Se découvrir (6)
Récit érotique écrit par Stefi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 12 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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C’est marrant comme des diners peuvent basculer alors que tous sont mariés ou presque, avec enfants et conjoints. L’un d’entre nous lâche brusquement une anecdote sur son chef disant qu’il quittait sa femme pour une plus jeune, piquée chez les lieutenants.
Les conversations sont parties en vrille style « quitte à changer de femme, autant en avoir deux pour le même âge ». Et les copines n’étaient pas en reste « un petite jeune remonte vite en selle ».
Mon voisin, un peu plus jeune, m’a étrangement glissé à l’oreille « je sais que ça doit être dur ce genre de conversation pour toi ». Aussitôt, les larmes me sont montées aux yeux mais je n’ai rien laissé paraître.
Je n’avais qu’une envie, me rouler dans me couette. Je lui ai quand même dit merci et lui ai claqué un bisou sur la joue. En me tournant pour l’embrasser, j’ai aperçu sons sexe en pleine forme à travers son jeans. Il bandait ferme le salaud à l’idée que les conversations pouvaient me faire de la peine.
J’ai ouvert sa braguette et ai libéré sa queue. Qu’elle était douce ! J’ai commencé à le masturber, puis très rapidement le branler franchement sous la nappe, juste pour le punir d’avoir été excité par ma douleur. Il n’allait pas tenir longtemps à ce rythme et très vite, les premiers signes sont arrivés avec ses mouvements de bassin.
Sa queue me faisait du bien, au chaud dans ma main, je l’ai laissé quelques secondes pour lécher mes doigts et reprendre ma masturbation de façon plus fluide. Quand ses hanches ont commencé à s’agiter à nouveau, j’ai stoppé mes mouvements et l’ai regardé avec un sourire. Il ne lui restait plus qu’à refermer son pantalon.
J’ai rigolé en mon fort intérieur. Vint l’heure de se séparer et pour moi, de retrouver mon appartement solitaire. J’avais quand même bien mouillé ma petite culotte en branlant mon camarade mais rien n’y faisait, l’excitation ne revenait pas en rentrant. Sur le coup, j’aurai aimé chevauché sa bite, mais une fois dehors, je n’y pensais même plus.
Quelle rigolade ! En rentrant, j’ai aperçu mon sex toy toujours dans son emballage qui trainait sur le guéridon à l’entrée de ma cuisine. Depuis près de deux semaines, cet achat compulsif restait en l’état et il n’y avait pas de risque qu’il serve ce soir !
Douche et dodo furent mes activités pour terminer cette soirée, finalement agréable avec mes camarades. Bon repos, départ en forme le lendemain pour achever la présentation du projet à mes supérieurs, sans l’aide de l’aspirant dont le grade n’est pas volé.
17h, c’est bouclé, prête pour demain. Je suis toute émoustillée de faire cette présentation, exercice nouveau pour moi en état-major.
Je file, me jette sous la douche après avoir enlevé mon uniforme et me fait une tranche de jambon, un œuf dur et de la sauce tartare. Il faut vraiment que je fasse un plein.
Présentation sans fausse note, questions précises, réponses précises. J’aime vraiment l’armée, c’est direct, sans fioritures, efficace. Je peux me concentrer sur mes courses et ce que je veux manger. Cela peut paître idiot mais quand vous êtes en opérations, il suffit d’aller au messe. Quand vous êtes chez vous, il faut faire les courses et les repas.
Les grandes surfaces ne sont pas à mon goût et puis, pour moi seule, la superette du quartier et les commerces de proximité ont ma faveur. La relation humaine y est plus forte et mes commerçants commencent à me reconnaitre, c’est plus sympa.
J’entame mon petit tour : charcutier, boulanger, fromager : une bonne dose de cholestérol.
J’attaque un écrasé de pommes de terre pour aller avec un blanc de poulet que j’avais laissé mariné dans le citron la veille. Heureuse de ma présentation, je suis toute à ma cuisine, contente que ce soit le week-end. En épluchant mes pommes de terre, je repense à l’oeuf vibrant. Je ne suis pas nette, c’est une pomme de terre !
Bon, si ça continue, j’irai l’acheter demain. C’est débile, je n’ai toujours pas ouvert mon rabbit et serai bien incapable de m’y mettre à cette heure. Je ne voulais pas retomber sur Claire, alors finalement, je me suis mis sur mon ordinateur pour commander par internet. J’en ai trouvé un qui avait l’air doux au toucher, puis j’ai payé mon « panier ». De voir ce qui était proposé m’a émoustillée, heureusement que l’eau bouillante m’a ramenée à la réalité.
