Séance de vaccination
Récit érotique écrit par Clar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Séance de vaccination
La séance de vaccinationComme chaque année, fin d’automne rime avec vaccination contre la grippe.
La mairie de la petite ville où exerçait Clotilde avait demandé qu’elle passe aux services techniques pour y vacciner trois personnes. Il avait été convenu du jour, le jeudi, et de l’heure, en début d’après-midi. Cela ne perturberait pas la tournée du soir.
L’infirmière arrive, trois hommes discutent ensemble. Ils sont typés méditerranéen. « Venez Madame, on va aller dans le bureau du chef, il est en vacances en ce moment et au moins il est chauffé ». Ils se dirigent vers l’escalier. « C’est à l’étage Madame, allez-y, on vous suit ». Clotilde s’engage, tenant sa sacoche à la main. Elle entend les trois hommes qui parlent en arabe. Elle se dit que peut être regardent-ils ses jambes. Qu’importe, elle est en pantalon. « C’est la porte au fond du couloir Madame ». Elle rentre dans une vaste pièce meublée d’un bureau, d’une table et d’un canapé. La chaleur saisit la jeune femme, les radiateurs ont dû être poussés à fond. Clotilde pose sa sacoche sur la table. L’un des hommes lui tend une boite dans laquelle se trouvent les vaccins. Ils ont été conservés au froid. « Tu nous piques dans la fesse ? » lui demande-t-il. « Non, dans le bras. Ce sont des vaccins ». « C’est dommage Madame, on t’aurait bien montré nos fesses » répond-il avec un large sourire. Les deux autres pouffent. L’infirmière vérifie les numéros de lot. Ce sont les mêmes, ce sera plus facile pour remplir leur carnet. Elle prépare les vaccins, saisit son coton, son flacon d’alcool et se tourne vers eux. « Alors, le plus courageux, c’est lequel ? » Les trois hommes ont enlevé leur chemise et sont torse nu. « Moi Madame ». Clotilde les vaccine tour à tour. « Bon, la paperasse maintenant. Et c’est ce qui prend le plus de temps ». Elle réalise qu’il n’y a ni chaise ni fauteuil. C’est donc debout, écrivant sur la table, les jambes légèrement écartées pour garder l’équilibre, tournant le dos aux trois hommes qu’elle commence à remplir les carnets de vaccinations et la note d’honoraire que la Mairie lui règlera. Derrière elle, elle entend des froissements de vêtements. Les hommes doivent être en train de remettre leur chemise. Elle sent soudain une main s’insinuer entre ses cuisses et se refermer sur son sexe, pendant que deux autres prennent possession de ses fesses. « Laisse-toi faire. Tu vas avoir du bonheur. Tu es une chaude, mon cousin Ahmed me l’a dit. On ne te veut pas de mal mais du bien ». Elle sent que la main exerce des pressions sur son sexe. La sensation est agréable. Son excitation est là. Elle sent qu’elle commence à mouiller. Les deux mains quittent ses fesses, contournent ses hanches, s’attaquent à la ceinture et aux boutons de son pantalon. Une traction vers le bas emporte pantalon et culotte. Pendant ce temps, deux mains font passer son pull par-dessus sa tête puis dégrafent son soutien-gorge. Elle soulève les pieds pour aider à enlever le pantalon tombé aux chevilles, tandis qu’on lui enlève ses mi-bas. En un tour de main elle est nue. Elle comprend alors le bureau à l’écart, le chauffage poussé à fond. Des mains nerveuses parcourent son corps. Elle ne voit pas ses assaillants. Ils usent d’elle pour leur plaisir. Un doigt vient prendre possession de son sexe, bientôt rejoint par un deuxième. Ils entament un mouvement de va et vient, préparant le terrain. Deux autres doigts, appartenant à une autre main font de même dans son anus. Elle sent l’excitation croitre. Un des hommes la contourne. Il est nu. Elle croyait qu’ils s’étaient rhabillés. En fait, c’est le contraire. Il s’allonge sur le dos sur la table