SANS CONTRAINTE

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : SANS CONTRAINTE Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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SANS CONTRAINTE
Elle l'a rencontré à une soirée, chez des amis. J'étais présent, et je l'ai vu la harceler avec insistance. Au début, je ne lui ai prêté aucune attention, c'était un type plutôt petit, trapu, au crâne dégarni, originaire du Moyen-Orient. Nadia trouvait sa quête insistante et maladroite, mais quelque peu flatteuse. Avec son teint olivâtre, sa bouche lippue et ses petits yeux noirs trop rapprochés, je lui trouvais une tête de jouisseur.

Pour danser avec Nadia, il se tenait sur la pointe des pieds. Mais le soir, elle m’a raconté qu’il s’était frotté contre elle, et son machin était extravagant. Il avait dû se caler un tuyau dans le slip, ou un truc comme ça. N’empêche, elle avait remarqué ses grandes mains et ses grands pieds et, comme toutes les femmes, elle connaissait le rapport qui existe entre les différents membres.

Quelques jours plus tard, elle m'a dit qu'il avait obtenu notre numéro de téléphone par l’amie chez qui se tenait la soirée, et qu’il l’avait appelée. Il était direct dans sa requête. Il a demandé à Nadia de venir le rejoindre chez lui. Aucun romantisme, aucune galanterie. Gonflé de prétention, bouffi d’orgueil, il voulait juste la baiser. Finalement, il l’a tellement harcelée qu’elle a accepté de le rencontrer dans un café, en fin d’après-midi. 
Lors de leur deuxième rencontre, il l'a emmenée chez lui, et il l’a baisée. Elle m'a tout raconté, plus tard, quand nous sommes allés nous coucher. C'était un très bon amant. Il avait une énorme bite et beaucoup de résistance. Il la fit jouir. Plusieurs fois, et longtemps. Il était grossier, fruste. Il l’agaçait, mais il lui avait fait prendre un énorme pied en la traitant comme une souillon.

Lors de leur troisième rencontre, il lui a demandé si elle m'avait fait des confidences, ou si elle m’avait caché leur relation. Nadia ne lui a pas caché que j'étais un cocu soumis, qu’elle était sexuellement libre, et que j’aimais qu’elle me raconte ses escapades amoureuses. Il a été immédiatement excité, et après l’avoir baisée une première fois rapidement, il est redevenu raide tout de suite. Après, il l'a baisée plus calmement, en lui demandant avec insistance comment cette baise me serait racontée. Il voulait qu’elle lui raconte tout en détail. Le fait que je sois un cocu soumis l'a passionné. 
Lors de leur quatrième rencontre, il a ouvertement proposé à Nadia de venir la baiser chez nous, dans notre lit conjugal, en ma présence. «J'ai lu que la plupart des cocus aiment regarder leur femme se faire baiser par un mec bien monté». À partir de là, il a fantasmé, parlant de se faire sucer la bite par le cocu, puis de lui demander de l’aider pour baiser sa femme, et enfin de se faire entretenir par le mari. Nadia ne lui a rien promis, juste de m’en parler.

Comme chaque fois que Nadia est rentrée en me racontant son escapade avec Yanis, nous avons eu une baise torride dans notre lit. Cette fois, c’était encore plus ardent. Nous avons discuté de la possibilité de le recevoir chez nous, et nous avons décidé d'essayer. Ce serait notre première fois avec une complicité aussi directe de ma part.

Comment pouvais-je ? M'agenouiller entre les jambes de cet homme vulgaire et arrogant, sucer sa bite, préparer sa bite pour qu’il baise ma femme ? C'était une pensée choquante. S’humilier pour quoi ? Pour le plaisir de ma femme, ou pour me mépriser encore un peu plus ? Bien, laissez moi vous dire.

D’abord, cette étrange sensation de chaleur à l'intérieur. Au niveau de la pensée, se sentir comme une merde sous le regard narquois du mec. En même temps, se dire «si tu le fais, fais-le bien, ne fais pas ça pour rien». Surtout, la taille impressionnante de la bite, semi-dure, mais déjà beaucoup plus grosse que la mienne.

Dédaigneux, il s’est déshabillé et s’est allongé en travers du lit, jambes pendantes. Ma femme m’a donné une tape dans le dos «Allez !» Alors je me suis agenouillé et j'ai laissé ma langue courir sur les contours de sa bite. Je me suis appliqué à faire ce que j'aimerais qu’on me fasse. Il n'était pas raide au début. J’avais beau m’escrimer, il était peu réceptif.

Tandis que je léchais sa bite, Nadia s’est dénudée, elle a grimpé sur le lit, s’est penchée sur lui pour lui donner ses nichons à téter. Immédiatement, son érection s’est développée. Il m’a donné ses doigts à sucer, ce que j’ai fais, ensuite il a enfoncé deux doigts dans la chatte à Nadia. Aussitôt, elle s’est mise à gémir en ondulant du bassin.

