Scenario very bad boy
Récit érotique écrit par EricDeFrance [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Scenario very bad boy
Le lendemain, Samir eut envie de remettre le couvert.
Toute la journée, sa libido l’avait titillé.
La baise de la veille au soir l’avait trop chauffé. Jamais il n’avait autant bandé, surtout aussi longtemps, jamais il n’avait pris un tel pied, jamais il n’avait joui d’une telle façon.
Depuis leur plan à trois avec Arnaud, il y a un an maintenant, il trouvait que leur sexualité, et, partant, leur relation, avait pris une autre dimension.
Des tabous, des barrières, des blocages, tout avait cédé, et il se sentait nettement mieux. Dans son corps. Dans sa vie. Et avec Eric.
Alors, il eut envie de remettre le couvert.
Le scenario bad boy de la veille avait créé les conditions d’une baise surprise, et tellement agréable. Simple, car ils n’avaient rien fait d’extraordinaire. Mais intense.
Et à refaire donc. Au plus vite. Le soir même.
Il chercha donc un scenario, qui ressemble à celui de la veille, mais qui s’en diffère un peu. Qui surprenne Eric. Et lui donne envie. Comme la veille.
Il ne trouva guère d’autre idée que de reprendre le scenario de la veille - difficile d’imaginer autre chose que de l’attendre sur un lit - mais il y mit deux variantes : le lit, justement, et la tenue.
Changement de lit, d’abord : il se dit qu’il allait l’attendre, non pas comme la veille sur son lit à lui, et dans sa chambre, mais sur le lit d’Eric.
Et surtout changement de tenue : il allait l’attendre, non pas à poil comme la veille mais habillé.
Dans la tenue qu’il préférait, il le savait : en jeans moulant et en tee shirt blanc.
Il avait justement un jeans qui lui moulait bien les fesses, il savait qu’Eric aimait ça, et, pour l’exciter, il se coucherait sur le ventre, le bouton du jeans (sans rien dessous) dégrafé, les fesses, et son corps entier à sa merci.
Ce soir-là, Eric rentra à peu près à la même heure que la veille, vers 19h30. Il avait passé une bonne journée. Déjà, après leur plan si chaud, il avait super bien dormi, sans manger. Ils avaient regardé une série sur Netflix, mettant en scène une famille d’agents immobiliers, et permettant de mater des maisons et des appartements de luxe, un peu partout dans le monde, mais beaucoup à Paris. Ils avaient pris une bonne douche ensemble, bien chaude, bien câline, avant de se mettre sous la couette de la chambre de Samir, tous nus, collés l’un à l’autre, mais sans sexe, juste des câlins, des caresses, des smaks...
Vers 23h, Eric était allé se coucher dans son lit, dans sa chambre et avait dormi comme un bébé jusqu’à 6h30. Quasi une grass’ mat’ pour lui... En tout cas, ça lui avait fait beaucoup de bien...
Et, du coup, il avait passé une bonne journée, avait repensé à la soirée de la veille, le plan sex très chaud, et le moment plus câlin devant la télé... et si c’était le bonheur ?
Il était content de rentrer, en tout cas, et, quand il ouvrit la porte d’entrée de l’appartement, il ressentit tout à la fois soulagement, apaisement, sérénité.
Mais, comme la veille, il n’y avait personne en bas, juste la chienne qui vint se faire gratouiller, avant de repartir dans son panier.
Eric sourit intérieurement, et se dit que Samir devait être en haut... comme la veille.
Il alla donc vers sa chambre, mais ne le vit pas... c’est sur son lit à lui qu’il se trouvait, allongé sur le ventre, vêtu d’une tenue qu’il affectionnait tout particulièrement : jeans bleu ciel bien moulant, et tee-shirt blanc... Sexy à souhait.
Il n’avait pas bougé, rien dit, mais Eric savait ce que tout cela signifiait. Devant ce corps qui l’attendait et qui se montrait totalement à sa disposition, il sentit le désir monter en lui et il savait qu’une fois de plus il allait passer un bon moment.
Il commença à s’asseoir au bord du lit, déboutonna sa chemise, et vint se coller à lui.
Il eut envie de ses fesses, encore cachées sous le jean, mais à portée de lui. Ça faisait longtemps qu’il ne les avait pas bouffées, et il en avait envie.
Il se dit que si Samir s’était mis dans cette position, et dans cette tenue, c’était pour les lui offrir. Au moins à sa bouche et à ses mains.
Eric commença à les caresser par dessus le jeans. Il se rendit assez vite compte qu’il n’avait pas de caleçon dessous. Il avait du mal à réaliser qu’il allait les avoir à dispo pendant au moins quelques minutes, rien que pour lui, pour se régaler, que c’était pour ça que Samir s’était mis dans cette tenue et dans cette position.
