Sauter le pas...
Récit érotique écrit par Aalleexx [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sauter le pas...
Je n’oublierai jamais le 14 avril 2016 ! Ce jour-là, je fêtais mes 30 ans. Ça aurait dû être un jour magnifique et pourtant, j’étais seul ! Où était cet Alexandre, beau gosse, sportif, sûr de lui qui, 7 ans plus tôt, épousait Céline et lui promettait de l’aimer pour toujours ? Ces belles promesses, je les ai perdues dans les draps de nombreuses conquêtes, dont la meilleure amie de Céline ! « Sucer, c’est pas tromper », ah bon, cool ! Que dire alors de « baiser avec une capote », c’est pas vraiment tromper non plus ? Céline a estimé que si, elle est restée dans notre maison avec nos enfants, j’ai dû partir.
Comme une bonne nouvelle n‘arrive jamais seule, mon boss m’a proposé d’aller bosser à 200 km de mes gosses. Quand je dis « proposé », c’est un doux euphémisme, soit j’y vais soit je vais pointer à Pôle-emploi à la première occasion. J’ai donc déménagé !
Voilà, ce 14 avril, je fête mes 30 ans dans une euphorie débordante. J’ai lu ici et là, qu’à 30 ans, on fait un petit bilan de vie. Je crois que je vais m’en passer, j’attendrais la quarantaine !
N’empêche que, même ce jour-là, je continue à voir le verre à moitié plein. Alors, ce jeudi soir, seul ou pas, j’ai 30 ans, je vais le fêter ! Il y a bien un collègue qui n’a rien à faire avec qui je vais pouvoir trinquer. Après quelques tentatives de questionnement, je sens que ça va être dur ! Comme par hasard, la plupart ont des trucs de prévus et s’excusent de ne pas pouvoir rester même pour boire un pot. Bon, tant pis, j’irais quand même picoler un peu.
Rentré du boulot, je me douche longuement, je me mate un peu et je remarque que je suis encore canon ! 1m 78, 68 kg, des pecs bien développés par des heures de muscu. Je n’ai pas de bide mais de belles tablettes, quelques poils noirs sur le torse et un petit filet en dessous du nombril qui rejoint mon pubis. Comme je me savonne, je me mets à bander et, bien sûr, comme tous les mecs que nous sommes, je me branle. D’abord doucement puis, comme j’éprouve du plaisir, mes mouvements sont plus vifs, mon gland est complètement décalotté, bouillant et gonflé à bloc, ma bite est bien raide, j’ai maintenant 20 cm par 5cm dans main droite et je m’active. Je jette un œil à la pendule, il est 19h58. Je suis né à 20h05, je me dis qu’il faut que je jute avant cette heure comme pour jouir une dernière fois avant d’être un trentenaire. Je pose mon front sur la paroi de la douche, je souffle profondément, l’eau me tombe sur la nuque, dévale mon dos et coule le long de mes jambes. Je me branle de plus en plus vite, je sens que le plaisir monte, je me redresse d’un coup en rejetant ma tête en arrière, je pousse un râle et j’expulse tout mon jus contre la paroi. Je suis secoué des derniers spasmes, j’ouvre les yeux, j’esquisse un sourire en regardant mon sperme glisser lentement dans le bac, je finis de me laver, je rince tout ça et voilà, je ressors de la douche en trentenaire !
23h00, je suis prêt à sortir. Oui mais où, je ne connais personne, ça ne fait que 15 jours que je suis arrivé. Je vais bien trouver un bar sympa, je me lance.
Minuit, j’ai trouvé un bar ou plein de jeunes s’amusent, ils attendent l’heure d’aller en boîte. Je me mêle à eux, je n’ai plus 30 ans, j’en ai 10 de moins, je passe un bon moment. Mais voilà, à 1h, ils partent tous, le bar se vide et va fermer. Comme j’allais partir, je dis à Paul, le barman : « Aller, je vous paye un coup, je fête mes 30 ans aujourd’hui ». Il me regarde et me répond : « T’as du bol, je préfère les beaux bruns, assieds-toi, j’apporte ce qu’il faut. ». C’est bien ma veine, j’ai invité un gay ! Il arrive avec une bouteille de téquila et deux verres, il s’installe, rempli les verres, me souhaite bon anniversaire, on trinque et on avale cul-sec. Il attaque :
« C’est ton anniversaire et t’es là, tout seul. Un beau mec comme toi, bien gaulé, tu devrais être en train de t’éclater ou de t’envoyer en l’air, quel gâchis ! »
« Toi au moins, t’y vas franco ! Je suis dans une mauvaise passe, divorcé et loin de ma famille mais je ne suis pas totalement désespéré ! Resserre-nous un coup ! »
Il le fait, on trinque en se fixant du regard et on boit :
« N’empêche un beau gosse comme toi, dans la force de l’âge, je peux te tenir compagnie si tu veux. »
En me disant ça, il me matait de la tête aux pieds et j’ai senti sa main se poser sur ma cuisse. Là, il s’est passé quelque chose en moi, je l’ai maté moi aussi, en fait je l’ai scanné comme je le fais avec les meufs que je veux lever. Il m’a paru un peu plus petit que moi, mince, pas musclé, les traits très fins, des cheveux blonds et des yeux verts. Des lèvres pulpeuses, j’ai pensé qu’il devait bien sucer Bref, j’ai eu envie de lui sans que je puisse me l’expliquer, j’ai même senti que je commençais à bander.
