Sans préméditation
Récit érotique écrit par Lamiche31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sans préméditation
En cet après-midi du mois de mai qui se prenait presque pour un jour de juillet, j'avais décidé d’aller à Bordeaux la grande ville voisine pour faire du lèche-vitrine et faire chauffer la carte bancaire. Je venais de garer ma voiture dans le parking souterrain du centre-ville et en passant devant un grand hôtel tête baissée j'ai percuté un homme qui en sortait. Rouge de confusion, j'ai levé les yeux pour m'excuser de ma distraction, j'ai rencontré son regard souriant et plein de malice. J'ai commencé à parler cherchant un motif pour justifier ma maladresse, il m'a interrompu en disant « il n'y a qu'un seul moyen pour vous faire pardonner c'est de m'accompagner boire un verre sur la terrasse du bistrot voisin ».
Une fois assis côte à côte, la discussion s'est faite naturellement et lorsqu'au bout d'un moment, passant au tutoiement il m'a dit « viens, on va continuer notre discussion dans ma chambre », je me suis levée et l’ai suivi aussitôt. Notre premier baiser a eu lieu dans l'ascenseur nous amenant non au septième ciel mais dans sa chambre située au 4ème étage. Entre la porte de la salle de bain et la chambre il y avait un placard ouvert où était rangé un uniforme de commandant de bord, uniforme que je connaissais, mon mari ayant le même, mais ce n'était pas le moment de parler de travail.
Le lit nous a accueilli, ses mains étaient partout à la fois, j'avais jeté ma veste sur l'unique chaise avant de m’étendre sur le lit, mon corsage l'a rejoint très vite, le monsieur a dégrafé l’attache de mon soutien-gorge qui a volé vers la chaise, ses mains puis ses lèvres ont parcouru puis embrassé mes deux seins dont les mamelons sensibles se sont durcis, Jean-Pierre n'en était pas à son coup d'essais. J'ai soulevé mes fesses pour lui permettre de faire glisser ma jupe vers mes pieds, j’étais nue à l'exception de mon string et de mes chaussures, je sentais mon minou humide et prêt à recevoir une verge que je sentais très dure le long de ma jambe.
Jean-Pierre s'est dégagé pour se mettre dans la même tenue que moi, j'en ai profité pour baisser son boxer et me pencher sur sa verge qui a reçu mes 1ers coups de langue. Le 1er contact d'un nouveau phallus avec ma bouche m'apporte â chaque fois une excitation proche de la jouissance, quelle sensation lorsque j'enfonce cette belle tige dans ma bouche, la sentir se durcir encore plus, sentir les petits tressautements en fonction de ses réactions.
Le sentant proche de jouir dans ma bouche, j'ai arrêté ma fellation et après mettre étendue sur le lit jambes ouvertes, je l'ai attiré sur moi, sa bite en bonne position m'a pénétrée d'un coup, je me suis sentie un peu frustrée j’aime sentir lors d'un 1er coït la progression de la verge , sentir le gland forcer le passage entre mes petites lèvres puis s'enfoncer dans mon vagin.
Jean-Pierre s'est rattrapé en variant la cadence , il passait des coups puissants et profonds à des frottements de son gland sur mon clitoris avant de me reprendre rapidement. J'ai eu deux orgasmes avant de sentir sa verge donner les a-coups annonçant sa jouissance. On est resté le plus longtemps possible nos sexes l'un dans l'autre et nos regards rivés ensemble.
C'est une fois allongés côte à côte que je lui ai demandé ce qu'il faisait un après-midi à Bordeaux, il était commandant de bord à Air Inter ( avant d'être absorbée par son grand frère ) était parti très tôt de Paris pour faire un aller-retour sur Toulouse puis un vol vers Bordeaux, il venait d'arriver à l’hôtel depuis peu avant que je le télescope au moment où il en sortait. Il repartait le lendemain très tôt sur Paris. Je n'ai pas osé lui dire qu'il était un confrère de mon mari mais dans une autre compagnie.
Je n'ai pas fait de shopping ce jour-là car rapidement Jean-Pierre avec mon aide innocente à retrouver la vigueur nécessaire à un second coït aussi abouti que le premier.
J'ai un mari qui me pousse à prendre des amants, ce que je ne me prive pas mais uniquement pendant ses absences professionnelles, le planning de mon amant le faisait revenir début juillet dans ma ville, mon chéri étant au travail et nos enfants partis chez mes beaux-parents pour profiter de la mer en ce début de grandes vacances, j'ai pu retrouver Jean-Pierre et passer la journée et la nuit dans son lit.
Ce n'est qu'à notre 3ème rencontre qu'il m'a demandé ce que faisait mon mari, il a fait une drôle de tête lorsque je lui ai dit qu'ils étaient confrères mais que mon chéri était sur long-courriers. D’après ses dires, il était plus regardant sur la fidélité de sa femme.
