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Récit érotique écrit par Anonyme [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2006 dans la catégorie Dominants et dominés
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Je savais qu'Élise serait à l'heure. M'amuser avec elle dans sa cave était une source de plaisir immense, mais j'aimais le confort de mon appartement et j'y savais que je serais plus tranquille. En plus, j'avais préparé à mon jouet sexuel une petite surprise qu'elle ne serait pas prête d'oublier.
Lorsqu'elle sonna à la porte, je ne pus retenir un sourire. Lentement, je tournais la serrure : je voulais profiter de chaque seconde. Elle était là, dans la même tenue qu'hier : cette robe noire très courte qui lui dénudée les épaules et les cuisses. Elle avait de nouveau chaussé ses bottes noires. De plus, comme je le lui avais intimé, elle s'était maquillée et coiffée. Une ravissante petite pute.
- Très bien Élise, tu es en beauté. Entre.
Comme elle s'exécutait, je la laissai passer devant moi.
- Tu t'es fait belle pour te faire sauter ?
La honte que je lus sur son visage était mêlée à un autre sentiment. J'avais vraiment tiré le gros lot, mais j'allais bientôt savoir à quel point ces jeux de soumission lui plaisaient. Je lui fis signe d'avancer dans la salle. Elle regardait autour d'elle, découvrant le décorum de mon appartement. Elle arriva dans la pièce et poussa un petit cri de stupeur. C'est à ce moment que je verrouillai la porte bruyamment. Je voulais qu'elle sente qu'elle était prise au piège.
- Qu'y a t'il Élise ? Fis-je d'un ton faussement inquiet en me dirigeant dans la salle.
- Ce n'est rien Momo, répondit Jean-Pierre, tranquillement installé dans le canapé et sirotant une bière. Je crois qu'elle est un peu surprise de me trouver là. C'est ça Élise ? Tu permets que je t'appelle Élise et que je te tutoie, n'est-ce pas ? Je la regardais : elle venait de comprendre ce qui allait se passer. Elle se trouvait en face d'un autre collègue de son mari, qui plus est, un homme vicieux précédé d'une réputation de coureur invétéré. Et comme lui détestait le mari d'Élise, la possibilité de l'utiliser comme un jouet l'excitait au plus haut point.
- Elle est trop timide pour te répondre... fis-je en m'approchant d'elle.
Je lui mis la main aux seins et commençait à la malaxer en le regardant. Élise se débattit et fit mine de s'enfuir vers la porte.
- Ne me dis pas que tu n'es pas excitée par la situation, Élise. (Elle s'arrêta net) Je me suis peut-être trompé à ton sujet… mais je ne crois pas… Elle revint vers moi et se plaça de sorte que Jean-Pierre ne puisse pas la voir.
-Je veux bien faire ce que vous voulez, mais lui doit partir, dit-elle en me regardant dans les yeux. Elle était encore rebelle. Cela me fit bander encore un peu plus. Bientôt, elle serait notre petite pute et rien de ce qu'elle dirait n'allait changer cela. - Je ne suis pas certain que tu aies bien saisi ce qui va se passer ici, fis-je. A partir de maintenant, tu ne parles que si nous t'adressons la parole. Et tu feras tout ce que je te dirai… et tout ce que Jean-Pierre te dira…
Puis je m'asseyais à côté de mon ami, la laissant debout devant nous.
- Tu ne trouves pas qu'elle est belle habillée comme ça ?
- J'en bande déjà… (La regardant) approche un peu ma jolie.
Élise le toisa du regard mais fit un pas vers lui. Elle s'avança jusqu'à ce que son genou touche le sien. Jean-Pierre caressa la bottine et remonta jusqu’aux genoux. Lorsqu'il toucha la peau dénudée, je vis Élise frémir.
- Et dire que tu as l'air toute gentille le reste du temps , Pas évident de deviner que tu es une petite salope… (Arrivé au niveau du genou, il remonta sa main qui disparut sous la robe) Écarte un peu les jambes que je m'amuse avec toi.
Élise desserra les cuisses et le bras de Jean-Pierre disparut sous la robe. En allumant une cigarette je fixai le visage d'Élise au fur et à mesure que mon ami la branlait. Elle tentait de dissimuler son plaisir, mais je voyais sa poitrine se soulever de plus en plus rapidement.
- C'est fou, elle mouille déjà… fit il en continuant sa branlette. On va bien s'amuser avec toi.
- Elle a une bouche superbe, fis-je, histoire de la gêner un peu plus.
- Ca va me botter de me vider dans sa petite gueule. - Et elle avale tout…
A ce moment, Élise poussa un gémissement de plaisir. Jean-Pierre sourit.
- Eh bien, tu es très mal élevée Élise. On ne t'a pas dit que tu ne dois pas jouir sans qu'on t'y ait autorisée.
Tout en la grondant, il lui massait la chatte de plus en plus profondément. La jeune femme poussa un nouveau gémissement.
- Tu es vraiment une salope Élise…
- Dis-le, fis-je. Dis que tu n'es qu'une petite pute avec laquelle nous allons nous amuser…
Elle lâcha un nouveau gémissement.
- Je ne.. Je ne suis qu'une… petite pute…
- Et tu aimes ce que je fais ? demanda Jean-Pierre la main enfouie sous la robe.
- Oui… J'ai… J'aime ce que vous me faites…
De l'autre main, Jean-Pierre releva le bas de la robe. Une bonne partie de sa main avait disparu dans sa chatte. Il continua ses allers et venues jusqu'à ce qu'elle jouisse devant nous. Puis, il retira sa main et l'essuya sur sa robe, laissant des traînées de mouilles sur le tissu noir. Jean-Pierre se leva, s'approcha d'Élise et l'embrassa à pleine bouche. Il s'amusa avec sa langue quelques instants puis se recula et lui cracha un gros mollard à la gueule. Élise sursauta sous l'insulte et voulut porter la main à son visage pour s'essuyer, mais Jean-Pierre l'en empêcha.
- tu es vraiment une petite roulure… C'est tout ce que tu mérites. Et puis dis toi que la prochaine fois ce ne sera pas un crachat qui coulera sur ta bouche. Je regardais la scène en souriant : mon ami était vraiment un sadique. Nous allions la faire ramper et la briser.
- Avale mon crachat Élise…
Élise me lança un regard éploré, mais pour toute réponse je tirai une taffe sur ma cigarette. Elle sortit sa langue, attrapa le mollard et l'avala. - Tu avais raison Momo, me fit Jean-Pierre, elle avale n'importe quoi.
