Satisfaction!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Satisfaction!
-Et si on faisait du vélo, propose ma sœur à sa copine Christine.
-Je veux bien mais ça m’étonnerait que ma mère accepte de me prêter sa bicyclette. Elle est très remontée en ce moment.
-Qu’est-ce qui lui arrive ? Lui fais-je.
-Tout simplement parce qu’elle est tombée en fermant les volets avant-hier sur des écrits qu’elle a trouvé osez.
-Des écrits dis-tu ?
-Enfin des bouts de papiers que ma mère a soigneusement scotchés pour en lire le contenu, curieuse comme elle l’est.
Tout de suite je me suis souvenu que moi-même j’ai déchiré des notes érotiques et que je les ai jeté par la fenêtre pour ne pas que cela tombe dans les mains de ma mère. J’espère que ce n’est pas de ça qu’on parle !
-D’ailleurs, ajoute Christine, elle m’a même ordonné de quitter la table pour en discuter avec mon père. Comme vous pouvez le deviner je me suis planqué pour jouer la voyeuse. C’est alors que ma mère a sortie de sa poche de blouse une feuille pliée en quatre qu’elle s’est empressée de lire à mon père. Très vite cette lecture à émoustiller maman puisqu’elle a sauté sur papa, qui la repoussé testant qu’il était fatigué.
-Et cette lecture parlée de quoi ? Fais-je sentant mon sang se glacer de plus en plus dans mes veines.
-A ton avis ? De cul pardi ! Répond Christine. D’une relation entre une tante et son neveu
-Ça t’intéresse en quoi ça ? Me fait ma sœur.
-En rien ! Je réponds en m’éloignant.
-Tu vas où ? Et la promenade en vélo ?
-Je préfère jouer au foot.
Le lendemain je tope Christine dans le hall.
-Alors ta mère est toujours fumasse ?
-Plus que jamais. Elle cherche le conard qui a pu bien lui envoyer cette feuille.
- Elle ne lui était peut-être pas destiner cette lettre.
-C’est bien ce que je lui ai fait comprendre. Mais dit moi, ta sœur a raison, pourquoi tu t’intéresses à ça.
-Je suis du genre curieux. Tu ne le savais pas ?
-Non tu vois, tu me l’apprends là. Mais, après réflexion c’est peut-être toi l’auteur de l’histoire.
- Où tu vas chercher ça ?
- Mais je déconne. Je sais que tu ais toujours puceau.
-Et qu’est-ce qui te fait dire ça ?
-Tu n’as jamais eu de copine jusqu’à maintenant.
-Parce que je n’ai pas trouvé jusqu’alors la perle rare.
-Et moi, je ne t’intéresse pas ?
-Pas du tout !
-Pourtant j’accepterai tout de suite de sortir avec toi.
-Et bien moi non !
-Conard ! Me lance-t-elle, alors que je sors du hall.
Je m’en veux énormément, d’avoir jeté cette feuille par la fenêtre. J’avoue que jamais je n’aurai imaginé qu’elle finisse, coincée dans le volet de la voisine du bas.
Alors que je suis dans mon lit, dans l’obscurité la plus totale, je me mets à penser. Oui à penser, qu’il serait bien que j’aille me rendre chez la mère de Christine, pour lui avouer que je suis l’auteur de la lettre et que c’est par égarement qu’elle a atterri la-même où elle la trouver.
Et comme je suis du genre à ne jamais fuir mes implications, me voilà à présent debout, immobiles, baissant la tête en signe de soumission, attendant que Jeanne, le prénom de la mère de Christine m’indique la suite.
-C’est vraiment toi qui a écrit cela ?
-Comme je vous l’ai dis Madame.
-Je ne te cache pas que j’ai vraiment du mal à croire ce que tu me dis.
-Je peux même vous dire de quoi elle parle.
-Je t’écoute.
Et là, je résume en quelques mots ce que j’avais noirci sur cette feuille quelques jours plus tôt.
-Alors là, pas de doute c’est bien toi l’auteur. Et cette histoire est réelle ou pur fantasme ?
