Scénario coquin pour une soirée inattendue
Récit érotique écrit par Marco84 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Scénario coquin pour une soirée inattendue
Un soir, alors que Lyse rentre du travail, elle récupère dans sa boîte aux lettres une
grosse enveloppe noire sur laquelle est collée une autre enveloppe, plus petite, de la
taille d’une carte de visite. Cette seconde enveloppe est grise, ornée d’un fin liseré
et porte la mention : « à ouvrir avant d’entrer dans l’ascenceur ».
Tout en saluant le vieux voisin du 7ème, elle décachette la petite enveloppe et lit
les mots suivants :
« Es-tu prête à chavirer dans le désir et la volupté ?
Seras-tu prête à aller jusqu’aù bout ? Oseras-tu ?
Si oui, monte et ouvre la grande enveloppe»
Intriguée, elle appelle l’ascenseur, tiens la porte au monsieur du 7ème, et entrouvre
l’enveloppe noire. Elle aperçoit une feuille volante et une nouvelle enveloppe.
Saisissant la feuille, elle la déplie en prenant garde que le vieil homme ne puisse en
lire le contenu :
« Dans cette nouvelle enveloppe,
tu trouveras un masque de sommeil, il cachera tes yeux,
tu le mettras avant d’entrer dans l’appartement.
Après avoir ouvert la porte,
Tu poseras tes affaires,
Je serai sur le canapé du salon,
A l’aveuglette, tu t’avanceras,
Tu déboutonneras ton chemisier bouton par bouton,
Tu le laisseras glisser par terre,
Tu t’avanceras vers le canapé,
Tu t’agenouilleras et me prendra dans ta bouche.
Objectif : me faire jouir,
Contraintes : tu ne peux utiliser que tes mains, tes lèvres et ta poitrine.
Quand tu auras fini, tu iras à tâtons vers la salle de bains où d’autres consignes
t’attendront.
PS : tu ne dois dire aucun mot, interdiction de parler ! ».
Elle finit sa lecture au moment où son étage est annoncé, elle laisse le vieux
monsieur en lui souhaitant bonne soirée et en s’efforçant de ne pas paraitre troublée
par ces quelques mots. Effort vain, son empourprement l’avait déjà trahie.
Hésitante mais déjà excitée, elle glisse sa clé dans la serrure. Un instant de
réflexion, puis elle prend le masque, regarde de part et d’autre du couloir :
personne. Son cœur bat fort. Trouvant tout ceci insensé, elle revêt le masque et tombe
dans l’obscurité la plus totale. Elle hésite, le retire, puis prend son courage à deux
mains, remet le masque et pousse la porte : c’est parti.
Dans l’appartement, elle n’entend rien si ce n’est une musique qui rompt le silence,
une odeur de jasmin a envahit la pièce. Tout semble plus puissant quand la vue
n’intervient pas. Puis elle reprend ses esprits, se remémore les instructions.
A l’aveuglette, elle retrouve la table et y dépose son sac à main. Le moment est
maintenant venu. Elle fait quelques pas et estime se retrouver face au canapé, dans le
salon. Elle porte ses mains à son premier bouton et soudain s’interroge :
- les rideaux sont-ils tirés ?
- mon chéri est-il là ?
- seul ?
Et puis, maintenant, il est trop tard pour faire marche arrière, alors Lyse se lance.
Elle ouvre tous les boutons de son chemisier et ressent l’air sur sa poitrine. Cette
sensation lui plait, ne pas savoir ce qu’il se passe dans la pièce lui plait encore
plus.
Sylvain, quant à lui, est dans le canapé, il est fier de l’ambiance qu’il a créé :
musique douce, bougies au jasmin et scénario diabolique ! Quand il entend la clé dans
la serrure il est à la fois très excité et inquiet qu’elle ne joue pas le jeu. Mais
en voyant Lyse arriver, hésitante, avec son masque sur les yeux, il s’est réjoui.
Qu’elle était belle !
Il la regarde défaire son chemisier, hésitante au début puis très vite déterminée. Il
admire le galbe de ses seins rebondis dans leur soutien-gorge. Elle est sexy, poitrine
dévoilée au dessus de sa jupe avec ses petits talons stricts. Puis elle avance vers
lui, il tend les jambes pour la guider.
Lyse qui avance à petits pas se laisse guider par Sylvain. Elle bute contre le canapé,
alors elle se met à genoux. Laissant glisser ses mains sur les cuisses velues de son
homme, elle saisit son sexe, aussitôt elle le prend en bouche. Lui, profite du
spectacle, observant son sexe disparaitre entre les lèvres de Lyse, caressant du bout
des doigts sa poitrine et saisissant à pleines mains sa chevelure.
Lyse se laisse gagner par le plaisir, l’inattendu, l’inconnu. Elle libère ses
instincts comme si sa cécité la transportait dans un monde inhibé. Comme si personne
ne voyait rien.
Léchant, suçant, mordillant, elle s’acharne pour le plus grand plaisir de Sylvain. Ce
dernier, transporté par l’aveuglement de Lyse se lâche lui aussi, se libère comme si
elle ne voyait rien, comme s’il pouvait en profiter, abuser d’elle. Alors, il serre
son emprise sur ses cheveux et impose un rythme endiablé à ses mouvements. Il sent le
plaisir monter en lui et pour une fois, sans rien dire, il se libère dans la bouche de
Lyse en observant son visage. Il la voit recueillir tout son liquide et l’avaler. Puis
elle hésite et se lève pour rejoindre la salle de bains comme indiqué dans les
instructions.
