Scène de ménage

Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Scène de ménage
Comme chaque samedi matin, Caline est en train de faire le ménage. Mais moi, j'ai toujours une idée derrière la tête...
Samedi est, comme chaque semaine, le jour de ménage de Caline. À peine son petit-déjeuner avalé, les cheveux réunis en chignon et sans renoncer à sa tenue de nuit, ou plutôt dois-je dire, en concervant sa coutumière nudité, elle prend en main son aspirateur et entame un nettoyage en règle de notre lieu de résidence, profitant de l’absence de nos enfants, parti en week-end avec des potes de fac, pour rendre un tant soit peu leurs chambres présentables.
Le salon, la salle à manger et la cuisine suivent vent nettoyeur de ma princesse...
En m'attendant que je libère la salle de bains pour qu’elle y fasse régner sa tornade blanche, elle se consacre à notre chambre. Après avoir passé l’aspirateur sur la moquette, elle s’apprête à changer les draps du lit conjugal quand je fait mon apparition, nu (comme d'hab) et à peine séché.
Caline était alors penchée en avant sur le lit et j'ai eu sous les yeux une double scène qui entraîna illico-presto un début d’érection. Le miroir de l’armoire à glace de l’autre côté du lit me renvoit l’image de deux seins pendants. Caline, ne s'apercevant pas de ma présence, poursuit sa tâche sans la moindre conscience de l’érotisme qu’elle dégage aux yeux de son époux, qu’elle-même aurait sans doute jugé, que cette stature (involontaire), soit comme vue une invitation indécence, que tout homme correctement constitué se doit d'honorer de tout l'amour qu'il a en magasin.
Aussi marque-t-elle une vive surprise quand je décide de poser une main fébrile sur son fessier rebondi :
— Qu’est-ce que tu fais ? Ôtes ta main !
Au lieu d’obéir, je glisse un doigt entre les cuisses légèrement écartées et atteint la fente où il s’attarde, provoquant un sursaut de la récipiendaire :
— Arrêtes, je te dis, laisses-moi tranquille, tu vois bien que je fais le ménage, c’est pas le moment.
C’est alors qu’elle prend conscience que je ne suis pas insensible au charme que dégage son corps peu vêtu, et que je à bande sérieusement :
— Oh non, c’est pas vrai... Tu es vraiment insupportable... In... Co... Ri...Gible ! Tu sais bien que je n’ai que le samedi pour faire le ménage et tu viens m’embêter avec ta queue...
— Je ne veux pas t’embêter... Je veux te baiser, là, maintenant, tout de suite, tu me fais trop envie.
Caline reste calme. Elle sait par "expérience" que quand j'ai cette idée derrière la tête, elle aura du mal à me l'enlever. Elle regarde sa queue dressée, réfléchit quelques secondes et me dit :
— Bon, je te fais un petit bisou sur ton "zboub", juste les lèvres... Hein... Et tu me laisses faire le lit, d’accord ?
— D’accord, chérie, fais comme tu veux, où tu veux et aussi longtemps que tu veux !
Caline s’assoit sur le lit encore défait, considère le pénis déjà bien érigé de son mari et comme envisagé, pose ses lèvres sur le gland.
Que se passa-t-il alors dans son esprit ? Caline, n’est pas une «coincée du cul»... Comme vous le savez bien maintenant c'est même tout le contraire. Et je suis le mieux placé pour le savoir.
Toujours est-il que les lèvres, d’abord fermées, s’ouvrirent peu à peu au contact du gland. Celui-ci finit par entrer au contact de la langue puis carrément des joues et le bisou se transforme en pipe authentique.
Caline me pompe avec ardeur, avec encore l’idée qu’elle me fera éjaculer dans sa bouche (ce qu’elle apprécie) et qu’ensuite, elle pourra vaquer normalement à son ménage, puisque je serai apaisé et satisfait.
J'empaume ses seins pendant qu’elle m’astique, ce qui lui produit, un authentique plaisir sexuel, de sorte qu’elle y trouve aussi son compte, dans cette fellation improvisée.
