Séance de voyeurisme avec ma belle sœur
Récit érotique écrit par Smilee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Séance de voyeurisme avec ma belle sœur
En ce long week-end de 14 juillet, Amélie et Frédéric, le frère de Nina, sont venus passer quelques jours en Normandie. Ils arrivent le vendredi soir et doivent repartir le mardi. C'est cool car ce sont des personnes que j’apprécie même si la situation est toujours un peu délicate pour moi. En effet avec ma libido débordante je rencontre toujours des difficultés à me trouver en compagnie d'Amélie. Avec son cul bombé j'ai du mal à ne pas être en train de mater. Surtout quand je sais qu'elle ne porte quasiment que des strings même si en 10 ans que je la connais, je n’ai jamais eu la chance ne serait-ce que d’en voir dépasser un de ses leggings ou jeans. Aujourd’hui elle sort de la voiture dans une jupe très courte qui n’atteint même pas la moitié de ses cuisses. J’imagine que Frédéric a dû s’amuser à caresser ses longues jambes voir plus pendant le trajet. Ils arrivent et je les aide à décharger la voiture. Je leur montre leur chambre dans notre nouvelle maison. Celle-ci a la particularité d’être grande et de pouvoir accueillir le lit parapluie pour Jules. Elle se trouve au bout du couloir menant à notre chambre et à celle d’Alexandre.
Une fois installés ils redescendent et nous nous posons à l’apéro. Les enfants jouent de leur côté sur le trampoline ou les jeux disposés à l’extérieur. Je sers l’apéro et ne peux m’empêcher de regarder le plus discrètement possible le haut des cuisses d’Amélie. Nina de son côté porte une robe longue plutôt large qui ne la met pas vraiment en valeur. Mais devant son frère je sais qu’elle préfère rester discrète. Je la rejoins dans la cuisine pour l’aider à préparer le repas. J’en profite pour l’embrasser et passer mes mains sur son délicieux corps. Je sens qu’elle a mis une grosse culotte. Devant ma mine dépitée elle me souffle qu’elle a ses règles depuis ce matin. Donc pas de sexe en perspective ce week-end. Dommage.
Je reviens sur la terrasse pour amener l’entrée et je surprends Amélie sur les genoux de Frédéric en plein baiser. Il me semble même que Frédéric avait sa main entre les cuisses d’Amélie mais je n’en suis pas certain. Elle se remet sur sa chaise alors que je repars chercher le reste. Nous appelons les enfants et attaquons le repas. Nous discutons de choses et d’autres et passons une excellente soirée.
Après vient l’heure du coucher même si les enfants sont particulièrement excités. C’est normal les cousins ne se sont pas vus depuis Noël. De notre côté, c’est moi qui m’y colle comme ça je laisse Nina discuter avec son frère. Je monte l’escalier et machinalement tourne la tête vers la chambre d’ami. Amélie me tourne le dos et est penchée sur le lit parapluie. Sa jupe remonte et me dévoile le bas de ses globes fessiers. Je vois par leur nudité qu’elle porte soit un string, soit rien du tout. Elle se retourne à ce moment-là et je pars aussitôt vers la chambre d’Alexandre. Je ne sais pas si elle a vu que je la matais.
Après plus d’une demi-heure à endormir Alexandre je redescends et rejoins Frédéric, Amélie et Nina sur la terrasse. Nous continuons de discuter puis décidons de faire un Cranium. Nina se met avec son frère et donc j’hérite d’Amélie. Entre deux gagnants comme nous l’équipe promet de faire des étincelles. Le jeu se passe dans une excellente ambiance. A un moment nous avons une carte Marionnetto. Pour ceux qui ne connaissent pas le jeu, un des deux équipiers joue le rôle du marionnettiste et doit faire deviner une action à sa marionnette de coéquipier en lui faisant bouger les bras et les jambes. Amélie décide de faire la marionnette. Je regarde la carte. Je dois lui faire deviner « faire du ski ». Je réfléchis un peu comment lui faire deviner puis Frédéric tourne le sablier. Je me mets derrière Amélie. Son parfum remplit mes narines. Je passe ma tête au-dessus de son épaule. Malgré un t-shirt plutôt fermé j’ai une vue plongeante sur la naissance de ses seins. J’attrape ses bras et essaie de faire le mouvement des bras pendant une descente en ski. Amélie sort toutes sortes de propositions mais très loin de la vérité. Je me baisse alors pour attraper ses genoux. Ma tête se retrouve alors au niveau de ses fesses. J’attrape ses jambes juste au-dessus des genoux. Sa peau est douce. Il me vient une envie irrésistible de monter mes mains sur ses cuisses. Je fais bouger ses jambes en reproduisant le mouvement de virages en ski. Je remonte pour cumuler le mouvement avec celui de ses bras. La remontée est difficile car mon sexe est très à l’étroit dans mon short du fait de ma grosse érection. En reproduisant le mouvement des bras son bassin frotte contre le mien. Je suis gêné car elle bute à chaque passage sur la bosse de mon short. Elle finit par trouver la réponse juste avant la fin du sablier. Je la soupçonne d’avoir trouvé depuis longtemps et d’avoir profité de la situation. Je ne sais pas si elle a senti la réaction qu’elle a provoqué en moi mais elle se rassoit en arborant un grand sourire.
