scout...
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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scout...
Comme chaque année à la même période, nous avons droit à la venue d’une cinquantaine de scout. Pour préparer leur venue, j’ai rendez avec trois responsables. Les mêmes qui encadrent les ados.
A la différence d’autres années celles-là sont à l’heure. Une blonde descend du côté passager. Elle porte un jean moulant s'arrêtant juste-au dessus des chevilles, avec des baskets. La conductrice sort à son tour, brune habillée en minishort, avec une paire de nus pieds, laissant apparaître des ongles vernis de rouge. Quant à la troisième, celle qui était assise su la banquette arrière, plus petite de taille que les deux autres, blonde aussi.
Elle porte un jean noir avec des sandales. Ensemble nous faisons le tour du domaine. Je leur indique à ce qu’elles ont droit et pas. La petite blonde prend des notes.
Après deux heures de palabre, et comme il se faisait tard je leur propose de reprendre la suite le lendemain matin.
-Comme ça, fait la brune, nous allons pouvoir monter notre tente pour la nuit.
Lors de ma ronde, j’aperçois les filles en train de prendre un verre debout en train de se trémousser aux notes de musique.
-La musique ne vous dérange pas ? Me fit la grande blonde.
-Pas du tout.
La brune me donne un coup involontaire avec son fessier en dansant.
-Excusez-moi ! Me lance-t-elle.
-Il n’y a pas de mal !
C’est alors que la petite blonde, empli un verre qu’elle me tend.
-Merci ! Je fais, en prenant le verre dans ma main.
-Je peux vous poser une question ?
-J’écoute !
-Laquelle de nous trois vous trouvez la plus sexy ?
-Le choix est difficile, vous êtes toutes les trois charmantes.
Toutes les trois rigoles et la blonde me retourne :
-On vous excite alors !
-Toutes les femmes m’excitent !
La petite blonde lâche :
-Je suis sûr quand ne vous laisse pas indifférent. Même qu’on vous fait bander !
-Cela serait indiscret de savoir votre âge ? Lâche la blonde.
Je leur donne mon âge.
-Je n’aurais jamais cru les filles qu’un jour je ferai bander un homme mûr.
Elles rient toutes en cœur.
-Je demande à voir ! Lâche la petite blonde.
-Je préfère faire un tour ! Fait la blonde.
-Je t’accompagne ! Laisse tomber la brune.
-Lâcheuse ! Répond la petite blonde.
Elles s’éloignent en souriant.
-Elles vont fumer un joint ! Cela vous dit de prendre une taffe ? Fait la petite blonde, d’un ton plus calme.
Elle est soudainement plus réservée et plus calme qu’avec la présence de ses copines. En fait je suis déçu car la situation a commencer à m'exciter. Je lance sans réfléchir:
-Alors vous voulez toujours voir si je bande ?
-Si cela ne vous ennuie pas, je serais heureuse de voir ! Je suis du genre voyeur, voyez-vous !
Je n’y crois pas. Je me déboutonne et exhibe mon sexe. Elle fixe mon outil de plaisir avec envie.
-Mais… mais vous ne bandez pas !
-Effectivement ! Je lâche. Je compte un peu sur toi. Passant au tutoiement.
-C’est une proposition ? Répond-t-elle.
-Je pense que oui !
Sur un ton arrogant, elle me dit :
-Ça tombe bien, j’ai envie de faire de sale chose !
Je suis excité, par son corps, son visage, son arrogance, enfin par tout, et elle le sait, je pense. Cela m’excite énormément.
-Caresses-toi, (passant au tutoiement, elle aussi), me demande-t-elle en s’adossant confortablement contre le muret.
C’est avec plaisir que j’obéis, c’est toujours un plaisir pour moi d’exhiber ma queue à une femme, surtout dopé par le désir qu’elle insuffle dans mes veines. Elle fait passer son tee-shirt par le haut. Je ne peux détacher mes yeux de ses seins nus étalés sous mon nez. Mes mouvements deviennent rapidement plus brutaux. Elle s’approche au plus près de moi, avec un sourire salace aux lèvres.
Mon cœur bat à tout rompre. Quand ses seins se referment autour de ma queue, je pousse un soupir de bonheur. Elle bouge dans un rythme qui me donne très vite une idée de ce qui convenait de faire. Je commence à onduler. Mon sexe est raide et brûlant. Elle enfouit une main dans la poche de son jean et en ressort un petit flacon. Elle l’ouvre et verse un trait de liquide jaune légèrement parfumé. Une sensation de fraîcheur bienfaisante me soulage. Ma verge brillante glisse beaucoup plus facilement entre ses deux globes accueillants.
