Seb le petit hétéro
Récit érotique écrit par Davcav28 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Seb le petit hétéro
Je m'étais bien promis de ne pas remettre le couvert avec un mec que je rencontrais pour passer un bon moment de baise, et pourtant c'est à nouveau ce que je viens de faire. Je suis tombé accro à son beau petit cul. Il se dit hétéro mais il est comme les autres, refoulé homo.
Moi c'est ce que je suis et je l'assume depuis plus de 20 ans, sans vraiment l'assumer d'ailleurs puisque je suis marié et que je mène une double vie. Je m'appelle David j'ai 50 ans un peu rond : 1,75 m pour 95 kg. Crane dégarni, des lunettes enfin le mec très normal car en dehors des canons de la beauté. J'ai toujours su au fond de moi que j'aimais la bite, tout en refoulant ces sentiments par peur des préjugés. Je me suis marié, j'avais 27 ans et n'ai connue qu'une seule femme, celle avec qui je vis, ce fut un coup de foudre réciproque et je suis toujours avec elle , et n'envisage pas de la quitter, car cela la blesserait. Surtout si elle venait à savoir que je la trompe depuis plus de vingt ans avec des mecs.
Pour tout vous dire je vivais à l'époque sur Paris et j'ai connu tout d abord des attouchements et des branlettes sans conséquences, ce fut l'approche, puis je suis passé à des contacts plus physiques, dans des saunas en tant qu'actif.
Je suis sans me vanter bien membré 19 cm un zob épais et endurant, et j'aime farcir les petits boules bien ronds et adore me faire sucer longuement. Depuis peu j'adore sucer les bonnes tiges quelles soient longues ou courtes peu importe, j'aime que la bite soit soyeuse et quelle coulisse bien dans ma bouche. J'aime aussi les tiges bien veinées plus rares. Et alors le summum de la kiffe se sont les belles petites boules régulières qui tiennent bien dans le creux de ma main et que je peux gobées à pleine bouche lorsqu'elles sont rasées.
Les plans Q, je les multiplie actuellement. Est ce le démon de la cinquantaine ? Ce qui est certain c'est que je sors d'une histoire passionnelle avec un mec rencontré dans un bois de drague sur Chartres au mois de janvier. Jean-michel 42 ans que j'ai baptisé mon « petit corse », car il avait une voiture immatriculée 2B. A notre première rencontre il m'avait fait une pipe comme je n'en avait jamais connues, malgré toutes ces années de pratique. C'était l'extase !
Sans le vouloir nous nous étions revu quinze jours plus tard et là nous avions baisé de façon merveilleuse pendant deux heures dans ce même bois sous une température très basse. Nous étions chauds-bouillants tous les deux. J'en ai connues des positions et des choses que je n'avais jamais pratiqué avant lui. D'actif je suis devenu passif, en attente de tous ces bons moments qu'il me faisait vivre. Et puis brusquement depuis le début juin, no coment ! Le néant, le vide il s'est lassé de ma queue, il en a fait le tour. Je pense que c'est sa façon de vivre , une bite en chasse une autre on faisait chacun 50 kilométres pour nous retrouver car on habitait à plus d'une heure l'un de l'autre. Nous nous appelions pour convenir de notre rendez-vous hebdomadaire. Et puis j'ai beau appeler, je suis sur sa messagerie, je l'ai supplié je me serais mis plus bas que terre pour pouvoir rebaiser ne serait ce qu'une seule fois avec lui. Il m'ignore, je ne sais pourquoi après tous ces moments uniques, que nous avons partagés . J'ai fini par me faire une raison, il le fallait. Depuis, après une période de néant total je queute comme c'est pas possible. Je n'arrive plus à faire l'amour à ma femme, je débande je n'ai plus d'envie avec elle. Il me faut une bite et un cul de mec pour bander.
Lorsque je vais au sauna sur Orléans, je me tape trois mecs en deux heures, je passe des annonces sur internet sur un site de rencontre pour trouver des partenaires avides de plans culs. C'est la fête du slip, il y en a des mecs qui cherchent à queuter, et de tout. De l'hétéro trompé qui cherche à se faire défoncer pour expier, au petit bien propret de 25-35 ans qui veut se faire sodomiser pour une première expérience.
