Scènes (érotiques) de ménage
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Scènes (érotiques) de ménage
Scène 1
Sandrine consacre son samedi matin au ménage de sa maison, négligé pendant la semaine pour cause de travail. A l'exception du mari Fabrice, la maison est vide, les deux ados étant en vadrouille. Equipée d'un simple jogging, elle passe l'aspirateur, époussette les meubles, change les draps des lits. C'est du boulot et elle transpire. Fabrice se contente de nettoyer le jardin et de tondre la pelouse. Il entre dans la maison pour se changer et voit Sandrine s'affairer dans leur chambre. Elle est en train de poser un drap propre sur le lit conjugal, penchée en avant. Sa cambrure suggestive et son fessier copieux moulé à même la peau dans le mince pantalon de jogging allume une petite lumière dans la tête de Fabrice. Il entre et lui pelote les fesses. Elle se retourne vivement :
-Bas les pattes, je suis occupée.
Son visage rond sous sa chevelure grise coupée à la garçonne marque une expression claire. Tout pour le ménage, rien pour autre chose. Mais Fabrice a vu ses seins lourds et libres ballotter sous la veste de jogging largement ouverte. Fabrice a soudain envie de baiser sa femme. Il ne l'a jamais trouvée aussi belle qu'à la quarantaine bien sonnée. Elle est charnue à souhaits. Il lui remet la main aux fesses. Elle lui tape dessus mais il insiste et insinue un doigt entre ses cuisses, pile sur la fente qu'aucun slip ne couvre sous le jogging. Fatale erreur de Sandrine. Elle ne bouge plus, les mains posées sur le lit. Quand son mari la touche à cet endroit, c'est comme si un déclic se faisait dans sa cervelle. Et il le sait. Sa main est maintenant à l'intérieur du pantalon qui glisse jusqu'aux genoux. Fabrice branle Sandrine qui s'est affalée à plat ventre sur le lit, mains crispées sur le drap où sa bouche bave un peu. Fabrice la branle avec énergie et elle ne pense plus du tout à son ménage. Elle se retourne brusquement, s'extrait de son pantalon de jogging, se débarrasse de la veste et elle est nue.
- Bon, tu veux le faire alors fais-le, je continuerai mon ménage après. Allez, dépêche toi qu'on en finisse.
Fabrice sourit. C'est typiquement Sandrine, cette réflexion. Elle a autant envie de baiser que lui mais elle joue à celle qui lui fait une faveur. Cette comédie ne dure pas longtemps car dès qu'il l'a pénétrée en travers du lit, elle se déchaine, lui renvoie la balle, griffe ses fesses, le stimule de la voix, le visage rayonnant, ses seins larges et mouvants accompagnant ses coups de boutoir.
C'est elle qui le repousse pour le chevaucher, allonger sa bite en se mettant sur ses pieds, roulant des fesses et du ventre dans un tremblement de chairs. Fabrice se régale de ce corps en fusion, en mouvement permanent et il est clair qu'elle se régale aussi. Elle lui parle de sa bite car elle sait qu'il aime ça. Il la fait culbuter à nouveau sur le lit et lui dit :
- Je vais te défoncer
- Oui, défonce-moi, fais moi jouir.
Il lui relève les jambes à hauteur de ses épaules, la plie en deux et la pénètre profondément, les yeux dans les yeux, guettant son orgasme.
- Tu te sens baisée ? lui souffle-t-il dans la bouche.
Elle opine juste du chef. Il insiste.
- Est-ce que tu baises ? Dis-le !
- Oui oui je baise je baaaise, t'arrête pas, t'arrête pas !
- Tu la veux ma bite ? Tu la veux ?
- Oui, ouiiii, encore encooore !
- Tu l'aimes ma bite ? Tu l'aimes ? dit-il en accélérant son rythme, bras tendus, le cul en folie.
- Oh ah oui oui je l'aime oh ah je jouis je jouiiiiis !
- Je te défonce ! Je te défonce ! dit-il en regardant le corps pulpeux de Sandrine brassé dans tous les sens, ses pieds dressés en l'air, l'intimité fouillée au plus profond. L'éjaculation lui déchire les reins, elle l'enserre de ses jambes potelées comme pour l'emprisonner dans sa jouissance. Ils ont joui ensemble et c'était merveilleux. Elle en a oublié son ménage. Elle se précipite aux toilettes et lui à la douche. Quand il revient, elle a réintégré son jogging et redevient pratique.
- Bon, je peux continuer maintenant ? Je termine, je prendra ma douche après. Excuse-moi mais on mangera un peu plus tard, par ta faute.
Eternelle Sandrine...
Scène 2
Ludovic et Elise sont en route chez les parents de celui-ci, qui possèdent une résidence secondaire à la campagne. C'est là que les attendent un samedi les deux enfants de ce couple de jeunes quadragénaires, en vacances chez leurs grands-parents. Dès qu'ils ont quitté l'autoroute, la belle nature printanière s'offre à leurs yeux.
