Sarah 4
Récit érotique écrit par DXD [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Sarah 4
Je sirotais tranquillement ma bière, assis à une table du bar en face de ma fac. Je ressortais d'un partiel, et étais épuisé. Un bon verre, une bonne musique, une ambiance sympa, c’était de ça dont j’avais besoin. Je commençai juste à oublier mon partiel et à me détendre, lorsque j’entendis une voix féminine dans mon dos.
« Salut ! Tu bois pour oublier l’exam ? »
Je me retournai, et c’était Sarah. En ce chaud mois de mai, elle portai un t-shirt aux manches longues. Pour une fois, elle ne portait pas de chignons, et laissait ses longs cheveux châtains tomber en cascade autour d’elle. Elle était vraiment belle comme ça.
« Salut, toi. Ouais j’avoue que ça me ferait du bien. »
Elle eut un petit rire, et s’assit en face de moi.
« Je te comprends. Sérieux c’était quoi ce sujet de merde ? »
« Je suis presque sûr, que ça a jamais été au programme ça. »
« T’es sûr d’avoir bossé suffisamment aussi ? lança-t-elle en souriant. »
« Évidemment. »
« J’ai l’impression que t’as plus passé de temps dans un lit à besogner de belles étudiantes, que chez toi à réviser. »
« N’importe quoi. En plus, finalement j’ai pas couché avec tant d’étudiantes que ça. »
« Ah oui ? »
« Non. A part toi, Francesca, et Eva, personne. Et j’ai pas couché avec toi et Francesca depuis Octobre. »
Un serveur vint prendre notre commande, interrompant notre discussion. Sarah commanda un repas complet, et me lança :
« Ça te dit pas de rester manger avec moi ? »
« J’habite pas ici, moi, je dois prendre le train pour rentrer. »
Elle me saisit la main, par-dessus la table.
« Allez ! Reste avec moi s’il te plaît. »
Quelque chose dans son regard, me convainquit d’accepter. Je pris commande, et le serveur après avoir tout noté, s’éloigna. Sarah qui me tenait toujours la main, la lâcha.
« Ça fait une éternité que j’ai pas baisée, lança-t-elle, comme si de rien n’était. »
Je tâchai d’avoir l’air indifférent.
« Ah ouais ? »
« Ouais, Francesca et moi on a décidé de pas baiser tant que l’autre est dans sa chambre, sinon ça crée des conflits. »
Sarah et Francesca, une de nos amies étudiantes, habitaient toutes les deux dans une chambre étudiante voisine. Si bien que quand l’une s’envoyait en l’air, l’autre l’entendait, et ça créait des frustrations et des conflits. Je m’étais retrouvé au coeur de cette querelle de voisinage… pour mon plus grand bonheur.
« Du coup tu baises jamais chez toi ? »
« Si, mais j’attends que Francesca soit pas là, ou qu’elle ait un plan cul elle aussi. Et vu qu’elle est souvent dans sa chambre et qu’elle drague pas beaucoup… je baise pas autant que je le voudrais. Là j’ai rien fait depuis un mois. »
Nos yeux se croisèrent, chacun de nous sut parfaitement où cette discussion allait mener.
« Donc ici, t’es en chasse ? Tu cherches un mec pour combler tes désirs ? »
« Exactement. »
« Bah alors ne t’occupe pas de moi, vas-y, cherche ta proie. »
Elle me sourit.
« Je l’ai déjà trouvée… »
Dix minutes plus tard, la porte de sa chambre s’ouvrait à la volée. Sarah et moi entrâmes, enlacés, nous embrassant furieusement. Je poussai Sarah contre le mur, et me collai à elle, tout en continuant à l’embrasser. Elle m’attira contre elle, me tenant par la nuque, jusqu’à ce qu’elle me repousse contre la porte encore grande ouverte, et me retire mon t-shirt avec fièvre, dévoilant mon corps musclé. Je la repoussai à l’intérieur de sa chambre étudiante, claquant la porte derrière moi. Je la saisis par les hanches, la soulevai jusqu’au lit, et la jetai dessus. Elle s’y étala avec un petit soupir d’excitation. Je retirai mon jean et caleçon, tandis qu’elle se déshabillait totalement, se retrouvant nue en un rien de temps. Je me jetai sur elle, la plaquai contre le matelas, et fou de désir, je la pris en missionnaire.
Elle poussa un petit cri lorsque mon engin entra en elle, et lorsque je me mis à aller et venir, la tenant fermement plaquée contre le matelas, je sentis tout son corps trembler de bien être. J’accélérai le rythme, elle se mit à gémir avec force, tout en se débattant pour échapper à mon contrôle. Mais impitoyable, je renforçai mon étreinte, et accélérai le rythme, la baisant avec plus de force, faisant tanguer son lit, et transformant ses gémissements en cris. Je la maintenais bien, aussi je pensais pouvoir garder le contrôle facilement. Mais Sarah était pleine de ressources. Elle se dégagea et me tirant par les cheveux, tout enroulant ses jambes autour de mes hanches, elle parvint à me renverser. Elle reprit ainsi le dessus, et se mit à me baiser en andromaque, me chevauchant avec force. Le plaisir fut immédiatement très intense, se déversant en vagues brûlantes en moi, me vrillant le cerveau délicieusement. Je tentai de la renverser, de diminuer la vitesse de ses coups de reins en la tenant par les hanches, mais rien à faire, elle résistait et me baisait de plus en plus vite, me clouant sur place à force de plaisir. Plus le temps passait, et plus Sarah devenait sauvage et sûre d’elle. Elle me baisait toujours aussi bien, et me griffait le torse en prime, me souriant même d’un air moqueur. Cependant, lorsqu’elle glissa un doigt dans ma bouche, pour que je le suce, elle commit une erreur. Je lui mordis le doigt, pas trop fort, juste assez pour qu’elle soit surprise. J’en profitai alors pour la renverser.
Bien décidé à remettre les pendules à l’heure, je la retournai, et la mis à quatre pattes. Il était temps de faire parler la levrette. Je la pénétrai, et elle frissonna. Je me mis à aller et venir, la percutant avec force, et elle poussa des petits cris si excitants que ça faillit me faire jouir. J’accélérai le rythme, et lui claquai ses fesses bien rebondies, et elle souffla « oouuuui baise moi ! » Je la saisis alors par les cheveux, lui tirai la tête en arrière, et me mis à aller si vite et si fort, que tout son corps se raidit, comme sur le point d’exploser, alors que mon sexe emplissait toute son intimité et en cognait le fond délicieusement. J’adorais la levrette, c’était si bon ! J’allais si loin en elle, j’en tirais tellement de plaisir ! Et voir tout corps, surtout son fessier ballotté par mes coups de reins, quel pied ! J’allais trop vite et trop fort pour tenir longtemps. Après dix minutes dans cette position, nous explosâmes tous les deux dans un orgasme, qui nous fit hurler à pleins poumons.
On resta un moment, essoufflés sur le lit. Sarah était visiblement comblée. Elle se tourna vers moi et lança :
« C’était vraiment délicieux ! Par contre je suis pleine de sueur, je vais me doucher. »
Elle alla dans la salle de bain. Je pris mon portable, et envoya un SMS à mes parents pour leur dire que je ne rentrerai pas ce soir. Puis, j’hésitai quelques secondes… et me précipitai à la salle de bain. Sarah venait à peine d’entrer dans la douche, que j’ouvris avec force, avant de l’y rejoindre. Elle se tenait sous le jet d’eau de la douche, totalement nue, les cheveux trempés en arrière, le corps ruisselant d’eau. Elle était tellement sexy que je bandai aussitôt. Je m’approchai d’elle, et la saisissant par les hanches, l’attirai contre moi.
« Je me demandai si t’aurais assez d’énergie pour me rejoindre… susurra-t-elle. »
« Je te laisse en juger… »
Je la retournai, et la plaquai de face contre la paroi de la douche. Puis j’approchai mon sexe tendu de son intimité, lui faisant sentir ma raideur. Elle en gémit d’excitation. Chaud bouillant moi aussi, je la pénétrai avec délice, et me mis à la baiser en levrette. Je commençai doucement, m’enfonçant progressivement en elle, allant à un rythme mesuré. Le plaisir montait progressivement, tandis que l’eau chaude nous aspergeait, augmentant sensiblement notre excitation. Puis, de plus en plus, j’accélérai le rythme, la culbutant avec plus de force, allant plus loin en elle. Le plaisir augmenta brusquement, pour Sarah comme pour moi. Elle commença à gémir, et tortilla ses belles petites fesses, augmentant encore le plaisir que j’éprouvais en la baisant. Je la redressai, collant son dos contre mon torse, et me mis à dévorer sa nuque et son épaule, tandis que je lui administrai de puissants coups de butoir par en dessous la percutant à chaque fois avec force, et lui arrachant systématiquement un cri de plaisir. Je la pris comme ça un bon moment, tout en continuant à l’embrasser à la nuque et à l’épaule, et en lui murmurant à l’oreille des choses salaces. Ensuite, je la plaquai contre la paroi de la douche, la pressant contre la vitre, et vins me coller contre son dos. J’enchaînai alors de puissants et rapides coups de reins, la démontant avec force tandis que je vibrais de plaisir. Sarah n’en pouvait plus, coincée entre moi et la vitre, elle hurlait de plaisir tandis que je la prenais sauvagement encore et encore. Son corps se raidit, sa respiration devint sifflante et je compris qu’elle allait avoir un orgasme. J’accélérai alors soudainement le rythme, et allai si vite qu’elle explosa aussitôt, jouissant avec délectation, se secouant dans tous les sens. Ça eut le don de me rendre dingue, et je ne tardai pas à jouir à mon tour, me déversant comme un geyser en elle.
Ivres de plaisir, on se doucha, et on alla se coucher, tellement sonnés et comblés qu’on échangea à peine trois mots. On se coucha, et on s’endormit aussitôt.
Le lendemain, nous eûmes une mauvaise surprise : il était 8h 45, le partiel commençait à 9h ! Épuises par notre partie de jambes en l’air de la veille, nous avions trop dormi. Nous nous habillâmes en hâte, et déjeunâmes à peine. Heureusement que Sarah habitait à côté de l’amphi, nous pûmes y arriver à temps.
