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- Par l'auteur HDS Anonyme -
Récit érotique écrit par Anonyme [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : sans titre Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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"Envoyée en mission par ma société, j’étais seule en Afrique pour quelques semaines. J’avais laissé à la maison, mon mari, mes enfants et comme à chacun de mes séjour je retrouvais là-bas, Samba, mon beau black, l’africain qui était devenu mon amant Seule dans ma petite maison, je me sentais bien, j’y étais en parfaite sécurité. Un grand mur entourait la maison, un grand portail métallique en fermait l’accès. Personne ne pouvait entrer sans que je ne le sache, sauf Mamadou, le gardien qui avait son logement dans le fond du jardin. Je profitais sans vergogne de tout le confort qui était mis à ma disposition, un jardin luxuriant entourait la maison, les massifs débordaient de fleurs, j’étais entourée de citronniers, de bougainvillées.

Ce dimanche matin là, c’est le grincement du portail que l’on refermait qui m’a réveillé : qu’elle heure pouvait-il donc être ? J’avais si bien dormi qu’il était près de 10H, l’heure à laquelle Mamadou avait l’habitude de sortir après avoir fait son travail.

Le soleil perçait au travers des persiennes, il était temps de me lever. Nue, j’ouvre la porte qui donne sur le jardin, et là une irrésistible envie d’aller me balader me prend : puisque je suis seule, pourquoi ne pas en profiter, d’autant qu’il y a des bananes mures sur le bananier du fond du jardin.

C’était la première fois que je me baladais nue sous le soleil, c’est bon de découvrir cette liberté à 40 ans passé. Le soleil me chauffait le dos, je sentais l’air qui passait entre mes jambes me chatouillant délicieusement, à tel point que je sentais le désir monter en moi. Debout sur la pelouse face au soleil, je me caressais les seins dont les pointes commençaient à durcir, le ventre, les fesses. Les jambes bien écartées, je pris un de mes seins d’une main et de l’autre, je caressais mon petit triangle bouclé qui m’ornait le bas-ventre. Je résistais finalement à la tentation de continuer mes caresses et je repris ma ballade.

J’en profitais pour cueillir quelques fleurs. Je me sentais merveilleusement libre. C’est en mordant à belle dents dans ma banane et tenant un petit bouquet de fleurs à la main que je me suis retrouvée nez à nez avec Mamadou au détour d’une allée… La surprise m’a cloué sur place et je n’ai pu que bredouiller « je croyais que tu étais sorti…. ». Il ne s’en revenait pas non plus, j’étais là devant lui, les bras ballants, et son regard allait de ma poitrine à mon pubis. Pourtant c’est d’une voix bien claire qu’il me dit qu’il était sorti plus tôt ce matin et qu’il était rentré il y a une vingtaine de minutes. Je continuais à bredouiller « excuses moi, je ne voulais pas te choquer ». « Pas de problème me répondit-t-il, tu es chez toi, tu fais ce que tu veux et en plus tu es très belle ! » j’étais clouée sur place ne sachant quelle contenance prendre, je me sentais un peu gênée mais aussi curieusement excitée de me retrouver nue devant ce jeune noir. Nous avons finalement continué
notre chemin tous les deux, je sentais qu’il me suivait des yeux et qu’il continuait me regarder. Je ne m’en suis, bien sur, pas vanté à Samba, mon ami, mais le soir il a bien vu que j’étais particulièrement déchaînée.

Je m’étais sentie si bien nue dans le jardin que je projetais d’y faire une petite séance de bronzage intégral dès que l’occasion se présenterait et que Mamadou serait sorti. Quelques jours plus tard, en sortant de la douche, je le vis alors qu’il sortait. La voie était libre : une serviette autour de la taille, me brossant les cheveux, je me suis dirigée vers un petit carré de pelouse derrière la maison.

Allongée sur le dos, j’offrais au soleil ma nudité, espérant y gagner un léger hâle. De carnation très blanche, j’ai toujours beaucoup de mal à bronzer, le contraste n’en est que plus saisissant avec Samba qui est d’un noir vraiment foncé.

