Séjour au Cap d'Agde
Récit érotique écrit par Amélie46 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2014 dans la catégorie Plus on est
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Séjour au Cap d'Agde
La société étant fermée au mois d’août, je me retrouve en congés. Marie et Michel partent trois semaines et je me retrouve donc seule. Je n’ai pas très envie de partir en vacances seule, et Greg me propose d’aller avec lui au cap d’Agde pendant une semaine. J’ai pas mal entendu parler du cap sur internet et je sais donc que ce sera des vacances de baise intensive. L’idée me plaît beaucoup surtout que Greg me promet de belles parties : « toi qui aime les blacks, tu vas être servie ! ». Il y va tous les ans et il a l’habitude d’y louer une villa avec piscine où il reçoit pas mal d’amis.
Nous arrivons le samedi en fin de matinée, et il me propose d’aller déjeuner en ville après avoir déballé nos bagages. La maison est en effet très grande et très agréable. Pour aller déjeuner il me demande de mettre juste une robe légère, courte et de rester nue dessous. En arrivant au restaurant de plage, je vois qu’il connaît bien le personnel et le patron ne tarde pas à passer une main sous ma jupe pour me caresser. C’est un gars costaud d’une cinquantaine d’années. Sa main pelote fermement mes fesses devant tout le monde. Mais en voyant le monde présent dans le bar, je vois d’autres femmes se laisser caresser de la même manière que moi, je ne cherche donc pas à me soustraire à ses mains baladeuses. Puis nous passons à table en terrasse, alors que je suis toute excitée et frustrée, j’ai envie de baiser et j’espère qu’après le repas, Greg veuille bien me satisfaire.
En rentrant à la villa, Greg me baise une première fois devant la piscine, puis comme nous sommes enlacés sur un matelas il me demande si j’ai des envies particulières que je souhaite réaliser ici. En effet, le cap d’Agde en été est l’endroit idéal pour se lâcher et je sais que Greg m’a invitée pour ça. Je lui dis que j’ai envie d’en profiter, de m’offrir sans compter à tous les plaisirs de la débauche. Il insiste en me disant qu’il connaît beaucoup de monde et qu’il peut organiser ce que je veux avec des hommes, des femmes et des couples. Je finis par lui avouer que j’aimerais bien être partouzée par des blacks, en groupe. J’ai envie de revivre ce que j’ai connu avec Marie dans la boîte antillaise à Paris. Etre prise durant des heures jusqu’à ce que je n’en puisse plus. Il est vrai que j’aime être utilisée comme un pantin jusqu’à épuisement total, mais cette situation est rare dans les parties auxquelles je participe habituellement. Greg me dit qu’il va passer quelques coups de fil pour réunir quelques amis blacks et il me promet qu’avant la fin de notre séjour j’aurais droit à un vrai gang bang black. Sur ce il me sodomise longuement, et plongée dans mes pensées de partouze il parvient rapidement à me faire jouir violemment.
Dès le lendemain, il me fait visiter tous les lieux de débauche qu’il fréquente habituellement, boîte échangistes, lieux de débauche en pleine nature… Je suis baisée et sodomisée copieusement à chaque fois, mais rarement rassasiée par des rapports à la sauvette dans la nature. Les boîtes échangistes sont bondées en cette saison et il est parfois difficile de trouver de la place pour s’allonger et s’offrir du bon temps confortablement. Au cours d’une soirée, Greg me présente un couple qu’il connaît depuis longtemps et qui habite à l’année à quelques kilomètres du cap. Lui est un sexagénaire bien conservé et sa femme, quinze ans plus jeune que lui est une adoratrice des blacks comme moi. C’est eux qui doivent organiser une soirée le vendredi afin que je réalise mon vœu de gang bang black. Elle me dit pouvoir réunir une vingtaine de ses connaissances, que des blacks ou des métis avec qui elle couche très régulièrement. Le nombre me paraît énorme, mais je me dis qu’à deux cela devrait suffire. Elle me propose aussi que cette soirée soit « no-capote ». Je suis un peu réticente, mais elle me confirme que tous les hommes couchent aussi avec elle de cette façon depuis longtemps. Il n’y aura que des blacks entre 30 et 50 ans, tous sûrs et que je peux avoir entièrement confiance. Je finis par me laisser convaincre par ses certitudes, d’autant que Greg s’est de son côté porté garant pour moi, il est vrai que par son intermédiaire je fais un test HIV tous les six mois. Rendez-vous est donc pris le vendredi soir pour une folle soirée de luxure.
Le vendredi midi, elle et son mari viennent déjeuner à la villa, et nous passons une partie de l’après-midi à flâner autour de la piscine. Je suis dans un état oscillant entre la crainte, l’excitation et l’impatience. En fin d’après-midi, Greg et Edouard partent devant pour préparer la soirée et nous devons les rejoindre vers 21h00. Laure m’aide à me préparer et à me maquiller. Je m’abandonne entre ses mains expertes pour me maquiller, et je la laisse choisir dans ma garde-robe la tenue que je vais porter. Elle opte pour une jupe légère et courte qui se soulève à chaque pas. Un bustier sans bretelles et des nu-pieds à talons très hauts. Elle juge inutile que je porte le moindre sous-vêtement, ce dont j’ai l’habitude pour ce genre de soirée. Ayant sans doute remarqué que j’étais un peu nerveuse, elle me parle beaucoup pour me rassurer. Elle a l’habitude de ce genre de soirée qu’elle organise soit pour elle, soit pour des amies et elle m’affirme que tous les blacks présents sont de parfaits gentlemen qu’elle connaît depuis plus de 10 ans. J’apprends aussi que depuis plusieurs années Greg fait partie de son cercle d’amants réguliers et qu’il la prend aussi sans préservatif depuis longtemps. Elle et son mari connaissent aussi Marie et Michel pour qui ils ont déjà organisé des soirées par le passé. Mes craintes sont rapidement estompées par ses paroles rassurantes et font place à une grande impatience.
Nous arrivons chez eux à l’heure prévue et je remarque de suite un grand nombre de voitures dans la cour. La propriété est immense et plutôt isolée au milieu des vignes, une ancienne ferme sans doute.
En rentrant dans le salon nous sommes accueillies par une dizaine de blacks, tous plus beaux les uns que les autres et tous habillés très classe. Laure me les présente un par un, je leur fait la bise un peu intimidée. Elle me fait visiter la villa, surtout la pièce où vont se passer les ébats. C’est une grande pièce avec une moquette épaisse, de grands rideaux épais, un lit immense et une salle de bain privative. Laure me dit que tout est à ma disposition, elle me montre où sont les serviettes et les produits de douche, sur le chevet il y a un gros tube de lubrifiant intime. En revenant vers la salle ou sont les invités, je remarque que d’autres sont arrivés, et le nombre me fait un peu peur. Laure fait taire tout le monde et dit : « Bon, messieurs, pouvez-vous nous servir une coupe de champagne ? