Je suis redescendue 20 bonnes minutes plus tard, je voulais rester à contempler ma petite puce, ça grandit vite malheureusement les enfants.
J’ai rejoins Virginie, elle nous avait préparé un café.
- Merci Virginie- De rien Sandrine, c’est moi qui devrais te remercier…- Mais non ma petite chérie, tu as tellement fait pour moi, je te devais au moins ça. Et puis nous sommes toutes les deux amies.
- Oui…
Nous nous sommes installées sur le sofa pour regarder la télé, nous étions très proches l’une de l’autre. Nous regardions un film romantique qui passait sur M6. Elle s’exclama dès les premiers mots doux de la part de l’acteur principal à sa partenaire.
- Et ben, ça ne m’étonnerait pas qu’il la trompe celui là ! Regarde cette fille beaucoup trop naïve… Comme je l’ai étais pendant toutes ces années...
(Elle commençait à sangloter dans le coin du canapé, puis à allonger sa tête sur mon ventre)- Virginie, je sais que ce n’est pas facile à oublier… Mais tu verras au fil du temps…- Il ne reviendra pas, je ne sais plus quoi faire. Dis le moi Virginie, je faisais tout pour que notre famille soit parfaite, dit moi pourquoi tout s’est arrêté ?!
- Tu n’as pas à te sentir coupable, Guillaume est un pervers et un salaud au fond de lui. Il t'a laissé tomber pour une grognasse, il ne te méritait pas.
- … Peut être bien…- Bien sur que oui, tu es rayonnante, belle comme le jour, tu vaux beaucoup plus que lui.
- M… Merci Sandrine, je ne sais plus quoi dire…- Tu es beaucoup trop tendue je vais te préparer un bon bain, ne bouge pas- Mais…- Non, non ! Ce soir JE m’occupe de toi.
(Je suis allée dans la salle de bain, j’ai allumé des bougies, de la musique douce, du bain moussant, elle va être parfaite ma petite Virginie !)- Virginie s’est prêt !
- J’arrive tout de suite
Elle est entrée dans la pièce, émerveillée et très touchée, quelques larmes coulèrent de son visage.
- M’enfin Virginie, qu’est-ce qui te prends ?
- C’est la première fois que quelqu’un s’occupe aussi bien de moi…- Jamais Guillaume n’a…- Non…- Oublie ce que je viens de dire, je vais te laisser te détendre, petite chanceuse va ! Je ne fais pas ça à toutes mes amies je te préviens ! Profites-en bien.
Je lui ai fait un petit clin d’œil taquin, puis elle m'a parlé très doucement, en rougissant.
- Euh… Sandrine…- Oui ?
- Et ben… Je me demandais… Ce serait dommage que j’en profite toute seul de ce bain, si tu veux tu peux venir avec moi…- ?
- Nous sommes amies, pas besoin de t’inquiéter, c’est juste que je ne voudrais pas en profiter toute seule… Ce serait dommage.
- Je vois… D’accord mais seulement pour notre amitié et parce que j’ai aussi envie de prendre un bon bain, je me suis pris du mal, pourquoi ne pas en profiter toutes les deux effectivement !
- Ca marche.
Je me suis mise toute nue assez vite, en lui demandant de se retourner le temps que j’entre dans le bain.
- C’est bon. Tu peux te retourner.
Elle s’est déshabillée très lentement, très pudique comme elle est, même avec son mari, puis au moment où elle devait enlever sa petite culotte, elle est rentrée dans le bain en vitesse.
- Mais que fais tu ? Tu vas la mouiller !
- …
Aucune réponse, vu la façon dont elle rougissait, autant changer de sujet.
- Alors comment tu le trouves ce bain ?
- Magnifique… Il est parfait… Vraiment parfait…- Je suis contente qu’il te plaise !
Après plusieurs minutes, Virginie commencait enfin à se décontracter.
- Dis moi Sandrine…- Oui ?
- Est-ce que toi et ton mari… C’est…- Oui ?
- Et bien…- Allez pose moi ta question Virginie, promis je ne me fâche pas.
- Et bien est-ce que sexuellement…- Tu veux savoir si il me comble ?