et attire l’infirmière sur lui. Elle sent la pointe de ses seins darder au contact du corps masculin tandis qu’un pieu durcit contre son ventre. Elle sent qu’on prend ses jambes et qu’on les écarte, de manière à libérer l’accès de son sexe. L’homme l’investit d’un coup, aidé par l’abondante production de cyprine. Il entame une chevauchée échevelée la maintenant aux épaules. Elle sent un cylindre chaud, luisant, se présenter à l’entrée de sa bouche. Elle ouvre grand la bouche. Il la pénètre, dur et doux à la fois, large et trapu, entamant lui aussi un va et vient. Le troisième se place derrière et présente son sexe à l’entrée du pertuis étroit. Il s’enfonce lentement. Lentement mais surement et entreprend de la limer. Clotilde est prise par les trois hommes. La pièce se remplit de halètements et d’une odeur de stupre. Le plaisir monte en elle. Un plaisir bestial. Prise par trois hommes, elle est réduite à être un objet de leur plaisir. Les trois ouvriers la taraudent, jouant de son corps offert. Ils sont là pour leur plaisir qu’ils sentent monter au fond de leurs reins. Ils accélèrent, s’enfoncent plus loin et les trois gaillards rendant les armes les uns après les autres dans un dernier coup de rein. Ils se retirent d’elle. Elle n’a pas encore joui et pourtant elle en crève d’envie. Sa main se porte sur son sexe, trouve son clitoris qu’elle caresse nerveusement. En quelques secondes, l’orgasme est là qui la terrasse. Elle crie longuement sa jouissance. Ils se rhabillent en silence. Les hommes quittent la pièce « Merci Madame, tu es trop bonne. Ahmed avait raison. Tu reviens quand tu veux. ».
Clotilde redescend l’escalier. Elle se dirige vers sa voiture. Elle ressent encore le trouble de cette situation insolite, la brulure dans ses reins, le goût du sperme dans sa bouche. Ce plaisir animal avec trois hommes privés de sexe. Elle aurait pu se rebeller quand ils l’ont entreprise, mais elle s’est soumise à leur volonté et a aimé ça.
La mairie de la petite ville où exerçait Clotilde avait demandé qu’elle passe aux services techniques pour y vacciner trois personnes. Il avait été convenu du jour, le jeudi, et de l’heure, en début d’après-midi. Cela ne perturberait pas la tournée du soir.
L’infirmière arrive, trois hommes discutent ensemble. Ils sont typés méditerranéen. « Venez Madame, on va aller dans le bureau du chef, il est en vacances en ce moment et au moins il est chauffé ». Ils se dirigent vers l’escalier. « C’est à l’étage Madame, allez-y, on vous suit ». Clotilde s’engage, tenant sa sacoche à la main. Elle entend les trois hommes qui parlent en arabe. Elle se dit que peut être regardent-ils ses jambes. Qu’importe, elle est en pantalon. « C’est la porte au fond du couloir Madame ». Elle rentre dans une vaste pièce meublée d’un bureau, d’une table et d’un canapé. La chaleur saisit la jeune femme, les radiateurs ont dû être poussés à fond. Clotilde pose sa sacoche sur la table. L’un des hommes lui tend une boite dans laquelle se trouvent les vaccins. Ils ont été conservés au froid. « Tu nous piques dans la fesse ? » lui demande-t-il. « Non, dans le bras. Ce sont des vaccins ». « C’est dommage Madame, on t’aurait bien montré nos fesses » répond-il avec un large sourire. Les deux autres pouffent. L’infirmière vérifie les numéros de lot. Ce sont les mêmes, ce sera plus facile pour remplir leur carnet. Elle prépare les vaccins, saisit son coton, son flacon d’alcool et se tourne vers eux. « Alors, le plus courageux, c’est lequel ? » Les trois hommes ont enlevé leur chemise et sont torse nu. « Moi Madame ». Clotilde les vaccine tour à tour. « Bon, la paperasse maintenant. Et c’est ce qui prend le plus de temps ». Elle réalise qu’il n’y a ni chaise ni fauteuil. C’est donc debout, écrivant sur la