Sauter le pas.... La confirmation.
Récit érotique écrit par Aalleexx [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sauter le pas.... La confirmation.
Une fois que l’on a sauté le pas, on ne regarde plus les mecs de la même manière. En tout cas, c’est comme ça pour moi. Dès le 15 avril, lendemain de mon trentième anniversaire et de ma première fois avec un mec, je me suis mis à mater les mecs comme les meufs. Pas tout à fait aux mêmes endroits bien sûr !
Les seins des femmes agissent comme un aimant sur moi, je dois parfois me faire violence pour bien les regarder dans les yeux. Leurs lèvres m’attirent également puis leurs jambes, surtout si elles sont en jupe. Enfin, leurs fesses, lorsqu’elles se retournent finissent de me conquérir, pourvu qu’elles se retournent et me fassent un sourire, alors là, je suis KO, ou plutôt raide et en chasse jusqu’à ce que j’ai possédé « ma proie ». Bon, ça, je pense que tous les mecs hétéros sont comme moi. Pendant mes 7 années de mariage, j’ai pris un nombre incalculable de coups de coude dans les côtes pour me ramener à la réalité. En général, c’était suivi d’un : « Tu veux de l’aide ? ». Ça avait un effet tue-l’amour immédiat mais malheureusement pas très durable !
Depuis le 15 avril, je me surprends à mater les mecs qui m’entourent au boulot ou que je croise en les côtoyant plus ou moins. Je mate leur silhouette, un mec plutôt grand, fin mais un peu baraqué, bien fringué déclenche une petite alarme. C’est comme si une petite voix intérieure me demandait : « Tu crois qu’il est gay celui-ci ? ». Alors, je scrute le moindre indice ! Est-il un peu maniéré, a-t-il tendance à se montrer un tantinet plus sensuel avec les mecs, ses expressions du visage et verbales trahissent-elles quelque chose ? Après je mate sa bouche tout en me disant : « Est-ce qu’il suce bien ? ». Je mate son paquet pour deviner, à travers une éventuelle bosse, ses mensurations et pour tenter de déceler un début d’érection ou d’excitation. S’il se retourne, mes yeux sont littéralement scotchés sur son cul, je me vois parfois en train de le lui bouffer avant de le lui ramoner. Tout ceci ne dure que quelques secondes mais c’est très nouveau pour moi !
Avant, un mec était juste un pote, un collègue, une personne que je croisais dans ma vie mais aucune idée sexuelle ne me venait. Il y a quelques temps, en parcourant une histoire gay, j’ai lu : « une fois qu’on y a goûté, on ne peut plus faire marche arrière ! ». Eh bien, c’est vrai !
Pourtant j’ai lutté pour me prouver que je suis, comme on dit, un mec, un vrai, viril et uniquement hétéro.
J’étais super troublé après avoir couché avec Paul, le barman. J’y pensais sans cesse, j’étais tantôt dégoûté, tantôt en colère mais toujours un peu (beaucoup) excité. Quand il m’a envoyé un texto quatre jours après, je me suis vu comme un ado boutonneux, gonflé aux hormones sexuelles, qui se disait avec la voix qui mue : « Putain, je lui réponds quoi ? ». C’était un lundi soir vers 22h, il débauchait et m’a juste écrit : « Salut, ça va ? ». Moi je pensais : « Non ça va pas, j’ai la bite raide et humide, je me la branle à travers mon jeans, je crois même que je bave tellement j’ai envie de remettre ça avec toi », mais comme je suis un mec, un vrai, viril et uniquement hétéro, j’ai renvoyé : «Salut, ouais ça va, et toi ? ». Il a répondu : « Bof, je suis seul, tu veux pas passer ? ». J’ai envoyé : « J’sais pas, peut-être, ouais, ça peut. » C’est parfois con un mec, un vrai, viril et uniquement hétéro. Au moment où j’envoyais ce message, j’étais déjà dans la rue, les clés de ma bagnole à la main !
