Scènes (érotiques) de ménage (2)

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
  • • 281 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.5
  • • L'ensemble des récits érotiques de Micky ont reçu un total de 2 612 909 visites.
Récit libertin : Scènes (érotiques) de ménage (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 241 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Scènes (érotiques) de ménage (2)
‌Ces saynètes font suite à un premier texte en quatre parties évoquant des couples ordinaires pris par une pulsion érotique, l'initiative émanant tantôt de l'homme et tantôt de la femme. Voici la suite.

Scène 5
Elise et son mari Sébastien sont amateurs de randonnées pédestres pendant leurs vacances d'été. Ils privilégient le Massif central, moins dur que les Alpes ou les Pyrénées et tout aussi attrayant par ses paysages, et en général moins fréquenté. Après avoir laissé leurs deux enfants au club d'ados de leur VVF, ces deux quadragénaires partent pour la journée avec une pause déjeuner, la randonnée durant entre trois et quatre heures en général.
Elise mène l'allure et Sébastien s'y conforme afin de ne pas la fatiguer prématurément. C'est une petite femme aux yeux émeraude, aux cheveux châtain mi longs aux jambes nerveuses de marcheuse, menue du haut mais assez forte du bas. En marchant, Sébastien a une vue souvent happée par sa croupe bombée, mouvante sous le short. Ces randonnées sont l'occasion de baiser puisque leurs enfants ne sont plus dans leur environnement. Le sexe en pleine nature est un de leurs plaisirs de vacances.

Ils sont partis depuis une heure sur un chemin en légère montée quand Sébastien est pris d'une pulsion irrésistible. Il met la main aux fesses d'Elise, qu'elle rejette d'une pichenette. Il insiste, glisse sa menotte entre ses cuisses tout en continuant de marcher. Elle réitère son geste et lui dit :
- Arrête. Tu ne ne ne peux pas attendre le pique-nique ? On n'est qu'au début de notre rando.
- J'ai envie de ton cul.
Il pelote à nouveau les deux hémisphères de son épouse qui se retourne vivement :
-Arrête je te dis. Sois un peu patient. Tu auras ce que tu veux plus tard.
- Non. Maintenant. Regarde, il y a un petit coin tranquille. Et sens comme je bande.
Il lui prend la main et la pose sur la braguette de son short. Elise ne la retire pas. Elle constate l'érection manifeste de son mari. Ce contact manuel n'est jamais anodin chez elle.
- Tu es vraiment pénible. On a encore trois heures de marche et on va avoir les jambes en coton.

Mais pendant qu'elle parle, Sébastien a ouvert son short et présenté sa queue. Tendue. Elise la prend en main. Elle est brûlante.
- Ben dis donc, tu as vraiment envie. Bon, allez, tu vas avoir ce que tu veux mais tu me fais faire une connerie.
Sébastien la prend par la main et l'écarte du sentier, derrière un rideau d'arbre. Elise retire son sac à dos, son débardeur, son soutif, son short et son slip, ne gardant que ses chaussures de marche au cas où, et étend la nappe légère dont ils se servent pour le déjeuner. Elle s'allonge nue, sauf les pieds.
- Alors, tu viens ?
Fort de son triomphe, Sébastien se déshabille lentement et garde lui aussi ses chaussures. Il ne va pas la pénétrer tout de suite. Il connait sa femme. Il veut qu'elle l'implore. Il la déguste avec sa langue, les seins, la chatte, l'anus aussi car il a envie de la sodomiser. Tournée et retournée, Elise s'impatiente. Elle veut la bite. Il l'a trop chauffée. Elle la prend en main et tente de se la mettre entre les cuisses. Il fait mine de résister, elle piaffe, elle proteste.
- Baise-moi, merde ! Je suis en feu !
- Ah tu ne fais plus de manières, maintenant, hein ?
- Viens ! Viens ! S'il te plait !

Quand il la pénètre bras tendus, elle est fondante. Ses chaussures de marche talonnent les fesses de Sébastien qui la besogne durement, comme elle aime. C'est une dévoreuse bien cachée. Elle remue son cul, griffe ses épaules, gémit de plus en plus fort. Si des randonneurs passaient sur le chemin, ils l'entendraient forcément crier "oui oui encore encore t'arrête pas". Mais il n'y a personne à portée de voix.
Quand il la retourne et la met à quatre pattes, elle devine ce qu'il veut. Elle sait que son arrière-train est son atout sexuel majeur. Elle écarte elle-même ses fesses, demande à être léchée et doigtée. La bouche collée à son anus, il l'humecte de sa salive et de la chair de poule envahit ses deux globes. Elle est prête.
- Je t'encule ! la prévient-il.