Et tous ceux que tu croisent sur les lieux de dragues. En fait il y à énormément de passifs, qui ne veulent que se faire buriner la rondelle et sucer de la bonne queue bien ferme. Et tous ces mecs qui se disent virils, mais qui veulent se faire défoncer, pour essayer soit disant alors que leur cul est un vrai garage à bites. Sans compter ceux qui te disent ne pas aimer les homos. Peut être ont il peur de voir leur propre reflet. C'est le cas de Séb.
Lui je l'ai rencontré sur un site il voulait essayé un calibre plus large que celui qu'il avait déjà pratiqué. Il est hétéro 100% à l'entendre. Mais déçu des nanas il prend son pied en se faisant sodomiser. Le premier soir j'avais prévu un plan douche chez moi, car ma femme était partie quelques jours en vacances. Il était très coincé, je ne le voyais pas s'ouvrir, et puis il m'a demandé , un ,deux et trois whiskies avant de se désinhiber. Il a 28 ans, mat de peau, petite gueule carrée et un corps imberbe magnifique. Dés qu'il est monté dans la voiture j'ai eu la gaule, il m'a bien tripoté pendant le parcours jusqu'à chez moi, puis s'est refermé avant les whiskies. Et alors après il m'a paluché la bite à me déformer le zob tellement je bandais et je mouillais dans mon boxer. Ca c'était les préliminaires, je bien sucé sa belle queue hyper soyeuse, pas très ferme avec l'alcool ingurgité, mais une bonne bite agréable à sucer jusqu'à la bouffer en entier et ses deux amandes qui tenaient dans mes mains. Rien n'était à jeter sur ce mec. Je n'ai pas pu le sodo complètement ce soir là, il avait mal dés que j'arrivais à la moitié de mon zgeg. Il m'a fini en me branlant. Je l'ai raccompagné à contrecœur, mais il avait trop bu.
Le lendemain soir après une fête chez des amis, je reçois un message me demandant si j'ai envie. Tu parles que oui. Dans ma tête je savais que j'allais bien le limer le gaillard. J'étais sur la route de retour chez moi et n'ai fait qu'un petit détour pour aller le chercher.
La grosseur de ma teub lui plaisait énormément, et il voulait que je le sodomise. Arrivé chez moi , il me demande à boire du rosé et nous voilà reparti à discuter de la vie. Moi j'avais déjà la gaule depuis le coup de fil et j'attendais qu'il soit à point. Ce qui ne tarda pas. Il commence à me palucher au travers de mon jean pendant au moins trois quart d'heure. Je n'en peut plus , ma bite crie famine quand il ouvre les boutons de la braguette.Il me réclame une douche.
Ni une, ni deux je le dé poile et l'emmène avec moi. Nous nous frottons sous la douche , je prend le bain moussant et l'étale en massage sur tout son corps. Que c'est bon, lui n'est pas en reste il me branle vigoureusement et viens aussi me sucer le jonc. J'adore lorsqu'il passe sa bonne langue de suceuse sur mon gland turgescent, et lorsqu'il me titille le prépuce avec l'extrémité de sa langue. Quelle bonne bouche de suceuse pour un hétéro.
A un moment, il vient coller son cul à mon zob, alors là je sens que je le tiens, je lui savonne précautionneusement l'anus, et le doigte avec un, puis deux pour arriver à trois doigts, c'est à dire la largeur de mon engin. Il couine et remue de la croupe. A point il est , je glisse ma bite pour la faire aller et venir le long de ses fesses dans un premier temps. Il me dit : -oh oui, oh oui , vas yJe ne me fais pas prier je m'enfonce précautionneusement dans ce fourreau chaud qui m'aimante la bite. Il est à point mon Seb le corps plié en deux, je vais pouvoir jouer des hanches comme j'aime. De façon régulière au début, tout en douceur, mes couilles frappent son petit cul. Il pousse des petits gloussements de contentement. Ah il l'aime la bite, il en veut de la sodo, il va être servi. J'accélère la cadence pour ralentir afin de ne pas cracher trop vite. Je choppe sa pine par en dessous ses jambes, pour la branler d'une bonne pogne virile. Je sens qu'il prend autant de plaisir à recevoir que moi à donner. C'est chaud bouillant. Je le tiens au bout de ma bite et lui attrape les épaules pour le faire aller et venir en cadence. Ca y est il miaule, le mec, comme une gonzesse il fait de grandes onomatopées. Des oh ! Oh ! Oh ! Des ah!ah!ah il me récite les voyelles de l'alphabet. Et moi je continue de plus belle mais je sens que je pars, mon jus monte dans ma bite, je vais larguer. Seb éjacule juste avant moi je ne vois pas ses jets de sperme, mais je le sens tendu et libéré à la fois. Pour ma part je me retire car je n'avais pas mis de préso ce qui n'est pas terrible et jouis sur le bas de son dos. Nous réactivons la douche pour nous rincer et nous remettre de ce doux moment. Puis je le raccompagne.