Ce nouveau partiel fut long, et assez difficile. A 13h, je l’avais enfin fini, et allais déjeuner. Je ne retrouvai pas Sarah, et ça me déçut un peu, j’aurais bien aimé lui parler après notre nuit de folie. A 14h, j’avais un nouveau partiel, j’y allai, et passai l’examen du mieux que je pus. Quand ce fut fini, je me dirigeai vers la gare, pour rentrer chez moi. Mais alors que j’étais dans la rue, à mi-chemin entre ma fac et la gare, une voix me héla :
« Tu fais quoi ? »
Sarah me rattrapait. Je remarquai alors que sa tenue était plus sexy que la veille : toujours le même jean serré en bas, mais en guise de haut, elle portait un débardeur au décolleté large, qui mettait bien en valeur son 95C. Elle éveilla aussitôt mon intérêt.
« Tu rentres chez toi ? reprit-elle. »
« Ouais. Pourquoi ? »
« Bah… je me serais bien envoyée en l’air avec toi, cette nuit. »
« Quoi ? Encore ? »
« Bah ouais. »
« Désolé, mais je vais rentrer chez moi. »
Elle me saisit par la ceinture de mon jean, et m’attira contre elle.
« T’es sûr ? souffla-t-elle. »
Je tâchai de maîtriser mon excitation, et répondis :
« A la réflexion, je serais bien partant pour te sauter encore… »
Elle eut un sourire ravi, et on se dirigea vers sa chambre universitaire. En chemin, je prévins mes parents par SMS que je ne rentrerai pas ce soir.
Comme la veille, la porte de la chambre de Sarah s’ouvrit à la volée. La belle étudiante fut précipitée en avant, et plaquée de face contre le mur par votre serviteur. Je vins derrière elle, et me pressai contre son fessier, appréciant sa rondeur et sa fermeté. J’embrassai ensuite Sarah dans la nuque, me délectant de ses soupirs de plaisir. Elle se retourna, et me poussa contre le mur d’en face, avant de venir se mettre à genoux devant moi, et de me retirer mon pantalon, puis mon caleçon. Mon sexe libéré, se dressa, tendu et prêt pour la suite. Sarah me le prit en main, et se mit à me branler, d’abord doucement, puis avec de plus en plus d’entrain, le pressant avec passion, accentuant son geste au niveau du gland, me faisant un bien fou. Elle n’avait pas fini cependant, et prit mon sexe en bouche, pour démarrer une délicieuse fellation. Elle enchaîna les va-et-viens avec sa bouche, pompant mon sexe avec énergie, jouant de sa langue pour m’arracher des cris, tout en me massant les boules. C’était si bon, que je chancelai sur mes pieds, et poussai des gémissements incontrôlés. Sarah me fit vivre un véritable délice pendant un long moment, suçant léchant et branlant mon sexe si bien, que je manquai de jouir au moins trois fois. Quand elle estima en avoir fait assez, elle se redressa, sourire coquin aux lèvres.
Elle me tira par mon jean, et m’entraîna jusqu’à sa chambre. J’étais pressé de passer à la suite. Elle me jeta sur le lit, et se déshabilla devant moi, retirant son débardeur, puis son soutif, avant de se débarrasser de son jean et shorty. Elle me laissa l’admirer nue quelques secondes, avant de soudainement venir sur moi, et de s’empaler sur mon sexe tendu. Nous poussâmes tous les deux un cri de plaisir.
Elle me mit deux ou trois coups de reins bien sauvages, qui me firent crier de plaisir. Puis elle me retira mon t-shirt, et passa ses ongles sur mon corps musclé, me faisant frissonner. Un sourire satisfait aux lèvres, elle démarra une puissante chevauchée, allant en avant en arrière, s’empalant sur ma queue avec passion. A chacun de ses coups de reins, mon sexe allait loin en elle, cognant le fond de son intimité, et me faisant vibrer de plaisir. Sarah gémissait de plus en plus fort, à mesure que le rythme de ses assauts accélérait, et elle devenait de plus en plus sauvage, me griffant et me claquant comme une folle. Je tentai bien de me débattre, mais avec une telle furie, ce n’était pas facile. J’essayais de l’attraper par les hanches ou les mains pour pouvoir la renverser, mais c’est elle qui m’attrapait par les poignets, et accentuait ses coups de reins pour me tenir tranquille. Je cherchais à donner des coups de reins par en dessous, mais elle me surclassait aisément, en allant plus vite. Mes rébellions de plus en plus faibles lui tirèrent un sourire narquois, alors que ses coups de reins à elle devenaient de plus en plus forts. Le plaisir coulait en moi, de plus en plus intense, et voir Sarah se déchaîner comme ça était hyper excitant. Ses cheveux en bataille, tombant en crinière tout autour de son visage lui donnaient un air de sauvageonne, son corps de rêve s’agitait dans tous les sens, surtout sa poitrine qui se secouait. Je finis par me laisser aller, et profitai de me faire baiser ainsi. J’admirai Sarah en plein effort, tout en profitant du plaisir qu’elle me procurait en me baisant si bien. Je sentais bien que je ne pourrais pas tenir plus longtemps, et lorsqu’elle accéléra une dernière fois, soulevant son corps magnifiquement, je ne pus que craquer et explosai dans un merveilleux orgasme, me déversant en elle, tandis qu’elle jouissait aussi.
On s’écroula sur le lit, essoufflés, épuisés et ravis. On ne tarda pas à s’endormir, côte à côte. Pendant la nuit, je me réveillai cependant, ayant trop chaud pour dormir. Je me levai et allai le plus discrètement possible boire un verre d’eau. Quand je me remis au lit cependant, je réveillai Sarah sans faire exprès.
« Tu dors pas ? Demanda-t-elle. »
« Désolé, je voulais pas te réveiller. »
« Oh c’est pas grave, je sais comment te fatiguer… »
Elle se colla contre moi et m’embrassa délicieusement. Je lui rendis son baiser, et sentis Puis, elle me plaqua contre le matelas, et vint au-dessus de moi. Elle s’empala sur moi, avec un petit cri, et commença à me chevaucher me baisant en se déhanchant de gauche à droite comme une danseuse. Des frissons me parcoururent le corps, pendant que Sarah commençait à gémir doucement. Elle accéléra progressivement le rythme de ses va-et-vient, son visage tordu par des grimace incroyablement sexy. Lorsqu’elle fit un mouvement de hanche particulièrement fort, elle rejeta la tête en arrière en poussant un petit cri. J’en profitai pour reprendre le dessus, la saisissant par les hanches et la plaquant contre le matelas. Elle se débattit, mais lorsque je la pris en missionnaire, allant directement à un rythme élevé, elle se mit à gémir, et se laissa faire. Je la pris par les mains, et accentuai la puissance de mes assauts, la culbutant contre le matelas avec force. Sarah se mit à gémir, et m’embrassa l’épaule pendant que je la prenais avec de plus en plus de vigueur. Je lui donnai un coup de reins particulièrement fort, et avec un gémissement d’extase, elle me mordit l’épaule. Surpris, je me reculai.
« Eh ! Doucement avec les dents ! »
Elle me sourit.
« Alors doucement avec tes reins, mon beau. »
« T’adores ça. »
« Ouais… et toi aussi, t’adores quand je te mords… »
Je la saisis par le menton, et lui envoyai un nouveau coup de rein, lui arrachant un grand cri. Je recommençai, encore et encore, la faisant chavirer. Sarah m’enserra avec ses jambes, m’attirant plus près d’elle, et je n’y prêtai pas attention, accélérant le rythme. Le plaisir devenait si fort, que je ne pensais plus qu’à une seule chose : la baiser le plus fort et le plus vite possible. Sarah profita de mon manque d’attention, et me renversa. Toujours empalée sur moi, elle me sourit et me lança : « prépare toi beau gosse, je vais te rendre la monnaie de ta pièce ». Elle tint parole : elle se mit à me baiser en andromaque, allant si vite et si fort que j’en fus ballotté d’avant en arrière. De brûlantes vagues de plaisir me submergèrent, et je poussai de grands cris. Plaisir et fatigue formaient un cocktail terrible, qui m’ôtait toute envie de continuer à lutter : Sarah me baisait tellement bien, autant se laisser aller ! Elle gémissait de plus en plus fort, tout en me regardant d’un air moqueur, tandis que ses coups de reins diaboliques me faisaient inexorablement monter au septième ciel. Lorsqu’elle se mit à bondir sur mon sexe, allant de haut en bas avec fougue, je me sentis chavirer tant c’était bon, et serrai les dents pour contenir autant que possible la vague de plaisir qui me submergeait. Sentant que j’étais sur le point de craquer, Sarah accentua ses efforts, alla plus vite, et me percuta avec plus de force, jusqu’à ce que je craque, et que j’explose dans un nouvel orgasme, qui me donna l’impression de m’évanouir tant c’était bon. Sarah poussa un grand cri lorsqu’elle jouit à son tour, et essoufflée, tomba sur son lit.
« C’était, géant souffla-t-elle. »
« Ouais, répondis-je hors d’haleine. »
On ne tarda pas à se rendormir. Le lendemain, nous nous réveillâmes à temps cette fois-ci. Sarah avait en effet pensé à son réveil. On se prépara tranquillement, et comme je fus prêt le premier, c’est moi qui sortis avant elle. Lorsqu’elle me rejoignit dehors, j’eus un petit frisson : elle était vraiment habillée de façon sexy. Elle avait en haut le même débardeur qu’hier, toujours aussi sexy, mais cette fois-ci, elle ne portait pas un jean, mais un mini-short, qui dévoilait largement ses belles jambes, et moulait son fessier d’une façon presque indécente.
« Tu vas y aller comme ça ? lui demandai-je. »
« Bah ouais pourquoi pas ? »
« Tu vas déconcentrer tout le monde… »
« Les autres je m’en fiche : y a qu’un seul mec à qui je veux faire vraiment tourner la tête… »
Elle me fit un petit sourire, pour appuyer ses propos, et se mit en marche vers la fac. Elle avait une démarche lascive, qui mettait bien en valeur son postérieur. Je poussai un léger grognement : la journée avait à peine commencé que j’étais déjà excité à fond. Je rattrapai Sarah. On discuta de choses et d’autres, tout allait bien, jusqu’à ce qu’elle me lance :
« C’était excellent cette nuit ! »
« Oh oui ! »
« Je t’ai vraiment baisé comme je le voulais… t’as pris un sacré coup de soumission mon pauvre. »
Je lui jetai un regard noir.
« Tu me cherches ? »
Elle me répondit par un sourire moqueur.
