Séance 4

- Par l'auteur HDS Curieuse_ -
Récit érotique écrit par Curieuse_ [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Séance 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Séance 4
Vous sortez de la chambre muni d’un sac de voyage, je vous regarde interrogative mais pour seule réponse, vous m'ordonner d’aller mettre la tenue que vous avez préparé sur le lit. J’y découvre un pull blanc assez chaud ainsi qu’une jupe patineuse noire assez courte. Étant en string, comme vous me l’obligez à chaque fois que je suis à l’appart, me préparer est assez rapide. Je vous rejoins et vous me regardez avec un grand sourire aux lèvres en me demandant de retirer mon string puis de vous le donnez ainsi que mon téléphone. Je m'exécute à contre cœur mais ne dis rien, ne voulant pas récolter une punition en prime. Une fois que je vous ai remis mon seul sous-vêtement présent sur moi, vous récupérez le sac avant de m’inviter à vous suivre jusqu’à votre voiture. Je me questionne toujours sur ce qu’on va faire puisqu’on est en fin d’après-midi et on n’avait rien de prévu à part se reposer.

Après s’être installé en voiture, vous sortez un bandeau de votre poche afin de le mettre sur mes yeux. Par la suite, vous me demandez d’écarter les cuisses, je m’exécute parce que je sais que même si la voiture est dans une rue peu fréquentée, la jupe est assez longue pour me cacher. Vous faufilez votre main entre mes cuisses pour me caresser doucement, je panique un peu, ne voyant rien j’ai peur qu’un passant nous aperçoive, je sers mes mains le plus fort possible pour éviter de pousser la vôtre et resserrer les cuisses. Vous me voyez certainement faire mais vous dites rien, vous préférez enfoncer le clou en me demandant de relever les genoux au niveau de ma poitrine tout en les gardant assez écartés pour que vous puissiez avoir accès à ma chatte. Je secoue négativement la tête mais un pincement sur la peau au niveau de l’aine me décide à le faire. Je prend la position souhaitée assez lentement tout en respirant doucement afin de calmer mon stress, votre main reprend rapidement sa place et ses mouvements.

- Bah dis donc, pour quelqu’un qui n’a pas l’air enchanté par ce qui se passe, tu mouilles beaucoup.

Outrée par votre remarque mais surtout gênée, une de mes mains tente de repousser la vôtre et j’essaie de refermer mes cuisses.

- Je te déconseille de faire ça à moins que tu veuilles passer le trajet dans ta position actuelle et les mains attachées dans ton dos, là les passants auront de quoi mater.

- Pardon monsieur, je ne le ferai plus.

Je me remets dans la position et garde les mains agrippées sur les bords du siège. Rapidement un de vos doigts entre en moi, suivi d’un second. Je prie de toutes mes forces que personne ne passe, je préfère me concentrer sur mes questionnements intérieurs, peut-être que c’est considérer comme de la nudité sur la voie publique ?
Vous retirez finalement vos doigts mais ma joie n’est qu’éphémère puisque c’est au tour de l'œuf vibrant de prendre place en moi. Vous m’autorisez après cela à reprendre une position plus décante, je me cale bien droite dans le siège et ferme vivement les jambes, puis vous m’aidez à m'attacher puisque c’est un peu complexe avec les yeux bandés.

- Monsieur, est-ce que je peux retirer le bandeau ?

- J’étais en train de songer à te le retirer mais puisque tu as l’air pressée de l’enlever, tu vas le garder tout le trajet.

Ne pouvant pas regardez la route et n’ayant pas de distractions autre que la radio qui comme de par hasard ne parle que d’information et aucune musique, le temps me paraît super long, une part de moi a envie de soulever discrètement le bandeau mais la voix de la raison me dissuade de le faire pour éviter une punition, surtout si cette dernière est de mettre à exécution ce que vous m’avez dit plus tôt.
Je finis par me rabattre sur l’idée de dormir, je me cale sur le côté, rapprochant mes genoux de ma poitrine, étant ainsi en position foetale tourné vers la vitre, il ne me manque qu’un plaid et je peux faire ma meilleure sieste mais cela m’étonnerait que vous en ayez pris un. Lorsque je pense pouvoir dormir, les vibrations de l’oeuf se mettent en route.

- Si je ne peux pas dormir, tu ne le feras pas non plus

- Mais ce n’est pas juste, j’ai rien à faire, je ne peux même pas regarder le paysage ni mon tel.

- Et alors ? Remets-toi correctement et n'essaie même pas de dormir.