Sans nouvelles au bout de quinze jours ,si ce n'est que quelques sms de sa part. Je décide de lui envoyer un mail hier. Il me raconte qu'il est en pleine galère car il n'a pas touché ses aides, à cause d'un papier manquant. Je prends pitié de sa situation et lui propose un peu de tune pour l'aider. On échange tout l’après midi et je lui propose de lui déposer 40 euros, en sortant du taf le soir.
On décide de se voir entre deux à l'orée d'un bois, puisqu'il veut rester discret, tout comme moi. On se retrouve donc à 19heures30. Je lui file les deux billets et la j'ai trop envie de lui. Je met ma main sur son paquet bien flasque. Rien que de le revoir j'ai envie de son petit cul moulé dans son treillis. Ni une ni deux, il ne refuse pas mes avances et vient malaxer ma bite déjà au plus haut de sa forme dans mon pantalon de toile. Je glisse mes mains pour titiller sa pointe des seins. Il n'aime pas embrasser donc je suis un peu frustré. Mais je fais courir mes mains sur son corps et masse son boule au travers du fut. Il ouvre ma ceinture, il la veut ma queue et vient l'extirper de mon boxer pour la branler avec vigueur. J'ai aussi ouvert son ceinturon et fais tomber son treillis. Je caresse ses cuisses poilues et son abdomen. Nos membres sont gonflés par le désir l'un de l'autre. Je me baisse et viens choper sa queue que je fais sortir par en dessous de son boxer pour la gober. Il redouble pour branler mon membre. C'est bien trop bon, après une journée de travail de se triturer la pine comme cela. Il vient à son tour prendre mon membre en bouche et me fait de grandes sucées, comme pour en aspirer le jus qui voudrait arriver. Mais il est trop tôt j'ai de la ressource. Je veux le baiser son petit cul gentillet.
J'attrape un sachet de gel dans la poche du pantalon à mes pieds et viens lui masser son trou. Je n'ai pas trop de temps et ne peux lui lécher la rondelle comme la dernière fois. J'ose mon majeur bientôt suivi de mon index et l'annulaire, son trou s'élargit à la bonne taille. J'attrape le préservatif et viens lui ramoner son petit trou du cul tellement bandant. Quelle chute de rein il a !
Il est plié en deux et se malaxe la queue d'une main tout en retenant ma bite en ayant mis sa main entre son cul et mon vit, pour ne pas se faire pilonner le fion.
Je kiffe c'est trop bon, son boule est fait pour ma queue qui coulisse dans son antre. J'avais trop envie de me le retaper tellement il me fait bander ce mec. J'aime parler en baisant et lui dit :Ah tu l'aimes ma queue, elle est trop bonne. Elle aime ton petit cul.Tu me fais trop de bien.
Il ne réponds rien et s'adapte à la pénétration, il fini par retirer sa main qui m’empêchait d 'y aller à fond et la je tape bien mes couilles contre ses fesses, cela dure un long moment. Il me dit qu'il va jouir, j’attrape sa belle bite et la branle , je veux goûter son jus, je rate les premiers jets bien puissants, pour enfin en choper deux sur ma langue. Putain quelle ressource il y le petit seb, il a pas du se vider les burnes ces derniers jours, je kiffe l'abondance de son sperme et le petit goût sucré. C'est trop bon cette lampée de son sperme. Rien que pour cela je remettrais le couvert très prochainement, et ne raterais pas l'occasion de vous le raconter...