En rigolant, Jean-Pierre souleva la robe et lui donna une claque sur les fesses.
- allez, va nous chercher à boire…
Elle s'éloigna, nous laissant discuter. Je l'imaginais se dirigeant vers la cuisine, ravalant ses larmes. Bientôt je la vis revenir avec le plateau que j'avais préparé. Jean-Pierre et moi nous trouvions assis à la table, en train de jouer aux cartes. Elle posa le plateau avec les bières.
- Est-ce que tu t'y connais en cartes Élise, lui demandai-je.
- Parce que Momo et moi allons jouer à un petit jeu… continua Jean-Pierre sans la laisser répondre. Celui qui gagne sera le premier à s'amuser avec toi… Bien évidemment, il pourra faire tout ce qu'il veut…
- Tu es d'accord bien sûr ?
Élise nous regarda à tour de rôle : à ce moment précis j'avais une envie folle de la gifler et de la violer. Mais il fallait que nous prenions notre temps.
- je suis d'accord, fit-elle en baissant les yeux.
- Agenouille toi pendant que nous jouons… fit Jean-Pierre sans même la regarder.
Je commençais à distribuer les cartes. Du coin de l'œil je la voyais s'abaisser et se mettre à genoux. Jean-Pierre, faussement concentré sur son jeu, ajouta :
- retire ta robe et garde tes bottes… Je veux te voir à poil…
Elle hésita une seconde tandis que nous commencions la partie puis releva les bras et ôta sa robe noire.
- mets tes mains derrière la tête…
Une fois encore elle obéit. A genoux, uniquement vêtue de ces bottes, elle restait immobile tandis que nous parlions d'elle comme si elle n'était pas là. Je savais à quel point la situation était humiliante pour elle.
- Elle a un peu de bide, tu ne trouves pas ? fit Jean-Pierre en posant une carte.
- Oui, mais qu'est-ce qu'elle suce bien. Elle a une petite langue qui s'enroule autour de ta bite… Tu vas voir, un délice…
- Arrête de parler comme ça d'elle, ça l'excite je suis sûr, fit Jean-Pierre en souriant.
La partie s'éternisait : nous parlions devant elle du plaisir que nous allions avoir à la baiser à tour de rôle, comment nous allions l'utiliser. Pourtant le temps passait et nous n'en faisions rien. Elle restait là, à genoux, nue à côté de nous, sans que nous la touchions.
- T'as remarqué comme ces bouts de seins pointent ?
- Oui, pourtant il ne fait pas froid ici, ajoutai-je en ramassant les cartes. Tu crois qu'elle est excitée ?
Nous éclatâmes de rire. Je distribuais les cartes pour une nouvelle partie.
- S'il vous plait, fit elle.
Je regardais Jean-Pierre.
- Elle a parlé ?
- Je crois oui, fit-il en se tournant vers elle. Qu'est-ce qu'il y a Élise ?
- Je… J'ai mal aux genoux… fit-elle les larmes aux yeux.
JP me regarda en souriant : cela faisait plus d'une heure et demie qu'elle était là, immobile. - Et alors ?
- Laissez moi m'asseoir, s'il vous plait.
- Tu me demandes une faveur petite salope ? C'est ça ?
- Je serai gentille avec vous si vous me laissez m'asseoir.
Jean-Pierre s'approcha d'elle et la saisit par les tétons, jouant avec ses bouts les caressant doucement puis les pinçant durement. La salope gémissait comme une chienne. Jean-Pierre regardait ses seins. Je savais qu'il avait envie de se la payer depuis le début.
- Espèce de salope, fit-il en la prenant par les cheveux et en la poussant sur le canapé. Je vais te montrer comment tu vas être gentille. Elle poussa un cri lorsqu'elle se retrouva à quatre pattes contre le canapé. Jean-Pierre ouvrit sa braguette, sortir son sexe et se posa à l'entrée de sa chatte. Dans un dernier sursaut de sadisme, il se retint, se contentant de glisser son gland à l'entrée de la chatte de la salope.
- tu veux quelques chose peut-être ? fit-il amusé. Elle faisait aller et venir son bassin, mais Jean-Pierre se reculait à chaque fois, l'empêchant ainsi de se faire sauter.
- Prenez moi, fit elle au bout d'un moment.
Jean-Pierre la tira par les cheveux et lui mollarda de nouveau au visage.
- Qu'est-ce que tu as dit petite pute ?
- Prenez-moi, fit-elle plus fort en cherchant à avaler le crachat avec sa langue.
- Je ne comprends pas ce que tu veux dire.
- Baisez-moi… Défoncez moi…
- Dis moi que tu veux être violée…
- Vio…Violez moi…
Jean-Pierre s'enfonça brutalement en elle, la clouant sur le canapé. Il enfonça son visage dans un coussin et commença à la ramoner vigoureusement tout en l'insultant. Élise jouissait, poussait des cris de douleur chaque fois qu'il lui tirait les cheveux en arrière pour voir son visage. Brusquement, il se retira, la queue luisant de mouille. Élise se retourna vers lui, haletante. - Baise moi…
Avec un sourire amusé, Jean-Pierre lui dit :
- Remets toi en position et supplie moi salope.
Élise se tourna, enfonça d'elle même son visage dans le canapé.
- Baise moi, dit elle en se cambrant. Jean-Pierre défit sa ceinture et lui fouetta les fesses un grand coup.
- Je suis sur que tu peux supplier mieux que ça…. - Je t'en supplie, prends moi… Pour toute réponse, Jean-Pierre donna un nouveau coup de ceinture.
- J'ai très envie de te la mettre dans le cul… La tête dans le divan. Elle poussa un gémissement. Jean-Pierre eut un sourire mauvais. Il la prit par les fesses, les écarta, cracha un gros mollard dans sa raie et se positionna.
- Montre moi sa petite gueule pendant que tu l'encules, fis-je. Je veux voir son expression en se prenant une bite dans le cul. Jean-Pierre la tira par les cheveux tout en s'enfonçant dans son anus. Elle se redressa et cria, mais Jean pierre appuya sur sa nuque en la pénétrant, s'arrangeant pour que son visage soit toujours dans ma direction. Le plus violemment possible, il l'enculait. Son visage passait lentement d'une expression de douleur à une expression d'extase. Elle se mit à gémir. Tout en la pistonnant, il enfonça deux doigts dans sa bouche. Elle se mit à les sucer bruyamment.