Elle creuse les reins, redresse la nuque et il s'enfonce lentement, avec délectation, fait claquer son ventre contre ses fesses qu'il vénère depuis le premier jour de leur rencontre. Elise a un beau cul, elle le sait et elle a appris avec le temps à en jouir. Elle offre à Sébastien un privilège que beaucoup d'hommes de son entourage professionnel envient. Il ramone ce cul offert, guettant l'orgasme anal dont il sait qu'il ne va pas tarder. Elle remue frénétiquement sa croupe. C'est le signal. Il gicle dans son rectum tandis qu'elle jouit, bruyamment, faisant envoler les oiseaux de l'arbre voisin. Leur coït bucolique est terminé. Elise s'échappe dans un recoin pour soulager ses intestins après avoir pris du papier dans son sac à dos. C'est le revers prosaïque de la médaille. Mais ce n'est ni la première ni la dernière fois que Sébastien la prendra par le cul pendant une randonnée. Et elle aime ça.

Ils se rhabillent après s'être embrassés.
- Bon, maintenant que tu as eu ce que tu voulais, on peut continuer. Mais tu me laisses tranquille au pique-nique, hein ?
Sébastien opine du chef. A dire vrai, il a les jambes un peu molles et la randonnée s'annonce longue. Mais il se sent léger, beaucoup plus léger. Et Elise affiche une petite moue satisfaite d'épouse heureuse d'être désirée (et comblée) par son mari, qui est la plus belle récompense de celui-ci.

Scène 6

Jérôme et Cynthia tiennent une pâtisserie-salon de thé dans une petite ville. Ils ont la trentaine, ils travaillent beaucoup, lui en cuisine, elle en salle. Le sourire de Cynthia, ses formes pulpeuses de pâtissière, ne sont pas pour rien dans le succès de ce commerce même si les gâteaux de Jérôme sont aussi appréciés. Mais depuis quelque temps, Cynthia sourit moins. Serait-elle surmenée, d'autant qu'elle est aussi mère d'une petite fille ? Sa voisine d'en face, qui tient un commerce de bijoux et qui est aussi son amie, s'en inquiète.
- Tu devrais te reposer un peu. Prendre des vacances avec Jérôme. Tu n'es plus gaie.
- On ne peut pas se le permettre, notre commerce est trop récent. Et puis, ce n'est pas ça. Je ne suis pas fatiguée.
- Ben alors, quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?
Cynthia hésite. Le salon de thé est provisoirement vide. Elle peut parler mais mezzo voce.
- Jérôme ne me désire plus. Je suis sans doute trop grosse.
- Quoi ? Vous ne faites plus l'amour ?
- Si peu. Il est toujours crevé.
- Il faut que tu le réveilles. Sinon, va voir ailleurs. Tu ne manques pas de soupirants, il suffit de voir tous les hommes qui te tournent autour et qui rêvent de te baiser.

La voisine est divorcée, aime le sexe et parle cru. Cynthia est un peu bousculée. Elle répond :
- Non, pas question de sombrer dans l'adultère. Et encore moins le divorce. J'aime mon mari.
- Alors, c'est à toi de jouer. Mets lui la main aux couilles. Fais le bander, tu en as les moyens avec tes gros nichons et ton cul bien potelé. Sans oublier ton joli minois. Baise-le.
Cynthia est légèrement déstabilisée. Ce discours, elle n'a pas l'habitude de l'entendre. Mais il l'a secouée et au fond, c'était peut-être ça qu'il lui fallait. Elle le médite pendant quelque temps, jusqu'à ce jour où, à la fermeture de midi, elle rejoint Jérôme dans sa cuisine, tandis qu'il pétrit de la pâte. Elle a ouvert son corsage jusqu'à son profond sillon mammaire et troqué son habituel jean pour une mini-jupe qui lui arrive à mi-cuisses, qu'elle trouve trop grosses. Elle se colle à son dos, du ventre à la poitrine, et glisse une main dans l'entre-jambes de Jérôme, qui se raidit :
- Qu'est-ce que tu fais ? Tu vois bien que je travaille.
- Laisse-toi faire.

