Se soumettre à l'impensable.

- Par l'auteur HDS AdultR -
Récit érotique écrit par AdultR [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Se soumettre à l'impensable. Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Se soumettre à l'impensable.
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Icare s’est brulé les ailes à vouloir approcher le soleil de trop près !

Mais les catabatiques (descentes aux enfers) sont toutes aussi dangereuses…

Nous cherchions ma tendre et moi, à ouvrir notre sexualité sur d’autres plans… d’autres horizons, plus libérés, plus grivois et plus débridés.

N’étant pas géographiquement proches l’un de l’autre, bien qu’amant depuis quelques temps, nous avons convenu de batifoler sur des sites à la recherche d’un amant qui voudrait bien nous initier au joies de ce qu’il est convenu d’appeler le « libertinage ».

Je ne mis pas longtemps à recevoir plein de courriers d’hommes qui désiraient nous aider à nous engager sur cette voie.

Madame, voulait essayer avec un black et je n’y voyais pas d’inconvénient. Nous nous tenions informés des contacts que je pouvais avoir mais aucun d’entre eux, ne lui plaisait.

Un jour pourtant, je reçu un message d’un homme, un black, répondant au pseudo « d’Anatole ».
Il semblait très intéressé de pouvoir être le premier pour nous initier.
Il se disait dominateur et au fil des conversations, semblait en effet connaître son affaire dans le domaine.

Par courrier, nous nous étions décris les uns les autres et après avoir pris des photos de nos ébats sur sa demande et les lui avoir envoyées, il se déclara très content et satisfait de nous voir si bien engagés sur le chemin que nous avions choisi.
Il se montrait plutôt directif, même par courrier et nous demandait de s’adresser à lui en disant « Maître».
J’étais assez confiant, et déjà, je jouais le jeu de la soumission, mais ma tendre maîtresse, semblait beaucoup plus circonspecte à son endroit car elle sentait qu’il voulait plus assouvir ses envies que de nous conduire sur les voies d’un plaisir partagé.
Je téléphonais à Anatole pour essayer de sentir si ma tendre amante avait raison ou si c’était juste une méfiance excessive à l’égard de notre contact ?

Le contact téléphonique ne donna rien de bien concret et je ne parvins pas à discerner le vrai du faux.
Nous continuions de correspondre et un jour, il me proposa de passer me voir.
Commercial de son état, il passait régulièrement en région Parisienne. Je me trouvais un peu pris au dépourvu. Devant son insistance pour juste prendre un café, je n’ai pas su refuser et je lui ai indiqué mon adresse.
J’étais sur MSN avec ma belle et nous parlions depuis le matin lorsqu’il arriva.
Je lui fis un café et il en profita pour se mettre au clavier… sans que ne puisse intervenir.
Lorsque je revins et que je m’en aperçu, il mit un doigt sur sa bouche, me signifiant de ne rien dire.

Il se mit à parler avec ma maitresse de cœur en se faisant passer pour moi. Ils parlaient tout les deux d’Anatole comme d’une troisième personne qui aurait été absente.
Au bout d’un moment, il brouilla les pistes et fini par dire qui il était.
Elle fut très surprise, mais continua tout de même à discuter avec lui. J’avais un peu mal au dos à lire cette correspondance de travers et décidais de prendre un tabouret pour m’asseoir prés de Lui.

Sans plus de cérémonie, il me dit
-« Non, viens plus près, mets toi à genoux à côté de moi ».
Je ne sais pas si c’est son assurance, son charisme ou la façon douce de parler, mais je me surpris moi même à faire ce qu’il m’avait demandé.
Le dialogue qu’il entretenait avec ma tendre , était de plus en plus chaud. Elle semblait se livrer peu à peu, à utiliser des mots crus, ce qu’elle ne faisait pas et à progressivement l’appeler « Maître ».
Nous baignions petit à petit dans une espèce d’ambiance de douce soumission.
-« Ca a l’air de t’exciter tout ce qu’on dit… Je me trompe ? » me dit-il.
-« Ben oui, c’est assez excitant j’avoues. »
-« Mets toi à l’aise et sors ta queue pour te branler si tu veux. »
-« Heu…. Non, je préfère pas merci. »
-« Allez fais pas ta chochotte branles toi devant moi, j’ai envie de te voir faire »
En disant cela, il s’était dégrafé exhibant un sexe de très belle taille et commença à faire coulisser sa main dessus.
-« Allez fais comme moi »
Je ne savais plus quoi faire et … je me suis mis à l’aise pour faire comme lui.

