Sans regrets - histoire érotique

Le string dentelle noir me remonte entre la raie de mes fesses. La sensation n’est pas désagréable. Je sens la barre raide de sa verge se plaquer contre ma peau. Il est debout, blotti contre moi, se frottant fortement à moi. Je sens une fine coulée se détacher de son gland.

« Hmm, oui ma petite, c’est parfait. »

Sa voix est grave et excitée. Cela fait un moment que je n’ai pas eu d’aventure avec un homme et je suis un peu nerveux. Mon cœur bat à un rythme forcené. Ce n’est pas la première fois que je vois cet homme. Il y a maintenant plus d’un an nous nous étions rencontrés sur un site gay. Il m’avait plu et je l’ai invité chez moi. Ce qui avait suivi cependant n’avait pas été à la hauteur de ce qu’il attendait. Je ne sais toujours pas pourquoi mais je m’étais bloqué. Une fois nu, à genoux devant son engin j’avais senti mon ventre se tordre et mon cœur s’accélérer. Je l’avais pris en bouche mais sans entrain. Il avait bien senti mon état, et, exaspéré au bout de cinq minutes d’être arrivé, il s’était rhabillé et était parti. A présent, malgré la légère pointe de nervosité, j’étais déterminé à ne pas répéter l’expérience. Je remue le bassin, accentuant le frottement de son sexe contre ma peau. Il me dépasse légèrement. Ses mains sont posées fermement sur mes épaules. Je glisse une des miennes entre nos deux corps et me saisis de son membre. J’avais oublié à quel point il était bien outillé. Tu m’étonnes que j’aie été intimidé. Je le guide entre mes cuisses que je resserre autour de la barre.

« C’est parfait. Je te sens en meilleure condition que la dernière fois. »

Il se met à donner des coups de reins et je sens son gland qui dépasse de mes cuisses. Nous restons ainsi un moment. Nous nous trouvons devant la fenêtre du petit studio auquel il m’a invité. Le rideau est tiré mais c’est un simple voile en tissu fin. Il fait nuit dehors et la lumière, tamisée certes, serait suffisante pour qu’un voisin nous aperçoive. Tant pis. Je ne les connais pas après tout.

« Sors le lubri petite.»

J’exécute. Je me désengage de la position pour me pencher et sortir le tube de mon sac. Alors que je remonte, mon compagnon me prend le menton entre deux doigts et me tend son sexe.

« Pendant que tu y es. »

Je jette un œil vers le haut. Il me sourit. J’ai remarqué que cette fois il ne me pose pas de questions, mais ordonne. A vrai dire ça m’excite. Je lui souris en retour et, sans la prendre en main, j’ouvre grand pour laisser passer son gland enflé. Celui-ci se faufile entre mes lèvres. Il a un goût acidulé. Je commence à téter. Rapidement l’homme commence à redonner de petits coups de bassin. Il me lime la bouche.

« Voilà », dit il en expirant, « c’est comme ça que je voulais que tu fasses. Allez suces petite. »

Il me guide la tête avec une main. Je suis cambré en avant, mon cul prostré. Il le caresse, puis titille mon trou d’un doigt.
« Allez maintenant à genoux petite. Continues de pomper. »

Je me laisse glisser à genoux sans interrompre le coup de langue. A présent je guide le mouvement de ma main droite, l’autre lui caressant les boules.

« Plus vite, j’ai envie de finir une première fois avant de te prendre. »

Je suis surpris mais j’accélère le mouvement. Sa verge gonflée me baise la bouche. Enfin, il se retire de mon étreinte chaude, prend d’une main sa verge et de l’autre me soulève le visage. Il se masturbe vigoureusement. Le foutre jaillit, s’étalant sur mon visage, chaud et épais. L’homme expire bruyamment. Puis guide à nouveau son sexe devant ma bouche. J’ouvre grand. Il la fait entrer et se met à nouveau à me guider. Il ne débande pas d’un poil.

« Tu vas voir petite, cette fois, je vais te prendre comme il le faut. Voilà je me sens de nouveau d’attaque.»

A vrai dire je n’ai pas senti la phase repos. Il sort son phallus de ma bouche et me lève par les épaules. Il me guide vers le canapé. Puis, debout devant moi, me tend le tube de lubri. « Mets-moi-en ». J’en fais sortir une lampée que j’applique sur son gland déjà lubrifié de ma salive. Je m’en applique également sur mon trou.

L’homme se penche, me relève le bassin et m’écarte les cuisses. Sans le vouloir, je laisse échapper un gémissement de surprise et d’appréhension. Il sourit et se positionne. Il m’écarte le string et je sens son gland se poser contre mon trou.

« Attends -»

Sans me laisser continuer il fait pression et ma phrase se transforme en petit cri – de surprise plus que de douleur. Il continue de pousser. Sa verge est à présent à moitié enfoncée mais il continue jusqu’à la garde. Il s’arrête, s’immobilisant pour me laisser dilater. Il me sourit à nouveau.

« Voilà ce que j’attendais. Voilà ta place. »

Sur ce il commence les coups de reins, doucement puis de plus en plus vite. A peine quelques minutes en moi il me baise puissamment. Je gémis sans relâche. La douleur s’est effacée. Il s’appuie contre le dossier du canapé entre mes cuisses. Je regarde vers le bas. Mes petites boules font écho au tapement des siennes contre ma peau. Ma verge est raide. Je commence à me branler.

« Doucement petite, j’ai pas encore fini avec toi ! » Sa voix est haletante, toujours excitée.

Enfin, il se désengage. Sans attendre, il me retourne, me cambre contre le canapé, puis se positionne à nouveau. Tandis qu’il me pénètre il me plaque contre le meuble. Je cambre mes fesses pour lui faciliter l’entrée. A nouveau il me baise. Cette fois je ne peux me masturber. Je suis près de la jouissance. Mon string remonte toujours contre ma peau, frottant contre sa verge qui me lime. Je sens le sperme sécher sur mon visage. Je veux qu’il jouisse en moi. Mais il n’a pas encore fini. Il se dégage à nouveau. Cette fois il me veut sur lui. Je descends sur sa queue. Je glisse du haut vers le bas. De nouveau je me masturbe. Je sais qu’il ne voudra pas de ma semence sur lui alors je me retiens. Il me tient fermement par les hanches et guide mon mouvement. Il me claque la fesse. Mon pubis imberbe contraste contre le sien, velu.

Il n’a pas envie de finir ainsi, il veut contrôler. Nous nous plaçons de nouveau prêt de la fenêtre. Je me cambre, m’appuyant au bord. Il me prend une dernière fois. Cette fois je jouis au contacte de sa verge. Puis c’est à son tour, après quelques coups de hanches forts. Je me sens empli de sa semence. Il me donne une dernière fessée.