Il put faire descendre le jeans et les découvrir, les tater, les bouffer, les lécher.
Les écarter. Et commencer à lui bouffer la rondelle.
Ça faisait longtemps qu’il ne l’avait fait, ça lui avait manqué, il aimait trop ça.
Il passa les mains de l’autre côté, et sentit sa bite, déjà bien dure, contre la housse de couette, c’était moelleux et agréable.
Il enleva sa chemise pour se sentir plus à l’aise, écarta les fesses, mit sa tête entre, et repris son anulingus. Trop bon.
Il sentait sa bite se dresser dans son caleçon, à l’intérieur de son pantalon, se déboutonna pour la libérer.
Il vint se frotter contre son corps, et la frotta contre ses fesses.
Il se demanda s’il pourrait prendre possession de son cul avec sa bite, mais c’est à ce moment-là que Samir qui, jusque là, n’avait pas bougé, se releva, se retourna et lui présenta la sienne.
Il l’engloutit aussitôt, sucer, aussi, il aimait ça, et pouvait, comme la veille, se montrer très endurant.
Samir baissa un peu son pantalon pour se sentir plus à l’aise et Eric suçait, suçait...
Elle était toujours aussi bonne, et il l’aimait toujours autant.
Il essaya de relever son tee-shirt pour dégager son torse, et ce fut Samir qui, se relevant, l’enleva, et exhiba sa belle poitrine, imberbe, (légèrement) musclée, et ses petits tétons.
Le voir à poil, devant lui, procurait en lui toujours autant d’effet, de sensation, d’envie. Il empoigna sa bite et continua ses mouvements de va-et-vient dans sa bouche.
Avec sa main libre, il caressait son doux torse, puis lâcha sa queue et vint poser son visage contre le sien, sa bouche contre sa bouche, ses lèvres contre ses lèvres, sa langue contre la sienne.
Ils restèrent un moment ainsi, à s’embrasser goulûment et langoureusement.
Avant qu’Eric eut à nouveau envie de sa queue, et revienne la gober.
Samir se mit à accélérer le mouvement de sa bite dans la bouche de son mec, mais, comme la veille, il s’arrêta à temps, et Eric dégagea sa bouche.
Il voulut alors jouer, voir jusqu’où il pouvait aller, lui montrer que lui aussi avait envie de certaines choses et, après avoir enlevé son pantalon, il se mit à genoux de part et d’autre de son corps, puis approcha sa bite de son visage.
Mais Samir eut un mouvement de recul, appuya sa tête contre l’oreiller, et fixa le plafond.
Le message était clair. Eric se releva, mais prit sa tête entre ses mains, et vint à nouveau joindre ses lèvres aux siennes, dans un baiser fougueux.
Samir en profita pour se branler et, pour bien lui montrer ce qu’il voulait, et ce qui allait se passer, il empoigna Eric au niveau du bassin, le recula, et vint positionner son fessier contre sa bite dressée.
Il se releva, au point que le corps des deux hommes était à la verticale, serré l’un contre l’autre, l’anus d’Eric au contact de la bite de Samir, qui rentra doucement.
La sensation était particulièrement agréable, et les deux hommes, tout en entamant un bon coït anal, s’embrassèrent à nouveau.
Mais, dans la durée, la position n’était pas très confortable, Eric dégagea son cul de la bite de Samir, ce qui permit à celui-ci d’empoigner ses fesses, de bien les dégager, et bien les écarter, et de le doigter doucement.
Eric se redressa, et vint à nouveau sucer son compagnon qui, du coup, s’allongea à nouveau.
Il s’arrêta quelques instants pour retirer complètement le jeans de Samir, qui commençait à le gêner.
Les deux hommes étaient désormais complètement à poil, Samir put écarter les cuisses et Eric reprit sa fellation, sous un rythme soutenu.
Samir, qui avait empoigné le visage de son compagnon, et accélérait les mouvements de sa bite dans sa bouche, sentit à nouveau la sauce monter, et dut s’arrêter, et calmer le mouvement.
Eric, lui, réussit à garder sa bite en bouche et continua sa sucée, sous un rythme moins rapide toutefois.
La position de Samir, jambes écartées, l’inspira, et lui donna à nouveau de s’enhardir du côté de sa rondelle, qu’il savait juste en dessous, au milieu des fesses dont il devinait les formes sous ses couilles.
Il releva son fessier, jusqu’à ce que son trou apparaisse, et il vint à nouveau le lécher.