J'étais absorbé par ma tâche que je ne levais pas les yeux pour voir ce qu'ils faisaient. J'ai juste ressenti l'effet de leur étreinte dans sa dureté croissante. Son sexe enflait et palpitait entre mes mains. J'ai léché avec voracité le gland circoncis et son épais manche sombre. J’ai reçu une légère tape sur ma tête, de la main de Nadia, pour que j’arrête de le lécher et que je le suce impudiquement. J'ai ouvert la bouche en grand pour engloutir son gland.

Yanis grogna et poussa en avant, enfonçant plus de longueur. Je l'ai pris. Il était absolument rigide maintenant et je savais qu'il était au summum de son excitation. Bientôt, soit il viendrait dans ma bouche, soit il voudrait baiser ma femme. Je me suis éloigné.

«Je pense que Yanis est prêt» leur annonçais-je. Ils rompirent leur étreinte et Nadia bascula sur le dos, souriante.

«Oui, viens maintenant» dit-elle à Yanis. Elle soupira en prenant son épaisseur dans sa main. Son alliance renvoya un éclat de lumière, tandis qu’elle massait la bite que j'avais préparée pour elle. J'ai ressenti un picotement agréable dans mes couilles. Je voulais tellement qu'il la baise, l’attente m’emplissait de désir.

Sa réaction a été obscène, mais cela a ajouté à mon ardeur : «Tu suces bien, petit, mieux que certaines femmes !» d’un ton condescendant, à la fois narquois et humiliant. J'ai juste souri sans rien dire, mais je n’en pensais pas moins.

Il se déplaça sur le lit, pour s’installer entre les jambes ouvertes de Nadia, en l'embrassant sur la bouche. Elle écarta encore plus les jambes en les repliant. J'ai vu sa chatte béante, débroussaillée, sa fente luisante au milieu. Elle était prête pour lui, comme une femelle en chaleur. Je me penchais pour bien voir la pénétration. Je pensais qu'il allait juste planter son pieu dans sa chatte et la baiser. 
Il s’arrêta et se figea au-dessus d'elle, le bout de sa bite effleurant la chatte désireuse. Il tourna la tête et me regarda.

«C’est toi qui va m’insérer dans ta femme, petit, donne-moi un coup de main, ou mieux, un coup de langue !» Le salaud savait que je voulais participer, il pouvait lire dans mes pensées. Je me suis tordu le cou dans un angle inconfortable pour pouvoir lécher sa bite et la chatte de Nadia pendant qu'il la pénétrait. 
Nadia le désirait aussi. Elle a soulevé sa cuisse avec sa main pour me donner un meilleur accès. Je l'ai léché, puis j’ai maintenu sa queue en équilibre, essayant de la pousser vers la chatte ouverte. Il est juste resté comme ça, en me regardant. J'ai regardé dans ses yeux, il me défiait du regard, un mélange de satisfaction et d’arrogance. J’ai baissé les yeux, humilié et vaincu, alors, satisfait, il l’a pénétrée.

Je me suis retiré avec empressement, pour le laisser œuvrer tranquillement, et je l'ai regardé s'enfoncer dans Nadia. Les lèvres épaisses de sa chatte s'étirèrent autour de son membre, et son gémissement retentit dans la pièce.

"Oh, oui, c'est si bon ..." sa voix simulait la souffrance, mais c'était tout sauf de la douleur. Yanis poussait plus profond sa grande canne en elle. Jusqu’au bout. Ses couilles contre son cul. Enterré au fond d’elle, sans bouger. Ils s’embrassaient en savourant leur accouplement. Un long baiser mouillé. J’attendais qu’il commence à la baiser.

Je me demandais ce que ressentait Nadia, avec sa chatte bien remplie, les lèvres épaisses étirées autour de la tige. Elle ouvrit les yeux et lui murmura tendrement : «Baise moi, chéri»
Il l'a bien baisée. De longs coups souples, en douceur, ressortant presque entièrement de sa gaine de chair qui s’accrochait à la bite qui la besognait. Il a utilisé toute la longueur de sa bite pour la contrôler. J'ai regardé son visage, le regard extasié, les yeux ouverts dans le vide, elle savourait.

Plusieurs fois, l’orgasme l’a traversée. Sans cesser de la baiser, il surveillait ses réactions, parfaitement maître de ses émotions. Il accélérait ou ralentissait son martèlement, au gré de ses expressions. Parfois, son visage reflétait une expression d'attente douloureuse, les sourcils arqués, puis à d'autres moments c'était un rictus comme un sourire.

