Scènes (érotiques) de la vie conjugale (6/6)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Scènes (érotiques) de la vie conjugale (6/6)
CHARLES ET LAETITIA AUX CHAMPS
Dans un de ses champs sous le soleil de l'été, Charles, au volant de son tracteur, se consacrait à un de ses travaux saisonniers : la mise en botte du foin. La presse attelée à son engin faisait le boulot et les bottes s'accumulaient dans le champ, brillant sous le soleil au point d'en constituer une sorte de tableau agreste. L'opération avançait bien mais Charles voulait l'achever dans la journée. Il ne rentrerait pas chez lui déjeuner. Il mangerait sur place, dans son tracteur climatisé. Laetitia, son épouse, lui apporterait le tupperware de son plat cuisiné, sans doute une salade en raison de la chaleur. A l'heure dite, Charles vit la voiture de Laetitia arriver en bordure du champ. Il stoppa son tracteur alors qu'elle venait à sa rencontre, le plat à la main. Adorable épouse, industrieuse, attentive, efficace pour l'assister dans ce métier si difficile d'agriculteur, tout en assumant l'éducation de leurs trois enfants.
Lorsqu'elle arriva au bord du tracteur, le regard de Charles plongea alternativement sur sa tête brune frisée, son regard protégé par ses lunettes de soleil et enfin son corsage largement déboutonné pour se donner de l'air. Il remarqua que ses seins étaient libres, pesants et mouvants. Quand il faisait chaud, Laetitia ne portait pas de soutien-gorge. Quand elle monta sur le marche-pied pour lui tendre le tupperware, Charles eut l'impulsion d'un geste : il glissa la main dans le chemisier et soupesa un sein un peu tombant mais pulpeux, généreux, dense. Laetitia faillit en laisser tomber le plat et réagit :- Mais qu'est-ce que tu fais ? Ote ta patte.
Mais Charles insista et toucha le mamelon. Il s'y attarda, un sourire en coin. Il savait son épouse très sensible au toucher des seins. De fait, elle ne réagissait plus. Elle posa le plat à l'intérieur du tracteur et se laissa peloter, la bouche entrouverte. La main de Charles était passée à l'autre sein et le corsage était maintenant largement ouvert. Laetitia finit par réagir :- Bon, tu veux quoi au juste ? Manger ou baiser ?
- Devine !
Charles arrêta le moteur du tracteur et en descendit. Il prit Laetitia par la main et l'entraina vers un coin du champ en retrait, à l'abri des regards. Totalement dépoitraillée, les nichons en bataille, son épouse le suivait avec docilité. Quand son mari avait cette idée en tête, il ne servait à rien de résister. Et puis, le rapport sexuel entre conjoints fait partie du contrat, n'est-ce pas ? Il l'accula contre la botte de foin, l'embrassa, tout en défaisant son pantalon corsaire moulant ses fesses replètes. Il est la satisfaction de constater qu'elle cherchait à ouvrir sa braguette. Voulait-elle hâter le processus pour s'en revenir vite à la ferme ou bien avait-elle vraiment envie ?
Il se laissa déshabiller par elle, conservant juste ses tennis et elle baissa les yeux sur son pénis, tendu, horizontal. Lorsque la main de Charles rencontra la chatte poilue de Laetitia, désormais entièrement nue, il constata une incontestable humidité. Elle avait beau jouer le rôle de l'épouse soumise à son désir de mâle, elle avait bel et bien envie de baiser, là, sur la botte de foin, au soleil. Il la hissa dessus après avoir apposé ses vêtements pour éviter d'irriter sa peau, ses sandales voltigèrent, elle était complètement à poil, vulnérable et désirable dans sa maturité de quadragénaire. Il plongea son museau dans son entrecuisses, le nez dans sa végétation intime et il sut à la pression qu'elle mit sur sa nuque et à ses gémissements qu'il avait atteint son but. Laetitia allait baiser comme elle savait le faire, sans retenue, passionnément et bruyamment.