C’était la première fois qu’il lui bouffait le cul dans cette position, qu’il affectionnait particulièrement, mais que, jusque là, il n’avait fait qu’à d’autres.
Samir visiblement appréciait, il se laissait faire en tout cas, et Eric se régalait. Il se demandait même s’il ne pourrait pas profiter de cette situaition pour pousser son avantage, et remplacer sa langue par sa bite...
Mais Samir ne voulait pas de ça, n’était pas prêt à ça, pas encore, pas ce soir en tout cas. Une autre fois, peut-être. Quand il l’aurait décidé. Mais pas ce soir.
Eric le sentit, arrêta de lécher, et enleva sa tête du fessier de son partenaire qui du coup reposa ses jambes.
Eric reprit sa pipe, et Samir, qui n’avait pas débandé et était dur comme un taureau en rut, reprit ses mouvements de va-et-bien, de plus en plus rapides, dans sa bouche... Qu’il lui fallut interrompre, juste avant de jouir...
Cette fois, ce fut vraiment juste, et il sentit que c’était le moment de passer à l’étape suivante... qui sinon n’aurait pas lieu...
Eric vint se frotter contre lui, et entama un corps à corps endiablé.
Son trou contre sa bite, et ses lèvres au niveau des siennes, le tout en se frottant et en se dandinant. Lui aussi avait envie de passer à l’étape suivante. Il savait qu’il allait se faire défoncer, mais il aimait ça, il avait envie de ça, il attendait ça.
Il savait que c’était le moment, il se releva donc, complètement, sortit du lit, pour permettre au mâle de prendre les choses en mains et de lui mettre sa dose.
Samir ne se fit pas prier. Il aimait tant cet instant qui précédait le coït anal, le moment où il allait posséder l’autre.
Eric était à présent debout, à côté du lit, tandis que Samir s’était assis, au bord. Eric se tourna et lui présenta ses fesses, en signe de soumission et d’offrande.
Samir les écarta, et y enfouit son visage, afin que sa bouche vienne au contact de la rondelle. Il n’avait pas autant bouffé le cul de son compagnon que ce soir-là, et celui-ci appréciait cette sensation nouvelle.
Samir n’arrêtait pas de bouffer, et Eric savourait le moment. Il avait l’impression tout à la fois que Samir le préparait à ce qui allait arriver, mais aussi, et c’était particulièrement agréable, qu’il s’occupait de lui, de son corps, de son bien-être.
Samir passa de longues secondes à bouffer, à dilater l’anus de son compagnon, la tête enfouie dans ses fesses. Position inhabituelle chez lui.
Il réalisait à quel point il aimait le cul d’Eric. C’était comme sa propriété, sa chose, son terrain de jeu. C’est ce cul qui le faisait bander, qu’il désirait, qu’il vénérait.
Il embrassa ses fesses charnues, également, Eric accompagnait le mouvement en se dandinant et en cabrant son fessier, offert à celui qui, dans quelques instants, allait le baiser. Comme la veille. Comme souvent.
Mais Samir n’arrivait pas à détacher sa bouche de l’entre-fesses d’Eric, dont il ne cessait de bouffer la rondelle.
Enfin il se releva quelque peu, et se mit à le doigter. Eric aimait ça aussi. Il avait dû le lui faire longuement avant de pouvoir le pénétrer avec sa bite. Mais, ça, c’était il y a longtemps. Il n’empêche, Eric aimait toujours ça, et Samir bandait de savoir qu’Eric prenait son pied sous ses assauts.
Il le pénétra, d’abord avec un doigt, puis deux, puis trois, puis les quatre de la paume. Ce cul, jadis si étroit, était devenu de plus en plus large, de plus en plus ouvert, de plus en plus offert.
Et Eric se dandinait toujours autant. Il se branlait aussi, et bandait bien.
A un moment Samir se laissa aller en arrière, Eric l’accompagna dans ce mouvement, et vint coller ses fesses contre sa bite, avant de se retourner, de l’empoigner à nouveau et de la mettre en bouche. Pour bien lui montrer que lui aussi aimait ça et aimerait aussi le soumettre, Eric vint lui lécher les boules et descendit vers l’anus. La sensation de sa langue contre l’anus de Samir l’électrisa, il réalisa qu’il avait de plus en plus envie d’être actif avec lui, de le baiser, de le posséder à son tour, et que le jour où ça allait pouvoir se faire approchait à grands pas.
Il savait que ce n’était pas pour ce soir-là. Il revint sucer la bite de Samir, celle qui allait dans un instant le transpercer. Une fois de plus.
Il suçait de façon effrénée, et, une nouvelle fois, Samir dut l’arrêter, avant qu’il ne soit trop tard.
