Scènes (érotiques) de la vie conjugale (1/5)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Scènes (érotiques) de la vie conjugale (1/5)
Cette série en cinq volets mets en scène des couples "normaux" pris d'une inspiration érotique subite qui les fait sortir de la routine conjugale. A raison de deux couples par épisode.
MICHELINE ET PIERRE DANS LA CUISINE
Pierre était parti pour une sortie cycliste lorsqu'une crevaison au bout d'un kilomètre le stoppa net dans son élan. Autant réparer à la maison. En rentrant, il découvrit sa femme Micheline face à la table de la cuisine en train de pétrir une pâte pour une tarte. Son corsage, déboutonné en haut, laissait apparaitre deux seins blancs, volumineux et mouvants sous l'effet de l'énergique pétrissage. Cette vision impromptue des deux pulpeuses mamelles lui vint immédiatement au sexe et son cuissard en lycra fut aussitôt barré d'une excroissance plantureuse particulièrement visible sous le mince tissu. Toute à son affaire, Micheline ne s'en aperçut pas. Elle se contenta de demander à son mari pourquoi il rentrait aussi vite. Sa tête blonde teintée, à cheveux très courts, restait penchée sur le rouleau à pâtisserie. Pierre passa derrière elle et considéra la jupe courte en jean qui dévoilait une bonne partie des cuisses larges de quinquagénaire, moulant de surcroit un fessier rebondi. Il se sentit durcir un peu plus. Il pensa à la chanson de Nougaro "rien n'est plus beau que les mains d'une femme dans la farine". Mais quand en plus les nichons s'agitent et les fesses se tendent...
Puisque sa sortie de vélo était fichue, autant passer à un autre exercice physique, bien plus agréable. Pris d'une inspiration, il se plaça derrière Micheline et se colla à elle. Elle sursauta. Elle avait évidemment senti le bâton de berger contre sa jupette.
- Qu'est-ce que tu fais ? Ote-toi de là, tu vois bien que je travaille.
Non seulement il ne se retira pas mais ses mains vinrent soupeser les deux seins lourds.
- Arrête, enlève tes pattes, tu vas me mettre en retard.
Mais la main de Pierre s'était insinuée sous la jupette. Micheline se débattait mais Pierre la maintenant fermement contre la table. Quand un doigt fureteur atteignit la fente à travers la mince culotte, la résistance faiblit. Encouragé, il insista, affermit la pression de son pénis, sentit les pointes de seins durcir sous ses doigts, et Micheline laissa tomber le rouleau à pâtisserie. Elle se cambra et Pierre ressentit même une légère pression de la jupe. Il l'embrassa dans le cou, et Micheline capitula.
- T'es vraiment un gros cochon de mec. Vous ne pensez vraiment tous qu'à ça.
Prestement, il tira sa culotte vers le bas, s'accroupit, la troussa et plongea le museau entre ses fesses charnues; qu'il écarta. Sa langue rencontra l'anus et s'y attarda. Aussitôt, les grosses joues se couvrirent de chair de poule. Pierre jouait sur du velours. L'anus, c'était la zone érogène majeure de Micheline, originalité qu'il avait découverte sur le tard mais dont il usait copieusement à chaque rapport sexuel. Qui aurait imaginé que cette honorable et consciencieuse assistante de direction adorait se faire sodomiser ? Pour l'heure, Pierre se contenta d'y mettre le doigt et Micheline, les coudes sur la table au milieu de son attirail pâtissier, poussa un petit gémissement. Un début d'orgasme ?
Il se releva car il avait un peu mal aux cuisses. Elle se retourna et l'embrassa.
- Allez viens, on va dans la chambre puisque c'est ça que tu veux, lui dit-elle.
Il sourit dans sa barbe. Micheline avait le chic pour lui renvoyer son propre désir, parfaitement démenti par les faits. Il la suivit dans l'escalier, considéra avec appétit les fesses mouvantes sous la jupe en jean, légèrement provoquantes. Micheline montait se faire sauter avec naturel et il était certain qu'elle mouillait déjà.
