Scott et Clara - histoire érotique

Dans quoi je m'étais laissé embarquer moi ? Non mais sérieusement, qu'est ce qui m'avait pris d'accompagner mon grand frère chez notre cousin Patrick pour lui souhaiter un bon anniversaire? Avec eux, c'était chaque fois pareil : ils parlaient de toutes les filles qu'ils se sont tapés, de comment ils les avaient défoncés, que c'était toutes des salopes. Néanmoins, mon frère n'avait pas ramené tant de filles que ça à la maison, il parlait plus qu'il n'agissait, tout comme mon cousin. D'ailleurs, d'après les dires de ce dernier, il aurait une petite copine super sexy qui serait strip-teaseuse. J'avais un gros doute à ce sujet, il était tellement mytho, tout comme mon frère, que ça ne m'aurait pas étonné que ça soit une invention de sa part. Bref, j'étais perdu dans mes pensées quand mon cousin m'interpella :

- Et au fait Scott, t'es toujours puceau ?
- Ouais, toujours puceau.
- C'est pas vrai ! T'es toujours aussi coincée toi !


Je préférais ne pas répondre. Ils pensaient que j'étais toujours puceau et c'était mieux ainsi. Si je leur avais dit qu'une superbe fille m'avait dépucelé et que j'avais aussi couché avec ses copines qui étaient toutes aussi jolies, ils ne m'auraient pas cru et serait donc venu à la fac pour vérifier et une fois qu'ils auraient vu April et ses copines, ils les auraient dragués lourdement et ils se seraient pris pour les rois du monde.


Nous discutions tous les trois pendant un bon quart d'heure quand on sonna à la porte :

- Ah, elle est là, dit mon cousin en allant ouvrir. Vous allez voir, c'est une vraie bombe.


Je m'attendais à voir une fille plutôt banale, jolie mais sans plus. Je me trompais totalement : pour une fois mon cousin n'avait pas menti, c'était une vraie bombe. Elle était blonde, la peau claire et de beaux yeux verts qui m'attirèrent instantanément. Elle faisait à peu près la taille d'April, avec une taille fine. Elle avait une poitrine avantageuse qui était bien mis en valeur par un beau corset et elle avait l'air d'avoir un joli fessier bien bombé couvert par un micro-short en jean. Elle était aussi tatouée sur une bonne partie de son corps : les bras, les jambes, juste au-dessus de sa poitrine ainsi que sur son ventre plat. Patrick mit un bras autour de ses hanches et nous la présenta :

- Je vous présente Clara ! Elle est pas trop sexy ma copine ?
- Oh que si, répondit mon frère en bavant devant elle. Si tu veux la partager, n'hésite pas ! Je m'appelle Grégoire, je suis son cousin ma belle.


Quant à moi, j'étais tellement intimidé devant sa beauté et son charme que je ne pus dire qu'un petit :

- Salut, moi c'est Scott.


Clara sourit, montrant ses belles dents étincelantes ce qui m'envoûta encore plus. Elle s'approcha de moi, se penchant pour me faire la bise tandis que mon regard se perdit dans son décolleté. Elle s'en aperçut et elle me fit un clin d’œil coquin ce qui me fit rougir. Elle fit ensuite la bise à mon frère qui lui aussi en profita pour lorgner sur sa poitrine affriolante. Une fois les présentations faites, Clara s'assit entre mon cousin et moi, ce qui n'était pas pour me déplaire. Clara discuta avec mon frère et mon cousin puis au bout d'un moment, elle se tourna vers moi pour entamer la discussion car j'étais resté muet pendant leurs discussions :

- Et toi alors Scott ? Tu parles pas, t'est timide ? Tu fais quoi dans la vie ?
- Je suis en première année de fac.
- Tu es tout jeune alors. T'as quel âge ?
- 19 ans.
- Et dis-moi Scott, me susurra t-elle à l'oreille, t'as déjà couché avec une fille ?

Je n'eus pas le temps de répondre mon frère répondit pour moi :

- Non il est toujours puceau. Il est vraiment nul.


À ces mots, Clara prit ma défense :

- Hé ! Ne sois pas méchant comme ça, toi ! C'est mignon un mec vierge.


