sea, sex and moon
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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sea, sex and moon
En regardant une scène d’amour sur une plage à la télé, Il me revint à l’esprit une très belle nuit de cet été passé…Nous étions sur la côte pour quelques jours, Rémi et moi. Paulo, quant à lui était à l’autre bout du monde, pour son boulot et ses photos. On avait passé la journée à se gorger de soleil sur la plage de cette petite crique pas trop fréquentée car assez difficile d’accès. La plupart du temps, Rémi et moi étions nus. On préférait ainsi, à savourer la douce caresse du soleil sur nos corps uniformément halés.
Comme nous étions un peu à l’écart, on pouvait, quand on le voulait, se caresser ou s’embrasser. Sinon, on n’aurait jamais tenu tout l’après midi sans se toucher. Il faut dire que sur cette crique, la majorité était nue mais plutôt hétéro. Quand on avait vraiment trop chaud, on allait s’ébrouer dans l’eau. Rémi en profitait souvent pour plonger et me sucer un peu sous l’eau. Je crois bien que notre petit manège n’avait pas échappé à certains couples sur la plage.
Il y avait d’ailleurs, pas trop loin de nous, un jeune couple hétéro dont le gars était vraiment beau. Ce gars n’arrêtait pas de nous regarder plus ou moins ouvertement. En plus, il bandait comme un âne, sans chercher à le dissimuler. Bien au contraire. Voulait- il nous envoyer ainsi un message ? On a supposé que c’était sa copine qui le mettait dans cet état là…Du coup, pour le chauffer, on s’est mis à s’embrasser à pleine bouche avec Rémi. A un moment, il nous a rejoint dans l’eau, en faisant mine de nager à proximité. On en est resté là. On n’a pas engagé la conversation.
En fin d’après midi, le soleil déclinant légèrement, la crique a commencé à se vider lentement. Vers vingt heures, on s’est retrouvé rien qu’à deux, Rémi et moi. C’était le moment qu’on préférait. On avait l’impression que ce joli coin de nature n’était que pour nous, qu’il nous appartenait, qu’on était seuls au monde … C’est à ce moment là qu’on a décidé de passer la nuit dans cette crique. On avait pas grand-chose à grignoter mais, pas grave. On n’en mourait pas.
On a ainsi longtemps regardé le soleil décliner derrière la colline et savouré la pénombre qui nous noyait très très progressivement.
Rémi entreprit alors une très longue approche. Le soleil de l’après midi nous avait gorgé de chaleur et … d’envie. Très sensuelle, très lente, très graduelle. Rémi a toujours su gérer ce genre d’approche. Ca doit venir de son tempérament et aussi, m’a-t-il dit, de son initiation précoce en Inde. Je me laissais faire, aux anges.
Il commença par me caresser du bout de ses doigts, partout mais en évitant surtout ma bite. Régulièrement, il me présentait deux doigts pour que je les lui suce. Puis, il m’effleura partout du bout de sa bite ruisselante de mouille. J’ai particulièrement apprécié quand il m’a labouré la raie, sans s’attarder sur ma rondelle. Wow ! Puis, du bout de sa langue pointée et humide. Toujours pas la bite, toujours pas les couilles. Puis, ce ne fut QUE la bite et les couilles. Avec sa bouche, avec son souffle chaud, avec sa langue, avec ses dents… Wow wow ! Il m’avait mis progressivement dans un état de tension pas possible. Je ne voulais plus qu’une chose : qu’il me défonce le plus sauvagement possible.
Mais, je savais aussi qu’il me faudrait patienter encore…Il se mit alors à genoux devant moi et me demanda de me coller à lui. Il empoigna mon cul et me tira tout contre lui. Nos deux bites se frottaient avec délice. Il en profita pour m’embrasser longuement, goulument. Je lui empoignais les cheveux et le tirais à moi aussi. Nos langues virevoltaient l’une contre l’autre, se cherchant, s’enroulant…Il se décolla et glissa lentement vers le bas, vers mon ventre… Il commença à me sucer le bout du gland qu’il comprimait légèrement avec ses lèvres. Puis, très très doucement, il avalait ma queue, centimètre par centimètre. De cette sensation là, je ne m’en lasserai jamais. Impossible. Pour le remercier, je lui proposais un 69 qu’il accepta bien volontiers. Je le gobais d’un coup. Direct la gorge profonde. J’avais trop envie de lui apporter du plaisir. J’avais bien pris en mains son petit cul avec ses fesses bien fermes. Je me régalais de sa pine chaude.
