Scéance photos pour Marion 01.
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Scéance photos pour Marion 01.
L’année de mes 18 ans, juste après mes premières sucettes, un homme de mon petit village, qui est considéré comme excentrique, car un artiste en milieu rurale: c’est pas un métier. Lui est photographe et peintre, je ne connais pas son travail, je n’ai jamais vu un de ses tableaux, je sais juste par ouï-dire que son activité tire sur l’erotisme voir plus.
Juste avant ma rentrée universitaire, je le croise par hasard dans le village, moi je ne fais pas attention à lui, mais il m’aborde.
- Excusez-moi, mademoiselle, bonjour d’abord, je peux vous poser quelques questions?
- Bonjour monsieur, lui réponds-je, oui vous pouvez.
- Êtes-vous majeur?
La question est direct, et je me doute qu’il veut me proposer quelque chose qui nécessite d’être adulte, je pense tout de suite a des poses érotiques.
- Oui monsieur, j’ai 18 ans.
- Bien je vous trouve très jolie, et vous avez un style que je recherche, savez-vous ce que je fais?
- Je crois que vous êtes photographe.
- Oui, c’est vrai, mais disons que je fais des photos de charme voyez-vous?
Je vois rien du tout, je sais pas trop ce que cela signifie, c’est très vague pour moi.
- Et vous voulez que je pose pour vous?
- Oui, c’est bien ça, appelez-moi à ce numéro après que vous ayez réfléchi, je ne tiens pas à vous bousculer et là je suis un peu pressé, si vous avez des questions vous pouvez aussi me les poser.
- Merci monsieur, j’étudierai votre proposition.
D’un côté je sais que ce type est un peu bizarre, d’un autre côté ces choses là m’attirent, j’aime la nouveauté, la découverte, l’érotisme aussi. Mais j’ai peur de me jetter dans la gueule du loup. Pourtant j’ai une idée: si j’amenais avec moi un ami, jeserais plus en confiance, je pense demandé à Alexis s’il veut m’accompagner. C’est un copain d’école du même âge que moi, il n’a jamais été mon petit copain, mais je pourrais le faire passer pour ça.
Le lendemain, je suis allé voir Alexis et il a accepté, de jouer mon scénario, de chez lui j’appelle le photographe.
- Bonjour monsieur, je suis Marion, la jeune fille que vous avez croisé hier.
- Oui bonjour, Marion, je me souviens, tu peux m’appeler Claude.
- Alors j’ai étudié votre proposition, puis-je venir avec mon petit ami?
- Ok pas de problème, tu sais si tes photos sont remarquées, tu peux faire une grande carrière de mannequin, tu est très belle, et moi beaucoup de personnes suivent mes travaux, peux-tu venir samedi prochain en début d’après-midi, disons 14h.
Alexis qui écoute notre conversation me fait oui de la tête.
- Bien dis-je je serai chez vous samedi à 14h.
- Mon atelier est juste à côté de ma résidence, sonne à la porte, je viendrai t’ouvrir.
- C’est entendu, à samedi Claude au revoir.
- Au revoir Marion.
Il fait encore bon en cette fin été, et ce jour-là particulièrement, donc je suis en tee-shirt et un mini-short en Jean mais ni déchiré, ni à franges ou ni délavé, j’aime pas ces genres là, le mien est plus classe. Il est 13h30, je pars chercher Alexis pour me rendre avec lui chez Claude.
- Bonjour Alexis, tu es prêt ?
- Oui, me dit-il, nous y allons quand tu veux.
- Alors tout de suite, réponds-je.
Pendant le trajet, Alexis me demande quel rôle il doit jouer? Je lui dis que je sais pas trop, qu’il fasse comme s’il était mon petit copain, qu’il s’adapte et improvise suivant la situation, je l’aide pas beaucoup, le pauvre, mais moi j’en sais pas plus non plus.
Arrive chez Claude, j’appuie sur le bouton de la sonnette, déjà un drôle de bruit, un long carillon qui me dit vaguementquelque chose d’une vieille chanson.
- Bonjour Marion, je suis content que tu sois venue, et ton petit copain comment s’appelle-t-il?
- Alexis, lui dis-je, en le saluant à mon tour.