« Oui. »
On arrivait devant l’amphi où devait se dérouler l’examen. Je n’avais pas le temps de punir sa prétention. Chacun des élèves se plaça devant sa copie, et pendant plus d’une heure, je dus m’efforcer de ne pas penser à Sarah. Seulement, c’était plus facile à dire qu’à faire : régulièrement, je levais les yeux et croisais son regard, et alors elle me lançait un sourire coquin qui avait le don de m’échauffer. C’était dur de se concentrer ! En même temps, je remarquai que je n’étais pas le seul à avoir du mal à m’adonner à mon travail : les examinateurs, censés nous surveiller, négligeaient complètement leur travail. Ils bavardaient entre eux, et c’est à peine si ils faisaient attention à ce que leur conversation ne dérange pas les élèves en plein examen. On sentait vraiment que c’était le dernier examen de l’année. J’envisageai vaguement de profiter de la situation : vu leur vigilance, ça m’aurait été très facile de prendre mon portable et d’aller voir sur internet pour m’aider à composer mon sujet… Mais je me ravisai : tricher c’était pas mon style. En revanche, une demi-heure après avoir eu cette vilaine, pensée, il m’en vint une autre, beaucoup plus redoutable, et beaucoup plus tentante… Une fois encore, mes yeux s’étaient égarés vers Sarah, et je m’étais perdu dans la contemplation de ses bras dénudés, de sa peau finement bronzée par le soleil printanier, de sa nuque, largement découverte, vu qu’elle était coiffée de son habituel chignon, et bien sûr, de son décolleté… Lorsque nos yeux s’étaient croisés, il m’était soudain venu une pensée affreusement tentante : puisque les examinateurs nous surveillaient comme des manches, pourquoi ne pas en profiter pour s’éclipser tous les deux, et soulager nos envies de sexe intense ?
Je fis signe à Sarah, tâchant de lui faire comprendre ce que je voulais. Ses yeux s’aggrandirent lorsqu’elle saisit le message, mais avec un sourire aguicheur, elle fit signe qu’elle était d’accord. Elle se retira la première, discrètement. Quelques minutes plus tard, je fis de même, bougeant lentement, me dirigeant hors de l’amphi à une allure d’escargot, n’osant pas respirer. Bien sûr, on avait le droit de quitter l’amphi pendant l’examen pour aller aux toilettes. Théoriquement, on devait demander la permission, mais si on le faisait sans, ce n’était pas non plus la fin du monde. En revanche, si quelqu’un était déjà parti aux toilettes, on devait attendre qu’il revienne… Si les examinateurs avaient été attentifs à leur travail, ils auraient vu Sarah partir la première, et m’auraient dit de rester. Mais on risquait encore plus gros : si on nous surprenait ensemble dans les toilettes, on pourrait croire que nous trichions, et alors là, ça serait notre fête… Et d’ailleurs, si on découvrait ce que nous faisions vraiment, ça ne serait guère mieux. Baiser dans la fac est déjà interdit, alors en plein examen… Mais qu’importe : le désir était trop grand, à la seule idée de devoir attendre jusqu’au soir pour me faire Sarah, j’avais l’impression de mourir de frustration.
Je la vis entrer dans des toilettes. Après avoir vérifié que personne ne nous voyait, je la suivis. Un seul cabinet était fermé, j’en déduisis que Sarah était dedans. J’ouvris la porte, et entrai à l’intérieur. Sarah m’accueillit en me saisissant par le t-shirt, et me plaquant contre le mur, un sourire aux lèvres. Elle m’embrassa suavement, et je lui rendis son baiser, mes mains s’élançant vers son fessier, que je massais avec vigueur et enthousiasme. Notre baiser s’intensifia, je goûtais à ses lèvres, me sentant de plus en plus comblé dans mes désirs. On se sépara, haletants, et excités.
« On risque gros, t’es au courant ? »
« On a le choix ? répliquai-je. »
Comme moi, elle était essoufflée, le visage légèrement rougissant, et elle tremblait de désir. Il était évident qu’on avait dépassé depuis longtemps le point de non-retour.
« Non, souffla-t-elle. »
Je la repoussai, et la plaquai contre le mur d’en face, et elle poussa un petit gémissement d’excitation. Nous n’avions pas énormément de temps, alors je passai tout de suite aux choses sérieuses. Je la soulevai, et lui retirai son mini-short et son shorty, et elle me débarrassa de mon pantalon et caleçon. Avec vigueur, je la pénétrai, et me mis à la baiser contre le mur. Toujours anxieux à l’idée qu’on nous découvre, j’allai très vite, lui infligeant de puissants coups de reins qui la faisaient sautiller entre mes bras, et la culbutaient contre le mur. Elle se mit à gémir, de plus en plus fort, et je la bâillonnai avec une main, pour ne pas qu’on nous entende. C’était extrêmement excitant de la prendre ainsi, je tremblais littéralement de plaisir et d’excitation. Sarah enroula ses jambes autour de moi, et m’attira contre elle. Ravi de cette idée, j’écrasai mon corps contre le sien, et lui donnai des coups de reins moins rapides, mais plus puissants, et qui allaient plus loin en elle. Je la sentais frémir de tout son être à chaque fois que mon sexe allait cogner le fond de son intimité, et ça me rendait dingue. Je lui lâchai la bouche, pour venir l’embrasser le plus sensuellement possible. En même temps, je lui administrai plusieurs coups de reins particulièrement puissants, si bien que notre baiser fut un peu désordonné.
On se sépara, et je la posai au sol. Elle voulut me pousser en arrière, mais je la retins, et la retournai, avant de la plaquer de face contre le mur.
« Je t’avais prévenu, dis-je, je vais te faire payer ce que tu m’as fait cette nuit… »
Elle eut un petit frisson d’excitation… mais je sentais un peu d’angoisse aussi. Et elle avait raison : bien décidé à me venger, je la sodomisai, enfonçant non sans quelque difficulté mon sexe dans son cul. Elle poussa un grand cri, je la bâillonnai à nouveau, et démarrai des va-et-vient, d’abord lents, histoire qu’elle ait pas trop mal, puis de plus en plus rapidement, quand je sentis que le plaisir avait pris le pas sur la douleur chez elle. J’allai vite et fort en elle, vibrant de plaisir en sentant mon sexe coulisser à l’intérieur de son petit cul si étroit. En même temps, je lui massai les seins avec vigueur à travers son débardeur, les malaxant de ma main libre, savourant leur fermeté. Sarah se tortillait, et poussait des gémissements étouffés de plus en plus répétés. Elle secouait ses fesses, mordillait la main qui tenait sa bouche, se démenait comme une sauvage, sans parvenir à se libérer de l’étreinte de mes bras puissants, qui la tenaient contre moi, tandis qu’encore et encore, ma queue la limait avec force. Lorsque je sentis l’orgasme approcher, j’accélérai l’allure, entamant le sprint final. Cela mit fin aux rébellions de Sarah, qui n’eut d’autre choix que de se laisser aller, et de subir mes assauts de plus en plus violents. Après une série de puissants coups de reins, je finis par jouir dans un orgasme merveilleux, me déversant dans son cul. Elle me rejoignit bien vite, jouissant à son tour.
On se rhabilla vite fait. Puis chacun de nous retourna l’un après l’autre à l’amphi. Sarah y alla la première, j’attendis cinq minutes avant d’y aller à mon tour. Les élèves continuaient de composer, les surveillants continuaient de néglier leur boulot. Sarah et moi échangeâmes un regard… et je lui adressai un sourire moqueur. Elle n’avait que ce qu’elle méritait. Elle eut un air vaguement agacé, et se remit à son travail.
A la fin de la journée, j’étais fatigué mais heureux : enfin en vacances ! Et je savais exactement comment je comptais fêter ça. Je retrouvai Sarah, et lui dis :
« Hey ! Alors, comment… »
« La ferme, me coupa-t-elle. »
Je restai interdit.
« Quoi ? »
Elle me saisit par le t-shirt et approcha mon visage du sien.
« On retourne chez moi, et je te fais ta fête. »
J’eus un petit frisson, tandis qu’elle me prit par la main et m’entraînai d’un pas résolu vers les logements étudiants. On entra dans sa chambre en trombe, elle me tenait toujours par la main et m’attirait vers le lit. Je claquai la porte derrière nous, et la tirai vers moi. Je l’enlaçai, et lui dis d’un ton autoritaire :
« Ne cherche pas à faire ta dominante, je vais faire de toi ce que je veux, et tu vas te laisser faire comme une gentille petite fille. C’est clair ? »
Elle eut un sourire ironique.
« Mais oui, bien sûr…. »
Elle me saisit la bite à travers le pantalon, et serra fort. Je poussai un grognement de douleur, tandis qu’elle me tira en avant, et je me jeta non pas sur son lit, mais sur une chaise à bascule, posée non loin de là. Je m’y écroulai, et fus un moment ballotté par le mouvement de la chaise. Sourire coquin aux lèvres, Sarah s’approcha de moi. J’eus la brève impression d’être une sorte de lapin pris au piège par une lionne…
Sauf que la lionne en question était incroyablement sexy, dans son débardeur et mini-short sexy. Ses yeux brillaient d’excitation, et je n’en pus plus d’attendre. Je me redressai d’un coup, bien décidé à la prendre sur le champ, mais elle me repoussa direct, et je m’effondrai à nouveau sur la chaise. Elle se déshabilla, me faisant un vrai strip tease sexy, retirant le haut, plus son short, puis ses sous-vêtements, avec une certaine lenteur, me laissant admirer toujours plus son corps de rêve.
« Déshabille-toi, m’ordonna-t-elle. »
Je n’aimais pas trop recevoir des ordres et y obéir, mais je ne comptais pas rester habillé de toutes les façons. Toujours assis sur ma chaise, je retirai mon jean mon caleçon et mon t-shirt. Sarah vint sur moi, me tourna le dos, et s’empala sur mon sexe tendu. Elle démarra aussitôt de puissants va-et-vient, se déhanchant de gauche à droite ou allant d’avant en arrière. Elle se servait du mouvement de la chaise à bascule pour me donner des coups de reins plus amples et plus délicieux que d’habitude. Elle détacha ses cheveux, et les laissa tomber en cascade tout autour d’elle, et comme je la voyais de dos, je fus aux premières loges. De manière générale, la vu qu’elle offrait de dos était merveilleuse, de par ses hanches qui s’activaient encore et encore, et de par son fessier qui se secouait juste sous mon nez. Ballotté sur sa chaise, je prenais mon pied comme rarement, poussant des cris, tout en massant ses fesses si rondes. Sarah se mit à bondir sur ma queue, et je lâchai de grands cris, tandis qu’elle me chevauchait avec toujours plus de vigueur. Elle se tourna vers moi, et me lança un sourire moqueur, ce fut la goutte d’eau qui me fit déborder.