- Ca te plait salope ?
Élise ouvrit la bouche pour parler, mais son " oui " était étouffé par les doigts de Jean-Pierre. Lorsqu'il fut sur le point de jouir, il la prit par les cheveux et se masturba devant son visage. Il lui juta sur la gueule. Les traînées blanchâtres s'étalèrent sur son visage. Elle ferma les yeux, la bouche entrouverte. Pour le dernier jet, Jean-Pierre visa ses lèvres et par plaisir, la jeune femme lécha tout ce qu'elle pouvait.
-Pendant que tu y es, nettoie ma queue fit JP en s'enfonçant dans sa bouche. Il attendit quelques instants durant lesquels elle commençait à le sucer avant d'ajouter :
- elle sent la merde… Élise continue sa fellation un moment. Jean-Pierre se regardait entrer et sortir de sa jolie bouche. Mon tour arrivait.
Élise était là haletante. Jean-Pierre remontait sa braguette en se redressant, laissant la jeune femme à quatre pattes contre le canapé.
- Elle est très bonne à enculer, me fit-il. Vas y, je lui ai bien défoncé le cul, mais je suis sûr que ça la botterait encore de se faire défoncer… pas vraie petite chienne ? Je la regardais, la bouche tuméfiée par la fellation qu'elle venait de prodiguer, l'anus rougi par la violente sodomie de JP. L'envie de m'enfoncer en elle me taraudait, mais je tenais à l'humilier.
- Tu es vraiment une salope Élise. Tu en veux encore ? Elle releva la tête, la bouche entrouverte.
-Rampe vers moi, lui fis-je en me déboutonnant. Je la vis se mettre à quatre pattes et approcher de mes jambes.
-Tu sais ce qu'il te reste à faire n'est-ce pas ?
Jean-Pierre souriait en la voyant baisser mon pantalon et glisser sa langue sur mon sexe. Bientôt elle m'engloutit tout au fond. Je la laissai faire pendant quelques instants avant de faire un clin d'œil à Jean-Pierre. Ce dernier sortit son téléphone portable, composa un numéro, puis me tendit l'appareil.
-Continue de sucer petite pute, fis-je en voyant Élise relever la tête. J'ai quelques mots à dire à ton mari. Comme si la situation l'avait excitée, elle se remit à lécher ma bite, passant sa langue dans tous les recoins, alternant la vitesse.
-Salut mon vieux, fis-je en entendant la voix de son mari. Oui, c'est ça… Tiens écoute… J'approchais le téléphone de sa femme : tous les bruits de succion lui parvenaient sans peine.
-Elle suce très bien. Tu devrais voir comment ma bite lui déforme sa jolie petite gueule. Mais ce n'est pas pour ça que je t'appelle : voilà, je sais que tu m'as donné les pleins pouvoirs sur ta femme, mais je voudrais que tu lui fasses répéter à haute voix le petit règlement que nous avons rédigé ensemble. Je regardais Élise.
-Arrête de sucer salope. Je te défoncerai la gueule plus tard. Ton mari veut te parler. Je lui tendis le téléphone. La voir à genoux, la bouche gonflée par la pipe qu'elle me faisait, en train de parler à son mari était très excitant. Jean-Pierre avait ressorti sa bite lui aussi.
- Oui, fit-elle, reprenant les termes de son mari. Oui, j'obéirai à tous les ordres de Monsieur A…. et aux ordres de ses amis… je serai punie si je lui désobéis… je ne suis qu'une petite salope qui mérite d'être baisée et soumise… je suis une chienne… Elle raccrocha. Se tournant vers moi, elle murmura :
- Que désirez vous Monsieur A…
- Ah voilà comment une petite pute doit parler à son maître… fis-je en souriant. Tu vas me finir… et puis j'aurai une course à te faire faire… Je la pris par les cheveux et m'enfonçais dans sa bouche le plus profondément possible. Tout en me faisant sucer je lui malaxais les seins. Lui torturer les pointes de nichons d'une main en lui maintenant la nuque était un plaisir extraordinaire. Elle poussait des petits cris et des gémissements où se mêlaient douleur et plaisir. Au bout d'un moment, je pressais sur sa nuque, lui baisant littéralement la bouche. Rapidement, je me mis à jouir dans sa petite gueule. Volontairement je laissais les dernières giclées tomber sur le sol. En faisant un clin d'œil à Jean-Pierre, je dis à Élise.
- Lèche le sperme petite salope. Lèche bien… Avec plaisir, je regardais sa langue glisser sur le sol, avalant les giclées de sperme. D'un geste, je posais mes pieds sur son dos.
- Reste à quatre pattes comme ça pendant un moment et écoute ce que j'ai à te dire. Connais tu notre voisin, Monsieur Christian ? Je vis son visage changer de couleur.
- Oui, fit-elle, mal assurée.
- Cambre toi mieux que ça… Il faut que je puisse voir ton cul… (Elle obéit immédiatement) Putain, tu ne l'as pas loupé Jean-Pierre… Elle a encore le trou du cul distendu… Jean-pierre éclata de rire. Élise baissa la tête.
- Que penses-tu de Monsieur Christian, Élise ?
- C'est un vieux… vicieux.
- Oh Élise, il n'est pas si vieux que cela… Il sera à la retraite dans deux ans… Bien. Figure toi que je dois une petite somme d'argent à monsieur Christian. Et comme je n'ai pas envie de le payer, c'est toi qui vas servir à annuler ma dette. Élise releva la tête dans ma direction.
- Tu as très bien compris. Tu vas remettre ta robe de petite pute, aller te remaquiller et tu vas aller sonner chez lui. Tu seras très, très gentille avec monsieur Christian. Et lorsque tu reviendras, ma dette sera annulée… Tu n'oublies pas ce qu'a dit ton mari n'est-ce pas Élise ? Sans attendre sa réponse, je la repoussais du pied. Elle roula sur le sol. Jean-Pierre se tint au dessus d'elle. Il la prit par les cheveux et l'obligea à se redresser.