Après, il me fit me mettre en levrette et entreprit de me rtimmer interminablement. Dans ces cas là, j’écarte le plus possible mes genoux et j’offre ma raie du mieux que je peux. Rémi m’a déjà dit que de me voir ainsi dans cette position, ça le rendait fou. Oooooh ! Trop trop bon ! Je sentais sa langue qui me léchait encore et encore. A chaque passage, il s’attardait légèrement sur ma rondelle, qu’il agaçait de sa langue pointée. Puis, il entreprit de me dilater un max. D’abord une phalange, puis un doigt, puis deux et enfin trois. Je le sentais parfaitement me fouiller, me caresser la prostate. Trop bon. J’ondulais des fesses. Pour me préparer tout à fait, il commença à me passer un gode qu’il avait emmené dans son sac à dos, à tout hasard bien sûr. Il avait aussi pensé au gel. Il commença à me limer doucement après me l’avoir enfoncé délicatement à fond. J’adore tous ces préparatifs, synonymes de plaisirs à venir.
C’est alors qu’il me demanda de me mettre sur le dos. Il m’ouvrit les jambes, très haut relevées et vint se lover contre moi, cherchant à me pénétrer doucement. Ce qu’il fit sans difficulté aucune mais sans aucune précipitation non plus. Je pouvais ainsi savourer chaque centimètre de sa progression en moi. J’ai toujours adoré ces moments là. Je lui murmurais à l’oreille :« -Viens ! Viens en moi !! Prends moi ! Mets la moi ! A fond ! J’aime ta bite !!! »Ooooh que j’aime sa bite ! Je la sens parfaitement bien qui glisse doucement en moi. Je lui griffe le dos de bonheur.
C’est à ce moment précis que deux ombres apparurent sur la plage dans la nuit noire mais éclairée quand même par une belle lune. Un couple, jeune et amoureux qui cherchait un coin tranquille pour faire l’amour, eux aussi. Ils passèrent tout près de nous. Rémi n’en continua pas moins à me limer doucement. Ils allèrent s’allonger à une quinzaine de mètres de nous. Je distinguais parfaitement leurs silhouettes qui se détachaient dans la nuit . Je ne pouvais m’empêcher de les regarder à la dérobée. A première vue, c’était plutôt la fille qui avait l’initiative. Le gars se laissait faire, allongé. Un peu comme moi, d’ailleurs. Rémi, lui aussi, jetait un œil de temps à autre. Tous les deux, on est un peu, beaucoup voyeurs et donc exhibs aussi.
Mais bon, Rémi restait concentré sur sa tâche - qui n’en était pas une d’ailleurs -. Méthodiquement, il me labourait. Toujours à la même cadence. C’était ça son secret pour durer, disait-il. Il ne fallait pas varier le rythme sinon on se faisait embarquer vers la jouissance rapide ! J’adorais ça. Je lui disais sans arrêt. Il m’avait avoué qu’il aimait ça les mots doux ou les mots crus pendant l’acte. Régulièrement, je l’attirais vers moi pour me repaître de sa bouche, de ses lèvres, de sa langue. A babord, la fille s’empalait et se relevait sur la bite de son copain, en gémissant. On l’entendait très bien de là où ion était. Du coup, moi aussi je me mis à gémir. Oh, j’ai pas eu à me forcer beaucoup, ce que Rémi me donnait me comblait tout à fait. L’impression était extraordinaire. Se faire ainsi labourer sous le ciel étoilé dans la nuit chaude avec un couple à proximité… Je dis à Rémi que je voulais que ce moment dure éternellement.
A babord toujours, cette fois le gars avait repris l’initiative et était entrain de prendre sa copine en levrette. A l’entendre, elle avait l’air d’aimer ça.
Rémi, imperceptiblement, augmentait la cadence de ses coups de bite. Je le connaissais assez pour savoir qu’il voulait aller vers l’explosion. Il se mit à haleter, son corps se couvrit d’une fine pellicule de sueur.
« -Vas y Rémi ! Défonce moi ! A fond ! »J’avais presque hurlé. Le petit couple avait tourné la tête vers nous. Je voulais qu’il me remplisse de son foutre brûlant, à raz bord… Du coup, eux aussi avaient enclenché la vitesse supérieure. Le gars avait remis sa copine sur le dos et la bourrait énergiquement. Les cris de sa copine se faisaient de plus en plus rauques et continus. Si ça tombe, on allait jouir en même temps ! Maintenant, Rémi était déchaîné. Il venait me percuter violemment à chacun de ses coups de reins. Il était hors d’haleine. Je lui tirais les fesses à toute vitesse. Il avait la bite en feu, j’avais le cul en feu.