Dès mon arrivée, on s’est embrassés, rapprochant et mélangeant nos langues dans sa bouche, mes mains étaient déjà posées sur ses deux fesses et les malaxaient, je le collais à mon bassin, je sentais nos deux sexes tendus frotter l’un contre l’autre à travers nos jeans. Il a détaché sa bouche de la mienne pour se pencher, il m’a enlevé mon pull, a mordillé mes tétons m’arrachant quelques gémissements. Je lui caressais la tête et lui déboutonnait mon pantalon. Il s’est longuement occupé de mon torse et de mon ventre, les sensations étaient intenses et tellement bonnes. En même temps, il branlait doucement mon sexe et massait mes couilles. Il s’est agenouillé, m’a regardé, m’a souri et m’a dit :« Maintenant, tu es à moi ! »
Tout en me regardant droit dans les yeux, il a englouti mon gland et une bonne partie de mon sexe. Il avait raison, je m’abandonnais totalement, j’ai rejeté ma tête en arrière et j’ai poussé un long souffle venu du tréfonds de mon ventre. J’ai senti ses va-et-vient réguliers, doux, humides et, d’un coup, il s’est enfoncé au maximum, j’ai senti mon gland buter sur sa glotte et passer au-delà, dans sa gorge. Je n’avais jamais ressenti une telle sensation. J’ai maintenu sa tête contre mon ventre pendant quelques secondes afin de profiter de cet instant inédit pour moi et terriblement excitant. J’ai relâché mon étreinte, il s’est reculé, a repris son souffle puis a repris sa fellation. Je sentais sa salive couler sur mes couilles et le long de mes cuisses. Il alternait les léchages du méat et du gland jusqu’au frein puis reprenait les va-et-vient et me gratifiant de quelques gorges profondes. Au bout d’un bon moment, je lui ai dit que j’allais venir, il a relevé les yeux vers moi, m’a saisi les couilles dans une main, les a serrées et a intensifié les mouvements, j’ai expulsé toute ma semence dans sa bouche. Il a continué à me sucer jusqu’à aspirer la dernière goutte, il s’est relevé, m’a embrassé et m’a dit :« Finis d’entrer, on va boire un coup ! »
On a parlé plus de deux heures de nos vies, il a 26 ans, il est gay (le scoop !), il a un mec plus ou moins attitré mais qui bosse dans une autre ville, ils ne se voient que le week-end. Je lui ai donc dit qu’il l’avait cocufié deux fois avec moi et là, il me répond :« Sucer et baiser avec une capote, c’est pas tromper ! »
Ah, comme quoi, ça ne vient pas que de moi ! Ça doit être un truc de mecs uniquement ! Je lui ai dit que mon ex-femme ne voyait pas ça comme ça mais que moi, c’est bien ce que je pense !
Il m’a beaucoup questionné, notamment sur le fait qu’il est le premier mec avec lequel j’ai sauté le pas. Pourquoi lui, pourquoi ce soir-là, est-ce que j’ai aimé, est-ce si différent d’avec une femme ? …Je me suis livré comme jamais mais la tournure des questions m’excitait de plus en plus, vers 1h du matin, je lui ai dit :« Bon là, j’en ai un peu marre de l’interrogatoire, tu veux pas qu’on se couche ? »
On s’est levé, il m’a mis la main au paquet et a massé, je recommençais à être dur, il m’a retourné et poussé dans sa chambre. On s’est déshabillés en se défiant du regard, il s’est allongé le premier sur le lit, sur le dos, le sexe en érection, il se branlait. Je me suis allongé sur lui, je l’ai embrassé dans le cou, je suis descendu pour m’occuper de ses tétons puis de son ventre, j’allais remonter mais il m’a stoppé en posant ses mains sur la tête, j’ai hésité une seconde, il a appuyé plus fort et m’a dit : « Aller, vas-y, c’est le moment », je suis descendu un peu plus, sa bite était dressée devant moi, un bon 18 cm par 4cm surmontant deux belles couilles pendantes totalement rasées. J’ai ouvert la bouche, son gland est entré et a touché ma langue, c’était à la fois dur mais chaud et doux, je l’ai léché, le précum était très salé mais cela ne m’a pas du tout dégoûté, j’ai avancé la tête pour mieux l’avaler. J’étais en train de faire ma première fellation à 30 ans ! J’ai reproduit, comme je le pouvais, ce qu’il m’avait fait un peu plus tôt : léchage du gland, va-et-vient plus ou moins rapides. Je caressais son ventre et son torse, il gémissait ce qui m’encourageait à poursuivre. Je l’ai sucé pendant un bon moment en alternant avec le gobage de ses couilles si douces. Il me félicitait, me demandait de continuer, que c’était bon, que je lui donnais beaucoup de plaisir. Il m’a dit de ralentir pour qu’il ne vienne pas trop vite, du coup, je me suis concentré sur son trou, il a relevé les jambes pour m’offrir sa rondelle, j’ai plongé ma langue entre ses fesses et je lui ai longuement lubrifié la fente, il mouillait abondamment.