- On arrive dans combien de temps ? demande Elise à son mari.
- En une petite heure je pense.
Elise donne l'impression de réfléchir. Puis elle pose sa main sur la braguette de Ludovic.
- On n'a pas eu le temps de faire l'amour ce matin. Et si on s'arrêtait ?
- Tu plaisantes ! On va être en retard et ma mère va en faire toute une histoire. Elle est capable de téléphoner aux gendarmes pour savoir si on n'a pas eu d'accident.
Elise ne dit rien mais renforce sa pression sur la braguette de Ludovic.
- Arrête-toi quelque part, j'ai envie de baiser, lui dit-elle.
Et joignant le geste à la parole, elle retrousse sa robe longue et s'extirpe de son slip, découvrant son sexe et le caressant.
- Je suis toute humide. Je veux ta queue, lui souffle-t-elle, toujours en le masturbant à travers son pantalon.
Ludovic se tourne vers sa femme. Ses yeux émeraude sont troubles, sa langue est sur ses lèvres, son buste est relevé.
- Bon, ok, on va essayer de trouver un coin tranquille, ça vaut mieux qu'un accident, tu es une vraie chienne.
Il aborde une petite route partant de la Nationale puis s'engage sur un chemin et arrive en lisière d'un bois ouvrant sur des champs à perte de vue. Personne à l'horizon.
Elise jaillit de la voiture, sort la couverture qui sert à protéger le siège arrière et l'étend sur l'herbe. Puis elle prend sa robe par le bas et la fait passer par-dessus sa tête, dégrafe son soutien-gorge, se déchausse et s'allonge. Elle est nue, ses bonnes cuisses ouvertes.
- Alors, tu viens ? Dépêche-toi, dit-elle en lorgnant avec gourmandise le bas-ventre de son mari.
Celui-ci a beau connaitre son épouse, ses inspirations érotiques subites, son absence totale de tabous, elle le surprend encore. Son petit corps charnu, sans excès, il le connait sous toutes ses facettes. C'est son cul qui l'inspire le plus. Un cul large et bombé qu'elle trouve disproportionné avec le reste de son corps menu mais qu'il fend avec allégresse dans leurs rapports érotiques. Elle veut baiser ? En pleine nature ? D'accord, mais il va l'enculer. Sa queue est maintenant verticale, il est nu également et il l'enfile en missionnaire sous les arbres, le soleil sur les fesses. Elise rugit de plaisir, réussit à empoigner ses fesses pour le stimuler (il est sensible de là, elle le sait) et il cogne dur. Elle est tellement chaude, tellement mûre qu'elle connait un premier orgasme qui la fait se cabrer sous lui. Mais il bande toujours et elle lui suce amoureusement la queue en flattant ses couilles.
- Tu en veux encore, hein, gros cochon ? lui souffle-t-elle.
- Tourne toi.
Elle se met à quatre pattes, en attente. Elle sait où il veut en venir, elle connait son homme et ses pulsions. Elle sait surtout l'attrait de son cul. Elle a beau le trouver trop gros, elle a conscience de la fascination qu'il exerce sur les mâles, pas seulement sur son mari. Ce n'est pas pour rien qu'elle le moule dans des tenues ajustées au travail. Pas pour rien qu'elle le fait trembloter en marchant en sentant les regards dans son dos. Mais un seul homme a le droit d'y entrer : Ludovic, son mec.
Il écarte les deux globes somptueux et met la langue dans la longueur de la fente. Elise frissonne, la chair de poule envahit ses fesses. Son anus s'ouvre déjà sous l'index de Ludovic. Elle gémit :
- Fais-le, fais-le, dépêche toi.
Il entre lentement mais sûrement, pieds au sol et jambes fléchies, fendant la croupe de sa queue très raide. Et les peaux claquent sous les frondaisons. Elise est sodomisée.
- Tu la voulais dans ton cul, hein, ma bite ? Eh bien, tu l'as ! clame Ludovic en ramonant le rectum de son épouse.
Celle-ci brame, éructe, glapit, troue le silence campagnard de son plaisir anal. Elle vient chercher la queue à grands coups de hanches, parvient en même temps à glisser une main entre ses jambes pour atteindre les couilles en mouvement, le nez dans la couverture et s'exclame :
- Jouis dans mon cul !
Ludovic, au bout du bout, lâche prise. Un flot de sperme déferle dans le rectum d'Elise, qui jouit de conserve. Ludovic se relève, la queue poisseuse. Il est allé au fond du fond. Elise se rue vers la voiture pour attraper un mouchoir en papier, s'essuie et l'essuie, amoureusement. Ils sont assis côte à côte, regarde les champs les yeux dans le vague, toujours nus.
- On a bien baisé, lui souffle-t-elle.
- Ouais, et on va être en retard chez mes parents.
- On dira qu'on s'est trompé de route. Allez, on se rhabille, je prendrai une douche à la maison, conclut Elise.
Et le couple remonte en voiture. Finalement, ils auront fait l'amour, comme tous les samedis.