Nous finissons sagement la partie et nous gagnons. Amélie se jette dans mes bras et malgré un contact plutôt standard je bande de nouveau. Frédéric et Amélie montent au lit. Je commence à ranger la cuisine. Nina veut m’aider mais je l’envoie se coucher car elle est claquée. Je range la vaisselle dans le lave-vaisselle puis fais le reste de vaisselle. En repartant dans le salon j’entends des bruits bizarres comme des gémissements. Je mets du temps à comprendre d’où ils viennent. Les gémissements proviennent du babyphone de Jules. Je tends l’oreille et entends les craquements du lit et deux gémissements étouffés. Amélie et Frédéric sont en train de faire l’amour. J’entends des mouvements sur le lit puis des claquements de peaux. Vu le bruit je pense reconnaître le bruit de hanches sur les fesses d’une levrette. Imaginer Amélie se faire prendre dans cette position m’excite. Mon sexe se tend devant ce voyeurisme auditif. Après quelques minutes les bruits de craquements, de claquements et de gémissements cessent. J’imagine qu’ils ont fini. Je finis de ranger et monte me coucher. Nina dort déjà seulement vêtue de la culotte qu’elle porte quand elle a ses règles. Je me blotti nu contre elle et m’endors pleins de pensées obscènes.
Le lendemain matin nous déjeunons puis je pars faire les courses. Amélie souhaite venir avec moi. Nous partons tous deux au supermarché. Amélie porte un jean qui moule parfaitement ses fesses bombées et un t-shirt classique. Nous faisons nos achats et rentrons. Nina et Frédéric sont sur la terrasse en train de discuter alors que les enfants jouent dehors. Aujourd’hui c’est moi qui cuisine donc je me mets au boulot. Frédéric vient me donner un coup de main alors qu’Amélie monte se changer. Elle redescend en robe longue printanière blanche avec des fleurs rouges. La robe est plutôt large et ne met pas beaucoup en valeur ses formes. Elle sort avec Nina s’occuper des enfants. Nous passons à table, mangeons puis décidons de faire une pétanque à côté de la piscine en attendant de digérer. Je prends moins de plaisir que d’habitude à jouer. En effet Nina et Amélie ont des tenues larges qui ne permettent pas de mater leurs fesses. Et elles portent des brassières qui font que je ne suis même pas tenté de lorgner leurs seins.
Après la partie je propose de nous baigner avec les enfants. Nina décline pour les raisons que l’on connaît mais pour les autres c’est d’accord. Je monte enfiler mon maillot et celui d’Alexandre et je descends ouvrir la piscine. Je rentre dedans très facilement. Avec le bel été qu’on a, l’eau est à 30°C. Frédéric me rejoint rapidement avec Jules. Nous jouons avec les enfants quand Amélie arrive. Elle porte un maillot de bain 2 pièces jaune et bleu. Les bords de son bas laissent présager un derrière échancré. Je suis curieux de voir ça. Elle entre dans l’eau et commence à nager. Inévitablement je regarde ses fesses et malheureusement son bas couvre toute la surface de ses fesses. Dommage car avec son postérieur bombé un bas plus échancré serait prodigieux. La baignade se passe super bien. A un moment Amélie a Jules dans les bras et il lui arrache son haut de maillot laissant ses seins à portée de mes yeux voyeurs. Elle a des seins en poire avec des gros mamelons. Ses tétons sont roses et totalement détendus. Elle remet son maillot sans panique et en souriant. Frédéric était tourné et n'a rien vu. Amélie continue comme s’il ne s’était rien passé. Entre le Marionnetto d’hier, le voyeurisme auditif et maintenant visuel le week-end est plus chaud que prévu. La suite de la baignade se passe sans histoires. Puis tout le monde sort et prend sa douche.
Je descends avec Alexandre et Jules pour jouer avant le diner. Amélie est la dernière à descendre. Elle est vêtue d’une combinaison bleu marine très chic qui finit en arc autour du cou laissant un dos nu. Ce qui me marque c’est que je ne vois pas de trace de soutien-gorge dans son dos. Le décolleté est assez couvert pour que je ne vois pas ses seins quand elle se penche. La soirée continue normalement : dîner, lecture, coucher des petits. J’ai bien essayé de deviner les sous-vêtements d’Amélie mais comme à chaque fois depuis 10 ans pas de trace apparente. A croire qu’elle n’en porte pas.
Cette fois c’est Nina qui couche Alexandre alors que je mets un peu de musique. Frédéric est monté aussi coucher Jules. Nous discutons avec Amélie puis la musique passe sur un Madison. Je ne peux m’empêcher de me lever et danser. Amélie qui aime autant danser que moi me rejoint. Nous dansons comme deux cons dans le salon. Puis la musique passe sur un zouk. Je lui tends la main voir si elle accepte la danse. Elle me fait un grand sourire et met sa main dans la mienne. Je me colle à elle, place ma main sur le bas de son dos et nous commençons à onduler. Sous mes doigts je sens les coutures d’un tissu. Elle a donc bien quelque chose. Je meurs d’envie de descendre ma main pour savoir mais je n’ose pas. C’est quand même ma belle-sœur et je me suis toujours promis de ne jamais rien faire avec une autre femme sans Nina. En continuant de danser, et sans que ce soit ma tête qui lui demande de le faire, ma main se retrouve un peu plus bas. Mes doigts fouillent leur nouvelle zone de contact et tombe sur d’autres bords. Amélie porte donc bien un string. Me croyant discret je continue de dessiner les contours de ce bout de tissu quand la chanson se termine. Nous arrêtons de danser mais un détail me saute aux yeux. Deux éléments déforment la combinaison d’Amélie : elle a les tétons qui pointent. Et bien comme il faut. J’en tire deux conclusions : elle n’a pas de soutien-gorge et elle a bien senti mes doigts se balader sur le bas de ses hanches. Et apparemment cela ne l’a pas laissé de marbre.