Il me laissa reprendre la discussion avec ma belle en insistant pour que je lui dise ce que nous faisions.
Elle me demanda en retour de lui décrire la nudité d’Anatole.
-« Il a de beaux pectoraux et un peu de ventre, mais il a un sexe impressionnant «
-« Tu crois que j’aimerais ? » Me demanda t-elle .
-« Je sais que tu as envie d’essayer avec un black et celui là est très bien fait »

Il se caressait toujours mais je pris la décision d’arrêter et de le laisser faire seul.
La journée s’avançait et nous dûmes mettre un terme à la conversation MSN. Nous restions entre nous avec Anatole. Il se mit à commenter notre dialogue écrit en disant :
-« Je crois que je vais adoré vous soumettre tous les deux. »
-« … »
-« Tu ne dis rien ? tu n’es pas impatient de commencer toi ? »
-« Si, mais uniquement avec elle »
-« pardon ? tu n’as rien oublié ? »
-« Oui, excuses moi, oui maître mais avec elle »
-« Ha bon ? Tu ne veux pas me donner un acompte ? »
-« Non je n’y tiens pas »
-« Je n’y tiens pas qui » reprit-il
-« Je n’y tiens pas … Maître » ajoutais-je.
-« Bon, nous attendrons qu’elle soit présente, mais il faudra bien m’obéir n’est-ce pas soumis ? »
J’étais abasourdit de son ton mi doux, mi autoritaire et je ne pu répondre qu’un petit « Oui maître »
En baissant les yeux.
-« Oui maître je serais obéissant… REPETE !!! »
Trouble, je répétais :
-« oui maître, je serais obéissant »
-« Bien, bon j’y vais. On se retrouve bientôt, je dois repasser la semaine prochaine. Tu m’offriras un café c’est d’accord ? »
J’étais vraiment sonné et je ne pu que confirmer ce qu’il exigeait de moi :
-« oui maître, c’est d’accord je vous ferais un café »
-« Bien à la semaine prochaine mon petit soumis »
-« oui… maître ».
Il sortit, me laissant complètement bouleversé de ce qui venait de se passer en si peu de temps.
Moi, hétéro de toujours, j’étais passé dans la peau du soumis en très très peu de temps.
Je ne m’en croyais absolument pas capable et voilà que lui disais « maître ».
La conversation sur MSN tournait autour de ce que nous devrions faire lorsque nous nous verrions
Tous les trois.
Il s’agissait de lui obéir et nous plier à ses exigences sexuelles . Qu’il nous ferait découvrir les joies de sucer une queue noire et de la sentir en nous.
Pendant qu’il écrivait cela, assis à mon bureau, je m’affolais en me disant que je ne savais même pas si j’étais prêt à me soumettre et à lui complaire sexuellement.

J’attendis la semaine suivante avec une grande angoisse. Les conversations avec ma belle décrivaient mes angoisses, les siennes, les nôtres quoi.
Ce qui me paru le plus bizarre fut qu’elle semblait avoir moins de craintes que moi désormais. Le fait d’avoir parlé avec Anatole, l’avait plutôt rassuré… comme quoi… j’avais raison de parler de son charisme et de sa séductivité… ou de sa topissitude…
Elle me disait que son envie d’essayer avec Anatole, faisait son chemin et qu’elle y pensait de plus en plsu souvent. Elle rajoutait qu’elle voulait être soumise mais na pas aller trop loin quand même.

Anatole ne téléphona pas de la semaine. Juste un message, un SMS :
« A demain, je ne pourrais sans doute pas rester longtemps »
« OUF » me suis-je dis, me voilà quand même pas mal rassuré du coup.

Le lendemain, alors que je parlais avec ma belle sur MSN, il frappa à ma porte comme convenu. J’ouvris et restais bouche bée.
IL N’ETAIT PAS SEUL !!!
Il me présenta André son cousin qui l’accompagnait dans sa tournée puisqu’il devait se faire embaucher
Dans la même boite.
Je préparais le café et Anatole se remit au clavier encore une fois sans rien me demander.
J’apportais le café à André dans la salle à manger et à Anatole dans ma chambre.