Il a senti mon trouble et a porté l’estocade finale :
« Viens, j’habite à côté, j’ai envie de toi ».
Comme un robot, je l’ai suivi. Ma tête ne fonctionnait plus, j’obéissais uniquement à mon sexe. Il marchait devant moi, je matais son petit cul moulé dans son jeans blanc et je rêvais déjà à tout ce que j’allais pouvoir lui faire.
On est entré dans son petit appartement, il m’a plaqué contre le mur, m’a mis la main au paquet et, sentant mon érection, a dit :
« Ouh, c’est joli tout ça. Je t’en fais de l’effet dis donc. Je vais te le fêter ton anniversaire ! »
Il a collé ses lèvres sur les miennes. C’était mon premier baiser avec un homme, j’ai trouvé ça bon, instinctivement j’ai collé mes mains sur ses fesses, il a poussé un long gémissement et son baiser est devenu plus fougueux. De là où j’étais, j’avais vue sur sa chambre, je l’ai poussé. Comme il reculait, j’ai enlevé son pull et le mien, il a déboutonné son pantalon, je le lui ai baissé et j’ai commencé à mordiller ses tétons. Là, j’ai vu que je n’avais pas affaire à une meuf, moi qui aime tant m’occuper de leurs seins, qu’importe. Avant que je puisse réagir, il nous avait fait opérer un demi-tour et il m’a poussé sur le lit, j’étais allongé sur le dos, je lui ai souri et j’ai mis mes mains derrière ma tête. Il s’est jeté sur moi, m’a sucé les tétons, m’a léché le ventre tout en déboutonnant mon jeans, il l’a descendu d’un coup, mon boxer a suivi libérant mon sexe qui a jailli, il l’a saisi dans sa main droite, il a dit :
« Ouah, j’en étais sûr, un beau morceau bien raide. C’est peut-être ton anniversaire, mais moi, ça va être ma fête. »
Sitôt dit, sitôt enfourné. Sa langue s’est enroulée autour de mon gland, elle titillait mon méat, cela m’arrachait des petits cris de plaisir. J’avais fermé les yeux en signe d’abandon total, je sentais ses lèvres coulisser le long de mon membre, sa langue le caresser et sa bouche, quelle douceur, quelle chaleur ! En même temps, il me massait très doucement les couilles, j’étais au paradis ! Je ne crois pas qu’une femme m’ait déjà fait une telle fellation.
Au bout d’un long moment, je l’ai relevé, il s’est allongé sur le ventre et a cambré ses fesses pour me les offrir. Je les ai caressées, massées puis, j’ai plongé ma langue entre ces deux magnifiques lobes bien fermes. Ma langue est venue se poser sur sa rondelle bien rose et totalement épilée, tout comme ses couilles d’ailleurs. Il a poussé un long gémissement de plaisir et m’a encouragé à poursuivre en appuyant d’une main sur ma tête pour que je m’enfonce en lui. Je m’en suis occupé comme d’un petit minou, je constatais que les réactions étaient les mêmes, il s’ouvrait de mieux en mieux, j’arrivais à pénétrer trois doigts, il mouillait de plus en plus et ses gémissements m’excitaient davantage.
D’un coup, il s’est redressé, a ouvert un tiroir de la table de nuit, il m’a lancé un préservatif et m’a dit :
« Enfile-ça et baise-moi. Là, j’en peux plus, mets-la moi, ça urge ! »
J’ai déchiré l’emballage, j’ai déployé la capote sur ma bite bien raide, je l’ai lubrifiée avec ma salive, je me suis penché pour lui mordiller un peu les fesses puis je me suis positionné derrière lui, mon gland contre sa rondelle et, avant de pousser, je me suis dit que j’allais baiser un mec pour la première fois, j’allais sauter le pas !
