SCENES DE LA VIE QUOTIDIENNE - TRIO EN CLAIR OBSCUR
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 77 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Emile ont reçu un total de 799 510 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 802 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
SCENES DE LA VIE QUOTIDIENNE - TRIO EN CLAIR OBSCUR
TRIO EN CLAIR OBSCUR
La voix enfantine et cependant un peu rauque de Rosy lui donne, aux yeux de Paul, un charme troublant. C'est la première fois qu'il lui présente une telle requête. Cela étonne d'autant plus Rosy que sa demande se double du regard gourmand de Sigrid, assise en face de lui et occupée à déboutonner un frêle gilet de coton qui laisse transparaître la blancheur de sa peau. L'étonnement de Rosy oblige Paul à répéter: "Verrouille la porte et ferme les rideaux s'il te plaît!" C'est à ce moment que le buste d'albâtre de Sigrid apparaît en même temps que le gilet heurte le parquet en émettant un léger "flop". Rosy est partagée entre l'excitation créée par cette scène un peu irréelle et l'impérieuse nécessité de fuir une trop grande complicité sensuelle avec des amis plus âgés. Le buste étroit et les deux petits seins bien ronds de Sigrid, touchants dans leur nudité, ont rapidement raison de ses tergiversations. Elle commence à s'exécuter lorsqu'un léger murmure attire son attention. Pendant qu'elle verrouillait la porte, Sigrid a baissé son pantalon à mi mollet. Elle caresse maintenant un sexe d'enfant, sans aucune pilosité, dont la vue redouble le trouble de Rosy. Elle ferme le premier rideau puis, n'y tenant plus, fiche son regard dans celui de Paul tout en faisant glisser son ample jupe longue le long de ses hanches. Une incongrue petite culotte blanche apparaît en haut d'interminables jambes fuselées perchées sur des sandales aux hautes semelles. Le pied, fin et long, renforce l'aspect élancé de l'ensemble. Sigrid, maintenant entièrement nue et négligemment abandonnée sur le fauteuil de cuir, tend prestement la main et fait disparaître le petit triangle de coton. Le sexe finement dessiné de Rosy, apparaît sous une légère et courte toison assortie à ses longs cheveux bruns. Dans un geste gracieux, elle s'étire pour attraper le dernier rideau, exposant son ventre plat et le haut de ses cuisses aux gens de la rue. La tenture retombe lourdement, créant dans la pièce une pénombre complice.
Rosy laisse alors errer son regard sur le corps dénudé de celle qui a su l'émouvoir.
Malgré ses quarante ans, Sigrid a toujours un corps d'enfant. Cette sensation est encore renforcée car celui-ci est totalement imberbe à l'exception d'une courte crinière dorée qui orne sa tête. Paul observe Rosy tout en laissant monter en lui une émotion bien compréhensible. Il connaît la fascination qu'est capable d'exercer Sigrid sur les toutes jeunes filles et sa capacité a susciter chez elles des gestes inconsidérés. Rosy dépasse toutes ses espérances! Elle délace son court bustier d'une main tout en commençant à se caresser doucement le sexe de l'autre. Son majeur entre délicatement dans le sillon finement dessiné provoquant un écartement progressif de ses longues jambes. Rosy se laisse doucement tomber sur le canapé tout en continuant la caresse. Enfin libérés ses longs doigts prennent contact avec sa jeune poitrine, à peine naissante, au téton bien marqué et large. Elle est maintenant à demi allongée, les jambes ouvertes et la vulve exposée au regard de ses deux complices. Sa peau brune, tachée de blanc aux bons endroits par l'usage d'un bikini plus que restreint, contraste considérablement avec celle de Sigrid. Celle-ci s'approche et escamote le bustier. A genoux elle entreprend de stimuler doucement de la bouche le clitoris de la jeune fille. A deux mains, elle saisit fermement les cuisses et les écarte largement pour faciliter la caresse. Rosy ferme les yeux et sa bouche d'un carmin brillant s'entrouvre de contentement. Elle exhale un léger murmure d'une voix encore plus rauque que d'habitude.