Comme il n’était pas question que je trahisse la promesse faite à ma tante quelques années plus tôt, j’ai tout bonnement menti.
-Tu me rassures là, me fait-elle.
-Et pourquoi ?
-Une tante avec son neveu, c’est du pur délire.
-Je ne suis pas d’accord avec vous. Je trouve cela très jouissif au contraire.
-Ce n’est pas la relation entre la tante avec le neveu qui me choque dans ton histoire, c’est surtout la différence d’âge. Je m’interroge sur l’intérêt de la tata, de faire ça avec un jeunot sans expérience.
-Elle est tout simplement une aventurière !
-Mais quelle femme accepterait cette péripétie ?
-Une audacieuse…
-Oui c’est ça ! Tu en connais une toi, une audacieuse ?
-Peut-être.
-Je ne te crois pas.
-Si je vous le dit.
-Je la connais ?
-Oui, fais-je en pensant à Brigitte, à Bernadette…
-Je veux des noms…
-Ne comptez pas sur moi pour de la délation…
-Tu es du genre à tout garde pour toi…
-Parfaitement Madame…
-J’adore ! Appelle-moi Jeanne, je t’en prie…
-Comme vous voulez Jeanne, fais-je en m’approchant d’elle alors qu’elle reste figée sur son siège.
-Tu comptes faire quoi là ? Fait-elle en rougissant jusqu’aux oreilles.
-A votre avis Jeanne ?
-Je ne sais pas…mais tu me fais peur Alain !
Avec des gestes saccadés, j’ôte son chandail.
-Mais en voilà des manières.
-Laissez-vous faire, voulez-vous Jeanne.
Elle porte dessous un soutien-gorge, des plus simples.
-Je vous devinez plus aventurière, Jeanne.
-Je ne sais pas si je dois…
-Laissez-vous aller…
Elle semble de plus en plus gênée par la situation. Mais me laisse néanmoins la direction des opérations. Je prends son pied et après lui avoir fait sauter le chausson, je l’hume. Elle ouvre de grands yeux. Elle est surprise par mon audace.
-Et bien, lâche-t-elle, si je m’attendais à cela de ta part ! Toi le jeune homme bien élevé !
Mes doigts remontent le long de sa jambe pour atteindre sa cuisse. Elle s’agite.
-Tenez-vous tranquille Jeanne, vous allez aimer la suite !
Je reprends mon effleurement, malgré son trouble. Je lui pétri les fesses comme je le ferais avec de la pâte à pizza. Elle acquiesce, la figure toute rouge. Je glisse une main entre ses cuisses.
-Non Alain… tu vas trop loin…
Elle fait des manières, mais elle les écarte tout de même. Je lui masse le périnée, insistant à l’endroit où les lèvres vulvaires se rejoignent. Elle a un petit sursaut, mais ne dit rien. Ce contentant de respirer bruyamment.
Je la fait se tourner. L’excitation la rend docile. J’écarte son soutien-gorge. Ses mamelons gonflent sous la stimulation. Je perçois à travers la fine culotte qu’elle porte, son sexe bâillé, exhibant sa vulve poissée de mouille. Elle pousse un petit cri quand je touche les mamelons. Je lui masse les seins. Elle ouvre grands les yeux étonnés. Oui c’est bien un jeune homme qui lui procure des sensations. Le même que sur la feuille. Je lui triture les tétons. Elle écarte les jambes en grand, en gémissant. Les yeux clos, elle s’abandonne à mes doigts.
A un moment elle tend même son ventre en laissant échapper une sorte de vagissement. Je touche son pubis à travers le nylon. Je joue avec son clitoris. Je lui enfonce un doigt dans le vagin. Elle se raidie.
-Je ne sais pas si c’est bien ce qu’on fait !
-Vous voulez que j’arrête ?
Pour toute réponse je colle mes lèvres aux siennes. Notre baiser dure un long moment.
-J’ai honte !
-Mais il ne faut pas Jeanne, cela restera entre nous, dans notre jardin secret.