Car ce soir-là Samir ne pouvait pas concevoir de jouir sans l’avoir baisé.
Eric le savait, et en avait envie.
Sans que Samir ne lui demande, il se mit à quatre pattes à l’avant du lit.
A nouveau, Samir prit possession de son fessier avec sa bouche.
Et c’était enfin le moment de passer à l’étape supérieure. Samir se mit lui aussi sur les genoux, derrière son compagnon qui, de chacune de ses mains, écartait ses fesses, afin de les lui offrir.
Samir se branla légèrement et vint positionner sa bite à l’entrée de l’orifice, et, sans plus de préparation, l’enfonça en lui avant d’entamer des mouvements de va-et-vient rapides et soutenus.
Eric était aux anges, il aimait de plus en plus cette sensation, autrefois douloureuse, où Samir entrait en lui, et le pilonnait de sa bite puissante et si experte en enculade.
Samir aussi prenait son pied, dans sa position favorite quand il enculait un mec. Et là, en plus, c’était Son mec. Le mec qu’il aimait, qu’il désirait, et dont il ne se lassait pas.
Pour bien marquer sa domination, il posa ses mains sur le visage d’Eric, comme s’il le bâillonait. Ça donnait encore plus de force à sa pénétration.
Il était à présent enfoncé au plus profond de lui, et Eric gémissait doucement devant ses assauts.
Il desserra son étreinte et enfonça les doigts de sa main gauche dans sa bouche. Eric se mit à les sucer avec frénésie.
Le coït ne cessait de s’intensifier. Samir avait envie d’aller au bout, sans s’arrêter, jusqu’à l’orgasme, qu’il sentait proche, comme à portée de main, mais qui ne venait pas.
Il se retira donc un instant, ce qui permit à Eric de se mettre sur le dos, de relever les fesses et les jambes, et de s’offrit ainsi à son amant.
Samir le pénétra à nouveau dans cette position, qu’il affectionnait moins habituellement, mais qui, ce soir-là, lui procura un plaisir intense. Ils avaient dû trouver une position particulièrement agréable car Eric aussi prenait son pied. Cette position permettait à Samir de coller son corps contre celui d’Eric, leurs deux corps étaient alors totalement parallèles, ce qui permit à leurs visages de se coller l’un à l’autre, et à leurs bouches et leurs langues de se mélanger à nouveau.
Eric entoura de ses mains la tête de son compagnon, releva encore ses fesses, et bascula en arrière, pour profiter encore davantage de ce moment sublime. De l’union et de la communion entre deux êtres qui s’aimaient et prenaient plaisir à se faire l’amour.
Les mouvements de va-et-vient de Samir étaient de plus en plus rapides, saccadés même, et Eric les sentait bien en lui.
Comme pour mieux accompagner ce mouvement, il posa ses mains sur ses fesses, dont la peau douce lui plaisait tant.
Samir continuait son pilonnage, il sentait sa queue gonflée, comme au bord de l’explosion, limite douloureuse. Il était temps de lâcher les vannes, et ce fut heureusement ce qui se produisit.
Samir interrompit son mouvement de va-et-vient, et poussa un cri aigu. Il sentit la purée sortir de sa bite, ce qui lui arracha un nouveau cri, tellement l’orgasme était puissant et intense.
Eric sentit le jet inonder ses entrailles, ce qui le fit gémir de plus belle.
Cet instant paroxystique fut vraiment des plus intense, et la communion entre eux était totale.
Pendant de longues secondes le corps de Samir fut parcouru de soubresauts, et il mit un moment à évacuer toute la semence qui sortait de sa bite.
Il se dit que quand même le corps humain était bien fait, et obéissait finalement au psychisme et au désir, puisqu’en 24 heures ses couilles, qu’il venait de vider dans le fondement de son mec, avaient pu totalement se recharger.
Enfin il put reprendre une respiration normale et, toujours en lui, la bite qui ne débandait pas, il s’affala contre son corps.
Eric n’avait pas joui mais Samir n’avait pas la force de l’aider à se finir. Il se sentait exténué, vidé, comme s’il n’avait plus aucune force.
Enfin il sentit sa bite dégonfler, et il put la retirer, encore toute gluante, du fondement d’Eric. Il vint s’allonger à côté de lui, et eut tout juste la force de passer son bras gauche autour de ses épaules. Il regarda Eric se branler, et se finir, ce qui, comme d’habitude, fut plutôt rapide. Il sentit les dernières forces qui lui restaient l’abandonner. Il ferma les yeux et sombra dans le sommeil.
Eric le regarda ainsi, attendri.
Décidément, ce nouveau scenario very bad boy avait vraiment été trop bon.
