SECRETS DE FEMME

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : SECRETS DE FEMME Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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(10.0 / 10)

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SECRETS DE FEMME
Bérengère était attachée solidement sur le lit. Elle avait trouvé cette adresse en ligne, dans l'un de ces obscurs salons de discussion, là où personne n'utilise son vrai nom.

Son mari était loin de la maison, en voyage d'affaires. Ses deux jeunes fils résidaient chez la mère de Bérengère. pour qu'elle puisse soi-disant assister à une présentation de mariage tout l'après-midi.

Elle avait garé sa voiture dans un parking privé, près de ce quartier sordide. Elle avait marché rapidement dans trois ruelles sombres, avant d’entrer dans l’endroit le plus miteux de ce côté du quartier, là où vivait un grand nombre d’immigrés basanés. 
Sur la façade crasseuse, on pouvait encore deviner l’écriteau qui nous apprenait qu’autrefois, cette maison avait été un hôtel. Les portes épaisses laissaient filtrer des bruits de sexualités débridées. Des femmes hurlaient d'extase, de la chair claquait contre la chair, des hommes grognaient d’excitation. 
Bérengère se demandait si tout ces bruits provenaient de vidéos diffusées à l'intérieur des chambres, ou des sons produits par les occupants. Cette pensée lui donnait chaud entre les cuisses.

Bérengère a donné son consentement en signant le formulaire sans le lire, pressée d’atteindre son but. Elle a été conduite dans une chambrette obscure, où elle s’est déshabillée entièrement pour revêtir sa tenue de salope. De longs bas noirs autofixants, des talons noirs, un collier de chien noir, un masque noir sur les yeux et un bâillon d’angoisse maintenue dans la bouche.

Elle s'est laissée attacher sur ce petit lit écœurant de crasse par un africain hideux. Le vieil homme, obèse et laid, s’est éclipsée sans un mot après avoir fini son ouvrage. L’angoisse et l’anxiété de l’attente lui tordaient le ventre, elle se demandait combien de temps cela durerait, quand la porte s'ouvrit, et elle sentit les battements de son cœur s’emballer.

Elle ne pouvait pas voir les hommes entrer dans la pièce mais elle pouvait les entendre. Ils se groupaient autour du lit pour examiner leur proie, cette bourgeoise lubrique qui venait s’encanailler dans les bas-fonds de la cité.

Elle sentit leurs mains prendre possession de son corps, palper, tâter, caresser les chairs dévoilées. Elle sentit les mains écarter ses cuisses pour exposer sa chatte soigneusement rasée de femme mariée.

Lorsqu’elle a sentit leurs doigts s’infiltrer pour la sonder, instinctivement, elle a tenté d'abaisser ses mains pour se protéger. Mais les cordes étaient bien trop solides et elle ne pouvait pas bouger pendant que les hommes jouaient avec son corps.

Les hommes la tripotaient, introduisaient leurs doigts en elle, pinçaient ses tétons en tirant dessus, et leurs gestes obscènes s’accompagnaient d’exclamations en langue étrangère. Apparemment, ils n’avaient pas souvent l’occasion de s’amuser avec une aussi belle femme.

Peu importe à quelle vitesse ou à quelle profondeur leurs doigts la pénétraient. Peu importe qu’ils soient crasseux, brutaux et méprisants. Elle avait fantasmé sur cette humiliation depuis si longtemps, le désir lui tordait les ovaires.

Elle sentit le lit grincer lorsqu'un homme monta dessus. Brièvement, elle a eu le temps de penser que le type devait être monstrueux pour que le lit métallique grince ainsi sous son poids.

Elle commença à respirer fortement tandis qu'il s’agenouillait entre ses jambes. Sans ménagement, les autres ont soulevé ses jambes en les écartant au maximum. Le type au-dessus d’elle a saisi sa bite à pleine main pour la heurter à plusieurs reprises sur sa chatte.

Estimant sans doute qu’il avait suffisamment préparé la chienne, il s’est allongé sur elle avec un grand soupir et, sans prévenir, il s'est enfoncé profondément en elle. Le choc l’aurait fait hurler si elle n’avait pas été bâillonnée.

Prenant sans doute ses gémissements pour des soupirs d’aise, d’un puissant coup de reins, il est venu heurter le fond de la matrice. La douleur a failli faire perdre conscience à Bérengère.

D’autant plus que son tortionnaire, confondant gémissements de douleur et ceux de plaisir, s’acharnait à heurter le fond de sa vulve à grands coups de boutoir.

Agrippé aux cheveux de Bérengère afin d’avoir une meilleure prise, l’homme la martelait puissamment, l’utilisant comme une poupée sexuelle. Peu à peu, son trouble prenait le pas sur sa douleur, et Bérengère commençait à accompagner les mouvements de l’homme sur elle.

Elle essayait vainement de contrôler ses gémissements, tandis que les autres s’esclaffaient bruyamment en voyant cette salope se soumettre. Leurs attouchements avaient repris, et ils essayaient d’enfiler leurs doigts là où il n’y avait pas de place. Ceux qui avaient agrippés ses nichons s’excitaient dessus, les pinçant, les tordant en tirant dessus méchamment.

