Scout (suite et fin) - histoire érotique

Cet après-midi là, je classe tranquillement des factures d’achats du domaine pour les donner au patron. En soupirant, je glisse un doigt entre mon cou et le col de ma chemise pour m’aérer un peu. Un désagrément du métier consiste à devoir être toujours impeccable habillé.
Quelques coups légers me tire de ma torpeur. Un instant plus tard, la blonde, apparait sur le seuil.
-Excuse-moi, Alain, mais Adeline (la petite blonde) s’est confessée à moi.
Je discerne une trace d’ironie dans sa voix. Elle est vêtue en scout, mais sa tenue laisse voir un peu de son soutien-gorge et s’arrête à mi-cuisses. je me sens de plus en plus troublé.
-Tu m’offre un café ? Ma fait-elle.
-Vas-y rentre.
Alors que je prépare la cafetière, je me retrouve front contre front. Je louche sur ses gros seins que le soutien-gorge pigeonnant ne cache rien. Les lourdes mamelles luisantes de transpiration sont d’une couleur laiteuse.
-Je peux m’asseoir ? Fait-elle.
-Fais comme chez toi. Ça été la nuit ?
-Oui, très excitante !
Sans le savoir, enfin je le pense, elle prend la même place que sa copine la veille. Elle écarte les jambes et avance ses fesses au bord du fauteuil. Je jette un regard entre les genoux largement écartés. La cochonne ne porte pas de culotte. Fasciné, je contemple l’épaisse touffe de poil bouclés du bas-ventre. Les bords de la fente forment un double bourrelet de couleur bistre. Elle bouge sur son fauteuil. Son sexe s’entrouvre.
-Tu n’es pas curieux ! Me lâche-t-elle.
-Comment ça ?
-Tu sais que j’ai bien parlé avec Adeline.
-C’est très bien. C’est pour cela que tu es là aujourd’hui. Seule de surcroit. Donc je devine pourquoi ta venue.
Sexuellement je n’ai aucun tabou. Je suis toujours à la recherche d’expérience nouvelles et imprévues. Je constate que son ourlet est retroussé encore plus haut, au-dessus de ses cuisses. Couverte d’une fine couche de mouille, les bords épais de sa fente bâillent.
-Ah oui… tu devines vraiment pourquoi je suis là ?
-Et comment que je sais !
-Alors pourquoi attendre plus longtemps ! Fait-elle, en se caressant doucement avec ses petits doigts vernis de rouge. Mon sexe est de plus en plus à l'étroit dans mon slip. Cette gamine me rend fou. Elle continu à stimuler ma libido avec ses doigts.
Elle me demande alors :
-Mets-toi à genoux devant moi.
-Et pourquoi je ferais ça ?
-Exécutes-toi !
Une fois en position, et après d’être séparé de ses baskets, elle me tend ses pieds. Je me sais du droit et le porte à ma bouche. Pendant ce que je lèche, la blonde se remet à se caresser. Elle se donne du plaisir en même temps. Je suce ses orteils, je pourlèche la plante, la cheville, le talon, pendant qu’elle continue de se toucher la chatte et pousse des petits cris de plaisir.
L'autre pied y passe aussi avec la même motivation et le même plaisir partagé. Elle aime être choyée cette petite. Elle retire ses pieds de ma bouche, ils brillent de ma salive.
-Adeline n’a pas menti, tu te sers bien de ta langue.
-Tu aimerais que je te la lèche.
-Je suis venue pour ça si tu veux tout savoir.
Je me penche au dessus de son sexe. Je renifle l’odeur prégnante de sa chatte. Elle mouille. Elle plante sa vulve contre mon nez. Ses lèvres forment deux renflements obsédants. Elle sent fort et me presse la nuque contre son pubis. Je commence à prendre son vagin en bouche. La blonde se touche les seins en même temps à travers son léger t-shirt, elle prend du plaisir.
-Oh c’est bon !
Elle appuie franchement ma tête avec ses jolies mains en même temps. Comme pour augmenter sa autorité. Après quelques minutes de caresse buccale, ma petite maîtresse se met à trembler et à crier plus fort, elle a un orgasme.
Au troisième orgasme, elle me repousse avec sa même main. Après quelques minutes, elle se remet des ses émotions en soufflant et me demande :
-Putain c'était bon, tu m'as bien bouffé la chatte. Tu mérites bien une récompense. Tu bandes au-moins ?
-Il faudrait vraiment être de marbre pour ne pas bander pour toi.
- Enlève ton pantalon que je vois ça.
Sitôt tous les barrages tombé, la blonde me branle d'abord avec sa main puis vient entourer ma bite avec ses beaux pieds cambrés et me masturbe.
Je suis aux anges. C’était inédit ce genre de caresse pour moi. Je sens une langue se poser sur mon anus. Elle me lèche, pousse sa langue à l'intérieur. Elle n'hésite pas une seconde. J'adore cette sensation. Une main s'empare de mes couilles, alors que les petons me branlent toujours. Je tourne la tête pour voire la brune. Sourire aux lèvres, elle presse mes couilles, étire le paquet..
Et je suis bien car les pieds qui me masturbent me fait grimper aux rideaux. Je gémis sous la pression. Je bande tellement que c'est difficile, c'est aussi un peu douloureux. Mais ce n'est rien comparé aux ondes de plaisir qui commencent à m'assaillir. Sentir ma queue cajolée entre deux pieds c'est divin, purement jouissif.
La langue de la brune me fouille. Je sens la salive couler entre mes fesses jusqu'à mes couilles. Les pieds me tiennent fermement la queue et avec une lenteur infinie, font aller et venir sur ma tige qui durcit encore.
Je pousse un cri quand je sens qu’un doigt me pénètre le cul. Plus un cri de plaisir qu'autre chose. Les doigts investissent mon anus. Je sens qu’on les tourne. Je frissonne. J'ai envie d’être pris, qu’on me défonce. Les doigts sont pile sur ma prostate. L'effet est immédiat. Je sens monter dans ma verge, une dose de plaisir. Les doigts s'acharnent sur ma prostate. Très vite je sens de la sève monter dans ma queue. Les pieds de la blonde me branle de mieux en mieux. Je sens ma queue qui coule.
Je suis totalement décontracté, alors qu’un autre doigt vient m’investir. Je gémis alors qu’elle se met à faire tourbillonner ses doigts dans mon cul. Je la laisse faire avec délice, je suis à sa merci, et j’aime ce qu’elle me fait. Je crie de surprise, de douleur et de plaisir. Elle s’occupe bien de mon anus, plongeant sa langue en moi, me doigtant.
Je devine en même temps qu’elle se masturbe, je la sens tressauter et gémir. Je n’en peux plus et explose. Je m’entends hurler tant que c’est bon. Je lance de longs jets de sperme. La blonde continu à faire coulisser ses pieds sur ma queue alors que sa copine continue à m’enculer avec ses doigts.
Tous les trois nous avons récupéré devant une bonne tasse de café.
-Tu sais, me fait la brune, qu’on vient dans trois semaines et cela pour dix jours.
-Oui, je sais cela !
-J’espère, ajoute la blonde, que tu seras en forme pour nous satisfaire toutes les trois…