Je me suis enfoncé doucement mais régulièrement. En même temps, je me suis allongé sur lui, mes mains sont passées sous son torse pour aller titiller ses tétons. J’ai commencé les va-et-vient d’abord très sensuels et doux puis de plus en plus secs et brutaux. Il appréciait vu les sons qu’il poussait, moi je trouvais ça génial, c’était serré mais ça coulissait parfaitement. Je l’ai relevé pour le prendre en levrette, il a passé ses mains derrière ma tête pour me caresser, sa joue était contre la mienne, je lui mordillais l’oreille et l’embrassais dans le cou. Je suis ressorti pour l’allonger sur le dos, il a écarté les jambes et a relevé son bassin, il a souri et m’a dit :
« Aller, bel hétéro, baise-moi comme une meuf. »
Je suis revenu en lui et j’ai repris les va-et-vient, j’allais de plus en plus profond, j’adorais cette sensation. Ses mains me caressaient la poitrine puis il s’est mis à se branler, moi je l’ai embrassé, nos deux langues se sont enroulées l’une autour de l’autre. A chaque coup de reins, je soufflais fort par le nez et lui poussait un petit gémissement étouffé par ma bouche posée sur la sienne.
Il s’est mis à respirer de plus en plus vite et fort et j’ai soudain senti un liquide chaud mouiller mon ventre. En même temps, ses sphincters se contractaient déclenchant, chez moi, une montée foudroyante de plaisir, j’ai expulsé tout mon jus dans le préservatif.
Je me suis effondré sur lui, on s’est encore embrassé quelques minutes puis j’ai basculé sur le côté pour m’allonger sur le dos. Il m’a enlevé le préservatif et m’a nettoyé la bite. Il m’a regardé et, en souriant, m’a dit :
« Alors content de ton cadeau ? »
« Ah oui, j’aurais jamais cru que mon premier jus de trentenaire serait pour un mec. C’était super bon. »
On est resté un moment comme ça, juste le temps de se ressaisir. Ce que je ne savais pas c’est que mes deuxième et troisième jus de trentenaire allaient être aussi pour lui….
Ça c’est une autre histoire.
Comme une bonne nouvelle n‘arrive jamais seule, mon boss m’a proposé d’aller bosser à 200 km de mes gosses. Quand je dis « proposé », c’est un doux euphémisme, soit j’y vais soit je vais pointer à Pôle-emploi à la première occasion. J’ai donc déménagé !
Voilà, ce 14 avril, je fête mes 30 ans dans une euphorie débordante. J’ai lu ici et là, qu’à 30 ans, on fait un petit bilan de vie. Je crois que je vais m’en passer, j’attendrais la quarantaine !
N’empêche que, même ce jour-là, je continue à voir le verre à moitié plein. Alors, ce jeudi soir, seul ou pas, j’ai 30 ans, je vais le fêter ! Il y a bien un collègue qui n’a rien à faire avec qui je vais pouvoir trinquer. Après quelques tentatives de questionnement, je sens que ça va être dur ! Comme par hasard, la plupart ont des trucs de prévus et s’excusent de ne pas pouvoir rester même pour boire un pot. Bon, tant pis, j’irais quand même picoler un peu.
Rentré du boulot, je me douche longuement, je me mate un peu et je remarque que je suis encore canon ! 1m 78, 68 kg, des pecs bien développés par des heures de muscu. Je n’ai pas de bide mais de belles tablettes, quelques poils noirs sur le torse et un petit filet en dessous du nombril qui rejoint mon pubis. Comme je me savonne, je me mets à bander et, bien sûr, comme tous les mecs que nous sommes, je me branle. D’abord doucement puis, comme j’éprouve du plaisir, mes mouvements sont plus vifs, mon gland est complètement décalotté, bouillant et gonflé à bloc, ma bite est bien raide, j’ai maintenant 20 cm par 5cm dans main droite et je m’active. Je jette un œil à la pendule, il est 19h58. Je suis né à 20h05, je me dis qu’il faut que je jute avant cette heure comme pour jouir une dernière fois avant d’être un trentenaire. Je pose mon front sur la paroi de la douche, je souffle profondément, l’eau me tombe sur la nuque, dévale mon dos et coule le long de mes jambes. Je me branle de plus en plus vite, je sens que le plaisir monte, je me redresse d’un coup en rejetant ma tête en arrière, je pousse un râle et j’expulse tout mon jus contre la paroi. Je suis secoué des derniers spasmes, j’ouvre les yeux, j’esquisse un sourire en regardant mon sperme glisser lentement dans le bac, je finis de me laver, je rince tout ça et voilà, je ressors de la douche en trentenaire !