Ceci dit, je colle mon nez contre sa culotte à hauteur de son sexe. Tous les arômes y sont. Un mélange subtil qui échauffe mes sens. Cela va des nuances, âcre de la sueur, aux parfums musquées de la chatte excitée, des relents acides de l’urine, aux effluves de réglisse de l’anus.
J’effleure lentement de mes mains les abords de son sexe. Je ne peux pas résister longtemps au désir de déchirer sa fine culotte. Alors d’un geste agressif, j’arrache son dernier rempart. Elle reste tout de même impassible devant la violence de mon geste. J’approche doucement ma bouche de sa couverture intime de poils. À l’instant où ma bouche atteint son con, elle pousse un petit cri exquis à entendre. De légers soupirs accompagnent les mouvements de ma langue le long des lèvres acidulées de son sexe.
J’empoigne bientôt à pleines mains ses globes fessiers fermes et souples à la fois. Je les pétris de nouveau, de toutes mes forces. Plus que jamais, Jeanne, m’encourage à continuer alors que je fourre ma langue dans son con. Elle balance son bassin en mouvement de plus en plus vifs pour accentuer encore le trajet de ma langue sur la raie profonde de ses chairs brûlantes.
Je la lèche, la suce, la mordille tout le long du sillon profond qui va de la base du clitoris à l’anus. Quelquefois j’insinue ma langue dans le trou de son cul, puis revient laper à nouveau ses chairs féminines frémissantes et gluantes. Je remonte jusqu’à son bouton d’amour pour le sucer et le mordiller fortement. Elle écrase maintenant, par à coups violents, sa forêt pubienne et ses chairs juteuses contre mon visage. Se branlant littéralement sur ma bouche, mon nez, mon front, enfin sur tout mon visage ! Et elle se met à crier, et cela de plus en plus fort.
Et puis elle s’arrête brusquement. Mon nez toujours au contact de son clitoris. Ma bouche ouverte sur l’orifice de son sexe. Le silence n’est entrecoupé que par sa respiration haletante. Puis elle enveloppe ma face de son sexe et de son postérieur et comme une cavalière en furie se frotte de façon plus frénétique encore sur ma tête qu’elle utilise maintenant comme unique objet de sa jouissance. Par l’accélération et l’amplitude des saccades et puis par le liquide à la saveur nouvelle qui perle bientôt à ses lèvres charnues je sens qu’elle jouit a répétition.
Je reprends mon souffle, la bouche et le nez empli d’arôme de son intimité. Mais alors que je m’apprête à quitter le lieu de débauche, la voilà qu’elle lâche :
-Tu comptes partir comme ça ?
-Oui, pourquoi ? Vous désirez autre chose.
-Ce que toute femme désire une fois qu’elle est bien excitée, comme je le suis en ce moment.
Elle émet une sorte de petit hoquet en découvrant ma queue bandée. Ses yeux écarquillés fixés sur mon membre viril qui tressaute d’impatience juste devant elle. Je l’oblige à s’agenouiller sur le divan. Je passe derrière elle, pliés légèrement les genoux, pour amener mon sexe à la bonne hauteur. Elle crie pendant que je m’enfonce en elle, entamant aussitôt un va-et-vient puissant. Elle lance ses fesses au-devant de mes coups de reins, en soupirant bruyamment. Le divan tangue sous les mouvements de plus en plus violents.
J’use de toutes mes forces pour limer les entrailles. Elle se mord les lèvres inférieures poussant de longues plaintes. J’émets un râle de bonheur en même temps que je me déverse en elle.
La gratifiant encore de quelques coups de reins jusqu’à ce que ma queue s’amollisse. Alors je me retire du fourreau me laissant glisser sur le canapé. Elle prend place à mes côtés et me dit :
-Ne me juge pas comme tu le ferais avec une pute !
-Je ne juge personne !
-Tu sais depuis quelques années ce n’est plus ça avec Jean, son mari. Nos rares rapports sont décevants. Alors ?
-Je ne veux pas en savoir plus, Jeanne !