Le gars de la plage explosa juste avant Rémi. On l’entendit pousser un cri de bête. A peine une minute plus tard, c’est Rémi qui déchargeait dans mon ventre tout ce que ses couilles pouvaient contenir de sperme chaud. Trop trop booon ! Il me tomba dessus, anéanti. Un grand silence se fit de chaque côté de la plage, chacun essayant de reprendre ses esprits tout en se laissant couler dans un état semi comateux.
« -Wouah ! J’ai joui comme jamais ! Et toi, tu as eu du plaisir ? » me dit Rémi .
-Oui, moi aussi. Et j’en aurai encore d’ici peu…-C’est quand tu voudras. »Je le caressais longuement sur le dos, le cou, les cheveux. Je lui faisais de petits bisous sur le front. Surtout, je le laissais récupérer un peu. J’avais ma petite idée sur la façon dont je voulais jouir à mon tour. Ca se passerait dans la mer.
Une fois qu’il eut retrouvé son souffle et sombré un peu dans une légère torpeur, je le secouais légèrement et lui proposais d’aller dans l’eau. Il ne se fit pas prier. Je crois que notre petit couple nous avait vu car, très peu de temps après, eux aussi allèrent à l’eau. Ce qu’on remarqua tout de suite, Rémi et moi, malgré l’obscurité, c’est que le gars était magnifiquement monté, surtout après la séance qu’il venait d’avoir avec sa copine. Ils s’approchèrent de nous en nageant pour nous saluer. C’est vrai qu’on était devenu un peu intime après tout ça. Ils étaient très sympas, rigolos, et nous laissèrent car on avait sûrement encore « des choses » à faire…Bien vu ! J’avais, plus que jamais, envie de Rémi. On alla jusqu’à avoir de l’eau jusqu’au pecs. Je me mis à plonger régulièrement pour lui titiller la rondelle. Pas facile sous l’eau, sans boire la tasse. Du coup, j’utilisais plutôt mes doigts pour le dilater un peu. Je comptais aussi sur l’eau. Je me plaçais derrière lui, lui écartais les jambes et essayais de le pénétrer doucement. Finalement, ce fut assez facile et, bientôt, je me retrouvais bien au chaud dans son ventre. Le petit couple avait compris et nous faisait des pouces levés.
C’étai super bon d’embrocher ainsi Rémi et de le soulever aussi facilement dans l’eau. Je commençais à le chahuter sur ma queue. Il se tournait aux trois quarts, cherchant ma bouche. Finalement, il trouva plus simple de se retirer et de venir se réempaler aussitôt, en me faisant face. J’avais un plaisir fou à le faire ainsi aller et venir sur ma tige. Lui aussi aimait ça. Il me le dit à l’oreille.
« -J’adore quand tu me bourres ainsi. Mets la moi profond ! »Ses mots m’électrisaient et je me mis à le trombonner de plus en plus vite, de plus en plus fort. Avec l’eau, la sensation était différente. Plus douce, plus…diluée. Trop bon quand même ! J’y allais au maximum. Le petit couple s’étai arrêté de nager pour nous regarder sans fausse honte. La savait-il que j’adorais ça être regardé dans ces moments là ? En tous cas, cela rajouta à mon excitation. Et, bientôt, je me répandis dans le ventre de Rémi.
On profita de la mer pour se laver après tous ces ébats. Très naturellement, le petit couple - Léa et Tim – vinrent installer leur serviette auprès de la nôtre sur la plage. On commença à discuter et à faire connaissance. Comme souvent avec des jeunes, la conversation roula rapidement sur le sexe. Ainsi, ils nous dirent qu’ils avaient beaucoup d’amis homos mais que c’était la première fois qu’ils en voyaient deux faire l’amour. Et ça les avait bouleversé. Tim, quant à lui s’était déjà posé la question d’une expérience homo. Rémi alla jusqu’à lui dire qu’avec ce qu’il avait entre les jambes, il n‘aurait aucun mal à trouver un partenaire ! Sacré Rémi ! On se promit mentalement de les inviter rapidement à la maison.
Mais assez vite, le silence se fit progressivement. On était tous épuisé par nos ébats et on sombra dans un sommeil réparateur, collés l’un à l’autre.