Voilà que je me retire de sa bouche et lui dit :
— Allez, mets-toi à quatre pattes devant la glace, je vais t’enfiler !
Caline a encore le choix de regimber, de se révolter, d’évoquer son ménage. Mais il sûrement dû se passer quelque chose dans la partie de son cerveau consacrée au sexe, sans doute en raison d’un contact prolongé entre sa bouche et le gland survitaminé de son mari.
Toujours est-il qu’elle se met, sans protester, à genoux en travers du lit, face à l’armoire à glace comme je le lui ai demandé, et attend une pénétration en bonne et due forme qu’elle n'a pas envisagé, ni demandé, mais que son antre intime, très échauffé, réclame ardemment.
Quand je m’enfonce en elle, elle fait :
— Hahaha !
La glace me renvoit l’image de son visage éclairé par un sourire. Aux poussées rectilignes du mâle répondent des circonvolutions de hanches de ma femelle, tant et si bien que notre couple se met à baiser franchement et résolument. Je lui empoigne fermement les hanches, accompagnant leurs mouvements tantôt rectilignes, tantôt rotatoires, et je ne suis pas surpris de sentir la main de ma coquine m'attraper les couilles.
C'est une habitude qu'elle a quand je la prends en levrette.
"Et voilà, maintenant on va baiser pour de bon !" Me dis-je, non sans éprouver une satisfaction toute masculine. "Il faut juste que «j'assure» maintenant !"
Connaissant bien ma Caline, elle n'est pas du genre à se contenter d’une dizaine d’allers-retours. Elle me l'exprime d’ailleurs franchement quand, après que je me sois détaché d’elle, elle s’allongé, en se tenant les chevilles, jambes écartées dans un angle à 45° :
— Maintenant que tu m’as mis le feu, t’as intérêt à me faire jouir !
— Mais, cela va sans dire ma chérie !
Je n’en demandait pas plus. Caline est à l’opposé d’une femme frigide. Il lui faut du mouvement, de la virulence, du vrai travail de bite. Il faut que sa peau remue des seins à l’abdomen. Et ce que j'aime par-dessus tout, c'est de voir la houle de ses larges nibards quand je cogne dur dans sans puits d'amour. Je aime tout autant l’entendre crier de plaisir et de fait, dès que je lui assène mes coups violents dans le compas grand ouvert de ses cuisses, Caline se met à vocaliser, d'une voix forte, de mots crus, que des oreilles chastes ne peuvent entendre, car Caline célèbre mon travail de mâle en rut.
Le mot «bite» revient plusieurs fois dans sa bouche parmi divers adverbes évoquant la répétition, la durée et la raideur. En la circonstance, elle se fiche complètement de son ménage interrompu... Tout ce qui l’intèresse est ce qui se passe entre ses cuisses, dans son bas-ventre. De quoi me survolter, je lui empoigne les cuisses tout en lui offrant les rafales de coups de queue qu'elle désire, et qui la conduisent à un premier orgasme lui mettant la bave aux lèvres.
*******
Lorsqu’elle reprend ses esprits, elle constate (avec satisfaction ?) que je n’avais pas éjaculé et que offre encore et toujours une érection évidente.
Elle saisit ma queue entre deux doigts et la porte à sa bouche une nouvelle fois en levant les yeux vers les miens. Je peux lire dans ce regard encore du désir et de fait, elle m’apostrophe :
— Couches-toi maintenant, je vais venir sur toi !
En travers du lit et face à l’armoire à glace, elle s’empale lentement et entame sa chevauchée avec une telle amplitude que son abdomen frôlait parfois mon nombril. Elle se détaille en même temps dans la glace, histoire de vérifier si sa plastique est bien à la hauteur de ses sensations. Elle trouve ses seins encore bien accrochés, son ventre un peu trop bombé et un rictus dans le plaisir qu’elle juge déplacé :
— J’ai une drôle de gueule quand je baise ! Me dira-t-elle plus tard tout en passant sa langue entre ses lèvres.