Hébété, Sylvain patiente un instant, toujours émerveillé que son fantasme soit entrain
de se réaliser.
Laisser moi des commentaires si vous souhaitez que je poursuive le récit. Merci pour
vos avis
grosse enveloppe noire sur laquelle est collée une autre enveloppe, plus petite, de la
taille d’une carte de visite. Cette seconde enveloppe est grise, ornée d’un fin liseré
et porte la mention : « à ouvrir avant d’entrer dans l’ascenceur ».
Tout en saluant le vieux voisin du 7ème, elle décachette la petite enveloppe et lit
les mots suivants :
« Es-tu prête à chavirer dans le désir et la volupté ?
Seras-tu prête à aller jusqu’aù bout ? Oseras-tu ?
Si oui, monte et ouvre la grande enveloppe»
Intriguée, elle appelle l’ascenseur, tiens la porte au monsieur du 7ème, et entrouvre
l’enveloppe noire. Elle aperçoit une feuille volante et une nouvelle enveloppe.
Saisissant la feuille, elle la déplie en prenant garde que le vieil homme ne puisse en
lire le contenu :
« Dans cette nouvelle enveloppe,
tu trouveras un masque de sommeil, il cachera tes yeux,
tu le mettras avant d’entrer dans l’appartement.
Après avoir ouvert la porte,
Tu poseras tes affaires,
Je serai sur le canapé du salon,
A l’aveuglette, tu t’avanceras,
Tu déboutonneras ton chemisier bouton par bouton,
Tu le laisseras glisser par terre,
Tu t’avanceras vers le canapé,
Tu t’agenouilleras et me prendra dans ta bouche.
Objectif : me faire jouir,
Contraintes : tu ne peux utiliser que tes mains, tes lèvres et ta poitrine.
Quand tu auras fini, tu iras à tâtons vers la salle de bains où d’autres consignes
t’attendront.
PS : tu ne dois dire aucun mot, interdiction de parler ! ».
Elle finit sa lecture au moment où son étage est annoncé, elle laisse le vieux
monsieur en lui souhaitant bonne soirée et en s’efforçant de ne pas paraitre troublée
par ces quelques mots. Effort vain, son empourprement l’avait déjà trahie.
Hésitante mais déjà excitée, elle glisse sa clé dans la serrure. Un instant de
réflexion, puis elle prend le masque, regarde de part et d’autre du couloir :
personne. Son cœur bat fort. Trouvant tout ceci insensé, elle revêt le masque et tombe
dans l’obscurité la plus totale. Elle hésite, le retire, puis prend son courage à deux
mains, remet le masque et pousse la porte : c’est parti.
Dans l’appartement, elle n’entend rien si ce n’est une musique qui rompt le silence,
une odeur de jasmin a envahit la pièce. Tout semble plus puissant quand la vue
n’intervient pas. Puis elle reprend ses esprits, se remémore les instructions.
A l’aveuglette, elle retrouve la table et y dépose son sac à main. Le moment est
maintenant venu. Elle fait quelques pas et estime se retrouver face au canapé, dans le
salon. Elle porte ses mains à son premier bouton et soudain s’interroge :
- les rideaux sont-ils tirés ?
- mon chéri est-il là ?
- seul ?
Et puis, maintenant, il est trop tard pour faire marche arrière, alors Lyse se lance.
Elle ouvre tous les boutons de son chemisier et ressent l’air sur sa poitrine. Cette
sensation lui plait, ne pas savoir ce qu’il se passe dans la pièce lui plait encore
plus.
Sylvain, quant à lui, est dans le canapé, il est fier de l’ambiance qu’il a créé :
musique douce, bougies au jasmin et scénario diabolique ! Quand il entend la clé dans
la serrure il est à la fois très excité et inquiet qu’elle ne joue pas le jeu. Mais
en voyant Lyse arriver, hésitante, avec son masque sur les yeux, il s’est réjoui.
Qu’elle était belle !
Il la regarde défaire son chemisier, hésitante au début puis très vite déterminée. Il
admire le galbe de ses seins rebondis dans leur soutien-gorge. Elle est sexy, poitrine
dévoilée au dessus de sa jupe avec ses petits talons stricts. Puis elle avance vers
lui, il tend les jambes pour la guider.
Lyse qui avance à petits pas se laisse guider par Sylvain. Elle bute contre le canapé,
alors elle se met à genoux. Laissant glisser ses mains sur les cuisses velues de son
homme, elle saisit son sexe, aussitôt elle le prend en bouche. Lui, profite du
spectacle, observant son sexe disparaitre entre les lèvres de Lyse, caressant du bout
des doigts sa poitrine et saisissant à pleines mains sa chevelure.
Lyse se laisse gagner par le plaisir, l’inattendu, l’inconnu. Elle libère ses
instincts comme si sa cécité la transportait dans un monde inhibé. Comme si personne
ne voyait rien.
Léchant, suçant, mordillant, elle s’acharne pour le plus grand plaisir de Sylvain. Ce
dernier, transporté par l’aveuglement de Lyse se lâche lui aussi, se libère comme si
elle ne voyait rien, comme s’il pouvait en profiter, abuser d’elle. Alors, il serre
son emprise sur ses cheveux et impose un rythme endiablé à ses mouvements. Il sent le
plaisir monter en lui et pour une fois, sans rien dire, il se libère dans la bouche de
Lyse en observant son visage. Il la voit recueillir tout son liquide et l’avaler. Puis
elle hésite et se lève pour rejoindre la salle de bains comme indiqué dans les
instructions.
Hébété, Sylvain patiente un instant, toujours émerveillé que son fantasme soit entrain
de se réaliser.
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