Je me redressai d’un coup, et la poussai jusque sur son lit, où elle s’écroula à quatre pattes. Je vins derrière elle, et la saisis par les hanches, avant de la prendre en levrette. Je la baisai puissamment, reprenant le contrôle sur elle, et la faisant gémir de la plus délicieuse des façons. Elle voulut se débattre, mais j’accentuai mes assauts, et la saisis par les cheveux pour la calmer. Ca fonctionna parfaitement, elle poussa des cris de plaisir, et dut se laisser faire, subissant mes assauts, le corps crispé par le plaisir que je lui apportais. Moi je serrai les dents pour tâcher de contenir l’orgasme, et ce n’était vraiment pas facile, car à chaque coup de rein, je tremblais d’extase, et voir Sarah à quatre pattes, se tortiller et gémir était incroyablement excitant. Néanmoins, je réussis à me contenir, et à prolonger cette fantastique séance de pilonnage.
Mais je ne me méfiai pas assez : Sarah parvint à se dégager, et me poussa en arrière. Avant que j’aie eu le temps de dire ouf, elle me jeta à nouveau sur sa chaise à bascule. Elle vint sur moi, et se mit à me chevaucher en andromaque, allant d’avant en arrière, me maintenant plaqué contre le dossier en me tenant par les épaules. Ses va-et-vient s’accéléraient, la chaise se basculait en suivant leur rythme, et le plaisir augmentait encore et encore, tandis qu’elle me baisait. Je me débattis, cherchai à reprendre le dessus, mais entre ses mains qui me tenaient les épaules, et ses coups de reins qui me culbutaient sur sa chaise, je n’arrivais pas à grand-chose. Sarah en prit conscience, et se mit à se déhancher, faisant comme une danse du ventre tout en me regardant droit dans les yeux, un sourire moqueur aux lèvres.
« Avoue, tu aimes subir ce que je te fais ! »
Elle fit un mouvement de hanche bien appuyé, ma queue s’enfonça loin en elle et je poussai un cri.
« Pas du tout, répliquai-je de mauvaise foi, je m’ennuie là… »
Elle eut un sourire narquois, et enchaîna deux autre coups de hanche, tout aussi bien appuyés. Je poussai un grand cri, et me sentis vibrer de la tête aux pieds. Sarah me fixa d’un air de défi, et refit son mouvement de hanche, encore et encore, les enchaînant sans répit. A chaque fois, on poussait un grand cri, et on s’approchait inexorablement de l’orgasme. Sarah me mettait au défi de lui résister, et je faisais de mon mieux, mais elle bougeait trop bien et avec le mouvement de la chaise à bascule, c’était indescriptible. A chaque coup, c’était un feu d’artifice. Je pus résister quelques minutes, le temps que Sarah ait le corps en sueur, et le visage déformé par le plaisir à force de me baiser aussi bien. Mais elle arborait surtout un air triomphant : elle me baisait à sa guise et elle savait bien que tôt ou tard, je finirai par craquer sous ses assauts. Je soutenais son regard, et tâchais de tenir le plus longtemps possible. Sarah continuait son implacable danse du ventre, me fixant avec l’arrogance de celle qui sait bien qu’elle va gagner au final. Et c’est ce qui arriva. Elle me donna un énième coup de rein, qui fit monter en moi le plaisir à un niveau dangereux. Avant que je n’aie pu le contenir, elle enchaîna avec un autre mouvement de hanche, et je craquai, explosant de jouissance, me déversant en elle. Elle me donna deux autres coups, prolongeant ma jouissance, jusqu’à ce qu’elle ait son orgasme à son tour.
Sarah se releva. Elle était essoufflée, mais visiblement heureuse.
« T’as pris cher sur ce coup là… ça t’apprendra l’humilité j’espère. »
Je me relevai, vexé, mais trop sonné pour répliquer. Je m’allongeai sur son lit, désireux de m’endormir après cette baise magnifique. Mais Sarah ne l’entendait pas de cette oreille. Elle me mit sur le dos, me plaquant contre le matelas, et avant que je ne me remette de ma surprise, elle m’attacha avec des menottes cachées dans sa table de nuit.
« Te voilà à ma merci beau gosse ! Notre belle épopée va se conclure par une soumission totale de ta part. »
« Rêve ! Détache moi et tu vas voir qui va soumettre qui… »
Elle se pencha sur moi, sourire moqueur aux lèvres.
« T’as déjà eu ta chance mon beau, et t’as perdu. Maintenant, je vais te régler ton compte. »
Elle se pencha sur mon sexe, et doucement, le prit en bouche. Elle commença à me pomper, lentement, prenant possession de mon sexe progressivement, guettant mes réactions, tandis que ses lèvres enserraient doucement ma queue, qui coulissait dans sa bouche. Elle avait beau y aller lentement, c’était néanmoins très bon, car elle savait comment doser la pression de ses lèvres. Si bien que lorsqu’elle se mit à accélérer, je frémis de plaisir, et lorsqu’elle alla soudainement à grande vitesse, jouant de sa langue, je me mis à pousser de grands cris, et me démenai sous l’effet du plaisir. Sarah m’observait, les yeux brillant de satisfaction, et se remit à aller doucement, suçant mon sexe langoureusement, comme si c’était une glace. Puis elle s’arrêta tout à fait, pour ma plus grande frustration.
« Qu’est-ce que tu fous ? grognai-je. »
« Je vais te rendre dingue, attends. »
Elle saisit mon sexe à pleine main, et se mit à me branler, allant directement à un rythme élevé. Elle savait y faire, et je recommençai bien vite à gémir et à me tortiller. Elle accéléra le rythme, accentuant sa pression au niveau du frein, tout en me massant les boules avec l’autre main, me faisant vivre un vrai délice. Le plaisir montait et montait en moi, tandis que Sarah m’observait avec attention. A un moment, elle arrêta tout, et je sentis une terrible frustration me prendre.
« Tu fais quoi ? »
J’avais du mal à cacher mon agacement. Sarah sourit et me répondit.
« Attends un peu… »
Elle attendit une vingtaine de secondes, puis dit :
« Fausse alerte, on reprend. »
Elle se remit à me branler, reprenant à un rythme soutenu, et je me remis bien vite à vibrer et à crier de plaisir. Sarah me sourit, et de son autre main me pressa les boules, provoquant une nouvelle décharge de plaisir. Elle accéléra le tempo, avant de soudainement s’arrêter de nouveau. Elle attendit à nouveau mais cette fois-ci, le plaisir qu’elle m’avait procuré continuait de bouillonner en moi, et j’eus au bout d’une vingtaine de secondes, une sorte de faux orgasme. Je me mis à jouir, mais de façon diffuse. Ce n’était pas un orgasme qui comblait entièrement mon désir, c’était au contraire un petit orgasme, qui ne faisait que l’entretenir. Je poussai un léger cri, car c’était néanmoins bon, mais je râlai :
« C’est quoi ça ? J’ai à peine joui là ! »
Sarah eut un sourire sadique.
« T’en veux plus ? »
« Ouais ! »
« Alors demande moi. »
« Tu veux que je te supplie ? grognai-je. »
« Oh non. Demande moi juste poliment. »
Je fronçai les sourcils. Sarah m’observait avec un sourire confiant, comme si elle savait déjà ce qui allait se passer. J’étais vraiment dans un piètre état : attaché, à sa merci, haletant et brûlant de désir et de frustration. Je dus me résigner.
« S’il te plaît Sarah, tu peux reprendre ? »
Elle eut un sourire, et se remit à me branler. Seulement elle n’avait pas fini son petit jeu, loin de là. Elle me branla, faisant monter le plaisir, avant d’à nouveau tout arrêter, pour me laisser avoir mon faux orgasme. De nouveau frustré je lui demandai de reprendre, et à nouveau elle recommençait. C’était assez terrible pour moi, car j’étais en permanence dans la frustration, mais c’était aussi très bon, car elle me branlait extrêmement bien. J’ai peine à l’admettre, mais c’était excellent d’être ainsi à se merci, d’avoir mon plaisir littéralement entre ses mains. C’est elle qui contrôlait tout. Au bout d’une dizaine de minute de ce traitement, je n’en pouvais plus. Après un énième faux orgasme, je m’exclamai, criant à moitié :
« Tu peux pas me baiser pour de bon ? J’en peux plus de ce que tu me fais. »
Sarah sourit, et je vis passer dans ses yeux une lueur de triomphe.
« Alors supplie moi beau gosse. »
Je grimaçai. Je n’avais aucune envie de la supplier, mais je n’avais pas le choix.
« Je t’en supplie. »
« Tu me supplies de quoi, déjà ? »
Je poussai un soupir exaspéré. Elle voulait que je m’humilie jusqu’au bout.
« Je t’en supplie, baise moi. »
Elle sourit, laissant éclater son triomphe.
« Eh bah voilà, c’était pas si dur… »
Elle s’empala sur mon sexe, toujours tendu, et avec un air conquérant, se mit à me baiser sauvagement. Elle semblait décidée à en finir, aussi elle alla tout de suite très rapidement, ses hanches percutant les miennes avec violence, tandis qu’elle me toisait d’un air dominateur. En pleine confiance, elle profitait de ce que j’étais attaché pour me torturer, me griffant le torse, me donnant des gifles, tout en me souriant d’un air diabolique. C’était incroyablement bon. Après de longues minutes maintenu en frustration, cette baise sauvage était pile ce dont j’avais besoin. Evidemment j’étais à nouveau dominé par une belle fille, et mon égo en souffrirait plus tard, mais plus tard c’était tellement loin ! En attendant, je profitai à fond de la chevauchée de Sarah, de la sensation de mon sexe ballotté par ses coups de reins, des frissons qu’elle me procurait quand elle me mettait une claque ou qu’elle me griffait. Et puis, elle était tellement belle à me chevaucher comme ça, comme une furie son corps de rêve tout en mouvement, ses cheveux et ses seins se secouant, et son sourire diabolique ! Je ne pus tenir plus longtemps, et rendant les armes, j’explosai dans un superbe orgasme que Sarah prolongea encore et encore, manquant de me tuer, jusqu’à jouir à son tour.
Hors d’haleine, Sarah me détacha. Elle ne dit rien, mais son air satisfait et même comblé en disait long, sur la joie qu’elle avait de m’avoir soumis. Quant à moi, j’estimai que c’était là une défaite largement appréciable. On s’allongea côté à côte, et paisiblement on s’endormit.
« Salut ! Tu bois pour oublier l’exam ? »
Je me retournai, et c’était Sarah. En ce chaud mois de mai, elle portai un t-shirt aux manches longues. Pour une fois, elle ne portait pas de chignons, et laissait ses longs cheveux châtains tomber en cascade autour d’elle. Elle était vraiment belle comme ça.