Au terme d'un long cunnilingus qui lui fit connaitre un premier orgasme, elle descendit de son perchoir, s'accroupit et lui offrit une fellation dont elle était friande. Puis d'elle-même, elle se positionna les mains sur la botte de foin, cuisses écartées, et lui dit :- Vas-y maintenant, mets-en un bon coup.
Il l'honora de toute la vigueur dont il était capable, le soleil sur les épaules, encouragé par son verbe et stimulé par son cul mouvant. Ils ne risquaient pas d'être dérangés et les cris de plaisir de Laetitia, ses "baise, baise, encore, encore, plus vite, plus fort..." se perdirent dans la chaleur estivale du champ. Elle jouit une nouvelle fois et se retourna vers lui, ruisselante d'une sueur qui coulait sur son front et entre ses seins lourds.
- Tu as encore envie de moi, hein ? Tu veux me prendre comment maintenant ?
Il la souleva par les cuisses avec aisance et la déposa à nouveau sur la botte. Son pénis était juste à la bonne hauteur.
- Ah oui comme ça, ça va être super bon ! dit-elle simplement.
Avec l'âge, Laetitia avait appris à aimer le sexe brut, un peu sauvage, ce qu'elle dissimulait sous l'apparence d'une épouse fidèle, zélée, convenable. Les mots "baiser" ou "bite" sortaient désormais facilement de sa bouche quand Charles faisait sortir la bête en elle. C'est ce qui se produisit lorsqu'il l'enfila. Elle avait relevé ses lunettes de soleil sur son crâne pour plonger dans son regard pendant qu'il la besognait, pour lui témoigner par son expression le plaisir qu'il lui donnait. Les bras calés sous ses cuisses dodues, il la secouait de son membre viril et elle prononça plusieurs fois le mot "bite" pour célébrer sa raideur et son activité. Quand elle se mit à agiter sa tête de droite à gauche, il comprit qu'il était temps de la rejoindre et il expulsa une giclée de sperme dans sa chatte béante tandis qu'elle se cabrait en râlant. Puis il la laissa retomber sur ses pieds nus, s'en détacha et s'assit par terre, rincé, vidé, mais heureux.
Alors, Laetitia retrouva peu à peu son apparence habituelle, se rhabilla, l'aida à faire de même et lui dit simplement :- Merci, c'était super. Mais il faut que je rentre, les enfants m'attendent.
Il regagna son tracteur, démarra et poursuivit la mise en bottes en regardant la voiture de Laetitia s'éloigner. Il mangerait un peu plus tard. Le travail des champs n'attend pas.
MICHELINE ET MICHEL EN BATEAU
Depuis qu'ils avaient fait construire une piscine dans leur jardin et que Michel avait vu son épouse Micheline s'y baigner nue au clair de lune, sa libido s'était curieusement indexée sur l'environnement aquatique. Non seulement il baisait Micheline après son bain mais leurs vacances étaient désormais programmées en bateau. Ils avaient commencé par une croisière mais l'élément liquide était un peu trop éloigné pour stimuler le quinquagénaire. Beaucoup mieux réussie avait été la location d'une petite vedette en Corse. Au large, Michel jetait l'ancre et Micheline voyait sa séance de bronzage intégral interrompue par l'irruption entre ses cuisses dodues de son libidineux mari, subjugué d'agiter les seins lourds de son épouse sous l'effet de ses coups de boutoir tandis que le soleil lui brûlait les fesses. Micheline avait évidemment pris goût à ces coïts aquatiques qui la faisaient rajeunir de dix ans. Non seulement elle n'y rechignait pas mais elle les provoquait par des postures suggestives, comme de bronzer à plat ventre cuisses en V pour exposer sa fente. Michel avait d'ailleurs noté avec jubilation que ses orgasmes étaient plus fréquents et plus volubiles, avec des propos de plus en plus cochons. Elle ne faisait plus seulement l'amour : elle baisait.