Toute la journée, sa libido l’avait titillé.
La baise de la veille au soir l’avait trop chauffé. Jamais il n’avait autant bandé, surtout aussi longtemps, jamais il n’avait pris un tel pied, jamais il n’avait joui d’une telle façon.
Depuis leur plan à trois avec Arnaud, il y a un an maintenant, il trouvait que leur sexualité, et, partant, leur relation, avait pris une autre dimension.
Des tabous, des barrières, des blocages, tout avait cédé, et il se sentait nettement mieux. Dans son corps. Dans sa vie. Et avec Eric.
Alors, il eut envie de remettre le couvert.
Le scenario bad boy de la veille avait créé les conditions d’une baise surprise, et tellement agréable. Simple, car ils n’avaient rien fait d’extraordinaire. Mais intense.
Et à refaire donc. Au plus vite. Le soir même.
Il chercha donc un scenario, qui ressemble à celui de la veille, mais qui s’en diffère un peu. Qui surprenne Eric. Et lui donne envie. Comme la veille.
Il ne trouva guère d’autre idée que de reprendre le scenario de la veille - difficile d’imaginer autre chose que de l’attendre sur un lit - mais il y mit deux variantes : le lit, justement, et la tenue.
Changement de lit, d’abord : il se dit qu’il allait l’attendre, non pas comme la veille sur son lit à lui, et dans sa chambre, mais sur le lit d’Eric.
Et surtout changement de tenue : il allait l’attendre, non pas à poil comme la veille mais habillé.
Dans la tenue qu’il préférait, il le savait : en jeans moulant et en tee shirt blanc.
Il avait justement un jeans qui lui moulait bien les fesses, il savait qu’Eric aimait ça, et, pour l’exciter, il se coucherait sur le ventre, le bouton du jeans (sans rien dessous) dégrafé, les fesses, et son corps entier à sa merci.
Ce soir-là, Eric rentra à peu près à la même heure que la veille, vers 19h30. Il avait passé une bonne journée. Déjà, après leur plan si chaud, il avait super bien dormi, sans manger. Ils avaient regardé une série sur Netflix, mettant en scène une famille d’agents immobiliers, et permettant de mater des maisons et des appartements de luxe, un peu partout dans le monde, mais beaucoup à Paris. Ils avaient pris une bonne douche ensemble, bien chaude, bien câline, avant de se mettre sous la couette de la chambre de Samir, tous nus, collés l’un à l’autre, mais sans sexe, juste des câlins, des caresses, des smaks...
Vers 23h, Eric était allé se coucher dans son lit, dans sa chambre et avait dormi comme un bébé jusqu’à 6h30. Quasi une grass’ mat’ pour lui... En tout cas, ça lui avait fait beaucoup de bien...
Et, du coup, il avait passé une bonne journée, avait repensé à la soirée de la veille, le plan sex très chaud, et le moment plus câlin devant la télé... et si c’était le bonheur ?
Il était content de rentrer, en tout cas, et, quand il ouvrit la porte d’entrée de l’appartement, il ressentit tout à la fois soulagement, apaisement, sérénité.
Mais, comme la veille, il n’y avait personne en bas, juste la chienne qui vint se faire gratouiller, avant de repartir dans son panier.
Eric sourit intérieurement, et se dit que Samir devait être en haut... comme la veille.
Il alla donc vers sa chambre, mais ne le vit pas... c’est sur son lit à lui qu’il se trouvait, allongé sur le ventre, vêtu d’une tenue qu’il affectionnait tout particulièrement : jeans bleu ciel bien moulant, et tee-shirt blanc... Sexy à souhait.
Il n’avait pas bougé, rien dit, mais Eric savait ce que tout cela signifiait. Devant ce corps qui l’attendait et qui se montrait totalement à sa disposition, il sentit le désir monter en lui et il savait qu’une fois de plus il allait passer un bon moment.
Il commença à s’asseoir au bord du lit, déboutonna sa chemise, et vint se coller à lui.
Il eut envie de ses fesses, encore cachées sous le jean, mais à portée de lui. Ça faisait longtemps qu’il ne les avait pas bouffées, et il en avait envie.
Il se dit que si Samir s’était mis dans cette position, et dans cette tenue, c’était pour les lui offrir. Au moins à sa bouche et à ses mains.
Eric commença à les caresser par dessus le jeans. Il se rendit assez vite compte qu’il n’avait pas de caleçon dessous. Il avait du mal à réaliser qu’il allait les avoir à dispo pendant au moins quelques minutes, rien que pour lui, pour se régaler, que c’était pour ça que Samir s’était mis dans cette tenue et dans cette position.
