Secret de Cousins (Chapitre 2)
Récit érotique écrit par LeRugbyman [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Secret de Cousins (Chapitre 2)
Bonjour,
Pour ceux qui n’ont pas lu le premier chapitre je vous le conseille fortement. Il sert d’introduction aux événements qui suivent dans ce chapitre.
N’hésitez pas à donner votre avis !
Bonne lecture.
—
CHAPITRE II : Une nuit interdite
« Espèce de petite pute ! Tu crois que tu peux traiter les mecs comme des merdes, me chauffer toute la soirée pour finalement me laisser en plan ? »
J’entends Maxime hurler. En arrivant dans le jardin, je vois ma cousine lui coller une gifle monumentale, et il se serait jeté sur elle si les gars ne l’avaient pas retenu.
Je m’approche de Julia par-derrière et l’entoure de mes bras pour calmer son accès de violence. Je lui chuchote à l’oreille :
« Hé, ma belle, maintenant on arrête, tu te calmes et tu me racontes ce qui se passe. »
Julia se retourne, enfouit sa tête contre mon torse et éclate en sanglots. Entre deux excuses haletantes, elle peine à reprendre sa respiration. Je l’emmène vers un transat pendant que mes amis éloignent Maxime.
« Ok, ne t’inquiète pas Julia, reprends ta respiration. Ne me fais pas une crise d’angoisse, s’il te plaît. Regarde-moi dans les yeux et suis mon rythme de respiration. »
Je respire calmement pour l’aider à ralentir son pouls. Ma cousine se calme rapidement et essuie ses larmes.
« Ça va mieux maintenant ?
— Oui, merci d’être là…
— Ne t’inquiète pas, je serai toujours là. Alors, qu’est-ce qu’il s’est passé ?
— C’est ce connard de Maxime. On avait bien accroché au départ, je l’ai embrassé, on s’est un peu chauffé, mais j’ai refusé d’aller plus loin. Il l’a mal pris, mais on s’est juste éloignés. Le problème, c’est qu’il m’a vue embrasser Thomas. Il est arrivé en furie, a poussé Thomas, et ils ont failli se taper dessus par ma faute. Ensuite, il m’a insultée de tous les noms. »
Elle s’effondre de nouveau en pleurs. Je la prends dans mes bras pour la calmer.
« Écoute-moi bien, Julia, ce n’est aucunement de ta faute. Tu voulais juste passer une bonne soirée, mais tu as vexé son ego de vieux mec frustré. »
Lorsque Julia reprend ses esprits, j’aperçois Cassandre, une amie du lycée avec qui Julia semble bien s’entendre, qui vient s’asseoir à nos côtés.
« Ça va, Cassandre ? Tu peux rester avec elle, je vais parler avec les autres. »
Je rejoins mes amis, et l’ambiance semble être revenue. Je suis content que cette petite altercation n’ait pas gâché la soirée. Je retrouve Ben, l’organisateur de la soirée, pour lui annoncer notre départ.
« Eh, ça va mec ? Désolé pour tout à l’heure, ma cousine est assez sanguine et je vais aller dire deux mots à Maxime.
— Yo mec ! T’es sûr ? Ne t’inquiète pas, tu peux rester, ce n’est pas de ta faute ni celle de ta cousine. On a parlé avec Maxime, il s’est calmé.
— Je pense que Julia est fatiguée et elle n’est plus vraiment dans l’ambiance. Ne t’inquiète pas, c’était une superbe soirée, on s’en refera une !
— Compte sur moi, mon reuf ! Et j’ai t’ai vu avec Ariane, j’espère que tu n’as pas encore pris ma chambre !
— Ahah, non, j’ai bien retenu la leçon ! Bon, je vais voir Max. »
J’enlace mon meilleur ami pour lui dire au revoir. Je retrouve Max, qui a bien bu depuis l’altercation.
« Salut mec, j’espère juste que tu as bien compris que ce que tu as dit à ma cousine était très irrespectueux. »
J’affirme d’un ton limpide pour qu’il comprenne bien que je ne plaisante pas.
« Oh mec ! Eh, ça va, c’est elle qui m’a chauffé toute la soirée et après elle s’étonne que je lui parle mal !
— Qu’on soit bien clairs tous les deux avant que ça ne dérape. Julia n’a rien fait de mal, elle a juste vexé ton ego de vieux frustré.
— Vas-y, c’est bon, ferme ta gueule ! Eh, dégage de la soirée avec ta cousine, la petite pute ! »
Voyant qu’il n’a pas bien compris, je le plaque contre le mur et lui envoie une droite dans le visage. Il tombe à terre, glissant le long du mur, assommé par mon coup et par l’alcool.
Je sors furieux de la maison, informant Ben que je partais. En arrivant dans le jardin, Julia est toujours avec Cassandre, mais elle semble s’être calmée. Je lui dis que nous partons, ce qui la soulage. Nous gardons le silence sur le chemin du retour ; mon altercation avec Maxime reste en mémoire, mes poings et ma mâchoire sont crispés. À la maison, je prends une bière pour me détendre malgré l’alcool déjà présent dans mon organisme. Julia s’approche de moi, les larmes aux yeux.
« Je suis vraiment désolée que ta soirée soit gâchée par ma faute. »
Les larmes commencent à couler et sa respiration devient irrégulière.
« En vérité, ça ne va pas du tout depuis ma rupture… Je me sens vide, j’ai du mal à manger, je ne souris plus… Venir ici, te revoir, ça me fait un bien fou, je voulais juste profiter et retrouver des sensations mais à la place j’ai tout foiré ! Ne sois pas énervé contre moi s’il te plaît… »
Ma cousine fond en larmes sur mon torse. Le mélange rupture et alcool ne fait clairement pas bon ménage chez elle. Je la serre dans mes bras, déposant des baisers sur son crâne. Je pose mes deux mains sur ses joues, essuyant ses larmes au passage.
« Eh ma belle, ce n’est en aucun cas de ta faute. Je me suis énervé contre Maxime, je lui ai foutu mon poing dans la gueule parce qu’il avait mal parlé de toi. Si c’était à refaire, je le referais. Tu n’as pas gâché ma soirée. »
Elle me regarde dans les yeux et retrouve le sourire. Je la vois se mordre légèrement les lèvres inférieures. Mon regard passe de ses yeux à ses lèvres, et sa bouche me perturbe.