-Et si je te dis, oh… je ne sais pas si je dois…
-Allez-ci Jeanne…
-Bon…bon, voilà, j’aimerais, enfin si tu veux… que tu me caresses de nouveau l’intérieur des fesses. Me fait-elle, tu peux faire ça ?
Sans répondre, je frôle son anus. Instinctivement, elle frémit. Je recommence alors, en accentuant la pression. Elle glousse ! Je prends de sa mouille mélangée à mon sperme et j’enduis son anus. Elle en frisonne. Plus j’appuie, plus elle écarte les cuisses. Je sens que l’anneau du muscle anal se détend. Cédant peu à peu à mon abordage. Je lui enfonce mon index dans le fion. Elle remue des fesses. Respire plus vite. Je bande de nouveau, très dur. Je persiste à agiter mes doigts à l’intérieur tandis qu’avec les autres, je lui caresse le clitoris. Elle me supplie, alors :
- Encule-moi. Je veux ta bite là… je suis une aventurière…
Je retire pour ça mon doigt. Je lui éloigne un peu les fesses, l’une de l’autre, me penche sur elle. Je sens ses fesses contre mon bas-ventre. Ses poils crépus contre la peau de ma verge. D’une main je place ma verge contre son anus, et force dessus. Elle pousse de petits cris au moment où mon gland repousse ses chairs. Peu à peu ma queue disparait bien au fond en elle. Je m’écarte pour voir ma verge planté au milieu de son anus. En me fixant droit dans les yeux, elle envoie une main jusqu’à son sexe et se masturbe.
Je me saisis de sa cheville, j’embrasse son pied, j’hume, et le lèche à grands coups de langue, comme j’aime le faire.
Puis je la prends comme elle désire que je la prenne. Elle se prête de son mieux à la possession. Ses doigts pianotant son sexe. Elle laisse échapper un soupir, une sorte de plainte douloureusement et avide.
- Oui… viens plus fort…
La voix suppliante, décuple ma tension dont le sang bat les tempes jusqu’à m’étourdir. Crispé sur elle, après l’instant de répit nécessaire à calmer ma surexcitation de mes sens, je me mets à bouger, allant et venant, plus loin, plus fort. Heurtant à chaque coup ses fesses. Jeanne répond à la violence, d’abord d’un mouvement presque imperceptible, puis de plus en plus affirmé.
Le cul avec lequel je me branle, semble se prêter davantage à l’étreinte. Son halètement se change en gémissement, râles, cris cassés au ras de la gorge. Le plaisir ouvre son corps. Je la bombarde de mes coups de reins, sans guère plus d’effort que je l’aie fais avec sa chatte.
Comme prévisible, je sens venir mon orgasme. Je continue de la sodomiser, pressant encore plus ma cadence de branle. Des sensations étranges m’envahissent, que je refuse à analyser. De nos corps en sueur monte une odeur lourde, épicée.
Jeanne râle fort, très fort. Encouragé, je me laisse aller. Emporté par un inouï plaisir qui propulse mon foutre dans son cul. Quatre à cinq éruptions puissantes. Vidé, je m’effondre sur elle, le cœur battant, la tête vide. Anéanti…
-Dis-moi tu pourrais sortir avec Christine, elle n’attend que ça.
-C’est que j’ai besoin de sexe moi.
-Ah non pas question de la dépucelé, je la veux vierge le plus longtemps possible si tu vois ce que je veux dire.
-Alors vous voyez cela ne va pas être possible.
-A moins que…
-A moins que quoi…
-Que tu sortes avec ma fille et que tu viennes vider tes couilles avec moi.
-C’est une solution !
-Mais avant tout je compte sur toi pour tout rédiger !
-Je veux bien mais ça m’étonnerait que ma mère accepte de me prêter sa bicyclette. Elle est très remontée en ce moment.
-Qu’est-ce qui lui arrive ? Lui fais-je.
-Tout simplement parce qu’elle est tombée en fermant les volets avant-hier sur des écrits qu’elle a trouvé osez.
-Des écrits dis-tu ?