Nina et Frédéric redescendent et la soirée continue comme si rien ne s’était passé. Cette fois tout le monde part au lit au même temps. Nina se déshabille et me dévoile ce corps que je chéri tant. Dommage que je ne puisse pas en profiter car je suis gonflé d’excitation. Il me faut attendre encore deux jours avant qu’elle accepte quelques caresses voire si j’ai de la chance une sodomie. Nous nous allongeons et Nina passe sa main sur mon sexe pour le mettre mieux en place contre sa cuisse. Ce simple contact réveille mes ardeurs. Elle sourit car elle aime avoir autant d’effets sur moi. Je reste quelque peu collé à elle avec mon érection quand Nina se rend compte qu’elle a oublié sa boîte à médicaments dans la salle de bain. Elle me demande si je peux aller la chercher. Je râle car je vais devoir mettre un short pour y aller. Nina me répond que tout le monde est couché donc je peux y aller nu. J’hésite mais je prends ça comme un jeu. Je jette un coup d’œil dans le couloir. Tout est éteint. Je marche vite jusqu’à la salle de bain. J’attrape la boîte et repars aussi vite que venu. Mon érection en avant je sors de la salle de bain et tombe sur Amélie qui sort de la chambre. Je me précipite vers notre chambre. J’y arrive le cœur battant la chamade. Nina me demande :
- Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
- Je suis tombé sur Amélie
- Et elle a vu quelque chose ? me demande-t-elle dans un éclat de rire
- Mes fesses c’est sûr, devant, avec la pénombre je ne sais pas
Nina se marre de plus belle. Énervé je lui rétorque :
- Cela ne m’amuse pas tu sais ?
- Ce n’est pas grave si elle a vu tes fesses
- Et si elle a vu plus ?
- Et bien tant pis. Elle ne te verra plus jamais de la même façon !
- Très drôle
- Allez viens te coucher ce n’est pas grave
Je reste debout, mais malgré la discussion ne débande pas. Nina s’assoie sur le bord du lit et attrape mes hanches en me tirant vers elle. Elle me dit que je fais ma vierge effarouchée mais mon corps dit l’inverse. Elle attrape mon pénis et le glisse dans sa bouche. Je suis surpris car habituellement les premiers jours de règle c’est aucun contact sexuel. Nina attaque une délicieuse fellation comme elle sait les faire. Elle lèche mon membre sur tout son long puis le prend délicatement en bouche. Elle fait quelques mouvements bien baveux pour le mettre en condition. Cela fonctionne parfaitement et mon gland se retrouve rapidement à l’air libre. Nina peut alors glisser sa langue dessus comme j’affectionne tant. Je suis aux anges de cette fellation inattendue. Nina s’applique pour mon plaisir. Sachant qu’il n'y aura aucun rapport derrière je peux me laisser aller à ressentir ce doux moment sans la peur d'une éjaculation précoce lors du coït. Je caresse ses cheveux puis descends sur ses seins. Elle enlève ma main. Décidément elle n’aime pas être touchée à cette période. Elle me tourne les hanches et me dit :
- Alors comme ça tu cherches à exciter les autres femmes en montrant tes fesses ?
- Tu parles. Vu le corps d’athlète de ton frère je ne crois pas que ça lui fasse quelque chose
- Pas sûr. Regarde ce petit cul me dit-elle en le caressant. Ça me donne envie de le manger
Elle recule mes fesses et les écarte. Elle glisse sa langue sur ma rondelle. Puis elle me fait poser un pied sur une chaise. Je me retrouve dans la position dans laquelle j’aime tant la lécher et la prendre. Elle continue de passer sa langue sur mon anus tout en masturbant mon pénis. C’est divin. Mon gland est tout humide et un filet commence à pendre. Nina vient l’attraper avec son doigt en m’humidifie l’anus avec. Elle attrape du lubrifiant dans le tiroir ainsi qu’un petit gode. Elle enduit l’objet de lubrifiant et commence à le pousser. Nina fait tout en délicatesse alors que mon sexe est au comble de son excitation. Elle finit par le mettre au fond. Elle le fait alors sortir et entrer avec rythme. Puis Nina passe sous moi pour poser ses lèvres sur mon sexe. C’est magique. Cette fellation est la meilleure de ma vie. Nina lèche mon gland puis descend sur mes testicules avant de remonter. Je suis au bord de l’explosion. Nina le sens et s’arrête. Elle enlève le gode de mon cul et retourne sur le lit. Elle m’invite à m’allonger ce que je fais sans lutter. Elle attrape mes cuisses et les ouvre en grand. Elle remet le gode en moi et me branle de son autre main. J’attrape le derrière de mes cuisses pour les tenir ouvertes. Il ne faut pas une minute pour que j’éjacule sur mon ventre. De long spasmes se déchargent sur moi alors que Nina continue de me pénétrer. Elle arrête quand je relâche mes cuisses. J’attrape des mouchoirs pour m’essuyer, heureux de ce moment exceptionnel. Nous nous couchons l’un contre l’autre et nous endormons ainsi dans un bien être apaisant.