« Merci cousin, t’es le meilleur ! »
Julia me donne un bisou sur la joue et me reprend dans les bras. Son corps entier s’appuie sur le mien ; je sens sa poitrine contre le bas de mon torse, son souffle dans mon cou.
Mec !? T’es en train de disjoncter ! Bouge vite !
Je romps cette proximité, perturbé et gêné, et me gratte le crâne.
« Euh… Je vais me doucher, moi. Tu n’as qu’à aller dormir. Ça te fera du bien. »
Sous la douche, je repense à tous les moments ambigus qu’il y a pu avoir entre nous. À la piscine, au moment où elle m’a montré sa tenue, tout à l’heure. Quelque chose ne tourne pas rond avec moi. Je n’arrive pas à me sortir de la tête son visage et ses lèvres, ses belles lèvres qu’elle a mordues. Je ressens une chaleur monter en moi. Le son d’une porte qui s’ouvre et se referme me sort de mes pensées.
« Julia, c’est toi ? »
Un silence. Je vois une silhouette floue se dessiner à travers les vitres occultantes de la douche italienne.
Julia entre, totalement nue. Ses cheveux noirs, encore humides de la soirée, tombent en vagues sur ses épaules. Sa peau bronzée contraste avec la blancheur des carreaux. Ses seins, fermes et bien dessinés, se soulèvent au rythme de sa respiration. Je distingue des aréoles circulaires avec en leur centre des tétons pointus, gonflés. Ses hanches voluptueuses et ses jambes élancées complètent ce tableau érotique. Son pubis soigneusement taillé en un triangle brun accompagne parfaitement ses lèvres intimes. Ma vision se trouble, perturbé et gêné par sa présence, je me retourne et ferme les yeux pour ne pas la regarder.
« Julia, qu’est-ce que tu fais !? »
Dis-je, la voix tremblante. Elle ignore ma gêne et vient se coller contre mon dos. Ses seins se presse sur mon dos, je sens la chaleur de son corps et l’eau glisser entre nous, ajoutant une sensation électrisante à ce contact inattendu.
« Je suis désolée pour la tournure de la soirée. Je voulais pas que ce termine comme ça… À cause t’as même pas pu voir ta copine, j’ai tout foiré…
— On a en déjà parlé Julia, arrête de ressasser la soirée. Ce n’est pas de ta faute… Maintenant s’il te plaît détache toi de moi… »
Je chuchote le souffle irrégulier. Je sens mon corps s’échauffer, j’ai de plus en plus de mal à garder le contrôle sur mon corps et mon esprit.
« C’est juste que… ça fait près de deux mois que je n’ai plus de relations, même avant ma séparation avec mon mec. J’ai besoin de retrouver des sensations, de me sentir vivante. »
Murmure-t-elle contre mon oreille. Les yeux fermés, mes pensées se brouille l’alcool n’aidant pas. Ses mains glissent lentement sur mon torse, caressant ma peau. Mon cœur bat à tout rompre et je lutte pour ne pas céder à l’envie de la regarder.
« Julia, c’est pas une bonne idée, on a trop bu nos pensées ne sont pas claires.
— Pourquoi ? On est tous les deux adultes, et on se comprend si bien… »
Susurre-t-elle, ses lèvres effleurant mon cou. Elle se presse encore plus contre moi, ses seins se frottant contre mon dos. Mon corps réagit malgré moi, une chaleur intense m’envahit.
« Je suis ton cousin Julia… Arrêtes s’il te plaît.
— Je veux juste ressentir quelque chose… Toi aussi, tu en as envie, je le sens. »
La brune ignore totalement mes propos, ses doigts traçant des cercles sur ma peau. Je me retourne lentement, les yeux toujours fermés, pour lui faire face. Mon cœur bat la chamade, et je sais que je suis sur le point de franchir une ligne interdite.
« Julia… Pourquoi tu insiste… Si on fait ça on va tous les deux le regretter… »
Murmurai-je, sentant sa respiration sur mes lèvres. Ses mains glissent de mes épaules, à mon torse, ses doigts explorent chaque muscle tendu de mon corps jusqu’à atteindre mes hanches. Je ressens chaque caresse comme une brûlure, chaque mot qu’elle murmure résonne en moi.
« Fais-moi oublier tout ça… Juste pour ce soir. »
Implore-t-elle, ses lèvres à quelques centimètres des miennes. Mon esprit lutte entre la raison et le désir brûlant qui m’envahit. Mes mains, comme mues par une volonté propre, viennent se poser sur ses joues. J’ouvre enfin les yeux, plongeant mon regard dans le sien. Ses yeux sont remplis de désir, ses lèvres légèrement entrouvertes, invitantes.
Sans réfléchir davantage, je cède à l’attraction irrésistible qui nous lie. Mes lèvres capturent les siennes dans un baiser fougueux, passionné, tandis que l’eau de la douche continue de couler autour de nous, comme pour effacer les barrières de notre morale et nous emporter dans une vague de sensations nouvelles.
Julia colle son corps au mien. Me plaquant contre le carrelage froid de la douche. Ses seins nus contre mon torse, ses cuisses se mélangent aux miennes. Mon sexe durci instinctivement allant se coller sur le bas de son ventre, nous emportant dans une étreinte où la morale et le désir se livrent une bataille sans merci.
Une main caressant ma barbe tandis que l’autre glisse sur mon pubis rasé. Elle empoigne sans pudeur mon membre durci, me coupant la respiration au passage. Pourtant elle ne cesse de m’embrasser avec passion, nos deux langues s’entrechoquent avec violence. Ses doigts palpent mon sexe avec passion faisant de léger allers et venues, elle n’hésite pas à exciter mon gland.
Je n’ai jamais encore ressenti de telles sensations avec une femme, entre passion et interdit. J’ai l’impression de me retrouver comme un adolescent perdu durant sa première fois, ne savant pas comment réagir, qu’elle geste à adopter. Julia est à mon opposé, l’air sereine, ses gestes sont calculés.
