Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 6

- Par l'auteur HDS Itacoatiara -
Auteur homme.
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Récit libertin : Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 6 Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 6
Après nos petits jeux du matin, Sandrine avait besoin de parler de l'étape suivante.

Oui, elle avait pris beaucoup de plaisir à ce que je joue avec son anus, mais elle avait aussi très peur d'avoir mal le jour ou ce serait mon sexe qui était clairement plus gros qu'un pouce.

J'essayais de la convaincre, mais c'était compréhensible, compliqué.

Pendant l'apéro du soir, je décidais de lui parler un peu de moi, de mes expériences. J'avais peur qu'elle se méprenne, surtout à l'époque, mais en même temps, au point ou nous en étions...

Je lui racontais alors qu'ado, j'avais joué à touche pipi avec un camarade, que j'avais pris beaucoup de plaisir à le prendre et me faire prendre.

Toutefois, les garçons n'étant pas mon truc, j'avais continué, de manière un peu honteuse, à m'amuser seul.

Elle resta estomaquée. Moi le grand mec costaud et viril, j'aimais prendre du plaisir par l'anus, sans pouvoir expliquer pourquoi à l'époque.

Elle passa d'une sorte de dégout ('T'es pédé alors?") à la curiosité. Je la "rassurais" en lui rappelant que quand je lui faisais l'amour, c'était plutôt viril et qu'elle-même était en train d'essayer des trucs et que si ça se trouvait, elle fantasmait sur les filles.


L'alcool aidant, elle a rapidement convenu que bon, ce n’était pas grave et on a continué notre conversation. Je fus rassuré, l'espace d'un instant, j'avais presque regretté ma franchise.

Pour ce qui est de mon côté, je n'étais pas forcément prêt à me donner à elle de cette façon, même si j'avais laissé une porte "ouverte" ce matin.
Cela viendra de différente manière au cours des 20 ans ou nous nous sommes vus et c'est une autre histoire.

De son côté, et peut être pour ne pas être en reste, me dit qu'elle s'était toujours demandé ce que cela faisait de faire l'amour avec une femme. Qu'un jour il faudrait qu'elle découvre.


Je gardais dans un coin de ma tête cette information.

Pour clore le sujet sur une note de rigolade, elle me dit que finalement, faire croire à sa mère que j'étais homo était un bon choix. Je n'étais pas forcément d'accord.

Cette discussion et l'alcool avaient fini par réduire ses craintes, elle avait maintenant envie d'expérimenter, non pas dans 6 mois, mais maintenant.

Nous décidions d'en faire un cérémonial que ce ne soit pas une simple sodomie, mais un grand spectacle mémorable.
Elle était vierge de ce côté, il fallait honorer cet événement.

Le diner fut vite expédié.

Nous choisime une des chambres qui sera ensuite utilisée pour d'autres cochonneries.


Une grande chambre avec une cheminée imposante et une poutre horizontale où on imagine y attacher une soumise, on en était pas là.

Elle alla se préparer, pendant ce temps, j'allumais un feu de cheminée et je sortis les accessoires que contenait le coffre de l'oncle.

IL y avait de tout, gode, vibro, les fameuses boules de geisha, un chapelet, plug, menottes, bandeau, cravaches soft .

J'avais aussi pris préservatif et gel. J'avais aussi repéré le disque du "Boléro" de Ravel qui trônait dans la chambre de l'oncle, ça me semblait très approprié. J'imagine que l'oncle devait beaucoup s'en servir...


Enfin, j'avais déplacé un miroir d'une chambre à une autre, celui-ci se trouvait face à la couche que j'avais confectionnée.

Elle arriva alors dans la chambre dans une de ses robes longues blanches, comme pour dire "je suis vierge", la lumière de la cheminée éclairait son teint, la transparence était subtile et terriblement excitante. Elle était magnifique.

Elle avait aussi un bandeau dans la main. Encore?

Finalement, en regardant les objets, elle vit un masque et me dit "je veux le mettre, je suis un peu timide". Je lui demandais quel jouet elle souhaitait essayer. Elle me répondit, "Ce que tu veux, sauf celui-là". Il s'agissait d'un god énorme.

Je la tournais et lui attacha le masque sur les yeux et je mis le disque.