Le lendemain Alexandre se réveille tôt. Parfaitement requinqué de ma nuit je me lève pour laisser Nina se reposer. Frédéric ne tarde pas à suivre avec Jules. Nous déjeunons puis décidons d’aller nous promener avec les enfants alors que les filles dorment encore. Après une longue balade nous rentrons à la maison. Les filles déjeunent tranquillement sur la terrasse en pyjamas. Puis Amélie monte s’habiller alors que je m’attaque au repas. Elle descend et me propose son aide. Je l’accepte sans me retourner. Je lui demande d’éplucher des pommes de terre. Elle s’installe sur le plan de travail derrière moi. Je me retourne pour attraper quelque chose dans le frigo et vois qu’elle me tourne le dos. Elle porte un haut type débardeur sur lequel je ne remarque pas de bretelles de soutien-gorge. Elle porte aussi une jupe froissée longue blanche. Alors que je passe à côté d’elle, elle échappe une patate et se baisse pour la ramasser. Là pas de doutes je vois par transparence distinctement un tanga blanc. Cette fois pas doutes c’est particulièrement visible. Un peu troublé je vaque à mes occupations mais j’ai souvent un coup d’œil sur ses fesses. La deuxième tâche que je lui confie est de battre des œufs en neige. C’est un peu pervers de ma part mais j’adore regarder les seins bondissants d’une femme pendant cette action. Et je ne suis pas déçu. Ses seins ballottent sous ses coups de poignet et je vois à leurs mouvements qu’elle n’a vraiment pas de soutien-gorge. Décidément elle chercherait à me chauffer qu’elle ne pourrait pas mieux faire. Après cette épreuve je la libère non sans mater une dernière fois ses fesses.
Le repas fini, je pars pour faire une course. Je reviens à la maison après ma course et vois que la voiture de Nina n’est pas là. Ils ont dû partir au parc avec les enfants. Je vais profiter de cet instant de tranquillité pour écrire un peu. Je monte pour me poser dans notre chambre. C’est mon lieu préféré, allongé nu sur le lit, pour laisser ma plume écrire mes mémoires. Arrivé en haut de l’escalier j’entends du bruit dans la chambre d’ami. Je m’approche et découvre, à travers la porte mal fermée, Amélie à genoux sur le lit en train de prodiguer une fellation. Nina a dû partir avec les enfants et ces coquins en ont profité pour se donner du bon temps. Mais ne pensant pas que je rentrerais vite ils n’ont pas fermé la porte et ne m’ont même pas entendu.
Frédéric est debout et me tourne le dos de ¾. Amélie a juste sorti son sexe de son pantalon et en prend doucement soin. Elle aussi est encore tout habillée. Ils doivent juste être monté. Amélie entoure doucement ce sexe de taille imposante dans sa bouche. Elle ondule avec sa bouche et fait lâcher un gémissement de plaisir à son compagnon. Elle continue à sucer ce membre gorgé d’excitation. Les veines ressortent sur cette tige dressée. Le gland turgescent ne demande qu’à être choyé. Cela tombe bien cela semble être aussi la volonté de cette bouche pulpeuse. A un moment Amélie regarde vers la porte et me voit. Je suis prêt à partir à toute vitesse mais au lieu de s’arrêter elle sort le pénis de sa bouche, me sourit et lèche ce gland violacé et me regardant dans les yeux. Elle tire aussi sur sa jupe pour offrir à ma vue son divin postérieur parfaitement surmonté d’un tanga blanc immaculé. Je la savais joueuse mais pas coquine au point de m’inviter à mater leurs ébats.
Elle reprend sa fellation de plus belle. Frédéric est surpris de la vivacité de sa belle et lâche des râles incontrôlés. Sentant que son homme est proche de craquer elle ressort son sexe de sa bouche, le lèche pour essuyer toute trace de liquide pré-séminal ou de bave puis se retourne. Elle remonte ses fesses en invitation explicite. Frédéric reste sans réaction puis pose ses mains sur les fesses d’Amélie. Il se met à genoux, écarte son string et place sa tête entre ses fesses. Il glisse sa langue entre ses deux globes bombés. Malheureusement de ma position je ne vois pas l’action ni quel trou il lèche. En tout cas Amélie semble apprécier vu les cris qu’elle lâche. Je la soupçonne de surjouer vu qu’elle sait qu’ils ont du public. Après une fouille buccale en règle Frédéric se relève et présente son sexe devant le vagin d’Amélie. Il la pénètre de tout son long et attaque de rapides va et vient. Puis il claque ses hanches sur le postérieur de sa compagne ce qui a pour effet de provoquer des remous sur ce fessier. Il agrippe fermement ses hanches afin de donner plus d’amplitude à ses mouvements. Amélie cri son bonheur et l’invite à la prendre plus fort. Frédéric redouble d’efforts puis s’arrête d’un coup. Je comprends que s’il continue sur ce rythme il va craquer.
Il se retire et s’allonge sur le lit. Amélie retire sa jupe, le chevauche et entame une danse sensuelle sur ce chibre dressé pour son plaisir. Elle rebondit allègrement sur lui. La vision de ses belles fesses avec ce string sur le côté qui s’empale sur un pénis bien bandé est sublime. Frédéric attrape les seins de son aimée puis lui enlève son débardeur. La voici libérée de tous vêtements sauf son string. Amélie décide ensuite de se retourner et d’offrir ses fesses en vision à Frédéric tout en reprenant sa chevauchée fantastique. Elle me regarde en souriant et caresse fièrement sa poitrine. Ses tétons se dressent au milieu de ses larges mamelons. Elle semble particulièrement à l’aise avec notre jeu de voyeurisme. Elle pose ses pieds sur le lit, écarte son string pour me montrer son vagin parfaitement entretenu et coulisse sur ce membre dédié à son plaisir. Elle me regarde en montrant mon entrejambe. Je comprends qu’elle voudrait voir mon sexe. Je ne réagis pas alors elle crie « Vas-y ». Frédéric le prend pour lui et attrape ses hanches en la pilonnant. Mais je sais bien que le message est pour moi. Je déboutonne mon jean et sors mon pénis gonflé et baveux. Elle est heureuse et alors que Frédéric continue de la matraquer elle caresse son clitoris. C’est la première fois que je me retrouve en pareil situation et c’est particulièrement excitant. Il ne faut pas beaucoup de temps pour qu’Amélie jouisse puissamment sous le coup multiple de la pénétration vaginale, de sa stimulation clitoridienne et du visuel de mon sexe excité par la situation. Elle hurle son bonheur. Encore une fois je crois qu’elle en rajoute… mais elle a bien raison. Frédéric finit juste derrière dans un râle bien plus discret. Je m’échappe avant qu’il remarque ma présence.