Ils décidèrent pour les vacances suivantes de changer d'embarcation. Une publicité touristique les incita à tenter la descente d'une rivière du sud en canoë biplace, avec étapes dans des campings où un service de transport véhiculerait bagages et tente. Ils pourraient donc pagayer léger et profiter des somptueux paysages. Par bonheur, la chaleur était au rendez-vous. Micheline partit avec un maillot de bain une pièce dont elle baissait les bretelles jusqu'au nombril pour se dorer les seins quand le trafic sur l'eau le permettait. A l'arrière, Michel avait vue sur sa tête blonde à cheveux courts et son dos dénudé. Lâchant parfois la pagaie, il venait lui peloter les nichons par derrière, s'attirant aussitôt des éclaboussures de protestation. Mais il n'était pas dupe : il savait qu'elle aimait ces petites attentions à son corps.
Alors qu'ils s'apprêtaient à s'arrêter pour un pique-nique peut-être, il l'espérait, suivi d'une bonne séance de baise au soleil, leur attention fut attirée sur le rivage par un couple qui était tout simplement en train de faire l'amour, leur canoë rangé à côté d'eux. La jeune femme chevauchait son mec face à la rivière et sans doute rassurée par le torse nu de Micheline, leur adressa un petit salut à leur passage comme si elle accomplissait un acte banal en ces lieux. Micheline et Michel répondirent à son salut et poursuivirent leur pagayage en commentant la scène qu'ils venaient de vivre :- Ils ne s'embêtent pas, ces deux là, gloussa Micheline.
- Ils avaient l'air heureux et, dis-donc, ça ne te donne pas envie, dit Michel, qui avait lâché la pagaie pour soupeser une nouvelle fois ses seins dénudés.
- Pourquoi pas ? Tu bandes ?
- Je commence. Je vais te défoncer ma cocotte.
- Tu as intérêt, sinon je crie au viol.
Tout en lui parlant dans son cou, Michel avait senti les pointes de seins de Micheline durcir sous ses doigts. Il descendit le long de son ventre et n'eut aucun mal à atteindre son sexe sous le bas du maillot. Ils ne pagayaient plus et le canoë vint mourir sur les galets. Elle descendit de l'embarcation le maillot sur les fesses et acheva de s'en débarrasser pendant qu'il tirait le canoë, la bite déjà saillante. La natte du pique-nique fut étendue sur un recoin légèrement en retrait de la rivière où Micheline s'allongea, la lippe déjà gourmande. Il lui tendit à genoux sa queue à sucer et quand elle eut atteint un volume qu'elle jugea adéquat, elle la tira vers sa cible dans laquelle il s'enfonça d'un coup d'un seul. Une fois de plus, le contexte aquatique le rendit très viril et Micheline se mit à vocaliser avec d'autant plus d'allégresse qu'il n'y avait personne à la ronde. La position était classique mais c'était leur préférée parce qu'ils pouvaient se regarder les yeux dans les yeux, se parler et surtout bien remuer leur cul. Ils atteignirent assez vite leur plaisir car le jeune couple les avait bien excités. Précisément, à peine Michel avait-il éjaculé et s'était retiré sur le côté qu'une petite salve d'applaudissements éclata. C'était le jeune couple sur leur canoë à l'arrêt, qui n'avait rien manqué apparemment de l'extase des deux quinquagénaires.
- Vous êtes super ! déclara la femme, une brune à cheveux longs réunis en queue de cheval, comme son compagnon.
- Vous vous êtes bien rincé l'oeil, hein ? répondit Micheline, qui ne pensa pas un seul instant à se couvrir le corps.
- Comme vous tout à l'heure !
Un échange de propos plus ou moins grivois s'engagea entre les deux couples. Ils décidèrent de pique-niquer ensemble puis de s'accompagner pour la suite de leur périple. Le hasard voulut qu'ils accomplissent le même parcours. Et une complicité inter âge s'installa, où l'érotisme avait évidemment une certaine part. Mais c'est une autre histoire.