A peine entrée dans la chambre, la jupe tomba sur ses chevilles, dévoilant son cul nu et sa chatte poilue. Pendant qu'il se débattait avec son cuissard en lycra et son maillot de cycliste, elle acheva de déboutonner son chemisier et libéra ses seins larges de son soutien-gorge, tira sur la couette du lit pour le dégager et s'allongea, coudes sur le matelas, étalant sa chair opulente et juteuse, la langue entre les lèvres et le regard brillant devant le jaillissement du pénis, tendu à l'horizontale.
Les préliminaires ayant déjà eu lieu, l'avancée de Pierre entre les cuisses dodues de Micheline se traduisit par une pénétration d'autant plus rapide qu'elle avait saisit le pénis pour le porter dans sa fente béante. Ce fut un coït sauvage, bruyant, peu conjugal, assez vulgaire dans le propos car Micheline était toujours excitée quand Pierre lui disait les mots du cul. Ils s'étaient mis à vraiment baiser à la cinquantaine, quand elle avait évacué tous ses tabous de jeunesse. C'est elle-même qui lui demanda crûment de "l'enculer" ce qu'il fit avec maitrise, ferveur et jubilation quand il l'entendit jouir. Il gicla dans son rectum et y resta figé plusieurs minutes avant que son pénis se rétracte. Elle se retourna, l'embrassa, fila dans la salle de bains, se rhabilla et lui dit :- Bon, maintenant que tu as eu ce que tu voulais, je peux retourner à ma tarte ?
MAGALI ET JEAN-MARC EN VOITURE
Magali et Jean-Marc se dirigeaient vers la ville où leur fille, leur gendre et leurs petits enfants les attendaient pour un repas de famille. Magali, petit format tonique à chignon, considérait la route d'un oeil distrait. Son esprit vagabondait depuis un petit moment si bien que Jean-Marc n'entendait plus sa voix alors qu'elle se montrait toujours bavarde. Puis elle sortit de son silence et dit à son mari :- J'ai envie de faire pipi. Tu peux trouver un endroit tranquille et t'arrêter ?
Il fallut quitter la route nationale, trop encombrée. Jean-Marc aborda une petite route, proposa un stationnement mais Magali le refusa.
- Non, pas assez isolé, trouve-moi un petit bois.
- Tant que ça ? Tu as tellement peur de montrer tes petites fesses ?
- Tu sais ce qu'elles te disent, mes petites fesses ?
Finalement, la route traversa un endroit boisé et Jean-Marc s'engagea sur un sentier.
- Et là, ça te va ? Il n'y a personne à des kilomètres.
- C'est parfait. Allez, je sors.
Magali s'enfonça sous les frondaisons pendant que Jean-Marc sacrifiait à son besoin naturel. Puis il entendit la voix de son épouse :- Chéri, tu peux venir s'il te plait ?
Qu'est-ce qui se passait encore. Magali avait-elle fait une mauvaise rencontre ?
Il la découvrit et il sursauta. Elle était entièrement nue sur ses vêtements étalés sur la mousse. Assise, chignon défait, pointes de seins érigées.
- Enlève-moi ce bermuda. J'ai envie de baiser.
Magali avait un faible pour les ébats en pleine nature, il le savait d'expérience. Combien de fois, au cours de randonnées, avait-il été sommé de l'honorer de sa queue. Mais là, en plein voyage, c'était un peu inattendu.
- Mais, chérie, on nous attend pour déjeuner et on va être en retard !
- Ils nous attendront. J'ai besoin de ta bite. Donne-la moi.
Jean-Marc la considéra. Quand elle devenait vulgaire, elle était vraiment chaude. Son corps était particulièrement appétissant, sculpté par une pratique assidue de la gymnastique, ses seins encore bien fermes, son pubis encore bien fourni. Il savait devoir répondre à la demande pour la conserver car elle séduisait toujours les mâles. Il se mit nu à son tour, conservant juste ses sandales alors qu'elle s'était déchaussée car elle avait toujours considéré que "l'amour, ça se fait complètement à poil". Il lui tendit sa queue qu'elle suça goulûment en lui palpant les couilles. Quand il fut totalement érigé, elle lui dit :- Viens maintenant. Défonce-moi, je suis en feu.