Je souffle fortement, n’ayant pas l’habitude de rester dans le noir, néanmoins je ne me remets pas à cent pour cent correctement, je préfere me remettre face au parebrise tout en gardant mes genoux coller à la poitrine, peut importe que les gens puissent voir quelque chose, la situation m’a énervée. Vous ne dites rien mais je sens les vibrations de l'œuf s'accentuer. Je sais d’ors et déjà que je n’ai pas le droit de jouir donc le reste du trajet s’annonce passionnant.

Au moment où je pense devenir folle avec mes pensées, je sens la voiture s’arrêter, je me remets alors dans ma position initiale et attend que vous parliez ou juste que vous me libériez enfin la vue. Comme si vous m’aviez entendu, le bandeau quitte mes yeux, je vois que nous sommes garés sur un parking et que la nuit commence à tomber, je ne sais pas quelle heure il est puisque le contact de la voiture est éteint. Vous descendez de la voiture et m’invitez à faire de même, l’air s’est rafraîchie et la chair de poule prend place sur mes jambes nues. Par la même occasion, vous éteignez le jouet en moi. Toujours sans un mot, vous récupérez le sac avant de vous dirigez vers un hôtel. Vous ne regardez même pas si je vous suit, mais au final j’ai pas d’autre choix, je vais pas camper à côté de la voiture que vous avez évidemment fermé à clé et en plus ayant déjà froid, je préfère me mettre au chaud.

Arrivé à l’accueil vous donnez le nom de la réservation au monsieur, je hausse les sourcils surprise que cela était prévu. Je ne calcule pas trop ce que vous faites, préférant observer le décor jusqu’à ce que les vibrations ne reprennent. Je contracte le périné pour éviter de me taper la plus grosse honte de ma vie si le jouet venait à tomber, bien que cela soit peu probable vu que j’ai marché jusque là et il n’est pas tombé, je baisse également la tête en rougissant sachant qu’il y a de grande chance que l’homme entende les vibrations que le jouet émet.

Rapidement après ça, je vous entend souhaiter une bonne soirée au monsieur, bien que je passe pour une malpolie je n’ose pas relever la tête pour lui souhaiter également. Je vous suit et croise les doigts pour ne pas paraître suspecte dans ma façon de marcher, lorsque je vois les escaliers, je ronchonne et prie encore plus que le mec se soit concentrée sur une autre tâche et ne nous regarde pas partir interrogatif.

Lorsque nous arrivons dans la chambre, je ferme la porte et me laisse glisser contre cette dernière, mettant la tête entre mes jambes. Je laisse échapper un souffle et tente d’échapper au sentiment de honte qui me traverse. De votre côté, je vous entend vous déplacez avant de revenir, sûrement pour poser le sac sur le lit ou que sais-je.

- A genoux soumise

Je m'exécute rapidement gardant la tête baissée, je me mets à genoux, le dos bien droit, les jambes bien écartées et les mains dans le dos attrapant mes coudes. Vous mettez, ce que je reconnais être mon collier avant de vous baisser et de tirer doucement sur l'œuf en faisant des vas et viens, pendant ce temps je me concentre pour ne pas bouger ni faire de bruit. Vous finissez par le retirer de mon vagin, je vous regarde faire et essaie de comprendre ce que vous allez faire puisque vous ne l’avez pas éteint. Vous me regardez droit dans les yeux et m'ordonnez d’ouvrir la bouche. Vous me introduisez dedans et comme une bonne soumise docile, je ferme la bouche et attend votre prochain ordre. Ayant le goût de ma mouille mais aussi l’excitation que je ressens face à cette scène, je rougis et baisse la tête. C’est sans compter sur vos doigts qui se placent sous mon menton pour me faire relever la tête afin de vous regardez dans les yeux.

- N’aie pas honte de ce que tu es et ressens soumise. Maintenant, tu vas aller dans la salle de bain, à quatre pattes bien évidemment, tu vas nettoyer le jouet et le ranger dans le sac puis tu iras prendre ta douche. Pendant ce temps, je vais aller chercher à manger parce qu'il commence à se faire tard et qu’on doit manger. Si en sortant de la douche je ne suis toujours pas là, tu te mettras au pied du lit dans la même position que tu es là, actuellement. Compris ?

- Oui monsieur, j’ai compris.

