Séance 5 - histoire érotique

Séance 5


Dur de choper une pizza un peu molle sur une assiette avec les mains menottées dans le dos, j’ai commencé par lécher mais la sauce dessus était forte. En plus en me penchant je montrais mes fesses et la marque au fer me brulait la hanche. J’avais voulu jouer au soumis et là j’étais vraiment dominé par rapport à mon âge par des jeunes mecs vicieux et je me rendais compte que j’aimais ce que je devenais. Pas une pute non, mais une salope une vraie. Je n’hésitais plus à montrer mes fesses et mon trou de lopette. Je ne voyais pas tout occupé à attraper les morceaux de pizza mais j’ai senti le doigt de Daniel entrer dans mon cul. Loin. Sur le moment je n’ai rien dit mais après j’ai senti que mon cul brulait. J’ai réalisé qu’il l’avait enduit de sauce et j’ai crié en bandant comme un fou.
-Eh bien ! Tu n’apprécies pas la chaleur ?
Il a branlé du doigt mon anus avec la sauce, je me suis retenu de couiner.
-Tu sais qu’il y a encore pas mal d’endroit à travailler pour que tu sois parfait ! Il va falloir t’habituer à mouiller comme une femelle quand tu vois une bite. Noire, jaune, rouge ou blanche. Et une salope qui bave de la queue on sait ce qu’elle veut.
J’avais fini la pizza et léchait l’assiette en l’écoutant. Je bavais mais c’était la chaleur de la sauce et le doigt qui s’agitait.
-J’ai plein de potes à Assas qui aiment baiser les culs, femme ou homme ils s’en foutent quand ils voient ce que le mec veut. Et toi tu ne réagis pas trop mal mais pour le moment c’est la sauce qui te fait baver et avec le mec de cher Uber tu avais tellement la frousse que ta nouille ne s’est même pas dressée de suite.
Je ne m’attendais pas à être vu comme j’étais.
-Et alors, tu étais nu, quelle histoire. La prochaine fois je te ferais attendre dans l’entrée, cul vers la porte. Il verra bien à qui il a affaire. Bien, tu as tout fini ? Alors lave la vaisselle je vais regarder les films que tu as sur dvd, ça doit être intéressant.
Je savais que j’en avais pas mal sur la soumission et je ne les avais jamais montrés. J’ai fait le peu de vaisselle rapidement et j’ai eu le tort de boire de l’eau ce qui m’a mis la bouche en feu. Je suis allé le rejoindre au petit salon ou était la télé. J’étais rouge avec le piment.
-Dis donc, c’est une passion chez toi la soumission ou quoi ? Tu n’as pas grand-chose à part des niaiseries. Il y a quand même des choses intéressantes sur les vidéos. Visiblement le travail des couilles semble t’intéresser. Remarque, moi aussi je les aime pendantes hélas les miennes ne pendent pas trop mais toi ce n’est pas si mal mais on peut améliorer encore, tu caches où tes gadgets sexe ?
Dans le bureau monsieur. Et d’autres dans la cave, trop volumineux.
-Hum ! Intéressant. Ta cave est grande ?
Pas trop non mais presque vide.
-J’irais voir ça plus tard avec les potes. Allons voir dans le bureau.
J’avais honte de lui montrer mes jouets. Bien sur, j’avais des godes, des plugs des pinces et deux colliers cloutés mais aussi des cages de chasteté et des poids ajustables. Il a soupesé les poids.
-Tu t’en sers pourquoi ?
Tout seul j’aime bien jouer à m’étirer les mamelons ou les couilles.
-Pas mal ça. On n’y a pas touché encore, mais ça fait une bonne prise. Tu bosses à quelle heure demain ?
Horaires de bureaux je suis devant l’ordi à neuf heures. En Visio très souvent.
-Bon demain je serais parti bosser, tu prends ta douche et tu mets un short sans slibard dessous. En haut habilles toi comme d’habitude. Je suppose chemise cravate. Quand mon frangin viendra il sera au courant que t’es en Visio et te laisseras bosser. A midi quand tu fais la pose tu vires le short sans attendre.
Il m’a poussé contre le mur, fesses collées au radiateur, forcé de me cambrer.
-Ecarte les cuisses que je te mette du poids aux couilles.
Je n’ai pas vu lequel il avait pris juste senti qu’il tirait et tordait le sac pour fixer un des moitiés et coller la deuxième partie sans coincer la peau. Il avait déjà du le faire car la peau ne s’est pas écrasée entre les deux coques pendant qu’il fixait les vis des coques. Il y a une différence entre le faire soit même pour jouer et quand un mec le fait pour t’humilier. Il a lâché.
-Saute un peu sur place.
Je ne l’avais jamais fait avec un poids et comme je bandais ma queue s’est vite trouvée à l’équerre.
-Va chercher un bol. Tu vas te branler en me fixant des yeux et tache de viser le bol quand tu vas jouir.
J’avais compris ce qui m’attendait et je suis revenu, le fixant des yeux et le bol au plus près de mon gland je me suis branlé. Le poids bougeait augmentant l’excitation et j’ai eu du mal a voir ses yeux rieurs au moment où j’ai joui dans le bol. Jets saccadés, le corps tremblant un peu.
-Maintenant tu vas me sucer et n’avale pas mais recrache mon jus dans le bol.
Je me suis accroupi devant lui et j’ai sucé jusqu’à ce que son jus explose dans ma bouche. Je me suis retenu mais ça coulait sur le menton et j’ai mis le bol dessous pour essuyer et mettre ce que j’avais dans la bouche dans le bol.
-Maintenant tu vas vider le bol dans ta bouche et avaler les deux jus mêlés.
Aussi vicieux je cherchais ça mais là j’avais vraiment un maître. J’ai avalé et léché le bord du bol.
-T’es vraiment une chienne. Vous les vieux dès qu’une jeune bite se dresse vous voulez l’avoir dans vos trous de salope ! Bon. Je vais me coucher. Toi tu dors je suppose que t’en as besoin et n’oublie pas de me réveiller.
J’étais à peine allongé sur le canapé et mis le réveil que je me suis endormi.