Vers le milieu de la nuit, je fus réveillé par une légère sensation de froid, Rémi dormait encore profondément, par contre, nos voisins avaient disparu. En regardant mieux, à la lueur de mon portable, je vis qu’ils avaient gravé leur 06 dans le sable. Je le notais. Rémi se réveilla et on décida d’aller finir la nuit à la location.
On n’oublierait pas de sitôt cette nuit là.
Comme nous étions un peu à l’écart, on pouvait, quand on le voulait, se caresser ou s’embrasser. Sinon, on n’aurait jamais tenu tout l’après midi sans se toucher. Il faut dire que sur cette crique, la majorité était nue mais plutôt hétéro. Quand on avait vraiment trop chaud, on allait s’ébrouer dans l’eau. Rémi en profitait souvent pour plonger et me sucer un peu sous l’eau. Je crois bien que notre petit manège n’avait pas échappé à certains couples sur la plage.
Il y avait d’ailleurs, pas trop loin de nous, un jeune couple hétéro dont le gars était vraiment beau. Ce gars n’arrêtait pas de nous regarder plus ou moins ouvertement. En plus, il bandait comme un âne, sans chercher à le dissimuler. Bien au contraire. Voulait- il nous envoyer ainsi un message ? On a supposé que c’était sa copine qui le mettait dans cet état là…Du coup, pour le chauffer, on s’est mis à s’embrasser à pleine bouche avec Rémi. A un moment, il nous a rejoint dans l’eau, en faisant mine de nager à proximité. On en est resté là. On n’a pas engagé la conversation.
En fin d’après midi, le soleil déclinant légèrement, la crique a commencé à se vider lentement. Vers vingt heures, on s’est retrouvé rien qu’à deux, Rémi et moi. C’était le moment qu’on préférait. On avait l’impression que ce joli coin de nature n’était que pour nous, qu’il nous appartenait, qu’on était seuls au monde … C’est à ce moment là qu’on a décidé de passer la nuit dans cette crique. On avait pas grand-chose à grignoter mais, pas grave. On n’en mourait pas.
On a ainsi longtemps regardé le soleil décliner derrière la colline et savouré la pénombre qui nous noyait très très progressivement.
Rémi entreprit alors une très longue approche. Le soleil de l’après midi nous avait gorgé de chaleur et … d’envie. Très sensuelle, très lente, très graduelle. Rémi a toujours su gérer ce genre d’approche. Ca doit venir de son tempérament et aussi, m’a-t-il dit, de son initiation précoce en Inde. Je me laissais faire, aux anges.
Il commença par me caresser du bout de ses doigts, partout mais en évitant surtout ma bite. Régulièrement, il me présentait deux doigts pour que je les lui suce. Puis, il m’effleura partout du bout de sa bite ruisselante de mouille. J’ai particulièrement apprécié quand il m’a labouré la raie, sans s’attarder sur ma rondelle. Wow ! Puis, du bout de sa langue pointée et humide. Toujours pas la bite, toujours pas les couilles. Puis, ce ne fut QUE la bite et les couilles. Avec sa bouche, avec son souffle chaud, avec sa langue, avec ses dents… Wow wow ! Il m’avait mis progressivement dans un état de tension pas possible. Je ne voulais plus qu’une chose : qu’il me défonce le plus sauvagement possible.
Mais, je savais aussi qu’il me faudrait patienter encore…Il se mit alors à genoux devant moi et me demanda de me coller à lui. Il empoigna mon cul et me tira tout contre lui. Nos deux bites se frottaient avec délice. Il en profita pour m’embrasser longuement, goulument. Je lui empoignais les cheveux et le tirais à moi aussi. Nos langues virevoltaient l’une contre l’autre, se cherchant, s’enroulant…Il se décolla et glissa lentement vers le bas, vers mon ventre… Il commença à me sucer le bout du gland qu’il comprimait légèrement avec ses lèvres. Puis, très très doucement, il avalait ma queue, centimètre par centimètre. De cette sensation là, je ne m’en lasserai jamais. Impossible. Pour le remercier, je lui proposais un 69 qu’il accepta bien volontiers. Je le gobais d’un coup. Direct la gorge profonde. J’avais trop envie de lui apporter du plaisir. J’avais bien pris en mains son petit cul avec ses fesses bien fermes. Je me régalais de sa pine chaude.