Elle maintient fermement sa poitrine en renversant la tête. Elle est sublime ainsi. Elle m’excite tellement. Mes bourses se contractent et ma queue devient horriblement dure. Je sens monter une jouissance inédite qui me lance plus rageusement à l’assaut des seins dont je suis prisonnier. Elle ne s’en plaint pas. Je me suis allé glisser dans le toboggan du plaisir, lâchant mon foutre.
Mais malgré cet orgasme, ma soif sexuelle est loin d’être assouvie. Elle tend une main timide, prend mon membre à pleine main.
-Eh bien mon salaud, quand tu jutes, tu jutes toi !
- C’est ça, fais-je, serre-moi bien ma queue.
-Tu as encore envie après ça ?
-Tu sais y prendre. On dirait que tu l’as déjà fait.
-J’ai déjà branlé un mec si c’est ça que tu veux entendre.
Elle fait descendre ses doigts le long de mon membre, presse les couilles rétractées au fond des bourses.
- Suffit, tu as assez touché. Avec la bouche à présent.
-C’est que ? Lâche-t-elle.
-Qu’est-ce qui te gêne ? Le sperme ?
-Non…non !
-Tu n’as jamais… Bon ! Ce n’est pas grave, tu veux apprendre ?
-Pourquoi pas.
J’appuie pour ça sur sa nuque jusqu’à ce qu’elle pose ses lèvres sur ma verge souillée de ma précédente jouissance. Elle me lèche, me nettoie. Je respire de plus en plus difficilement, tant c’est bon mais aussi pour l’encourager à poursuivre.
- Tu suces bien ma cochonne !
Elle ouvre la bouche pour me gober. En appuyant par sur sa tête, je lui fais comprendre comment aller et venir le long de ma verge.
- Maintenant tu sauras tailler une pipe. Prends-en autant que tu peux. Plus le mouvement est ample et rapide, meilleure c’est.
Elle s’applique. D’instinct elle serre ses lèvres en montant et en descendant le long de ma verge. Très vite, je la repousse.
- Assez ! Tournes-toi !
-Ça ne te plaît pas ?
-C’est bon mais je préfère autre chose.
Je l’oblige à se mettre à quatre pattes, et à se séparer de son bas. Trop excitée, elle ne cherche pas à résister quand je lui arrache la culotte.
- Tu mouilles cochonne !
J’enfonce mes doigts dans la fente entrebâillée, touchant avec précaution les bords du vagin.
- Tu as déjà le trou bien ouvert. Le jus bien épais aussi.
Prenant ma verge à pleine main, je frotte la vulve avec mon gland. Elle laisse échapper un gémissement. Je promène l’extrémité de ma queue tout le long de l’entaille, depuis le clitoris jusqu’aux nymphes et aux rebords du con. D’instinct elle se cambre. J’accélère mon mouvement le long de la fente. Elle ne tarde pas à jouir, puis s’effondre à plat ventre sur la terre herbeuse.
Je l’oblige à se remettre à genoux devant moi. Le souffle court, elle me reprend en bouche. Des soubresauts font trembler mon membre. Il me suffit de quelques aspirations pour me faire éjaculer. Éclaboussant sa gorge de ma jouissance. C’est avec une tête bourdonnante que je pris le chemin de ma loge.
Le lendemain j’ai l’agréable surprise de voire la petite blonde frappée à ma porte en tenue de scout. Sans qu’un mot sorte de sa bouche, elle prenne place bien en face de moi sur un fauteuil, relève les jambes, plie les genoux sur sa poitrine, la jupe retroussée. Elle doit alors ouvrir les cuisses montrer la bande blanche de son slip qui épouse le renflement de sa moule. Reposant les pieds au sol, elle fait glisser sa culotte. L’enlève même, et reprend la pose, toujours sans qu’un seul mot sorte de sa bouche. Exposant ainsi sa fente dont les grandes lèvres recouvrent les nymphes. Le clitoris émerge, trahissant son excitation. La pastille du cul se crispe. Je m’approche et donne de petites tapes à main ouverte sur le sillon. Touchée de cette manière, elle trouve un plaisir trouble et referme les jambes.
Je tourne autour d’elle, prenant tout ce que j’ai envie de prendre, gainant mes lèvres sur les siennes, avant de fouiller sa bouche de ma langue. Puis je m’installe à ses pieds, et plonge ma langue dans la fente béante. Le gros clitoris a jailli. Je l’ai longuement sucé, comme j’aime le faire. Je suis en plein nirvana.