Histoire vécue. Merci de vos commentaires
Moi c'est ce que je suis et je l'assume depuis plus de 20 ans, sans vraiment l'assumer d'ailleurs puisque je suis marié et que je mène une double vie. Je m'appelle David j'ai 50 ans un peu rond : 1,75 m pour 95 kg. Crane dégarni, des lunettes enfin le mec très normal car en dehors des canons de la beauté. J'ai toujours su au fond de moi que j'aimais la bite, tout en refoulant ces sentiments par peur des préjugés. Je me suis marié, j'avais 27 ans et n'ai connue qu'une seule femme, celle avec qui je vis, ce fut un coup de foudre réciproque et je suis toujours avec elle , et n'envisage pas de la quitter, car cela la blesserait. Surtout si elle venait à savoir que je la trompe depuis plus de vingt ans avec des mecs.
Pour tout vous dire je vivais à l'époque sur Paris et j'ai connu tout d abord des attouchements et des branlettes sans conséquences, ce fut l'approche, puis je suis passé à des contacts plus physiques, dans des saunas en tant qu'actif.
Je suis sans me vanter bien membré 19 cm un zob épais et endurant, et j'aime farcir les petits boules bien ronds et adore me faire sucer longuement. Depuis peu j'adore sucer les bonnes tiges quelles soient longues ou courtes peu importe, j'aime que la bite soit soyeuse et quelle coulisse bien dans ma bouche. J'aime aussi les tiges bien veinées plus rares. Et alors le summum de la kiffe se sont les belles petites boules régulières qui tiennent bien dans le creux de ma main et que je peux gobées à pleine bouche lorsqu'elles sont rasées.
Les plans Q, je les multiplie actuellement. Est ce le démon de la cinquantaine ? Ce qui est certain c'est que je sors d'une histoire passionnelle avec un mec rencontré dans un bois de drague sur Chartres au mois de janvier. Jean-michel 42 ans que j'ai baptisé mon « petit corse », car il avait une voiture immatriculée 2B. A notre première rencontre il m'avait fait une pipe comme je n'en avait jamais connues, malgré toutes ces années de pratique. C'était l'extase !
Sans le vouloir nous nous étions revu quinze jours plus tard et là nous avions baisé de façon merveilleuse pendant deux heures dans ce même bois sous une température très basse. Nous étions chauds-bouillants tous les deux. J'en ai connues des positions et des choses que je n'avais jamais pratiqué avant lui. D'actif je suis devenu passif, en attente de tous ces bons moments qu'il me faisait vivre. Et puis brusquement depuis le début juin, no coment ! Le néant, le vide il s'est lassé de ma queue, il en a fait le tour. Je pense que c'est sa façon de vivre , une bite en chasse une autre on faisait chacun 50 kilométres pour nous retrouver car on habitait à plus d'une heure l'un de l'autre. Nous nous appelions pour convenir de notre rendez-vous hebdomadaire. Et puis j'ai beau appeler, je suis sur sa messagerie, je l'ai supplié je me serais mis plus bas que terre pour pouvoir rebaiser ne serait ce qu'une seule fois avec lui. Il m'ignore, je ne sais pourquoi après tous ces moments uniques, que nous avons partagés . J'ai fini par me faire une raison, il le fallait. Depuis, après une période de néant total je queute comme c'est pas possible. Je n'arrive plus à faire l'amour à ma femme, je débande je n'ai plus d'envie avec elle. Il me faut une bite et un cul de mec pour bander.
Lorsque je vais au sauna sur Orléans, je me tape trois mecs en deux heures, je passe des annonces sur internet sur un site de rencontre pour trouver des partenaires avides de plans culs. C'est la fête du slip, il y en a des mecs qui cherchent à queuter, et de tout. De l'hétéro trompé qui cherche à se faire défoncer pour expier, au petit bien propret de 25-35 ans qui veut se faire sodomiser pour une première expérience.