Quand elle se met sur ses pieds pour rendre la pénétration encore plus efficiente, la vue de mon pénis entrant en cadence dans son antre intime lui procure un plaisir visuel particulièrement jouissif. En la circonstance, cette vision rejoigne cette sensation de béatitude. Malgré la douleur dans ses cuisses, elle demeure plusieurs minutes dans cette position pour profiter pleinement de son propre spectacle, observant en même temps le balancement de ses seins lourds et l’expression extasiée de son visage.
Elle a alors la franche impression que c’est elle qui me baise, ce que j'aurais vigoureusement démenti (hihihi). Je suis aussi affamé que son épouse, qui était pourtant récalcitrante une demie-heure plus tôt, prend son panard grâce à ma queue et comme à chaque fois, j'arrive à réveiller la petite cochonne qui est toujours en elle.
C'est toujours pareil : elle fait des manières, oppose des arguments fallacieux, déplore mes attitudes de mâle qui ne pense qu'à... Et une fois sa pseudo résistance vaincue, me "supplie" de la faire jouir, plusieurs fois (de préférence) en me menaçant de représailles si je me montre insatisfaisant. Ce qui m’arrive évidemment jamais (bien entendu heu-heu !).
Le mat auquel Caline impose un mouvement rectiligne dans son vagin et la vision de son corps en ébullition menacent de me faire éjaculer. Pour assurer une apothéose digne et qui ne verra point de critiques de la part de l'impératrice de mon cœur, d'un léger coup de rein, je désarçonne ma cavalière qui se retrouve sur le dos.
Ignorant, la fureur et colère qui envahissent le regard de ma belle épouse, qui avait craint une explosion de mon orgasme et une interruption de son désir qui "peine" ou du moins qui n'a pas encore atteint les étoiles, je reprends la progression de la flamme sensorielle de ses zones érogèned en lui taquinant la vulve du gland, sans la pénétrer. Je résiste sans peine à la pression de ses talons sur mes reins, négligeant, par la même occasion ses apostrophes exprimants son impatience. En la regardant droit dans les yeux, je lui glisse ces mots :
— Tu la veux, hein... Maintenant ?
— Bien sûr que je la veux, idiot. Allez, viens !
— Pourtant... Tu ne la voulais pas tout à l’heure !
—Tout à l’heure c'est le passé... Maintenant c'est le présent... Viens... Finis de me ramoner la moule !
— Tu es sûre ? Tu l’aimes vraiment ma bite ?
— Bien sûr que je l’aime... Et toutes les autres aussi... Mets-la-moi au fond, mon saligaud... S'il... Te... Plaît ! Me dit-elle en exerçant une virulente poussée de ses talons, qui a bien faillit atteindre son but en obligeant mon gland à franchir les lèvres dans la fente.
Mais c'est mal connaître la valeur de cette tête de bite, qui lutte admirablement, pour ne pas laisser une goutte de lait se déverser dans la cave à zboub de ma coquine... Seul mot d'ordre qui se fait entendre: "RÉSISTANCE"!
Tout l'or du monde ne peut payer ce plaisir que j'éprouve que j'entends les supplications de Caline qui hurle presque :
— Baises-moi ! Baises-moi ! J’en peux plus.
— Tu veux vraiment que je te baise, c’est sûr ?
— Oui, oui, oui !
— Tu aimes avoir ma queue dans ta chatte ?
— Oui, oui, oui ! Vieeens !
Un message du haut commandement, ordonne à mon canon à mon lait reproductive, à lâcher les chevaux comme l’aurait fait le pilote d'une F1 voyant le drapeau à damier du circuit annonçant la fin de l'épreuve et ma verge s’enfonce alors jusqu’à la garde pour mon gland puisse mieux prendre la température du lit à bébé de ma femme. Caline pousse alors un soupir d’extase, de ravissement et elle a la force d'accompagner mes coups de reins en décollant son cul, des draps du lit, entraînant involontairement le déplacement du lit sur plusieurs centimètres.