La brune cesse le baiser, déposant ses lèvres sur mes joues, ma gorge. Elle lèche ma peau trempée par l’eau chaude qui enveloppe nos corps. Ma cousine continue sa descente agaçant mes tétons, ce qui me fait échapper un gémissement. Julia finit agenouillé entre mes jambes, je baisse la tête fébrilement captant son regard lubrique. Sa main caresse mon pénis d’une manière si douce mais intense à la fois. Elle s’apprête à m’accueillir dans sa bouche, quand dans un denier moment de lucidité je rompt le silence.
« Julia… Es-tu bien sûr de ce que tu t’apprêtes à faire, je ne vais plus répondre de moi-même après ça…
— Chut… »
Répond-t-elle simplement commençant à embrasser ma queue. Ses lèvres chaudes et humides englobent mon sexe, et un frisson me parcourt des pieds à la tête. Julia ne perd pas de temps ; elle utilise sa langue avec une expertise qui me laisse sans voix, jouant avec mon gland, traçant des cercles, provoquant des ondes de plaisir insoupçonnées.
Je m’appuie contre le carrelage froid de la douche, le contraste entre la chaleur de ses attentions et la fraîcheur du mur ajoutant une dimension supplémentaire à cette expérience interdite. Ses mouvements sont précis et mesurés, chaque caresse, chaque succion, calculée pour m’amener à la frontière du plaisir.
Ma main glisse instinctivement dans ses cheveux mouillés, les écartant de son visage pour mieux la voir à l’œuvre. Ses yeux s’ouvrent, son regard me trouble, une expression de dévotion totale sur son visage, comme si elle puisait autant de plaisir à donner qu’à recevoir. Chaque fois qu’elle descend, je sens sa gorge se contracter autour de moi, m’emportant un peu plus loin de la réalité, dans un monde où seule compte cette étreinte charnelle.
« Julia… »
Murmurai-je, ma voix brisée par le désir. Elle ouvre les yeux un instant, son regard brûlant se mêle au mien avant de replonger dans son acte, intensifiant ses mouvements. Mon cœur bat à tout rompre, chaque fibre de mon être tendue vers ce plaisir inéluctable.
« S’il te plaît… »
Parvins-je à articuler, mon esprit vacillant entre l’abandon et la culpabilité. Elle ne répond pas par des mots, mais ses actions parlent d’elles-mêmes. Ses mains agrippent mes cuisses, ses doigts s’enfonçant dans ma chair tandis qu’elle accélère le rythme, me poussant inexorablement vers le point de non-retour. Je me sens comme une marionnette entre ses mains expertes, incapable de résister, de reprendre le contrôle.
Soudain, dans un élan de désir incontrôlable, je la tire vers moi, la relevant brusquement. Nos lèvres se retrouvent dans un baiser désespéré, nos corps pressés l’un contre l’autre. Je la retourne, la plaquant de face sur le carrelage, mordant son cou. Je pousse ses fesses contre mon sexe afin de la cambrer le mieux possible.
« Capote ?
— Je suis clean et je prends la pilule. »
Sans plus attendre je la pénètre lentement, sentant ses muscles se contracter autour de moi. Elle pousse un gémissement, un mélange de surprise et de plaisir qui m’électrise.
Mes mains glissent de ses hanches jusqu’à ses seins, les pétrissant doucement tandis que je commence à bouger, établissant un rythme qui nous fait frissonner tous les deux. La chaleur de son corps et la fermeté de ses fesses contre mon ventre rendent chaque mouvement encore plus intense. Sa respiration devient de plus en plus saccadée à mesure que je m’enfonce en elle, chaque poussée nous rapprochant un peu plus de l’abandon total.
Julia pose ses mains sur le mur, cherchant appui tandis que je lui empoigne fermement la gorge, augmentant l’intensité de mes mouvements. Sa peau glisse sous mes doigts, humide et brûlante. Mes lèvres trouvent de nouveau son cou, que je mordille et embrasse, provoquant des frissons qui parcourent son échine.
« Oh oui… »
Gémis-t-elle, presque dans un souffle, ses mots se perdant dans l’écho de la salle de bains. Nos corps se synchronisent dans une danse frénétique, guidés par un besoin viscéral de se connecter à un niveau plus profond. Je sens son plaisir monter, ses gémissements devenant plus pressants, plus désespérés. Chacun de ses soupirs résonne en moi, alimentant mon propre désir.
« Plus fort… »
Demande-t-elle, sa voix brisée par le plaisir. Je me retire coupant notre plaisir. La brune pousse un cri de frustration lorsque je la retourne face à moi. Je l’embrasse dévorant ses lèvres.
« Viens on va dans ma chambre…
— D’accord… »
Souffle-t-elle. Nous nous essayons nonchalamment, balançons nos serviettes dans la panière et courons main dans la main jusqu’à ma chambre.
Tout en s’embrassant, je pose mes mains sur sa taille l’allongeant délicatement sur le matelas. Mes mains caressent doucement ses flancs tandis que je descends lentement, mes lèvres effleurant chaque parcelle de son corps. Je m’attarde sur ses seins, les mordillant légèrement, avant de poursuivre ma descente.
Julia soupire, ses doigts s’emmêlant dans mes cheveux alors que je m’approche de son ventre. Je trace un chemin de baisers jusqu’à son pubis, savourant chaque frisson qui parcourt son corps. Ses cuisses s’écartent instinctivement, offrant un accès total à son intimité. Je m’agenouille entre ses jambes, mes mains écartant doucement ses cuisses pour révéler son sexe humide et palpitant de désir.
Je dépose un baiser léger sur ses lèvres intimes, avant de les effleurer du bout de la langue. Julia halète, son corps se tendant sous la vague de plaisir que je lui procure. Mes mouvements sont d’abord doux, explorant chaque recoin de sa féminité, avant de devenir plus déterminés, plus intenses. Ma langue trace des cercles autour de son clitoris, le stimulant avec une précision exquise.
Je sens son plaisir monter en elle, ses gémissements devenant de plus en plus pressants. Mes doigts viennent alors s’ajouter à ma langue, pénétrant doucement son vagin et explorant ses parois internes. Julia pousse un cri de plaisir, son corps réagissant violemment à cette double stimulation. Mes mouvements se synchronisent, langue et doigts travaillant ensemble pour la mener au bord de l’extase.