Je lui dis aussi, "si tu me dis "Stop", j'arrête. "
Je ne savais pas ce qu'était un safe word, mais c'était finalement ça.

Je la pris dans mes bras.

Moi - "As-tu peur?"

Elle - "Oui, tu seras doux, hein?"

Moi - "Je ne veux que te donner du plaisir, rien d'autre"

je l'embrassais doucement, sur la bouche, le cou, ses lobes d'oreille, puis je fis tomber sa robe blanche à terre.

Elle frissonna.

Moi - tu veux que j'arrête?

Elle - non!

Je m'agenouillais et commença à lui lécher le sexe, rapidement, sa mouille me fit comprendre que je pouvais être serein.
Elle appuyait ma tête contre son sexe, mes mains malaxant ses fesses.

La position peu pratique, je la fis se mettre à 4 pattes face au miroir, je me mis derrière elle, de telle façon à pouvoir m'occuper d'elle avec ma langue.

Je commençais à lui lécher la vulve, je l'entendais gémir de plus en plus fort. Mon léchage en règle était efficace. Je basculais vers ses fesses, à nouveau, petit mordillage, léchouille, puis directement, une feuille de rose.
Elle eut un petit geste de recul.

Moi: Ne t'inquiète pas, je veux que tu prennes du plaisir par là.


J'avais bien compris après cette journée qu'il ne fallait pas brusquer les choses, je la fis jouir alors, seulement avec ma langue, mes doigts fouillant son sexe, ma langue sur son anus.

Maintenant qu'elle était détendue, je pouvais passer à l'étape suivante.

Je pris le chapelet et lui dit: "Je vais faire rentrer chacune des 5 boules, es tu prête?"

Joignant le geste à la parole, je lui mis en mains le chapelet.
Elle : Tu es sûr que c'est pas trop gros?

Moi : on stoppe quand tu le souhaites

Elle - "Vas-y"

Je pris du gel, en mis sur sa rosette et le reste sur les boules.

Pour distraire son attention, je mis un des vibro sur son clito. Elle sursautait quand j'activais celui-ci, puis pris le rythme.

Venait le temps de s'occuper de ses fesses. Je fis pénétrer la première boule, plutot petite, elle rentra sans difficulté.
La seconde un peu plus grosse lui fit pousser un petit cri. Le vibro de son côté, faisait son oeuvre, elle gémissait de plus en plus fort

Je glissai la 3e boule, là, ça commençait à être difficile. Elle me demanda d'attendre un peu.

Le plaisir venant, elle était plus détendue , je poussais doucement la 3e boule qui fut avalée d'un seul coup.
Elle fut surprise par un orgasme provenant du vibro et s'affala sur le sol.

J'enlevais le vibro qui devenait douloureux; après avoir repris ses esprits, elle me dit "laisse-moi te sucer".

Je pense qu'elle voulait gagner du temps.

Je me mis face à elle, lui présentait mon sexe qu'elle s'empressa d'avaler et de sucer goulument.
Il restait 2 boules.

Je poussais la suivante petit à petit, ça devenait trop dur pour elle. Il était temps d'arrêter.

Je retirais la première boule, elle me souffla "c'est bon, continu" et elle se mit à se caresser tout en me suçant, enfin, plutôt en se faisant baiser la bouche.
Vint le tour de la seconde boule, celle-ci sortit sans difficulté, idem pour la troisième.

Elle fut un peu déçue, elle s'attendait à la même sensation d'ouverture

Je lui dis, maintenant, ça va être un plug et après, ce sera moi.

Je pris un des plugs qui était plutôt maigre, assez éloigné de mon sexe, je me demandais si cela serait suffisant.
Toutefois, l'autre exemplaire était pour "utilisatrice expérimentée".

A nouveau, gel partout.
Je lui insérais le plug, à nouveau petit à petit, elle accusait le coup, se demandant quand cela finirait.

Elle me dit qu'elle avait un peu mal, mais c'était étrange.


Arrivé au bout, celui-ci se plaqua contre ses fesses.
"Wow je suis complètement remplie. Ce n’est pas désagréable, maintenant il se passe quoi?"

Je pris un des godes ressemblant le plus à un sexe d'homme et lui donna. "Tiens, ça va remplacer mon sexe".