Il était en train de dire à ma tendre qu’il avait bien hâte de nous avoir comme soumis et de nous initier.
Je voyais ma belle répondre « Oui, nous aussi MAÎTRE »
!!!
Il ne lui avait rien demandé de dire et elle acceptait d’entrée de lui dire « Maître ». J’étais sur le cul littéralement.

Il lui disait qu’il attendait impatiemment que nous le sucions ensemble en même temps et alternativement.
La réponse de ma tendre maîtresse me surprit au delà des mots :
« Ok si tu le suce aussi. »
QUOI ?????????? j’étais en plein délire, je n’en croyais pas mes yeux !!!
D’autant qu’il répondit rapidement : »OK »
-« Si tu le fais maintenant, je serais ta soumise »
NON MAIS C’EST PAS POSSIBLE ???????
Il répondait calmement : « d’accord »
WHAT THE FUCK ?????? Ils étaient en train de tout décider en ma présence, mais sans mon consentement je n’en revenais VRAIMENT pas !
Il se leva et me dis : « assied toi ! » …
Je ne savais quelle contenance adopter et … je m’assis !

Il se mit à déboutonner mon jean et me pris la queue en main !!!
Moi qui n’avais jamais été « pris-en-main » par un autre que moi même, je ne pouvais plus réagir.
Il pencha la tête vers mon ventre et je sentis la chaleur de sa bouche sur mon nœud et la danse de sa langue sur mon gland.
Ma tendre m’écrivit : » Alors ? il le fait ??? «
-« oui » C’est tout ce que j’étais en état de répondre.
Je n’avais jamais été sucé par un mec et ma bitte mit un certain temps avant de réagir favorablement.
Pourtant lentement, mon corps réagissait et je me laissait doucement aller à cette caresse inattendue…
J’avais du mal à y voir clair, je pensais à André dans la pièce d’à côté… Ma tête tourbillonnait et je ne savais plus où j’étais.
Sur l’écran, je vis un message de ma belle :
-« Alors il te suce bien ? tu aimes ? c’est mieux qu’avec moi ? »
Je nageais en plein surréalisme… Je trouvais l’énergie de lui répondre :
-« oui, moyen, non »
Il s’arrêta et se releva :
-« Voilà » me dit-il « tu peux te finir tout seul si tu veux. Allez, pousse toi »
Il repris ma place et écrivit :
-« Je l’ai fait, il te l’a confirmé non ? »
-« oui tu l’as fais jouir ? »
-« Non, il va se terminer tout seul, mais j’ai fais ma part. Donc maintenant, tu acceptes d’être ma soumise comme j’en ai envie n’est-ce pas ? »
-« Attendez « maître » rien n’est dit pas si vite, j’aimerais bien qu’on se voit un peu avant ! »
-« Ce n’était pas du tout le deal il me semble… Je devais sucer ton mec, ce que j’ai fait, alors tu dois être à moi maintenant. »
-« Voyons nous avant d’aller plus loin »

Elle ne l’appelait plus «maître ou alors elle y mettait des guillemets et en plus, elle revenait sur sa parole, je sentais très bien qu’Anatole n’appréciait que très moyennement la plaisanterie.
Le malaise s’installa très rapidement et il se leva apparemment calme mais contrarié.
Je repris le clavier pour lui dire ce qui se passait et comment notre hôte était contrarié.
-« Ca lui passera, il exagère et il exige trop et trop vite. S’il ne calme pas, je préfère qu’on cherche ailleurs. »
-« Ok mais je lui dis ça comment moi maintenant ? »
-« Ben comme ça, que s’il ne se calme pas, nous irons chercher quelqu’un d’autre. Bon je dois aller chercher les enfants à l’école je te dis à demain mon amour je t’aime. »
Clic… déconnectée…
Je le sentais moyen.
J’éteignis l’ordi et retournais dans la salle à manger où Anatole et André avaient la mine des mauvais jours et discutaient à voix basse.
Je proposais un autre café et une cigarette puisqu’André s’était plaint de ne plus en avoir.
-« Ok pour le café » répondit Anatole « mais pour le moment je préfèrerais une pipe à une cigarette. »