Quelques temps après, Air-inter fusionnant avec Air France, il a changé d'avion et m'est plus venu dormir à Bordeaux.
Lorsque j'accompagnais mon chéri dans ses rotations, on ne l'a jamais croisé et il n'a jamais eu l'occasion de parler ensemble.
Une fois assis côte à côte, la discussion s'est faite naturellement et lorsqu'au bout d'un moment, passant au tutoiement il m'a dit « viens, on va continuer notre discussion dans ma chambre », je me suis levée et l’ai suivi aussitôt. Notre premier baiser a eu lieu dans l'ascenseur nous amenant non au septième ciel mais dans sa chambre située au 4ème étage. Entre la porte de la salle de bain et la chambre il y avait un placard ouvert où était rangé un uniforme de commandant de bord, uniforme que je connaissais, mon mari ayant le même, mais ce n'était pas le moment de parler de travail.
Le lit nous a accueilli, ses mains étaient partout à la fois, j'avais jeté ma veste sur l'unique chaise avant de m’étendre sur le lit, mon corsage l'a rejoint très vite, le monsieur a dégrafé l’attache de mon soutien-gorge qui a volé vers la chaise, ses mains puis ses lèvres ont parcouru puis embrassé mes deux seins dont les mamelons sensibles se sont durcis, Jean-Pierre n'en était pas à son coup d'essais. J'ai soulevé mes fesses pour lui permettre de faire glisser ma jupe vers mes pieds, j’étais nue à l'exception de mon string et de mes chaussures, je sentais mon minou humide et prêt à recevoir une verge que je sentais très dure le long de ma jambe.
Jean-Pierre s'est dégagé pour se mettre dans la même tenue que moi, j'en ai profité pour baisser son boxer et me pencher sur sa verge qui a reçu mes 1ers coups de langue. Le 1er contact d'un nouveau phallus avec ma bouche m'apporte â chaque fois une excitation proche de la jouissance, quelle sensation lorsque j'enfonce cette belle tige dans ma bouche, la sentir se durcir encore plus, sentir les petits tressautements en fonction de ses réactions.
Le sentant proche de jouir dans ma bouche, j'ai arrêté ma fellation et après mettre étendue sur le lit jambes ouvertes, je l'ai attiré sur moi, sa bite en bonne position m'a pénétrée d'un coup, je me suis sentie un peu frustrée j’aime sentir lors d'un 1er coït la progression de la verge , sentir le gland forcer le passage entre mes petites lèvres puis s'enfoncer dans mon vagin.
Jean-Pierre s'est rattrapé en variant la cadence , il passait des coups puissants et profonds à des frottements de son gland sur mon clitoris avant de me reprendre rapidement. J'ai eu deux orgasmes avant de sentir sa verge donner les a-coups annonçant sa jouissance. On est resté le plus longtemps possible nos sexes l'un dans l'autre et nos regards rivés ensemble.
C'est une fois allongés côte à côte que je lui ai demandé ce qu'il faisait un après-midi à Bordeaux, il était commandant de bord à Air Inter ( avant d'être absorbée par son grand frère ) était parti très tôt de Paris pour faire un aller-retour sur Toulouse puis un vol vers Bordeaux, il venait d'arriver à l’hôtel depuis peu avant que je le télescope au moment où il en sortait. Il repartait le lendemain très tôt sur Paris. Je n'ai pas osé lui dire qu'il était un confrère de mon mari mais dans une autre compagnie.
Je n'ai pas fait de shopping ce jour-là car rapidement Jean-Pierre avec mon aide innocente à retrouver la vigueur nécessaire à un second coït aussi abouti que le premier.
J'ai un mari qui me pousse à prendre des amants, ce que je ne me prive pas mais uniquement pendant ses absences professionnelles, le planning de mon amant le faisait revenir début juillet dans ma ville, mon chéri étant au travail et nos enfants partis chez mes beaux-parents pour profiter de la mer en ce début de grandes vacances, j'ai pu retrouver Jean-Pierre et passer la journée et la nuit dans son lit.
Ce n'est qu'à notre 3ème rencontre qu'il m'a demandé ce que faisait mon mari, il a fait une drôle de tête lorsque je lui ai dit qu'ils étaient confrères mais que mon chéri était sur long-courriers. D’après ses dires, il était plus regardant sur la fidélité de sa femme.
Quelques temps après, Air-inter fusionnant avec Air France, il a changé d'avion et m'est plus venu dormir à Bordeaux.
Lorsque j'accompagnais mon chéri dans ses rotations, on ne l'a jamais croisé et il n'a jamais eu l'occasion de parler ensemble.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une confession très chaude qui montre que l'auteure ne raconte pas ses fantasmes mais du
vécu. Et c'est rare.
vécu. Et c'est rare.