Scène 3
Magali est en train de préparer une tarte aux légumes dans sa cuisine quand son mari Albert rentre de ses petites courses consistant à acheter le pain et le journal. C'est un couple de jeunes retraités, toujours amoureux. Magali pétrit la pâte de ses doigts agiles. Ses cheveux grisonnants sont relevés en chignon et dégagent sa nuque. Albert vient y déposer un baiser et elle glousse de plaisir. Elle porte un simple débardeur sur la peau et un mini short qui dévoile ses jambes nerveuses de marcheuse et de cycliste. Une bouffée de désir envahit Albert. Sa manière qu'elle a de pétrir la pâte lui donne des idées. Il colle son bas-ventre contre les fesses de sa femme, qui ressent son érection naissante.
- Ne t'échauffe pas, tu vois bien que je suis occupée. Si tu veux manger à midi, va lire ton journal dans le salon.
- Je veux te baiser, là, maintenant.
- Allons chéri, calme toi, on a fait l'amour il n'y a pas si longtemps, non ?
- Oui mais maintenant, je veux te baiser, nuance.
En prononçant ses mots, Albert a posé les mains sur les petits seins de Magali qui pointent à travers la mince étoffe du débardeur. Il l'embrasse en même temps dans le cou, son pénis collé au mini short.
- Et qu'entends-tu de parler, "me baiser" ?
- Te prendre maintenant et ici, dans la cuisine. Pas au lit. Et te faire jouir.
- Tu ne te surestimes pas un peu, chéri ?
- C'est pas parce qu'on est en retraite qu'on ne baise pas. Au contraire même.
En même temps, il a déboutonné le short et glissé sa main dans le slip de Magali. Il constate avec satisfaction qu'elle ne se débat pas, qu'elle ne repousse pas, et qu'elle est humide sous ses doigts, tout en continuant à pétrir sa pâte. Elle prend soin de s'enduire régulièrement d'une pommade vaginale afin de faciliter leurs rapports qu'une sècheresse due à l'âge pourrait rendre moins jouissive. Son souffle devient court. Son short est maintenant aux chevilles et elle s'en libère d'un mouvement de pieds. Elle écarte les jambes, lève les bras pour qu'il puisse retirer son débardeur. Et elle est nue. Sa main part en arrière à la recherche du pénis de son homme et le libère avec adresse. Puis elle se retourne, l'embrasse, s'accroupit et le suce en tournant ses yeux vers lui.
- Alors, tu veux baiser ou pas ? lui dit-il, comme si elle n'avait pas répondu à son attente.
Sans répondre, elle se hisse assise sur son plan de travail, très ouverte. Il plonge son museau entre ses cuisses et la déguste longuement tandis qu'elle lui masse la nuque. C'est lui maintenant qui tourne son regard vers elle. Elle a les yeux clos, la langue entre les lèvres. Elle savoure le cunni avec de petits gémissements de plaisir malgré l'inconfort du plan de travail. Ou peut-être à cause de lui. La situation l'excite. Etre prise dans sa cuisine, voilà qui ne fait pas "vieux couple". Elle comprend l'intention d'Albert. Elle aussi a envie de baiser. Elle veut sa queue, là, tout de suite, et le lui dit.
Il la pénètre debout, les yeux dans les siens, encerclé par ses petites jambes. Dans cette position, l'introduction est profonde et véhémente. Elle se tient à ses bras pour lui renvoyer la balle, scande ses coups de boutoir par des "oui oui c'est bon c'est bon continue". Il lui demande si elle baise et elle répond "oui oui je baise je baise." Il lui demande si elle aime sa grosse bite et elle répond "oui oui je l'aime je l'aime elle est groooosse". Il se retient de justesse de gicler, subjugué par son enthousiasme sexuel. Après quarante ans de mariage, Magali baise toujours aussi bien.
Il se détache en comprimant sa queue. Des gouttes de sperme perlent sur son méat mais il n'a pas éjaculé et il bande toujours. Elle descend de son piédestal, les fesses un peu endolories, pose ses coudes sur la table de la cuisine et lui tend sa croupe menue. Il sait qu'elle aime être prise par derrière.
Il fléchit un peu les jambes et l'enfile dans cette position. Il la relève à coups de bite et elle couine bruyamment. Cette fois, elle a joui. Mission d'ores et déjà accomplie. Elle l'embrasse goulument, la main sur son pénis toujours bien raide. Et c'est elle qui prend maintenant l'initiative.
- Puisque tu veux qu'on baise, on va continuer à baiser comme deux vieux cochons. Couche-toi par terre.
Le carrelage de la cuisine est froid au dos et aux fesses d'Albert, mais sa queue reste verticale. Il regarde avec ravissement Magali venir s'empaler sur lui, pieds au sol. Elle fait coulisser son membre, en appui sur son torse et les peaux claquent.
- Ah tu voulais me baiser, hein ? Eh bien, c'est moi qui te baises maintenant ! clame-t-elle entre deux halètements.