La main de Cynthia est maintenant sur les couilles de son mari. Elle les presse, mais pas trop. Il tente de se dégager mais elle le bloque. La main se déplace légèrement. Eurêka. Il bande. Habilement, elle ouvre la braguette et se saisit du pénis long de son mari, qui grossit dans sa main. Il ne bouge plus, ne pétrit plus sa pâte. Il sent ses seins dans son dos, fermes et volumineux. Et maintenant, elle le branle, franchement. Le pénis a pris une allure verticale. Il faut passer au stade suivant.
Cynthia retourne son mari et s'accroupit en même temps. Elle l'embouche en tournant les yeux vers lui, pour observer sa réaction. Il ferme les yeux, tout à la succion de son épouse. Celle-ci se délecte de cette bite dont elle avait perdu le goût. Mais elle ne veut pas qu'il éjacule dans sa bouche. Elle veut baiser.

Elle se relève, se tortille pour ôter son slip, ouvre son corsage, libère ses obus, s'assied sur une des tables de travail, cuisses ouvertes sur sa chatte rose et dit :
- Viens. Baise-moi.
Jérôme est à la fois décontenancé et excité. Leurs rapports se déroulent toujours au lit, habituellement. Mais le corps nu, généreux, pulpeux et offert de Cynthia damnerait un saint. Il se débarrasse maladroitement de son pantalon et s'avance queue en avant entre les cuisses dodues de son épouse. Il ne la pénètre pas. Elle SE pénètre en l'emprisonnant de ses jambes et en l'enfonçant en elle, jusqu'à la garde. Une exclamation de plaisir sort de sa bouche encore prise par le goût du pénis. La conjugaison des coups de reins de Jérôme et de la pression des mollets de Cynthia fait déplacer la table. Ils copulent avec ardeur, elle l'adjure de durer, il plonge son museau entre ses roberts agités et s'en délecte comme de ses gâteaux. Tout près d'éjaculer, il se retire vivement en comprimant sa bite.
- Oh merci chéri. J'en veux encore... s'exclame-t-elle, constatant son érection intacte.

Puis elle se retourne, pose ses bras sur la table, offre son postérieur joufflu et ordonne :
- Lèche-le. J'ai envie.
Sa voisine lui a parfois avoué qu'elle aimait se faire sodomiser et Cynthia avait admis son inexpérience en la matière. Son exaltation sexuelle du moment la faisait se sentir prête à tout. Jérôme n'avait jamais osé lui proposer d'entrer dans ce cul qu'il vénère.
- Tu veux vraiment que je, euh, t'encule ?
- Oui oui fais-le, mets la langue d'abord.
Il s'accroupit, titille l'anus ambré d'une langue pointue, un peu hésitante, en pétrissant les deux globes. Il se relève et s'enfonce lentement, de sa queue fine. Cynthia est dans un tel état érotique que leurs chairs se rencontrent très vite dans un claquement éloquent. Elle couine, s'exclame, piaille tandis qu'il laboure son entrée secrète. Son éjaculation est massive car son réservoir était plein. Cynthia frissonne d'orgasme. Ils restent quelques secondes collés l'un à l'autre, elle aplatie sur la table, lui vissé à son cul. Le sperme fait "floc" en tombant sur le carrelage. Ils se détachent en flageolant. Et s'embrassent en amants puis en amoureux.
Cet après-midi, c'est une Cynthia redevenue souriante qui servira ses clients au salon de thé.

Scène 7

Sandrine, Samuel et leurs deux enfants adolescents passent une semaine de vacances dans une maison avec piscine louée pour l'occasion. Ils en profitent tous les jours car leur semaine est marquée par une forte chaleur. Sandrine ne quitte pas son maillot de bain une pièce qui contient ses lourdes mamelles et moule sa croupe plantureuse. Elle le roule jusqu'aux hanches de temps à autres, quand il ne fait pas trop chaud, pour bronzer son dos, son ventre et ses seins. Samuel ne quitte pas son bermuda, il ne veut pas montrer sa queue à ses deux ados. Mais de voir son épouse se promener toute la journée avec son maillot de bain si bien rempli commence à lui donner des idées.