23h00, je suis prêt à sortir. Oui mais où, je ne connais personne, ça ne fait que 15 jours que je suis arrivé. Je vais bien trouver un bar sympa, je me lance.
Minuit, j’ai trouvé un bar ou plein de jeunes s’amusent, ils attendent l’heure d’aller en boîte. Je me mêle à eux, je n’ai plus 30 ans, j’en ai 10 de moins, je passe un bon moment. Mais voilà, à 1h, ils partent tous, le bar se vide et va fermer. Comme j’allais partir, je dis à Paul, le barman : « Aller, je vous paye un coup, je fête mes 30 ans aujourd’hui ». Il me regarde et me répond : « T’as du bol, je préfère les beaux bruns, assieds-toi, j’apporte ce qu’il faut. ». C’est bien ma veine, j’ai invité un gay ! Il arrive avec une bouteille de téquila et deux verres, il s’installe, rempli les verres, me souhaite bon anniversaire, on trinque et on avale cul-sec. Il attaque :
« C’est ton anniversaire et t’es là, tout seul. Un beau mec comme toi, bien gaulé, tu devrais être en train de t’éclater ou de t’envoyer en l’air, quel gâchis ! »
« Toi au moins, t’y vas franco ! Je suis dans une mauvaise passe, divorcé et loin de ma famille mais je ne suis pas totalement désespéré ! Resserre-nous un coup ! »
Il le fait, on trinque en se fixant du regard et on boit :
« N’empêche un beau gosse comme toi, dans la force de l’âge, je peux te tenir compagnie si tu veux. »
En me disant ça, il me matait de la tête aux pieds et j’ai senti sa main se poser sur ma cuisse. Là, il s’est passé quelque chose en moi, je l’ai maté moi aussi, en fait je l’ai scanné comme je le fais avec les meufs que je veux lever. Il m’a paru un peu plus petit que moi, mince, pas musclé, les traits très fins, des cheveux blonds et des yeux verts. Des lèvres pulpeuses, j’ai pensé qu’il devait bien sucer Bref, j’ai eu envie de lui sans que je puisse me l’expliquer, j’ai même senti que je commençais à bander.
Il a senti mon trouble et a porté l’estocade finale :
« Viens, j’habite à côté, j’ai envie de toi ».
Comme un robot, je l’ai suivi. Ma tête ne fonctionnait plus, j’obéissais uniquement à mon sexe. Il marchait devant moi, je matais son petit cul moulé dans son jeans blanc et je rêvais déjà à tout ce que j’allais pouvoir lui faire.
On est entré dans son petit appartement, il m’a plaqué contre le mur, m’a mis la main au paquet et, sentant mon érection, a dit :
« Ouh, c’est joli tout ça. Je t’en fais de l’effet dis donc. Je vais te le fêter ton anniversaire ! »
Il a collé ses lèvres sur les miennes. C’était mon premier baiser avec un homme, j’ai trouvé ça bon, instinctivement j’ai collé mes mains sur ses fesses, il a poussé un long gémissement et son baiser est devenu plus fougueux. De là où j’étais, j’avais vue sur sa chambre, je l’ai poussé. Comme il reculait, j’ai enlevé son pull et le mien, il a déboutonné son pantalon, je le lui ai baissé et j’ai commencé à mordiller ses tétons. Là, j’ai vu que je n’avais pas affaire à une meuf, moi qui aime tant m’occuper de leurs seins, qu’importe. Avant que je puisse réagir, il nous avait fait opérer un demi-tour et il m’a poussé sur le lit, j’étais allongé sur le dos, je lui ai souri et j’ai mis mes mains derrière ma tête. Il s’est jeté sur moi, m’a sucé les tétons, m’a léché le ventre tout en déboutonnant mon jeans, il l’a descendu d’un coup, mon boxer a suivi libérant mon sexe qui a jailli, il l’a saisi dans sa main droite, il a dit :
« Ouah, j’en étais sûr, un beau morceau bien raide. C’est peut-être ton anniversaire, mais moi, ça va être ma fête. »
Sitôt dit, sitôt enfourné. Sa langue s’est enroulée autour de mon gland, elle titillait mon méat, cela m’arrachait des petits cris de plaisir. J’avais fermé les yeux en signe d’abandon total, je sentais ses lèvres coulisser le long de mon membre, sa langue le caresser et sa bouche, quelle douceur, quelle chaleur ! En même temps, il me massait très doucement les couilles, j’étais au paradis ! Je ne crois pas qu’une femme m’ait déjà fait une telle fellation.