Cette conversation commençait à me gêner alors je me levai et j'allai dans la cuisine. J'ouvris le frigo et me pris une bière. Je me retournai et je vis Clara qui m'avait apparemment suivi. Surpris, je lui demandais :

- Qu'est-ce que tu fais là ?


Elle me gratifia d'un sourire hypnotique et me dit :

- Ça te dirait que je te fasse un lapdance ?


Je fus quelque peu déstabilisé par cette question. Je ne m'attendais pas à cette demande. Je lui demandais alors :

- C'est Patrick qui t'a demandé de faire ça, pas vrai ?

Clara jeta un coup d’œil dans le salon pour surveiller mon frère et son cousin puis me dit :

- Pour tout te dire, ton cousin m'a payé pour que je vous fasse croire que je suis sa petite copine. Il voulait se vanter d'avoir une strip-teaseuse sexy comme petite amie.
- Donc, vous avez jamais couché ensemble ?
- Oh non, jamais. Et je coucherais jamais avec lui, c'est un vrai con ton cousin.
- Oui, je confirme. Et il a toujours été comme ça.


Clara se rapprocha encore de moi, se collant contre mon torse, sa bouche tout près de la mienne et ses beaux yeux verts :

- Toi par contre, tu m'as l'air d'un type bien. Alors je te repose la question : tu veux que je te fasse un lapdance ?


Son sourire enjôleur et ses yeux perçants ne me donnèrent pas envie de résister :

- D'accord mais ils risquent de s'en apercevoir, non ?
- T'inquiètes pas. Ils sont trop occupés à parler de filles et à se bourrer la gueule pour faire attention à nous. Ils remarqueront même pas qu'on les a laissés. Alors on monte dans une chambre et je te fais un lapdance, ça te convient ?
- Ok, on va aller dans la chambre de mon cousin.


Clara me sourit et me susurra à l'oreille :

- Et qui sait, peut-être que je te ferais plus qu'un lapdance.


Ces mots me firent frissonner et je commençais à avoir une érection. Je lui pris alors la main et je me dirigeais vers la chambre de mon cousin en faisant peu de bruit pour ne pas attirer l'attention. Une fois dans la chambre, Clara me fit asseoir sur une chaise et me dit :

- Reste assis et profite du spectacle.



Clara commença alors à se déhanchait, tout en me regardant d'un air coquin. Elle se tourna ensuite et se pencha légèrement en avant, mettant en valeur sa croupe avantageuse. Elle retira lentement son corset et le fi tomber à terre. Elle continua à danser de dos, m'empêchant de voir ses seins nues. Elle avait à peine commencée son spectacle que je bandais déjà à fond. Elle se retourna, me dévoilant sa belle poitrine ronde et ferme. Clara se déhancha et prit ses seins en main pour jouer avec :

- Ils te plaisent ?
- Oui, ils sont superbes.


Elle me sourit encore plus et elle vint à califourchon sur moi. Elle défit lentement ma chemise m'embrassant dans le cou à chaque bouton défait. Une fois que je fus torse nu, elle m'embrassa le haut du corps et me mordilla les tétons. Je voulus lui caresser ses obus mais je les avaient à peine effleurés qu'elle s'échappa d'un air narquois :

- Non, tu ne les touches pas encore. Sois patient, mon mignon.


J'étais frustré mais je ne le restais pas longtemps : Clara me tourna le dos et descendit sensuellement son micro-short, dévoilant un string noir qui couvraient à peine ses superbes fesses bien rebondies. Clara se rapprocha de moi et entrepris de défaire mon jean. Une fois mon pantalon retiré, elle posa sa main sur la bosse de mon caleçon causé par l'érection de mon sexe. Elle le massa et me dit :

- Je te fais de l'effet à ce que je vois.
- C'est difficile de rester de marbre face à ton spectacle.


Elle m'embrassa sur la joue :

- Je suis douée, pas vrai ?
- Oui, tu es très douée.


Sur ce, elle se leva et m'ordonna :

- Allez, retire mon string, bébé.


Je lui obéis et descendit son string le long de ses jambes, révélant une jolie chatte toute épilée. Je voulus lui caresser l'entrejambe mais elle me gifla la main :

- Pas touche. Tu auras le droit de me toucher seulement quand je le voudrais, c'est compris ?


Son corps me tentait terriblement mais j’acquiesçai :

- Ok.
- Bon garçon, me dit-elle en me caressant la joue.