- N'oublie pas ta robe de petite pute… fit-il en la lui lançant. Quelques minutes plus tard, elle sortait de l'appartement et traversait le couloir. J'avoue que je m'étais demandé si elle allait obéir. J'avais demandé à son mari ce qu'elle pensait de monsieur Christian, et elle l'avait toujours détesté. C'était un homme qui vivait seul et matait toutes les femmes de l'immeuble d'une façon vraiment indécente. Bien sûr, nous avions tout prévu et j'avais installé une caméra numérique dans le salon afin de ne rien perdre de leur entrevue. Par l'œilleton, je la regardais sonner à la porte. Sa petite robe noire dévoilait ses épaules et ses cuisses. Et avec ses petites bottes, elle avait tout d'une pute. Monsieur Christian allait adorer. Je savais qu'il se trouvait lui aussi derrière la porte, mais la faire patienter dans le hall, vêtue comme une pute, faisait partie du jeu. Après plus d'une minute d'attente, Élise fit mine de s'en aller et c'est à cet instant qu'il ouvrit la porte.
- que me vaut le plaisir, fit il avec un sourire vicieux avant de refermer la porte.
- Je suis là pour monsieur A. Christian la fit avancer dans son salon.
- Vous êtes vraiment jolie avec cette robe. Dommage qu'elle soit toute tachée… Élise ne répondit pas. Elle se contentait de baisser les yeux tandis que Christian tournait autour d'elle en souriant. Grâce au caméscope, je ne ratai pas une miette de la séance.
- D'ordinaire vous m'évitez et aujourd'hui vous sonnez à ma porte, vêtue comme la dernière des chiennes… Élise sursauta en entendant l'insulte. Je commençai à bien la connaître , elle adorait ça.
- Donc si vous venez ici, je suppose que vous avez l'argent que A. me doit ? Élise releva la tête vers Christian.
- Non, il m'a dit… que vous accepteriez un arrangement. Christian eut un sourire mauvais.
- Quel genre d'arrangement ?
- Le genre d'arrangement où j'obéirai à tous vos désirs… Il s'approcha d'elle, la fixant dans les yeux. Il passa une main dans les cheveux d'Élise et la fit glisser sur son visage, son cou.
- Tu veux dire, comme une gentille petite pute c'est ça ? Doucement, il amena son pouce devant la bouche d'Élise. Il s'enfonça entre ses lèvres comme elle faisait oui de la tête.
- une gentille petite salope qui mouille quand on l'insulte et qui aime se faire baiser comme une chienne ? Une nouvelle fois, elle fit oui doucement de la tête sans cesser de lui sucer le pouce.
- Tu as un bon coup de langue il paraît… Élise enroulait sa langue autour du pouce de Christian. Ce dernier s'amusait à lui palper les seins tout en faisant aller son doigt dans la bouche de la jeune femme. Il fit durer la situation, cherchant le regard d'Élise.
-Mais c'est vrai que tu suces comme une traînée… Puis, il s'attarda sur les seins un long moment. - C'est fou comme tes tétons sont durs sous la robe. Tu es déjà excitée à l'idée d'être mon esclave ? C'est très bien… On va peut-être pouvoir faire affaire ensemble. Élise gardait la tête baissée. Tout en parlant, Christian continuait de la palper comme un animal.
- Écoute, tu vas commencer par faire le ménage dans mon appartement. Tout l'attirail est derrière la porte. Et en ce qui concerne ta tenue, tu trouveras tout au même endroit. Élise hésitait. Christian s'approcha et reprit sa caresse au niveau des seins.
- Je n'aime pas répéter Élise. Simultanément, il se mit à pincer son sein droit. La jeune femme poussa un gémissement et tenta de se dérober, mais glissant une main sous la robe il la maintint contre lui.
- Tu as compris ?
- Oui monsieur.
- Non non, fit-il en glissant sa main au niveau de sa chatte. Je veux que tu m'appelles Maître Christian. Il enfonça un doigt dans son sexe humide.
- Bien maître Christian.
Lorsqu'elle revint quelques minutes plus tard, elle portait des talons aiguilles, une paire de DIM up noir et un tablier de soubrette.
- mais c'est très bien, dit Christian en éclatant de rire… Commence par nettoyer ça. Élise s'approcha de l'endroit que lui désignait son maître. Il s'agissait de petites flaques de sperme.
- Depuis ce matin, je n'arrête pas de me branler en pensant à ma petite salope obéissante. Il faut que tu nettoies tout ça…
- Bien maître, fit Élise en s'avançant avec un torchon. Christian la saisit par les cheveux et l'amena devant lui. Il glissa une main dans sa chatte et commença à la branler. Élise baissait la tête.
- Tu mouilles déjà… Une petite pute comme toi n'a pas besoin de torchon… Tu as une langue il me semble… Élise s'accroupit et s'approcha du sperme. Ainsi à quatre pattes, sa courte robe remontait sur ses cuisses. Tandis qu'elle commençait à laper le sol, Christian glissa sa chaussure entre ses jambes et lui frotta la chatte. Il contempla un instant sa chaussure dont le bout était taché de sa mouille. Lorsqu'elle releva la tête, le sperme étalé sur le sol avait disparu. Christian eut un sourire vicieux et approcha sa chaussure de la bouche de la jeune femme.
- Nettoie ça également , Figure toi qu'il y a des salopes qui se ne savent pas se tenir… Élise sortit sa langue et la fit glisser le long de la chaussure noire. Christian la regardait avec un sourire mauvais. La salive de la jeune femme passait sur le cuir noir de la chaussure. Christian la saisit par les cheveux :
- Il y a autre chose que tu vas pouvoir nettoyer petite pute… Il s'ouvrit son pantalon et en sortit un sexe bandé. Élise ne put retenir un haut le cœur devant l'odeur.
- Tu fais ta sainte nitouche ? S’amusa Christian en défaisant sa ceinture.
- Non maître, répondit Élise en avançant la bouche vers le sexe sale. Laissez moi prendre soin de vous. Sa langue sortit et glissa sur le gland. Christian regardait la bouche qui se distendait au fur et à mesure que son sexe la pénétrait. A ce moment, il entendit une clé jouer dans la porte. Élise releva la tête.
- Je ne crois pas t'avoir dit d'arrêter salope. Continue ton nettoyage ! Élise secoua la tête. Christian la maintint par les cheveux et la gifla violemment. La jeune femme tomba sur le sol, la courte robe dévoilant son sexe.