Ayant posé tout le poids de ma fougue sur mes avant-bras, et étant verrouillé par les jambes de son épouse, je la fais crier l'hymne des orgasmes "Fa" majeur puis en "Si" mineur... Les autres notes, sont exprimés sous un silence morbide que Caline m'oblige à chanter en me griffant la peau des épaules, des flancs et des fesses. C’est l'union profond des ongles de ma coquine et de mon cul qui me fait perdre toute résistance et nous guide vers le port de l'enthousiasme sexuel, que ne connaît que ceux qui partagent un amour avec un grand "A".
Caline lâche mes reins, relâche les siens, pour, qu'au final, elle puisse poser les pieds sur le lit et me renvoyer cette balle du bonheur orgasmique en jouissant bruyamment, les yeux vitreux et la bouche béante.
Les deux corps en fusion reprenent peu à peu, une respiration et une température normale, tout en restant enlacé comme des amants éternels.
Je bascula sur le côté, la queue flapie, tandis que la fente de Caline dégouline d’une substance blanchâtre qui vient rejoindre les traces de nos exploits bien timides de la veille.
— Une raison de plus pour changer les draps du lit ! Me chuchote ma princesse.
Ces mots sont le signe que la ménagère reprend déjà le dessus sur l’amante. Néanmoins, elle m'embrasse en me disant :
— Merci, tu as été à la hauteur et tu avais intérêt à l’être, car maintenant, je suis en retard !
Voilà le récit d’une matinée, d’un samedi somme toute ordinaire, dans la vie d’un couple à la vie sexuelle active, épanouie, jouissive, sans pour autant qu’elle soit criée sur les toits. Un couple qui, l’âge aidant, sait baiser tout en faisant l’amour ou qui fait l'amour tout en baisant ???
À vous de déterminer !
À la prochaine !
Samedi est, comme chaque semaine, le jour de ménage de Caline. À peine son petit-déjeuner avalé, les cheveux réunis en chignon et sans renoncer à sa tenue de nuit, ou plutôt dois-je dire, en concervant sa coutumière nudité, elle prend en main son aspirateur et entame un nettoyage en règle de notre lieu de résidence, profitant de l’absence de nos enfants, parti en week-end avec des potes de fac, pour rendre un tant soit peu leurs chambres présentables.
Le salon, la salle à manger et la cuisine suivent vent nettoyeur de ma princesse...
En m'attendant que je libère la salle de bains pour qu’elle y fasse régner sa tornade blanche, elle se consacre à notre chambre. Après avoir passé l’aspirateur sur la moquette, elle s’apprête à changer les draps du lit conjugal quand je fait mon apparition, nu (comme d'hab) et à peine séché.
Caline était alors penchée en avant sur le lit et j'ai eu sous les yeux une double scène qui entraîna illico-presto un début d’érection. Le miroir de l’armoire à glace de l’autre côté du lit me renvoit l’image de deux seins pendants. Caline, ne s'apercevant pas de ma présence, poursuit sa tâche sans la moindre conscience de l’érotisme qu’elle dégage aux yeux de son époux, qu’elle-même aurait sans doute jugé, que cette stature (involontaire), soit comme vue une invitation indécence, que tout homme correctement constitué se doit d'honorer de tout l'amour qu'il a en magasin.
Aussi marque-t-elle une vive surprise quand je décide de poser une main fébrile sur son fessier rebondi :
— Qu’est-ce que tu fais ? Ôtes ta main !
Au lieu d’obéir, je glisse un doigt entre les cuisses légèrement écartées et atteint la fente où il s’attarde, provoquant un sursaut de la récipiendaire :
— Arrêtes, je te dis, laisses-moi tranquille, tu vois bien que je fais le ménage, c’est pas le moment.
