Séance photos pour Marion 02 - histoire érotique

La séance bat son plein, Alexis ai venu me rejoindre pour poser, je suis presque nue.

- Tu te rases? Me demande Claude.

- oui, réponds-je.

- oui, mais il y a quelques jours que tu l’as fait! J’aimerais bien qu’elle soit fraîchement rasée, Alexis va te le faire, venez à côté, il y a une salle d’eau et j’ai le matériel nécessaire.

Evidemment je n’ose pas refuser, et je vois qu’Alexis n’est pas mécontent de l’opportunité qui se présente. Je repose les pieds par terre toujours entravée par mon short, je quitte tout pour suivre plus facilement Claude, qui ouvre la porte et nous fait entrer dans une petite pièce servant de salle de bain avec douche et lavabo.

Il sort rasoir, gel et serviettes et les tend à Alexis. Celui-ci mouille un coin de la serviette et me la passe sur mon minou, après avoir secoué la bombe, il étale du gel sur ses mains, et doucement le repend sur mon entre jambe, c’est comme une caresse qui me fait frissonner, puis il me fait poser un pied sur un tabouret pour mieux écarter les jambes, il mouille le rasoir et commence délicatement à me raser. Ses doigts tendent mes lèvres pour faciliter le passage de la lame, c’est bien plus agréable que quand je le fais moi-même et depuis ma rencontre avec Alain et Stéphane, c’est la 1ère fois qu’on me le refait. Après 5 minutes, ma fente et son voisinage sont doux et satinés. Je me passe un petit coup de jet de douche pour éliminer quelques résidus et me voilà apprêtée. Claude a assisté à toute cette scène, je crois qu’il se régale de voir mon sexe et moi cela me sied bien.

De retour dans le studio, je reprends ma dernière pose, je remets ma culotte et mon short, m’assoie sur Alexis, les pieds sur ces genoux le short à mi-cuisse, jambes écartées au maximum des possibilités que me laisse le short.

En se mettant accroupi, Claude reprend sa série de photos, il a ma fente en 1er plan et le nombre de shoots qu’il exécute est ahurissant.

- Tu veux écarter les lèvres de Marion, Alexis?

Il tâtonne un peu car derrière mon dos, il ne voit rien, je le guide sur ma fente pour désunir mes lèvres et exposer l’intérieur de celle-ci.l’adrénaline monte en moi, la salve de flashs continu avec la même intensité.

- Alexis, mets donc un doigt dans sa chatte, dit Claude.

Là je ne suis pas prête, je dois dire stop.

- Claude c’est pas possible, je ne veux pas, je ne l’ai jamais fait que ce soit un doigt ou autre chose!

- Tu est vierge! Me dit-il, c’est sympa ça, c’est vrai que ton passage me paraît étroit maintenant que je le contemple. Tu lui a déjà fait goûter?

Ça j’ai bien déjà fait, même si c’était pas avec Alexis, et l’idée même m’enchante et me fait mouiller.
Je quitte ces genoux pour m’allonger sur le canapé, la tête sur un coussin, je remonte mes jambes vers mon torse, je suis toujours entravée avec mon short, la chatte en guise d’offrande. Alexis me hisse les fesses encore plus haut et me plaque les cuisses jusque sur mes seins. Et je sens sa langue qui s’approche de ma fente, il lèche le renflement externe de mes lèvres, je ferme les yeux et c’est un ravissement de recevoir des bisous et autres papouilles sur ma chatte, sa langue s’acharne sur mon petit bouton et le persécute au point d’inonder ma grotte qui ruisselle entre mes lèvres, cela ne trouble pas Alexis qui récolte ma cyprine avec sa langue et me goûte intimement.
Avec un doigt, il me frotte le clito intensément, sa langue s’insère dans mon puit, le plaisir envahit tout mon corps, je suis proche de l’explosion.

Je ne suis certainement pas la 1ère fille à qui il fait subir ce supplice, sa technique me semble irréprochable, je suis au point de basculement irréversible, cet instant si savoureux qui précède le bien-être total. Oh que je voudrai qu’il dure éternellement, mais je ne peux le retenir et je jouis furieusement, bruyamment, en criant mon bonheur et je m’apaise petit à petit.

- Et bien dis donc, tu as pris ton pied! Me dit Claude, maintenant j’aimerai bien voir comment tu t’y prendspour sucer ton partenaire, tu dois bien le contenter de cette manière?

Il n’a pas cesser de me tirer le portrait, il doit avoir une belle planche à développer, sans compter le film qu’il a réalisé avec ses 3 caméras.

- Va doucement, me dit-il, ouvre sa braguette et sort lui la bite de son short.