-Enfin des bouts de papiers que ma mère a soigneusement scotchés pour en lire le contenu, curieuse comme elle l’est.
Tout de suite je me suis souvenu que moi-même j’ai déchiré des notes érotiques et que je les ai jeté par la fenêtre pour ne pas que cela tombe dans les mains de ma mère. J’espère que ce n’est pas de ça qu’on parle !
-D’ailleurs, ajoute Christine, elle m’a même ordonné de quitter la table pour en discuter avec mon père. Comme vous pouvez le deviner je me suis planqué pour jouer la voyeuse. C’est alors que ma mère a sortie de sa poche de blouse une feuille pliée en quatre qu’elle s’est empressée de lire à mon père. Très vite cette lecture à émoustiller maman puisqu’elle a sauté sur papa, qui la repoussé testant qu’il était fatigué.
-Et cette lecture parlée de quoi ? Fais-je sentant mon sang se glacer de plus en plus dans mes veines.
-A ton avis ? De cul pardi ! Répond Christine. D’une relation entre une tante et son neveu
-Ça t’intéresse en quoi ça ? Me fait ma sœur.
-En rien ! Je réponds en m’éloignant.
-Tu vas où ? Et la promenade en vélo ?
-Je préfère jouer au foot.
Le lendemain je tope Christine dans le hall.
-Alors ta mère est toujours fumasse ?
-Plus que jamais. Elle cherche le conard qui a pu bien lui envoyer cette feuille.
- Elle ne lui était peut-être pas destiner cette lettre.
-C’est bien ce que je lui ai fait comprendre. Mais dit moi, ta sœur a raison, pourquoi tu t’intéresses à ça.
-Je suis du genre curieux. Tu ne le savais pas ?
-Non tu vois, tu me l’apprends là. Mais, après réflexion c’est peut-être toi l’auteur de l’histoire.
- Où tu vas chercher ça ?
- Mais je déconne. Je sais que tu ais toujours puceau.
-Et qu’est-ce qui te fait dire ça ?
-Tu n’as jamais eu de copine jusqu’à maintenant.
-Parce que je n’ai pas trouvé jusqu’alors la perle rare.
-Et moi, je ne t’intéresse pas ?
-Pas du tout !
-Pourtant j’accepterai tout de suite de sortir avec toi.
-Et bien moi non !
-Conard ! Me lance-t-elle, alors que je sors du hall.
Je m’en veux énormément, d’avoir jeté cette feuille par la fenêtre. J’avoue que jamais je n’aurai imaginé qu’elle finisse, coincée dans le volet de la voisine du bas.
Alors que je suis dans mon lit, dans l’obscurité la plus totale, je me mets à penser. Oui à penser, qu’il serait bien que j’aille me rendre chez la mère de Christine, pour lui avouer que je suis l’auteur de la lettre et que c’est par égarement qu’elle a atterri la-même où elle la trouver.
Et comme je suis du genre à ne jamais fuir mes implications, me voilà à présent debout, immobiles, baissant la tête en signe de soumission, attendant que Jeanne, le prénom de la mère de Christine m’indique la suite.
-C’est vraiment toi qui a écrit cela ?
-Comme je vous l’ai dis Madame.
-Je ne te cache pas que j’ai vraiment du mal à croire ce que tu me dis.
-Je peux même vous dire de quoi elle parle.
-Je t’écoute.
Et là, je résume en quelques mots ce que j’avais noirci sur cette feuille quelques jours plus tôt.
-Alors là, pas de doute c’est bien toi l’auteur. Et cette histoire est réelle ou pur fantasme ?
Comme il n’était pas question que je trahisse la promesse faite à ma tante quelques années plus tôt, j’ai tout bonnement menti.
-Tu me rassures là, me fait-elle.
-Et pourquoi ?
-Une tante avec son neveu, c’est du pur délire.
-Je ne suis pas d’accord avec vous. Je trouve cela très jouissif au contraire.
-Ce n’est pas la relation entre la tante avec le neveu qui me choque dans ton histoire, c’est surtout la différence d’âge. Je m’interroge sur l’intérêt de la tata, de faire ça avec un jeunot sans expérience.