Elle me chevaucha et plaça son sexe sur la bosse de mon caleçon. Elle entrepris des va-et-vient, frottant sa chatte déjà humide contre la proéminence de mon boxer. Avec ses mouvements, Clara avança son buste, enfouissant ma tête entre sa généreuse poitrine. J'embrassai ses seins puis je lui léchai les tétons. Clara gémit et me tira par les cheveux pour décoller ma tête de ses obus. Elle rejeta ma tête en arrière et saisit ma gorge de son autre main pour m'embrasser fougueusement. Elle ne m'embrassait pas doucement, mais sauvagement, me montrant que je n'avais pas le contrôle. Sa langue tournoya autour de la mienne et ses mains me tenait toujours la gorge et les cheveux, me maintenant en son pouvoir. Je ne voulus pas rester inactif, alors je caressai sa poitrine d'une main tandis que je massai son fessier de l'autre. Nous restions quelques secondes à s'embrasser quand Clara rompit le baiser : elle s'agenouilla devant moi et me retira mon caleçon avec les dents en me lançant un regard de tigresse. Elle sourit devant ma queue dressée et toute dure pour avant de la prendre en main, me faisant frémir. Elle me branla lentement puis elle glissa ma verge dans son opulente poitrine et commença à me branler lentement. Elle me branla doucement tout d'abord, enserrant délicieusement mon sexe entre ses obus qu'elle tenait entre ses mains pour me branler plus efficacement. Elle me branlait tout en m'observant d'un air coquin, me regardant tenter de résister à la vague de plaisir qui m'envahissait. Elle continua quelques temps, jusqu'à m'amener au bord de la jouissance puis elle arrêta, me frustrant tant sa branlette espagnole était bonne. Elle se leva ensuite et me tendit la main. Je lui pris et elle m'amena au lit où elle me poussa, m'étendant de tout mon long sur mon lit. Clara me demanda d'un ton coquin:

- Tu sais où ton cousin range ses capote ?


Je désignai un tiroir :

- Là-bas.


Elle s'y rendit, prit une capote et me l'enfila. Elle monta sur le lit et me dit :

- Je vais te montrer comment on baise, bébé.


Je voulus lui dire que je n'étais pas puceau et donc que je savais baiser mais elle ne m'en laissa pas le temps : elle s'empala directement sur ma verge, me faisant taire. Elle entreprit de délicieux coups de reins, lent puis rapides. Son corps se balançait d'avant en arrière, de gauche à droite. J'avais l'impression qu'elle dansait, qu'elle continuait son show, c'était vraiment plaisant. Elle me baisait tout aussi bien qu'April et Katherine. Donc il n'y avait rien d'étonnant à ce que sa chevauchée m'arrache des gémissements que je tentais en vain de refréner. Clara remarqua que je tentais tant bien que mal de retenir mon plaisir et ça la fit sourire. Elle me tint à la gorge et me dit tout en accélérant le rythme de cette cavalcade :

- Tu aimes comme je te baises, mon mignon ?


Je lui répondis difficilement entre deux gémissements :
- Oui c'est... super. Tu me baises... trop bien !


Elle se pencha sur moi et me prit mes poignets pour les plaquer au dessus de ma tête. Je me débattis mais elle me tenait fermement et elle me donna un puissant coup de rein pour me recadrer. Je tentai encore de me libérer de sa prise mais elle me baisa plus fort et son emprise sur mes poignets était sans faille. Clara sourit devant mon impuissance puis elle m'embrassa furtivement avant de me dire :

- J'aime bien quand les mecs sont faibles face à moi.


Je voulus immédiatement me rebeller plus fort que précédemment mais elle entama une chevauchée infernale tout en restant penchée sur moi. Elle allait plus vite qu'avant et me baisait encore mieux. Ce qu'elle me faisait était absolument délicieux et je ne pouvais m'empêcher de pousser de grands cris de plaisir. Clara gémissait de plus en plus et son beau visage commençait à se tordre de plaisir. Nous approchions tous deux de la jouissance et nous n'arrivions pas à nous retenir de pousser des cris de plaisir ce qui était dangereux car nous pouvions nous faire entendre par mon cousin et mon frère si jamais ils venaient à monter à l'étage. Nous tentions tous deux de résister mais le plaisir était trop fort et nous eûmes tous deux un orgasme divin. Je ne pus me retenir de pousser un cri de plaisir tandis que Clara trouva un moyen d'étouffer ses manifestations de plaisir: elle me mordit fortement l'épaule, me faisant grimacer de douleur. Nous restâmes quelques secondes étendus, Clara blottie contre mon torse. Après avoir récupéré, elle m'embrassa tendrement et me demanda d'une voix basse et chaude :