Bon diner et bonne nuit ont conclu ma semaine.
Le réveil du samedi fut plus étonnant : je me suis retrouvée avec ma main entre mes cuisses, en pleine fin de rêve érotique. Bon, deux options : ou bien ma main, ou bien essayer enfin mon jouet. Je me décidais à le sortir de son emballage, y mettre les piles et le regarder bêtement.
Finalement, je l’ai reposé sur ma table de nuit, toute excitation passée, et je suis allé me faire couler un bain. Et là, détendue, j’ai repensé à mon rêve où je ne jouais pas la garce avec mon camarade quelques jours plus tôt mais l’entrainais dans les toilettes du restaurant pour me faire prendre en levrette et jouir tout mon saoul. Mon Dieu, je m’excitais toute seule et mes mains prenaient mes seins à pleine main, roulaient mes tétons et me faisait couler comme une dingue.
Je suis sortie du bain trempée, le sexe en feu et j’ai attrapé mon jouet qui, pour le coup, ne me paraissait pas si compliqué à utiliser. Je l’ai enfoncé doucement dans mon sexe, il écartait mes lèvres. Je me suis mise à faire des allers-retours quand j’ai appuyé sur le panneau de commandes. Les frissons sont montés avec les vibrations et j’ai étouffé un hurlement en quelques secondes.
Dieu que c’était rapide et fort. Un vraie machine à plaisir ce truc. A ranger très profond et n’utiliser qu’en cas d’urgence quand rien d’autre ne marche. Il ne laisse pas le temps de se remémorer des souvenirs ou de développer un phantasme qui fasse monter l’envie.
Bon, ça suffit de laisser mon corps diriger. Il est temps d’aller courir. Et hop, une heure de footing dans ce XVème que je commence à vraiment apprécier. A l’issue, bon rythme et élongations sur un banc pour éviter les courbatures. Paf, pas de bol, Claire qui sort de la boulangerie.
Claire : « après tous ces efforts, tu veux un croissant ? »Moi : « tu me fais rire. Je cours et ensuite tu veux que je reprenne toutes les calories brûlées ? Ce n’est pas raisonnable ».
Claire : « Comme tu veux. Je rentre chez moi, tu veux un café sans sucre ? »Moi : « heu, je ne préfère pas »Claire : « à cause de la dernière fois ? »Moi : « oui »
Les conversations sont parties en vrille style « quitte à changer de femme, autant en avoir deux pour le même âge ». Et les copines n’étaient pas en reste « un petite jeune remonte vite en selle ».
Mon voisin, un peu plus jeune, m’a étrangement glissé à l’oreille « je sais que ça doit être dur ce genre de conversation pour toi ». Aussitôt, les larmes me sont montées aux yeux mais je n’ai rien laissé paraître.
Je n’avais qu’une envie, me rouler dans me couette. Je lui ai quand même dit merci et lui ai claqué un bisou sur la joue. En me tournant pour l’embrasser, j’ai aperçu sons sexe en pleine forme à travers son jeans. Il bandait ferme le salaud à l’idée que les conversations pouvaient me faire de la peine.
J’ai ouvert sa braguette et ai libéré sa queue. Qu’elle était douce ! J’ai commencé à le masturber, puis très rapidement le branler franchement sous la nappe, juste pour le punir d’avoir été excité par ma douleur. Il n’allait pas tenir longtemps à ce rythme et très vite, les premiers signes sont arrivés avec ses mouvements de bassin.
Sa queue me faisait du bien, au chaud dans ma main, je l’ai laissé quelques secondes pour lécher mes doigts et reprendre ma masturbation de façon plus fluide. Quand ses hanches ont commencé à s’agiter à nouveau, j’ai stoppé mes mouvements et l’ai regardé avec un sourire. Il ne lui restait plus qu’à refermer son pantalon.
J’ai rigolé en mon fort intérieur. Vint l’heure de se séparer et pour moi, de retrouver mon appartement solitaire. J’avais quand même bien mouillé ma petite culotte en branlant mon camarade mais rien n’y faisait, l’excitation ne revenait pas en rentrant. Sur le coup, j’aurai aimé chevauché sa bite, mais une fois dehors, je n’y pensais même plus.
Quelle rigolade ! En rentrant, j’ai aperçu mon sex toy toujours dans son emballage qui trainait sur le guéridon à l’entrée de ma cuisine. Depuis près de deux semaines, cet achat compulsif restait en l’état et il n’y avait pas de risque qu’il serve ce soir !