D’elle-même, elle se tourne. Elle roule sa jupette réglementaire à sa taille, se pliant en deux pour m’offrir la rondeur parfaite de ses fesses. J’appuie la pointe de ma langue là où la raie s’amorce. Elle a un petit frisson. Je descends lentement. Son sillon est bien ouvert. Elle a un goût de sueur. Elle s’ouvre avec une main gardant la seconde pour jouer nerveusement avec son clitoris. Sa fente est plus que trempée. Du jus continue à sourdre, mouillant le siège du fauteuil. Elle doit sentir mon souffle sur ses cuisses. Sa peau au-dessus est parcourue de frissons. Je fais aller deux doigts juste au bord de son trou pendant qu’elle se tripote le bouton. Puis écartant sa main, j’enveloppe toute sa vulve de mes lèvres et son jus me remplit la bouche.
Je lèche et suce jusqu’à l’amener au bord de l’orgasme, et là je m’arrête d’un coup. Haletante, elle tente de me faire reprendre ma caresse buccale. Je saisis ses poignets fermement pour l’empêcher qu’elle se caresse. Je la prends sur mes genoux après avoir libéré ma queue que je la coince entre ses cuisses. Mes couilles frottent contre la soie de sa peau, tandis que mon gland barbote dans la moiteur de sa fente. C’est insupportablement excitant.
La petite blonde me supplie de la prendre, qu’elle le désire le plus au monde. Je me laisse guider par mon instinct, et je laisse la petite blonde faire descendre lentement son bassin, pour envelopper ma verge dans son con chaud et moelleux. J'ai aussitôt la sensation que mon sexe est aspiré au plus profond fond de son corps. Et mon plaisir s'avive lorsqu'elle ondule des hanches, tout en allant et venant de haut en bas. J'ai rarement rencontré une femme aussi souple et aussi « chatte ».
Mes yeux mi-clos, le souffle haletant, sentant le plaisir monter dans mon ventre, le long de ma colonne vertébrale, et durcir encore ma queue. Puis ce fut l’orgasme, géant, incontrôlable. Ensuite nous restant affalés un moment sur place. Ma queue ressort avec un bruit mouillé. Je plaque ma main contre sa vulve pour retenir le sperme qui coule. Elle me la prend et la porte jusqu’à son visage pour la lécher. Cela suffit à me redonner envie, alors que j’ai encore la queue gonflée.
A la différence d’autres années celles-là sont à l’heure. Une blonde descend du côté passager. Elle porte un jean moulant s'arrêtant juste-au dessus des chevilles, avec des baskets. La conductrice sort à son tour, brune habillée en minishort, avec une paire de nus pieds, laissant apparaître des ongles vernis de rouge. Quant à la troisième, celle qui était assise su la banquette arrière, plus petite de taille que les deux autres, blonde aussi.
Elle porte un jean noir avec des sandales. Ensemble nous faisons le tour du domaine. Je leur indique à ce qu’elles ont droit et pas. La petite blonde prend des notes.
Après deux heures de palabre, et comme il se faisait tard je leur propose de reprendre la suite le lendemain matin.
-Comme ça, fait la brune, nous allons pouvoir monter notre tente pour la nuit.
Lors de ma ronde, j’aperçois les filles en train de prendre un verre debout en train de se trémousser aux notes de musique.
-La musique ne vous dérange pas ? Me fit la grande blonde.
-Pas du tout.
La brune me donne un coup involontaire avec son fessier en dansant.
-Excusez-moi ! Me lance-t-elle.
-Il n’y a pas de mal !
C’est alors que la petite blonde, empli un verre qu’elle me tend.
-Merci ! Je fais, en prenant le verre dans ma main.
-Je peux vous poser une question ?
-J’écoute !
-Laquelle de nous trois vous trouvez la plus sexy ?
-Le choix est difficile, vous êtes toutes les trois charmantes.
Toutes les trois rigoles et la blonde me retourne :
-On vous excite alors !
-Toutes les femmes m’excitent !
La petite blonde lâche :
-Je suis sûr quand ne vous laisse pas indifférent. Même qu’on vous fait bander !
-Cela serait indiscret de savoir votre âge ? Lâche la blonde.
Je leur donne mon âge.
-Je n’aurais jamais cru les filles qu’un jour je ferai bander un homme mûr.
Elles rient toutes en cœur.
-Je demande à voir ! Lâche la petite blonde.
-Je préfère faire un tour ! Fait la blonde.
-Je t’accompagne ! Laisse tomber la brune.
-Lâcheuse ! Répond la petite blonde.
Elles s’éloignent en souriant.