Quand Frédéric descend il est gêné de voir que je suis là. Amélie descend ensuite en legging et débardeur… avec soutien-gorge. Elle me sourit satisfaite de son exhibitionnisme. Nina arrive rapidement demandant si tout va bien. Amélie répond que oui avec beaucoup d’enthousiasme. Je me demande bien ce que va nous réserver comme surprise cette dernière soirée…
Une fois installés ils redescendent et nous nous posons à l’apéro. Les enfants jouent de leur côté sur le trampoline ou les jeux disposés à l’extérieur. Je sers l’apéro et ne peux m’empêcher de regarder le plus discrètement possible le haut des cuisses d’Amélie. Nina de son côté porte une robe longue plutôt large qui ne la met pas vraiment en valeur. Mais devant son frère je sais qu’elle préfère rester discrète. Je la rejoins dans la cuisine pour l’aider à préparer le repas. J’en profite pour l’embrasser et passer mes mains sur son délicieux corps. Je sens qu’elle a mis une grosse culotte. Devant ma mine dépitée elle me souffle qu’elle a ses règles depuis ce matin. Donc pas de sexe en perspective ce week-end. Dommage.
Je reviens sur la terrasse pour amener l’entrée et je surprends Amélie sur les genoux de Frédéric en plein baiser. Il me semble même que Frédéric avait sa main entre les cuisses d’Amélie mais je n’en suis pas certain. Elle se remet sur sa chaise alors que je repars chercher le reste. Nous appelons les enfants et attaquons le repas. Nous discutons de choses et d’autres et passons une excellente soirée.
Après vient l’heure du coucher même si les enfants sont particulièrement excités. C’est normal les cousins ne se sont pas vus depuis Noël. De notre côté, c’est moi qui m’y colle comme ça je laisse Nina discuter avec son frère. Je monte l’escalier et machinalement tourne la tête vers la chambre d’ami. Amélie me tourne le dos et est penchée sur le lit parapluie. Sa jupe remonte et me dévoile le bas de ses globes fessiers. Je vois par leur nudité qu’elle porte soit un string, soit rien du tout. Elle se retourne à ce moment-là et je pars aussitôt vers la chambre d’Alexandre. Je ne sais pas si elle a vu que je la matais.
Après plus d’une demi-heure à endormir Alexandre je redescends et rejoins Frédéric, Amélie et Nina sur la terrasse. Nous continuons de discuter puis décidons de faire un Cranium. Nina se met avec son frère et donc j’hérite d’Amélie. Entre deux gagnants comme nous l’équipe promet de faire des étincelles. Le jeu se passe dans une excellente ambiance. A un moment nous avons une carte Marionnetto. Pour ceux qui ne connaissent pas le jeu, un des deux équipiers joue le rôle du marionnettiste et doit faire deviner une action à sa marionnette de coéquipier en lui faisant bouger les bras et les jambes. Amélie décide de faire la marionnette. Je regarde la carte. Je dois lui faire deviner « faire du ski ». Je réfléchis un peu comment lui faire deviner puis Frédéric tourne le sablier. Je me mets derrière Amélie. Son parfum remplit mes narines. Je passe ma tête au-dessus de son épaule. Malgré un t-shirt plutôt fermé j’ai une vue plongeante sur la naissance de ses seins. J’attrape ses bras et essaie de faire le mouvement des bras pendant une descente en ski. Amélie sort toutes sortes de propositions mais très loin de la vérité. Je me baisse alors pour attraper ses genoux. Ma tête se retrouve alors au niveau de ses fesses. J’attrape ses jambes juste au-dessus des genoux. Sa peau est douce. Il me vient une envie irrésistible de monter mes mains sur ses cuisses. Je fais bouger ses jambes en reproduisant le mouvement de virages en ski. Je remonte pour cumuler le mouvement avec celui de ses bras. La remontée est difficile car mon sexe est très à l’étroit dans mon short du fait de ma grosse érection. En reproduisant le mouvement des bras son bassin frotte contre le mien. Je suis gêné car elle bute à chaque passage sur la bosse de mon short. Elle finit par trouver la réponse juste avant la fin du sablier. Je la soupçonne d’avoir trouvé depuis longtemps et d’avoir profité de la situation. Je ne sais pas si elle a senti la réaction qu’elle a provoqué en moi mais elle se rassoit en arborant un grand sourire.
Nous finissons sagement la partie et nous gagnons. Amélie se jette dans mes bras et malgré un contact plutôt standard je bande de nouveau. Frédéric et Amélie montent au lit. Je commence à ranger la cuisine. Nina veut m’aider mais je l’envoie se coucher car elle est claquée. Je range la vaisselle dans le lave-vaisselle puis fais le reste de vaisselle. En repartant dans le salon j’entends des bruits bizarres comme des gémissements. Je mets du temps à comprendre d’où ils viennent. Les gémissements proviennent du babyphone de Jules. Je tends l’oreille et entends les craquements du lit et deux gémissements étouffés. Amélie et Frédéric sont en train de faire l’amour. J’entends des mouvements sur le lit puis des claquements de peaux. Vu le bruit je pense reconnaître le bruit de hanches sur les fesses d’une levrette. Imaginer Amélie se faire prendre dans cette position m’excite. Mon sexe se tend devant ce voyeurisme auditif. Après quelques minutes les bruits de craquements, de claquements et de gémissements cessent. J’imagine qu’ils ont fini. Je finis de ranger et monte me coucher. Nina dort déjà seulement vêtue de la culotte qu’elle porte quand elle a ses règles. Je me blotti nu contre elle et m’endors pleins de pensées obscènes.