Douche et dodo furent mes activités pour terminer cette soirée, finalement agréable avec mes camarades. Bon repos, départ en forme le lendemain pour achever la présentation du projet à mes supérieurs, sans l’aide de l’aspirant dont le grade n’est pas volé.
17h, c’est bouclé, prête pour demain. Je suis toute émoustillée de faire cette présentation, exercice nouveau pour moi en état-major.
Je file, me jette sous la douche après avoir enlevé mon uniforme et me fait une tranche de jambon, un œuf dur et de la sauce tartare. Il faut vraiment que je fasse un plein.
Présentation sans fausse note, questions précises, réponses précises. J’aime vraiment l’armée, c’est direct, sans fioritures, efficace. Je peux me concentrer sur mes courses et ce que je veux manger. Cela peut paître idiot mais quand vous êtes en opérations, il suffit d’aller au messe. Quand vous êtes chez vous, il faut faire les courses et les repas.
Les grandes surfaces ne sont pas à mon goût et puis, pour moi seule, la superette du quartier et les commerces de proximité ont ma faveur. La relation humaine y est plus forte et mes commerçants commencent à me reconnaitre, c’est plus sympa.
J’entame mon petit tour : charcutier, boulanger, fromager : une bonne dose de cholestérol.
J’attaque un écrasé de pommes de terre pour aller avec un blanc de poulet que j’avais laissé mariné dans le citron la veille. Heureuse de ma présentation, je suis toute à ma cuisine, contente que ce soit le week-end. En épluchant mes pommes de terre, je repense à l’oeuf vibrant. Je ne suis pas nette, c’est une pomme de terre !
Bon, si ça continue, j’irai l’acheter demain. C’est débile, je n’ai toujours pas ouvert mon rabbit et serai bien incapable de m’y mettre à cette heure. Je ne voulais pas retomber sur Claire, alors finalement, je me suis mis sur mon ordinateur pour commander par internet. J’en ai trouvé un qui avait l’air doux au toucher, puis j’ai payé mon « panier ». De voir ce qui était proposé m’a émoustillée, heureusement que l’eau bouillante m’a ramenée à la réalité.
Bon diner et bonne nuit ont conclu ma semaine.
Le réveil du samedi fut plus étonnant : je me suis retrouvée avec ma main entre mes cuisses, en pleine fin de rêve érotique. Bon, deux options : ou bien ma main, ou bien essayer enfin mon jouet. Je me décidais à le sortir de son emballage, y mettre les piles et le regarder bêtement.
Finalement, je l’ai reposé sur ma table de nuit, toute excitation passée, et je suis allé me faire couler un bain. Et là, détendue, j’ai repensé à mon rêve où je ne jouais pas la garce avec mon camarade quelques jours plus tôt mais l’entrainais dans les toilettes du restaurant pour me faire prendre en levrette et jouir tout mon saoul. Mon Dieu, je m’excitais toute seule et mes mains prenaient mes seins à pleine main, roulaient mes tétons et me faisait couler comme une dingue.
Je suis sortie du bain trempée, le sexe en feu et j’ai attrapé mon jouet qui, pour le coup, ne me paraissait pas si compliqué à utiliser. Je l’ai enfoncé doucement dans mon sexe, il écartait mes lèvres. Je me suis mise à faire des allers-retours quand j’ai appuyé sur le panneau de commandes. Les frissons sont montés avec les vibrations et j’ai étouffé un hurlement en quelques secondes.
Dieu que c’était rapide et fort. Un vraie machine à plaisir ce truc. A ranger très profond et n’utiliser qu’en cas d’urgence quand rien d’autre ne marche. Il ne laisse pas le temps de se remémorer des souvenirs ou de développer un phantasme qui fasse monter l’envie.
Bon, ça suffit de laisser mon corps diriger. Il est temps d’aller courir. Et hop, une heure de footing dans ce XVème que je commence à vraiment apprécier. A l’issue, bon rythme et élongations sur un banc pour éviter les courbatures. Paf, pas de bol, Claire qui sort de la boulangerie.
Claire : « après tous ces efforts, tu veux un croissant ? »Moi : « tu me fais rire. Je cours et ensuite tu veux que je reprenne toutes les calories brûlées ? Ce n’est pas raisonnable ».
Claire : « Comme tu veux. Je rentre chez moi, tu veux un café sans sucre ? »Moi : « heu, je ne préfère pas »Claire : « à cause de la dernière fois ? »Moi : « oui »
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