C’est alors qu’elle prend conscience que je ne suis pas insensible au charme que dégage son corps peu vêtu, et que je à bande sérieusement :
— Oh non, c’est pas vrai... Tu es vraiment insupportable... In... Co... Ri...Gible ! Tu sais bien que je n’ai que le samedi pour faire le ménage et tu viens m’embêter avec ta queue...
— Je ne veux pas t’embêter... Je veux te baiser, là, maintenant, tout de suite, tu me fais trop envie.
Caline reste calme. Elle sait par "expérience" que quand j'ai cette idée derrière la tête, elle aura du mal à me l'enlever. Elle regarde sa queue dressée, réfléchit quelques secondes et me dit :
— Bon, je te fais un petit bisou sur ton "zboub", juste les lèvres... Hein... Et tu me laisses faire le lit, d’accord ?
— D’accord, chérie, fais comme tu veux, où tu veux et aussi longtemps que tu veux !
Caline s’assoit sur le lit encore défait, considère le pénis déjà bien érigé de son mari et comme envisagé, pose ses lèvres sur le gland.
Que se passa-t-il alors dans son esprit ? Caline, n’est pas une «coincée du cul»... Comme vous le savez bien maintenant c'est même tout le contraire. Et je suis le mieux placé pour le savoir.
Toujours est-il que les lèvres, d’abord fermées, s’ouvrirent peu à peu au contact du gland. Celui-ci finit par entrer au contact de la langue puis carrément des joues et le bisou se transforme en pipe authentique.
Caline me pompe avec ardeur, avec encore l’idée qu’elle me fera éjaculer dans sa bouche (ce qu’elle apprécie) et qu’ensuite, elle pourra vaquer normalement à son ménage, puisque je serai apaisé et satisfait.
J'empaume ses seins pendant qu’elle m’astique, ce qui lui produit, un authentique plaisir sexuel, de sorte qu’elle y trouve aussi son compte, dans cette fellation improvisée.
Voilà que je me retire de sa bouche et lui dit :
— Allez, mets-toi à quatre pattes devant la glace, je vais t’enfiler !
Caline a encore le choix de regimber, de se révolter, d’évoquer son ménage. Mais il sûrement dû se passer quelque chose dans la partie de son cerveau consacrée au sexe, sans doute en raison d’un contact prolongé entre sa bouche et le gland survitaminé de son mari.
Toujours est-il qu’elle se met, sans protester, à genoux en travers du lit, face à l’armoire à glace comme je le lui ai demandé, et attend une pénétration en bonne et due forme qu’elle n'a pas envisagé, ni demandé, mais que son antre intime, très échauffé, réclame ardemment.
Quand je m’enfonce en elle, elle fait :
— Hahaha !
La glace me renvoit l’image de son visage éclairé par un sourire. Aux poussées rectilignes du mâle répondent des circonvolutions de hanches de ma femelle, tant et si bien que notre couple se met à baiser franchement et résolument. Je lui empoigne fermement les hanches, accompagnant leurs mouvements tantôt rectilignes, tantôt rotatoires, et je ne suis pas surpris de sentir la main de ma coquine m'attraper les couilles.
C'est une habitude qu'elle a quand je la prends en levrette.
"Et voilà, maintenant on va baiser pour de bon !" Me dis-je, non sans éprouver une satisfaction toute masculine. "Il faut juste que «j'assure» maintenant !"
Connaissant bien ma Caline, elle n'est pas du genre à se contenter d’une dizaine d’allers-retours. Elle me l'exprime d’ailleurs franchement quand, après que je me sois détaché d’elle, elle s’allongé, en se tenant les chevilles, jambes écartées dans un angle à 45° :
— Maintenant que tu m’as mis le feu, t’as intérêt à me faire jouir !
— Mais, cela va sans dire ma chérie !