Il la dévore des yeux, ses pointes de seins dures et dressées, son petit ventre rond tremblotant, son regard libidineux de femme qui baise. Ses mains abandonnent son ventre pour se poser en arrière et elle se retrouve en arc de cercle, le bas-ventre en avant pour accentuer le frottement de la bite. Son chignon s'est défait, elle est la proie d'un orgasme violent, bruyant, cru.
- Ah elle est bonne, ah j'aime ça, ah c'est bon, ah elle est dure dure dure, ah je jouis, je jouiiiiis.
Et lui aussi. L'éjaculation part verticalement dans le déduit brûlant de son épouse comblée. Elle se détache dans un bruit mouillé et elle rit.
- Ah dis donc, qu'est-ce qu'on a fait ! J'ai pris un pied d'enfer. Cette tarte aux légumes, c'est une tarte au sexe.
Il rit aussi et ils s'embrassent à nouveau, nus par terre. Son pénis s'est ramolli d'un coup. Il se relève en titubant alors qu'elle est déjà aux toilettes. Il ramasse leurs vêtements et la rejoint à la salle de bains. Finalement, il n'y aura pas de tarte aux légumes à midi, c'est un peu tard. Ils se contenteront d'un plat de pâtes.
Scène 4
Ce matin là, Caroline a trainé au lit. Quand elle s'est levée, Patrick, son mari, était déjà sous la douche après avoir déjeuné. Elle avait vu sa silhouette derrière la porte vitrée, de profil. Et en particulier son pénis, long et courbe, qu'elle connait si bien depuis le temps qu'ils sont mariés, une vingtaine d'années. Il s'agitait légèrement sous l'effet du frottement du gant sur le torse de Patrick. Une bouffée de désir assaille Caroline. Elle n'attendrait pas de prendre son petit déjeuner pour aller à la douche. Elle va y aller illico. Avec Patrick. Elle se débarrasse de sa chemise de nuit, noue sa chevelure prématurément grise en chignon et ouvre la porte de la douche. Patrick est surpris.
- Ah tu es levée, tu veux prendre ta douche maintenant ? Avec moi ?
Il n'a pas l'occasion de dire un mot de plus. Caroline se colle à son homme et saisit son pénis en l'embrassant. Patrick comprend. Elle veut baiser, là, tout de suite, sous la douche. Ainsi est sa femme, sensuelle, amoureuse, inventive et même franchement cochonne parfois. De plus en plus avec l'âge, comme si elle se libérait de ses tabous de jeunesse.
Elle s'accroupit et le prend en bouche sous la cascade d'eau tiède. Il durcit instantanément car Caroline est une suceuse hors pair. Il la relève, elle se cale le dos au carrelage et c'est lui qui s'accroupit pour la déguster à son tour. Sa chatte a le goût du savon. Il l'entend gémir sous ses coups de langue et il la retourne pour lui lécher l'anus. Elle gémit encore plus fort. Il faut maintenant qu'il la baise. Sans la changer de position, il la prend par derrière et elle l'aide en relevant une jambe sur le bord de la douche. Les clapots des deux sexes joints s'ajoutent au bruit dégoulinant de l'eau de la douche. Caroline ne gémit plus. Elle brame. Elle l'encourage : "baise-moi, baise-moi fort !"
Il se sent costaud ce matin. Il la relève à nouveau et l'empale sur lui tandis qu'elle s'accroche à son cou. Facile pour lui et ses 80 kg alors qu'elle atteint à peine les 60 kg. Enthousiasmée par cette posture, elle tressaute, profondément empalée. Puis elle se détache, s'appuie sur un rebord de la douche et il la prend semi allongée dans une position un peu acrobatique mais follement jouissive parce qu'anti conventionnelle. Il retient son sperme de justesse pendant qu'elle jouit.
Elle lui prend la main, sort de la douche trempée et se pose devant le miroir surmontant le double lavabo. Il comprend. Elle veut se regarder baiser, lui derrière. Les mains sur ses hanches étroites, jambes légèrement fléchies, il s'enfonce avec facilité tant elle est mûre. Sa chevelure grisonnante, désormais défaite, s'agite en tous sens, comme le reste de son petit corps. Ils se regardent via le miroir, guettant leur extase réciproque.
- Que tu es belle quand tu baises ! lui lance-t-il en la lardant de coups de bite.
Son visage est comme une symphonie de plaisir sexuel au féminin, grimaçant, illuminé, douloureux, rayonnant, impatient et finalement extasié quand l'orgasme puissant l'envahit. Il se colle à son dos en giclant, sa tête contre la sienne, tous deux bouches ouvertes, râlant et grognant.
Ils demeurent quelques instants collés l'un à l'autre. La douche coule toujours. C'est sous le jet qu'ils retournent ensuite, riant de leurs ébats, pour se laver de leur union matinale. La journée commence bien.