Mais comment lui faire l'amour en chambre sans alerter la progéniture dans cette maison aux cloisons fines ? Sandrine est dans le même état d'esprit. Elle aussi a envie de faire l'amour. Elle a 45 ans, des cheveux très courts qu'elle laisse grisonner mais elle se sait au sommet de sa vie sexuelle et entend en profiter tant que son mari la désire. Et elle sait que c'est toujours le cas.
Alors, quand son mari lui glisse à l'oreille "et si on baisait cette nuit dans la piscine", son visage s'irradie d'un sourire coquin. Faire l'amour dans l'eau, elle y pensait depuis le premier jour. Mais par orgueil féminin, elle attendait que son mari le lui propose.
Ils se couchent comme d'habitude vers 23h après avoir regardé la télévision tandis que leurs ados surfaient sur leur smartphone dans leur chambre. Ils savent qu'ils ont le sommeil lourd. En attendant minuit, nus dans leur lit, ils se caressent, se disent les mots du sexe en murmurant. Elle lui parle de sa bite, il lui parle de sa chatte et de son cul qu'il va défoncer dans l'eau. Samuel bande comme un cheval sous la main de son épouse, elle-même trempée sous le doigt conjugal.
- Allez, on y va, dit-il à Sandrine.

Ils gagnent la piscine à pas de loup, se glissent dans l'onde en évitant les éclaboussures, et poursuivent leurs caresses en nageottant. Il la pousse contre l'échelle, là où l'eau est plus profonde, lui demande de grimper un échelon de manière que son sexe soit à portée de bouche, et entame un cunnilingus tandis qu'elle s'accroche. Sa vulve a un goût de chlore mais il s'en gave, une main de Sandrine sur sa nuque. Il l'entend soupirer, la regarde du bas, ses gros seins humides, sa langue entre ses dents. Puis elle se dégage et plonge, lui offrant le spectacle de sa croupe à fleur d'eau. Il la rejoint en deux brasses, la pousse contre le mur et lui dit :
- Tu la veux, maintenant ?
- Oh oui, oh oui, ne me fais pas languir...

Collée dos au mur, elle encercle les reins de Fabrice et s'empale en se mordant la main pour ne pas crier de joie érotique. Sandrine est une bonne et vraie baiseuse sous ses dehors de mère de famille quadragénaire assez ordinaire. Elle est toujours disponible pour le sexe et donne beaucoup de plaisir à son mari. Les pieds posés au fond de la piscine, il peut lui asséner de vigoureux coups de bite verticaux qui font trembler ses nichons, qu'il lèche en même temps. Toujours ce goût de chlore sur sa peau.
- Tu te sens baisée ? lui demande-t-il, un peu stupidement.
Elle hoche la tête en signe d'assentiment, toujours la main sur la bouche. Elle étouffe son premier orgasme qui la fait trembler et il se retire prestement pour ne pas jouir à son tour. Elle glisse sur le dos, fait quelques mouvements en savourant encore son extase, et il la rejoint, toujours gaillard.
- Oh, tu as encore envie, gros cochon, lui souffle-t-elle.

Elle gagne l'autre bout de la piscine, près des marches, où elle se met à quatre pattes. Sa croupe lui au clair de lune, joufflue, fendue. Il écarte les deux globes, met la langue sur son anus en doigtant sa vulve. Elle frétille de désir. Il se penche à son oreille et lui dit :
- Tu la veux comment, maintenant ?
- Et toi, tu veux me la mettre comment ? lui répond-elle, mutine.
Elle sait qu'il veut la sodomiser. Leurs rapports sexuels se terminent souvent ainsi. Elle sait qu'il adore son cul. Si elle s'est mise à quatre pattes au bord de la piscine, c'est pour le récompenser du plaisir qu'il lui a déjà donné. Un peu hypocritement, elle élude le fait qu'elle aussi aime se faire prendre par là. Surtout dans un contexte pareil, hyper excitant.
- Baise-moi d'abord la chatte, lui souffle-t-elle.

Il s'exécute, confiant qu'il aura ce qu'il voulait après. Les peaux claquent tandis qu'elle accompagne ses coups de queue en roulant des hanches, la nuque redressée, les yeux vers les étoiles. Son sperme se bouscule au bout de son gland. Il est temps de passer au stade suivant. Son entrée est douce, elle l'aide en creusant les reins, en remuant légèrement, la tête tournée vers lui en murmurant "vas y vas y" et enfin le mot cru qu'il attendait de sa voluptueuse épouse, si sensuelle : "encule-moi".