Hé merde, nous y voilà… Je savais que j’avais raison de le sentir moyen…

-« Ecoute il faut se calmer Anatole, ma tendre me disait que tu demandais beaucoup et de façon un peu trop pressée . Elle a besoin de plus de temps pour être en confiance »
-« Nous avions un deal et je crois qu’elle n’a pas l’intention de le respecter.
-« Si, elle va le respecter, mais il faut un peu plus de temps voilà tout. »
-« Je n’en suis pas si sur… «
-« Mais si ne t’inquiètes pas et donnes lui plus de temps pour se faire à l’idée. »
-« Je veux bien essayer de vous faire confiance, mais il me faudrait quand même quelques garanties «
-« Comment ça ? Quelles garanties ? »
Il se leva et me demanda de le suivre dans la chambre ce qui me soulagea car je n’aimais pas tellement la présence d’André, parce que j’ignorais ce qu’il savait et ce qu’il venait faire là surtout…
Arrivés dans la chambre, Anatole me dit à nouveau :
-« Je n’aime pas qu’on manque à sa parole et je crois que c’est ce que ta belle est en train de faire. Je voudrais que nous procédions à un échange de bons procédés. Ok ? »
-« Comment ça ? »-« Que toi aussi tu me suce il me semble que c’est quand même le moins que tu puisses faire pour m’assurer que nous sommes toujours en phase… nous le sommes toujours ? »
-« Oui, bien sur. »
-« Bien sur qui ? » »
-« … »
-Bien sur MAÏTRE !!! »
-« oui désolé… bien sur Maître »
-« Tu as toujours envie d’être soumis non ? »
-« Oui… Maître »
-« Parfait alors mets toi dans la position du soumis qui veut plaire à son maître »
-« heu…. C’est à dire ? »
-« C’est à dire A GENOUX !!! »
Je ne savais plus trop où j’en étais, je ne comprenais pas cette histoire de garantie. J’hésitais à lui complaire lorsqu’il me mit la main sur l’épaule et pesa pour que je m’agenouille.
Il me guidait et je me laissais faire sans trop réagir et je me retrouvais à genoux devant lui. Devant mon inaction, il se déboutonna, baissa son jean et descendit son caleçon.
Je me retrouvais à quelques centimètres de son sexe encore au repos. Il me prit sous le menton et me regarda intensément :
-« Tu sais ce que tu dois faire? »
-« Heuuuuuu je n’ai jamais sucé personne… Maître »
-« Tu vas passer ta langue sur le bout de ma queue pour la faire grossir et pour qu’elle se redresse. ALLEZ ! »
Je sortis timidement un bout de langue que je passais sur le prépuce, ma tête tournait. La situation, l’odeur un peu âcre, l’épaisseur de sa bitte, son regard qui me semblait peser sur ma nuque.
J’étais à genoux et je passais une langue hésitante sur ce sexe qui commençait à réagir, à vibrer et à grossir. La bite passât à l’horizontale et effleurait mes lèvres. Je ne voulais pas le prendre en bouche. Je me retrouvais dans une posture de soumission, mais je ne voulais pas craquer et tentais de me dire que je maîtrisais toujours les choses… Je me trompais de beaucoup bien entendu… J’avais perdu tout espoir de contrôler quoique ce fut dés lors que je l’avais appelé « Maître »…
-« Tu vois comme tu me fais réagir soumis ? »
Je ne répondit pas .
-« Tu vois, DIS ? » dit-il alors que sa verge passait au dessus de la ligne de mon nez… exhalant au passage, des fragrances fortes.
-« Oui, Maître, je vois »
-« Bien pose tes lèvres sur mon gland. Embrasse le. »
Je déposais un tout petit baiser sur son sexe circoncit.
-« met tes lèvres sur le gland et ne bouge plus . »
Je fis ce qu’il me demandait.
-« Regarde moi dans les yeux, voilà c’est bien . »
Il passa une main derrière ma nuque et durcit son regard en me disant :
-« bien maintenant, ouvre la bouche et reçois la bitte de ton maître ! »
Je fermais les yeux en ouvrant la bouche et sentis immédiatement ce sexe entrer dans ma cavité buccale.
-« OUVRE LES YEUX SOUMIS ! » dit-il d’une voix forte.
J’ouvris les yeux à contre-cœur.
-« REGARDE MOI !!! »
Je levais les yeux vers lui et vis sur son visage l’expression de la satisfaction qu’un grand sourire soulignait.
-« C’est bien, ta bouche est à moi, petit soumis n’est-ce pas ? »
-« heuuuuuuu… oui …. »
-« OUI QUI ??? »
-« heu … Oui Maître . »
-« C’est bien allez maintenant suce moi sans les mains mets les dans le dos. »
J’obtempérais et repris sa bitte dans ma bouche. La texture était étonnamment douce et soyeuse, Je me surpris à trouver cette sensation agréable.
…Si je m’attendais … moi qui n’avais jusqu’à ce jour, jamais envisagé de sucer REELLEMENT une queue…
et voilà que cette situation de soumission, me faisait apprécier de le faire finalement. J’étais dans un état second, au point que je n’entendis pas André ouvrir la porte.
Je suçais avec application sans me rendre compte qu’en plus on me regardait faire.
-« Alors, tu vois, c’est pas si terrible que ça hein ? Et tu as l’air d’aimer ça non ? »
-« Heu … non Maître, enfin, c’est bizarre quand même »
-« COMMENT CA NON ? »
-« Je voulais dire, non, c’est pas si terrible que ça Maître »
-« Et tu aimes bien non ? »
-« … C’est la première fois vous savez… »