Je n’en demandait pas plus. Caline est à l’opposé d’une femme frigide. Il lui faut du mouvement, de la virulence, du vrai travail de bite. Il faut que sa peau remue des seins à l’abdomen. Et ce que j'aime par-dessus tout, c'est de voir la houle de ses larges nibards quand je cogne dur dans sans puits d'amour. Je aime tout autant l’entendre crier de plaisir et de fait, dès que je lui assène mes coups violents dans le compas grand ouvert de ses cuisses, Caline se met à vocaliser, d'une voix forte, de mots crus, que des oreilles chastes ne peuvent entendre, car Caline célèbre mon travail de mâle en rut.
Le mot «bite» revient plusieurs fois dans sa bouche parmi divers adverbes évoquant la répétition, la durée et la raideur. En la circonstance, elle se fiche complètement de son ménage interrompu... Tout ce qui l’intèresse est ce qui se passe entre ses cuisses, dans son bas-ventre. De quoi me survolter, je lui empoigne les cuisses tout en lui offrant les rafales de coups de queue qu'elle désire, et qui la conduisent à un premier orgasme lui mettant la bave aux lèvres.
*******
Lorsqu’elle reprend ses esprits, elle constate (avec satisfaction ?) que je n’avais pas éjaculé et que offre encore et toujours une érection évidente.
Elle saisit ma queue entre deux doigts et la porte à sa bouche une nouvelle fois en levant les yeux vers les miens. Je peux lire dans ce regard encore du désir et de fait, elle m’apostrophe :
— Couches-toi maintenant, je vais venir sur toi !
En travers du lit et face à l’armoire à glace, elle s’empale lentement et entame sa chevauchée avec une telle amplitude que son abdomen frôlait parfois mon nombril. Elle se détaille en même temps dans la glace, histoire de vérifier si sa plastique est bien à la hauteur de ses sensations. Elle trouve ses seins encore bien accrochés, son ventre un peu trop bombé et un rictus dans le plaisir qu’elle juge déplacé :
— J’ai une drôle de gueule quand je baise ! Me dira-t-elle plus tard tout en passant sa langue entre ses lèvres.
Quand elle se met sur ses pieds pour rendre la pénétration encore plus efficiente, la vue de mon pénis entrant en cadence dans son antre intime lui procure un plaisir visuel particulièrement jouissif. En la circonstance, cette vision rejoigne cette sensation de béatitude. Malgré la douleur dans ses cuisses, elle demeure plusieurs minutes dans cette position pour profiter pleinement de son propre spectacle, observant en même temps le balancement de ses seins lourds et l’expression extasiée de son visage.
Elle a alors la franche impression que c’est elle qui me baise, ce que j'aurais vigoureusement démenti (hihihi). Je suis aussi affamé que son épouse, qui était pourtant récalcitrante une demie-heure plus tôt, prend son panard grâce à ma queue et comme à chaque fois, j'arrive à réveiller la petite cochonne qui est toujours en elle.
C'est toujours pareil : elle fait des manières, oppose des arguments fallacieux, déplore mes attitudes de mâle qui ne pense qu'à... Et une fois sa pseudo résistance vaincue, me "supplie" de la faire jouir, plusieurs fois (de préférence) en me menaçant de représailles si je me montre insatisfaisant. Ce qui m’arrive évidemment jamais (bien entendu heu-heu !).
Le mat auquel Caline impose un mouvement rectiligne dans son vagin et la vision de son corps en ébullition menacent de me faire éjaculer. Pour assurer une apothéose digne et qui ne verra point de critiques de la part de l'impératrice de mon cœur, d'un léger coup de rein, je désarçonne ma cavalière qui se retrouve sur le dos.
Ignorant, la fureur et colère qui envahissent le regard de ma belle épouse, qui avait craint une explosion de mon orgasme et une interruption de son désir qui "peine" ou du moins qui n'a pas encore atteint les étoiles, je reprends la progression de la flamme sensorielle de ses zones érogèned en lui taquinant la vulve du gland, sans la pénétrer. Je résiste sans peine à la pression de ses talons sur mes reins, négligeant, par la même occasion ses apostrophes exprimants son impatience. En la regardant droit dans les yeux, je lui glisse ces mots :
— Tu la veux, hein... Maintenant ?