« Salut, toi. Ouais j’avoue que ça me ferait du bien. »
Elle eut un petit rire, et s’assit en face de moi.
« Je te comprends. Sérieux c’était quoi ce sujet de merde ? »
« Je suis presque sûr, que ça a jamais été au programme ça. »
« T’es sûr d’avoir bossé suffisamment aussi ? lança-t-elle en souriant. »
« Évidemment. »
« J’ai l’impression que t’as plus passé de temps dans un lit à besogner de belles étudiantes, que chez toi à réviser. »
« N’importe quoi. En plus, finalement j’ai pas couché avec tant d’étudiantes que ça. »
« Ah oui ? »
« Non. A part toi, Francesca, et Eva, personne. Et j’ai pas couché avec toi et Francesca depuis Octobre. »
Un serveur vint prendre notre commande, interrompant notre discussion. Sarah commanda un repas complet, et me lança :
« Ça te dit pas de rester manger avec moi ? »
« J’habite pas ici, moi, je dois prendre le train pour rentrer. »
Elle me saisit la main, par-dessus la table.
« Allez ! Reste avec moi s’il te plaît. »
Quelque chose dans son regard, me convainquit d’accepter. Je pris commande, et le serveur après avoir tout noté, s’éloigna. Sarah qui me tenait toujours la main, la lâcha.
« Ça fait une éternité que j’ai pas baisée, lança-t-elle, comme si de rien n’était. »
Je tâchai d’avoir l’air indifférent.
« Ah ouais ? »
« Ouais, Francesca et moi on a décidé de pas baiser tant que l’autre est dans sa chambre, sinon ça crée des conflits. »
Sarah et Francesca, une de nos amies étudiantes, habitaient toutes les deux dans une chambre étudiante voisine. Si bien que quand l’une s’envoyait en l’air, l’autre l’entendait, et ça créait des frustrations et des conflits. Je m’étais retrouvé au coeur de cette querelle de voisinage… pour mon plus grand bonheur.
« Du coup tu baises jamais chez toi ? »
« Si, mais j’attends que Francesca soit pas là, ou qu’elle ait un plan cul elle aussi. Et vu qu’elle est souvent dans sa chambre et qu’elle drague pas beaucoup… je baise pas autant que je le voudrais. Là j’ai rien fait depuis un mois. »
Nos yeux se croisèrent, chacun de nous sut parfaitement où cette discussion allait mener.
« Donc ici, t’es en chasse ? Tu cherches un mec pour combler tes désirs ? »
« Exactement. »
« Bah alors ne t’occupe pas de moi, vas-y, cherche ta proie. »
Elle me sourit.
« Je l’ai déjà trouvée… »
Dix minutes plus tard, la porte de sa chambre s’ouvrait à la volée. Sarah et moi entrâmes, enlacés, nous embrassant furieusement. Je poussai Sarah contre le mur, et me collai à elle, tout en continuant à l’embrasser. Elle m’attira contre elle, me tenant par la nuque, jusqu’à ce qu’elle me repousse contre la porte encore grande ouverte, et me retire mon t-shirt avec fièvre, dévoilant mon corps musclé. Je la repoussai à l’intérieur de sa chambre étudiante, claquant la porte derrière moi. Je la saisis par les hanches, la soulevai jusqu’au lit, et la jetai dessus. Elle s’y étala avec un petit soupir d’excitation. Je retirai mon jean et caleçon, tandis qu’elle se déshabillait totalement, se retrouvant nue en un rien de temps. Je me jetai sur elle, la plaquai contre le matelas, et fou de désir, je la pris en missionnaire.
Elle poussa un petit cri lorsque mon engin entra en elle, et lorsque je me mis à aller et venir, la tenant fermement plaquée contre le matelas, je sentis tout son corps trembler de bien être. J’accélérai le rythme, elle se mit à gémir avec force, tout en se débattant pour échapper à mon contrôle. Mais impitoyable, je renforçai mon étreinte, et accélérai le rythme, la baisant avec plus de force, faisant tanguer son lit, et transformant ses gémissements en cris. Je la maintenais bien, aussi je pensais pouvoir garder le contrôle facilement. Mais Sarah était pleine de ressources. Elle se dégagea et me tirant par les cheveux, tout enroulant ses jambes autour de mes hanches, elle parvint à me renverser. Elle reprit ainsi le dessus, et se mit à me baiser en andromaque, me chevauchant avec force. Le plaisir fut immédiatement très intense, se déversant en vagues brûlantes en moi, me vrillant le cerveau délicieusement. Je tentai de la renverser, de diminuer la vitesse de ses coups de reins en la tenant par les hanches, mais rien à faire, elle résistait et me baisait de plus en plus vite, me clouant sur place à force de plaisir. Plus le temps passait, et plus Sarah devenait sauvage et sûre d’elle. Elle me baisait toujours aussi bien, et me griffait le torse en prime, me souriant même d’un air moqueur. Cependant, lorsqu’elle glissa un doigt dans ma bouche, pour que je le suce, elle commit une erreur. Je lui mordis le doigt, pas trop fort, juste assez pour qu’elle soit surprise. J’en profitai alors pour la renverser.
Bien décidé à remettre les pendules à l’heure, je la retournai, et la mis à quatre pattes. Il était temps de faire parler la levrette. Je la pénétrai, et elle frissonna. Je me mis à aller et venir, la percutant avec force, et elle poussa des petits cris si excitants que ça faillit me faire jouir. J’accélérai le rythme, et lui claquai ses fesses bien rebondies, et elle souffla « oouuuui baise moi ! » Je la saisis alors par les cheveux, lui tirai la tête en arrière, et me mis à aller si vite et si fort, que tout son corps se raidit, comme sur le point d’exploser, alors que mon sexe emplissait toute son intimité et en cognait le fond délicieusement. J’adorais la levrette, c’était si bon ! J’allais si loin en elle, j’en tirais tellement de plaisir ! Et voir tout corps, surtout son fessier ballotté par mes coups de reins, quel pied ! J’allais trop vite et trop fort pour tenir longtemps. Après dix minutes dans cette position, nous explosâmes tous les deux dans un orgasme, qui nous fit hurler à pleins poumons.
On resta un moment, essoufflés sur le lit. Sarah était visiblement comblée. Elle se tourna vers moi et lança :
« C’était vraiment délicieux ! Par contre je suis pleine de sueur, je vais me doucher. »
Elle alla dans la salle de bain. Je pris mon portable, et envoya un SMS à mes parents pour leur dire que je ne rentrerai pas ce soir. Puis, j’hésitai quelques secondes… et me précipitai à la salle de bain. Sarah venait à peine d’entrer dans la douche, que j’ouvris avec force, avant de l’y rejoindre. Elle se tenait sous le jet d’eau de la douche, totalement nue, les cheveux trempés en arrière, le corps ruisselant d’eau. Elle était tellement sexy que je bandai aussitôt. Je m’approchai d’elle, et la saisissant par les hanches, l’attirai contre moi.
« Je me demandai si t’aurais assez d’énergie pour me rejoindre… susurra-t-elle. »
« Je te laisse en juger… »
Je la retournai, et la plaquai de face contre la paroi de la douche. Puis j’approchai mon sexe tendu de son intimité, lui faisant sentir ma raideur. Elle en gémit d’excitation. Chaud bouillant moi aussi, je la pénétrai avec délice, et me mis à la baiser en levrette. Je commençai doucement, m’enfonçant progressivement en elle, allant à un rythme mesuré. Le plaisir montait progressivement, tandis que l’eau chaude nous aspergeait, augmentant sensiblement notre excitation. Puis, de plus en plus, j’accélérai le rythme, la culbutant avec plus de force, allant plus loin en elle. Le plaisir augmenta brusquement, pour Sarah comme pour moi. Elle commença à gémir, et tortilla ses belles petites fesses, augmentant encore le plaisir que j’éprouvais en la baisant. Je la redressai, collant son dos contre mon torse, et me mis à dévorer sa nuque et son épaule, tandis que je lui administrai de puissants coups de butoir par en dessous la percutant à chaque fois avec force, et lui arrachant systématiquement un cri de plaisir. Je la pris comme ça un bon moment, tout en continuant à l’embrasser à la nuque et à l’épaule, et en lui murmurant à l’oreille des choses salaces. Ensuite, je la plaquai contre la paroi de la douche, la pressant contre la vitre, et vins me coller contre son dos. J’enchaînai alors de puissants et rapides coups de reins, la démontant avec force tandis que je vibrais de plaisir. Sarah n’en pouvait plus, coincée entre moi et la vitre, elle hurlait de plaisir tandis que je la prenais sauvagement encore et encore. Son corps se raidit, sa respiration devint sifflante et je compris qu’elle allait avoir un orgasme. J’accélérai alors soudainement le rythme, et allai si vite qu’elle explosa aussitôt, jouissant avec délectation, se secouant dans tous les sens. Ça eut le don de me rendre dingue, et je ne tardai pas à jouir à mon tour, me déversant comme un geyser en elle.
Ivres de plaisir, on se doucha, et on alla se coucher, tellement sonnés et comblés qu’on échangea à peine trois mots. On se coucha, et on s’endormit aussitôt.
Le lendemain, nous eûmes une mauvaise surprise : il était 8h 45, le partiel commençait à 9h ! Épuises par notre partie de jambes en l’air de la veille, nous avions trop dormi. Nous nous habillâmes en hâte, et déjeunâmes à peine. Heureusement que Sarah habitait à côté de l’amphi, nous pûmes y arriver à temps.
Ce nouveau partiel fut long, et assez difficile. A 13h, je l’avais enfin fini, et allais déjeuner. Je ne retrouvai pas Sarah, et ça me déçut un peu, j’aurais bien aimé lui parler après notre nuit de folie. A 14h, j’avais un nouveau partiel, j’y allai, et passai l’examen du mieux que je pus. Quand ce fut fini, je me dirigeai vers la gare, pour rentrer chez moi. Mais alors que j’étais dans la rue, à mi-chemin entre ma fac et la gare, une voix me héla :
« Tu fais quoi ? »
Sarah me rattrapait. Je remarquai alors que sa tenue était plus sexy que la veille : toujours le même jean serré en bas, mais en guise de haut, elle portait un débardeur au décolleté large, qui mettait bien en valeur son 95C. Elle éveilla aussitôt mon intérêt.