J’ai reconnu le bruit du tiroir de la table de nuit, un préservatif est tombé sur le lit à côté de moi. J’ai déchiré l’emballage et je l‘ai installé sur ma bite tout en continuant à lui lécher et doigter l’anus. Je me suis relevé et je lui ai dit :« T’es prêt, tu me veux ? »« Oui, viens en moi ! »« Ce coup-ci c’est à toi de jouer, fais-toi plaisir ! »
Je me suis allongé sur le dos, il est monté sur moi, m’a embrassé, a saisi ma bite pour la guider vers son trou et s’est empalé très lentement, c’était divin. J’ai saisi ses hanches et, par mes mouvements, j’ai accompagné les siens. Il me faisait face, montait et descendait à un bon rythme en poussant des petits cris aigus, son sexe, bien dur, tapait contre mon ventre, son gland était mouillé de précum. Je le complimentais en lui disant que je le trouvais bon, que je prenais mon pied et que je voulais qu’il prenne le sien. Par habitude, mes mains sont allé masser sa poitrine, il a gémi un peu plus fort et s’est mis à se branler. Après plusieurs minutes, j’ai reçu de longs jets bouillants sur le torse et sur le menton, il criait son plaisir en de longs râles, je lui donnais de puissants coups de reins, j’adorais cette sensation de donner un orgasme à un homme, ma bite était comprimée à chaque éjaculation. Il a pris un peu de son jus dans sa main et l’a porté à ma bouche, j’ai sucé et avalé du jus d’homme pour la première fois. Le goût était salé, la texture un peu épaisse, j’ai trouvé ça chaud et bizarre, ni bon ni mauvais, il a recommencé plusieurs fois, j’ai tout avalé, j’ai fini par m’habituer au goût et à la texture. Puis c’est mon plaisir qui est venu, j’ai joui abondamment au fond de lui tandis qu’il semblait avoir un deuxième orgasme encore plus intense que le premier. Il s’est allongé à mes côtés et m’a dit qu’il venait de jouir du cul en même temps que moi.
On s’est calmés, je suis allé me doucher, puis il m’a demandé de repartir car dormir ensemble, selon lui, c’est un peu tromper ! C’est bien ce que je pense aussi, décidément !
Je suis rentré chez moi vers 4 heures du matin, je bossais à 8h ! Ce fut difficile ce jour-là ! Mon trouble est réapparu le jour suivant : j’avais baisé avec un mec, j’avais sucé une bite et, en plus, j’avais avalé du sperme et pas le mien ! Tout ça en prenant un pied d’enfer ! Qu’est-ce qui m’arrivait, qu’est-ce que je devenais ?
Pour me prouver que je suis toujours un mec, vrai, viril et uniquement hétéro, je n’ai baisé, pendant les trois semaines suivantes, qu’avec des meufs à gros seins de préférence ! J’avais peur que ce ne soit plus pareil, en fait, si ! N’empêche que Paul était toujours dans mes pensées, jusqu’à ce que je croise Jonathan….