Elle ne comprit pas tout de suite ou je voulais en venir:

"Tu le suces, tu ne vois pas, mais tu peux imaginer qu'il y a un autre homme là!"

"Ah, euh, ok" et elle se mit à le sucer comme s'il s'agissait d'un vrai.

De mon côté, je me positionnai derrière elle.

je pénétrais son vagin sans lui demander son avis

Elle cria de surprise, non pas qu'elle ne s'attendait pas à cette pénétration, mais la sensation de mon sexe et du plug lui fit un effet inconnu.

Je me mis à la besogner doucement, de peur de lui faire mal. Elle me le dira après, mais mon pubis contre le plug faisait aussi bouger celui-ci. C'était un peu l'idée, même si je ne me voyais pas partager mon amie infidèle. Oui, c'est bizarre...

Elle me demanda alors d'y aller plus fort, et ce, afin que le plug bouge vraiment. Ce que je fis. Je la prenais fortement, elle criait encore et encore, vint un premier orgasme, puis un second.

Devenue totalement folle de désir, elle me dit "Prend moi s'il te plait, je veux maintenant."

MOi : "Tu es sur? je suis un peu plus gros"

elle: Oui, sodomise-moi, encule moi, tu ne comprends pas le français?

Je ne me fis pas prier, mais je voulais que ce soit à mes conditions.

Je retirais le plug tout doucement, elle était affalée. Je me demandais si c'était nécessaire d'aller jusqu'au bout.

Je mis un préservatif et du gel.

Je me mis ensuite derrière elle, lui enleva le masque et lui dit, "regarde-moi dans les yeux", ce qu'elle fit.

Je mis mon sexe sur son anus, et lui dit "c'est à toi de reculer!" Je voulais inconsciemment la dominer jusqu'au bout.

Elle: "même pas peur!"

Elle recula tout en me regardant fixement de ses yeux bleu cristal.

Puis son visage se décomposa et son regard se perdit, bien que préparé depuis un moment, ce n'était pas pareil. J'étais plus large que nos jouets.

Arrivée à une profondeur qu'elle estimait suffisante, elle s'arrêta. Puis commença à faire des aller-retour assez lents et peu profonds.

Elle se caressait en même temps. Je continuais à la regarder, dominateur

Visiblerment, le plaisir cérébral était fort, elle s'arrêta, ne savant plus trop ou elle en était.

Je lui mis une claque sur la fesse; comme pour une jument qui ne voudrait plus avancer.

Elle me répondit "baise-moi"

Je repris donc le mouvement en essayant d'être plus doux que lorsque je la prends vaginalement. Assez rapidement, elle me demanda d'y aller un peu plus fort, j'étais trop doux...

Moi: "tu es ma salope?"
Elle : "oui"
Je mis une claque sur la fesse
Moi : "Je n’entends rien"
Elle : OUUUUOIIOIII JE SUIS TA SALOPE"
J'accélérais la cadence et la profondeur

Elle se mit à hurler de plus en plus fort, je décidais de ralentir, de peur de lui faire mal

Elle " T'arrête pas, c'est bon"

Je repris le rythme, j'en profitais pour claquer et pour pincer ses fesses.

Ses cris, mouvements de corps et supplication à ce que je la baise à fond finirent par me faire jouir.

Elle eut un dernier orgasme après le mien, nous nous écroulâmes sur le sol.
Pendant une dizaine de minutes, nos échanges furent inintelligibles, des espèces de râles de contentement.

Je finit par me lever et la porta jusqu'à sa chambre ou je l'a mis dans son lit ou exceptionnellement, en contradiction avec notre "contrat", elle me demanda de rester pour dormir.

Je ne savais que penser, nous avions depuis très longtemps dépassé les limites de l'amitié, reste qu'elle avait encore ce désir de faire son beau mariage. Bref, nuit blanche.

Et pour elle, le lendemain, une drôle de démarche qu'elle expliqua à la cuisinière, comme le résultat d'une chute.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
j'adore

Histoire Erotique
Très bon récit. L'auteur notera que l'emploi du Boléro de Ravel a été utilisé dans le film "Ten" de Blake Edwards avec Bo Derek.



Texte coquin : Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 6
Histoire sexe : Une rose rouge
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