Il put faire descendre le jeans et les découvrir, les tater, les bouffer, les lécher.
Les écarter. Et commencer à lui bouffer la rondelle.
Ça faisait longtemps qu’il ne l’avait fait, ça lui avait manqué, il aimait trop ça.
Il passa les mains de l’autre côté, et sentit sa bite, déjà bien dure, contre la housse de couette, c’était moelleux et agréable.
Il enleva sa chemise pour se sentir plus à l’aise, écarta les fesses, mit sa tête entre, et repris son anulingus. Trop bon.
Il sentait sa bite se dresser dans son caleçon, à l’intérieur de son pantalon, se déboutonna pour la libérer.
Il vint se frotter contre son corps, et la frotta contre ses fesses.
Il se demanda s’il pourrait prendre possession de son cul avec sa bite, mais c’est à ce moment-là que Samir qui, jusque là, n’avait pas bougé, se releva, se retourna et lui présenta la sienne.
Il l’engloutit aussitôt, sucer, aussi, il aimait ça, et pouvait, comme la veille, se montrer très endurant.
Samir baissa un peu son pantalon pour se sentir plus à l’aise et Eric suçait, suçait...
Elle était toujours aussi bonne, et il l’aimait toujours autant.
Il essaya de relever son tee-shirt pour dégager son torse, et ce fut Samir qui, se relevant, l’enleva, et exhiba sa belle poitrine, imberbe, (légèrement) musclée, et ses petits tétons.
Le voir à poil, devant lui, procurait en lui toujours autant d’effet, de sensation, d’envie. Il empoigna sa bite et continua ses mouvements de va-et-vient dans sa bouche.
Avec sa main libre, il caressait son doux torse, puis lâcha sa queue et vint poser son visage contre le sien, sa bouche contre sa bouche, ses lèvres contre ses lèvres, sa langue contre la sienne.
Ils restèrent un moment ainsi, à s’embrasser goulûment et langoureusement.
Avant qu’Eric eut à nouveau envie de sa queue, et revienne la gober.
Samir se mit à accélérer le mouvement de sa bite dans la bouche de son mec, mais, comme la veille, il s’arrêta à temps, et Eric dégagea sa bouche.
Il voulut alors jouer, voir jusqu’où il pouvait aller, lui montrer que lui aussi avait envie de certaines choses et, après avoir enlevé son pantalon, il se mit à genoux de part et d’autre de son corps, puis approcha sa bite de son visage.
Mais Samir eut un mouvement de recul, appuya sa tête contre l’oreiller, et fixa le plafond.
Le message était clair. Eric se releva, mais prit sa tête entre ses mains, et vint à nouveau joindre ses lèvres aux siennes, dans un baiser fougueux.
Samir en profita pour se branler et, pour bien lui montrer ce qu’il voulait, et ce qui allait se passer, il empoigna Eric au niveau du bassin, le recula, et vint positionner son fessier contre sa bite dressée.
Il se releva, au point que le corps des deux hommes était à la verticale, serré l’un contre l’autre, l’anus d’Eric au contact de la bite de Samir, qui rentra doucement.
La sensation était particulièrement agréable, et les deux hommes, tout en entamant un bon coït anal, s’embrassèrent à nouveau.
Mais, dans la durée, la position n’était pas très confortable, Eric dégagea son cul de la bite de Samir, ce qui permit à celui-ci d’empoigner ses fesses, de bien les dégager, et bien les écarter, et de le doigter doucement.
Eric se redressa, et vint à nouveau sucer son compagnon qui, du coup, s’allongea à nouveau.
Il s’arrêta quelques instants pour retirer complètement le jeans de Samir, qui commençait à le gêner.
Les deux hommes étaient désormais complètement à poil, Samir put écarter les cuisses et Eric reprit sa fellation, sous un rythme soutenu.
Samir, qui avait empoigné le visage de son compagnon, et accélérait les mouvements de sa bite dans sa bouche, sentit à nouveau la sauce monter, et dut s’arrêter, et calmer le mouvement.
Eric, lui, réussit à garder sa bite en bouche et continua sa sucée, sous un rythme moins rapide toutefois.
La position de Samir, jambes écartées, l’inspira, et lui donna à nouveau de s’enhardir du côté de sa rondelle, qu’il savait juste en dessous, au milieu des fesses dont il devinait les formes sous ses couilles.
Il releva son fessier, jusqu’à ce que son trou apparaisse, et il vint à nouveau le lécher.
C’était la première fois qu’il lui bouffait le cul dans cette position, qu’il affectionnait particulièrement, mais que, jusque là, il n’avait fait qu’à d’autres.