- Ce n'est que mon fils qui rentre. Eh Steph, regarde ce que j'ai pour toi… L'homme, âgé d'une trentaine d'années était le prototype du vieux garçon, tout aussi vicieux que son père. Élise l'évitait car elle avait toujours senti qu'il pourrait lui poser problème. De tout le petit groupe, il était vraiment le plus sadique d'entre nous. Le show ne faisait que commencer…
(à suivre)
Lorsqu'elle sonna à la porte, je ne pus retenir un sourire. Lentement, je tournais la serrure : je voulais profiter de chaque seconde. Elle était là, dans la même tenue qu'hier : cette robe noire très courte qui lui dénudée les épaules et les cuisses. Elle avait de nouveau chaussé ses bottes noires. De plus, comme je le lui avais intimé, elle s'était maquillée et coiffée. Une ravissante petite pute.
- Très bien Élise, tu es en beauté. Entre.
Comme elle s'exécutait, je la laissai passer devant moi.
- Tu t'es fait belle pour te faire sauter ?
La honte que je lus sur son visage était mêlée à un autre sentiment. J'avais vraiment tiré le gros lot, mais j'allais bientôt savoir à quel point ces jeux de soumission lui plaisaient. Je lui fis signe d'avancer dans la salle. Elle regardait autour d'elle, découvrant le décorum de mon appartement. Elle arriva dans la pièce et poussa un petit cri de stupeur. C'est à ce moment que je verrouillai la porte bruyamment. Je voulais qu'elle sente qu'elle était prise au piège.
- Qu'y a t'il Élise ? Fis-je d'un ton faussement inquiet en me dirigeant dans la salle.
- Ce n'est rien Momo, répondit Jean-Pierre, tranquillement installé dans le canapé et sirotant une bière. Je crois qu'elle est un peu surprise de me trouver là. C'est ça Élise ? Tu permets que je t'appelle Élise et que je te tutoie, n'est-ce pas ? Je la regardais : elle venait de comprendre ce qui allait se passer. Elle se trouvait en face d'un autre collègue de son mari, qui plus est, un homme vicieux précédé d'une réputation de coureur invétéré. Et comme lui détestait le mari d'Élise, la possibilité de l'utiliser comme un jouet l'excitait au plus haut point.
- Elle est trop timide pour te répondre... fis-je en m'approchant d'elle.
Je lui mis la main aux seins et commençait à la malaxer en le regardant. Élise se débattit et fit mine de s'enfuir vers la porte.
- Ne me dis pas que tu n'es pas excitée par la situation, Élise. (Elle s'arrêta net) Je me suis peut-être trompé à ton sujet… mais je ne crois pas… Elle revint vers moi et se plaça de sorte que Jean-Pierre ne puisse pas la voir.
-Je veux bien faire ce que vous voulez, mais lui doit partir, dit-elle en me regardant dans les yeux. Elle était encore rebelle. Cela me fit bander encore un peu plus. Bientôt, elle serait notre petite pute et rien de ce qu'elle dirait n'allait changer cela. - Je ne suis pas certain que tu aies bien saisi ce qui va se passer ici, fis-je. A partir de maintenant, tu ne parles que si nous t'adressons la parole. Et tu feras tout ce que je te dirai… et tout ce que Jean-Pierre te dira…
Puis je m'asseyais à côté de mon ami, la laissant debout devant nous.
- Tu ne trouves pas qu'elle est belle habillée comme ça ?
- J'en bande déjà… (La regardant) approche un peu ma jolie.
Élise le toisa du regard mais fit un pas vers lui. Elle s'avança jusqu'à ce que son genou touche le sien. Jean-Pierre caressa la bottine et remonta jusqu’aux genoux. Lorsqu'il toucha la peau dénudée, je vis Élise frémir.
- Et dire que tu as l'air toute gentille le reste du temps , Pas évident de deviner que tu es une petite salope… (Arrivé au niveau du genou, il remonta sa main qui disparut sous la robe) Écarte un peu les jambes que je m'amuse avec toi.
Élise desserra les cuisses et le bras de Jean-Pierre disparut sous la robe. En allumant une cigarette je fixai le visage d'Élise au fur et à mesure que mon ami la branlait. Elle tentait de dissimuler son plaisir, mais je voyais sa poitrine se soulever de plus en plus rapidement.
- C'est fou, elle mouille déjà… fit il en continuant sa branlette. On va bien s'amuser avec toi.
- Elle a une bouche superbe, fis-je, histoire de la gêner un peu plus.
- Ca va me botter de me vider dans sa petite gueule. - Et elle avale tout…
A ce moment, Élise poussa un gémissement de plaisir. Jean-Pierre sourit.
- Eh bien, tu es très mal élevée Élise. On ne t'a pas dit que tu ne dois pas jouir sans qu'on t'y ait autorisée.
Tout en la grondant, il lui massait la chatte de plus en plus profondément. La jeune femme poussa un nouveau gémissement.
- Tu es vraiment une salope Élise…
- Dis-le, fis-je. Dis que tu n'es qu'une petite pute avec laquelle nous allons nous amuser…
Elle lâcha un nouveau gémissement.
- Je ne.. Je ne suis qu'une… petite pute…
- Et tu aimes ce que je fais ? demanda Jean-Pierre la main enfouie sous la robe.
- Oui… J'ai… J'aime ce que vous me faites…
De l'autre main, Jean-Pierre releva le bas de la robe. Une bonne partie de sa main avait disparu dans sa chatte. Il continua ses allers et venues jusqu'à ce qu'elle jouisse devant nous. Puis, il retira sa main et l'essuya sur sa robe, laissant des traînées de mouilles sur le tissu noir. Jean-Pierre se leva, s'approcha d'Élise et l'embrassa à pleine bouche. Il s'amusa avec sa langue quelques instants puis se recula et lui cracha un gros mollard à la gueule. Élise sursauta sous l'insulte et voulut porter la main à son visage pour s'essuyer, mais Jean-Pierre l'en empêcha.
- tu es vraiment une petite roulure… C'est tout ce que tu mérites. Et puis dis toi que la prochaine fois ce ne sera pas un crachat qui coulera sur ta bouche. Je regardais la scène en souriant : mon ami était vraiment un sadique. Nous allions la faire ramper et la briser.
- Avale mon crachat Élise…
Élise me lança un regard éploré, mais pour toute réponse je tirai une taffe sur ma cigarette. Elle sortit sa langue, attrapa le mollard et l'avala. - Tu avais raison Momo, me fit Jean-Pierre, elle avale n'importe quoi.
En rigolant, Jean-Pierre souleva la robe et lui donna une claque sur les fesses.