Maintenant, elle haletait de plaisir dans son bâillon. La grosse bite allait si profondément en elle qu'elle pensait défaillir ! Il accélérait encore en grognant, et elle le sentit gicler en elle, dans son vagin non protégé.

Il haletait fortement, sa bite palpitait encore en elle, mais il a glissé hors de son antre fertile sans traîner. Bérengère se désolait de le voir s’échapper sans l’attendre, alors qu’elle était si proche du but, mais pour elle, c’était loin d’être terminé.

Le premier à peine descendu du lit qu’un autre a grimpé sur elle, engageant sa bite profondément dans sa chatte enduite de sperme. Celui-là était un sentimental, parce qu’il lui a ôté son bâillon pour l’embrasser à pleine bouche. Son haleine fétide de gars qui mange une nourriture fortement épicée lui soulevait le cœur, mais ses mouvements de reins rageurs la comblaient de bonheur.

Pendant l'heure qui a suivi, elle s'est faite baiser par tous les hommes présents, utilisée comme une pute pas chère pour drainer leurs couilles pleines. Elle a joui encore et encore, gémissante et geignante, adorant les sensations que lui procuraient ces bites sombres qui la labouraient. 
Au terme du temps imparti, l’affreux noir obèse est venu mettre les gars dehors en leur criant dessus. Il est resté sur le pas de la porte tandis que la troupe s’éloignait, puis il est entré la rejoindre.

Elle sentit une bite monstrueuse s’insérer dans sa chatte martyrisée. Le fait qu'elle soit bien lubrifiée par tout le sperme accumulé a facilité l’introduction de son énorme membre. Tandis qu'il la baisait vigoureusement, elle pouvait sentir le sperme jaillir hors de sa chatte sur le lit déjà taché de sperme. 
Bérengère pouvait sentir un nouvel orgasme se former au fond de son ventre. Elle le sentit monter et progresser pendant qu'elle percevait la satisfaction de ce vieux clochard, qui appréciait de baiser une jeune et jolie bourgeoise mariée.

Elle remarquait que la bite du répugnant personnage se tendait et gonflait en elle. Ses mouvements désordonnés lui enseignaient que la fin était proche. Malgré son désir de durer encore un peu, le gros porc ne pouvait plus se contenir.

Alors qu'il grognait de dépit, la chatte de Bérengère pétillait encore de plaisir. Sa chatte se contractait autour de la bite tendue de l’infirme. Le sentiment de servir de vide-couilles à un noir laid, obèse et crasseux, d’avoir sa chatte remplie par le sperme d'hommes misérables, l'odeur grasse de sexe, attachée et soumise avec sa chatte offerte à tous, submergea Bérengère.

Des vagues de plaisir successives secouaient son corps fatigué et meurtri. La jouissance lui fit perdre momentanément conscience, et elle ne réalisa pas tout de suite que le gros noir l’avait détachée avant de s’en aller.

Les cordes avaient laissé des marques rouges autour de ses poignets. Elle était couverte de bleus et de stigmates. Sa chatte bavait de foutre et elle n’avait rien pour se laver. Décoiffée, hagarde, elle n’avait aucune explication pour justifier son état.

Elle a quitté l’endroit, misérable et brisée, mais repue. Elle a rejoint sa voiture et s’est effondrée sur son siège en se méprisant. Pourtant, elle savait qu'elle reviendrait ici dès qu'elle pourrait profiter d’une autre opportunité. Sa sexualité tordue la traînerait bientôt de nouveau ici.

Quelques mois plus tôt, Bérengère avait rendu une visite surprise à son mari, au bureau. Elle l’avait découvert, la bite de son homme profondément enfoncée dans le cul de son assistante.

Il exigeait d’elle cette humiliation, si elle voulait obtenir l'augmentation à laquelle elle pensait avoir droit.

La jalousie et l'excitation luttaient dans le cœur de Bérengère à la vue de leurs ébats, en sueur et se rejoignant dans une félicité charnelle.

Il la possédait comme elle, sa propre femme, toujours prête et disposée, alors pourquoi diable avait-il besoin de baiser cette jeune pétasse ? Son esprit ne pouvait pas comprendre ce désir de la tromper.

Elle avait l'air d'avoir la vingtaine ou quelque chose comme ça, ses seins dressés et son cul arrondi, comme si elle était une poupée sexuelle. Pouah!

Une sorcière, Bérengère la détestait à ce moment-là, à peu près autant qu’elle l'enviait.

Parce que d'un autre côté, autant voir son mari la tromper la rendait malade, autant c'était assez troublant. La façon dont il la maltraitait un peu, lui claquant les fesses et la faisant gémir, avec ses poussées dures dans son corps abandonné.

Les voir accouplés comme ça rendait Bérengère jalouse, lui donnant envie du même traitement.