Alexis lui serre la main et nous entrons chez lui, ou disons tentons d’entrer chez lui, car comme bric-à-brac ça se pose là, nous enjambons diverses choses pour parvenir à son atelier. Un tas de toiles en vrac sont entassées dans un coin et plusieurs autres posées sur des chevalets, je remarque immédiatement que les sujets commun de ses tableaux sont des femmes nues mais joliment représentées, je me doutais un peu de la chose.
Lui est un homme mûr, la cinquantaine passée, les cheveux blanc en bataille, un peu comme Einstein, vous voyez? Dans le fond de la pièce, il y a quelque chose qui peut ressembler à un studio photo et il nous dirige par là.
Il y a un canapé, une table basse, des chaises et tabourets, un fond blanc, un tas de projecteurs et du matériel dont j’aiaucune idée de l’utilité.
- Je t’explique, me dit-il, voilà tu te mets en place et je te guide, mais essaye d’être le plus naturel possible. On commence la séance?
- Ok.
- Je met en route les caméras, dit-il, et je cadre.
- Vous me filmez, demandé-je?
- Oui c’est plus pratique pour moi, par exemple quand je peints avec un sujet photo pour modèle, j’aime bien voir plusieurs angles et le mouvement qui s’y rapporte, ça te pose un problème?
- Non, dis-je, car j’ose pas dire oui.
Je trouve son explication un peu étrange, mais bon, je n’y connais rien.
- assois-toi, et mets-toi à l’aise, passe ta main dans les cheveux et souris.
Et le clic et les flashs commencent, il tourne autour de moi et me prend sous plusieurs angles.
- Remonte les pieds sur le canapé, genoux serrées, maintenant écarte les, voilà, big smile, ton mini-short serré comme ça c’est magnifique, essaye un pied par terre, allonge toi, pareil les genoux relevés serrés, puis écarte les bien, pense toujours à sourire.
Après moult poses, me sentant plus libérée et décontractée, il me propose d’aller plus loin.
- Serais-tu d’accord pour relever ton tee-shirt?
- oui je peux.
Et je soulève mon tee-shirt au niveau des seins, j’ai mis un soutien-gorge blanc à dentelle.
- montre nous juste un bonnet, oui, les deux, voilà, tu peux écarter un peu un des bonnets que nous devrions un de tes petits seins. Je suis ses recommandations à la lettre, c’est agréable de le faire devant des hommes.
- Laisse comme ça c’est bien, peux-tu déboutonner ton short que nous apercevions ta culotte?
Là, ça devient de plus en plus chaud, mais ce n’est pas pour me déplaire surtout qu’Alexis semble très attentif, j’ai un petit string blanc et il faut que je descendre en plus la fermeture éclair jusqu’au milieu pour l’apercevoir.
- Alexis pourrait peut-être participer si ça l’amuse? nous dit-il,
La tête de mon copain, embêté et certainement aguiché. Il semble attendre mon autorisation et par un petit signe de tête il comprend que j’approuve, et il s’approche.
- Je dois faire quoi? Demande-t-il.
- assois-toi et prends Marion sur tes genoux, pose une main sur son sein, bien comme ça oui, met l’autre main dans son short.
Il me sourit et comme je lui rend ce sourire, il glisse sa main dans mon short sur ma culotte, je n’avais pas envisagé cette sceance sous cet angle, mais je dois dire que cela commence à me faire de l’effet, Alexis à toujours été un bon copain et je l’apprécie énormément, mais nous n’avons jamais tenté une approche de ce type.
- Rentre la main sous sa culotte, lui ordonne-t-il.
Il s’exécute et le flash crépite, il a ses doigts sur mon mont de Vénus tout proche de ma fente!
- Donnez-vous un baiser dans cette position.
Nous retournons nos tête l’une vers l’autre en nous pincant les lèvres pour ne pas éclater de rire, et nous nous faisons un petit bécot.
- Mieux que ça, nous dit-il, je veux un gros patin.
Comme nous lui avons fait croire que nous sommes ensemble, il ne voit pas le problème, pour ne pas éveiller les soupçons, je prends l’initiative et je colle mes lèvres à celles d’Alexis et entrouvre légèrement la bouche pour que nos langues puissent se retrouver.
- Baisse un peu ton short et ta culotte jusqu’à mi-cuisses, voilà, mets tes pieds sur les genoux d’Alexis et montre moi ta chatte sous ton short.