A SUIVRE
Sandrine consacre son samedi matin au ménage de sa maison, négligé pendant la semaine pour cause de travail. A l'exception du mari Fabrice, la maison est vide, les deux ados étant en vadrouille. Equipée d'un simple jogging, elle passe l'aspirateur, époussette les meubles, change les draps des lits. C'est du boulot et elle transpire. Fabrice se contente de nettoyer le jardin et de tondre la pelouse. Il entre dans la maison pour se changer et voit Sandrine s'affairer dans leur chambre. Elle est en train de poser un drap propre sur le lit conjugal, penchée en avant. Sa cambrure suggestive et son fessier copieux moulé à même la peau dans le mince pantalon de jogging allume une petite lumière dans la tête de Fabrice. Il entre et lui pelote les fesses. Elle se retourne vivement :
-Bas les pattes, je suis occupée.
Son visage rond sous sa chevelure grise coupée à la garçonne marque une expression claire. Tout pour le ménage, rien pour autre chose. Mais Fabrice a vu ses seins lourds et libres ballotter sous la veste de jogging largement ouverte. Fabrice a soudain envie de baiser sa femme. Il ne l'a jamais trouvée aussi belle qu'à la quarantaine bien sonnée. Elle est charnue à souhaits. Il lui remet la main aux fesses. Elle lui tape dessus mais il insiste et insinue un doigt entre ses cuisses, pile sur la fente qu'aucun slip ne couvre sous le jogging. Fatale erreur de Sandrine. Elle ne bouge plus, les mains posées sur le lit. Quand son mari la touche à cet endroit, c'est comme si un déclic se faisait dans sa cervelle. Et il le sait. Sa main est maintenant à l'intérieur du pantalon qui glisse jusqu'aux genoux. Fabrice branle Sandrine qui s'est affalée à plat ventre sur le lit, mains crispées sur le drap où sa bouche bave un peu. Fabrice la branle avec énergie et elle ne pense plus du tout à son ménage. Elle se retourne brusquement, s'extrait de son pantalon de jogging, se débarrasse de la veste et elle est nue.
- Bon, tu veux le faire alors fais-le, je continuerai mon ménage après. Allez, dépêche toi qu'on en finisse.
Fabrice sourit. C'est typiquement Sandrine, cette réflexion. Elle a autant envie de baiser que lui mais elle joue à celle qui lui fait une faveur. Cette comédie ne dure pas longtemps car dès qu'il l'a pénétrée en travers du lit, elle se déchaine, lui renvoie la balle, griffe ses fesses, le stimule de la voix, le visage rayonnant, ses seins larges et mouvants accompagnant ses coups de boutoir.
C'est elle qui le repousse pour le chevaucher, allonger sa bite en se mettant sur ses pieds, roulant des fesses et du ventre dans un tremblement de chairs. Fabrice se régale de ce corps en fusion, en mouvement permanent et il est clair qu'elle se régale aussi. Elle lui parle de sa bite car elle sait qu'il aime ça. Il la fait culbuter à nouveau sur le lit et lui dit :
- Je vais te défoncer
- Oui, défonce-moi, fais moi jouir.
Il lui relève les jambes à hauteur de ses épaules, la plie en deux et la pénètre profondément, les yeux dans les yeux, guettant son orgasme.
- Tu te sens baisée ? lui souffle-t-il dans la bouche.
Elle opine juste du chef. Il insiste.
- Est-ce que tu baises ? Dis-le !
- Oui oui je baise je baaaise, t'arrête pas, t'arrête pas !
- Tu la veux ma bite ? Tu la veux ?
- Oui, ouiiii, encore encooore !
- Tu l'aimes ma bite ? Tu l'aimes ? dit-il en accélérant son rythme, bras tendus, le cul en folie.
- Oh ah oui oui je l'aime oh ah je jouis je jouiiiiis !
- Je te défonce ! Je te défonce ! dit-il en regardant le corps pulpeux de Sandrine brassé dans tous les sens, ses pieds dressés en l'air, l'intimité fouillée au plus profond. L'éjaculation lui déchire les reins, elle l'enserre de ses jambes potelées comme pour l'emprisonner dans sa jouissance. Ils ont joui ensemble et c'était merveilleux. Elle en a oublié son ménage. Elle se précipite aux toilettes et lui à la douche. Quand il revient, elle a réintégré son jogging et redevient pratique.
- Bon, je peux continuer maintenant ? Je termine, je prendra ma douche après. Excuse-moi mais on mangera un peu plus tard, par ta faute.
Eternelle Sandrine...
Scène 2
Ludovic et Elise sont en route chez les parents de celui-ci, qui possèdent une résidence secondaire à la campagne. C'est là que les attendent un samedi les deux enfants de ce couple de jeunes quadragénaires, en vacances chez leurs grands-parents. Dès qu'ils ont quitté l'autoroute, la belle nature printanière s'offre à leurs yeux.
- On arrive dans combien de temps ? demande Elise à son mari.
- En une petite heure je pense.
Elise donne l'impression de réfléchir. Puis elle pose sa main sur la braguette de Ludovic.
- On n'a pas eu le temps de faire l'amour ce matin. Et si on s'arrêtait ?