Il est trop excité pour la ramoner longuement. Mais suffisamment pour faire encore claquer leurs peaux, la pénétrer jusqu'à la garde, regarder sa nuque grise redressée et agitée, l'entendre dire "mmmmhhh mmmhhh" et il sait qu'elle aurait crié s'ils n'avaient pas été obligés de baiser en silence. Au bout du bout, il gicle dans son rectum, se colle à son dos, l'embrasse dans le cou en pétrissant ses seins lourds et mouvants tandis qu'elle l'essore en ondulant. Puis ils basculent dans l'onde, allongés, repus de sexe. Un peu de sperme flotte à la surface. Ils s'embrassent encore avant de sortir de la piscine, les jambes molles. Ils s'essuient mutuellement en se bécotant, heureux d'avoir joui ensemble, et gagnent le lit conjugal. Une oreille collée à la chambre des ados les rassure. Un petit ronflement atteste qu'ils n'ont pas été réveillés par leurs ébats aquatiques. Ils gagnent le lit conjugal, s'enlacent et s'endorment.

Scène 8

Pour ses cinquante ans, Christophe avait offert à Corinne un voyage d'une semaine en Guadeloupe. Le programme, selon le mot du mari, tenait en trois lettres, le B. : (se) baigner, bronzer et baiser. Pris tous les jours de la semaine par les astreintes du travail, ils se couchaient crevés, se levaient aux aurores et passaient une bonne partie du week-end à dormir, souvent au détriment du sexe. Mais tout allait changer durant cette semaine. Christophe avait conscience que Corinne, toujours belle femme avec ses longues jambes, son port altier, ses cheveux sur les épaules et ses yeux émeraude, ne devait pas être trop longtemps privée de rapports charnels. D'abord parce qu'elle aimait toujours autant ça avec les années et aussi parce que son entourage professionnel très masculin l'adorait. Platoniquement, assurait-elle. Mais Corinne en avait autant au service de Christophe, demeuré beau mec avec son corps mince et athlétique entretenu dans un club de boxe.

Dans l'avion, ils avaient commencé à se chauffer un peu :
- Dis donc, ça fait combien de temps qu'on n'a pas baisé, demanda Christophe, mezzo voce.
- Oh, pas si longtemps, pas le week-end dernier mais celui d'avant, répondit Corinne.
- Ah mais ça, ce n'était pas baiser. On a fait l'amour. Je parle de trucs bien cochons, chérie.
- Alors là, ça fait un bail. Tu as un programme en vue ?
- Cela dépend de toi. Si tu préfères aller bronzer, alors...
- Mais non, c'est de toi que ça dépend. Si tu bandes mou, je préfère aller me baigner.
- Tu plaisantes ? Je vais te défoncer dès l'entrée dans la chambre d'hôtel. Tu vas jubiler.
- Ah ah ah ! Je te reconnais bien là. Vantardise de mâle...
- Et si tu me taillais une pipe, là, maintenant. La cabine de l'avion est sombre, les gens dorment. Tu mets la couverture sur ta tête et c'est bon. Je bande comme un âne.
- Pas question. On risque des ennuis.
- Tu vois ? Tu ne baises plus. Tu t'es embourgeoisée. Regarde plutôt. C'est pour toi, si tu es vraiment la femme que je pense.

Et Christophe ouvrit sa braguette, dévoilant son chibre tendu, le gland totalement décalotté. Corinne réagit vivement en jetant la couverture sur le sceptre. Mais en même temps, elle attacha ses cheveux en chignon d'un geste gracieux et glissa sa tête sous la couverture. Elle avait soudain envie de sucer cette bite. Et ne pas passer pour une bourgeoise asexuée de cinquante balais.
Christophe fut vite aux anges. Masquant le plus possible le corps et la tête de sa femme avec la couverture, il s'abandonna à sa succion experte. Corinne avait toujours été une pipeuse de première. Sans la voir, il la sentait aller et venir sur sa queue, de la racine au gland. L'hôtesse passa dans le couloir, jeta un oeil sur leurs sièges, devina la scène mais ne dit rien. Christophe se dit qu'il n'était sans doute pas le seul à se faire sucer au même moment et l'hôtesse avait sûrement l'habitude de ces accouplements buccaux à dix mille mètres d'altitude. Peut-être exerçait-elle elle-même avec les pilotes, qui sait ?