Et tous ceux que tu croisent sur les lieux de dragues. En fait il y à énormément de passifs, qui ne veulent que se faire buriner la rondelle et sucer de la bonne queue bien ferme. Et tous ces mecs qui se disent virils, mais qui veulent se faire défoncer, pour essayer soit disant alors que leur cul est un vrai garage à bites. Sans compter ceux qui te disent ne pas aimer les homos. Peut être ont il peur de voir leur propre reflet. C'est le cas de Séb.
Lui je l'ai rencontré sur un site il voulait essayé un calibre plus large que celui qu'il avait déjà pratiqué. Il est hétéro 100% à l'entendre. Mais déçu des nanas il prend son pied en se faisant sodomiser. Le premier soir j'avais prévu un plan douche chez moi, car ma femme était partie quelques jours en vacances. Il était très coincé, je ne le voyais pas s'ouvrir, et puis il m'a demandé , un ,deux et trois whiskies avant de se désinhiber. Il a 28 ans, mat de peau, petite gueule carrée et un corps imberbe magnifique. Dés qu'il est monté dans la voiture j'ai eu la gaule, il m'a bien tripoté pendant le parcours jusqu'à chez moi, puis s'est refermé avant les whiskies. Et alors après il m'a paluché la bite à me déformer le zob tellement je bandais et je mouillais dans mon boxer. Ca c'était les préliminaires, je bien sucé sa belle queue hyper soyeuse, pas très ferme avec l'alcool ingurgité, mais une bonne bite agréable à sucer jusqu'à la bouffer en entier et ses deux amandes qui tenaient dans mes mains. Rien n'était à jeter sur ce mec. Je n'ai pas pu le sodo complètement ce soir là, il avait mal dés que j'arrivais à la moitié de mon zgeg. Il m'a fini en me branlant. Je l'ai raccompagné à contrecœur, mais il avait trop bu.
Le lendemain soir après une fête chez des amis, je reçois un message me demandant si j'ai envie. Tu parles que oui. Dans ma tête je savais que j'allais bien le limer le gaillard. J'étais sur la route de retour chez moi et n'ai fait qu'un petit détour pour aller le chercher.
La grosseur de ma teub lui plaisait énormément, et il voulait que je le sodomise. Arrivé chez moi , il me demande à boire du rosé et nous voilà reparti à discuter de la vie. Moi j'avais déjà la gaule depuis le coup de fil et j'attendais qu'il soit à point. Ce qui ne tarda pas. Il commence à me palucher au travers de mon jean pendant au moins trois quart d'heure. Je n'en peut plus , ma bite crie famine quand il ouvre les boutons de la braguette.Il me réclame une douche.
Ni une, ni deux je le dé poile et l'emmène avec moi. Nous nous frottons sous la douche , je prend le bain moussant et l'étale en massage sur tout son corps. Que c'est bon, lui n'est pas en reste il me branle vigoureusement et viens aussi me sucer le jonc. J'adore lorsqu'il passe sa bonne langue de suceuse sur mon gland turgescent, et lorsqu'il me titille le prépuce avec l'extrémité de sa langue. Quelle bonne bouche de suceuse pour un hétéro.
A un moment, il vient coller son cul à mon zob, alors là je sens que je le tiens, je lui savonne précautionneusement l'anus, et le doigte avec un, puis deux pour arriver à trois doigts, c'est à dire la largeur de mon engin. Il couine et remue de la croupe. A point il est , je glisse ma bite pour la faire aller et venir le long de ses fesses dans un premier temps. Il me dit : -oh oui, oh oui , vas yJe ne me fais pas prier je m'enfonce précautionneusement dans ce fourreau chaud qui m'aimante la bite. Il est à point mon Seb le corps plié en deux, je vais pouvoir jouer des hanches comme j'aime. De façon régulière au début, tout en douceur, mes couilles frappent son petit cul. Il pousse des petits gloussements de contentement. Ah il l'aime la bite, il en veut de la sodo, il va être servi. J'accélère la cadence pour ralentir afin de ne pas cracher trop vite. Je choppe sa pine par en dessous ses jambes, pour la branler d'une bonne pogne virile. Je sens qu'il prend autant de plaisir à recevoir que moi à donner. C'est chaud bouillant. Je le tiens au bout de ma bite et lui attrape les épaules pour le faire aller et venir en cadence. Ca y est il miaule, le mec, comme une gonzesse il fait de grandes onomatopées. Des oh ! Oh ! Oh ! Des ah!ah!ah il me récite les voyelles de l'alphabet. Et moi je continue de plus belle mais je sens que je pars, mon jus monte dans ma bite, je vais larguer. Seb éjacule juste avant moi je ne vois pas ses jets de sperme, mais je le sens tendu et libéré à la fois. Pour ma part je me retire car je n'avais pas mis de préso ce qui n'est pas terrible et jouis sur le bas de son dos. Nous réactivons la douche pour nous rincer et nous remettre de ce doux moment. Puis je le raccompagne.