Le lendemain matin nous déjeunons puis je pars faire les courses. Amélie souhaite venir avec moi. Nous partons tous deux au supermarché. Amélie porte un jean qui moule parfaitement ses fesses bombées et un t-shirt classique. Nous faisons nos achats et rentrons. Nina et Frédéric sont sur la terrasse en train de discuter alors que les enfants jouent dehors. Aujourd’hui c’est moi qui cuisine donc je me mets au boulot. Frédéric vient me donner un coup de main alors qu’Amélie monte se changer. Elle redescend en robe longue printanière blanche avec des fleurs rouges. La robe est plutôt large et ne met pas beaucoup en valeur ses formes. Elle sort avec Nina s’occuper des enfants. Nous passons à table, mangeons puis décidons de faire une pétanque à côté de la piscine en attendant de digérer. Je prends moins de plaisir que d’habitude à jouer. En effet Nina et Amélie ont des tenues larges qui ne permettent pas de mater leurs fesses. Et elles portent des brassières qui font que je ne suis même pas tenté de lorgner leurs seins.
Après la partie je propose de nous baigner avec les enfants. Nina décline pour les raisons que l’on connaît mais pour les autres c’est d’accord. Je monte enfiler mon maillot et celui d’Alexandre et je descends ouvrir la piscine. Je rentre dedans très facilement. Avec le bel été qu’on a, l’eau est à 30°C. Frédéric me rejoint rapidement avec Jules. Nous jouons avec les enfants quand Amélie arrive. Elle porte un maillot de bain 2 pièces jaune et bleu. Les bords de son bas laissent présager un derrière échancré. Je suis curieux de voir ça. Elle entre dans l’eau et commence à nager. Inévitablement je regarde ses fesses et malheureusement son bas couvre toute la surface de ses fesses. Dommage car avec son postérieur bombé un bas plus échancré serait prodigieux. La baignade se passe super bien. A un moment Amélie a Jules dans les bras et il lui arrache son haut de maillot laissant ses seins à portée de mes yeux voyeurs. Elle a des seins en poire avec des gros mamelons. Ses tétons sont roses et totalement détendus. Elle remet son maillot sans panique et en souriant. Frédéric était tourné et n'a rien vu. Amélie continue comme s’il ne s’était rien passé. Entre le Marionnetto d’hier, le voyeurisme auditif et maintenant visuel le week-end est plus chaud que prévu. La suite de la baignade se passe sans histoires. Puis tout le monde sort et prend sa douche.
Je descends avec Alexandre et Jules pour jouer avant le diner. Amélie est la dernière à descendre. Elle est vêtue d’une combinaison bleu marine très chic qui finit en arc autour du cou laissant un dos nu. Ce qui me marque c’est que je ne vois pas de trace de soutien-gorge dans son dos. Le décolleté est assez couvert pour que je ne vois pas ses seins quand elle se penche. La soirée continue normalement : dîner, lecture, coucher des petits. J’ai bien essayé de deviner les sous-vêtements d’Amélie mais comme à chaque fois depuis 10 ans pas de trace apparente. A croire qu’elle n’en porte pas.
Cette fois c’est Nina qui couche Alexandre alors que je mets un peu de musique. Frédéric est monté aussi coucher Jules. Nous discutons avec Amélie puis la musique passe sur un Madison. Je ne peux m’empêcher de me lever et danser. Amélie qui aime autant danser que moi me rejoint. Nous dansons comme deux cons dans le salon. Puis la musique passe sur un zouk. Je lui tends la main voir si elle accepte la danse. Elle me fait un grand sourire et met sa main dans la mienne. Je me colle à elle, place ma main sur le bas de son dos et nous commençons à onduler. Sous mes doigts je sens les coutures d’un tissu. Elle a donc bien quelque chose. Je meurs d’envie de descendre ma main pour savoir mais je n’ose pas. C’est quand même ma belle-sœur et je me suis toujours promis de ne jamais rien faire avec une autre femme sans Nina. En continuant de danser, et sans que ce soit ma tête qui lui demande de le faire, ma main se retrouve un peu plus bas. Mes doigts fouillent leur nouvelle zone de contact et tombe sur d’autres bords. Amélie porte donc bien un string. Me croyant discret je continue de dessiner les contours de ce bout de tissu quand la chanson se termine. Nous arrêtons de danser mais un détail me saute aux yeux. Deux éléments déforment la combinaison d’Amélie : elle a les tétons qui pointent. Et bien comme il faut. J’en tire deux conclusions : elle n’a pas de soutien-gorge et elle a bien senti mes doigts se balader sur le bas de ses hanches. Et apparemment cela ne l’a pas laissé de marbre.
Nina et Frédéric redescendent et la soirée continue comme si rien ne s’était passé. Cette fois tout le monde part au lit au même temps. Nina se déshabille et me dévoile ce corps que je chéri tant. Dommage que je ne puisse pas en profiter car je suis gonflé d’excitation. Il me faut attendre encore deux jours avant qu’elle accepte quelques caresses voire si j’ai de la chance une sodomie. Nous nous allongeons et Nina passe sa main sur mon sexe pour le mettre mieux en place contre sa cuisse. Ce simple contact réveille mes ardeurs. Elle sourit car elle aime avoir autant d’effets sur moi. Je reste quelque peu collé à elle avec mon érection quand Nina se rend compte qu’elle a oublié sa boîte à médicaments dans la salle de bain. Elle me demande si je peux aller la chercher. Je râle car je vais devoir mettre un short pour y aller. Nina me répond que tout le monde est couché donc je peux y aller nu. J’hésite mais je prends ça comme un jeu. Je jette un coup d’œil dans le couloir. Tout est éteint. Je marche vite jusqu’à la salle de bain. J’attrape la boîte et repars aussi vite que venu. Mon érection en avant je sors de la salle de bain et tombe sur Amélie qui sort de la chambre. Je me précipite vers notre chambre. J’y arrive le cœur battant la chamade. Nina me demande :
- Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
- Je suis tombé sur Amélie
- Et elle a vu quelque chose ? me demande-t-elle dans un éclat de rire
- Mes fesses c’est sûr, devant, avec la pénombre je ne sais pas
Nina se marre de plus belle. Énervé je lui rétorque :
- Cela ne m’amuse pas tu sais ?