« Tu rentres chez toi ? reprit-elle. »
« Ouais. Pourquoi ? »
« Bah… je me serais bien envoyée en l’air avec toi, cette nuit. »
« Quoi ? Encore ? »
« Bah ouais. »
« Désolé, mais je vais rentrer chez moi. »
Elle me saisit par la ceinture de mon jean, et m’attira contre elle.
« T’es sûr ? souffla-t-elle. »
Je tâchai de maîtriser mon excitation, et répondis :
« A la réflexion, je serais bien partant pour te sauter encore… »
Elle eut un sourire ravi, et on se dirigea vers sa chambre universitaire. En chemin, je prévins mes parents par SMS que je ne rentrerai pas ce soir.
Comme la veille, la porte de la chambre de Sarah s’ouvrit à la volée. La belle étudiante fut précipitée en avant, et plaquée de face contre le mur par votre serviteur. Je vins derrière elle, et me pressai contre son fessier, appréciant sa rondeur et sa fermeté. J’embrassai ensuite Sarah dans la nuque, me délectant de ses soupirs de plaisir. Elle se retourna, et me poussa contre le mur d’en face, avant de venir se mettre à genoux devant moi, et de me retirer mon pantalon, puis mon caleçon. Mon sexe libéré, se dressa, tendu et prêt pour la suite. Sarah me le prit en main, et se mit à me branler, d’abord doucement, puis avec de plus en plus d’entrain, le pressant avec passion, accentuant son geste au niveau du gland, me faisant un bien fou. Elle n’avait pas fini cependant, et prit mon sexe en bouche, pour démarrer une délicieuse fellation. Elle enchaîna les va-et-viens avec sa bouche, pompant mon sexe avec énergie, jouant de sa langue pour m’arracher des cris, tout en me massant les boules. C’était si bon, que je chancelai sur mes pieds, et poussai des gémissements incontrôlés. Sarah me fit vivre un véritable délice pendant un long moment, suçant léchant et branlant mon sexe si bien, que je manquai de jouir au moins trois fois. Quand elle estima en avoir fait assez, elle se redressa, sourire coquin aux lèvres.
Elle me tira par mon jean, et m’entraîna jusqu’à sa chambre. J’étais pressé de passer à la suite. Elle me jeta sur le lit, et se déshabilla devant moi, retirant son débardeur, puis son soutif, avant de se débarrasser de son jean et shorty. Elle me laissa l’admirer nue quelques secondes, avant de soudainement venir sur moi, et de s’empaler sur mon sexe tendu. Nous poussâmes tous les deux un cri de plaisir.
Elle me mit deux ou trois coups de reins bien sauvages, qui me firent crier de plaisir. Puis elle me retira mon t-shirt, et passa ses ongles sur mon corps musclé, me faisant frissonner. Un sourire satisfait aux lèvres, elle démarra une puissante chevauchée, allant en avant en arrière, s’empalant sur ma queue avec passion. A chacun de ses coups de reins, mon sexe allait loin en elle, cognant le fond de son intimité, et me faisant vibrer de plaisir. Sarah gémissait de plus en plus fort, à mesure que le rythme de ses assauts accélérait, et elle devenait de plus en plus sauvage, me griffant et me claquant comme une folle. Je tentai bien de me débattre, mais avec une telle furie, ce n’était pas facile. J’essayais de l’attraper par les hanches ou les mains pour pouvoir la renverser, mais c’est elle qui m’attrapait par les poignets, et accentuait ses coups de reins pour me tenir tranquille. Je cherchais à donner des coups de reins par en dessous, mais elle me surclassait aisément, en allant plus vite. Mes rébellions de plus en plus faibles lui tirèrent un sourire narquois, alors que ses coups de reins à elle devenaient de plus en plus forts. Le plaisir coulait en moi, de plus en plus intense, et voir Sarah se déchaîner comme ça était hyper excitant. Ses cheveux en bataille, tombant en crinière tout autour de son visage lui donnaient un air de sauvageonne, son corps de rêve s’agitait dans tous les sens, surtout sa poitrine qui se secouait. Je finis par me laisser aller, et profitai de me faire baiser ainsi. J’admirai Sarah en plein effort, tout en profitant du plaisir qu’elle me procurait en me baisant si bien. Je sentais bien que je ne pourrais pas tenir plus longtemps, et lorsqu’elle accéléra une dernière fois, soulevant son corps magnifiquement, je ne pus que craquer et explosai dans un merveilleux orgasme, me déversant en elle, tandis qu’elle jouissait aussi.
On s’écroula sur le lit, essoufflés, épuisés et ravis. On ne tarda pas à s’endormir, côte à côte. Pendant la nuit, je me réveillai cependant, ayant trop chaud pour dormir. Je me levai et allai le plus discrètement possible boire un verre d’eau. Quand je me remis au lit cependant, je réveillai Sarah sans faire exprès.
« Tu dors pas ? Demanda-t-elle. »
« Désolé, je voulais pas te réveiller. »
« Oh c’est pas grave, je sais comment te fatiguer… »
Elle se colla contre moi et m’embrassa délicieusement. Je lui rendis son baiser, et sentis Puis, elle me plaqua contre le matelas, et vint au-dessus de moi. Elle s’empala sur moi, avec un petit cri, et commença à me chevaucher me baisant en se déhanchant de gauche à droite comme une danseuse. Des frissons me parcoururent le corps, pendant que Sarah commençait à gémir doucement. Elle accéléra progressivement le rythme de ses va-et-vient, son visage tordu par des grimace incroyablement sexy. Lorsqu’elle fit un mouvement de hanche particulièrement fort, elle rejeta la tête en arrière en poussant un petit cri. J’en profitai pour reprendre le dessus, la saisissant par les hanches et la plaquant contre le matelas. Elle se débattit, mais lorsque je la pris en missionnaire, allant directement à un rythme élevé, elle se mit à gémir, et se laissa faire. Je la pris par les mains, et accentuai la puissance de mes assauts, la culbutant contre le matelas avec force. Sarah se mit à gémir, et m’embrassa l’épaule pendant que je la prenais avec de plus en plus de vigueur. Je lui donnai un coup de reins particulièrement fort, et avec un gémissement d’extase, elle me mordit l’épaule. Surpris, je me reculai.
« Eh ! Doucement avec les dents ! »
Elle me sourit.
« Alors doucement avec tes reins, mon beau. »
« T’adores ça. »
« Ouais… et toi aussi, t’adores quand je te mords… »
Je la saisis par le menton, et lui envoyai un nouveau coup de rein, lui arrachant un grand cri. Je recommençai, encore et encore, la faisant chavirer. Sarah m’enserra avec ses jambes, m’attirant plus près d’elle, et je n’y prêtai pas attention, accélérant le rythme. Le plaisir devenait si fort, que je ne pensais plus qu’à une seule chose : la baiser le plus fort et le plus vite possible. Sarah profita de mon manque d’attention, et me renversa. Toujours empalée sur moi, elle me sourit et me lança : « prépare toi beau gosse, je vais te rendre la monnaie de ta pièce ». Elle tint parole : elle se mit à me baiser en andromaque, allant si vite et si fort que j’en fus ballotté d’avant en arrière. De brûlantes vagues de plaisir me submergèrent, et je poussai de grands cris. Plaisir et fatigue formaient un cocktail terrible, qui m’ôtait toute envie de continuer à lutter : Sarah me baisait tellement bien, autant se laisser aller ! Elle gémissait de plus en plus fort, tout en me regardant d’un air moqueur, tandis que ses coups de reins diaboliques me faisaient inexorablement monter au septième ciel. Lorsqu’elle se mit à bondir sur mon sexe, allant de haut en bas avec fougue, je me sentis chavirer tant c’était bon, et serrai les dents pour contenir autant que possible la vague de plaisir qui me submergeait. Sentant que j’étais sur le point de craquer, Sarah accentua ses efforts, alla plus vite, et me percuta avec plus de force, jusqu’à ce que je craque, et que j’explose dans un nouvel orgasme, qui me donna l’impression de m’évanouir tant c’était bon. Sarah poussa un grand cri lorsqu’elle jouit à son tour, et essoufflée, tomba sur son lit.
« C’était, géant souffla-t-elle. »
« Ouais, répondis-je hors d’haleine. »
On ne tarda pas à se rendormir. Le lendemain, nous nous réveillâmes à temps cette fois-ci. Sarah avait en effet pensé à son réveil. On se prépara tranquillement, et comme je fus prêt le premier, c’est moi qui sortis avant elle. Lorsqu’elle me rejoignit dehors, j’eus un petit frisson : elle était vraiment habillée de façon sexy. Elle avait en haut le même débardeur qu’hier, toujours aussi sexy, mais cette fois-ci, elle ne portait pas un jean, mais un mini-short, qui dévoilait largement ses belles jambes, et moulait son fessier d’une façon presque indécente.
« Tu vas y aller comme ça ? lui demandai-je. »
« Bah ouais pourquoi pas ? »
« Tu vas déconcentrer tout le monde… »
« Les autres je m’en fiche : y a qu’un seul mec à qui je veux faire vraiment tourner la tête… »
Elle me fit un petit sourire, pour appuyer ses propos, et se mit en marche vers la fac. Elle avait une démarche lascive, qui mettait bien en valeur son postérieur. Je poussai un léger grognement : la journée avait à peine commencé que j’étais déjà excité à fond. Je rattrapai Sarah. On discuta de choses et d’autres, tout allait bien, jusqu’à ce qu’elle me lance :
« C’était excellent cette nuit ! »
« Oh oui ! »
« Je t’ai vraiment baisé comme je le voulais… t’as pris un sacré coup de soumission mon pauvre. »
Je lui jetai un regard noir.
« Tu me cherches ? »
Elle me répondit par un sourire moqueur.
« Oui. »
On arrivait devant l’amphi où devait se dérouler l’examen. Je n’avais pas le temps de punir sa prétention. Chacun des élèves se plaça devant sa copie, et pendant plus d’une heure, je dus m’efforcer de ne pas penser à Sarah. Seulement, c’était plus facile à dire qu’à faire : régulièrement, je levais les yeux et croisais son regard, et alors elle me lançait un sourire coquin qui avait le don de m’échauffer. C’était dur de se concentrer ! En même temps, je remarquai que je n’étais pas le seul à avoir du mal à m’adonner à mon travail : les examinateurs, censés nous surveiller, négligeaient complètement leur travail. Ils bavardaient entre eux, et c’est à peine si ils faisaient attention à ce que leur conversation ne dérange pas les élèves en plein examen. On sentait vraiment que c’était le dernier examen de l’année. J’envisageai vaguement de profiter de la situation : vu leur vigilance, ça m’aurait été très facile de prendre mon portable et d’aller voir sur internet pour m’aider à composer mon sujet… Mais je me ravisai : tricher c’était pas mon style. En revanche, une demi-heure après avoir eu cette vilaine, pensée, il m’en vint une autre, beaucoup plus redoutable, et beaucoup plus tentante… Une fois encore, mes yeux s’étaient égarés vers Sarah, et je m’étais perdu dans la contemplation de ses bras dénudés, de sa peau finement bronzée par le soleil printanier, de sa nuque, largement découverte, vu qu’elle était coiffée de son habituel chignon, et bien sûr, de son décolleté… Lorsque nos yeux s’étaient croisés, il m’était soudain venu une pensée affreusement tentante : puisque les examinateurs nous surveillaient comme des manches, pourquoi ne pas en profiter pour s’éclipser tous les deux, et soulager nos envies de sexe intense ?