-Elles vont fumer un joint ! Cela vous dit de prendre une taffe ? Fait la petite blonde, d’un ton plus calme.
Elle est soudainement plus réservée et plus calme qu’avec la présence de ses copines. En fait je suis déçu car la situation a commencer à m'exciter. Je lance sans réfléchir:
-Alors vous voulez toujours voir si je bande ?
-Si cela ne vous ennuie pas, je serais heureuse de voir ! Je suis du genre voyeur, voyez-vous !
Je n’y crois pas. Je me déboutonne et exhibe mon sexe. Elle fixe mon outil de plaisir avec envie.
-Mais… mais vous ne bandez pas !
-Effectivement ! Je lâche. Je compte un peu sur toi. Passant au tutoiement.
-C’est une proposition ? Répond-t-elle.
-Je pense que oui !
Sur un ton arrogant, elle me dit :
-Ça tombe bien, j’ai envie de faire de sale chose !
Je suis excité, par son corps, son visage, son arrogance, enfin par tout, et elle le sait, je pense. Cela m’excite énormément.
-Caresses-toi, (passant au tutoiement, elle aussi), me demande-t-elle en s’adossant confortablement contre le muret.
C’est avec plaisir que j’obéis, c’est toujours un plaisir pour moi d’exhiber ma queue à une femme, surtout dopé par le désir qu’elle insuffle dans mes veines. Elle fait passer son tee-shirt par le haut. Je ne peux détacher mes yeux de ses seins nus étalés sous mon nez. Mes mouvements deviennent rapidement plus brutaux. Elle s’approche au plus près de moi, avec un sourire salace aux lèvres.
Mon cœur bat à tout rompre. Quand ses seins se referment autour de ma queue, je pousse un soupir de bonheur. Elle bouge dans un rythme qui me donne très vite une idée de ce qui convenait de faire. Je commence à onduler. Mon sexe est raide et brûlant. Elle enfouit une main dans la poche de son jean et en ressort un petit flacon. Elle l’ouvre et verse un trait de liquide jaune légèrement parfumé. Une sensation de fraîcheur bienfaisante me soulage. Ma verge brillante glisse beaucoup plus facilement entre ses deux globes accueillants.
Elle maintient fermement sa poitrine en renversant la tête. Elle est sublime ainsi. Elle m’excite tellement. Mes bourses se contractent et ma queue devient horriblement dure. Je sens monter une jouissance inédite qui me lance plus rageusement à l’assaut des seins dont je suis prisonnier. Elle ne s’en plaint pas. Je me suis allé glisser dans le toboggan du plaisir, lâchant mon foutre.
Mais malgré cet orgasme, ma soif sexuelle est loin d’être assouvie. Elle tend une main timide, prend mon membre à pleine main.
-Eh bien mon salaud, quand tu jutes, tu jutes toi !
- C’est ça, fais-je, serre-moi bien ma queue.
-Tu as encore envie après ça ?
-Tu sais y prendre. On dirait que tu l’as déjà fait.
-J’ai déjà branlé un mec si c’est ça que tu veux entendre.
Elle fait descendre ses doigts le long de mon membre, presse les couilles rétractées au fond des bourses.
- Suffit, tu as assez touché. Avec la bouche à présent.
-C’est que ? Lâche-t-elle.
-Qu’est-ce qui te gêne ? Le sperme ?
-Non…non !
-Tu n’as jamais… Bon ! Ce n’est pas grave, tu veux apprendre ?
-Pourquoi pas.
J’appuie pour ça sur sa nuque jusqu’à ce qu’elle pose ses lèvres sur ma verge souillée de ma précédente jouissance. Elle me lèche, me nettoie. Je respire de plus en plus difficilement, tant c’est bon mais aussi pour l’encourager à poursuivre.
- Tu suces bien ma cochonne !
Elle ouvre la bouche pour me gober. En appuyant par sur sa tête, je lui fais comprendre comment aller et venir le long de ma verge.
- Maintenant tu sauras tailler une pipe. Prends-en autant que tu peux. Plus le mouvement est ample et rapide, meilleure c’est.
Elle s’applique. D’instinct elle serre ses lèvres en montant et en descendant le long de ma verge. Très vite, je la repousse.
- Assez ! Tournes-toi !
-Ça ne te plaît pas ?
-C’est bon mais je préfère autre chose.
Je l’oblige à se mettre à quatre pattes, et à se séparer de son bas. Trop excitée, elle ne cherche pas à résister quand je lui arrache la culotte.
- Tu mouilles cochonne !