- Alors bébé, t'as aimé ? Je t'ai bien baisée ?
- Oh oui c'était génial. T'es vraiment super douée. Par contre, il faut que je te dise un truc.
- Quoi donc ?
- En fait, je n'était pas puceau. Je me suis fait dépuceler en début d'année par une fille de ma fac.
- Mais pourquoi ton frère et ton cousin croient que tu es puceau ? D'habitude, les mecs ont tendance à en rajouter sur leurs expériences sexuelles, t'es le premier que je croise qui dit qu'il est vierge alors que c'est pas le cas.
- Si je leurs disais, ils me croiraient pas et ils se moqueraient encore plus.
- Je comprends.


D'un coup elle se coucha sur le dos à côté de moi :

- Bon, vu que t'es pas puceau, tu vas me montrer ce que tu sais faire.Tu lèches bien ? Me demanda t-elle.
- Oui- Alors, viens me faire un cunni.


Elle écarta ses jambes et me fit signe de venir avec son doigt. Je me positionnai entre ses jambes et commençai par l'embrasser tout autour de son sexe. Je m'occupai ensuite de sa chatte pour lui faire un cunni et lui montrer ce que je savais faire. Et elle n'en fut pas déçu : j'avais commencé à la lécher depuis quelques minutes qu'elle poussait déjà de grands gémissements. J'étais plutôt fier de la faire gémir comme ça rien qu'avec ma langue tout en espérant que mon cousin et mon frère ne décide pas de monter à l'étage. Je décidais d'achever Clara : j'infiltrai trois doigts en elle et la doigtai vigoureusement tout en titillant son clito. Ça la fit jouir dans un grand cri, son corps se cambrant sous la puissance de cet orgasme. Elle se caressa les seins, soupirant à cause du plaisir que je lui avais infligé. Elle se redressa légèrement pour me dire :

- T'es vraiment doué Scott ! Je te félicite, des mecs aussi doués pour les cunnis, c'est rare.


Clara se mit alors à quatre pattes, me laissant apprécier ses fesses splendides. Elle tourna la tête et me dit :

- Tu vas me baiser jusqu'à ce que je jouisse pour que je voie ce que tu vaux mais après, je reprends le contrôle et c'est pas discutable. Allez, prends-toi une capote et obéis.


Son ton autoritaire me rappelait April et aussi Katherine qui m'avait semblé très autoritaire la fois où elle m'avait baisé. Subir ses délicieux sévices étaient plaisant, très plaisant même, mais j'avais envie de me rebeller, ou du moins d'essayer. J'avais bien réussi à avoir le dessus sur Ana la dernière fois, alors pourquoi ne pas essayer avec Clara qui semblait être du niveau d'April et de Katherine ?Je décidais alors de lui obéir dans un premier temps et de l'amener jusqu'à l'orgasme mais de ne pas la laisser diriger après. Ça risquait d'être difficile mais comme on dit, qui ne tente rien n'a rien.


Je pris une nouvelle capote et l'enfilai puis je pénétrai son vagin. Je rentrai doucement, la faisant languir. Clara frémit au contact de mon sexe pénétrant son intimité. Je commençai à la baiser sur un rythme rapide, massant son cul bien ferme et bombé. Elle frissonnait sous mes coups de reins et donna quelques coups de reins par derrière. Je voulais contrôler entièrement cette baise alors je lui claquai son fessier qui me plaisait tant et je lui tirai les cheveux pour avoir une meilleure emprise sur elle. Clara gémissait sous mes coups de reins et tournait de temps en temps la tête pour me regardait d'un air coquin. Ces regards qu'elle me lançait m'excitait encore plus et j'accentuai la puissance de mes coups de reins. Je fus ravi de la voir ouvrir la bouche pour laisser échapper des cris et son regard défaillit. Elle se mordit les lèvres, luttant contre le plaisir qui l'envahissait. Je lui donnai alors le coup de grâce : j'accélérai la cadence, la culbutant férocement et je lui mis deux doigts dans son petit trou. Elle poussa un cri suivi par d'autres et elle s'enfonça la tête dans l'oreiller pour étouffer ses cris de plaisir. Elle tint bon quelques minutes puis elle craqua et jouit dans un grand cri heureusement étouffé. Elle me laissa la baiser pendant quelques secondes, le temps qu'elle récupère puis me dit :