J’étais si bien que j’ai du m’endormir un petit moment au cours duquel j’ai revu en songe Samba et son sexe dressé au dessus de mon visage. Lorsque je me suis réveillée, ma peau était toute chaude et douce et c’est avec plaisir que je promenais doucement ma main sur mes seins, sentant monter une excitation familière entre mes cuisses. Depuis que j’étais en Afrique, je n’avais pas éprouvé le besoin de me caresser, mais là, étendue, nue, au soleil, j’avais une furieuse envie de me donner du plaisir. Mes doigts ont donc commencé à s’activer entre mes jambes, je commençais à me caresser l’entrée du vagin. J’étais déjà toute humide, mon doigts passait entre mes petites lèvres en les frottant doucement, il s’attardait à l’entrée de ma caverne. Avec mon doigt mouillé, je remontais doucement pour me masser le clitoris que je caressais de façon circulaire. L’excitation qui montait doucement me faisait camber le dos. Mes doigts étaient maintenant tout mouillés, je sentais mon petit bouton qui
devenait tout dur, j’avais une furieuse envie d’être pénétrée pour atteindre l’orgasme, j’avais envi d’autre chose que mes doigts. C’est alors que j’ai pensé à ma brosse, le manche ferait l’affaire, bien long, au bout arrondi, je commençais par en frotter le manche contre mon clitoris puis je l’introduis d’un coup dans mon vagin. Cette pénétration brutale me fit très vite gémir. Les yeux fermés, je me laissais bercer par la vague qui était en train de monter de mon bas ventre. Mes doigts continuaient à caresser mon clitoris tout mouillé, de plus en plus vite, de plus en plus mouillé, de plus en plus chaud. Je ne contrôlais plus rien, d’une main j’imprimais un mouvement de va et vient à la brosse, de l’autre je caressais mon clitoris, je gémissais de plus en plus fort et lorsque l’orgasme arriva, brutal, je poussais un grand cri.

Petit à petit, je reprend le contrôle de mon corps, j’ouvre les yeux et là je pousse un autre cri, de surprise cette fois : Mamadou se tenait devant moi, debout, une serviette de bain autour de la taille, à quelques mètres, les yeux rivés sur mon entre-jambe, goûtant au spectacle qui s’offrait à lui : une femme blanche, nue sur la pelouse en plein orgasme, un manche de brosse à cheveux dans le vagin…Il avait du revenir pendant que je m’étais assoupie.

« Qu’est ce que tu fais là ?»

« J’allais prendre ma douche, j’ai entendu du bruit.. je suis venu voir »

Et pour voir, il avait vu.. et cela ne l’avait pas laissé indifférent d’après la bosse que faisait son sexe dressé sous sa serviette. Je ne cherchais même pas à me recouvrir, cela n’était plus la peine, Mamadou m’avait vu me masturber, je n’avais plus rien à lui cacher.

Je restais là, à le regarder, encore sous le choc. « Tu sais, me dit-t-il, je n’avais jamais vu de femme blanche toute nue, je te trouve vraiment belle, et puis, ça m’arrive aussi de jouir tout seul, et même que là que tu m’as donné drôlement envi ».

Mamadou avait mis la main sur sa serviette et commençait à caresser son sexe dressé. J’étais troublée par la présence de ce beau jeune homme presque nu qui me désirait, je le regardais se caresser, mes yeux ne quittaient pas sa main qui passait et repassait sur sa serviette. Mamadou sentit mon trouble, il s’approcha de moi et laissa

tomber sa serviette offrant à mon regard médusé un sexe dressé tel que je ne n’en avais jamais vu : la taille était impressionnante. « tu as vu, me dit-t-il, dans la famille, on a de très grosses bites, mes frères sont pareils, c’est bien, mais ça fait peur aux filles aussi ».