Mains posées sur la mousse, il la plia en deux, mis ses pieds nus au ras de ses oreilles et la creusa. Profondément, inlassablement, virilement. Magali se vantait de temps en temps auprès de ses amies d'avoir épousé "un vrai baiseur". Il le savait, on le lui avait rapporté et il se faisait fort d'être à la hauteur de sa réputation. Elle voulait qu'il la défonce ? Il cogna dur, à tel point que son corps menu quitta le tapis de vêtements pour être possédé à même la mousse, d'autant qu'elle gigotait sous lui pour accompagner ses coups de boutoir. Les petits oiseaux, s'ils avaient des oreilles chastes, en entendaient de belles. Magali entre deux cris de plaisir et Jean-Marc entre deux grognements de rut, se stimulaient à coups de mots crus, de baise, de bite, de encore, de plus vite jusqu'à un premier orgasme qui la fit frissonner de la tête aux pieds.
Considérant la queue toujours rigide de son époux, Magali la flatta et dit :- Tu as encore envie, ça tombe bien, moi aussi.
Elle se releva, le dos constellé de bris de mousse, qu'il frotta délicatement. Puis elle prit appui sur un arbre, cambrée :- Prends-moi par derrière.
Après avoir fléchi les genoux, il l'enfila et la releva à grands coups de queue tandis qu'elle s'accrochait au tronc de l'arbre en bavant sur l'écorce. La pénétration dans cette position était tellement intense, tellement profonde et tellement jouissive dans ce contexte qu'ils prirent rapidement leur pied, Jean-Marc expulsant un flot de sperme dont une bonne partie tomba dans la mousse tandis que Magali se tordait pour l'essorer. Puis elle se détacha, s'accroupit et absorba les dernières gouttes dans sa bouche.
- Merci chéri, tu m'as bien servie, j'en avais très envie, dit-elle simplement en se rhabillant.
- Voilà un pipi très érotique, dit-il en rigolant.
Dans la voiture, Magali lâcha :- Bon, qu'est-ce qu'on va dire pour justifier notre retard ?
- Ben, qu'on a reçu un coup de fil avant de partir et que ça nous a retardés. Mais avant, si tu pouvais enlever toute la mousse que tu as encore dans tes cheveux, ça nous rendrait un peu plus crédibles...
A SUIVRE
MICHELINE ET PIERRE DANS LA CUISINE
Pierre était parti pour une sortie cycliste lorsqu'une crevaison au bout d'un kilomètre le stoppa net dans son élan. Autant réparer à la maison. En rentrant, il découvrit sa femme Micheline face à la table de la cuisine en train de pétrir une pâte pour une tarte. Son corsage, déboutonné en haut, laissait apparaitre deux seins blancs, volumineux et mouvants sous l'effet de l'énergique pétrissage. Cette vision impromptue des deux pulpeuses mamelles lui vint immédiatement au sexe et son cuissard en lycra fut aussitôt barré d'une excroissance plantureuse particulièrement visible sous le mince tissu. Toute à son affaire, Micheline ne s'en aperçut pas. Elle se contenta de demander à son mari pourquoi il rentrait aussi vite. Sa tête blonde teintée, à cheveux très courts, restait penchée sur le rouleau à pâtisserie. Pierre passa derrière elle et considéra la jupe courte en jean qui dévoilait une bonne partie des cuisses larges de quinquagénaire, moulant de surcroit un fessier rebondi. Il se sentit durcir un peu plus. Il pensa à la chanson de Nougaro "rien n'est plus beau que les mains d'une femme dans la farine". Mais quand en plus les nichons s'agitent et les fesses se tendent...
Puisque sa sortie de vélo était fichue, autant passer à un autre exercice physique, bien plus agréable. Pris d'une inspiration, il se plaça derrière Micheline et se colla à elle. Elle sursauta. Elle avait évidemment senti le bâton de berger contre sa jupette.
- Qu'est-ce que tu fais ? Ote-toi de là, tu vois bien que je travaille.
Non seulement il ne se retira pas mais ses mains vinrent soupeser les deux seins lourds.
- Arrête, enlève tes pattes, tu vas me mettre en retard.