J’enfonce mes doigts dans la fente entrebâillée, touchant avec précaution les bords du vagin.
- Tu as déjà le trou bien ouvert. Le jus bien épais aussi.
Prenant ma verge à pleine main, je frotte la vulve avec mon gland. Elle laisse échapper un gémissement. Je promène l’extrémité de ma queue tout le long de l’entaille, depuis le clitoris jusqu’aux nymphes et aux rebords du con. D’instinct elle se cambre. J’accélère mon mouvement le long de la fente. Elle ne tarde pas à jouir, puis s’effondre à plat ventre sur la terre herbeuse.
Je l’oblige à se remettre à genoux devant moi. Le souffle court, elle me reprend en bouche. Des soubresauts font trembler mon membre. Il me suffit de quelques aspirations pour me faire éjaculer. Éclaboussant sa gorge de ma jouissance. C’est avec une tête bourdonnante que je pris le chemin de ma loge.
Le lendemain j’ai l’agréable surprise de voire la petite blonde frappée à ma porte en tenue de scout. Sans qu’un mot sorte de sa bouche, elle prenne place bien en face de moi sur un fauteuil, relève les jambes, plie les genoux sur sa poitrine, la jupe retroussée. Elle doit alors ouvrir les cuisses montrer la bande blanche de son slip qui épouse le renflement de sa moule. Reposant les pieds au sol, elle fait glisser sa culotte. L’enlève même, et reprend la pose, toujours sans qu’un seul mot sorte de sa bouche. Exposant ainsi sa fente dont les grandes lèvres recouvrent les nymphes. Le clitoris émerge, trahissant son excitation. La pastille du cul se crispe. Je m’approche et donne de petites tapes à main ouverte sur le sillon. Touchée de cette manière, elle trouve un plaisir trouble et referme les jambes.
Je tourne autour d’elle, prenant tout ce que j’ai envie de prendre, gainant mes lèvres sur les siennes, avant de fouiller sa bouche de ma langue. Puis je m’installe à ses pieds, et plonge ma langue dans la fente béante. Le gros clitoris a jailli. Je l’ai longuement sucé, comme j’aime le faire. Je suis en plein nirvana.
D’elle-même, elle se tourne. Elle roule sa jupette réglementaire à sa taille, se pliant en deux pour m’offrir la rondeur parfaite de ses fesses. J’appuie la pointe de ma langue là où la raie s’amorce. Elle a un petit frisson. Je descends lentement. Son sillon est bien ouvert. Elle a un goût de sueur. Elle s’ouvre avec une main gardant la seconde pour jouer nerveusement avec son clitoris. Sa fente est plus que trempée. Du jus continue à sourdre, mouillant le siège du fauteuil. Elle doit sentir mon souffle sur ses cuisses. Sa peau au-dessus est parcourue de frissons. Je fais aller deux doigts juste au bord de son trou pendant qu’elle se tripote le bouton. Puis écartant sa main, j’enveloppe toute sa vulve de mes lèvres et son jus me remplit la bouche.
Je lèche et suce jusqu’à l’amener au bord de l’orgasme, et là je m’arrête d’un coup. Haletante, elle tente de me faire reprendre ma caresse buccale. Je saisis ses poignets fermement pour l’empêcher qu’elle se caresse. Je la prends sur mes genoux après avoir libéré ma queue que je la coince entre ses cuisses. Mes couilles frottent contre la soie de sa peau, tandis que mon gland barbote dans la moiteur de sa fente. C’est insupportablement excitant.
La petite blonde me supplie de la prendre, qu’elle le désire le plus au monde. Je me laisse guider par mon instinct, et je laisse la petite blonde faire descendre lentement son bassin, pour envelopper ma verge dans son con chaud et moelleux. J'ai aussitôt la sensation que mon sexe est aspiré au plus profond fond de son corps. Et mon plaisir s'avive lorsqu'elle ondule des hanches, tout en allant et venant de haut en bas. J'ai rarement rencontré une femme aussi souple et aussi « chatte ».
Mes yeux mi-clos, le souffle haletant, sentant le plaisir monter dans mon ventre, le long de ma colonne vertébrale, et durcir encore ma queue. Puis ce fut l’orgasme, géant, incontrôlable. Ensuite nous restant affalés un moment sur place. Ma queue ressort avec un bruit mouillé. Je plaque ma main contre sa vulve pour retenir le sperme qui coule. Elle me la prend et la porte jusqu’à son visage pour la lécher. Cela suffit à me redonner envie, alors que j’ai encore la queue gonflée.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très bonne histoire... bandante à souhait ! Vive le scoutisme !