Vous vous décalez légèrement pour me laisser passer, j’essaie de marcher le plus gracieusement possible, ondulant du plus que je peux des hanches, malgré tout, je ne sais pas où est la salle de bain donc mon temps d’arrêt après trois pas de fait doit être assez drôle de votre point de vue. Je repère assez facilement la porte dans un coin de la pièce et décide d’y aller. Entre-temps, vous avez éteint le jouet, ce qui me facilite la tâche. Très vite, j'ai fini de le nettoyer et part le ranger. Je m’aperçois que vous êtes déjà parti et décide de foncer à la douche, je remarque que vous m’avez laissé un string propre sur le lit et comprend que j’aurais le droit de porter les mêmes vêtements que d’habitude.
Lorsque je sors de la douche, vous n’êtes toujours pas rentré, je mets ma tenue dans le sac et tombe par hasard sur mon téléphone, j’hésite à le prendre puis je me dis que je vous entendrais mettre la clé dans la serrure pour rentrer donc j’aurais le temps de le ranger. Je me mets à plat ventre sur le lit et part vadrouiller sur les réseaux.

Sans l’entendre venir, une claque monumentale m’arrive sur la fesse, je sursaute et me retourne rapidement ne comprenant pas ce qui se passe. Je vous vois debout avec dans votre main un sac de nourriture qui doit être une pizza si j’en crois l’odeur. Surprise, je regarde mon tel et m’aperçois que ça fait 15 min je suis dessus, je devais être tellement absorbé que je ne vous ai pas entendu rentrer. Je n’ose même pas parlé, ni vous regardez, je m’assoie face à vous, au bout du lit, et baisse la tête en attente de votre jugement.

- Tu n’as rien à dire ?

- Je suis désolé monsieur

- C’est tout ? Je t’avais donné un ordre, rappelle le moi

- Je devais vous attendre au pied du lit à genoux après ma douche

- Ok ta mémoire fonctionne donc pourquoi tu n’es pas dans la position ? Et encore mieux, pourquoi tu as ton téléphone alors que je ne te l’es pas donné et que tu n’avais même pas l’autorisation de l’avoir ?

- Je suis désolé monsieur, en rangeant ma tenue après la douche dans le sac, je suis tombé dessus, je voulais juste regarder 5 min les réseaux puis le ranger.

- Donc en plus tu avais prévu de l’utiliser dans mon dos et tu ne me l’aurais pas dit si je ne t’avais pas surprise. Tu aggraves ton cas. Au coin, tout de suite.

Je ne fais pas la fière et me dépêche d’aller au coin, je prend l’initiative d’y aller à quatre pattes même si je pense que vous me l’auriez ordonner en me voyant sur 2 pieds. Je me place rapidement, les mains derrière la tête et les fesses décollées des pieds. Je vous entends sortir la nourriture du sac, c’est le moment qu’à choisi mon ventre pour se manifester, j’ai vu sur mon téléphone que l’heure du repas habituel était largement passé, je n’ose pas demandé à manger et continue de fixer le mur.

Vous finissez par venir dans mon dos, m’attendant à vous entendre parlez, je tends l’oreille mais c’est un vif coup sur la fesse que j'obtiens. Je geins un peu, ne m’y attendant pas mais aussi parce que ça fait super mal, on aurait dit un coup de branche de bois fine tellement ça fouette. Plusieurs coups s'enchaînent, les larmes coulent à flots mais j’essaie de pas bouger, lorsque je pose les fesses sur les talons pour tenter d’y échapper, vous m'agripper les cheveux pour me forcer à me remettre dans la position. Suivant le dernier coup, vous m'ordonner de me faire face. Je prends les devant et m’excuse une nouvelle fois pour mon comportement et les gestes que j’ai fait sans autorisation en n'exécutant pas les seuls ordres que j’avais.

- Pour la dernière partie de ta punition, tu vas aller voir le mec de l’accueil pour lui demander une seconde couette, les soumises désobéissantes n’ont pas à dormir avec leur maître. Tu iras avec ton collier et je te passerai un t-shirt. Je te nourrirais après ça.

N’ayant pas l’habitude de sortir avec mon collier, ayant peur du regard des autres, je vous regarde avec de la détresse dans les yeux, je ne veux pas cependant votre regard est très clair vous ne changerez pas d’avis.

Vous me donnez rapidement un de vos t-shirts, à croire que vous ne m’avez pas prévu de tenue pour demain, vu que vous êtes plus grand que moi, votre t-shirt me couvre jusqu’au dessous des fesses. J’essaie de retarder le moment, de plus j’ai peur que les traces sur mes fesses se voient quand je remonte les escaliers, mais vous me faîtes comprendre que si je veux pas en prendre plus, je devrais me dépêcher d’y aller.