Toujours assise sur Alexis, les genoux en l’air, le short et la culotte entre mes genoux et ma chatte, je suis face à Claude qui photographie ma fente totalement découverte car j’écarte au maximum mes genoux.
A suivre.
Juste avant ma rentrée universitaire, je le croise par hasard dans le village, moi je ne fais pas attention à lui, mais il m’aborde.
- Excusez-moi, mademoiselle, bonjour d’abord, je peux vous poser quelques questions?
- Bonjour monsieur, lui réponds-je, oui vous pouvez.
- Êtes-vous majeur?
La question est direct, et je me doute qu’il veut me proposer quelque chose qui nécessite d’être adulte, je pense tout de suite a des poses érotiques.
- Oui monsieur, j’ai 18 ans.
- Bien je vous trouve très jolie, et vous avez un style que je recherche, savez-vous ce que je fais?
- Je crois que vous êtes photographe.
- Oui, c’est vrai, mais disons que je fais des photos de charme voyez-vous?
Je vois rien du tout, je sais pas trop ce que cela signifie, c’est très vague pour moi.
- Et vous voulez que je pose pour vous?
- Oui, c’est bien ça, appelez-moi à ce numéro après que vous ayez réfléchi, je ne tiens pas à vous bousculer et là je suis un peu pressé, si vous avez des questions vous pouvez aussi me les poser.
- Merci monsieur, j’étudierai votre proposition.
D’un côté je sais que ce type est un peu bizarre, d’un autre côté ces choses là m’attirent, j’aime la nouveauté, la découverte, l’érotisme aussi. Mais j’ai peur de me jetter dans la gueule du loup. Pourtant j’ai une idée: si j’amenais avec moi un ami, jeserais plus en confiance, je pense demandé à Alexis s’il veut m’accompagner. C’est un copain d’école du même âge que moi, il n’a jamais été mon petit copain, mais je pourrais le faire passer pour ça.
Le lendemain, je suis allé voir Alexis et il a accepté, de jouer mon scénario, de chez lui j’appelle le photographe.
- Bonjour monsieur, je suis Marion, la jeune fille que vous avez croisé hier.
- Oui bonjour, Marion, je me souviens, tu peux m’appeler Claude.
- Alors j’ai étudié votre proposition, puis-je venir avec mon petit ami?
- Ok pas de problème, tu sais si tes photos sont remarquées, tu peux faire une grande carrière de mannequin, tu est très belle, et moi beaucoup de personnes suivent mes travaux, peux-tu venir samedi prochain en début d’après-midi, disons 14h.
Alexis qui écoute notre conversation me fait oui de la tête.
- Bien dis-je je serai chez vous samedi à 14h.
- Mon atelier est juste à côté de ma résidence, sonne à la porte, je viendrai t’ouvrir.
- C’est entendu, à samedi Claude au revoir.
- Au revoir Marion.
Il fait encore bon en cette fin été, et ce jour-là particulièrement, donc je suis en tee-shirt et un mini-short en Jean mais ni déchiré, ni à franges ou ni délavé, j’aime pas ces genres là, le mien est plus classe. Il est 13h30, je pars chercher Alexis pour me rendre avec lui chez Claude.
- Bonjour Alexis, tu es prêt ?
- Oui, me dit-il, nous y allons quand tu veux.
- Alors tout de suite, réponds-je.
Pendant le trajet, Alexis me demande quel rôle il doit jouer? Je lui dis que je sais pas trop, qu’il fasse comme s’il était mon petit copain, qu’il s’adapte et improvise suivant la situation, je l’aide pas beaucoup, le pauvre, mais moi j’en sais pas plus non plus.
Arrive chez Claude, j’appuie sur le bouton de la sonnette, déjà un drôle de bruit, un long carillon qui me dit vaguementquelque chose d’une vieille chanson.
- Bonjour Marion, je suis content que tu sois venue, et ton petit copain comment s’appelle-t-il?
- Alexis, lui dis-je, en le saluant à mon tour.
Alexis lui serre la main et nous entrons chez lui, ou disons tentons d’entrer chez lui, car comme bric-à-brac ça se pose là, nous enjambons diverses choses pour parvenir à son atelier. Un tas de toiles en vrac sont entassées dans un coin et plusieurs autres posées sur des chevalets, je remarque immédiatement que les sujets commun de ses tableaux sont des femmes nues mais joliment représentées, je me doutais un peu de la chose.