Après, il me fit me mettre en levrette et entreprit de me rtimmer interminablement. Dans ces cas là, j’écarte le plus possible mes genoux et j’offre ma raie du mieux que je peux. Rémi m’a déjà dit que de me voir ainsi dans cette position, ça le rendait fou. Oooooh ! Trop trop bon ! Je sentais sa langue qui me léchait encore et encore. A chaque passage, il s’attardait légèrement sur ma rondelle, qu’il agaçait de sa langue pointée. Puis, il entreprit de me dilater un max. D’abord une phalange, puis un doigt, puis deux et enfin trois. Je le sentais parfaitement me fouiller, me caresser la prostate. Trop bon. J’ondulais des fesses. Pour me préparer tout à fait, il commença à me passer un gode qu’il avait emmené dans son sac à dos, à tout hasard bien sûr. Il avait aussi pensé au gel. Il commença à me limer doucement après me l’avoir enfoncé délicatement à fond. J’adore tous ces préparatifs, synonymes de plaisirs à venir.
C’est alors qu’il me demanda de me mettre sur le dos. Il m’ouvrit les jambes, très haut relevées et vint se lover contre moi, cherchant à me pénétrer doucement. Ce qu’il fit sans difficulté aucune mais sans aucune précipitation non plus. Je pouvais ainsi savourer chaque centimètre de sa progression en moi. J’ai toujours adoré ces moments là. Je lui murmurais à l’oreille :« -Viens ! Viens en moi !! Prends moi ! Mets la moi ! A fond ! J’aime ta bite !!! »Ooooh que j’aime sa bite ! Je la sens parfaitement bien qui glisse doucement en moi. Je lui griffe le dos de bonheur.
C’est à ce moment précis que deux ombres apparurent sur la plage dans la nuit noire mais éclairée quand même par une belle lune. Un couple, jeune et amoureux qui cherchait un coin tranquille pour faire l’amour, eux aussi. Ils passèrent tout près de nous. Rémi n’en continua pas moins à me limer doucement. Ils allèrent s’allonger à une quinzaine de mètres de nous. Je distinguais parfaitement leurs silhouettes qui se détachaient dans la nuit . Je ne pouvais m’empêcher de les regarder à la dérobée. A première vue, c’était plutôt la fille qui avait l’initiative. Le gars se laissait faire, allongé. Un peu comme moi, d’ailleurs. Rémi, lui aussi, jetait un œil de temps à autre. Tous les deux, on est un peu, beaucoup voyeurs et donc exhibs aussi.
Mais bon, Rémi restait concentré sur sa tâche - qui n’en était pas une d’ailleurs -. Méthodiquement, il me labourait. Toujours à la même cadence. C’était ça son secret pour durer, disait-il. Il ne fallait pas varier le rythme sinon on se faisait embarquer vers la jouissance rapide ! J’adorais ça. Je lui disais sans arrêt. Il m’avait avoué qu’il aimait ça les mots doux ou les mots crus pendant l’acte. Régulièrement, je l’attirais vers moi pour me repaître de sa bouche, de ses lèvres, de sa langue. A babord, la fille s’empalait et se relevait sur la bite de son copain, en gémissant. On l’entendait très bien de là où ion était. Du coup, moi aussi je me mis à gémir. Oh, j’ai pas eu à me forcer beaucoup, ce que Rémi me donnait me comblait tout à fait. L’impression était extraordinaire. Se faire ainsi labourer sous le ciel étoilé dans la nuit chaude avec un couple à proximité… Je dis à Rémi que je voulais que ce moment dure éternellement.
A babord toujours, cette fois le gars avait repris l’initiative et était entrain de prendre sa copine en levrette. A l’entendre, elle avait l’air d’aimer ça.
Rémi, imperceptiblement, augmentait la cadence de ses coups de bite. Je le connaissais assez pour savoir qu’il voulait aller vers l’explosion. Il se mit à haleter, son corps se couvrit d’une fine pellicule de sueur.
« -Vas y Rémi ! Défonce moi ! A fond ! »J’avais presque hurlé. Le petit couple avait tourné la tête vers nous. Je voulais qu’il me remplisse de son foutre brûlant, à raz bord… Du coup, eux aussi avaient enclenché la vitesse supérieure. Le gars avait remis sa copine sur le dos et la bourrait énergiquement. Les cris de sa copine se faisaient de plus en plus rauques et continus. Si ça tombe, on allait jouir en même temps ! Maintenant, Rémi était déchaîné. Il venait me percuter violemment à chacun de ses coups de reins. Il était hors d’haleine. Je lui tirais les fesses à toute vitesse. Il avait la bite en feu, j’avais le cul en feu.