- allez, va nous chercher à boire…
Elle s'éloigna, nous laissant discuter. Je l'imaginais se dirigeant vers la cuisine, ravalant ses larmes. Bientôt je la vis revenir avec le plateau que j'avais préparé. Jean-Pierre et moi nous trouvions assis à la table, en train de jouer aux cartes. Elle posa le plateau avec les bières.
- Est-ce que tu t'y connais en cartes Élise, lui demandai-je.
- Parce que Momo et moi allons jouer à un petit jeu… continua Jean-Pierre sans la laisser répondre. Celui qui gagne sera le premier à s'amuser avec toi… Bien évidemment, il pourra faire tout ce qu'il veut…
- Tu es d'accord bien sûr ?
Élise nous regarda à tour de rôle : à ce moment précis j'avais une envie folle de la gifler et de la violer. Mais il fallait que nous prenions notre temps.
- je suis d'accord, fit-elle en baissant les yeux.
- Agenouille toi pendant que nous jouons… fit Jean-Pierre sans même la regarder.
Je commençais à distribuer les cartes. Du coin de l'œil je la voyais s'abaisser et se mettre à genoux. Jean-Pierre, faussement concentré sur son jeu, ajouta :
- retire ta robe et garde tes bottes… Je veux te voir à poil…
Elle hésita une seconde tandis que nous commencions la partie puis releva les bras et ôta sa robe noire.
- mets tes mains derrière la tête…
Une fois encore elle obéit. A genoux, uniquement vêtue de ces bottes, elle restait immobile tandis que nous parlions d'elle comme si elle n'était pas là. Je savais à quel point la situation était humiliante pour elle.
- Elle a un peu de bide, tu ne trouves pas ? fit Jean-Pierre en posant une carte.
- Oui, mais qu'est-ce qu'elle suce bien. Elle a une petite langue qui s'enroule autour de ta bite… Tu vas voir, un délice…
- Arrête de parler comme ça d'elle, ça l'excite je suis sûr, fit Jean-Pierre en souriant.
La partie s'éternisait : nous parlions devant elle du plaisir que nous allions avoir à la baiser à tour de rôle, comment nous allions l'utiliser. Pourtant le temps passait et nous n'en faisions rien. Elle restait là, à genoux, nue à côté de nous, sans que nous la touchions.
- T'as remarqué comme ces bouts de seins pointent ?
- Oui, pourtant il ne fait pas froid ici, ajoutai-je en ramassant les cartes. Tu crois qu'elle est excitée ?
Nous éclatâmes de rire. Je distribuais les cartes pour une nouvelle partie.
- S'il vous plait, fit elle.
Je regardais Jean-Pierre.
- Elle a parlé ?
- Je crois oui, fit-il en se tournant vers elle. Qu'est-ce qu'il y a Élise ?
- Je… J'ai mal aux genoux… fit-elle les larmes aux yeux.
JP me regarda en souriant : cela faisait plus d'une heure et demie qu'elle était là, immobile. - Et alors ?
- Laissez moi m'asseoir, s'il vous plait.
- Tu me demandes une faveur petite salope ? C'est ça ?
- Je serai gentille avec vous si vous me laissez m'asseoir.
Jean-Pierre s'approcha d'elle et la saisit par les tétons, jouant avec ses bouts les caressant doucement puis les pinçant durement. La salope gémissait comme une chienne. Jean-Pierre regardait ses seins. Je savais qu'il avait envie de se la payer depuis le début.
- Espèce de salope, fit-il en la prenant par les cheveux et en la poussant sur le canapé. Je vais te montrer comment tu vas être gentille. Elle poussa un cri lorsqu'elle se retrouva à quatre pattes contre le canapé. Jean-Pierre ouvrit sa braguette, sortir son sexe et se posa à l'entrée de sa chatte. Dans un dernier sursaut de sadisme, il se retint, se contentant de glisser son gland à l'entrée de la chatte de la salope.
- tu veux quelques chose peut-être ? fit-il amusé. Elle faisait aller et venir son bassin, mais Jean-Pierre se reculait à chaque fois, l'empêchant ainsi de se faire sauter.
- Prenez moi, fit elle au bout d'un moment.
Jean-Pierre la tira par les cheveux et lui mollarda de nouveau au visage.
- Qu'est-ce que tu as dit petite pute ?
- Prenez-moi, fit-elle plus fort en cherchant à avaler le crachat avec sa langue.
- Je ne comprends pas ce que tu veux dire.
- Baisez-moi… Défoncez moi…
- Dis moi que tu veux être violée…
- Vio…Violez moi…
Jean-Pierre s'enfonça brutalement en elle, la clouant sur le canapé. Il enfonça son visage dans un coussin et commença à la ramoner vigoureusement tout en l'insultant. Élise jouissait, poussait des cris de douleur chaque fois qu'il lui tirait les cheveux en arrière pour voir son visage. Brusquement, il se retira, la queue luisant de mouille. Élise se retourna vers lui, haletante. - Baise moi…
Avec un sourire amusé, Jean-Pierre lui dit :
- Remets toi en position et supplie moi salope.
Élise se tourna, enfonça d'elle même son visage dans le canapé.
- Baise moi, dit elle en se cambrant. Jean-Pierre défit sa ceinture et lui fouetta les fesses un grand coup.
- Je suis sur que tu peux supplier mieux que ça…. - Je t'en supplie, prends moi… Pour toute réponse, Jean-Pierre donna un nouveau coup de ceinture.
- J'ai très envie de te la mettre dans le cul… La tête dans le divan. Elle poussa un gémissement. Jean-Pierre eut un sourire mauvais. Il la prit par les fesses, les écarta, cracha un gros mollard dans sa raie et se positionna.
- Montre moi sa petite gueule pendant que tu l'encules, fis-je. Je veux voir son expression en se prenant une bite dans le cul. Jean-Pierre la tira par les cheveux tout en s'enfonçant dans son anus. Elle se redressa et cria, mais Jean pierre appuya sur sa nuque en la pénétrant, s'arrangeant pour que son visage soit toujours dans ma direction. Le plus violemment possible, il l'enculait. Son visage passait lentement d'une expression de douleur à une expression d'extase. Elle se mit à gémir. Tout en la pistonnant, il enfonça deux doigts dans sa bouche. Elle se mit à les sucer bruyamment.
- Ca te plait salope ?
