Se découvrir (5)
Récit érotique écrit par Stefi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 12 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je lui ai demandé de se concentrer et mes yeux sont redescendus sur le plan. Au passage, j’ai constaté qu’il avait un début d’érection. C’est le problème de l’uniforme pour les hommes : tout se voit.
Notre matinée de travail s’achevait, nous devions avoir bouclé le dossier en fin de journée et je savais que nous n’aurions pas trop de la pause déjeuner pour travailler. Il devait avoir fait le même constat lorsqu’il me proposa de se contenter d’un sandwich pour continuer à préparer le dossier.
Nous sommes partis à la boulangerie la plus proche, avons pris nos sandwichs et nos boissons et nous sommes remis au travail. Au bout d’une heure, ma canette de thé glacé avait fait son effet et je lui ai dit que je devais me rendre aux toilettes.
Seule, j’ai repensé à cette érection devinée un peu plus tôt et j’ai commencé à sentir mon sexe s’humidifier, et ce n’était pas de l’urine. Qu’est-ce qui m’arrivait ? Lorsque j’étais à l’étranger, les journées se suivaient à un rythme soutenu et il est vrai que je n’avais pas trop le temps de penser à autre chose que les missions. Une fois ou deux dans le mois, je comblais le vide laissé par mon époux mais sans plus. Là, j’ai regardé l’entrejambe d’un homme !!
Je suis retournée au bureau, bien décidée à terminer notre dossier. Mon jeune collaborateur avait les mains dans les poches et visiblement, il se touchait le sexe à travers le tissu. Il a immédiatement arrêté lorsque je suis entrée dans la pièce.
Cela m’a troublée, au-delà du raisonnable. Il devait repartir le soir même dans son régiment et j’ai eu envie, non pas de lui, mais d’un sexe d’homme.
J’ai approché ma main de son pantalon, il bandait indéniablement. J’ai frotté son sexe à travers son pantalon, ai baissé celui-ci avec son caleçon et sa queue a paru me jaillir au visage tant elle était raide. Je contemple un instant, d'un regard admiratif, la bite dressée et si tendue qu'elle en vibre, je la trouve incroyablement dure.
Mes lèvres se referment sur le gland qu'elles lèchent et sucent longuement. Elles l'avalent lentement. Je retire la queue jusqu'au gland, le gardant en bouche, le léchant par en dessous, puis j’avale toute la hampe. Sous les assauts de ma langue et à cause de l'onctuosité de ma bouche et de ma gorge accueillante, la bite paraît grossir. Mon jeune homme contemple émerveillé ma tête aller et venir, joues alternativement gonflées et creusées par la succion, le long de sa queue toute luisante de salive.
Cela ne dure pas autant que je l’aurais voulu, il jouit sans bruit dans ma bouche et j’avale tout. C’est la première fois que j’avale du sperme qui n’est pas celui de mon mari. Je suis à la limite de l’orgasme et si je le l’avait pas fait jouir, une simple pénétration m’aurait fait crier.
Je ne me reconnais pas et lui demande cette jouissance que j’attends. Il soulève ma jupe, écarte ma culotte, introduit deux puis trois doigts dans mon sexe et les fait coulisser à une allure folle. Je jouis en quelques minutes, comme lui auparavant. Nous avons tous deux libérés la tension qui nous a fait bosser à fond en 72 heures.
Je laisse l’épais dossier sur le bureau de la secrétaire avec un post-il « à déposer au colonel » et rentre chez moi. Je suis désespérée : j’ai mélangé sexe et travail, de surcroît avec un gamin que je croiserais à nouveau dans sa carrière et la mienne. Il va me coller l’image de la cougar folle de sexe, dont je lui ai donné l’impression, et je vais passer pour une « salope ».
Le pire est que j’ai aimé sa queue dans ma bouche, le sentir éjaculer fort dans ma gorge et j’ai aussi aimé ses doigts venir me barater la chatte jusqu’à la jouissance. Mais je ne peux pas porter ça, je dois l’appeler.
Je retourne au ministère, chercher son numéro dans mon le dossier. Dring … « bonsoir, je voulais vous parler de cette journée. J’ai apprécié vos compétences pour caler l’organigramme des forces Outre-Mer. Je tenais aussi à vous dire que je ne sais pas ce qui m’a pris en fin de journée. J’espère que nous en resterons là. » Voilà, tout est sorti d’un trait. Un instant de silence et il enchaine « Ecoutez, nous avons connu un bref moment d’égarement, je suis fiancé et ne tiens pas du tout à renier mon engagement. J’aime profondément celle qui devrait être ma femme. Pas question de donner une publicité à ce moment et de tout ruiner. Merci de votre compréhension. »Et voilà, un accord tacite nous lie à présent, je rentre dans mon appartement. A nouveau épuisée, je vais me coucher. Visiblement, je supporte plus facilement la fatigue physique que psychologique. En tout cas, je m’endors comme une masse et mon téléphone me réveille le lendemain.
Jogging rapide, douche, bureau je retrouve un équilibre qui me manquait. Coup de fil amusé à 11 heures, des camarades m’attendent au mess pour déjeuner.
Carrières différentes, certaines plus opérationnelles, d’autres plus tournées vers l’Etat-major, mais un réel plaisir de se retrouver autour d’une table, même au mess. C’est trop nul. On prend rendez-vous pour le lendemain soir dans un bistrot du coin pour diner.
Et bien sûr, l’idée bistrot s’est transformée en restau, pas du tout diététique. Cuisine du sud-ouest où même une salade est pantagruélique. Bon, pas la peine de râler, ce sont mes camarades, c’étaient aussi ceux de mon époux, nous sommes passés par Coët et poursuivons nos carrières ensemble. Et puis certains m’ont aidé à tenir le coup il y a 10 ans.