Yanis a utilisé son emprise sur elle, en se montrant arrogant envers moi. Il me regardait, puis d’un signe du menton, désignait le visage torturé de Nadia, comme pour me dire : «Regarde ta femme, cocu, c’est ma salope, maintenant !»
Dans de nombreux cas, j'ai détourné mon regard de son expression sarcastique. Ça me faisait plus de mal qu'un coup de poing. C'était un vrai salaud et j'ai réalisé l'ascendant qu'il avait sur les femmes. Ce bâtard trapu et libidineux les traitait comme des putes, les utilisait en les baisant jusqu’à ce qu’elles perdent la tête. 
Sa méthode a engendré un abandon total de la femme en train de se faire baiser. Pas étonnant qu'elles aiment baiser ce genre de mec, mais qu’elles ne veulent pas être vues avec lui. Son énorme bite, avec la tête étonnamment plus grosse que la tige déjà épaisse, ramonait sa vulve en multipliant les sensations sur les parois. Sa bite,c'était le reflet de sa personnalité, vicieux et arrogant. Mais, malgré son savoir-faire, il est arrivé à son point de non-retour. 
Il glissa sa main sous la cuisse de Nadia pour soulever sa jambe encore plus haut, et accéléra son rythme pour la marteler avec de longues et profondes poussées. Son souffle râpait dans sa gorge. Les sons spongieux et humides de sa chatte se mêlaient à ses gémissements. Les chairs claquaient. Elle sentait son apogée imminente. 
Dents serrées, il ne disait rien. Il surveillait l’explosion de jouissance toute proche de la femme qu’il besognait. Soudain, elle s’est mise à hurler, à l’invectiver. Elle crachait des insultes, réclamant plus de vigueur, alors qu’elle était secouée par les violents coups de boutoir.

J'ai réalisé qu'elle avait besoin de ça, de l’insulter, comme pour se venger de lui pour lui faire subir cet affront, devant son mari, de la révéler telle qu’elle était, une chienne en chaleur, baisée comme une salope.

Il s’arc-bouta et poussa brutalement plusieurs fois, puis se cambra en arrière, grinçant des dents tandis qu'il convulsait et éjaculait dans sa chatte. Elle rugit comme une tigresse. J’ai réalisé que je ne l’avais jamais vue dans cet état-là, ni avec moi, ni avec aucun de ses partenaires occasionnels.

Je n'ai rien dit. J’ai juste regardé la tempête se calmer et reprendre pied dans la réalité. Le contraste a été saisissant, hallucinant. Alors qu’il voulait se retirer hors d'elle, elle s’est cramponnée à lui, suppliante, pleurnicharde, réclamant encore du sexe. Elle s’est avilie, humiliée, devant moi, sans honte, suppliant son amant de ne pas la quitter, de rester en elle, pour la baiser encore et encore.

Mais il resta inflexible. Je me demandais s'il voudrait que je le suce pour le nettoyer, la récompense habituelle du cocu. Mais son insolence a cédé la place à une conscience rigide. Il n’avait plus envie, il a marmonné quelques excuses et s'est rhabillé. Je l'ai raccompagné jusqu’à la porte et il est parti sans un mot.

De retour dans la chambre, Nadia était toujours allongée sur le dos, les jambes ouvertes. Je me suis assis sur le lit, à côté d’elle, pour regarder sa chatte boursouflée. Puis ses yeux. Je lui ai souri.

«Tu avais l'air si sexy en train de sucer sa bite. Ça m'a excitée de te regarder faire !» Dit-elle doucement.

«J'étais brûlant de désir en le suçant, l'idée de le préparer pour toi m'a excité !» J'ai répondu. 
Je me suis allongé à côté d'elle et nous avons parlé longuement, partageant notre expérience, nous racontant ce que nous avions vu, vécu, ressenti, sans crainte d’utiliser des mots crus. Nous avions partagé la même expérience, nous avions tous deux sucé la même bite. 
Nous avons échangé nos impressions, commentant la grossièreté du personnage, comment cela l'a excitée de se faire baiser comme une salope bon marché, et les sensations que lui ont procuré sa merveilleuse bite de cheval.

J’ai aimé lui parler de l'aspect visuel, de sa chatte distendue, étirée, qui s’accrochait au pieu qui la baisait. J'ai arrêté de lui parler pour m’installer entre ses jambes et lécher sa chatte suintante. Oui, il y avait du foutre là-dedans. On s’est embrassé pour qu’elle le goûte. «Je reconnais bien le goût, un peu fade, un peu amer» dit-elle.

Nous avons commencé une baise nettement moins sexuelle qu'avec Yanis, mais infiniment plus sensuelle. Nous l'avons faite durer longtemps, en nous parlant, en nous câlinant, en baisant lentement, nous remémorant toutes ces choses extraordinaires que nous avions vécues ce jour-là.

Nous étions si proches, si complices, ce jour-là ...

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