Élise ouvrit la bouche pour parler, mais son " oui " était étouffé par les doigts de Jean-Pierre. Lorsqu'il fut sur le point de jouir, il la prit par les cheveux et se masturba devant son visage. Il lui juta sur la gueule. Les traînées blanchâtres s'étalèrent sur son visage. Elle ferma les yeux, la bouche entrouverte. Pour le dernier jet, Jean-Pierre visa ses lèvres et par plaisir, la jeune femme lécha tout ce qu'elle pouvait.
-Pendant que tu y es, nettoie ma queue fit JP en s'enfonçant dans sa bouche. Il attendit quelques instants durant lesquels elle commençait à le sucer avant d'ajouter :
- elle sent la merde… Élise continue sa fellation un moment. Jean-Pierre se regardait entrer et sortir de sa jolie bouche. Mon tour arrivait.
Élise était là haletante. Jean-Pierre remontait sa braguette en se redressant, laissant la jeune femme à quatre pattes contre le canapé.
- Elle est très bonne à enculer, me fit-il. Vas y, je lui ai bien défoncé le cul, mais je suis sûr que ça la botterait encore de se faire défoncer… pas vraie petite chienne ? Je la regardais, la bouche tuméfiée par la fellation qu'elle venait de prodiguer, l'anus rougi par la violente sodomie de JP. L'envie de m'enfoncer en elle me taraudait, mais je tenais à l'humilier.
- Tu es vraiment une salope Élise. Tu en veux encore ? Elle releva la tête, la bouche entrouverte.
-Rampe vers moi, lui fis-je en me déboutonnant. Je la vis se mettre à quatre pattes et approcher de mes jambes.
-Tu sais ce qu'il te reste à faire n'est-ce pas ?
Jean-Pierre souriait en la voyant baisser mon pantalon et glisser sa langue sur mon sexe. Bientôt elle m'engloutit tout au fond. Je la laissai faire pendant quelques instants avant de faire un clin d'œil à Jean-Pierre. Ce dernier sortit son téléphone portable, composa un numéro, puis me tendit l'appareil.
-Continue de sucer petite pute, fis-je en voyant Élise relever la tête. J'ai quelques mots à dire à ton mari. Comme si la situation l'avait excitée, elle se remit à lécher ma bite, passant sa langue dans tous les recoins, alternant la vitesse.
-Salut mon vieux, fis-je en entendant la voix de son mari. Oui, c'est ça… Tiens écoute… J'approchais le téléphone de sa femme : tous les bruits de succion lui parvenaient sans peine.
-Elle suce très bien. Tu devrais voir comment ma bite lui déforme sa jolie petite gueule. Mais ce n'est pas pour ça que je t'appelle : voilà, je sais que tu m'as donné les pleins pouvoirs sur ta femme, mais je voudrais que tu lui fasses répéter à haute voix le petit règlement que nous avons rédigé ensemble. Je regardais Élise.
-Arrête de sucer salope. Je te défoncerai la gueule plus tard. Ton mari veut te parler. Je lui tendis le téléphone. La voir à genoux, la bouche gonflée par la pipe qu'elle me faisait, en train de parler à son mari était très excitant. Jean-Pierre avait ressorti sa bite lui aussi.
- Oui, fit-elle, reprenant les termes de son mari. Oui, j'obéirai à tous les ordres de Monsieur A…. et aux ordres de ses amis… je serai punie si je lui désobéis… je ne suis qu'une petite salope qui mérite d'être baisée et soumise… je suis une chienne… Elle raccrocha. Se tournant vers moi, elle murmura :
- Que désirez vous Monsieur A…
- Ah voilà comment une petite pute doit parler à son maître… fis-je en souriant. Tu vas me finir… et puis j'aurai une course à te faire faire… Je la pris par les cheveux et m'enfonçais dans sa bouche le plus profondément possible. Tout en me faisant sucer je lui malaxais les seins. Lui torturer les pointes de nichons d'une main en lui maintenant la nuque était un plaisir extraordinaire. Elle poussait des petits cris et des gémissements où se mêlaient douleur et plaisir. Au bout d'un moment, je pressais sur sa nuque, lui baisant littéralement la bouche. Rapidement, je me mis à jouir dans sa petite gueule. Volontairement je laissais les dernières giclées tomber sur le sol. En faisant un clin d'œil à Jean-Pierre, je dis à Élise.
- Lèche le sperme petite salope. Lèche bien… Avec plaisir, je regardais sa langue glisser sur le sol, avalant les giclées de sperme. D'un geste, je posais mes pieds sur son dos.
- Reste à quatre pattes comme ça pendant un moment et écoute ce que j'ai à te dire. Connais tu notre voisin, Monsieur Christian ? Je vis son visage changer de couleur.
- Oui, fit-elle, mal assurée.
- Cambre toi mieux que ça… Il faut que je puisse voir ton cul… (Elle obéit immédiatement) Putain, tu ne l'as pas loupé Jean-Pierre… Elle a encore le trou du cul distendu… Jean-pierre éclata de rire. Élise baissa la tête.
- Que penses-tu de Monsieur Christian, Élise ?
- C'est un vieux… vicieux.
- Oh Élise, il n'est pas si vieux que cela… Il sera à la retraite dans deux ans… Bien. Figure toi que je dois une petite somme d'argent à monsieur Christian. Et comme je n'ai pas envie de le payer, c'est toi qui vas servir à annuler ma dette. Élise releva la tête dans ma direction.
- Tu as très bien compris. Tu vas remettre ta robe de petite pute, aller te remaquiller et tu vas aller sonner chez lui. Tu seras très, très gentille avec monsieur Christian. Et lorsque tu reviendras, ma dette sera annulée… Tu n'oublies pas ce qu'a dit ton mari n'est-ce pas Élise ? Sans attendre sa réponse, je la repoussais du pied. Elle roula sur le sol. Jean-Pierre se tint au dessus d'elle. Il la prit par les cheveux et l'obligea à se redresser.