Dans un de ses champs sous le soleil de l'été, Charles, au volant de son tracteur, se consacrait à un de ses travaux saisonniers : la mise en botte du foin. La presse attelée à son engin faisait le boulot et les bottes s'accumulaient dans le champ, brillant sous le soleil au point d'en constituer une sorte de tableau agreste. L'opération avançait bien mais Charles voulait l'achever dans la journée. Il ne rentrerait pas chez lui déjeuner. Il mangerait sur place, dans son tracteur climatisé. Laetitia, son épouse, lui apporterait le tupperware de son plat cuisiné, sans doute une salade en raison de la chaleur. A l'heure dite, Charles vit la voiture de Laetitia arriver en bordure du champ. Il stoppa son tracteur alors qu'elle venait à sa rencontre, le plat à la main. Adorable épouse, industrieuse, attentive, efficace pour l'assister dans ce métier si difficile d'agriculteur, tout en assumant l'éducation de leurs trois enfants.
Lorsqu'elle arriva au bord du tracteur, le regard de Charles plongea alternativement sur sa tête brune frisée, son regard protégé par ses lunettes de soleil et enfin son corsage largement déboutonné pour se donner de l'air. Il remarqua que ses seins étaient libres, pesants et mouvants. Quand il faisait chaud, Laetitia ne portait pas de soutien-gorge. Quand elle monta sur le marche-pied pour lui tendre le tupperware, Charles eut l'impulsion d'un geste : il glissa la main dans le chemisier et soupesa un sein un peu tombant mais pulpeux, généreux, dense. Laetitia faillit en laisser tomber le plat et réagit :- Mais qu'est-ce que tu fais ? Ote ta patte.
Mais Charles insista et toucha le mamelon. Il s'y attarda, un sourire en coin. Il savait son épouse très sensible au toucher des seins. De fait, elle ne réagissait plus. Elle posa le plat à l'intérieur du tracteur et se laissa peloter, la bouche entrouverte. La main de Charles était passée à l'autre sein et le corsage était maintenant largement ouvert. Laetitia finit par réagir :- Bon, tu veux quoi au juste ? Manger ou baiser ?
- Devine !
Charles arrêta le moteur du tracteur et en descendit. Il prit Laetitia par la main et l'entraina vers un coin du champ en retrait, à l'abri des regards. Totalement dépoitraillée, les nichons en bataille, son épouse le suivait avec docilité. Quand son mari avait cette idée en tête, il ne servait à rien de résister. Et puis, le rapport sexuel entre conjoints fait partie du contrat, n'est-ce pas ? Il l'accula contre la botte de foin, l'embrassa, tout en défaisant son pantalon corsaire moulant ses fesses replètes. Il est la satisfaction de constater qu'elle cherchait à ouvrir sa braguette. Voulait-elle hâter le processus pour s'en revenir vite à la ferme ou bien avait-elle vraiment envie ?
Il se laissa déshabiller par elle, conservant juste ses tennis et elle baissa les yeux sur son pénis, tendu, horizontal. Lorsque la main de Charles rencontra la chatte poilue de Laetitia, désormais entièrement nue, il constata une incontestable humidité. Elle avait beau jouer le rôle de l'épouse soumise à son désir de mâle, elle avait bel et bien envie de baiser, là, sur la botte de foin, au soleil. Il la hissa dessus après avoir apposé ses vêtements pour éviter d'irriter sa peau, ses sandales voltigèrent, elle était complètement à poil, vulnérable et désirable dans sa maturité de quadragénaire. Il plongea son museau dans son entrecuisses, le nez dans sa végétation intime et il sut à la pression qu'elle mit sur sa nuque et à ses gémissements qu'il avait atteint son but. Laetitia allait baiser comme elle savait le faire, sans retenue, passionnément et bruyamment.