-« Vous savez MAÏTRE tu n’apprends pas vite ! Tu aimes ? dis le moi que tu aimes sucer ton maître »
-« heuuuuu oui, j’aime bien vous sucer… Maître »
-« Ta bouche est à moi n’est-ce pas ? »
-« Heuuuu… oui…. Maître »
-« Oui quoi ? «
-« …. Ma bouche est à vous Maître »
-« Bien, ferme les yeux »
Je m’exécutais et je sentis qu’il se retirait de ma bouche, j’avais toujours les mains dans le dos… J’entendais qu’il bougeais et je me demandais ce qui se passait et ce qu’il avait en tête, lorsque
Je sentis de nouveau ses mains derrière ma nuque qui m’attiraient de nouveau vers son ventre.
-« Ouvre la bouche soumis »
J’ouvris ma bouche pour le recevoir de nouveau. Il poussa un peu plus loin sa bitte, j’eus un hoquet et voulu me retirer…
-« Reste comme ça et garde les yeux clos . Agite ta langue, fais la tourner autour de mon gland. Voilà, c’est bien continue »
Je faisais ce qu’il me demandait et faisais tourner ma langue sur son gland, parfois, je m’attardais sur le frein ou le début de la tige. Il continuait de me guider, de sa voix chaude et autoritaire. :
-« Garde la dans la bouche. Tu vas ouvrir les yeux et me fixer quand je te le dirais ok ? »
Je fis oui de la tête continuant à le sucer. Au bout d’un moment qui me paru interminable, il me dit :
-« Ouvre les yeux et regarde moi. »
J’ouvris les yeux et les levais vers lui pour croiser le regard… D’ANDRE!!!????!!!??!!!
Je voulu me retirer, mais André me maintenait la tête et m’interdisait tout mouvement de recul. Contraint, je continuais d’avoir sa bitte dans la bouche. Il me faisait aller et venir dessus sur un rythme qu’il m’imposait. Paniqué, je cherchait Anatole du regard et je vis horrifié, qu’il était en train de me filmer, en train de sucer, les yeux affolés, avec son portable !!!!
-« Ne bouge pas comme ça, tu m’as dis que ta bouche était à moi, j’ai donc bien le droit de la prêter un peu à mon cousin André non ?
-« Mmmmmmmm hon he heux ha »
-« Pardon ? on comprend rien de ce que tu dis. »
André relâcha sa prise sur mon cou et je me retirais enfin.
-« Non, je ne veux pas, c’était pas prévu ça !!! »
-« Allez ne fais pas tant de manière, et reprend ton travail de soumis »
André appuyait de nouveau sur ma nuque.
-« NON JE NE VEUX PAS !!! »
-« Ha non ? Tu préfères que j’envoies cette vidéo aux adresses de ton répertoire ? »
Je paniquais sérieusement en imaginant ma famille, mes amis en train de recevoir cette vidéo….
Je flippais comme jamais !!!
-« NON !!!! ne faites pas ça ççç »
-« Ne faites pas ça qui ??? »
-« Ne faites pas ça … Maître !!!! »
-« haaaaaaaa ok donc, je suis toujours ton maître non ? »
J’étais piégé de toutes façons.
-« oui, vous êtes toujours mon Maître »
-« Parfait, alors recommence à sucer André et regarde le dans les yeux. »
-« Allez soumis redonne moi ta bouche » Me dit André
Je me sentis soudain remplit d’une grande tristesse et après un profond soupir, je rouvris ma bouche et repris la bitte d’André pendant qu’Anatole me filmait en commentant :
-« C’est bien mon soumis, lèche le bien, voilà sors ta langue, parfait !!! Regardes moi, voilà, comme ça c’est bien !!! »
Après un long moment, il reprit la parole, en disant :
-« Bon, André va sur le lit, et toi, déshabille toi »
-« NON PAS CA , S’il vous plait, Maître, pas ça, je ferais ce que vous voulez mais pas ça !!! »
Il continuait à filmer la scène.
-« Ok, tu feras tout pour m’aider à soumettre ta maîtresse la prochaine fois tu es d’accord ? »
Je ne voyais plus d’issues, et me résignais par peur et par lâcheté :
-« Oui, Maître, je vous aiderais à la soumettre »
-« Et je pourrais passer quand je voudrais pour me faire sucer ? »
-« Oui Maître »
-« Parfait alors …FOUS TOI A POIL IMMEDIATEMENT !!!! »
-« Mais, je croyais… »
-« HE BEN TU CROYAIS MAL !!! A POIL J’AI DIT !!! Je sais que tu vas faire tout ce que je veux et tu vas commencer tout de suite en te soumettant complètement à mon cousin et à moi t’as compris ? »
-« Mais Maître pourquoi vous… »
-« Parce que justement, je suis le maître et que tu es mon soumis. A POIL !!! »
André me fila une gifle magistrale.
-« Fais ce qu’on te dis crétin fous toi à poil !!! »
J’étais sonné et je me vis agir comme dans un brouillard bourdonnant les tempes battantes, le souffle court. J’enlevais mes vêtements un à un. Lorsque je fus nu, André, m’attrapa la tête et me ramena vers sa bitte. J’étais allongé sur le ventre et je repris ma fellation en me mettant sur les coudes.
J’entendis Anatole se déshabiller et le revis dans mon champs de vision avec sa bitte droite, arriver à genoux à côté de son cousin. André, se retira de ma bouche et se plaça à genoux lui aussi.
-« Allez soumis, mets toi en levrette et suce nous ! »
J’obtempérais servilement. Je repris la bitte d’André dans ma bouche après qu’il m’ait de nouveau mis les mains derrière la nuque. Ils présentaient leurs bittes à mes lèvres alternativement et complaisamment, je les prenais tour à tour dans ma bouche. Ils faisaient des commentaires, me guidaient , m’indiquant comment leur plaire :