- N'oublie pas ta robe de petite pute… fit-il en la lui lançant. Quelques minutes plus tard, elle sortait de l'appartement et traversait le couloir. J'avoue que je m'étais demandé si elle allait obéir. J'avais demandé à son mari ce qu'elle pensait de monsieur Christian, et elle l'avait toujours détesté. C'était un homme qui vivait seul et matait toutes les femmes de l'immeuble d'une façon vraiment indécente. Bien sûr, nous avions tout prévu et j'avais installé une caméra numérique dans le salon afin de ne rien perdre de leur entrevue. Par l'œilleton, je la regardais sonner à la porte. Sa petite robe noire dévoilait ses épaules et ses cuisses. Et avec ses petites bottes, elle avait tout d'une pute. Monsieur Christian allait adorer. Je savais qu'il se trouvait lui aussi derrière la porte, mais la faire patienter dans le hall, vêtue comme une pute, faisait partie du jeu. Après plus d'une minute d'attente, Élise fit mine de s'en aller et c'est à cet instant qu'il ouvrit la porte.
- que me vaut le plaisir, fit il avec un sourire vicieux avant de refermer la porte.
- Je suis là pour monsieur A. Christian la fit avancer dans son salon.
- Vous êtes vraiment jolie avec cette robe. Dommage qu'elle soit toute tachée… Élise ne répondit pas. Elle se contentait de baisser les yeux tandis que Christian tournait autour d'elle en souriant. Grâce au caméscope, je ne ratai pas une miette de la séance.
- D'ordinaire vous m'évitez et aujourd'hui vous sonnez à ma porte, vêtue comme la dernière des chiennes… Élise sursauta en entendant l'insulte. Je commençai à bien la connaître , elle adorait ça.
- Donc si vous venez ici, je suppose que vous avez l'argent que A. me doit ? Élise releva la tête vers Christian.
- Non, il m'a dit… que vous accepteriez un arrangement. Christian eut un sourire mauvais.
- Quel genre d'arrangement ?
- Le genre d'arrangement où j'obéirai à tous vos désirs… Il s'approcha d'elle, la fixant dans les yeux. Il passa une main dans les cheveux d'Élise et la fit glisser sur son visage, son cou.
- Tu veux dire, comme une gentille petite pute c'est ça ? Doucement, il amena son pouce devant la bouche d'Élise. Il s'enfonça entre ses lèvres comme elle faisait oui de la tête.
- une gentille petite salope qui mouille quand on l'insulte et qui aime se faire baiser comme une chienne ? Une nouvelle fois, elle fit oui doucement de la tête sans cesser de lui sucer le pouce.
- Tu as un bon coup de langue il paraît… Élise enroulait sa langue autour du pouce de Christian. Ce dernier s'amusait à lui palper les seins tout en faisant aller son doigt dans la bouche de la jeune femme. Il fit durer la situation, cherchant le regard d'Élise.
-Mais c'est vrai que tu suces comme une traînée… Puis, il s'attarda sur les seins un long moment. - C'est fou comme tes tétons sont durs sous la robe. Tu es déjà excitée à l'idée d'être mon esclave ? C'est très bien… On va peut-être pouvoir faire affaire ensemble. Élise gardait la tête baissée. Tout en parlant, Christian continuait de la palper comme un animal.
- Écoute, tu vas commencer par faire le ménage dans mon appartement. Tout l'attirail est derrière la porte. Et en ce qui concerne ta tenue, tu trouveras tout au même endroit. Élise hésitait. Christian s'approcha et reprit sa caresse au niveau des seins.
- Je n'aime pas répéter Élise. Simultanément, il se mit à pincer son sein droit. La jeune femme poussa un gémissement et tenta de se dérober, mais glissant une main sous la robe il la maintint contre lui.
- Tu as compris ?
- Oui monsieur.
- Non non, fit-il en glissant sa main au niveau de sa chatte. Je veux que tu m'appelles Maître Christian. Il enfonça un doigt dans son sexe humide.
- Bien maître Christian.
Lorsqu'elle revint quelques minutes plus tard, elle portait des talons aiguilles, une paire de DIM up noir et un tablier de soubrette.
- mais c'est très bien, dit Christian en éclatant de rire… Commence par nettoyer ça. Élise s'approcha de l'endroit que lui désignait son maître. Il s'agissait de petites flaques de sperme.
- Depuis ce matin, je n'arrête pas de me branler en pensant à ma petite salope obéissante. Il faut que tu nettoies tout ça…
- Bien maître, fit Élise en s'avançant avec un torchon. Christian la saisit par les cheveux et l'amena devant lui. Il glissa une main dans sa chatte et commença à la branler. Élise baissait la tête.
- Tu mouilles déjà… Une petite pute comme toi n'a pas besoin de torchon… Tu as une langue il me semble… Élise s'accroupit et s'approcha du sperme. Ainsi à quatre pattes, sa courte robe remontait sur ses cuisses. Tandis qu'elle commençait à laper le sol, Christian glissa sa chaussure entre ses jambes et lui frotta la chatte. Il contempla un instant sa chaussure dont le bout était taché de sa mouille. Lorsqu'elle releva la tête, le sperme étalé sur le sol avait disparu. Christian eut un sourire vicieux et approcha sa chaussure de la bouche de la jeune femme.
- Nettoie ça également , Figure toi qu'il y a des salopes qui se ne savent pas se tenir… Élise sortit sa langue et la fit glisser le long de la chaussure noire. Christian la regardait avec un sourire mauvais. La salive de la jeune femme passait sur le cuir noir de la chaussure. Christian la saisit par les cheveux :
- Il y a autre chose que tu vas pouvoir nettoyer petite pute… Il s'ouvrit son pantalon et en sortit un sexe bandé. Élise ne put retenir un haut le cœur devant l'odeur.
- Tu fais ta sainte nitouche ? S’amusa Christian en défaisant sa ceinture.
- Non maître, répondit Élise en avançant la bouche vers le sexe sale. Laissez moi prendre soin de vous. Sa langue sortit et glissa sur le gland. Christian regardait la bouche qui se distendait au fur et à mesure que son sexe la pénétrait. A ce moment, il entendit une clé jouer dans la porte. Élise releva la tête.
- Je ne crois pas t'avoir dit d'arrêter salope. Continue ton nettoyage ! Élise secoua la tête. Christian la maintint par les cheveux et la gifla violemment. La jeune femme tomba sur le sol, la courte robe dévoilant son sexe.
- Ce n'est que mon fils qui rentre. Eh Steph, regarde ce que j'ai pour toi… L'homme, âgé d'une trentaine d'années était le prototype du vieux garçon, tout aussi vicieux que son père. Élise l'évitait car elle avait toujours senti qu'il pourrait lui poser problème. De tout le petit groupe, il était vraiment le plus sadique d'entre nous. Le show ne faisait que commencer…
(à suivre)
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