Moi, ça ne me faisait plus peur… la vu de cet énorme serpent noir à la tête gonflée de désir ne faisait que raviver mon envie. A genoux sur ma serviette, je plaquais mes mains sur les fesses musclées et fermes de Mamadou et j’enfournais son sexe dans ma bouche, en partie seulement, ma bouche n’était pas assez grande pour le contenir entièrement. Je commençais à le faire rouler dans ma bouche avec ma langue, et de mes deux mains, je malaxais ses testicules. J’en avais plein la bouche de son sexe , avec mes lèvres et ma langue je jouais avec son gland et je le suçais vigoureusement. J’aime sucer, ça m’excite beaucoup. Je sentais que Mamadou n’allait pas tenir bien longtemps, je voyais ses jambes trembler, ma bouche se faisait encore plus insistante. Au moment de jouir Mamadou se recula et éjacula sur mon visage de longues giclées de sperme chaud. Les yeux fermés, je continuais à me débarbouiller le visage avec son gland, Mamadou n’en finissait pas de haleter et il finit par lâcher «
j’avais jamais joui comme ça, tu as beaucoup d’expérience, c’est bon »

Il me tendit sa serviette pour que je m’essuie le visage et s’agenouilla auprès de moi : « est-ce que je peux te regarder ?, j’ai envi de te toucher aussi » Sa curiosité m’amusait beaucoup, le sucer avait ravivé mon désir. Je le laissais faire bien sur. Mamadou commença à me caresser les seins, sa main descendit doucement sur mon ventre, sur mon pubis, ses doigts épousaient les contours de mon épilation bien nette « les filles que j’ai eues, elles avaient beaucoup de poils, c’est plus joli comme ça » J’écartais largement mes jambes le laissant passer ses doigts entre mes cuisses. Mamadou mouilla le bout de son doigt et commença à me masser doucement l’entre jambe. La caresse était douce sous le soleil. Je lui pris la tête entre les mains et, soulevant mon bassin, lui offrit à lécher mon entre-jambe redevenu tout humide. J’ai bien vu qu’il n’avait pas l’habitude, aussi en quelques mots, je lui expliquais ce que j’attendais de lui. La pointe de sa lange titillait mon clitoris puis
descendait jusqu’à mon vagin. Je sentais mon jus dégouliner entre mes cuisses. Le soleil était haut maintenant dans le ciel, j’en sentais sa chaleur sur mes seins. Pris d’une frénésie soudaine, mamadou plaqua sa bouche entre mes jambes pour des caresses de plus en plus vives. Je sentais sa langue aller et venir, je le sentais aspirer ma mouille, sa bouche était comme une ventouse accrochée à mon sexe. Je ne pouvais plus retenir mes gémissements et dans un spasme je lui arrosais le visage d’un grand jet. Haletante après ces deux orgasmes, je le regardais s’essuyer le visage avec sa serviette. Je savais que je n’en avais pas fini , son énorme sexe noir se dressait à nouveau devant moi, mais cette fois c’est lui qui allait mener la danse. D’un geste brusque, il me mit à quatre pattes devant lui et m’enfonça son pilon dans mon vagin béant, m’arrachant un grand cri. les mains sur mes hanches, il me faisait aller et venir contre son engin magnifique, j’avais l’impression que chaque coup
de boutoir allait me transpercer, c’en était presque trop douloureux pour être agréable. Nous avons fini par osciller au même rythme, mon vagin distendu épousait parfaitement son sexe énorme, je me laissais aller au rythme des sensations qui montaient, qui montaient, je m’entendais hurler, j’entendais Mamadou ahaner de plus en plus fort, plus rien n’existait que ce martèlement dans mon corps, jusqu’à ce que mes jambes prises de tremblements ne me portent plus, je m’écroulais sur ma serviette en proie à un orgasme d’une violence inouï. . Mamadou resta allongé sur moi de longues minutes.

Il se releva enfin, enroula sa serviette autour de sa taille et m’aida à me relever. Toujours nue, les jambes flageolantes je regagnais la maison où je passais un long moment sous une douche tiède.

Nous n’avons jamais reparlé de ce qui s’était passé dans le jardin ce matin là et j’ai renoncé à mes petites ballades toute nue dans le jardin. Le jour de mon départ, au moment de me dire au revoir, alors que Samba chargeait mes valises dans la voiture, Mamadou me dit simplement, un petit sourire au coin des lèvres « au revoir, Mary, je ne t’oublierai jamais, tu m’as appris beaucoup de choses, merci. »

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