- C'était super Scott, tu baises très bien, c'était super bon. Maintenant, retire-toi.
- Non, je reste aux commandes.


Je continuai de la baiser, ignorant ses ordres. Se retenant de gémir, elle tourna sa tête et me dit :

- Oh tu te rebelles, petit vilain ? Allez, retires-toi ou tu le regretteras.


J'allais peut-être le regretter mais je ne cédai pas :

- J'ai dit non.
- Je t'aurais prévenue.


Clara voulut se redresser mais je ne lui en laissa pas le temps : Je lui pris ses poignets et les maintins dans son dos la forçant à garder la tête contre le matelas. J'étais fier de moi et je ne pus m'empêcher de lui dire :

- Désolé Clara, mais c'est moi qui décide, alors tu restes bien sage et tu profites de ma queue.


J'étais vraiment fier de moi : je dominais une fille du tempérament d'April ! Je la prenais en levrette en lui tenant les mains derrière son dos et sa tête contre le matelas. Elle ne pouvait donc pas se redresser pour reprendre le contrôle. Mais je me rendis compte bien vite que je l'avais sous-estimé.


Clara était strip-teaseuse, elle était donc souple et sportive. Elle n'eut donc aucun mal à se redresser à la seule force de ses abdos. Elle colla son dos contre moi et donna des coups de reins pour participer et tenter de déstabiliser. Je lui donnais des plus grands coups de reins dans l'espoir de la recadrer mais elle répondait en me donnant elle aussi des coups de reins par l'arrière. Clara tourna la tête et, entre deux coups de bassin, elle me susurra à l'oreille :

- Regardes mes seins qui se balance bébé, regarde-les bien. Regarde-les se balancer au gré de nos va-et-vient. Je sais que t'as envie de les prendre en main, je me trompe ?


Je regardais ses seins en continuant de la baiser. Sa poitrine était sublime et j'avais une terrible envie de les caresser. Mais si je le faisais, je devrais lâcher ses poignets et elle pourrait en profiter pour prendre le dessus. J'étais terriblement tenté et je finis par céder : je lâchai ses poignets et caressai ses seins ronds fermes. Et ce fut une erreur fatale.


À peine avais-je commencé à cajoler sa poitrine que Clara me donna un puissant coup de bassin qui me fit perdre l'équilibre et je m'écroulais sur le dos. Rapide comme l'éclair, Clara se retourna, s'empala de nouveau sur moi et prit mes poignets pour les plaquer contre mon torse. Elle me chevaucha intensément sans me laisser me rebeller. Je tentais bien de me débattre mais c'était mission impossible : elle me tenait bien, et à chaque fois je tentais de la désarçonner avec mes hanches, elle répliquait par un coup de rein plus puissant qui m'arrachait des cris de contentement.


- Tu es à moi, Scott. C'est moi la chef, pas toi.


La contredire aurait été une totale mauvaise foi : elle me baisait vraiment bien et j'étais totalement impuissant. Moi qui voulais la dominer, c'était raté. Néanmoins, j'adorais me faire malmener : je devais bien reconnaître que je prenais mon pied à être soumis. Et Clara semblait adorer me dominer : son visage , angélique et diabolique à la fois, était déformé par le plaisir mais elle me souriait d'un air narquois, comme pour se moquer de mon infériorité face à elle. Elle continua de me baiser efficacement pendant quelques minutes qui me parurent être une éternité tant elle me baisait bien. Elle arriva finalement au bout de résistance : elle eut un orgasme divin qui la fit crier de plaisir. Elle avait la tête rejetée en arrière à cause de sa jouissance mais elle ne chancela pas d'un pouce, ne me laissant aucune opportunité de la renverser. Elle continua encore de me baiser, malmenant délicieusement ma queue en elle. Je finis moi aussi par approcher du plaisir ultime mais elle fut cruelle : au moment où je pensais jouir, elle se retira de moi, me frustrant au plus haut point. Je poussais un râle, frustré comme jamais. Clara me mordilla le téton, m'arrachant un gémissement et me dit :

- Je t'avais prévenu, mon beau. T'as voulu jouer avec moi, t'as perdu. Comme punition, tu ne jouiras pas.