Sans nouvelles au bout de quinze jours ,si ce n'est que quelques sms de sa part. Je décide de lui envoyer un mail hier. Il me raconte qu'il est en pleine galère car il n'a pas touché ses aides, à cause d'un papier manquant. Je prends pitié de sa situation et lui propose un peu de tune pour l'aider. On échange tout l’après midi et je lui propose de lui déposer 40 euros, en sortant du taf le soir.
On décide de se voir entre deux à l'orée d'un bois, puisqu'il veut rester discret, tout comme moi. On se retrouve donc à 19heures30. Je lui file les deux billets et la j'ai trop envie de lui. Je met ma main sur son paquet bien flasque. Rien que de le revoir j'ai envie de son petit cul moulé dans son treillis. Ni une ni deux, il ne refuse pas mes avances et vient malaxer ma bite déjà au plus haut de sa forme dans mon pantalon de toile. Je glisse mes mains pour titiller sa pointe des seins. Il n'aime pas embrasser donc je suis un peu frustré. Mais je fais courir mes mains sur son corps et masse son boule au travers du fut. Il ouvre ma ceinture, il la veut ma queue et vient l'extirper de mon boxer pour la branler avec vigueur. J'ai aussi ouvert son ceinturon et fais tomber son treillis. Je caresse ses cuisses poilues et son abdomen. Nos membres sont gonflés par le désir l'un de l'autre. Je me baisse et viens choper sa queue que je fais sortir par en dessous de son boxer pour la gober. Il redouble pour branler mon membre. C'est bien trop bon, après une journée de travail de se triturer la pine comme cela. Il vient à son tour prendre mon membre en bouche et me fait de grandes sucées, comme pour en aspirer le jus qui voudrait arriver. Mais il est trop tôt j'ai de la ressource. Je veux le baiser son petit cul gentillet.
J'attrape un sachet de gel dans la poche du pantalon à mes pieds et viens lui masser son trou. Je n'ai pas trop de temps et ne peux lui lécher la rondelle comme la dernière fois. J'ose mon majeur bientôt suivi de mon index et l'annulaire, son trou s'élargit à la bonne taille. J'attrape le préservatif et viens lui ramoner son petit trou du cul tellement bandant. Quelle chute de rein il a !
Il est plié en deux et se malaxe la queue d'une main tout en retenant ma bite en ayant mis sa main entre son cul et mon vit, pour ne pas se faire pilonner le fion.
Je kiffe c'est trop bon, son boule est fait pour ma queue qui coulisse dans son antre. J'avais trop envie de me le retaper tellement il me fait bander ce mec. J'aime parler en baisant et lui dit :Ah tu l'aimes ma queue, elle est trop bonne. Elle aime ton petit cul.Tu me fais trop de bien.
Il ne réponds rien et s'adapte à la pénétration, il fini par retirer sa main qui m’empêchait d 'y aller à fond et la je tape bien mes couilles contre ses fesses, cela dure un long moment. Il me dit qu'il va jouir, j’attrape sa belle bite et la branle , je veux goûter son jus, je rate les premiers jets bien puissants, pour enfin en choper deux sur ma langue. Putain quelle ressource il y le petit seb, il a pas du se vider les burnes ces derniers jours, je kiffe l'abondance de son sperme et le petit goût sucré. C'est trop bon cette lampée de son sperme. Rien que pour cela je remettrais le couvert très prochainement, et ne raterais pas l'occasion de vous le raconter...
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