Lui est un homme mûr, la cinquantaine passée, les cheveux blanc en bataille, un peu comme Einstein, vous voyez? Dans le fond de la pièce, il y a quelque chose qui peut ressembler à un studio photo et il nous dirige par là.
Il y a un canapé, une table basse, des chaises et tabourets, un fond blanc, un tas de projecteurs et du matériel dont j’aiaucune idée de l’utilité.
- Je t’explique, me dit-il, voilà tu te mets en place et je te guide, mais essaye d’être le plus naturel possible. On commence la séance?
- Ok.
- Je met en route les caméras, dit-il, et je cadre.
- Vous me filmez, demandé-je?
- Oui c’est plus pratique pour moi, par exemple quand je peints avec un sujet photo pour modèle, j’aime bien voir plusieurs angles et le mouvement qui s’y rapporte, ça te pose un problème?
- Non, dis-je, car j’ose pas dire oui.
Je trouve son explication un peu étrange, mais bon, je n’y connais rien.
- assois-toi, et mets-toi à l’aise, passe ta main dans les cheveux et souris.
Et le clic et les flashs commencent, il tourne autour de moi et me prend sous plusieurs angles.
- Remonte les pieds sur le canapé, genoux serrées, maintenant écarte les, voilà, big smile, ton mini-short serré comme ça c’est magnifique, essaye un pied par terre, allonge toi, pareil les genoux relevés serrés, puis écarte les bien, pense toujours à sourire.
Après moult poses, me sentant plus libérée et décontractée, il me propose d’aller plus loin.
- Serais-tu d’accord pour relever ton tee-shirt?
- oui je peux.
Et je soulève mon tee-shirt au niveau des seins, j’ai mis un soutien-gorge blanc à dentelle.
- montre nous juste un bonnet, oui, les deux, voilà, tu peux écarter un peu un des bonnets que nous devrions un de tes petits seins. Je suis ses recommandations à la lettre, c’est agréable de le faire devant des hommes.
- Laisse comme ça c’est bien, peux-tu déboutonner ton short que nous apercevions ta culotte?
Là, ça devient de plus en plus chaud, mais ce n’est pas pour me déplaire surtout qu’Alexis semble très attentif, j’ai un petit string blanc et il faut que je descendre en plus la fermeture éclair jusqu’au milieu pour l’apercevoir.
- Alexis pourrait peut-être participer si ça l’amuse? nous dit-il,
La tête de mon copain, embêté et certainement aguiché. Il semble attendre mon autorisation et par un petit signe de tête il comprend que j’approuve, et il s’approche.
- Je dois faire quoi? Demande-t-il.
- assois-toi et prends Marion sur tes genoux, pose une main sur son sein, bien comme ça oui, met l’autre main dans son short.
Il me sourit et comme je lui rend ce sourire, il glisse sa main dans mon short sur ma culotte, je n’avais pas envisagé cette sceance sous cet angle, mais je dois dire que cela commence à me faire de l’effet, Alexis à toujours été un bon copain et je l’apprécie énormément, mais nous n’avons jamais tenté une approche de ce type.
- Rentre la main sous sa culotte, lui ordonne-t-il.
Il s’exécute et le flash crépite, il a ses doigts sur mon mont de Vénus tout proche de ma fente!
- Donnez-vous un baiser dans cette position.
Nous retournons nos tête l’une vers l’autre en nous pincant les lèvres pour ne pas éclater de rire, et nous nous faisons un petit bécot.
- Mieux que ça, nous dit-il, je veux un gros patin.
Comme nous lui avons fait croire que nous sommes ensemble, il ne voit pas le problème, pour ne pas éveiller les soupçons, je prends l’initiative et je colle mes lèvres à celles d’Alexis et entrouvre légèrement la bouche pour que nos langues puissent se retrouver.
- Baisse un peu ton short et ta culotte jusqu’à mi-cuisses, voilà, mets tes pieds sur les genoux d’Alexis et montre moi ta chatte sous ton short.
Toujours assise sur Alexis, les genoux en l’air, le short et la culotte entre mes genoux et ma chatte, je suis face à Claude qui photographie ma fente totalement découverte car j’écarte au maximum mes genoux.
A suivre.
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