Samir visiblement appréciait, il se laissait faire en tout cas, et Eric se régalait. Il se demandait même s’il ne pourrait pas profiter de cette situaition pour pousser son avantage, et remplacer sa langue par sa bite...
Mais Samir ne voulait pas de ça, n’était pas prêt à ça, pas encore, pas ce soir en tout cas. Une autre fois, peut-être. Quand il l’aurait décidé. Mais pas ce soir.
Eric le sentit, arrêta de lécher, et enleva sa tête du fessier de son partenaire qui du coup reposa ses jambes.
Eric reprit sa pipe, et Samir, qui n’avait pas débandé et était dur comme un taureau en rut, reprit ses mouvements de va-et-bien, de plus en plus rapides, dans sa bouche... Qu’il lui fallut interrompre, juste avant de jouir...
Cette fois, ce fut vraiment juste, et il sentit que c’était le moment de passer à l’étape suivante... qui sinon n’aurait pas lieu...
Eric vint se frotter contre lui, et entama un corps à corps endiablé.
Son trou contre sa bite, et ses lèvres au niveau des siennes, le tout en se frottant et en se dandinant. Lui aussi avait envie de passer à l’étape suivante. Il savait qu’il allait se faire défoncer, mais il aimait ça, il avait envie de ça, il attendait ça.
Il savait que c’était le moment, il se releva donc, complètement, sortit du lit, pour permettre au mâle de prendre les choses en mains et de lui mettre sa dose.
Samir ne se fit pas prier. Il aimait tant cet instant qui précédait le coït anal, le moment où il allait posséder l’autre.
Eric était à présent debout, à côté du lit, tandis que Samir s’était assis, au bord. Eric se tourna et lui présenta ses fesses, en signe de soumission et d’offrande.
Samir les écarta, et y enfouit son visage, afin que sa bouche vienne au contact de la rondelle. Il n’avait pas autant bouffé le cul de son compagnon que ce soir-là, et celui-ci appréciait cette sensation nouvelle.
Samir n’arrêtait pas de bouffer, et Eric savourait le moment. Il avait l’impression tout à la fois que Samir le préparait à ce qui allait arriver, mais aussi, et c’était particulièrement agréable, qu’il s’occupait de lui, de son corps, de son bien-être.
Samir passa de longues secondes à bouffer, à dilater l’anus de son compagnon, la tête enfouie dans ses fesses. Position inhabituelle chez lui.
Il réalisait à quel point il aimait le cul d’Eric. C’était comme sa propriété, sa chose, son terrain de jeu. C’est ce cul qui le faisait bander, qu’il désirait, qu’il vénérait.
Il embrassa ses fesses charnues, également, Eric accompagnait le mouvement en se dandinant et en cabrant son fessier, offert à celui qui, dans quelques instants, allait le baiser. Comme la veille. Comme souvent.
Mais Samir n’arrivait pas à détacher sa bouche de l’entre-fesses d’Eric, dont il ne cessait de bouffer la rondelle.
Enfin il se releva quelque peu, et se mit à le doigter. Eric aimait ça aussi. Il avait dû le lui faire longuement avant de pouvoir le pénétrer avec sa bite. Mais, ça, c’était il y a longtemps. Il n’empêche, Eric aimait toujours ça, et Samir bandait de savoir qu’Eric prenait son pied sous ses assauts.
Il le pénétra, d’abord avec un doigt, puis deux, puis trois, puis les quatre de la paume. Ce cul, jadis si étroit, était devenu de plus en plus large, de plus en plus ouvert, de plus en plus offert.
Et Eric se dandinait toujours autant. Il se branlait aussi, et bandait bien.
A un moment Samir se laissa aller en arrière, Eric l’accompagna dans ce mouvement, et vint coller ses fesses contre sa bite, avant de se retourner, de l’empoigner à nouveau et de la mettre en bouche. Pour bien lui montrer que lui aussi aimait ça et aimerait aussi le soumettre, Eric vint lui lécher les boules et descendit vers l’anus. La sensation de sa langue contre l’anus de Samir l’électrisa, il réalisa qu’il avait de plus en plus envie d’être actif avec lui, de le baiser, de le posséder à son tour, et que le jour où ça allait pouvoir se faire approchait à grands pas.
Il savait que ce n’était pas pour ce soir-là. Il revint sucer la bite de Samir, celle qui allait dans un instant le transpercer. Une fois de plus.
Il suçait de façon effrénée, et, une nouvelle fois, Samir dut l’arrêter, avant qu’il ne soit trop tard.
Car ce soir-là Samir ne pouvait pas concevoir de jouir sans l’avoir baisé.
Eric le savait, et en avait envie.
Sans que Samir ne lui demande, il se mit à quatre pattes à l’avant du lit.