Je sors dans le couloir, je fais de petits pas en tirant au maximum sur le t-shirt au cas où quelqu’un sortirait d’une chambre. Arrivé aux escaliers, je jette un coup d'œil et voit que la porte de la chambre est fermée, alors je fais quelque chose qui risque de me coûter cher si vous l’apprenez, je retire mon collier et le cache dans ma main. Étant déjà plus rassuré, je descends rapidement les marches, on est au premier étage donc il y en a pas beaucoup.
Après avoir récupéré une seconde couette auprès de l’agent d’accueil, qui s’est déroulé lors d’une discussion plutôt gênante puisque j’ai rougit dès le début de ma première phrase, je monte les escaliers. Je fais quand même attention que le t-shirt ne se soulève pas trop, bien que j’ai un string j’ai pas envie qu’il le voit, mais la tâche est un peu complexe avec une couette double dans les mains qui m’empêche de voir où je marche.

Dans ma précipitation de rentrer, je ne prends même pas le temps de remettre mon collier et m’aperçois de l’erreur quand vous vous tournez vers moi en m’entendant entrer. Je me rétrécis sur moi-même en même temps que votre regard.

- Dis-moi que je rêve et que tu as bien ton collier autour du cou ?

- Euh … non monsieur

- Tu as encore désobéi ? Je te donne une punition et tu trouves encore le moyen de désobéir ? Tu ne retiens pas la leçon ?

Votre ton me donne envie de pleurer, je ne souhaitais pas désobéir mais je n’en étais pas capable, l’essai de me justifier mais aucun mot de ne veut sortir, si j’essaie je sais que je vais pleurer mais je n’ai pas envie de m’afficher comme ça devant vous.

- Tu ne sais plus parler ? Tu sais quoi, au final tu as été cherché une couette pour rien, tu dormiras à même le sol et en culotte, tu ne mérites pas le confort. En attendant, viens manger, je ne fais pas t’affamer ça me sers à rien.

Avec tout ça, je n’ai même pas faim, j’ai le ventre noué à cause de la déception que je vous ai causé. Je sais que je ne suis pas forcément parfaite mais je ne voulais pas vous décevoir ainsi. Je laisse la couette dans une chaise et vous rejoins. Vous êtes posé sur le lit, je me mets donc à genoux à côté de ce dernier et attend que vous me nourrissez. Je me force à manger ce que vous m’avez donné dans ma gamelle, je garde la tête baissée après avoir récupéré la nourriture et manger au sol comme la chienne que je suis.


Après manger et après ma toilette, vous me montrez dans quel coin de la pièce je vais dormir, je suis à l’autre bout du lit, sur un sol froid. Pendant ce temps, je vous entends vous mettre dans le lit et allumer la télé, je ne peux même pas la regarder puisque vous m’avez interdit de me tourner vers autre chose que le mur.

Malgré moi, les larmes coulent silencieusement, je sais que j’aurais pu l’éviter et que j’aurais pu faire face au mec de l’accueil avec mon collier mais j’ai préféré la facilité quitte à vous décevoir. J’essaie pendant un long moment de m’endormir, je pense que je bouge pendant de longue heures, je peux même pas me caler sur l’heure que vous éteignez la télé puisque je sais que vous vous endormez beaucoup plus tardivement que moi. Je râle dans ma tête, évitant de faire trop de bruit pour ne pas vous déranger, mes yeux me piquent d’avoir pleurer et de fatigue. Si j’en crois mon corps ça devrait faire un moment que je dors sachant que je ne me couche que très rarement passé 22 heures. Je finis par croire que je vais passer une nuit blanche donc j’arrête de bouger pour ne pas vous déranger mais malheureusement pour moi, je vous entend arriver vers moi. Je ferme les yeux fortement, j’espère ne pas vous avoir énerver une nouvelle fois mais vous venez juste me donner un plaid qu’il y avait sur le lit en tant que couvre-chef. Je vous remercie doucement, ne voulant pas perdre le seul confort que j’ai obtenu en vous faisant très certainement de la peine.

- Maintenant dors, demain est une longue journée, j’ai pas envie que tu sois désagréable à cause du manque de sommeil.

Je hoche vivement la tête et me dépêche de m'emmitoufler dans le plaid. Ce n’est toujours pas confortable mais je ne me plains pas même si je mets encore un petit moment avant de tomber dans les bras de Morphée.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très dur la formation. Daniel



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