Au terme d'un long cunnilingus qui lui fit connaitre un premier orgasme, elle descendit de son perchoir, s'accroupit et lui offrit une fellation dont elle était friande. Puis d'elle-même, elle se positionna les mains sur la botte de foin, cuisses écartées, et lui dit :- Vas-y maintenant, mets-en un bon coup.
Il l'honora de toute la vigueur dont il était capable, le soleil sur les épaules, encouragé par son verbe et stimulé par son cul mouvant. Ils ne risquaient pas d'être dérangés et les cris de plaisir de Laetitia, ses "baise, baise, encore, encore, plus vite, plus fort..." se perdirent dans la chaleur estivale du champ. Elle jouit une nouvelle fois et se retourna vers lui, ruisselante d'une sueur qui coulait sur son front et entre ses seins lourds.
- Tu as encore envie de moi, hein ? Tu veux me prendre comment maintenant ?
Il la souleva par les cuisses avec aisance et la déposa à nouveau sur la botte. Son pénis était juste à la bonne hauteur.
- Ah oui comme ça, ça va être super bon ! dit-elle simplement.
Avec l'âge, Laetitia avait appris à aimer le sexe brut, un peu sauvage, ce qu'elle dissimulait sous l'apparence d'une épouse fidèle, zélée, convenable. Les mots "baiser" ou "bite" sortaient désormais facilement de sa bouche quand Charles faisait sortir la bête en elle. C'est ce qui se produisit lorsqu'il l'enfila. Elle avait relevé ses lunettes de soleil sur son crâne pour plonger dans son regard pendant qu'il la besognait, pour lui témoigner par son expression le plaisir qu'il lui donnait. Les bras calés sous ses cuisses dodues, il la secouait de son membre viril et elle prononça plusieurs fois le mot "bite" pour célébrer sa raideur et son activité. Quand elle se mit à agiter sa tête de droite à gauche, il comprit qu'il était temps de la rejoindre et il expulsa une giclée de sperme dans sa chatte béante tandis qu'elle se cabrait en râlant. Puis il la laissa retomber sur ses pieds nus, s'en détacha et s'assit par terre, rincé, vidé, mais heureux.
Alors, Laetitia retrouva peu à peu son apparence habituelle, se rhabilla, l'aida à faire de même et lui dit simplement :- Merci, c'était super. Mais il faut que je rentre, les enfants m'attendent.
Il regagna son tracteur, démarra et poursuivit la mise en bottes en regardant la voiture de Laetitia s'éloigner. Il mangerait un peu plus tard. Le travail des champs n'attend pas.
MICHELINE ET MICHEL EN BATEAU
Depuis qu'ils avaient fait construire une piscine dans leur jardin et que Michel avait vu son épouse Micheline s'y baigner nue au clair de lune, sa libido s'était curieusement indexée sur l'environnement aquatique. Non seulement il baisait Micheline après son bain mais leurs vacances étaient désormais programmées en bateau. Ils avaient commencé par une croisière mais l'élément liquide était un peu trop éloigné pour stimuler le quinquagénaire. Beaucoup mieux réussie avait été la location d'une petite vedette en Corse. Au large, Michel jetait l'ancre et Micheline voyait sa séance de bronzage intégral interrompue par l'irruption entre ses cuisses dodues de son libidineux mari, subjugué d'agiter les seins lourds de son épouse sous l'effet de ses coups de boutoir tandis que le soleil lui brûlait les fesses. Micheline avait évidemment pris goût à ces coïts aquatiques qui la faisaient rajeunir de dix ans. Non seulement elle n'y rechignait pas mais elle les provoquait par des postures suggestives, comme de bronzer à plat ventre cuisses en V pour exposer sa fente. Michel avait d'ailleurs noté avec jubilation que ses orgasmes étaient plus fréquents et plus volubiles, avec des propos de plus en plus cochons. Elle ne faisait plus seulement l'amour : elle baisait.