Je fis signe à Sarah, tâchant de lui faire comprendre ce que je voulais. Ses yeux s’aggrandirent lorsqu’elle saisit le message, mais avec un sourire aguicheur, elle fit signe qu’elle était d’accord. Elle se retira la première, discrètement. Quelques minutes plus tard, je fis de même, bougeant lentement, me dirigeant hors de l’amphi à une allure d’escargot, n’osant pas respirer. Bien sûr, on avait le droit de quitter l’amphi pendant l’examen pour aller aux toilettes. Théoriquement, on devait demander la permission, mais si on le faisait sans, ce n’était pas non plus la fin du monde. En revanche, si quelqu’un était déjà parti aux toilettes, on devait attendre qu’il revienne… Si les examinateurs avaient été attentifs à leur travail, ils auraient vu Sarah partir la première, et m’auraient dit de rester. Mais on risquait encore plus gros : si on nous surprenait ensemble dans les toilettes, on pourrait croire que nous trichions, et alors là, ça serait notre fête… Et d’ailleurs, si on découvrait ce que nous faisions vraiment, ça ne serait guère mieux. Baiser dans la fac est déjà interdit, alors en plein examen… Mais qu’importe : le désir était trop grand, à la seule idée de devoir attendre jusqu’au soir pour me faire Sarah, j’avais l’impression de mourir de frustration.
Je la vis entrer dans des toilettes. Après avoir vérifié que personne ne nous voyait, je la suivis. Un seul cabinet était fermé, j’en déduisis que Sarah était dedans. J’ouvris la porte, et entrai à l’intérieur. Sarah m’accueillit en me saisissant par le t-shirt, et me plaquant contre le mur, un sourire aux lèvres. Elle m’embrassa suavement, et je lui rendis son baiser, mes mains s’élançant vers son fessier, que je massais avec vigueur et enthousiasme. Notre baiser s’intensifia, je goûtais à ses lèvres, me sentant de plus en plus comblé dans mes désirs. On se sépara, haletants, et excités.
« On risque gros, t’es au courant ? »
« On a le choix ? répliquai-je. »
Comme moi, elle était essoufflée, le visage légèrement rougissant, et elle tremblait de désir. Il était évident qu’on avait dépassé depuis longtemps le point de non-retour.
« Non, souffla-t-elle. »
Je la repoussai, et la plaquai contre le mur d’en face, et elle poussa un petit gémissement d’excitation. Nous n’avions pas énormément de temps, alors je passai tout de suite aux choses sérieuses. Je la soulevai, et lui retirai son mini-short et son shorty, et elle me débarrassa de mon pantalon et caleçon. Avec vigueur, je la pénétrai, et me mis à la baiser contre le mur. Toujours anxieux à l’idée qu’on nous découvre, j’allai très vite, lui infligeant de puissants coups de reins qui la faisaient sautiller entre mes bras, et la culbutaient contre le mur. Elle se mit à gémir, de plus en plus fort, et je la bâillonnai avec une main, pour ne pas qu’on nous entende. C’était extrêmement excitant de la prendre ainsi, je tremblais littéralement de plaisir et d’excitation. Sarah enroula ses jambes autour de moi, et m’attira contre elle. Ravi de cette idée, j’écrasai mon corps contre le sien, et lui donnai des coups de reins moins rapides, mais plus puissants, et qui allaient plus loin en elle. Je la sentais frémir de tout son être à chaque fois que mon sexe allait cogner le fond de son intimité, et ça me rendait dingue. Je lui lâchai la bouche, pour venir l’embrasser le plus sensuellement possible. En même temps, je lui administrai plusieurs coups de reins particulièrement puissants, si bien que notre baiser fut un peu désordonné.
On se sépara, et je la posai au sol. Elle voulut me pousser en arrière, mais je la retins, et la retournai, avant de la plaquer de face contre le mur.
« Je t’avais prévenu, dis-je, je vais te faire payer ce que tu m’as fait cette nuit… »
Elle eut un petit frisson d’excitation… mais je sentais un peu d’angoisse aussi. Et elle avait raison : bien décidé à me venger, je la sodomisai, enfonçant non sans quelque difficulté mon sexe dans son cul. Elle poussa un grand cri, je la bâillonnai à nouveau, et démarrai des va-et-vient, d’abord lents, histoire qu’elle ait pas trop mal, puis de plus en plus rapidement, quand je sentis que le plaisir avait pris le pas sur la douleur chez elle. J’allai vite et fort en elle, vibrant de plaisir en sentant mon sexe coulisser à l’intérieur de son petit cul si étroit. En même temps, je lui massai les seins avec vigueur à travers son débardeur, les malaxant de ma main libre, savourant leur fermeté. Sarah se tortillait, et poussait des gémissements étouffés de plus en plus répétés. Elle secouait ses fesses, mordillait la main qui tenait sa bouche, se démenait comme une sauvage, sans parvenir à se libérer de l’étreinte de mes bras puissants, qui la tenaient contre moi, tandis qu’encore et encore, ma queue la limait avec force. Lorsque je sentis l’orgasme approcher, j’accélérai l’allure, entamant le sprint final. Cela mit fin aux rébellions de Sarah, qui n’eut d’autre choix que de se laisser aller, et de subir mes assauts de plus en plus violents. Après une série de puissants coups de reins, je finis par jouir dans un orgasme merveilleux, me déversant dans son cul. Elle me rejoignit bien vite, jouissant à son tour.
On se rhabilla vite fait. Puis chacun de nous retourna l’un après l’autre à l’amphi. Sarah y alla la première, j’attendis cinq minutes avant d’y aller à mon tour. Les élèves continuaient de composer, les surveillants continuaient de néglier leur boulot. Sarah et moi échangeâmes un regard… et je lui adressai un sourire moqueur. Elle n’avait que ce qu’elle méritait. Elle eut un air vaguement agacé, et se remit à son travail.
A la fin de la journée, j’étais fatigué mais heureux : enfin en vacances ! Et je savais exactement comment je comptais fêter ça. Je retrouvai Sarah, et lui dis :
« Hey ! Alors, comment… »
« La ferme, me coupa-t-elle. »
Je restai interdit.
« Quoi ? »
Elle me saisit par le t-shirt et approcha mon visage du sien.
« On retourne chez moi, et je te fais ta fête. »
J’eus un petit frisson, tandis qu’elle me prit par la main et m’entraînai d’un pas résolu vers les logements étudiants. On entra dans sa chambre en trombe, elle me tenait toujours par la main et m’attirait vers le lit. Je claquai la porte derrière nous, et la tirai vers moi. Je l’enlaçai, et lui dis d’un ton autoritaire :
« Ne cherche pas à faire ta dominante, je vais faire de toi ce que je veux, et tu vas te laisser faire comme une gentille petite fille. C’est clair ? »
Elle eut un sourire ironique.
« Mais oui, bien sûr…. »
Elle me saisit la bite à travers le pantalon, et serra fort. Je poussai un grognement de douleur, tandis qu’elle me tira en avant, et je me jeta non pas sur son lit, mais sur une chaise à bascule, posée non loin de là. Je m’y écroulai, et fus un moment ballotté par le mouvement de la chaise. Sourire coquin aux lèvres, Sarah s’approcha de moi. J’eus la brève impression d’être une sorte de lapin pris au piège par une lionne…
Sauf que la lionne en question était incroyablement sexy, dans son débardeur et mini-short sexy. Ses yeux brillaient d’excitation, et je n’en pus plus d’attendre. Je me redressai d’un coup, bien décidé à la prendre sur le champ, mais elle me repoussa direct, et je m’effondrai à nouveau sur la chaise. Elle se déshabilla, me faisant un vrai strip tease sexy, retirant le haut, plus son short, puis ses sous-vêtements, avec une certaine lenteur, me laissant admirer toujours plus son corps de rêve.
« Déshabille-toi, m’ordonna-t-elle. »
Je n’aimais pas trop recevoir des ordres et y obéir, mais je ne comptais pas rester habillé de toutes les façons. Toujours assis sur ma chaise, je retirai mon jean mon caleçon et mon t-shirt. Sarah vint sur moi, me tourna le dos, et s’empala sur mon sexe tendu. Elle démarra aussitôt de puissants va-et-vient, se déhanchant de gauche à droite ou allant d’avant en arrière. Elle se servait du mouvement de la chaise à bascule pour me donner des coups de reins plus amples et plus délicieux que d’habitude. Elle détacha ses cheveux, et les laissa tomber en cascade tout autour d’elle, et comme je la voyais de dos, je fus aux premières loges. De manière générale, la vu qu’elle offrait de dos était merveilleuse, de par ses hanches qui s’activaient encore et encore, et de par son fessier qui se secouait juste sous mon nez. Ballotté sur sa chaise, je prenais mon pied comme rarement, poussant des cris, tout en massant ses fesses si rondes. Sarah se mit à bondir sur ma queue, et je lâchai de grands cris, tandis qu’elle me chevauchait avec toujours plus de vigueur. Elle se tourna vers moi, et me lança un sourire moqueur, ce fut la goutte d’eau qui me fit déborder.
Je me redressai d’un coup, et la poussai jusque sur son lit, où elle s’écroula à quatre pattes. Je vins derrière elle, et la saisis par les hanches, avant de la prendre en levrette. Je la baisai puissamment, reprenant le contrôle sur elle, et la faisant gémir de la plus délicieuse des façons. Elle voulut se débattre, mais j’accentuai mes assauts, et la saisis par les cheveux pour la calmer. Ca fonctionna parfaitement, elle poussa des cris de plaisir, et dut se laisser faire, subissant mes assauts, le corps crispé par le plaisir que je lui apportais. Moi je serrai les dents pour tâcher de contenir l’orgasme, et ce n’était vraiment pas facile, car à chaque coup de rein, je tremblais d’extase, et voir Sarah à quatre pattes, se tortiller et gémir était incroyablement excitant. Néanmoins, je réussis à me contenir, et à prolonger cette fantastique séance de pilonnage.