Sigrid, les joues rosies d'émotion, continue à la besogner lorsqu'elle sent les mains de Paul s'emparer de sa croupe tendue par l'effort. Elles envahissent son ventre, s'emparent de ses fesses, écartèlent ses cuisses rondes et fines jusqu'à provoquer une nette tension sur les lèvres et le sillon fessier. La caresse se fait de plus en plus enthousiaste et précise comme si son auteur souhaitait prendre possession de chaque centimètre carré de son anatomie. Ses seins, son dos sa nuque sont caressés, pétris puis effleurés, jusqu'à ce que la tension de tout son corps soit perçue violemment par Rosie. Cette dernière, toute livrée à Sigrid, l'aide dans sa caresse en accompagnant langoureusement chaque mouvement. Elle guide les mains et les lèvres de son amante vers chacune de ses zones érogènes et lui ramène fermement la tête entre ses cuisses alternant les demandes de fellation clitoridienne et de pénétration en cunnilingus.
Petit à petit son corps et son esprit ne sont plus qu'un embrasement sexuel. C'est à cet instant que les doigts de Paul pénètrent délicatement le vagin de Sigrid. La sensation est douloureuse car elle n'est pas vraiment encore tout à fait lubrifiée. La main de Paul commence à s'agiter dans un mouvement de va-et-vient alors que sa bouche et sa langue envahissent avec fougue l'anus de notre blonde compagne. Une main sollicite sa poitrine jusqu'à y provoquer une importante tension. Ses joues sont en feu et commence à sourdre un plaisir qu'elle ne boude pas. Quelques secondes plus tard, elle se retrouve perchée sur la poitrine de Paul, debout et nu, la vulve fichée sur sa verge. Rosy l'ingénue a pris possession de ses fesses et en stimule le sphincter d'un cunnilingus de bonne facture. Lorsque le plaisir monte en elle, sa nouvelle complice lui pousse rapidement son majeur dans l'anus provoquant l'orgasme simultané des deux partenaires. Dans le même temps, elle pénètre de deux doigts son propre vagin. Grâce à l'excitation ambiante, après quelques mouvements souples du poignet, elle jouit presque à l'unisson.
La voix enfantine et cependant un peu rauque de Rosy lui donne, aux yeux de Paul, un charme troublant. C'est la première fois qu'il lui présente une telle requête. Cela étonne d'autant plus Rosy que sa demande se double du regard gourmand de Sigrid, assise en face de lui et occupée à déboutonner un frêle gilet de coton qui laisse transparaître la blancheur de sa peau. L'étonnement de Rosy oblige Paul à répéter: "Verrouille la porte et ferme les rideaux s'il te plaît!" C'est à ce moment que le buste d'albâtre de Sigrid apparaît en même temps que le gilet heurte le parquet en émettant un léger "flop". Rosy est partagée entre l'excitation créée par cette scène un peu irréelle et l'impérieuse nécessité de fuir une trop grande complicité sensuelle avec des amis plus âgés. Le buste étroit et les deux petits seins bien ronds de Sigrid, touchants dans leur nudité, ont rapidement raison de ses tergiversations. Elle commence à s'exécuter lorsqu'un léger murmure attire son attention. Pendant qu'elle verrouillait la porte, Sigrid a baissé son pantalon à mi mollet. Elle caresse maintenant un sexe d'enfant, sans aucune pilosité, dont la vue redouble le trouble de Rosy. Elle ferme le premier rideau puis, n'y tenant plus, fiche son regard dans celui de Paul tout en faisant glisser son ample jupe longue le long de ses hanches. Une incongrue petite culotte blanche apparaît en haut d'interminables jambes fuselées perchées sur des sandales aux hautes semelles. Le pied, fin et long, renforce l'aspect élancé de l'ensemble. Sigrid, maintenant entièrement nue et négligemment abandonnée sur le fauteuil de cuir, tend prestement la main et fait disparaître le petit triangle de coton. Le sexe finement dessiné de Rosy, apparaît sous une légère et courte toison assortie à ses longs cheveux bruns. Dans un geste gracieux, elle s'étire pour attraper le dernier rideau, exposant son ventre plat et le haut de ses cuisses aux gens de la rue. La tenture retombe lourdement, créant dans la pièce une pénombre complice.