-Elle est tout simplement une aventurière !
-Mais quelle femme accepterait cette péripétie ?
-Une audacieuse…
-Oui c’est ça ! Tu en connais une toi, une audacieuse ?
-Peut-être.
-Je ne te crois pas.
-Si je vous le dit.
-Je la connais ?
-Oui, fais-je en pensant à Brigitte, à Bernadette…
-Je veux des noms…
-Ne comptez pas sur moi pour de la délation…
-Tu es du genre à tout garde pour toi…
-Parfaitement Madame…
-J’adore ! Appelle-moi Jeanne, je t’en prie…
-Comme vous voulez Jeanne, fais-je en m’approchant d’elle alors qu’elle reste figée sur son siège.
-Tu comptes faire quoi là ? Fait-elle en rougissant jusqu’aux oreilles.
-A votre avis Jeanne ?
-Je ne sais pas…mais tu me fais peur Alain !
Avec des gestes saccadés, j’ôte son chandail.
-Mais en voilà des manières.
-Laissez-vous faire, voulez-vous Jeanne.
Elle porte dessous un soutien-gorge, des plus simples.
-Je vous devinez plus aventurière, Jeanne.
-Je ne sais pas si je dois…
-Laissez-vous aller…
Elle semble de plus en plus gênée par la situation. Mais me laisse néanmoins la direction des opérations. Je prends son pied et après lui avoir fait sauter le chausson, je l’hume. Elle ouvre de grands yeux. Elle est surprise par mon audace.
-Et bien, lâche-t-elle, si je m’attendais à cela de ta part ! Toi le jeune homme bien élevé !
Mes doigts remontent le long de sa jambe pour atteindre sa cuisse. Elle s’agite.
-Tenez-vous tranquille Jeanne, vous allez aimer la suite !
Je reprends mon effleurement, malgré son trouble. Je lui pétri les fesses comme je le ferais avec de la pâte à pizza. Elle acquiesce, la figure toute rouge. Je glisse une main entre ses cuisses.
-Non Alain… tu vas trop loin…
Elle fait des manières, mais elle les écarte tout de même. Je lui masse le périnée, insistant à l’endroit où les lèvres vulvaires se rejoignent. Elle a un petit sursaut, mais ne dit rien. Ce contentant de respirer bruyamment.
Je la fait se tourner. L’excitation la rend docile. J’écarte son soutien-gorge. Ses mamelons gonflent sous la stimulation. Je perçois à travers la fine culotte qu’elle porte, son sexe bâillé, exhibant sa vulve poissée de mouille. Elle pousse un petit cri quand je touche les mamelons. Je lui masse les seins. Elle ouvre grands les yeux étonnés. Oui c’est bien un jeune homme qui lui procure des sensations. Le même que sur la feuille. Je lui triture les tétons. Elle écarte les jambes en grand, en gémissant. Les yeux clos, elle s’abandonne à mes doigts.
A un moment elle tend même son ventre en laissant échapper une sorte de vagissement. Je touche son pubis à travers le nylon. Je joue avec son clitoris. Je lui enfonce un doigt dans le vagin. Elle se raidie.
-Je ne sais pas si c’est bien ce qu’on fait !
-Vous voulez que j’arrête ?
Pour toute réponse je colle mes lèvres aux siennes. Notre baiser dure un long moment.
-J’ai honte !
-Mais il ne faut pas Jeanne, cela restera entre nous, dans notre jardin secret.
Ceci dit, je colle mon nez contre sa culotte à hauteur de son sexe. Tous les arômes y sont. Un mélange subtil qui échauffe mes sens. Cela va des nuances, âcre de la sueur, aux parfums musquées de la chatte excitée, des relents acides de l’urine, aux effluves de réglisse de l’anus.