- Tu plaisantes ! On va être en retard et ma mère va en faire toute une histoire. Elle est capable de téléphoner aux gendarmes pour savoir si on n'a pas eu d'accident.
Elise ne dit rien mais renforce sa pression sur la braguette de Ludovic.
- Arrête-toi quelque part, j'ai envie de baiser, lui dit-elle.
Et joignant le geste à la parole, elle retrousse sa robe longue et s'extirpe de son slip, découvrant son sexe et le caressant.
- Je suis toute humide. Je veux ta queue, lui souffle-t-elle, toujours en le masturbant à travers son pantalon.
Ludovic se tourne vers sa femme. Ses yeux émeraude sont troubles, sa langue est sur ses lèvres, son buste est relevé.
- Bon, ok, on va essayer de trouver un coin tranquille, ça vaut mieux qu'un accident, tu es une vraie chienne.
Il aborde une petite route partant de la Nationale puis s'engage sur un chemin et arrive en lisière d'un bois ouvrant sur des champs à perte de vue. Personne à l'horizon.
Elise jaillit de la voiture, sort la couverture qui sert à protéger le siège arrière et l'étend sur l'herbe. Puis elle prend sa robe par le bas et la fait passer par-dessus sa tête, dégrafe son soutien-gorge, se déchausse et s'allonge. Elle est nue, ses bonnes cuisses ouvertes.
- Alors, tu viens ? Dépêche-toi, dit-elle en lorgnant avec gourmandise le bas-ventre de son mari.
Celui-ci a beau connaitre son épouse, ses inspirations érotiques subites, son absence totale de tabous, elle le surprend encore. Son petit corps charnu, sans excès, il le connait sous toutes ses facettes. C'est son cul qui l'inspire le plus. Un cul large et bombé qu'elle trouve disproportionné avec le reste de son corps menu mais qu'il fend avec allégresse dans leurs rapports érotiques. Elle veut baiser ? En pleine nature ? D'accord, mais il va l'enculer. Sa queue est maintenant verticale, il est nu également et il l'enfile en missionnaire sous les arbres, le soleil sur les fesses. Elise rugit de plaisir, réussit à empoigner ses fesses pour le stimuler (il est sensible de là, elle le sait) et il cogne dur. Elle est tellement chaude, tellement mûre qu'elle connait un premier orgasme qui la fait se cabrer sous lui. Mais il bande toujours et elle lui suce amoureusement la queue en flattant ses couilles.
- Tu en veux encore, hein, gros cochon ? lui souffle-t-elle.
- Tourne toi.
Elle se met à quatre pattes, en attente. Elle sait où il veut en venir, elle connait son homme et ses pulsions. Elle sait surtout l'attrait de son cul. Elle a beau le trouver trop gros, elle a conscience de la fascination qu'il exerce sur les mâles, pas seulement sur son mari. Ce n'est pas pour rien qu'elle le moule dans des tenues ajustées au travail. Pas pour rien qu'elle le fait trembloter en marchant en sentant les regards dans son dos. Mais un seul homme a le droit d'y entrer : Ludovic, son mec.
Il écarte les deux globes somptueux et met la langue dans la longueur de la fente. Elise frissonne, la chair de poule envahit ses fesses. Son anus s'ouvre déjà sous l'index de Ludovic. Elle gémit :
- Fais-le, fais-le, dépêche toi.
Il entre lentement mais sûrement, pieds au sol et jambes fléchies, fendant la croupe de sa queue très raide. Et les peaux claquent sous les frondaisons. Elise est sodomisée.
- Tu la voulais dans ton cul, hein, ma bite ? Eh bien, tu l'as ! clame Ludovic en ramonant le rectum de son épouse.
Celle-ci brame, éructe, glapit, troue le silence campagnard de son plaisir anal. Elle vient chercher la queue à grands coups de hanches, parvient en même temps à glisser une main entre ses jambes pour atteindre les couilles en mouvement, le nez dans la couverture et s'exclame :
- Jouis dans mon cul !
Ludovic, au bout du bout, lâche prise. Un flot de sperme déferle dans le rectum d'Elise, qui jouit de conserve. Ludovic se relève, la queue poisseuse. Il est allé au fond du fond. Elise se rue vers la voiture pour attraper un mouchoir en papier, s'essuie et l'essuie, amoureusement. Ils sont assis côte à côte, regarde les champs les yeux dans le vague, toujours nus.
- On a bien baisé, lui souffle-t-elle.
- Ouais, et on va être en retard chez mes parents.
- On dira qu'on s'est trompé de route. Allez, on se rhabille, je prendrai une douche à la maison, conclut Elise.
Et le couple remonte en voiture. Finalement, ils auront fait l'amour, comme tous les samedis.