Mais la main de Pierre s'était insinuée sous la jupette. Micheline se débattait mais Pierre la maintenant fermement contre la table. Quand un doigt fureteur atteignit la fente à travers la mince culotte, la résistance faiblit. Encouragé, il insista, affermit la pression de son pénis, sentit les pointes de seins durcir sous ses doigts, et Micheline laissa tomber le rouleau à pâtisserie. Elle se cambra et Pierre ressentit même une légère pression de la jupe. Il l'embrassa dans le cou, et Micheline capitula.
- T'es vraiment un gros cochon de mec. Vous ne pensez vraiment tous qu'à ça.
Prestement, il tira sa culotte vers le bas, s'accroupit, la troussa et plongea le museau entre ses fesses charnues; qu'il écarta. Sa langue rencontra l'anus et s'y attarda. Aussitôt, les grosses joues se couvrirent de chair de poule. Pierre jouait sur du velours. L'anus, c'était la zone érogène majeure de Micheline, originalité qu'il avait découverte sur le tard mais dont il usait copieusement à chaque rapport sexuel. Qui aurait imaginé que cette honorable et consciencieuse assistante de direction adorait se faire sodomiser ? Pour l'heure, Pierre se contenta d'y mettre le doigt et Micheline, les coudes sur la table au milieu de son attirail pâtissier, poussa un petit gémissement. Un début d'orgasme ?
Il se releva car il avait un peu mal aux cuisses. Elle se retourna et l'embrassa.
- Allez viens, on va dans la chambre puisque c'est ça que tu veux, lui dit-elle.
Il sourit dans sa barbe. Micheline avait le chic pour lui renvoyer son propre désir, parfaitement démenti par les faits. Il la suivit dans l'escalier, considéra avec appétit les fesses mouvantes sous la jupe en jean, légèrement provoquantes. Micheline montait se faire sauter avec naturel et il était certain qu'elle mouillait déjà.
A peine entrée dans la chambre, la jupe tomba sur ses chevilles, dévoilant son cul nu et sa chatte poilue. Pendant qu'il se débattait avec son cuissard en lycra et son maillot de cycliste, elle acheva de déboutonner son chemisier et libéra ses seins larges de son soutien-gorge, tira sur la couette du lit pour le dégager et s'allongea, coudes sur le matelas, étalant sa chair opulente et juteuse, la langue entre les lèvres et le regard brillant devant le jaillissement du pénis, tendu à l'horizontale.
Les préliminaires ayant déjà eu lieu, l'avancée de Pierre entre les cuisses dodues de Micheline se traduisit par une pénétration d'autant plus rapide qu'elle avait saisit le pénis pour le porter dans sa fente béante. Ce fut un coït sauvage, bruyant, peu conjugal, assez vulgaire dans le propos car Micheline était toujours excitée quand Pierre lui disait les mots du cul. Ils s'étaient mis à vraiment baiser à la cinquantaine, quand elle avait évacué tous ses tabous de jeunesse. C'est elle-même qui lui demanda crûment de "l'enculer" ce qu'il fit avec maitrise, ferveur et jubilation quand il l'entendit jouir. Il gicla dans son rectum et y resta figé plusieurs minutes avant que son pénis se rétracte. Elle se retourna, l'embrassa, fila dans la salle de bains, se rhabilla et lui dit :- Bon, maintenant que tu as eu ce que tu voulais, je peux retourner à ma tarte ?
MAGALI ET JEAN-MARC EN VOITURE
Magali et Jean-Marc se dirigeaient vers la ville où leur fille, leur gendre et leurs petits enfants les attendaient pour un repas de famille. Magali, petit format tonique à chignon, considérait la route d'un oeil distrait. Son esprit vagabondait depuis un petit moment si bien que Jean-Marc n'entendait plus sa voix alors qu'elle se montrait toujours bavarde. Puis elle sortit de son silence et dit à son mari :- J'ai envie de faire pipi. Tu peux trouver un endroit tranquille et t'arrêter ?
Il fallut quitter la route nationale, trop encombrée. Jean-Marc aborda une petite route, proposa un stationnement mais Magali le refusa.
- Non, pas assez isolé, trouve-moi un petit bois.
- Tant que ça ? Tu as tellement peur de montrer tes petites fesses ?