J’effleure lentement de mes mains les abords de son sexe. Je ne peux pas résister longtemps au désir de déchirer sa fine culotte. Alors d’un geste agressif, j’arrache son dernier rempart. Elle reste tout de même impassible devant la violence de mon geste. J’approche doucement ma bouche de sa couverture intime de poils. À l’instant où ma bouche atteint son con, elle pousse un petit cri exquis à entendre. De légers soupirs accompagnent les mouvements de ma langue le long des lèvres acidulées de son sexe.
J’empoigne bientôt à pleines mains ses globes fessiers fermes et souples à la fois. Je les pétris de nouveau, de toutes mes forces. Plus que jamais, Jeanne, m’encourage à continuer alors que je fourre ma langue dans son con. Elle balance son bassin en mouvement de plus en plus vifs pour accentuer encore le trajet de ma langue sur la raie profonde de ses chairs brûlantes.
Je la lèche, la suce, la mordille tout le long du sillon profond qui va de la base du clitoris à l’anus. Quelquefois j’insinue ma langue dans le trou de son cul, puis revient laper à nouveau ses chairs féminines frémissantes et gluantes. Je remonte jusqu’à son bouton d’amour pour le sucer et le mordiller fortement. Elle écrase maintenant, par à coups violents, sa forêt pubienne et ses chairs juteuses contre mon visage. Se branlant littéralement sur ma bouche, mon nez, mon front, enfin sur tout mon visage ! Et elle se met à crier, et cela de plus en plus fort.
Et puis elle s’arrête brusquement. Mon nez toujours au contact de son clitoris. Ma bouche ouverte sur l’orifice de son sexe. Le silence n’est entrecoupé que par sa respiration haletante. Puis elle enveloppe ma face de son sexe et de son postérieur et comme une cavalière en furie se frotte de façon plus frénétique encore sur ma tête qu’elle utilise maintenant comme unique objet de sa jouissance. Par l’accélération et l’amplitude des saccades et puis par le liquide à la saveur nouvelle qui perle bientôt à ses lèvres charnues je sens qu’elle jouit a répétition.
Je reprends mon souffle, la bouche et le nez empli d’arôme de son intimité. Mais alors que je m’apprête à quitter le lieu de débauche, la voilà qu’elle lâche :
-Tu comptes partir comme ça ?
-Oui, pourquoi ? Vous désirez autre chose.
-Ce que toute femme désire une fois qu’elle est bien excitée, comme je le suis en ce moment.
Elle émet une sorte de petit hoquet en découvrant ma queue bandée. Ses yeux écarquillés fixés sur mon membre viril qui tressaute d’impatience juste devant elle. Je l’oblige à s’agenouiller sur le divan. Je passe derrière elle, pliés légèrement les genoux, pour amener mon sexe à la bonne hauteur. Elle crie pendant que je m’enfonce en elle, entamant aussitôt un va-et-vient puissant. Elle lance ses fesses au-devant de mes coups de reins, en soupirant bruyamment. Le divan tangue sous les mouvements de plus en plus violents.
J’use de toutes mes forces pour limer les entrailles. Elle se mord les lèvres inférieures poussant de longues plaintes. J’émets un râle de bonheur en même temps que je me déverse en elle.
La gratifiant encore de quelques coups de reins jusqu’à ce que ma queue s’amollisse. Alors je me retire du fourreau me laissant glisser sur le canapé. Elle prend place à mes côtés et me dit :
-Ne me juge pas comme tu le ferais avec une pute !
-Je ne juge personne !
-Tu sais depuis quelques années ce n’est plus ça avec Jean, son mari. Nos rares rapports sont décevants. Alors ?
-Je ne veux pas en savoir plus, Jeanne !
-Et si je te dis, oh… je ne sais pas si je dois…
-Allez-ci Jeanne…
-Bon…bon, voilà, j’aimerais, enfin si tu veux… que tu me caresses de nouveau l’intérieur des fesses. Me fait-elle, tu peux faire ça ?