« T’arrêtes pas ! »
Gémis la brune en massant mes cheveux. J’accélère le rythme, ma langue et mes doigts redoublant d’efforts pour satisfaire son désir. Je sens son orgasme approcher, ses muscles se contractant autour de mes doigts, ses gémissements devenant presque des cris. D’un coup, elle explose de plaisir, son corps se cambrant tandis que des vagues d’extase la submergent. Je continue mes mouvements, prolongeant son orgasme jusqu’à ce que ses spasmes se calment.
Je remonte alors le long de son corps, embrassant chaque parcelle de peau que je rencontre jusqu’à ce que nos lèvres se retrouvent dans un baiser passionné. Julia, encore haletante, m’agrippe fermement, son regard brûlant de désir renouvelé.
« Je te veux en moi Alex… »
En l’embrassant bestialement, je la pénètre d’un coup sec, ses hanches se soulevant pour m’accueillir. Nos corps s’entremêlent, le rythme de nos mouvements devenant frénétiques. Julia enroule ses jambes autour de ma taille, me tirant encore plus profondément en elle. Je la baise sauvagement, chaque coup de reins résonnant dans nos corps comme un écho de notre passion débridée.
« Oui, encore ! »
Crie-t-elle, ses ongles s’enfonçant dans ma peau. Je réponds à son appel, accélérant encore le rythme, chaque poussée devenant plus forte, plus profonde. Nos corps se heurtent avec une intensité presque brutale, le plaisir montant en flèche à chaque mouvement. Julia se cambre sous moi, ses gémissements se transformant en cris de plaisir incontrôlables.
« Met-toi en levrette. »
J’affirme d’une voix dominatrice. La belle se place docilement à quatre pattes, le dos bien cambré, la tête à plat sur le lit.
« Comme ça ? »
Répond-t-elle d’une voix provocatrice. Voulant mater son air mutin, je la pénètre d’un coup sec, sentant ses parois se contracter autour de moi. Julia pousse un cri étouffé de plaisir, ses ongles s’agrippant au drap. Je commence à bouger en elle, chaque poussée devenant plus intense, plus profonde. Nos corps se heurtent avec une frénésie presque animale, chaque mouvement amplifiant notre désir. Ses gémissements se mêlent aux miens, créant une symphonie de plaisir brut et primitif. Mes mains glissent sur son dos, ses fesses, ses cuisses, explorant chaque courbe de son corps. Je sens son plaisir monter en flèche, ses gémissements devenant des cris de plus en plus désespérés. Je me penche en avant, murmurant à son oreille,
« Tu aimes ça, n’est-ce pas ?
— Oui, oh oui… Défonce-moi… »
Gémis-elle, haletante. Je continue de la pilonner avec une intensité redoublée, mes mouvements devenant presque brutaux dans notre étreinte passionnée. Julia se cambre encore plus, ses cris atteignant un niveau de plaisir incontrôlable. Je sens nos orgasmes approcher, une vague de chaleur déferlant en moi. Ne voulant pas venir en levrette, je la retourne et la positionne sur moi en andromaque.
Ma cousine prend le contrôle sans hésitation, ses mains posées sur mon torse pour s’équilibrer. Elle s’empale nettement sur moi, ses yeux se fermant de plaisir. Un gémissement s’échappe de ses lèvres alors que ses hanches ne cessent de claquer contre les miennes. Nos orgasmes sont près à exploser, nous partageons nos gémissements, nos cris que nous couvrons par des baisers bestiaux.
Julia accélère, ses mouvements devenant plus frénétiques, sa tête basculant en arrière alors qu’elle perd le contrôle. Je laisse mes mains glisser le long de ses cuisses, remontant pour agripper ses fesses, la poussant à aller plus vite, plus fort. Ma belle se penche en avant, ses seins pressés contre mon torse, ses lèvres trouvant les miennes dans un baiser ardent. Nos langues se mêlent.
Je sens mon propre orgasme approcher, une tension délicieuse construisant dans mon bas-ventre. Julia atteint également le point de non-retour, ses gémissements se transformant en cris de plaisir brut.
« Je vais… Je vais venir !
— Putain… Moi aussi ! »
Grognai-je, sentant la vague inévitable du plaisir s’élever. Avec une ultime poussée, nous atteignons l’orgasme ensemble, nos corps secoués de spasmes intenses. Julia se crispe autour de moi, un cri de pur plaisir s’échappant de ses lèvres. Mon propre orgasme éclate en elle, une chaleur débordante déferlant à travers chaque fibre de mon être. Mon pénis déferle tout mon plaisir dans son sexe dégoulinant.
Essoufflés et satisfaits, nous nous effondrons l’un contre l’autre, nos corps encore frémissants de l’intensité de notre étreinte. Julia repose sa tête sur mon torse, nos cœurs battant en harmonie. Nous échangeons des baisers passionnés. Elle se retire de moi, se décalant sur le côté, posant sa tête sur mon épaule.
« C’était magique… Merci pour tout… »
Souffle-t-elle dans mon cou. Je passe une main dans ses cheveux humides savourant la douceur de ce moment. Je donne un bisou sur le crâne.
« J’ai adorais aussi… Merci Julia… »
Nous nous endormons nus dans les bras l’un de l’autre, nos corps entremêlés, laissant nos regrets de côté pour la nuit. Les draps, légèrement froissés, témoignent de notre étreinte passionnée. Julia se blottit contre moi, son souffle chaud caressant ma peau. Je sens sa poitrine se soulever doucement contre mon torse à chaque inspiration.
Le monde extérieur semble s’effacer, et pour cette nuit, nous ne sommes plus que deux âmes perdues trouvant un réconfort éphémère l’une dans l’autre. La chaleur de son corps contre le mien m’apaise, et je sens mes paupières devenir lourdes. Enlacés, nous sombrons ensemble dans un sommeil profond et réparateur, nos regrets et nos inhibitions repoussés au loin, ne laissant place qu’à la douce quiétude de l’instant partagé.
Pour ceux qui n’ont pas lu le premier chapitre je vous le conseille fortement. Il sert d’introduction aux événements qui suivent dans ce chapitre.