-« C’est bien soumis, mets ta langue sous le gland, voilà, très bien, tu t’y prends de mieux en mieux.
C’est bien ma salope ! »
-« Je trouve qu’elle devient gourmande notre salope ! »
Comment ça « notre salope » ??? J’étais éberlué ils me traitaient de salope, de soumise pendant que je les suçais. J’arrêtais, les regardais et leur dis :
-« Arrêter de me traiter de salope, vous me forcer à me soumettre, mais je ne suis pas une fille »
-« Ha non ? et tu préfères quoi ? Continuer à nous sucer en te laissant traiter comme ce que tu es en train de devenir, « une salope soumise », ou bien tu préfères qu’on envoies un post à tes contacts ? »
-« Non, s’il vous plait, pas le post. »
-« Dis moi ce que tu préfère dans ce cas. »
-« Je préfère vous sucer. »
-« En te laissant traiter comme une salope soumise que tu es ? »
-« Oui maître »
-« Hé ben, mais dis le !!! »
-« Je préfère vous sucer en me faisant traiter de salope soumise … Maître »
Ma « préférence venait d’être enregistrée en direct sur le portable … je me sentais absolument pris au piège.
-« Allez ma belle salives bien sur nos queues… Tu as du gel annal ? «
-« Non Maître »
-« Alors bave bien, sinon, tu vas le sentir vraiment passer.
J’eus les larmes qui me montèrent aux yeux. Je me retrouvais à les sucer pour qu’ils puissent mieux me coulisser dedans !!! J’y mettais même beaucoup de bonne volonté… Je savais que je n’échapperais plus à une soumission totale et que je devrais serrer les dents car ils n’auraient aucune pitié pour leur « salope soumise »
Au bout d’un moment, Anatole se retira de ma bouche et fit le tour du lit. Je sentis le matelas, s’affaisser lorsqu’il remonta sur le lit. André, m’avait repris la tête et enfouis sa bitte dans la bouche. Je sentis les doigts d’Anatole écarter mes fesses, je paniquais complètement. Il passa un doigt enduit de salive sur mon anus qui se contractait comme pour empêcher l’inéluctable…
Peu après, je sentais, son gland se poser sur ma corolle encore vierge pour quelques secondes. Il poussa d’abord doucement et je sentis mon cul s’ouvrir difficilement. La douleur était vive et encore superficielle. Soudain, il s’arc-boutta et pesa de tout son poids. Mon trou s’ouvrit brutalement en cédant sous l’énorme pression… Cette fois-ci, la douleur fut d’une intensité inconnue jusque là.
J’ouvris la bouche pour hurler. André, en profita pour pousser un peu plus sa bitte dans ma bouche. J’eus un hoquet d’écoeurement en plus de cette grande douleur annale.
-« Voilà, elle s’ouvre des deux côté t’as vu ça André ? »
-« Oui, je vois, elle m’avale mieux maintenant cette salope. »
Je tentais vainement de retirer ma bouche mais André, voulait, lui aussi m’imposer sa présence et ne relâchât pas sa pression. Pendant ce temps ; Anatole, arrivait au fond de mon cul asservit.
-« Te voilà complètement enculée ma salope !!! »
-« MMMMMMMMMM HHHAAAAAAAAA !!!! »
-« André, laisse lui dire qu’elle aime ça notre salope »
André relâchât ma tête et je pus respirer enfin normalement.
-« Alors petite salope soumise tu me sens bien ? tu sens que tu es une petite enculée ? »
Je pleurais de douleur mais parvins à articuler :
-« Oui je me sens bien enculé »
-« Et dis moi, à qui appartient ton cul maintenant ma salope ? »
-« AÏE !!! A vous Maître … à vous !!!! » dis-je en m’effondrant moralement. Je pleurais de plus en plus .
-« Allez c’est pas si terrible d’autant que je n’ai pas encore bouger …Tu veux faire plaisir à ton Maître ?»
-« Oui Maître »
J’avais peur de ce qu’il allait me demander…
-« Tu vas reprendre ta pipe sur la bitte d’André, en allant bien jusqu’au bout de la gorge et puis tu vas bien ouvrir tes fesses avec les mains… ALLEZ » Me dit-il en me claquant brutalement les fesses.
J’ouvris les fesses avec mes mains et repris la bitte d’André dans la bouche et presque jusqu’à ma gorge.
Anatole me pris par les hanches et recula doucement… J’avais l’impression d’être perforé et que jamais mon cul n’allait se refermer. L’impression de me vider ou de me retourner … comme une chaussette. Je me sentais vulnérable et de plus en plus soumis à leur entière volonté.
Anatole, se remis à avancer en moi, la douleur reprit plus vive encore, je hurlais sur la bitte que j’avais en bouche. Le rythme se fit de plus en plus rapide et je me retrouvais ballotté. Il m’empalait de plus en plus vite et je n’en pouvais plus. D’autant qu’André, me mettais parfois son sexe au fond de la gorge.
Je n’ai aucune idée du temps pendant lequel je me suis retrouvé avec Anatole au fond des reins, mais ça m’a paru interminable… Je savais que de toute façon, André allait, lui aussi réclamer son du et que je devrais subir une seconde pénétration.
Anatole s’est retiré en même temps qu’André, je me suis écroulé sur le lit en respirant difficilement, j’avais l’impression d’être absolument exténué.
André, me mis une grande claque sur les fesses :
-« En position ma soumise…. Il y a un deuxième round… »
HO NON PAS ENCORE CETTE DOULEUR !!!!