Scène 3
Magali est en train de préparer une tarte aux légumes dans sa cuisine quand son mari Albert rentre de ses petites courses consistant à acheter le pain et le journal. C'est un couple de jeunes retraités, toujours amoureux. Magali pétrit la pâte de ses doigts agiles. Ses cheveux grisonnants sont relevés en chignon et dégagent sa nuque. Albert vient y déposer un baiser et elle glousse de plaisir. Elle porte un simple débardeur sur la peau et un mini short qui dévoile ses jambes nerveuses de marcheuse et de cycliste. Une bouffée de désir envahit Albert. Sa manière qu'elle a de pétrir la pâte lui donne des idées. Il colle son bas-ventre contre les fesses de sa femme, qui ressent son érection naissante.
- Ne t'échauffe pas, tu vois bien que je suis occupée. Si tu veux manger à midi, va lire ton journal dans le salon.
- Je veux te baiser, là, maintenant.
- Allons chéri, calme toi, on a fait l'amour il n'y a pas si longtemps, non ?
- Oui mais maintenant, je veux te baiser, nuance.
En prononçant ses mots, Albert a posé les mains sur les petits seins de Magali qui pointent à travers la mince étoffe du débardeur. Il l'embrasse en même temps dans le cou, son pénis collé au mini short.
- Et qu'entends-tu de parler, "me baiser" ?
- Te prendre maintenant et ici, dans la cuisine. Pas au lit. Et te faire jouir.
- Tu ne te surestimes pas un peu, chéri ?
- C'est pas parce qu'on est en retraite qu'on ne baise pas. Au contraire même.
En même temps, il a déboutonné le short et glissé sa main dans le slip de Magali. Il constate avec satisfaction qu'elle ne se débat pas, qu'elle ne repousse pas, et qu'elle est humide sous ses doigts, tout en continuant à pétrir sa pâte. Elle prend soin de s'enduire régulièrement d'une pommade vaginale afin de faciliter leurs rapports qu'une sècheresse due à l'âge pourrait rendre moins jouissive. Son souffle devient court. Son short est maintenant aux chevilles et elle s'en libère d'un mouvement de pieds. Elle écarte les jambes, lève les bras pour qu'il puisse retirer son débardeur. Et elle est nue. Sa main part en arrière à la recherche du pénis de son homme et le libère avec adresse. Puis elle se retourne, l'embrasse, s'accroupit et le suce en tournant ses yeux vers lui.
- Alors, tu veux baiser ou pas ? lui dit-il, comme si elle n'avait pas répondu à son attente.
Sans répondre, elle se hisse assise sur son plan de travail, très ouverte. Il plonge son museau entre ses cuisses et la déguste longuement tandis qu'elle lui masse la nuque. C'est lui maintenant qui tourne son regard vers elle. Elle a les yeux clos, la langue entre les lèvres. Elle savoure le cunni avec de petits gémissements de plaisir malgré l'inconfort du plan de travail. Ou peut-être à cause de lui. La situation l'excite. Etre prise dans sa cuisine, voilà qui ne fait pas "vieux couple". Elle comprend l'intention d'Albert. Elle aussi a envie de baiser. Elle veut sa queue, là, tout de suite, et le lui dit.
Il la pénètre debout, les yeux dans les siens, encerclé par ses petites jambes. Dans cette position, l'introduction est profonde et véhémente. Elle se tient à ses bras pour lui renvoyer la balle, scande ses coups de boutoir par des "oui oui c'est bon c'est bon continue". Il lui demande si elle baise et elle répond "oui oui je baise je baise." Il lui demande si elle aime sa grosse bite et elle répond "oui oui je l'aime je l'aime elle est groooosse". Il se retient de justesse de gicler, subjugué par son enthousiasme sexuel. Après quarante ans de mariage, Magali baise toujours aussi bien.
Il se détache en comprimant sa queue. Des gouttes de sperme perlent sur son méat mais il n'a pas éjaculé et il bande toujours. Elle descend de son piédestal, les fesses un peu endolories, pose ses coudes sur la table de la cuisine et lui tend sa croupe menue. Il sait qu'elle aime être prise par derrière.
Il fléchit un peu les jambes et l'enfile dans cette position. Il la relève à coups de bite et elle couine bruyamment. Cette fois, elle a joui. Mission d'ores et déjà accomplie. Elle l'embrasse goulument, la main sur son pénis toujours bien raide. Et c'est elle qui prend maintenant l'initiative.
- Puisque tu veux qu'on baise, on va continuer à baiser comme deux vieux cochons. Couche-toi par terre.
Le carrelage de la cuisine est froid au dos et aux fesses d'Albert, mais sa queue reste verticale. Il regarde avec ravissement Magali venir s'empaler sur lui, pieds au sol. Elle fait coulisser son membre, en appui sur son torse et les peaux claquent.
- Ah tu voulais me baiser, hein ? Eh bien, c'est moi qui te baises maintenant ! clame-t-elle entre deux halètements.
Il la dévore des yeux, ses pointes de seins dures et dressées, son petit ventre rond tremblotant, son regard libidineux de femme qui baise. Ses mains abandonnent son ventre pour se poser en arrière et elle se retrouve en arc de cercle, le bas-ventre en avant pour accentuer le frottement de la bite. Son chignon s'est défait, elle est la proie d'un orgasme violent, bruyant, cru.