- Ce n’est pas grave si elle a vu tes fesses
- Et si elle a vu plus ?
- Et bien tant pis. Elle ne te verra plus jamais de la même façon !
- Très drôle
- Allez viens te coucher ce n’est pas grave
Je reste debout, mais malgré la discussion ne débande pas. Nina s’assoie sur le bord du lit et attrape mes hanches en me tirant vers elle. Elle me dit que je fais ma vierge effarouchée mais mon corps dit l’inverse. Elle attrape mon pénis et le glisse dans sa bouche. Je suis surpris car habituellement les premiers jours de règle c’est aucun contact sexuel. Nina attaque une délicieuse fellation comme elle sait les faire. Elle lèche mon membre sur tout son long puis le prend délicatement en bouche. Elle fait quelques mouvements bien baveux pour le mettre en condition. Cela fonctionne parfaitement et mon gland se retrouve rapidement à l’air libre. Nina peut alors glisser sa langue dessus comme j’affectionne tant. Je suis aux anges de cette fellation inattendue. Nina s’applique pour mon plaisir. Sachant qu’il n'y aura aucun rapport derrière je peux me laisser aller à ressentir ce doux moment sans la peur d'une éjaculation précoce lors du coït. Je caresse ses cheveux puis descends sur ses seins. Elle enlève ma main. Décidément elle n’aime pas être touchée à cette période. Elle me tourne les hanches et me dit :
- Alors comme ça tu cherches à exciter les autres femmes en montrant tes fesses ?
- Tu parles. Vu le corps d’athlète de ton frère je ne crois pas que ça lui fasse quelque chose
- Pas sûr. Regarde ce petit cul me dit-elle en le caressant. Ça me donne envie de le manger
Elle recule mes fesses et les écarte. Elle glisse sa langue sur ma rondelle. Puis elle me fait poser un pied sur une chaise. Je me retrouve dans la position dans laquelle j’aime tant la lécher et la prendre. Elle continue de passer sa langue sur mon anus tout en masturbant mon pénis. C’est divin. Mon gland est tout humide et un filet commence à pendre. Nina vient l’attraper avec son doigt en m’humidifie l’anus avec. Elle attrape du lubrifiant dans le tiroir ainsi qu’un petit gode. Elle enduit l’objet de lubrifiant et commence à le pousser. Nina fait tout en délicatesse alors que mon sexe est au comble de son excitation. Elle finit par le mettre au fond. Elle le fait alors sortir et entrer avec rythme. Puis Nina passe sous moi pour poser ses lèvres sur mon sexe. C’est magique. Cette fellation est la meilleure de ma vie. Nina lèche mon gland puis descend sur mes testicules avant de remonter. Je suis au bord de l’explosion. Nina le sens et s’arrête. Elle enlève le gode de mon cul et retourne sur le lit. Elle m’invite à m’allonger ce que je fais sans lutter. Elle attrape mes cuisses et les ouvre en grand. Elle remet le gode en moi et me branle de son autre main. J’attrape le derrière de mes cuisses pour les tenir ouvertes. Il ne faut pas une minute pour que j’éjacule sur mon ventre. De long spasmes se déchargent sur moi alors que Nina continue de me pénétrer. Elle arrête quand je relâche mes cuisses. J’attrape des mouchoirs pour m’essuyer, heureux de ce moment exceptionnel. Nous nous couchons l’un contre l’autre et nous endormons ainsi dans un bien être apaisant.
Le lendemain Alexandre se réveille tôt. Parfaitement requinqué de ma nuit je me lève pour laisser Nina se reposer. Frédéric ne tarde pas à suivre avec Jules. Nous déjeunons puis décidons d’aller nous promener avec les enfants alors que les filles dorment encore. Après une longue balade nous rentrons à la maison. Les filles déjeunent tranquillement sur la terrasse en pyjamas. Puis Amélie monte s’habiller alors que je m’attaque au repas. Elle descend et me propose son aide. Je l’accepte sans me retourner. Je lui demande d’éplucher des pommes de terre. Elle s’installe sur le plan de travail derrière moi. Je me retourne pour attraper quelque chose dans le frigo et vois qu’elle me tourne le dos. Elle porte un haut type débardeur sur lequel je ne remarque pas de bretelles de soutien-gorge. Elle porte aussi une jupe froissée longue blanche. Alors que je passe à côté d’elle, elle échappe une patate et se baisse pour la ramasser. Là pas de doutes je vois par transparence distinctement un tanga blanc. Cette fois pas doutes c’est particulièrement visible. Un peu troublé je vaque à mes occupations mais j’ai souvent un coup d’œil sur ses fesses. La deuxième tâche que je lui confie est de battre des œufs en neige. C’est un peu pervers de ma part mais j’adore regarder les seins bondissants d’une femme pendant cette action. Et je ne suis pas déçu. Ses seins ballottent sous ses coups de poignet et je vois à leurs mouvements qu’elle n’a vraiment pas de soutien-gorge. Décidément elle chercherait à me chauffer qu’elle ne pourrait pas mieux faire. Après cette épreuve je la libère non sans mater une dernière fois ses fesses.