Mais je ne me méfiai pas assez : Sarah parvint à se dégager, et me poussa en arrière. Avant que j’aie eu le temps de dire ouf, elle me jeta à nouveau sur sa chaise à bascule. Elle vint sur moi, et se mit à me chevaucher en andromaque, allant d’avant en arrière, me maintenant plaqué contre le dossier en me tenant par les épaules. Ses va-et-vient s’accéléraient, la chaise se basculait en suivant leur rythme, et le plaisir augmentait encore et encore, tandis qu’elle me baisait. Je me débattis, cherchai à reprendre le dessus, mais entre ses mains qui me tenaient les épaules, et ses coups de reins qui me culbutaient sur sa chaise, je n’arrivais pas à grand-chose. Sarah en prit conscience, et se mit à se déhancher, faisant comme une danse du ventre tout en me regardant droit dans les yeux, un sourire moqueur aux lèvres.
« Avoue, tu aimes subir ce que je te fais ! »
Elle fit un mouvement de hanche bien appuyé, ma queue s’enfonça loin en elle et je poussai un cri.
« Pas du tout, répliquai-je de mauvaise foi, je m’ennuie là… »
Elle eut un sourire narquois, et enchaîna deux autre coups de hanche, tout aussi bien appuyés. Je poussai un grand cri, et me sentis vibrer de la tête aux pieds. Sarah me fixa d’un air de défi, et refit son mouvement de hanche, encore et encore, les enchaînant sans répit. A chaque fois, on poussait un grand cri, et on s’approchait inexorablement de l’orgasme. Sarah me mettait au défi de lui résister, et je faisais de mon mieux, mais elle bougeait trop bien et avec le mouvement de la chaise à bascule, c’était indescriptible. A chaque coup, c’était un feu d’artifice. Je pus résister quelques minutes, le temps que Sarah ait le corps en sueur, et le visage déformé par le plaisir à force de me baiser aussi bien. Mais elle arborait surtout un air triomphant : elle me baisait à sa guise et elle savait bien que tôt ou tard, je finirai par craquer sous ses assauts. Je soutenais son regard, et tâchais de tenir le plus longtemps possible. Sarah continuait son implacable danse du ventre, me fixant avec l’arrogance de celle qui sait bien qu’elle va gagner au final. Et c’est ce qui arriva. Elle me donna un énième coup de rein, qui fit monter en moi le plaisir à un niveau dangereux. Avant que je n’aie pu le contenir, elle enchaîna avec un autre mouvement de hanche, et je craquai, explosant de jouissance, me déversant en elle. Elle me donna deux autres coups, prolongeant ma jouissance, jusqu’à ce qu’elle ait son orgasme à son tour.
Sarah se releva. Elle était essoufflée, mais visiblement heureuse.
« T’as pris cher sur ce coup là… ça t’apprendra l’humilité j’espère. »
Je me relevai, vexé, mais trop sonné pour répliquer. Je m’allongeai sur son lit, désireux de m’endormir après cette baise magnifique. Mais Sarah ne l’entendait pas de cette oreille. Elle me mit sur le dos, me plaquant contre le matelas, et avant que je ne me remette de ma surprise, elle m’attacha avec des menottes cachées dans sa table de nuit.
« Te voilà à ma merci beau gosse ! Notre belle épopée va se conclure par une soumission totale de ta part. »
« Rêve ! Détache moi et tu vas voir qui va soumettre qui… »
Elle se pencha sur moi, sourire moqueur aux lèvres.
« T’as déjà eu ta chance mon beau, et t’as perdu. Maintenant, je vais te régler ton compte. »
Elle se pencha sur mon sexe, et doucement, le prit en bouche. Elle commença à me pomper, lentement, prenant possession de mon sexe progressivement, guettant mes réactions, tandis que ses lèvres enserraient doucement ma queue, qui coulissait dans sa bouche. Elle avait beau y aller lentement, c’était néanmoins très bon, car elle savait comment doser la pression de ses lèvres. Si bien que lorsqu’elle se mit à accélérer, je frémis de plaisir, et lorsqu’elle alla soudainement à grande vitesse, jouant de sa langue, je me mis à pousser de grands cris, et me démenai sous l’effet du plaisir. Sarah m’observait, les yeux brillant de satisfaction, et se remit à aller doucement, suçant mon sexe langoureusement, comme si c’était une glace. Puis elle s’arrêta tout à fait, pour ma plus grande frustration.
« Qu’est-ce que tu fous ? grognai-je. »
« Je vais te rendre dingue, attends. »
Elle saisit mon sexe à pleine main, et se mit à me branler, allant directement à un rythme élevé. Elle savait y faire, et je recommençai bien vite à gémir et à me tortiller. Elle accéléra le rythme, accentuant sa pression au niveau du frein, tout en me massant les boules avec l’autre main, me faisant vivre un vrai délice. Le plaisir montait et montait en moi, tandis que Sarah m’observait avec attention. A un moment, elle arrêta tout, et je sentis une terrible frustration me prendre.
« Tu fais quoi ? »
J’avais du mal à cacher mon agacement. Sarah sourit et me répondit.
« Attends un peu… »
Elle attendit une vingtaine de secondes, puis dit :
« Fausse alerte, on reprend. »
Elle se remit à me branler, reprenant à un rythme soutenu, et je me remis bien vite à vibrer et à crier de plaisir. Sarah me sourit, et de son autre main me pressa les boules, provoquant une nouvelle décharge de plaisir. Elle accéléra le tempo, avant de soudainement s’arrêter de nouveau. Elle attendit à nouveau mais cette fois-ci, le plaisir qu’elle m’avait procuré continuait de bouillonner en moi, et j’eus au bout d’une vingtaine de secondes, une sorte de faux orgasme. Je me mis à jouir, mais de façon diffuse. Ce n’était pas un orgasme qui comblait entièrement mon désir, c’était au contraire un petit orgasme, qui ne faisait que l’entretenir. Je poussai un léger cri, car c’était néanmoins bon, mais je râlai :
« C’est quoi ça ? J’ai à peine joui là ! »
Sarah eut un sourire sadique.
« T’en veux plus ? »
« Ouais ! »
« Alors demande moi. »
« Tu veux que je te supplie ? grognai-je. »
« Oh non. Demande moi juste poliment. »
Je fronçai les sourcils. Sarah m’observait avec un sourire confiant, comme si elle savait déjà ce qui allait se passer. J’étais vraiment dans un piètre état : attaché, à sa merci, haletant et brûlant de désir et de frustration. Je dus me résigner.
« S’il te plaît Sarah, tu peux reprendre ? »
Elle eut un sourire, et se remit à me branler. Seulement elle n’avait pas fini son petit jeu, loin de là. Elle me branla, faisant monter le plaisir, avant d’à nouveau tout arrêter, pour me laisser avoir mon faux orgasme. De nouveau frustré je lui demandai de reprendre, et à nouveau elle recommençait. C’était assez terrible pour moi, car j’étais en permanence dans la frustration, mais c’était aussi très bon, car elle me branlait extrêmement bien. J’ai peine à l’admettre, mais c’était excellent d’être ainsi à se merci, d’avoir mon plaisir littéralement entre ses mains. C’est elle qui contrôlait tout. Au bout d’une dizaine de minute de ce traitement, je n’en pouvais plus. Après un énième faux orgasme, je m’exclamai, criant à moitié :
« Tu peux pas me baiser pour de bon ? J’en peux plus de ce que tu me fais. »
Sarah sourit, et je vis passer dans ses yeux une lueur de triomphe.
« Alors supplie moi beau gosse. »
Je grimaçai. Je n’avais aucune envie de la supplier, mais je n’avais pas le choix.
« Je t’en supplie. »
« Tu me supplies de quoi, déjà ? »
Je poussai un soupir exaspéré. Elle voulait que je m’humilie jusqu’au bout.
« Je t’en supplie, baise moi. »
Elle sourit, laissant éclater son triomphe.
« Eh bah voilà, c’était pas si dur… »
Elle s’empala sur mon sexe, toujours tendu, et avec un air conquérant, se mit à me baiser sauvagement. Elle semblait décidée à en finir, aussi elle alla tout de suite très rapidement, ses hanches percutant les miennes avec violence, tandis qu’elle me toisait d’un air dominateur. En pleine confiance, elle profitait de ce que j’étais attaché pour me torturer, me griffant le torse, me donnant des gifles, tout en me souriant d’un air diabolique. C’était incroyablement bon. Après de longues minutes maintenu en frustration, cette baise sauvage était pile ce dont j’avais besoin. Evidemment j’étais à nouveau dominé par une belle fille, et mon égo en souffrirait plus tard, mais plus tard c’était tellement loin ! En attendant, je profitai à fond de la chevauchée de Sarah, de la sensation de mon sexe ballotté par ses coups de reins, des frissons qu’elle me procurait quand elle me mettait une claque ou qu’elle me griffait. Et puis, elle était tellement belle à me chevaucher comme ça, comme une furie son corps de rêve tout en mouvement, ses cheveux et ses seins se secouant, et son sourire diabolique ! Je ne pus tenir plus longtemps, et rendant les armes, j’explosai dans un superbe orgasme que Sarah prolongea encore et encore, manquant de me tuer, jusqu’à jouir à son tour.
Hors d’haleine, Sarah me détacha. Elle ne dit rien, mais son air satisfait et même comblé en disait long, sur la joie qu’elle avait de m’avoir soumis. Quant à moi, j’estimai que c’était là une défaite largement appréciable. On s’allongea côté à côte, et paisiblement on s’endormit.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui c'est ça, orgasme ruiné. Mais comme le narrateur ne savait pas ce que c'était, je ne l'ai pas nommé :)
Très bon récit de domination. Petite question :
Les faux orgasmes que Sarah fait au narrateur , ça s'appelle pas plutôt des orgasmes ruiné ?
Les faux orgasmes que Sarah fait au narrateur , ça s'appelle pas plutôt des orgasmes ruiné ?
Merci à vous deux ! Juste une question pour le lecteur qui me donne 25/20 : déjà merci beaucoup, mais je voulais savoir, quand tu dis que "beaucoup d'autres" sont bâclés, tu parles d'autres récits que j'ai écrits ? Ou d'autres récits, écrits par d'autres auteurs ?
25/20
C est pas bâclé comme beaucoup d autres...
C est pas bâclé comme beaucoup d autres...
Belle imagination merci