- Ah elle est bonne, ah j'aime ça, ah c'est bon, ah elle est dure dure dure, ah je jouis, je jouiiiiis.
Et lui aussi. L'éjaculation part verticalement dans le déduit brûlant de son épouse comblée. Elle se détache dans un bruit mouillé et elle rit.
- Ah dis donc, qu'est-ce qu'on a fait ! J'ai pris un pied d'enfer. Cette tarte aux légumes, c'est une tarte au sexe.
Il rit aussi et ils s'embrassent à nouveau, nus par terre. Son pénis s'est ramolli d'un coup. Il se relève en titubant alors qu'elle est déjà aux toilettes. Il ramasse leurs vêtements et la rejoint à la salle de bains. Finalement, il n'y aura pas de tarte aux légumes à midi, c'est un peu tard. Ils se contenteront d'un plat de pâtes.
Scène 4
Ce matin là, Caroline a trainé au lit. Quand elle s'est levée, Patrick, son mari, était déjà sous la douche après avoir déjeuné. Elle avait vu sa silhouette derrière la porte vitrée, de profil. Et en particulier son pénis, long et courbe, qu'elle connait si bien depuis le temps qu'ils sont mariés, une vingtaine d'années. Il s'agitait légèrement sous l'effet du frottement du gant sur le torse de Patrick. Une bouffée de désir assaille Caroline. Elle n'attendrait pas de prendre son petit déjeuner pour aller à la douche. Elle va y aller illico. Avec Patrick. Elle se débarrasse de sa chemise de nuit, noue sa chevelure prématurément grise en chignon et ouvre la porte de la douche. Patrick est surpris.
- Ah tu es levée, tu veux prendre ta douche maintenant ? Avec moi ?
Il n'a pas l'occasion de dire un mot de plus. Caroline se colle à son homme et saisit son pénis en l'embrassant. Patrick comprend. Elle veut baiser, là, tout de suite, sous la douche. Ainsi est sa femme, sensuelle, amoureuse, inventive et même franchement cochonne parfois. De plus en plus avec l'âge, comme si elle se libérait de ses tabous de jeunesse.
Elle s'accroupit et le prend en bouche sous la cascade d'eau tiède. Il durcit instantanément car Caroline est une suceuse hors pair. Il la relève, elle se cale le dos au carrelage et c'est lui qui s'accroupit pour la déguster à son tour. Sa chatte a le goût du savon. Il l'entend gémir sous ses coups de langue et il la retourne pour lui lécher l'anus. Elle gémit encore plus fort. Il faut maintenant qu'il la baise. Sans la changer de position, il la prend par derrière et elle l'aide en relevant une jambe sur le bord de la douche. Les clapots des deux sexes joints s'ajoutent au bruit dégoulinant de l'eau de la douche. Caroline ne gémit plus. Elle brame. Elle l'encourage : "baise-moi, baise-moi fort !"
Il se sent costaud ce matin. Il la relève à nouveau et l'empale sur lui tandis qu'elle s'accroche à son cou. Facile pour lui et ses 80 kg alors qu'elle atteint à peine les 60 kg. Enthousiasmée par cette posture, elle tressaute, profondément empalée. Puis elle se détache, s'appuie sur un rebord de la douche et il la prend semi allongée dans une position un peu acrobatique mais follement jouissive parce qu'anti conventionnelle. Il retient son sperme de justesse pendant qu'elle jouit.
Elle lui prend la main, sort de la douche trempée et se pose devant le miroir surmontant le double lavabo. Il comprend. Elle veut se regarder baiser, lui derrière. Les mains sur ses hanches étroites, jambes légèrement fléchies, il s'enfonce avec facilité tant elle est mûre. Sa chevelure grisonnante, désormais défaite, s'agite en tous sens, comme le reste de son petit corps. Ils se regardent via le miroir, guettant leur extase réciproque.
- Que tu es belle quand tu baises ! lui lance-t-il en la lardant de coups de bite.
Son visage est comme une symphonie de plaisir sexuel au féminin, grimaçant, illuminé, douloureux, rayonnant, impatient et finalement extasié quand l'orgasme puissant l'envahit. Il se colle à son dos en giclant, sa tête contre la sienne, tous deux bouches ouvertes, râlant et grognant.
Ils demeurent quelques instants collés l'un à l'autre. La douche coule toujours. C'est sous le jet qu'ils retournent ensuite, riant de leurs ébats, pour se laver de leur union matinale. La journée commence bien.
A SUIVRE
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours des récits croustillants de la part de Micky. Bravo pour ses scènes de la vie quotidienne.
On a envie de toutes les vivre un jour.
On a envie de toutes les vivre un jour.
Magnifique ces petites histoires très excitantes et réalistes...
Cyrille
Cyrille
Voici 4 histoires excitantes du bonheur et du plaisir que vivent ces couples
Excellentes toutes ces petites saynètes plus torrides les unes que les autres...
Didier
Didier