- Tu sais ce qu'elles te disent, mes petites fesses ?
Finalement, la route traversa un endroit boisé et Jean-Marc s'engagea sur un sentier.
- Et là, ça te va ? Il n'y a personne à des kilomètres.
- C'est parfait. Allez, je sors.
Magali s'enfonça sous les frondaisons pendant que Jean-Marc sacrifiait à son besoin naturel. Puis il entendit la voix de son épouse :- Chéri, tu peux venir s'il te plait ?
Qu'est-ce qui se passait encore. Magali avait-elle fait une mauvaise rencontre ?
Il la découvrit et il sursauta. Elle était entièrement nue sur ses vêtements étalés sur la mousse. Assise, chignon défait, pointes de seins érigées.
- Enlève-moi ce bermuda. J'ai envie de baiser.
Magali avait un faible pour les ébats en pleine nature, il le savait d'expérience. Combien de fois, au cours de randonnées, avait-il été sommé de l'honorer de sa queue. Mais là, en plein voyage, c'était un peu inattendu.
- Mais, chérie, on nous attend pour déjeuner et on va être en retard !
- Ils nous attendront. J'ai besoin de ta bite. Donne-la moi.
Jean-Marc la considéra. Quand elle devenait vulgaire, elle était vraiment chaude. Son corps était particulièrement appétissant, sculpté par une pratique assidue de la gymnastique, ses seins encore bien fermes, son pubis encore bien fourni. Il savait devoir répondre à la demande pour la conserver car elle séduisait toujours les mâles. Il se mit nu à son tour, conservant juste ses sandales alors qu'elle s'était déchaussée car elle avait toujours considéré que "l'amour, ça se fait complètement à poil". Il lui tendit sa queue qu'elle suça goulûment en lui palpant les couilles. Quand il fut totalement érigé, elle lui dit :- Viens maintenant. Défonce-moi, je suis en feu.
Mains posées sur la mousse, il la plia en deux, mis ses pieds nus au ras de ses oreilles et la creusa. Profondément, inlassablement, virilement. Magali se vantait de temps en temps auprès de ses amies d'avoir épousé "un vrai baiseur". Il le savait, on le lui avait rapporté et il se faisait fort d'être à la hauteur de sa réputation. Elle voulait qu'il la défonce ? Il cogna dur, à tel point que son corps menu quitta le tapis de vêtements pour être possédé à même la mousse, d'autant qu'elle gigotait sous lui pour accompagner ses coups de boutoir. Les petits oiseaux, s'ils avaient des oreilles chastes, en entendaient de belles. Magali entre deux cris de plaisir et Jean-Marc entre deux grognements de rut, se stimulaient à coups de mots crus, de baise, de bite, de encore, de plus vite jusqu'à un premier orgasme qui la fit frissonner de la tête aux pieds.
Considérant la queue toujours rigide de son époux, Magali la flatta et dit :- Tu as encore envie, ça tombe bien, moi aussi.
Elle se releva, le dos constellé de bris de mousse, qu'il frotta délicatement. Puis elle prit appui sur un arbre, cambrée :- Prends-moi par derrière.
Après avoir fléchi les genoux, il l'enfila et la releva à grands coups de queue tandis qu'elle s'accrochait au tronc de l'arbre en bavant sur l'écorce. La pénétration dans cette position était tellement intense, tellement profonde et tellement jouissive dans ce contexte qu'ils prirent rapidement leur pied, Jean-Marc expulsant un flot de sperme dont une bonne partie tomba dans la mousse tandis que Magali se tordait pour l'essorer. Puis elle se détacha, s'accroupit et absorba les dernières gouttes dans sa bouche.
- Merci chéri, tu m'as bien servie, j'en avais très envie, dit-elle simplement en se rhabillant.
- Voilà un pipi très érotique, dit-il en rigolant.
Dans la voiture, Magali lâcha :- Bon, qu'est-ce qu'on va dire pour justifier notre retard ?
- Ben, qu'on a reçu un coup de fil avant de partir et que ça nous a retardés. Mais avant, si tu pouvais enlever toute la mousse que tu as encore dans tes cheveux, ça nous rendrait un peu plus crédibles...
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