La garce était à moitié inconsciente, vautrée sur le bureau, clairement dominée dans son délire, son mascara et son rouge à lèvres barbouillés partout sur ses joues pâles. Son marmonnement avait depuis longtemps cessé d'avoir un sens. Elle était coincée à répéter sans cesse « s'il vous plaît », le regard lointain dans ses yeux vides. Il avait dû la baiser toute la journée, par intermittence, pour la mettre dans cet état.

Il avait un sacré réservoir d'endurance. Bérengère le savait, car elle le laissait l'utiliser de la même manière, la baiser jusqu'à ce que ses couilles pendent vides entre ses jambes, satisfait de l'avoir soumise à sa virilité.

Le mot clé étant « dressage ».

Bérengère est repartie, se jurant de lui faire payer cette infamie à partir de ce moment-là. Elle était furieuse, et elle n'allait pas tolérer de partager la bite de son mari.

Bérengère a passé la soirée dans un délire de rébellion et de punition, en contredisant son rôle de chef de famille, chaque fois qu’elle en avait l'occasion. Rien de ce qu'il faisait ou disait n'était juste, elle s'opposait à tous ses désirs, tout cela pour le plaisir d'être une peste contrariante.

Bérengère se complaisait en lançant des insinuations sur sa charge de travail, et sur la fatigue qui en découlait. Elle insinuait que les hommes étaient naturellement programmés pour baiser autant de femmes que possible, les inséminer en fertilisant leurs utérus, afin d’assurer leur descendance.

Jusqu’à être grossière. Exprès.

« Assez !» avait-il crié.

Elle avait capté son attention, d'accord. Il était furieux contre Bérengère, bien. Mais sa rage brûlait encore.

« C’est terminé, Bérengère. Privée de dîner. File dans ta chambre. J’en ai assez supporté ! »
Elle se leva, tordant sa bouche en un ricanement.

« Privée de dessert ? Bien, je vais prendre un amant pour me faire sauter. Un noir, avec une grosse bite délicieuse, qui va me fourrer ! » lui murmura-t-elle au passage, juste assez doucement pour que son cher époux entende, sans que les gamins les questionnent.

« Espèce de petite... » menaça-t-il, mais il ne dit rien de plus.

Il ne l'avait jamais grondée, pas devant les enfants en tout cas, qui prenaient toujours son parti lors des discussions. Si ils savaient ce qu’elle endurait quand ils étaient seuls.

Son mari l'avait suivie dans les escaliers, et jusque dans leur chambre. Il a soigneusement refermé la porte derrière lui. La dernière étape de leur petit jeu pouvait commencer.

« Es-tu devenue folle, ou cherches-tu une fessée, petite effrontée ? » Il a grondé, comme s'il avait un droit divin de seigneur et maître.

Bérengère l'a regardé avec ce qu’elle espérait être un air espiègle, hautaine, puis elle a mis une main entre ses cuisses, et elle a commencé à se masturber en imitant les plaintes de son assistante.

« Oh, oui, un grand noir, bien baraqué, j'aimerais qu’il jouisse dans ma chatte, oh, putain, oui, comme ça ! »
Penchée sur le lit, lui tournant le dos, Bérengère gémissait et haletait en mimant le coït avec un membre viril, en frottant son clitoris de plus en plus fort.

Bérengère sentit soudain sa main dure claquer vigoureusement son cul, faisant tressauter ses fesses, les ondulations traversant ses chairs tendres, avant de finalement résonner dans son bas-ventre.

L'impact a instantanément réduit au silence son petit acte de rébellion, et elle a avalé une boule d’angoisse et de désir qui se formait dans sa gorge.

Le coup était plus sec que fort, et franchement, il l’avait calmée extérieurement, mais à l'intérieur ? À l'intérieur, elle avait envie d’être prise, dominée comme une chienne lubrique, possédée d'une manière aussi dépravée et pervertie que son assistante.

L'empreinte de sa main sur son cul la brûlait. Son mari l'avait encore une fois enflammée d'un simple geste, prouvant à quel point elle avait besoin d’être soumise.

Le souvenir de leur spectacle, cet après-midi, revenait hanter sa mémoire. Son assistante, vautrée sur son bureau, gémissante sous sa charge impitoyable, les fesses rougies, gémissante et passive.

« Tu sais que je n'aime pas quand tu agis comme une gamine. Pourquoi ne peux-tu pas te contenter d’être une bonne épouse avec moi ? »
« Je sais, j’ai tort, je te demande pardon. »
« Tu sais que ça ne suffit pas, Bérengère. Tu as été une très mauvaise épouse, et maintenant je dois te punir. C'est pour ton bien, ma chérie ! »
Bérengère tremblait en pensant à ce que cela signifiait. Ses mains rugueuses et puissantes torturant sa chatte, le miel doux et crépitant de sa bite coulissant à l'intérieur de sa vulve ardente, la martelant à un rythme impitoyable, la perte de sa dignité, suppliant des choses sales et avilissantes.

« Je comprends. Fais de moi ce que tu veux. Punis-moi. J'ai été mauvaise. Dresse-moi ! »

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Histoire idiote ce pauvre auteur est vraiment fêlé.



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