Merci les mecs pour vos messages d’encouragements et pour avoir été aussi nombreux à lire ma première histoire (plus de 7000 vues, j’y crois pas !).
N’hésitez pas à me faire signe, ça fait tellement plaisir ;-)
Les seins des femmes agissent comme un aimant sur moi, je dois parfois me faire violence pour bien les regarder dans les yeux. Leurs lèvres m’attirent également puis leurs jambes, surtout si elles sont en jupe. Enfin, leurs fesses, lorsqu’elles se retournent finissent de me conquérir, pourvu qu’elles se retournent et me fassent un sourire, alors là, je suis KO, ou plutôt raide et en chasse jusqu’à ce que j’ai possédé « ma proie ». Bon, ça, je pense que tous les mecs hétéros sont comme moi. Pendant mes 7 années de mariage, j’ai pris un nombre incalculable de coups de coude dans les côtes pour me ramener à la réalité. En général, c’était suivi d’un : « Tu veux de l’aide ? ». Ça avait un effet tue-l’amour immédiat mais malheureusement pas très durable !
Depuis le 15 avril, je me surprends à mater les mecs qui m’entourent au boulot ou que je croise en les côtoyant plus ou moins. Je mate leur silhouette, un mec plutôt grand, fin mais un peu baraqué, bien fringué déclenche une petite alarme. C’est comme si une petite voix intérieure me demandait : « Tu crois qu’il est gay celui-ci ? ». Alors, je scrute le moindre indice ! Est-il un peu maniéré, a-t-il tendance à se montrer un tantinet plus sensuel avec les mecs, ses expressions du visage et verbales trahissent-elles quelque chose ? Après je mate sa bouche tout en me disant : « Est-ce qu’il suce bien ? ». Je mate son paquet pour deviner, à travers une éventuelle bosse, ses mensurations et pour tenter de déceler un début d’érection ou d’excitation. S’il se retourne, mes yeux sont littéralement scotchés sur son cul, je me vois parfois en train de le lui bouffer avant de le lui ramoner. Tout ceci ne dure que quelques secondes mais c’est très nouveau pour moi !
Avant, un mec était juste un pote, un collègue, une personne que je croisais dans ma vie mais aucune idée sexuelle ne me venait. Il y a quelques temps, en parcourant une histoire gay, j’ai lu : « une fois qu’on y a goûté, on ne peut plus faire marche arrière ! ». Eh bien, c’est vrai !
Pourtant j’ai lutté pour me prouver que je suis, comme on dit, un mec, un vrai, viril et uniquement hétéro.
J’étais super troublé après avoir couché avec Paul, le barman. J’y pensais sans cesse, j’étais tantôt dégoûté, tantôt en colère mais toujours un peu (beaucoup) excité. Quand il m’a envoyé un texto quatre jours après, je me suis vu comme un ado boutonneux, gonflé aux hormones sexuelles, qui se disait avec la voix qui mue : « Putain, je lui réponds quoi ? ». C’était un lundi soir vers 22h, il débauchait et m’a juste écrit : « Salut, ça va ? ». Moi je pensais : « Non ça va pas, j’ai la bite raide et humide, je me la branle à travers mon jeans, je crois même que je bave tellement j’ai envie de remettre ça avec toi », mais comme je suis un mec, un vrai, viril et uniquement hétéro, j’ai renvoyé : «Salut, ouais ça va, et toi ? ». Il a répondu : « Bof, je suis seul, tu veux pas passer ? ». J’ai envoyé : « J’sais pas, peut-être, ouais, ça peut. » C’est parfois con un mec, un vrai, viril et uniquement hétéro. Au moment où j’envoyais ce message, j’étais déjà dans la rue, les clés de ma bagnole à la main !