Sans répondre, je frôle son anus. Instinctivement, elle frémit. Je recommence alors, en accentuant la pression. Elle glousse ! Je prends de sa mouille mélangée à mon sperme et j’enduis son anus. Elle en frisonne. Plus j’appuie, plus elle écarte les cuisses. Je sens que l’anneau du muscle anal se détend. Cédant peu à peu à mon abordage. Je lui enfonce mon index dans le fion. Elle remue des fesses. Respire plus vite. Je bande de nouveau, très dur. Je persiste à agiter mes doigts à l’intérieur tandis qu’avec les autres, je lui caresse le clitoris. Elle me supplie, alors :
- Encule-moi. Je veux ta bite là… je suis une aventurière…
Je retire pour ça mon doigt. Je lui éloigne un peu les fesses, l’une de l’autre, me penche sur elle. Je sens ses fesses contre mon bas-ventre. Ses poils crépus contre la peau de ma verge. D’une main je place ma verge contre son anus, et force dessus. Elle pousse de petits cris au moment où mon gland repousse ses chairs. Peu à peu ma queue disparait bien au fond en elle. Je m’écarte pour voir ma verge planté au milieu de son anus. En me fixant droit dans les yeux, elle envoie une main jusqu’à son sexe et se masturbe.
Je me saisis de sa cheville, j’embrasse son pied, j’hume, et le lèche à grands coups de langue, comme j’aime le faire.
Puis je la prends comme elle désire que je la prenne. Elle se prête de son mieux à la possession. Ses doigts pianotant son sexe. Elle laisse échapper un soupir, une sorte de plainte douloureusement et avide.
- Oui… viens plus fort…
La voix suppliante, décuple ma tension dont le sang bat les tempes jusqu’à m’étourdir. Crispé sur elle, après l’instant de répit nécessaire à calmer ma surexcitation de mes sens, je me mets à bouger, allant et venant, plus loin, plus fort. Heurtant à chaque coup ses fesses. Jeanne répond à la violence, d’abord d’un mouvement presque imperceptible, puis de plus en plus affirmé.
Le cul avec lequel je me branle, semble se prêter davantage à l’étreinte. Son halètement se change en gémissement, râles, cris cassés au ras de la gorge. Le plaisir ouvre son corps. Je la bombarde de mes coups de reins, sans guère plus d’effort que je l’aie fais avec sa chatte.
Comme prévisible, je sens venir mon orgasme. Je continue de la sodomiser, pressant encore plus ma cadence de branle. Des sensations étranges m’envahissent, que je refuse à analyser. De nos corps en sueur monte une odeur lourde, épicée.
Jeanne râle fort, très fort. Encouragé, je me laisse aller. Emporté par un inouï plaisir qui propulse mon foutre dans son cul. Quatre à cinq éruptions puissantes. Vidé, je m’effondre sur elle, le cœur battant, la tête vide. Anéanti…
-Dis-moi tu pourrais sortir avec Christine, elle n’attend que ça.
-C’est que j’ai besoin de sexe moi.
-Ah non pas question de la dépucelé, je la veux vierge le plus longtemps possible si tu vois ce que je veux dire.
-Alors vous voyez cela ne va pas être possible.
-A moins que…
-A moins que quoi…
-Que tu sortes avec ma fille et que tu viennes vider tes couilles avec moi.
-C’est une solution !
-Mais avant tout je compte sur toi pour tout rédiger !
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Les avis des lecteurs
Je suis l'auteur de l'avis précédent :
Plaisir féminin très bien décrit ! Un régal et une délectation ! etc..
Plaisir féminin très bien décrit ! Un régal et une délectation ! etc..
Superbe récit sensuel, érotique qui m'a fait terriblement fantasmer.
La débauche de détails plus croustillants les uns que les autres a fait monter très haut mon excitation !!!
L'immense plaisir que prend Jeanne est magistralement décrit. Aucune zone érogène n'est négligée ! Une véritable délectation !
Bravo pour ce récit si érotiquement bandant ! Et merci !
La débauche de détails plus croustillants les uns que les autres a fait monter très haut mon excitation !!!
L'immense plaisir que prend Jeanne est magistralement décrit. Aucune zone érogène n'est négligée ! Une véritable délectation !
Bravo pour ce récit si érotiquement bandant ! Et merci !