N’hésitez pas à donner votre avis !
Bonne lecture.
—
CHAPITRE II : Une nuit interdite
« Espèce de petite pute ! Tu crois que tu peux traiter les mecs comme des merdes, me chauffer toute la soirée pour finalement me laisser en plan ? »
J’entends Maxime hurler. En arrivant dans le jardin, je vois ma cousine lui coller une gifle monumentale, et il se serait jeté sur elle si les gars ne l’avaient pas retenu.
Je m’approche de Julia par-derrière et l’entoure de mes bras pour calmer son accès de violence. Je lui chuchote à l’oreille :
« Hé, ma belle, maintenant on arrête, tu te calmes et tu me racontes ce qui se passe. »
Julia se retourne, enfouit sa tête contre mon torse et éclate en sanglots. Entre deux excuses haletantes, elle peine à reprendre sa respiration. Je l’emmène vers un transat pendant que mes amis éloignent Maxime.
« Ok, ne t’inquiète pas Julia, reprends ta respiration. Ne me fais pas une crise d’angoisse, s’il te plaît. Regarde-moi dans les yeux et suis mon rythme de respiration. »
Je respire calmement pour l’aider à ralentir son pouls. Ma cousine se calme rapidement et essuie ses larmes.
« Ça va mieux maintenant ?
— Oui, merci d’être là…
— Ne t’inquiète pas, je serai toujours là. Alors, qu’est-ce qu’il s’est passé ?
— C’est ce connard de Maxime. On avait bien accroché au départ, je l’ai embrassé, on s’est un peu chauffé, mais j’ai refusé d’aller plus loin. Il l’a mal pris, mais on s’est juste éloignés. Le problème, c’est qu’il m’a vue embrasser Thomas. Il est arrivé en furie, a poussé Thomas, et ils ont failli se taper dessus par ma faute. Ensuite, il m’a insultée de tous les noms. »
Elle s’effondre de nouveau en pleurs. Je la prends dans mes bras pour la calmer.
« Écoute-moi bien, Julia, ce n’est aucunement de ta faute. Tu voulais juste passer une bonne soirée, mais tu as vexé son ego de vieux mec frustré. »
Lorsque Julia reprend ses esprits, j’aperçois Cassandre, une amie du lycée avec qui Julia semble bien s’entendre, qui vient s’asseoir à nos côtés.
« Ça va, Cassandre ? Tu peux rester avec elle, je vais parler avec les autres. »
Je rejoins mes amis, et l’ambiance semble être revenue. Je suis content que cette petite altercation n’ait pas gâché la soirée. Je retrouve Ben, l’organisateur de la soirée, pour lui annoncer notre départ.
« Eh, ça va mec ? Désolé pour tout à l’heure, ma cousine est assez sanguine et je vais aller dire deux mots à Maxime.
— Yo mec ! T’es sûr ? Ne t’inquiète pas, tu peux rester, ce n’est pas de ta faute ni celle de ta cousine. On a parlé avec Maxime, il s’est calmé.
— Je pense que Julia est fatiguée et elle n’est plus vraiment dans l’ambiance. Ne t’inquiète pas, c’était une superbe soirée, on s’en refera une !
— Compte sur moi, mon reuf ! Et j’ai t’ai vu avec Ariane, j’espère que tu n’as pas encore pris ma chambre !
— Ahah, non, j’ai bien retenu la leçon ! Bon, je vais voir Max. »
J’enlace mon meilleur ami pour lui dire au revoir. Je retrouve Max, qui a bien bu depuis l’altercation.
« Salut mec, j’espère juste que tu as bien compris que ce que tu as dit à ma cousine était très irrespectueux. »
J’affirme d’un ton limpide pour qu’il comprenne bien que je ne plaisante pas.
« Oh mec ! Eh, ça va, c’est elle qui m’a chauffé toute la soirée et après elle s’étonne que je lui parle mal !
— Qu’on soit bien clairs tous les deux avant que ça ne dérape. Julia n’a rien fait de mal, elle a juste vexé ton ego de vieux frustré.
— Vas-y, c’est bon, ferme ta gueule ! Eh, dégage de la soirée avec ta cousine, la petite pute ! »
Voyant qu’il n’a pas bien compris, je le plaque contre le mur et lui envoie une droite dans le visage. Il tombe à terre, glissant le long du mur, assommé par mon coup et par l’alcool.
Je sors furieux de la maison, informant Ben que je partais. En arrivant dans le jardin, Julia est toujours avec Cassandre, mais elle semble s’être calmée. Je lui dis que nous partons, ce qui la soulage. Nous gardons le silence sur le chemin du retour ; mon altercation avec Maxime reste en mémoire, mes poings et ma mâchoire sont crispés. À la maison, je prends une bière pour me détendre malgré l’alcool déjà présent dans mon organisme. Julia s’approche de moi, les larmes aux yeux.
« Je suis vraiment désolée que ta soirée soit gâchée par ma faute. »
Les larmes commencent à couler et sa respiration devient irrégulière.
« En vérité, ça ne va pas du tout depuis ma rupture… Je me sens vide, j’ai du mal à manger, je ne souris plus… Venir ici, te revoir, ça me fait un bien fou, je voulais juste profiter et retrouver des sensations mais à la place j’ai tout foiré ! Ne sois pas énervé contre moi s’il te plaît… »
Ma cousine fond en larmes sur mon torse. Le mélange rupture et alcool ne fait clairement pas bon ménage chez elle. Je la serre dans mes bras, déposant des baisers sur son crâne. Je pose mes deux mains sur ses joues, essuyant ses larmes au passage.
« Eh ma belle, ce n’est en aucun cas de ta faute. Je me suis énervé contre Maxime, je lui ai foutu mon poing dans la gueule parce qu’il avait mal parlé de toi. Si c’était à refaire, je le referais. Tu n’as pas gâché ma soirée. »
Elle me regarde dans les yeux et retrouve le sourire. Je la vois se mordre légèrement les lèvres inférieures. Mon regard passe de ses yeux à ses lèvres, et sa bouche me perturbe.