Ils décidèrent pour les vacances suivantes de changer d'embarcation. Une publicité touristique les incita à tenter la descente d'une rivière du sud en canoë biplace, avec étapes dans des campings où un service de transport véhiculerait bagages et tente. Ils pourraient donc pagayer léger et profiter des somptueux paysages. Par bonheur, la chaleur était au rendez-vous. Micheline partit avec un maillot de bain une pièce dont elle baissait les bretelles jusqu'au nombril pour se dorer les seins quand le trafic sur l'eau le permettait. A l'arrière, Michel avait vue sur sa tête blonde à cheveux courts et son dos dénudé. Lâchant parfois la pagaie, il venait lui peloter les nichons par derrière, s'attirant aussitôt des éclaboussures de protestation. Mais il n'était pas dupe : il savait qu'elle aimait ces petites attentions à son corps.
Alors qu'ils s'apprêtaient à s'arrêter pour un pique-nique peut-être, il l'espérait, suivi d'une bonne séance de baise au soleil, leur attention fut attirée sur le rivage par un couple qui était tout simplement en train de faire l'amour, leur canoë rangé à côté d'eux. La jeune femme chevauchait son mec face à la rivière et sans doute rassurée par le torse nu de Micheline, leur adressa un petit salut à leur passage comme si elle accomplissait un acte banal en ces lieux. Micheline et Michel répondirent à son salut et poursuivirent leur pagayage en commentant la scène qu'ils venaient de vivre :- Ils ne s'embêtent pas, ces deux là, gloussa Micheline.
- Ils avaient l'air heureux et, dis-donc, ça ne te donne pas envie, dit Michel, qui avait lâché la pagaie pour soupeser une nouvelle fois ses seins dénudés.
- Pourquoi pas ? Tu bandes ?
- Je commence. Je vais te défoncer ma cocotte.
- Tu as intérêt, sinon je crie au viol.
Tout en lui parlant dans son cou, Michel avait senti les pointes de seins de Micheline durcir sous ses doigts. Il descendit le long de son ventre et n'eut aucun mal à atteindre son sexe sous le bas du maillot. Ils ne pagayaient plus et le canoë vint mourir sur les galets. Elle descendit de l'embarcation le maillot sur les fesses et acheva de s'en débarrasser pendant qu'il tirait le canoë, la bite déjà saillante. La natte du pique-nique fut étendue sur un recoin légèrement en retrait de la rivière où Micheline s'allongea, la lippe déjà gourmande. Il lui tendit à genoux sa queue à sucer et quand elle eut atteint un volume qu'elle jugea adéquat, elle la tira vers sa cible dans laquelle il s'enfonça d'un coup d'un seul. Une fois de plus, le contexte aquatique le rendit très viril et Micheline se mit à vocaliser avec d'autant plus d'allégresse qu'il n'y avait personne à la ronde. La position était classique mais c'était leur préférée parce qu'ils pouvaient se regarder les yeux dans les yeux, se parler et surtout bien remuer leur cul. Ils atteignirent assez vite leur plaisir car le jeune couple les avait bien excités. Précisément, à peine Michel avait-il éjaculé et s'était retiré sur le côté qu'une petite salve d'applaudissements éclata. C'était le jeune couple sur leur canoë à l'arrêt, qui n'avait rien manqué apparemment de l'extase des deux quinquagénaires.
- Vous êtes super ! déclara la femme, une brune à cheveux longs réunis en queue de cheval, comme son compagnon.
- Vous vous êtes bien rincé l'oeil, hein ? répondit Micheline, qui ne pensa pas un seul instant à se couvrir le corps.
- Comme vous tout à l'heure !
Un échange de propos plus ou moins grivois s'engagea entre les deux couples. Ils décidèrent de pique-niquer ensemble puis de s'accompagner pour la suite de leur périple. Le hasard voulut qu'ils accomplissent le même parcours. Et une complicité inter âge s'installa, où l'érotisme avait évidemment une certaine part. Mais c'est une autre histoire.
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