Corinne enroula plusieurs fois sa langue autour du gland et Christophe craqua. Un flot de sperme envahit la bouche de Corinne qui crachota mais en avala l'essentiel. Elle sortit la tête de la couverture, un peu échevelée, du sperme encore au coin de la bouche.
- Alors, ça va, tu es content ? dit-elle à Christophe.
- Tu as été encore géniale, chérie. Mais tu ne perds rien pour attendre, ça va être ta fête dès l'arrivée.
- J'espère bien. Je suis en feu.
De fait, une fois les bagages récupérés, le taxi loué et l'hôtel investi, le couple gagna la chambre qui comportait un vaste lit. Corinne voulut prendre une douche après ce voyage de huit heures et Christophe la rejoignit sous le jet. Ce fut le début de leurs préliminaires amoureux. Ils avaient très envie l'un de l'autre et la queue de Christophe prit dans la main de Corinne un volume jugé par elle prometteur.
Ils gagnèrent le lit XXL sans se sécher, ouvrirent les draps, se jetèrent l'un sur l'autre, avides de s'accoupler encore tout mouillés.

Comme il avait éjaculé peu de temps auparavant, Christophe se montra d'une endurance qui combla l'appétit dévorant de Corinne. Comme il l'avait promis, il commença à la défoncer de toute la longueur de sa bite et il la fit jouir rapidement. Mais ils purent changer plusieurs fois de position, sortirent du lit pour aller sur le fauteuil et sur la table, retournèrent même dans la salle de bains où Christophe prit son épouse par derrière, face au miroir, pour qu'elle se regarde baiser car elle un petit côté exhib et voyeur. Il résista à l'envie de sodomiser son beau cul bien rond, ce sera pour une autre fois, il faut en garder sous la queue, le séjour ne fait que commencer. Et une fois mise en appétit, Corinne est insatiable.

Ils retournèrent au lit pour le bouquet final. Ils baisaient depuis plus d'une demi-heure, Corinne était complètement à l'ouest, bredouillait des mots incompréhensibles en s'écartant les chevilles et lui ramonait, ramonait inlassablement, sûr de sa virilité. De la bouche tordue de Corinne sortit un "oooh cette biiiite" et ce fut le déclencheur du sperme de Christophe, quelques gouttes seulement, qui lui arrachèrent les reins.
Il se détacha péniblement de son corps écartelé, palpitant, admira ses seins étalés et encore mouvants, l'embrassa et... s'endormit.
Il se réveilla une heure plus tard. Corinne était déjà en tenue de plage, sandales, mini short, débardeur, un bikini dessous.
- Allez, debout, paresseux ! Habille-toi, on va se baigner. Et bronzer. Il nous reste encore deux B., dit-elle en rigolant.
Mais le troisième B ne tarderait pas...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Micky,
ces saynètes sont toujours aussi excellentes et plaisantes à lire.
Elles démontrent une fois de plus qu'il n'y a pas d'âge, ni d'endroits dévolus, pour donner et prendre du plaisir.
Magnifique, comme à l'accoutumée.
Didier

Ces saynètes sont toujours aussi délicieuses et excitantes, ma chère Micky. Ce sont de beaux exemples de bonheur conjugal, amour allant de pair avec plaisir. J'y vois aussi une leçon commune: savoir saisir les occasions quand elles se présentent, ou savoir les créer.
je note aussi un autre point: l'usage bien mené de la sodomie!
Au final, quel dommage de ne plus pouvoir noter les textes publiés par HDS. ce serait 20, évidemment et pa seulement parce que je suis une inconditionnelle de Micky!



Texte coquin : Scènes (érotiques) de ménage (2)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Micky

Scènes (érotiques) de ménage (2) - Récit érotique publié le 25-11-2024
Scènes (érotiques) de ménage - Récit érotique publié le 03-11-2024
L'initiatrice et l'initié - Récit érotique publié le 31-10-2024
Le sexe anti stress - Récit érotique publié le 09-10-2024
Lucie et l'amant de sa mère - Récit érotique publié le 03-10-2024
Deux femmes qui baisent - Récit érotique publié le 27-09-2024
Danièle, de la réticence à la jouissance - Récit érotique publié le 06-09-2024
Joëlle retrouve la joie de vivre... et de jouir - Récit érotique publié le 26-08-2024
Une vengeance qui tourne mal... et bien - Récit érotique publié le 17-08-2024
Telle mère, telle fille - Récit érotique publié le 22-07-2024