Argh ! L'idée de ne pas jouir après cette baise m'était insupportable alors je me redressai mais Clara me mordit fort mon autre téton. Je poussai un léger cri de douleur et ne tentai plus de me redresser. Clara passa ses ongles sur mon torse, me griffant légèrement. Elle me prit fermement à la gorge et elle me mordit la lèvre inférieure avant de me menacer :

- Je suis comme une tigresse, si tu me désobéis, je te mords c'est bien compris.


Son côté tigresse et son regard féroce mais intense qu'elle me lançait me firent peur et m'excitèrent en même temps. Je préférais obtempérer :

- D'accord. Mais je t'en prie, ne me laisse pas au bord de l'explosion comme ça, c'est trop cruel.
- C'est ta faute, il ne fallait pas te rebeller.
- S'il te plaît Clara...


Elle me lâcha ensuite à la gorge et redescendit vers mon sexe toujours tendu à fond. Elle lécha le bout de mon gland, me faisant frémir :

- Finalement, je veux bien te faire jouir mais seulement si tu me supplies, c'est compris ?


En disant ces mots, elle me branlait doucement d'une main et me titillait le frein de son pouce tandis que sa langue tournait autour de mon gland. C'était trop bon, je ne pouvais pas résister :

- Je t'en supplie Clara, fais-moi jouir, je t'en prie.


Clara eut un sourire de satisfaction et continua son traitement, me branlant ma hampe, titillant mon frein et léchant mon gland. C'était divin, personne ne pouvait résister à ça. Je jouis très rapidement, expulsant ma semence sous le regard moqueur de Clara. Je poussai un cri, comblé par cette délivrance. Elle me branla encore un peu, faisant s'écouler tout mon sperme de l’urètre, puis elle nettoya le tout avec sa langue. Clara se blottit alors contre moi, me faisant un câlin et en m'embrassant tendrement :

- J'ai passé un super moment. Me chuchota Clara après avoir rompu notre baiser. C'est l'une des meilleures parties de sexe que j'ai eue. C'est pareil pour toi ?


Je répondis difficilement, encore étourdi par cette baise géniale :

- Pour moi aussi c'était super. J'ai adoré ton côté tigresse, ta façon d'être à la fois sauvage et tendre. J'espère que tu voudras bien qu'on le refasses parce que c'était prodigieux.


Clara m'embrassa encore avant de me répondre :

- Bien sûr mon grand. On rebaisera ensemble. T'es l'un des meilleurs mecs que je me suis tapé alors que t'as que 19 ans, je comptes encore profiter de ton corps pendant longtemps.


Nous nous câlinâmes encore un peu, puis nous nous rhabillâmes avant d'échanger nos numéros pour pouvoir se recontacter et nous redescendîmes rejoindre Patrick et Grégoire. Une fois dans le salon, Clara s'assit sur les genoux de son « petit ami » tandis que mon frère nous demanda :

- Vous revoilà ! Vous faisiez quoi ? Ça fait plusieurs minutes que vous n'étiez plus là.


Je trouvais vite une excuse :

- Je l'ai emmené dans ta chambre, Patrick, pour la faire jouer à la console.
- Quoi ? Tu crois qu'il y a que les jeux vidéos dans la vie, cousin ? Pff, tu fais vraiment pitié.
- Je lui ai dis que ça m’intéressait pas mais il a insisté. Dit Clara en prenant un ton blasé. Alors je lui ai expliqué qu'il y avait des activités plus intéressantes dans la vie.


Le reste de l'après-midi se passa normalement puis vint l'heure de partir. Je fis la bise à mon cousin et au moment de dire au revoir à Clara, cette dernière me prit dans ses bras et me glissa à l'oreille :

- Je mouille déjà d'envie de te rebaiser.


Ces paroles me firent rougir et c'est tout comblé et pensif de la prochaine fois que je rentrais chez moi.