table, les jambes légèrement écartées pour garder l’équilibre, tournant le dos aux trois hommes qu’elle commence à remplir les carnets de vaccinations et la note d’honoraire que la Mairie lui règlera. Derrière elle, elle entend des froissements de vêtements. Les hommes doivent être en train de remettre leur chemise. Elle sent soudain une main s’insinuer entre ses cuisses et se refermer sur son sexe, pendant que deux autres prennent possession de ses fesses. « Laisse-toi faire. Tu vas avoir du bonheur. Tu es une chaude, mon cousin Ahmed me l’a dit. On ne te veut pas de mal mais du bien ». Elle sent que la main exerce des pressions sur son sexe. La sensation est agréable. Son excitation est là. Elle sent qu’elle commence à mouiller. Les deux mains quittent ses fesses, contournent ses hanches, s’attaquent à la ceinture et aux boutons de son pantalon. Une traction vers le bas emporte pantalon et culotte. Pendant ce temps, deux mains font passer son pull par-dessus sa tête puis dégrafent son soutien-gorge. Elle soulève les pieds pour aider à enlever le pantalon tombé aux chevilles, tandis qu’on lui enlève ses mi-bas. En un tour de main elle est nue. Elle comprend alors le bureau à l’écart, le chauffage poussé à fond. Des mains nerveuses parcourent son corps. Elle ne voit pas ses assaillants. Ils usent d’elle pour leur plaisir. Un doigt vient prendre possession de son sexe, bientôt rejoint par un deuxième. Ils entament un mouvement de va et vient, préparant le terrain. Deux autres doigts, appartenant à une autre main font de même dans son anus. Elle sent l’excitation croitre. Un des hommes la contourne. Il est nu. Elle croyait qu’ils s’étaient rhabillés. En fait, c’est le contraire. Il s’allonge sur le dos sur la table et attire l’infirmière sur lui. Elle sent la pointe de ses seins darder au contact du corps masculin tandis qu’un pieu durcit contre son ventre. Elle sent qu’on prend ses jambes et qu’on les écarte, de manière à libérer l’accès de son sexe. L’homme l’investit d’un coup, aidé par l’abondante production de cyprine. Il entame une chevauchée échevelée la maintenant aux épaules. Elle sent un cylindre chaud, luisant, se présenter à l’entrée de sa bouche. Elle ouvre grand la bouche. Il la pénètre, dur et doux à la fois, large et trapu, entamant lui aussi un va et vient. Le troisième se place derrière et présente son sexe à l’entrée du pertuis étroit. Il s’enfonce lentement. Lentement mais surement et entreprend de la limer. Clotilde est prise par les trois hommes. La pièce se remplit de halètements et d’une odeur de stupre. Le plaisir monte en elle. Un plaisir bestial. Prise par trois hommes, elle est réduite à être un objet de leur plaisir. Les trois ouvriers la taraudent, jouant de son corps offert. Ils sont là pour leur plaisir qu’ils sentent monter au fond de leurs reins. Ils accélèrent, s’enfoncent plus loin et les trois gaillards rendant les armes les uns après les autres dans un dernier coup de rein. Ils se retirent d’elle. Elle n’a pas encore joui et pourtant elle en crève d’envie. Sa main se porte sur son sexe, trouve son clitoris qu’elle caresse nerveusement. En quelques secondes, l’orgasme est là qui la terrasse. Elle crie longuement sa jouissance. Ils se rhabillent en silence. Les hommes quittent la pièce « Merci Madame, tu es trop bonne. Ahmed avait raison. Tu reviens quand tu veux. ».
Clotilde redescend l’escalier. Elle se dirige vers sa voiture. Elle ressent encore le trouble de cette situation insolite, la brulure dans ses reins, le goût du sperme dans sa bouche. Ce plaisir animal avec trois hommes privés de sexe. Elle aurait pu se rebeller quand ils l’ont entreprise, mais elle s’est soumise à leur volonté et a aimé ça.
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