Le gars de la plage explosa juste avant Rémi. On l’entendit pousser un cri de bête. A peine une minute plus tard, c’est Rémi qui déchargeait dans mon ventre tout ce que ses couilles pouvaient contenir de sperme chaud. Trop trop booon ! Il me tomba dessus, anéanti. Un grand silence se fit de chaque côté de la plage, chacun essayant de reprendre ses esprits tout en se laissant couler dans un état semi comateux.
« -Wouah ! J’ai joui comme jamais ! Et toi, tu as eu du plaisir ? » me dit Rémi .
-Oui, moi aussi. Et j’en aurai encore d’ici peu…-C’est quand tu voudras. »Je le caressais longuement sur le dos, le cou, les cheveux. Je lui faisais de petits bisous sur le front. Surtout, je le laissais récupérer un peu. J’avais ma petite idée sur la façon dont je voulais jouir à mon tour. Ca se passerait dans la mer.
Une fois qu’il eut retrouvé son souffle et sombré un peu dans une légère torpeur, je le secouais légèrement et lui proposais d’aller dans l’eau. Il ne se fit pas prier. Je crois que notre petit couple nous avait vu car, très peu de temps après, eux aussi allèrent à l’eau. Ce qu’on remarqua tout de suite, Rémi et moi, malgré l’obscurité, c’est que le gars était magnifiquement monté, surtout après la séance qu’il venait d’avoir avec sa copine. Ils s’approchèrent de nous en nageant pour nous saluer. C’est vrai qu’on était devenu un peu intime après tout ça. Ils étaient très sympas, rigolos, et nous laissèrent car on avait sûrement encore « des choses » à faire…Bien vu ! J’avais, plus que jamais, envie de Rémi. On alla jusqu’à avoir de l’eau jusqu’au pecs. Je me mis à plonger régulièrement pour lui titiller la rondelle. Pas facile sous l’eau, sans boire la tasse. Du coup, j’utilisais plutôt mes doigts pour le dilater un peu. Je comptais aussi sur l’eau. Je me plaçais derrière lui, lui écartais les jambes et essayais de le pénétrer doucement. Finalement, ce fut assez facile et, bientôt, je me retrouvais bien au chaud dans son ventre. Le petit couple avait compris et nous faisait des pouces levés.
C’étai super bon d’embrocher ainsi Rémi et de le soulever aussi facilement dans l’eau. Je commençais à le chahuter sur ma queue. Il se tournait aux trois quarts, cherchant ma bouche. Finalement, il trouva plus simple de se retirer et de venir se réempaler aussitôt, en me faisant face. J’avais un plaisir fou à le faire ainsi aller et venir sur ma tige. Lui aussi aimait ça. Il me le dit à l’oreille.
« -J’adore quand tu me bourres ainsi. Mets la moi profond ! »Ses mots m’électrisaient et je me mis à le trombonner de plus en plus vite, de plus en plus fort. Avec l’eau, la sensation était différente. Plus douce, plus…diluée. Trop bon quand même ! J’y allais au maximum. Le petit couple s’étai arrêté de nager pour nous regarder sans fausse honte. La savait-il que j’adorais ça être regardé dans ces moments là ? En tous cas, cela rajouta à mon excitation. Et, bientôt, je me répandis dans le ventre de Rémi.
On profita de la mer pour se laver après tous ces ébats. Très naturellement, le petit couple - Léa et Tim – vinrent installer leur serviette auprès de la nôtre sur la plage. On commença à discuter et à faire connaissance. Comme souvent avec des jeunes, la conversation roula rapidement sur le sexe. Ainsi, ils nous dirent qu’ils avaient beaucoup d’amis homos mais que c’était la première fois qu’ils en voyaient deux faire l’amour. Et ça les avait bouleversé. Tim, quant à lui s’était déjà posé la question d’une expérience homo. Rémi alla jusqu’à lui dire qu’avec ce qu’il avait entre les jambes, il n‘aurait aucun mal à trouver un partenaire ! Sacré Rémi ! On se promit mentalement de les inviter rapidement à la maison.
Mais assez vite, le silence se fit progressivement. On était tous épuisé par nos ébats et on sombra dans un sommeil réparateur, collés l’un à l’autre.
Vers le milieu de la nuit, je fus réveillé par une légère sensation de froid, Rémi dormait encore profondément, par contre, nos voisins avaient disparu. En regardant mieux, à la lueur de mon portable, je vis qu’ils avaient gravé leur 06 dans le sable. Je le notais. Rémi se réveilla et on décida d’aller finir la nuit à la location.
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