A nouveau, Samir prit possession de son fessier avec sa bouche.
Et c’était enfin le moment de passer à l’étape supérieure. Samir se mit lui aussi sur les genoux, derrière son compagnon qui, de chacune de ses mains, écartait ses fesses, afin de les lui offrir.
Samir se branla légèrement et vint positionner sa bite à l’entrée de l’orifice, et, sans plus de préparation, l’enfonça en lui avant d’entamer des mouvements de va-et-vient rapides et soutenus.
Eric était aux anges, il aimait de plus en plus cette sensation, autrefois douloureuse, où Samir entrait en lui, et le pilonnait de sa bite puissante et si experte en enculade.
Samir aussi prenait son pied, dans sa position favorite quand il enculait un mec. Et là, en plus, c’était Son mec. Le mec qu’il aimait, qu’il désirait, et dont il ne se lassait pas.
Pour bien marquer sa domination, il posa ses mains sur le visage d’Eric, comme s’il le bâillonait. Ça donnait encore plus de force à sa pénétration.
Il était à présent enfoncé au plus profond de lui, et Eric gémissait doucement devant ses assauts.
Il desserra son étreinte et enfonça les doigts de sa main gauche dans sa bouche. Eric se mit à les sucer avec frénésie.
Le coït ne cessait de s’intensifier. Samir avait envie d’aller au bout, sans s’arrêter, jusqu’à l’orgasme, qu’il sentait proche, comme à portée de main, mais qui ne venait pas.
Il se retira donc un instant, ce qui permit à Eric de se mettre sur le dos, de relever les fesses et les jambes, et de s’offrit ainsi à son amant.
Samir le pénétra à nouveau dans cette position, qu’il affectionnait moins habituellement, mais qui, ce soir-là, lui procura un plaisir intense. Ils avaient dû trouver une position particulièrement agréable car Eric aussi prenait son pied. Cette position permettait à Samir de coller son corps contre celui d’Eric, leurs deux corps étaient alors totalement parallèles, ce qui permit à leurs visages de se coller l’un à l’autre, et à leurs bouches et leurs langues de se mélanger à nouveau.
Eric entoura de ses mains la tête de son compagnon, releva encore ses fesses, et bascula en arrière, pour profiter encore davantage de ce moment sublime. De l’union et de la communion entre deux êtres qui s’aimaient et prenaient plaisir à se faire l’amour.
Les mouvements de va-et-vient de Samir étaient de plus en plus rapides, saccadés même, et Eric les sentait bien en lui.
Comme pour mieux accompagner ce mouvement, il posa ses mains sur ses fesses, dont la peau douce lui plaisait tant.
Samir continuait son pilonnage, il sentait sa queue gonflée, comme au bord de l’explosion, limite douloureuse. Il était temps de lâcher les vannes, et ce fut heureusement ce qui se produisit.
Samir interrompit son mouvement de va-et-vient, et poussa un cri aigu. Il sentit la purée sortir de sa bite, ce qui lui arracha un nouveau cri, tellement l’orgasme était puissant et intense.
Eric sentit le jet inonder ses entrailles, ce qui le fit gémir de plus belle.
Cet instant paroxystique fut vraiment des plus intense, et la communion entre eux était totale.
Pendant de longues secondes le corps de Samir fut parcouru de soubresauts, et il mit un moment à évacuer toute la semence qui sortait de sa bite.
Il se dit que quand même le corps humain était bien fait, et obéissait finalement au psychisme et au désir, puisqu’en 24 heures ses couilles, qu’il venait de vider dans le fondement de son mec, avaient pu totalement se recharger.
Enfin il put reprendre une respiration normale et, toujours en lui, la bite qui ne débandait pas, il s’affala contre son corps.
Eric n’avait pas joui mais Samir n’avait pas la force de l’aider à se finir. Il se sentait exténué, vidé, comme s’il n’avait plus aucune force.
Enfin il sentit sa bite dégonfler, et il put la retirer, encore toute gluante, du fondement d’Eric. Il vint s’allonger à côté de lui, et eut tout juste la force de passer son bras gauche autour de ses épaules. Il regarda Eric se branler, et se finir, ce qui, comme d’habitude, fut plutôt rapide. Il sentit les dernières forces qui lui restaient l’abandonner. Il ferma les yeux et sombra dans le sommeil.
Eric le regarda ainsi, attendri.
Décidément, ce nouveau scenario very bad boy avait vraiment été trop bon.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Cordialement
EdF
Cordialement
EdF
J'aime beaucoup cette histoire, a chercher a excité toujours plus son partenaire et mettre du piment dans leur sexualité.