Au bout d’un long moment, je l’ai relevé, il s’est allongé sur le ventre et a cambré ses fesses pour me les offrir. Je les ai caressées, massées puis, j’ai plongé ma langue entre ces deux magnifiques lobes bien fermes. Ma langue est venue se poser sur sa rondelle bien rose et totalement épilée, tout comme ses couilles d’ailleurs. Il a poussé un long gémissement de plaisir et m’a encouragé à poursuivre en appuyant d’une main sur ma tête pour que je m’enfonce en lui. Je m’en suis occupé comme d’un petit minou, je constatais que les réactions étaient les mêmes, il s’ouvrait de mieux en mieux, j’arrivais à pénétrer trois doigts, il mouillait de plus en plus et ses gémissements m’excitaient davantage.
D’un coup, il s’est redressé, a ouvert un tiroir de la table de nuit, il m’a lancé un préservatif et m’a dit :
« Enfile-ça et baise-moi. Là, j’en peux plus, mets-la moi, ça urge ! »
J’ai déchiré l’emballage, j’ai déployé la capote sur ma bite bien raide, je l’ai lubrifiée avec ma salive, je me suis penché pour lui mordiller un peu les fesses puis je me suis positionné derrière lui, mon gland contre sa rondelle et, avant de pousser, je me suis dit que j’allais baiser un mec pour la première fois, j’allais sauter le pas !
Je me suis enfoncé doucement mais régulièrement. En même temps, je me suis allongé sur lui, mes mains sont passées sous son torse pour aller titiller ses tétons. J’ai commencé les va-et-vient d’abord très sensuels et doux puis de plus en plus secs et brutaux. Il appréciait vu les sons qu’il poussait, moi je trouvais ça génial, c’était serré mais ça coulissait parfaitement. Je l’ai relevé pour le prendre en levrette, il a passé ses mains derrière ma tête pour me caresser, sa joue était contre la mienne, je lui mordillais l’oreille et l’embrassais dans le cou. Je suis ressorti pour l’allonger sur le dos, il a écarté les jambes et a relevé son bassin, il a souri et m’a dit :
« Aller, bel hétéro, baise-moi comme une meuf. »
Je suis revenu en lui et j’ai repris les va-et-vient, j’allais de plus en plus profond, j’adorais cette sensation. Ses mains me caressaient la poitrine puis il s’est mis à se branler, moi je l’ai embrassé, nos deux langues se sont enroulées l’une autour de l’autre. A chaque coup de reins, je soufflais fort par le nez et lui poussait un petit gémissement étouffé par ma bouche posée sur la sienne.
Il s’est mis à respirer de plus en plus vite et fort et j’ai soudain senti un liquide chaud mouiller mon ventre. En même temps, ses sphincters se contractaient déclenchant, chez moi, une montée foudroyante de plaisir, j’ai expulsé tout mon jus dans le préservatif.
Je me suis effondré sur lui, on s’est encore embrassé quelques minutes puis j’ai basculé sur le côté pour m’allonger sur le dos. Il m’a enlevé le préservatif et m’a nettoyé la bite. Il m’a regardé et, en souriant, m’a dit :
« Alors content de ton cadeau ? »
« Ah oui, j’aurais jamais cru que mon premier jus de trentenaire serait pour un mec. C’était super bon. »
On est resté un moment comme ça, juste le temps de se ressaisir. Ce que je ne savais pas c’est que mes deuxième et troisième jus de trentenaire allaient être aussi pour lui….
Ça c’est une autre histoire.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tu raconte super bien
Génial !!! Bon anniversaire mon gars !! Putain cette histoire ma filer une trique de malade ...
salut tres belle histoire tendre d envie de découverte du bon sexe hate de lire la suite bisous
Bravo pour cette super histoire.
J'ai perso sauté le pas à plus de 50 ans.Et bien malgré les bouchées doubles que j'ai mis, je regrette beaucoup tout ce temps perdu.
J'ai perso sauté le pas à plus de 50 ans.Et bien malgré les bouchées doubles que j'ai mis, je regrette beaucoup tout ce temps perdu.
Trop cool... tres intense... moi jaurai 40 ans cet ete et j ai passe le cap il y a qqs mois.. le pied..
Si tu as envie d echanger.. fais moi digne a+
Si tu as envie d echanger.. fais moi digne a+
Très belle histoire.La suite j espère.alain