Comme je m’y attendais, ils n’eurent aucune pitié. Anatole me présenta sa queue toujours recouverte du préservatif (ouf il en avait mis un) et me dis :
-« Allez nettoies moi tout ça !!! »
Je le regardais, les yeux toujours plein de larmes… J’allais devoir aller au bout de mon calvaire ;..
J’essayais de le fléchjr, en lui demandant « pitié » avec les yeux, mais il me repris la tête et calmement il ajouta :
-« Allez, fais ton devoir salope !!! »
Je soupirais, et ouvrit la bouche pour l’accueillir et le sucer. Quand il jugea que j’avais fais mon devoir, il retira le préservatif, avant de me remettre sa bitte dans la bouche en m’attrapant la tête de ses deux mains pour m’imposer son rythme.
Pendant, ce temps ;je sentis les mains d’André sur mes hanches et l’entendis plaisanter :
-« Dis donc, cousin, elle a le cul bien ouvert la salope… tu l’as bien démonté… je vais pas la louper non plus !!! »
-« Allez, maintenant, tu vas t’enculer toute seule ma belle salope. ALLEZ !!! »
-« Ca fait trop mal … » dis le souffle toujours court.
-« J’m’en fous, Tu préfères un peu de publicité ou tu préfères le faire toute seule comme une grande ? »
En disant ça, il brandissait son portable…
-« Non, Maître, arrêtez de me filmer s’il vous plait !!! »
-« ALORS ? TU PREFERES QUOI ? »
-« Je préfère le faire tout seul… Maître »
-« REDIS le salope tu t’es trompée d’accord !!!.... André Bourre la bien cette petite salope pour lui rafraichir la mémoire »
André s’enfonçât brutalement en moi trois ou quatre fois de suite, puis il s’arrêta, me laissant sans voix face à cette nouvelle douleur . Lorsqu’elle s’atténua légèrement Anatole repris :
-« Tu disais ma belle ? »
-« Je préfère m’enculer toute seule comme une grande Maître »
-« Hé ben, tu vois quand tu veux ? »
-« Et tu es quoi maintenant ?» Repris André qui recommençais à me bouger les hanches,
-« Je suis votre salope soumise »
-« HE BEN VOILA !!!! » dirent-ils en chœur.
Obéissant servilement, j’ai commencé à aller et venir sur cette queue plantée en moi, le plus lentement possible. André me claqua violemment les fesses et me dis :
-« Plus vite ma salope !!! »
J’accélérais comme il me l’imposait pendant que je prenais la bitte d’Anatole au fond de ma bouche …
Le rythme qu’il imprimait à ma bouche était de plus en plus rapide, et je savais ce qui allait se passer…