— Bien sûr que je la veux, idiot. Allez, viens !
— Pourtant... Tu ne la voulais pas tout à l’heure !
—Tout à l’heure c'est le passé... Maintenant c'est le présent... Viens... Finis de me ramoner la moule !
— Tu es sûre ? Tu l’aimes vraiment ma bite ?
— Bien sûr que je l’aime... Et toutes les autres aussi... Mets-la-moi au fond, mon saligaud... S'il... Te... Plaît ! Me dit-elle en exerçant une virulente poussée de ses talons, qui a bien faillit atteindre son but en obligeant mon gland à franchir les lèvres dans la fente.
Mais c'est mal connaître la valeur de cette tête de bite, qui lutte admirablement, pour ne pas laisser une goutte de lait se déverser dans la cave à zboub de ma coquine... Seul mot d'ordre qui se fait entendre: "RÉSISTANCE"!
Tout l'or du monde ne peut payer ce plaisir que j'éprouve que j'entends les supplications de Caline qui hurle presque :
— Baises-moi ! Baises-moi ! J’en peux plus.
— Tu veux vraiment que je te baise, c’est sûr ?
— Oui, oui, oui !
— Tu aimes avoir ma queue dans ta chatte ?
— Oui, oui, oui ! Vieeens !
Un message du haut commandement, ordonne à mon canon à mon lait reproductive, à lâcher les chevaux comme l’aurait fait le pilote d'une F1 voyant le drapeau à damier du circuit annonçant la fin de l'épreuve et ma verge s’enfonce alors jusqu’à la garde pour mon gland puisse mieux prendre la température du lit à bébé de ma femme. Caline pousse alors un soupir d’extase, de ravissement et elle a la force d'accompagner mes coups de reins en décollant son cul, des draps du lit, entraînant involontairement le déplacement du lit sur plusieurs centimètres.
Ayant posé tout le poids de ma fougue sur mes avant-bras, et étant verrouillé par les jambes de son épouse, je la fais crier l'hymne des orgasmes "Fa" majeur puis en "Si" mineur... Les autres notes, sont exprimés sous un silence morbide que Caline m'oblige à chanter en me griffant la peau des épaules, des flancs et des fesses. C’est l'union profond des ongles de ma coquine et de mon cul qui me fait perdre toute résistance et nous guide vers le port de l'enthousiasme sexuel, que ne connaît que ceux qui partagent un amour avec un grand "A".
Caline lâche mes reins, relâche les siens, pour, qu'au final, elle puisse poser les pieds sur le lit et me renvoyer cette balle du bonheur orgasmique en jouissant bruyamment, les yeux vitreux et la bouche béante.
Les deux corps en fusion reprenent peu à peu, une respiration et une température normale, tout en restant enlacé comme des amants éternels.
Je bascula sur le côté, la queue flapie, tandis que la fente de Caline dégouline d’une substance blanchâtre qui vient rejoindre les traces de nos exploits bien timides de la veille.
— Une raison de plus pour changer les draps du lit ! Me chuchote ma princesse.
Ces mots sont le signe que la ménagère reprend déjà le dessus sur l’amante. Néanmoins, elle m'embrasse en me disant :
— Merci, tu as été à la hauteur et tu avais intérêt à l’être, car maintenant, je suis en retard !
Voilà le récit d’une matinée, d’un samedi somme toute ordinaire, dans la vie d’un couple à la vie sexuelle active, épanouie, jouissive, sans pour autant qu’elle soit criée sur les toits. Un couple qui, l’âge aidant, sait baiser tout en faisant l’amour ou qui fait l'amour tout en baisant ???
À vous de déterminer !
À la prochaine !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Daniel...
Je suis heureux d'avoir pu vous faire plaisir même si cela n'est qu'avec quelques phrases !
Je suis heureux d'avoir pu vous faire plaisir même si cela n'est qu'avec quelques phrases !
Très belle histoire suffisamment détaillée et enrichissante un plaisir à lire et relire. Daniel