« Merci cousin, t’es le meilleur ! »
Julia me donne un bisou sur la joue et me reprend dans les bras. Son corps entier s’appuie sur le mien ; je sens sa poitrine contre le bas de mon torse, son souffle dans mon cou.
Mec !? T’es en train de disjoncter ! Bouge vite !
Je romps cette proximité, perturbé et gêné, et me gratte le crâne.
« Euh… Je vais me doucher, moi. Tu n’as qu’à aller dormir. Ça te fera du bien. »
Sous la douche, je repense à tous les moments ambigus qu’il y a pu avoir entre nous. À la piscine, au moment où elle m’a montré sa tenue, tout à l’heure. Quelque chose ne tourne pas rond avec moi. Je n’arrive pas à me sortir de la tête son visage et ses lèvres, ses belles lèvres qu’elle a mordues. Je ressens une chaleur monter en moi. Le son d’une porte qui s’ouvre et se referme me sort de mes pensées.
« Julia, c’est toi ? »
Un silence. Je vois une silhouette floue se dessiner à travers les vitres occultantes de la douche italienne.
Julia entre, totalement nue. Ses cheveux noirs, encore humides de la soirée, tombent en vagues sur ses épaules. Sa peau bronzée contraste avec la blancheur des carreaux. Ses seins, fermes et bien dessinés, se soulèvent au rythme de sa respiration. Je distingue des aréoles circulaires avec en leur centre des tétons pointus, gonflés. Ses hanches voluptueuses et ses jambes élancées complètent ce tableau érotique. Son pubis soigneusement taillé en un triangle brun accompagne parfaitement ses lèvres intimes. Ma vision se trouble, perturbé et gêné par sa présence, je me retourne et ferme les yeux pour ne pas la regarder.
« Julia, qu’est-ce que tu fais !? »
Dis-je, la voix tremblante. Elle ignore ma gêne et vient se coller contre mon dos. Ses seins se presse sur mon dos, je sens la chaleur de son corps et l’eau glisser entre nous, ajoutant une sensation électrisante à ce contact inattendu.
« Je suis désolée pour la tournure de la soirée. Je voulais pas que ce termine comme ça… À cause t’as même pas pu voir ta copine, j’ai tout foiré…
— On a en déjà parlé Julia, arrête de ressasser la soirée. Ce n’est pas de ta faute… Maintenant s’il te plaît détache toi de moi… »
Je chuchote le souffle irrégulier. Je sens mon corps s’échauffer, j’ai de plus en plus de mal à garder le contrôle sur mon corps et mon esprit.
« C’est juste que… ça fait près de deux mois que je n’ai plus de relations, même avant ma séparation avec mon mec. J’ai besoin de retrouver des sensations, de me sentir vivante. »
Murmure-t-elle contre mon oreille. Les yeux fermés, mes pensées se brouille l’alcool n’aidant pas. Ses mains glissent lentement sur mon torse, caressant ma peau. Mon cœur bat à tout rompre et je lutte pour ne pas céder à l’envie de la regarder.
« Julia, c’est pas une bonne idée, on a trop bu nos pensées ne sont pas claires.
— Pourquoi ? On est tous les deux adultes, et on se comprend si bien… »
Susurre-t-elle, ses lèvres effleurant mon cou. Elle se presse encore plus contre moi, ses seins se frottant contre mon dos. Mon corps réagit malgré moi, une chaleur intense m’envahit.
« Je suis ton cousin Julia… Arrêtes s’il te plaît.
— Je veux juste ressentir quelque chose… Toi aussi, tu en as envie, je le sens. »
La brune ignore totalement mes propos, ses doigts traçant des cercles sur ma peau. Je me retourne lentement, les yeux toujours fermés, pour lui faire face. Mon cœur bat la chamade, et je sais que je suis sur le point de franchir une ligne interdite.
« Julia… Pourquoi tu insiste… Si on fait ça on va tous les deux le regretter… »
Murmurai-je, sentant sa respiration sur mes lèvres. Ses mains glissent de mes épaules, à mon torse, ses doigts explorent chaque muscle tendu de mon corps jusqu’à atteindre mes hanches. Je ressens chaque caresse comme une brûlure, chaque mot qu’elle murmure résonne en moi.
« Fais-moi oublier tout ça… Juste pour ce soir. »
Implore-t-elle, ses lèvres à quelques centimètres des miennes. Mon esprit lutte entre la raison et le désir brûlant qui m’envahit. Mes mains, comme mues par une volonté propre, viennent se poser sur ses joues. J’ouvre enfin les yeux, plongeant mon regard dans le sien. Ses yeux sont remplis de désir, ses lèvres légèrement entrouvertes, invitantes.
Sans réfléchir davantage, je cède à l’attraction irrésistible qui nous lie. Mes lèvres capturent les siennes dans un baiser fougueux, passionné, tandis que l’eau de la douche continue de couler autour de nous, comme pour effacer les barrières de notre morale et nous emporter dans une vague de sensations nouvelles.
Julia colle son corps au mien. Me plaquant contre le carrelage froid de la douche. Ses seins nus contre mon torse, ses cuisses se mélangent aux miennes. Mon sexe durci instinctivement allant se coller sur le bas de son ventre, nous emportant dans une étreinte où la morale et le désir se livrent une bataille sans merci.
Une main caressant ma barbe tandis que l’autre glisse sur mon pubis rasé. Elle empoigne sans pudeur mon membre durci, me coupant la respiration au passage. Pourtant elle ne cesse de m’embrasser avec passion, nos deux langues s’entrechoquent avec violence. Ses doigts palpent mon sexe avec passion faisant de léger allers et venues, elle n’hésite pas à exciter mon gland.
Je n’ai jamais encore ressenti de telles sensations avec une femme, entre passion et interdit. J’ai l’impression de me retrouver comme un adolescent perdu durant sa première fois, ne savant pas comment réagir, qu’elle geste à adopter. Julia est à mon opposé, l’air sereine, ses gestes sont calculés.
