SCENES DE LA VIE QUOTIDIENNE - MÈRE INQUIÈTE
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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SCENES DE LA VIE QUOTIDIENNE - MÈRE INQUIÈTE
MÈRE INQUIÈTE
Sigrid a laissé, ce soir-là, la disposition de sa maison à son fils Romuald qui fête
l'anniversaire de ses vingt printemps. Elle est sortie avec un couple d'amis: cinéma
d'abord, restaurant ensuite. Ils ont longuement parlé éducation des enfants, vie
sentimentale, petits bobos et grandes peines... Vers une heure du matin, ils se sont
attablés au pub irlandais pour déguster qui une bière, qui un whiskey. La discussion a
pris un tour politique et les a amenés jusqu'à trois heures.
Un quart d'heure plus tard, Sigrid regagne son domicile. Elle est surprise du calme
qui y règne: point de flonflons ni de troupeaux de jeunes dans tous les coins. Il ne
reste que le désordre attendu dans le living et sur la terrasse. Elle se dirige vers
les chambres et est étonnée de les trouver vides. Seule la sienne, porte entrouverte,
laisse filtrer de la lumière sans autre bruit qu'un léger murmure. Elle s'approche
silencieusement de celle-ci.
Dans le reflet d'une large glace, elle voit tout d'abord son fils nu. S'approchant
encore, elle aperçoit, assise au pied du lit, Faustine, la jadis replète petite-fille
de la voisine vite montée en graine. C'est devenu une grande jeune fille de dix-huit
ans aux traits réguliers et au corps massif et longiligne à souhait. Lorsque son tee-
shirt disparaît au-dessus de sa tête, Sigrid contemple ses seins puissants et fermes.
Elle n'en a jamais vus de pareils! Rapidement la minijupe bleue glisse vers le sol,
une frêle culotte blanche la suit, et le tout disparaît à sa vue. Romuald est
maintenant assis en tailleur derrière Faustine et lui caresse tendrement les seins.
Sigrid voudrait intervenir mais elle est bien trop troublée par ce qu'elle voit. Elle
s'affaisse sur une chaise providentiellement posée là dans le désordre de la fête. Sa
main droite fébrile masse compulsivement son ventre.
Romuald s'est un peu reculé. Faustine s'offre maintenant au regard à demi étendue sur
le lit. Les mains du jeune homme descendent lentement le long de son corps pour
atteindre son sexe. Elle ouvre largement ses cuisses rondes dévoilant un large sillon
aux dimensions peu communes et à la pilosité rare. Les mains ont maintenant atteint
l'intérieur des cuisses. La caresse provoque un durcissement des seins déjà fièrement
campés. Leurs tétons s'arrondissent à vue d'œil.
Profondément émue, Sigrid fait glisser sa jupe le long de ses jambes. Elle délace son
string pour se sentir plus à l'aise. Ses mains caressent maintenant l'intérieur de ses
cuisses. Elle s'interrompt un instant pour libérer sa poitrine de l'étroit tee-shirt
qu'elle retrousse en brassière. Ses deux seins minuscules et bien dessinés font
maintenant l'objet des attentions de sa main droite alors que la gauche vient
d'atteindre son sexe.
Ses yeux sont fixés sur la glace. Maintenant Romuald écarte fermement les grandes
lèvres de Faustine comme pour dévoiler ce qu'elles cachent. Il saisit délicatement le
long clitoris de la fillette et commence à le faire rouler entre ses doigts. Le dos
cambré de celle-ci est atteint de soubresauts, sa bouche s'entrouvre et ses lèvres
humides retiennent difficilement un voluptueux murmure.
Sigrid, que l'audace de Gérald sidère, est au comble de l'émotion devant cette mise en
scène. Ses caresses se font de plus en plus précises et pénétrantes. Elle est
quasiment allongée, les fesses au bord de la chaise, le dos raidi, écartelée par son
plaisir, lorsque les deux enfants glissent du lit au pied de l'armoire. Au moment
crucial, malgré la vision directe des deux corps enlacés dans la position du
missionnaire et de leur reflet, elle ferme les yeux toute à sa jouissance.
Quelques instants plus tard, Romuald la retrouve dans la cuisine, à demi nue la
toilette en désordre, attablée devant un café. Il remarque qu'elle est profondément
troublée et est ravi du cadeau qu'il vient de lui faire. Ils n'en reparleront jamais.
Faustine, pour sa part a quitté la maison sans bruit en direction de celle de sa
grand-mère. Elle laisse, sur une serviette de bains au pied de l'armoire, la trace
sanglante de sa virginité perdue. Elle non plus n'oubliera pas cette chaude soirée
d'été!