Rosy laisse alors errer son regard sur le corps dénudé de celle qui a su l'émouvoir.
Malgré ses quarante ans, Sigrid a toujours un corps d'enfant. Cette sensation est encore renforcée car celui-ci est totalement imberbe à l'exception d'une courte crinière dorée qui orne sa tête. Paul observe Rosy tout en laissant monter en lui une émotion bien compréhensible. Il connaît la fascination qu'est capable d'exercer Sigrid sur les toutes jeunes filles et sa capacité a susciter chez elles des gestes inconsidérés. Rosy dépasse toutes ses espérances! Elle délace son court bustier d'une main tout en commençant à se caresser doucement le sexe de l'autre. Son majeur entre délicatement dans le sillon finement dessiné provoquant un écartement progressif de ses longues jambes. Rosy se laisse doucement tomber sur le canapé tout en continuant la caresse. Enfin libérés ses longs doigts prennent contact avec sa jeune poitrine, à peine naissante, au téton bien marqué et large. Elle est maintenant à demi allongée, les jambes ouvertes et la vulve exposée au regard de ses deux complices. Sa peau brune, tachée de blanc aux bons endroits par l'usage d'un bikini plus que restreint, contraste considérablement avec celle de Sigrid. Celle-ci s'approche et escamote le bustier. A genoux elle entreprend de stimuler doucement de la bouche le clitoris de la jeune fille. A deux mains, elle saisit fermement les cuisses et les écarte largement pour faciliter la caresse. Rosy ferme les yeux et sa bouche d'un carmin brillant s'entrouvre de contentement. Elle exhale un léger murmure d'une voix encore plus rauque que d'habitude.
Sigrid, les joues rosies d'émotion, continue à la besogner lorsqu'elle sent les mains de Paul s'emparer de sa croupe tendue par l'effort. Elles envahissent son ventre, s'emparent de ses fesses, écartèlent ses cuisses rondes et fines jusqu'à provoquer une nette tension sur les lèvres et le sillon fessier. La caresse se fait de plus en plus enthousiaste et précise comme si son auteur souhaitait prendre possession de chaque centimètre carré de son anatomie. Ses seins, son dos sa nuque sont caressés, pétris puis effleurés, jusqu'à ce que la tension de tout son corps soit perçue violemment par Rosie. Cette dernière, toute livrée à Sigrid, l'aide dans sa caresse en accompagnant langoureusement chaque mouvement. Elle guide les mains et les lèvres de son amante vers chacune de ses zones érogènes et lui ramène fermement la tête entre ses cuisses alternant les demandes de fellation clitoridienne et de pénétration en cunnilingus.
Petit à petit son corps et son esprit ne sont plus qu'un embrasement sexuel. C'est à cet instant que les doigts de Paul pénètrent délicatement le vagin de Sigrid. La sensation est douloureuse car elle n'est pas vraiment encore tout à fait lubrifiée. La main de Paul commence à s'agiter dans un mouvement de va-et-vient alors que sa bouche et sa langue envahissent avec fougue l'anus de notre blonde compagne. Une main sollicite sa poitrine jusqu'à y provoquer une importante tension. Ses joues sont en feu et commence à sourdre un plaisir qu'elle ne boude pas. Quelques secondes plus tard, elle se retrouve perchée sur la poitrine de Paul, debout et nu, la vulve fichée sur sa verge. Rosy l'ingénue a pris possession de ses fesses et en stimule le sphincter d'un cunnilingus de bonne facture. Lorsque le plaisir monte en elle, sa nouvelle complice lui pousse rapidement son majeur dans l'anus provoquant l'orgasme simultané des deux partenaires. Dans le même temps, elle pénètre de deux doigts son propre vagin. Grâce à l'excitation ambiante, après quelques mouvements souples du poignet, elle jouit presque à l'unisson.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Emile
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...