J’effectue les gestes qu’il me dicte, j’ai trouvé sa quequette en introduisant ma main dans sa braguette et entre l’ouverture prévue à son caleçon, je la tiens afin de lui faire découvrir la lumière des projecteurs, il bande comme un âne et j’ai un peu de mal à la faire passer à travers ses vêtements, mais après quelques efforts, j’ai le plaisir de découvrir un bien beau morceau qui me met en appétit, et je ne tarde pas après quelques mouvements de la main à la goûter, en léchant cette tige dressée pour moi, superbe et délicieuse, je veux lui rendre tout le bonheur qu’il m’a procuré, donc sans brusquer les choses, je me délecte en parcourant sa bite de ma langue comme sur un bâton glacé.

- Voulez-vous maintenant, être tous les 2 nus?

Et l’envie étant si forte, que nous nous redressons sans tarder pour nous dévêtir. Apres m’être débarrassée du peu de vêtements qui me reste, j’aide Alexis à quitter son tee-shirt, son short et son caleçon, je me suis accroupie devant lui et j’ai la joie de découvrir son biscuit en entier, elle est montée à son maximum, il n’est pas rasé mais possède quelques poils blonds.

- Je peux te raser la bite? Lui demandé-je.

- Si tu veux, j’y suis pas opposé.

- Je peux? Dis-je à Claude.

- Bien sûr, retournons au cabinet de toilette, tu lui feras une mise à nu.

Ce n’est pas la 1 ère fois que je fais ça à un garçon, mais la 2ème, et c’est un grand plaisir de toucher sa queue pour la briquer, avec précaution je me saisi du manche pour accéder aux moindres coins et éliminer sa toison, il n’a pas perdu de sa vigueur et je m’imagine être dans une voiture de course à changer les vitesses.
Le rasoir glisse sur sa peau blanche et luisante de son sexe et bientôt il n’existe plus aucune trace de pilosité.
C’est même moi qui fini en arrosant copieusement sa gaule avec la douchette.

Voilà comme je les aime, elle est ravissante et j’ai hâte de lui procurer des sensations de ouf comme j’ai ressenties.

Nous revenons sur le canapé, lui assis et moi à genoux entre ses jambes, ma main s’active sur sa tige, je lèche son gland sagement, dans une nudité parfaite, Claude nous immortalise en profitant bien du spectacle qui s’offre à lui. Je fais maintenant rentrer son dard entre mes lèvres qui se collent parfaitement à lui et je démarre un petit mouvement d’avant en arrière qui nous entraîne tous les 2 vers un autre monde composé uniquement de délices et réjouissances. Ma langue ne cesse d’effleurer son gland ce qui a pour effet de bien le tendre, et mes lèvres le caresse en même temps ce qui doit être une merveilleuse torture.

Lentement, mais sûrement, le plaisir monte pour lui comme pour moi car en même temps mon doigt bichonne ma petite moule et en particulier mon petit berlingot. Avec assiduité et ardeur, je m’évertue à le faire monter le plus haut possible sur l’échelle des délices et le sommet est pratiquement atteint. Hélas, on n’y reste pas longtemps, mais pendant ce court instant d’extase, le sublime arrive. Et nous en sommes là quand Claude nous encourage.

- Alexis, c’est tellement beau, tu n’as plus qu’à réussir l’ultime phase et récompense la bien à hauteur de son mérite, donne lui les plus belles giclées que tu aies jamais produites, inonde moi cette belle frimousse, fais lui goûter ton foutre en abondance.

Et ses exhortations finissent par déclencher l’apothéose, et le but final surprend par son intensité, sans même l’aide de sa main, Alexis, sa bite libre devant mon nez, explose littéralement et un fleuve de sperme me recouvre la face et de déverse dans ma bouche, la force et la violence de ce magnifique moment déclenche en moi un nouvel orgasme comparable à celui dAlexis qui lui s’apaise, épuisé de bonheur.

Mais je je ne suis pas au bout de mes surprises, je n’avais pas remarqué, hypnotisée par cette prouesse, que Claude, lui aussi ne résistant pas à ce show, a sorti sa queue bandée à fond et juste après Alexis, joui aussi et me crépi d’un enduit encore plus épais tout mon visage, tel un masque de beauté, je n’ai eu aucune marque de peur, au contraire, je me suis positionnée juste en face des que j’ai compris ce qui se passait pour que cette 2ème détonation m’atteigne au mieux et qu’elle me recouvre à nouveau les joues, les lèvres, le menton et bien sûr qu’elle en déverse une partie dans ma bouche. J’en profite pour reprendre en bouche l’une après l’autre, leur queue afin de bien les débarbouiller, Claude ayant retrouvé ses esprits, continu de me prendre en photo, le visage blanchi et les queues de chaque côté, je continue de les branler pour les maintenir en forme pour ses derniers clichés.

- Excellent travail, je pense que j’aurais des retombées de vos prestations, je vous communiquerai les félicitations de mes correspondants qu’ils ne manqueront pas de me retourner, si bien sûr vous m’autorisez à leur faire parvenir vos exploits.