Sigrid a laissé, ce soir-là, la disposition de sa maison à son fils Romuald qui fête
l'anniversaire de ses vingt printemps. Elle est sortie avec un couple d'amis: cinéma
d'abord, restaurant ensuite. Ils ont longuement parlé éducation des enfants, vie
sentimentale, petits bobos et grandes peines... Vers une heure du matin, ils se sont
attablés au pub irlandais pour déguster qui une bière, qui un whiskey. La discussion a
pris un tour politique et les a amenés jusqu'à trois heures.
Un quart d'heure plus tard, Sigrid regagne son domicile. Elle est surprise du calme
qui y règne: point de flonflons ni de troupeaux de jeunes dans tous les coins. Il ne
reste que le désordre attendu dans le living et sur la terrasse. Elle se dirige vers
les chambres et est étonnée de les trouver vides. Seule la sienne, porte entrouverte,
laisse filtrer de la lumière sans autre bruit qu'un léger murmure. Elle s'approche
silencieusement de celle-ci.
Dans le reflet d'une large glace, elle voit tout d'abord son fils nu. S'approchant
encore, elle aperçoit, assise au pied du lit, Faustine, la jadis replète petite-fille
de la voisine vite montée en graine. C'est devenu une grande jeune fille de dix-huit
ans aux traits réguliers et au corps massif et longiligne à souhait. Lorsque son tee-
shirt disparaît au-dessus de sa tête, Sigrid contemple ses seins puissants et fermes.
Elle n'en a jamais vus de pareils! Rapidement la minijupe bleue glisse vers le sol,
une frêle culotte blanche la suit, et le tout disparaît à sa vue. Romuald est
maintenant assis en tailleur derrière Faustine et lui caresse tendrement les seins.
Sigrid voudrait intervenir mais elle est bien trop troublée par ce qu'elle voit. Elle
s'affaisse sur une chaise providentiellement posée là dans le désordre de la fête. Sa
main droite fébrile masse compulsivement son ventre.
Romuald s'est un peu reculé. Faustine s'offre maintenant au regard à demi étendue sur
le lit. Les mains du jeune homme descendent lentement le long de son corps pour
atteindre son sexe. Elle ouvre largement ses cuisses rondes dévoilant un large sillon
aux dimensions peu communes et à la pilosité rare. Les mains ont maintenant atteint
l'intérieur des cuisses. La caresse provoque un durcissement des seins déjà fièrement
campés. Leurs tétons s'arrondissent à vue d'œil.
Profondément émue, Sigrid fait glisser sa jupe le long de ses jambes. Elle délace son
string pour se sentir plus à l'aise. Ses mains caressent maintenant l'intérieur de ses
cuisses. Elle s'interrompt un instant pour libérer sa poitrine de l'étroit tee-shirt
qu'elle retrousse en brassière. Ses deux seins minuscules et bien dessinés font
maintenant l'objet des attentions de sa main droite alors que la gauche vient
d'atteindre son sexe.
Ses yeux sont fixés sur la glace. Maintenant Romuald écarte fermement les grandes
lèvres de Faustine comme pour dévoiler ce qu'elles cachent. Il saisit délicatement le
long clitoris de la fillette et commence à le faire rouler entre ses doigts. Le dos
cambré de celle-ci est atteint de soubresauts, sa bouche s'entrouvre et ses lèvres
humides retiennent difficilement un voluptueux murmure.
Sigrid, que l'audace de Gérald sidère, est au comble de l'émotion devant cette mise en
scène. Ses caresses se font de plus en plus précises et pénétrantes. Elle est
quasiment allongée, les fesses au bord de la chaise, le dos raidi, écartelée par son
plaisir, lorsque les deux enfants glissent du lit au pied de l'armoire. Au moment
crucial, malgré la vision directe des deux corps enlacés dans la position du
missionnaire et de leur reflet, elle ferme les yeux toute à sa jouissance.
Quelques instants plus tard, Romuald la retrouve dans la cuisine, à demi nue la
toilette en désordre, attablée devant un café. Il remarque qu'elle est profondément
troublée et est ravi du cadeau qu'il vient de lui faire. Ils n'en reparleront jamais.
Faustine, pour sa part a quitté la maison sans bruit en direction de celle de sa
grand-mère. Elle laisse, sur une serviette de bains au pied de l'armoire, la trace
sanglante de sa virginité perdue. Elle non plus n'oubliera pas cette chaude soirée
d'été!
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Jolie sauvage exhibition
Le lecteur est voyeur
La défloration est cerise sur le gâteau
Excellent scénario
Bravo
Jpj
Le lecteur est voyeur
La défloration est cerise sur le gâteau
Excellent scénario
Bravo
Jpj