Le repas fini, je pars pour faire une course. Je reviens à la maison après ma course et vois que la voiture de Nina n’est pas là. Ils ont dû partir au parc avec les enfants. Je vais profiter de cet instant de tranquillité pour écrire un peu. Je monte pour me poser dans notre chambre. C’est mon lieu préféré, allongé nu sur le lit, pour laisser ma plume écrire mes mémoires. Arrivé en haut de l’escalier j’entends du bruit dans la chambre d’ami. Je m’approche et découvre, à travers la porte mal fermée, Amélie à genoux sur le lit en train de prodiguer une fellation. Nina a dû partir avec les enfants et ces coquins en ont profité pour se donner du bon temps. Mais ne pensant pas que je rentrerais vite ils n’ont pas fermé la porte et ne m’ont même pas entendu.
Frédéric est debout et me tourne le dos de ¾. Amélie a juste sorti son sexe de son pantalon et en prend doucement soin. Elle aussi est encore tout habillée. Ils doivent juste être monté. Amélie entoure doucement ce sexe de taille imposante dans sa bouche. Elle ondule avec sa bouche et fait lâcher un gémissement de plaisir à son compagnon. Elle continue à sucer ce membre gorgé d’excitation. Les veines ressortent sur cette tige dressée. Le gland turgescent ne demande qu’à être choyé. Cela tombe bien cela semble être aussi la volonté de cette bouche pulpeuse. A un moment Amélie regarde vers la porte et me voit. Je suis prêt à partir à toute vitesse mais au lieu de s’arrêter elle sort le pénis de sa bouche, me sourit et lèche ce gland violacé et me regardant dans les yeux. Elle tire aussi sur sa jupe pour offrir à ma vue son divin postérieur parfaitement surmonté d’un tanga blanc immaculé. Je la savais joueuse mais pas coquine au point de m’inviter à mater leurs ébats.
Elle reprend sa fellation de plus belle. Frédéric est surpris de la vivacité de sa belle et lâche des râles incontrôlés. Sentant que son homme est proche de craquer elle ressort son sexe de sa bouche, le lèche pour essuyer toute trace de liquide pré-séminal ou de bave puis se retourne. Elle remonte ses fesses en invitation explicite. Frédéric reste sans réaction puis pose ses mains sur les fesses d’Amélie. Il se met à genoux, écarte son string et place sa tête entre ses fesses. Il glisse sa langue entre ses deux globes bombés. Malheureusement de ma position je ne vois pas l’action ni quel trou il lèche. En tout cas Amélie semble apprécier vu les cris qu’elle lâche. Je la soupçonne de surjouer vu qu’elle sait qu’ils ont du public. Après une fouille buccale en règle Frédéric se relève et présente son sexe devant le vagin d’Amélie. Il la pénètre de tout son long et attaque de rapides va et vient. Puis il claque ses hanches sur le postérieur de sa compagne ce qui a pour effet de provoquer des remous sur ce fessier. Il agrippe fermement ses hanches afin de donner plus d’amplitude à ses mouvements. Amélie cri son bonheur et l’invite à la prendre plus fort. Frédéric redouble d’efforts puis s’arrête d’un coup. Je comprends que s’il continue sur ce rythme il va craquer.
Il se retire et s’allonge sur le lit. Amélie retire sa jupe, le chevauche et entame une danse sensuelle sur ce chibre dressé pour son plaisir. Elle rebondit allègrement sur lui. La vision de ses belles fesses avec ce string sur le côté qui s’empale sur un pénis bien bandé est sublime. Frédéric attrape les seins de son aimée puis lui enlève son débardeur. La voici libérée de tous vêtements sauf son string. Amélie décide ensuite de se retourner et d’offrir ses fesses en vision à Frédéric tout en reprenant sa chevauchée fantastique. Elle me regarde en souriant et caresse fièrement sa poitrine. Ses tétons se dressent au milieu de ses larges mamelons. Elle semble particulièrement à l’aise avec notre jeu de voyeurisme. Elle pose ses pieds sur le lit, écarte son string pour me montrer son vagin parfaitement entretenu et coulisse sur ce membre dédié à son plaisir. Elle me regarde en montrant mon entrejambe. Je comprends qu’elle voudrait voir mon sexe. Je ne réagis pas alors elle crie « Vas-y ». Frédéric le prend pour lui et attrape ses hanches en la pilonnant. Mais je sais bien que le message est pour moi. Je déboutonne mon jean et sors mon pénis gonflé et baveux. Elle est heureuse et alors que Frédéric continue de la matraquer elle caresse son clitoris. C’est la première fois que je me retrouve en pareil situation et c’est particulièrement excitant. Il ne faut pas beaucoup de temps pour qu’Amélie jouisse puissamment sous le coup multiple de la pénétration vaginale, de sa stimulation clitoridienne et du visuel de mon sexe excité par la situation. Elle hurle son bonheur. Encore une fois je crois qu’elle en rajoute… mais elle a bien raison. Frédéric finit juste derrière dans un râle bien plus discret. Je m’échappe avant qu’il remarque ma présence.
Quand Frédéric descend il est gêné de voir que je suis là. Amélie descend ensuite en legging et débardeur… avec soutien-gorge. Elle me sourit satisfaite de son exhibitionnisme. Nina arrive rapidement demandant si tout va bien. Amélie répond que oui avec beaucoup d’enthousiasme. Je me demande bien ce que va nous réserver comme surprise cette dernière soirée…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Super bien écrit et décrit, vivement la suite !!!
Superbe ! Vite une suite!!! 😉😊
Top, on attend la suite 😉