Notre matinée de travail s’achevait, nous devions avoir bouclé le dossier en fin de journée et je savais que nous n’aurions pas trop de la pause déjeuner pour travailler. Il devait avoir fait le même constat lorsqu’il me proposa de se contenter d’un sandwich pour continuer à préparer le dossier.
Nous sommes partis à la boulangerie la plus proche, avons pris nos sandwichs et nos boissons et nous sommes remis au travail. Au bout d’une heure, ma canette de thé glacé avait fait son effet et je lui ai dit que je devais me rendre aux toilettes.
Seule, j’ai repensé à cette érection devinée un peu plus tôt et j’ai commencé à sentir mon sexe s’humidifier, et ce n’était pas de l’urine. Qu’est-ce qui m’arrivait ? Lorsque j’étais à l’étranger, les journées se suivaient à un rythme soutenu et il est vrai que je n’avais pas trop le temps de penser à autre chose que les missions. Une fois ou deux dans le mois, je comblais le vide laissé par mon époux mais sans plus. Là, j’ai regardé l’entrejambe d’un homme !!
Je suis retournée au bureau, bien décidée à terminer notre dossier. Mon jeune collaborateur avait les mains dans les poches et visiblement, il se touchait le sexe à travers le tissu. Il a immédiatement arrêté lorsque je suis entrée dans la pièce.
Cela m’a troublée, au-delà du raisonnable. Il devait repartir le soir même dans son régiment et j’ai eu envie, non pas de lui, mais d’un sexe d’homme.
J’ai approché ma main de son pantalon, il bandait indéniablement. J’ai frotté son sexe à travers son pantalon, ai baissé celui-ci avec son caleçon et sa queue a paru me jaillir au visage tant elle était raide. Je contemple un instant, d'un regard admiratif, la bite dressée et si tendue qu'elle en vibre, je la trouve incroyablement dure.
Mes lèvres se referment sur le gland qu'elles lèchent et sucent longuement. Elles l'avalent lentement. Je retire la queue jusqu'au gland, le gardant en bouche, le léchant par en dessous, puis j’avale toute la hampe. Sous les assauts de ma langue et à cause de l'onctuosité de ma bouche et de ma gorge accueillante, la bite paraît grossir. Mon jeune homme contemple émerveillé ma tête aller et venir, joues alternativement gonflées et creusées par la succion, le long de sa queue toute luisante de salive.
Cela ne dure pas autant que je l’aurais voulu, il jouit sans bruit dans ma bouche et j’avale tout. C’est la première fois que j’avale du sperme qui n’est pas celui de mon mari. Je suis à la limite de l’orgasme et si je le l’avait pas fait jouir, une simple pénétration m’aurait fait crier.
Je ne me reconnais pas et lui demande cette jouissance que j’attends. Il soulève ma jupe, écarte ma culotte, introduit deux puis trois doigts dans mon sexe et les fait coulisser à une allure folle. Je jouis en quelques minutes, comme lui auparavant. Nous avons tous deux libérés la tension qui nous a fait bosser à fond en 72 heures.
Je laisse l’épais dossier sur le bureau de la secrétaire avec un post-il « à déposer au colonel » et rentre chez moi. Je suis désespérée : j’ai mélangé sexe et travail, de surcroît avec un gamin que je croiserais à nouveau dans sa carrière et la mienne. Il va me coller l’image de la cougar folle de sexe, dont je lui ai donné l’impression, et je vais passer pour une « salope ».
Le pire est que j’ai aimé sa queue dans ma bouche, le sentir éjaculer fort dans ma gorge et j’ai aussi aimé ses doigts venir me barater la chatte jusqu’à la jouissance. Mais je ne peux pas porter ça, je dois l’appeler.
Je retourne au ministère, chercher son numéro dans mon le dossier. Dring … « bonsoir, je voulais vous parler de cette journée. J’ai apprécié vos compétences pour caler l’organigramme des forces Outre-Mer. Je tenais aussi à vous dire que je ne sais pas ce qui m’a pris en fin de journée. J’espère que nous en resterons là. » Voilà, tout est sorti d’un trait. Un instant de silence et il enchaine « Ecoutez, nous avons connu un bref moment d’égarement, je suis fiancé et ne tiens pas du tout à renier mon engagement. J’aime profondément celle qui devrait être ma femme. Pas question de donner une publicité à ce moment et de tout ruiner. Merci de votre compréhension. »Et voilà, un accord tacite nous lie à présent, je rentre dans mon appartement. A nouveau épuisée, je vais me coucher. Visiblement, je supporte plus facilement la fatigue physique que psychologique. En tout cas, je m’endors comme une masse et mon téléphone me réveille le lendemain.
Jogging rapide, douche, bureau je retrouve un équilibre qui me manquait. Coup de fil amusé à 11 heures, des camarades m’attendent au mess pour déjeuner.
Carrières différentes, certaines plus opérationnelles, d’autres plus tournées vers l’Etat-major, mais un réel plaisir de se retrouver autour d’une table, même au mess. C’est trop nul. On prend rendez-vous pour le lendemain soir dans un bistrot du coin pour diner.
Et bien sûr, l’idée bistrot s’est transformée en restau, pas du tout diététique. Cuisine du sud-ouest où même une salade est pantagruélique. Bon, pas la peine de râler, ce sont mes camarades, c’étaient aussi ceux de mon époux, nous sommes passés par Coët et poursuivons nos carrières ensemble. Et puis certains m’ont aidé à tenir le coup il y a 10 ans.
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