André, me repris les hanches et se mit à aller et venir de plus en plus vite, la douleur diminuait un peu, sauf quand il allait trop loin en moi. Dans ces moments là, je criais comme je pouvais la bouche toujours encombrée de cet énorme gland mafflu…
Je sentis les mains D’André se crisper sur mes hanches et je savais qu’il allait jouir en moi…
Les mains d’Anatole me tenaient fermement et je savais que je ne pourrais échapper à aucune des deux éjaculations… J’étais sur également qu’Anatole ne me lâcherait pas et qu’il m’obligerait à avaler tout son foutre…
Mes deux prévisions s’avérèrent justes je sentis les spasmes de la queue d’André dans mon cul et le bouillonnement de celle d’Anatole dans ma bouche… Il ne me laissât pas le loisir de résister, maintenant ma tête contre son ventre et ajoutant :
-« Avales tout ma salope soumise, fait plaisir à ton maître. »
J’avalais la semence qui emplissait ma bouche en m’étouffant à moitié.
Anatole me flatta la nuque en disant :
-« C’est bien ma salope maintenant tu es entièrement à moi n’est-ce pas ? »
Je reprenais mon souffle péniblement et eus de la peine à articuler :
-« oui Maître, je vous appartiens entièrement »
-« C’est bien. Bon, on va pas tarder. La prochaine fois que tu vois ta maîtresse, tu m’envoies le numéro de la chambre et le code d’accès ok ? Tu lui proposera un scénario où tu l’attache les yeux bandés. On se chargera du reste. Tu as bien compris salope ? »
-« Oui Maître j’ai bien compris »
-« Tu me donneras ta belle pour que j’en fasse une bonne salope soumise … comme toi n’est-ce pas ? »
-« Oui Maître, je vous la donnerez pour que vous en fassiez une salope soumise comme moi. »
-« Tu vois bien … bon allez à plus tard. Laisse ton téléphone ouvert et ne me déçois pas »

Ils partirent après s’être rhabillés, me laissant exsangue et complètement groggy.
Je venais de vivre une VRAIE descente aux enfer et je savais que je n’étais pas au bout de mes (nos) peines…

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