Dès mon arrivée, on s’est embrassés, rapprochant et mélangeant nos langues dans sa bouche, mes mains étaient déjà posées sur ses deux fesses et les malaxaient, je le collais à mon bassin, je sentais nos deux sexes tendus frotter l’un contre l’autre à travers nos jeans. Il a détaché sa bouche de la mienne pour se pencher, il m’a enlevé mon pull, a mordillé mes tétons m’arrachant quelques gémissements. Je lui caressais la tête et lui déboutonnait mon pantalon. Il s’est longuement occupé de mon torse et de mon ventre, les sensations étaient intenses et tellement bonnes. En même temps, il branlait doucement mon sexe et massait mes couilles. Il s’est agenouillé, m’a regardé, m’a souri et m’a dit :« Maintenant, tu es à moi ! »
Tout en me regardant droit dans les yeux, il a englouti mon gland et une bonne partie de mon sexe. Il avait raison, je m’abandonnais totalement, j’ai rejeté ma tête en arrière et j’ai poussé un long souffle venu du tréfonds de mon ventre. J’ai senti ses va-et-vient réguliers, doux, humides et, d’un coup, il s’est enfoncé au maximum, j’ai senti mon gland buter sur sa glotte et passer au-delà, dans sa gorge. Je n’avais jamais ressenti une telle sensation. J’ai maintenu sa tête contre mon ventre pendant quelques secondes afin de profiter de cet instant inédit pour moi et terriblement excitant. J’ai relâché mon étreinte, il s’est reculé, a repris son souffle puis a repris sa fellation. Je sentais sa salive couler sur mes couilles et le long de mes cuisses. Il alternait les léchages du méat et du gland jusqu’au frein puis reprenait les va-et-vient et me gratifiant de quelques gorges profondes. Au bout d’un bon moment, je lui ai dit que j’allais venir, il a relevé les yeux vers moi, m’a saisi les couilles dans une main, les a serrées et a intensifié les mouvements, j’ai expulsé toute ma semence dans sa bouche. Il a continué à me sucer jusqu’à aspirer la dernière goutte, il s’est relevé, m’a embrassé et m’a dit :« Finis d’entrer, on va boire un coup ! »
On a parlé plus de deux heures de nos vies, il a 26 ans, il est gay (le scoop !), il a un mec plus ou moins attitré mais qui bosse dans une autre ville, ils ne se voient que le week-end. Je lui ai donc dit qu’il l’avait cocufié deux fois avec moi et là, il me répond :« Sucer et baiser avec une capote, c’est pas tromper ! »
Ah, comme quoi, ça ne vient pas que de moi ! Ça doit être un truc de mecs uniquement ! Je lui ai dit que mon ex-femme ne voyait pas ça comme ça mais que moi, c’est bien ce que je pense !
Il m’a beaucoup questionné, notamment sur le fait qu’il est le premier mec avec lequel j’ai sauté le pas. Pourquoi lui, pourquoi ce soir-là, est-ce que j’ai aimé, est-ce si différent d’avec une femme ? …Je me suis livré comme jamais mais la tournure des questions m’excitait de plus en plus, vers 1h du matin, je lui ai dit :« Bon là, j’en ai un peu marre de l’interrogatoire, tu veux pas qu’on se couche ? »
On s’est levé, il m’a mis la main au paquet et a massé, je recommençais à être dur, il m’a retourné et poussé dans sa chambre. On s’est déshabillés en se défiant du regard, il s’est allongé le premier sur le lit, sur le dos, le sexe en érection, il se branlait. Je me suis allongé sur lui, je l’ai embrassé dans le cou, je suis descendu pour m’occuper de ses tétons puis de son ventre, j’allais remonter mais il m’a stoppé en posant ses mains sur la tête, j’ai hésité une seconde, il a appuyé plus fort et m’a dit : « Aller, vas-y, c’est le moment », je suis descendu un peu plus, sa bite était dressée devant moi, un bon 18 cm par 4cm surmontant deux belles couilles pendantes totalement rasées. J’ai ouvert la bouche, son gland est entré et a touché ma langue, c’était à la fois dur mais chaud et doux, je l’ai léché, le précum était très salé mais cela ne m’a pas du tout dégoûté, j’ai avancé la tête pour mieux l’avaler. J’étais en train de faire ma première fellation à 30 ans ! J’ai reproduit, comme je le pouvais, ce qu’il m’avait fait un peu plus tôt : léchage du gland, va-et-vient plus ou moins rapides. Je caressais son ventre et son torse, il gémissait ce qui m’encourageait à poursuivre. Je l’ai sucé pendant un bon moment en alternant avec le gobage de ses couilles si douces. Il me félicitait, me demandait de continuer, que c’était bon, que je lui donnais beaucoup de plaisir. Il m’a dit de ralentir pour qu’il ne vienne pas trop vite, du coup, je me suis concentré sur son trou, il a relevé les jambes pour m’offrir sa rondelle, j’ai plongé ma langue entre ses fesses et je lui ai longuement lubrifié la fente, il mouillait abondamment.