La brune cesse le baiser, déposant ses lèvres sur mes joues, ma gorge. Elle lèche ma peau trempée par l’eau chaude qui enveloppe nos corps. Ma cousine continue sa descente agaçant mes tétons, ce qui me fait échapper un gémissement. Julia finit agenouillé entre mes jambes, je baisse la tête fébrilement captant son regard lubrique. Sa main caresse mon pénis d’une manière si douce mais intense à la fois. Elle s’apprête à m’accueillir dans sa bouche, quand dans un denier moment de lucidité je rompt le silence.
« Julia… Es-tu bien sûr de ce que tu t’apprêtes à faire, je ne vais plus répondre de moi-même après ça…
— Chut… »
Répond-t-elle simplement commençant à embrasser ma queue. Ses lèvres chaudes et humides englobent mon sexe, et un frisson me parcourt des pieds à la tête. Julia ne perd pas de temps ; elle utilise sa langue avec une expertise qui me laisse sans voix, jouant avec mon gland, traçant des cercles, provoquant des ondes de plaisir insoupçonnées.
Je m’appuie contre le carrelage froid de la douche, le contraste entre la chaleur de ses attentions et la fraîcheur du mur ajoutant une dimension supplémentaire à cette expérience interdite. Ses mouvements sont précis et mesurés, chaque caresse, chaque succion, calculée pour m’amener à la frontière du plaisir.
Ma main glisse instinctivement dans ses cheveux mouillés, les écartant de son visage pour mieux la voir à l’œuvre. Ses yeux s’ouvrent, son regard me trouble, une expression de dévotion totale sur son visage, comme si elle puisait autant de plaisir à donner qu’à recevoir. Chaque fois qu’elle descend, je sens sa gorge se contracter autour de moi, m’emportant un peu plus loin de la réalité, dans un monde où seule compte cette étreinte charnelle.
« Julia… »
Murmurai-je, ma voix brisée par le désir. Elle ouvre les yeux un instant, son regard brûlant se mêle au mien avant de replonger dans son acte, intensifiant ses mouvements. Mon cœur bat à tout rompre, chaque fibre de mon être tendue vers ce plaisir inéluctable.
« S’il te plaît… »
Parvins-je à articuler, mon esprit vacillant entre l’abandon et la culpabilité. Elle ne répond pas par des mots, mais ses actions parlent d’elles-mêmes. Ses mains agrippent mes cuisses, ses doigts s’enfonçant dans ma chair tandis qu’elle accélère le rythme, me poussant inexorablement vers le point de non-retour. Je me sens comme une marionnette entre ses mains expertes, incapable de résister, de reprendre le contrôle.
Soudain, dans un élan de désir incontrôlable, je la tire vers moi, la relevant brusquement. Nos lèvres se retrouvent dans un baiser désespéré, nos corps pressés l’un contre l’autre. Je la retourne, la plaquant de face sur le carrelage, mordant son cou. Je pousse ses fesses contre mon sexe afin de la cambrer le mieux possible.
« Capote ?
— Je suis clean et je prends la pilule. »
Sans plus attendre je la pénètre lentement, sentant ses muscles se contracter autour de moi. Elle pousse un gémissement, un mélange de surprise et de plaisir qui m’électrise.
Mes mains glissent de ses hanches jusqu’à ses seins, les pétrissant doucement tandis que je commence à bouger, établissant un rythme qui nous fait frissonner tous les deux. La chaleur de son corps et la fermeté de ses fesses contre mon ventre rendent chaque mouvement encore plus intense. Sa respiration devient de plus en plus saccadée à mesure que je m’enfonce en elle, chaque poussée nous rapprochant un peu plus de l’abandon total.
Julia pose ses mains sur le mur, cherchant appui tandis que je lui empoigne fermement la gorge, augmentant l’intensité de mes mouvements. Sa peau glisse sous mes doigts, humide et brûlante. Mes lèvres trouvent de nouveau son cou, que je mordille et embrasse, provoquant des frissons qui parcourent son échine.
« Oh oui… »
Gémis-t-elle, presque dans un souffle, ses mots se perdant dans l’écho de la salle de bains. Nos corps se synchronisent dans une danse frénétique, guidés par un besoin viscéral de se connecter à un niveau plus profond. Je sens son plaisir monter, ses gémissements devenant plus pressants, plus désespérés. Chacun de ses soupirs résonne en moi, alimentant mon propre désir.
« Plus fort… »
Demande-t-elle, sa voix brisée par le plaisir. Je me retire coupant notre plaisir. La brune pousse un cri de frustration lorsque je la retourne face à moi. Je l’embrasse dévorant ses lèvres.
« Viens on va dans ma chambre…
— D’accord… »
Souffle-t-elle. Nous nous essayons nonchalamment, balançons nos serviettes dans la panière et courons main dans la main jusqu’à ma chambre.
Tout en s’embrassant, je pose mes mains sur sa taille l’allongeant délicatement sur le matelas. Mes mains caressent doucement ses flancs tandis que je descends lentement, mes lèvres effleurant chaque parcelle de son corps. Je m’attarde sur ses seins, les mordillant légèrement, avant de poursuivre ma descente.
Julia soupire, ses doigts s’emmêlant dans mes cheveux alors que je m’approche de son ventre. Je trace un chemin de baisers jusqu’à son pubis, savourant chaque frisson qui parcourt son corps. Ses cuisses s’écartent instinctivement, offrant un accès total à son intimité. Je m’agenouille entre ses jambes, mes mains écartant doucement ses cuisses pour révéler son sexe humide et palpitant de désir.
Je dépose un baiser léger sur ses lèvres intimes, avant de les effleurer du bout de la langue. Julia halète, son corps se tendant sous la vague de plaisir que je lui procure. Mes mouvements sont d’abord doux, explorant chaque recoin de sa féminité, avant de devenir plus déterminés, plus intenses. Ma langue trace des cercles autour de son clitoris, le stimulant avec une précision exquise.
Je sens son plaisir monter en elle, ses gémissements devenant de plus en plus pressants. Mes doigts viennent alors s’ajouter à ma langue, pénétrant doucement son vagin et explorant ses parois internes. Julia pousse un cri de plaisir, son corps réagissant violemment à cette double stimulation. Mes mouvements se synchronisent, langue et doigts travaillant ensemble pour la mener au bord de l’extase.