- Euh, oui…(J’étais étonnée qu’elle puisse me poser une question comme celle-ci)- Et bien, vraiment je ne me plains pas, toujours aussi parfait et attentionné avec moi, mais j’ai l’impression qu’il me manque quelque chose, et je n’arrive pas à savoir quoi…- Je vois…
Après plusieurs minutes, Virginie ne m'a pas parlé, perdue dans ses pensées. Alors pour la réveiller un petit peu, je lui envoie quelques gouttelettes sur sa petite bouille. Elle prend ça pour une invitation à jouer, elle faisait de même, puis ce fut pendant un quart d’heure de franche rigolade, nous éclations de rire après en avoir mit partout sur le carrelage. Nous échangions des petits sourires taquins, en rougissant, je me sentais très bizarre, rien que le fait de voir Virginie me regarder me faisait rougir. Elle voyait que je ne me sentais pas très bien.
- Il y a un problème Sandrine ?
- Non, non, ce n’est rien.
Elle s’est rapprochée de moi puis s’est mise dos contre moi, je ne pouvais plus bouger, j’étais tétanisée.
- Sandrine… Je suis si bien auprès de toi…- Virginie, que t’arrive t’il ?!
- S’il te plait laisse moi me reposer dans tes bras…
Le choc et l’émotion ont du la rendre comme ça, je ne pouvais rien faire à par mettre mes mains sur ses hanches.
- Tu sens tellement bon, tu es si belle et douce ma Sandrine…
Avant même que je ne sortes un mot elle à prit une de mes mains et la rapproché de son sein gauche. Que s’est-il passait ? J’étais incroyablement excitée et terrorisée par sa réaction. Que dois-je faire ?!
- Virginie, je suis sure que c’est parce que tu te sens très mal, que tu te comportes comme ça, mais il faut que tu te ressaisisses.
- Non Sandrine, tu ne comprends pas- Je ne comprends pas quoi ?
- Je… Je suis…- Oui ?
- Je… Je suis amoureuse de toi ! Je suis amoureuse de toi Sandrine !
(Un court instant je n’ai pas répondu, j’étais bouche bée, surprise. Je n’ai rien compris, toute la situation a changé en un instant, le fait d’être avec elle dans un bain, par exemple)- Qu… Quoi ? Tu es amoureuse de moi ?
- Oui, depuis que nous sommes amies je ne fais que penser à toi, jour et nuit, où je faisais l’amour avec Guillaume en pensant à toi.
- Je ne… Sais pas quoi dire…- Laisse moi t’embrasser s’il te plait…
Elle approcha ses lèvres des miennes, puis les toucha, nous fermions toutes les deux nos yeux, je n’ai jamais ressenti autant de douceur et de tendresse dans un baiser.
Après 5 bonnes minutes elle me regarda droit dans les yeux.
- Tu sais pourquoi j’ai gardé ma petite culotte…- Non, je ne sais pas…- Ma culotte été déjà toute mouillée, avant d’entrer dans le bain…- …!
Que voulez vous que je fasse ? Je n’ai jamais ressentis des sentiments pour une femme.
Elle prit mon autre main, pour la glisser dans sa petite culotte.
- Sandrine, s’il te plait, caresse moi, j’en ai tellement envie…
Elle utilisait ma propre main pour se masturber.
- Je…- S’il te plait…
Elle était comme sous mon emprise sous ces caresses, elle se tordait dans tous les sens en gémissant. J’ai enlevé sa main pour me concentrer et explorer seule son intimité.
N’ayant jamais pratiqué ça avec une femme, j’ai essayé de faire la même chose que je faisais quand je suis seule à me masturber. J’ai commencé à lui lécher doucement sa nuque, sentit. En lui caressant et malaxant ses petits seins devenus tout pointus.
- C’est si bon, j’aime tant ce que tu me fais… Continue s’il te plait.
Elle ne se sentait plus, toute détendue, comme endormie dans mes bras, je continuais mes douces caresses, en commencent à lui titiller son clitoris sous sa petite culotte. En continuant à lui lécher la nuque.
- Je t’aime Sandrine, je t’aime, et toi ma chérie…- ...
Elle arrêta ma main, et s’est retournée en me regardant droit dans les yeux, attendant une réponse à sa question.
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