J’ai reconnu le bruit du tiroir de la table de nuit, un préservatif est tombé sur le lit à côté de moi. J’ai déchiré l’emballage et je l‘ai installé sur ma bite tout en continuant à lui lécher et doigter l’anus. Je me suis relevé et je lui ai dit :« T’es prêt, tu me veux ? »« Oui, viens en moi ! »« Ce coup-ci c’est à toi de jouer, fais-toi plaisir ! »
Je me suis allongé sur le dos, il est monté sur moi, m’a embrassé, a saisi ma bite pour la guider vers son trou et s’est empalé très lentement, c’était divin. J’ai saisi ses hanches et, par mes mouvements, j’ai accompagné les siens. Il me faisait face, montait et descendait à un bon rythme en poussant des petits cris aigus, son sexe, bien dur, tapait contre mon ventre, son gland était mouillé de précum. Je le complimentais en lui disant que je le trouvais bon, que je prenais mon pied et que je voulais qu’il prenne le sien. Par habitude, mes mains sont allé masser sa poitrine, il a gémi un peu plus fort et s’est mis à se branler. Après plusieurs minutes, j’ai reçu de longs jets bouillants sur le torse et sur le menton, il criait son plaisir en de longs râles, je lui donnais de puissants coups de reins, j’adorais cette sensation de donner un orgasme à un homme, ma bite était comprimée à chaque éjaculation. Il a pris un peu de son jus dans sa main et l’a porté à ma bouche, j’ai sucé et avalé du jus d’homme pour la première fois. Le goût était salé, la texture un peu épaisse, j’ai trouvé ça chaud et bizarre, ni bon ni mauvais, il a recommencé plusieurs fois, j’ai tout avalé, j’ai fini par m’habituer au goût et à la texture. Puis c’est mon plaisir qui est venu, j’ai joui abondamment au fond de lui tandis qu’il semblait avoir un deuxième orgasme encore plus intense que le premier. Il s’est allongé à mes côtés et m’a dit qu’il venait de jouir du cul en même temps que moi.
On s’est calmés, je suis allé me doucher, puis il m’a demandé de repartir car dormir ensemble, selon lui, c’est un peu tromper ! C’est bien ce que je pense aussi, décidément !
Je suis rentré chez moi vers 4 heures du matin, je bossais à 8h ! Ce fut difficile ce jour-là ! Mon trouble est réapparu le jour suivant : j’avais baisé avec un mec, j’avais sucé une bite et, en plus, j’avais avalé du sperme et pas le mien ! Tout ça en prenant un pied d’enfer ! Qu’est-ce qui m’arrivait, qu’est-ce que je devenais ?
Pour me prouver que je suis toujours un mec, vrai, viril et uniquement hétéro, je n’ai baisé, pendant les trois semaines suivantes, qu’avec des meufs à gros seins de préférence ! J’avais peur que ce ne soit plus pareil, en fait, si ! N’empêche que Paul était toujours dans mes pensées, jusqu’à ce que je croise Jonathan….
Merci les mecs pour vos messages d’encouragements et pour avoir été aussi nombreux à lire ma première histoire (plus de 7000 vues, j’y crois pas !).
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