« T’arrêtes pas ! »
Gémis la brune en massant mes cheveux. J’accélère le rythme, ma langue et mes doigts redoublant d’efforts pour satisfaire son désir. Je sens son orgasme approcher, ses muscles se contractant autour de mes doigts, ses gémissements devenant presque des cris. D’un coup, elle explose de plaisir, son corps se cambrant tandis que des vagues d’extase la submergent. Je continue mes mouvements, prolongeant son orgasme jusqu’à ce que ses spasmes se calment.
Je remonte alors le long de son corps, embrassant chaque parcelle de peau que je rencontre jusqu’à ce que nos lèvres se retrouvent dans un baiser passionné. Julia, encore haletante, m’agrippe fermement, son regard brûlant de désir renouvelé.
« Je te veux en moi Alex… »
En l’embrassant bestialement, je la pénètre d’un coup sec, ses hanches se soulevant pour m’accueillir. Nos corps s’entremêlent, le rythme de nos mouvements devenant frénétiques. Julia enroule ses jambes autour de ma taille, me tirant encore plus profondément en elle. Je la baise sauvagement, chaque coup de reins résonnant dans nos corps comme un écho de notre passion débridée.
« Oui, encore ! »
Crie-t-elle, ses ongles s’enfonçant dans ma peau. Je réponds à son appel, accélérant encore le rythme, chaque poussée devenant plus forte, plus profonde. Nos corps se heurtent avec une intensité presque brutale, le plaisir montant en flèche à chaque mouvement. Julia se cambre sous moi, ses gémissements se transformant en cris de plaisir incontrôlables.
« Met-toi en levrette. »
J’affirme d’une voix dominatrice. La belle se place docilement à quatre pattes, le dos bien cambré, la tête à plat sur le lit.
« Comme ça ? »
Répond-t-elle d’une voix provocatrice. Voulant mater son air mutin, je la pénètre d’un coup sec, sentant ses parois se contracter autour de moi. Julia pousse un cri étouffé de plaisir, ses ongles s’agrippant au drap. Je commence à bouger en elle, chaque poussée devenant plus intense, plus profonde. Nos corps se heurtent avec une frénésie presque animale, chaque mouvement amplifiant notre désir. Ses gémissements se mêlent aux miens, créant une symphonie de plaisir brut et primitif. Mes mains glissent sur son dos, ses fesses, ses cuisses, explorant chaque courbe de son corps. Je sens son plaisir monter en flèche, ses gémissements devenant des cris de plus en plus désespérés. Je me penche en avant, murmurant à son oreille,
« Tu aimes ça, n’est-ce pas ?
— Oui, oh oui… Défonce-moi… »
Gémis-elle, haletante. Je continue de la pilonner avec une intensité redoublée, mes mouvements devenant presque brutaux dans notre étreinte passionnée. Julia se cambre encore plus, ses cris atteignant un niveau de plaisir incontrôlable. Je sens nos orgasmes approcher, une vague de chaleur déferlant en moi. Ne voulant pas venir en levrette, je la retourne et la positionne sur moi en andromaque.
Ma cousine prend le contrôle sans hésitation, ses mains posées sur mon torse pour s’équilibrer. Elle s’empale nettement sur moi, ses yeux se fermant de plaisir. Un gémissement s’échappe de ses lèvres alors que ses hanches ne cessent de claquer contre les miennes. Nos orgasmes sont près à exploser, nous partageons nos gémissements, nos cris que nous couvrons par des baisers bestiaux.
Julia accélère, ses mouvements devenant plus frénétiques, sa tête basculant en arrière alors qu’elle perd le contrôle. Je laisse mes mains glisser le long de ses cuisses, remontant pour agripper ses fesses, la poussant à aller plus vite, plus fort. Ma belle se penche en avant, ses seins pressés contre mon torse, ses lèvres trouvant les miennes dans un baiser ardent. Nos langues se mêlent.
Je sens mon propre orgasme approcher, une tension délicieuse construisant dans mon bas-ventre. Julia atteint également le point de non-retour, ses gémissements se transformant en cris de plaisir brut.
« Je vais… Je vais venir !
— Putain… Moi aussi ! »
Grognai-je, sentant la vague inévitable du plaisir s’élever. Avec une ultime poussée, nous atteignons l’orgasme ensemble, nos corps secoués de spasmes intenses. Julia se crispe autour de moi, un cri de pur plaisir s’échappant de ses lèvres. Mon propre orgasme éclate en elle, une chaleur débordante déferlant à travers chaque fibre de mon être. Mon pénis déferle tout mon plaisir dans son sexe dégoulinant.
Essoufflés et satisfaits, nous nous effondrons l’un contre l’autre, nos corps encore frémissants de l’intensité de notre étreinte. Julia repose sa tête sur mon torse, nos cœurs battant en harmonie. Nous échangeons des baisers passionnés. Elle se retire de moi, se décalant sur le côté, posant sa tête sur mon épaule.
« C’était magique… Merci pour tout… »
Souffle-t-elle dans mon cou. Je passe une main dans ses cheveux humides savourant la douceur de ce moment. Je donne un bisou sur le crâne.
« J’ai adorais aussi… Merci Julia… »
Nous nous endormons nus dans les bras l’un de l’autre, nos corps entremêlés, laissant nos regrets de côté pour la nuit. Les draps, légèrement froissés, témoignent de notre étreinte passionnée. Julia se blottit contre moi, son souffle chaud caressant ma peau. Je sens sa poitrine se soulever doucement contre mon torse à chaque inspiration.
Le monde extérieur semble s’effacer, et pour cette nuit, nous ne sommes plus que deux âmes perdues trouvant un réconfort éphémère l’une dans l’autre. La chaleur de son corps contre le mien m’apaise, et je sens mes paupières devenir lourdes. Enlacés, nous sombrons ensemble dans un sommeil profond et réparateur, nos regrets et nos inhibitions repoussés au loin, ne laissant place qu’à la douce quiétude de l’instant partagé.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire qui ne m’a pas du tout laissé indifférent
Waaaw c’est le genre d’histoire qu’on adore lire avec ma femme. Sensuel, érotique et une tension qui monte peu à peu. Merci pour de nous l’avoir partager :)
Une tres belle histoire !! La famille c'est sacré ;)
Une suite ?
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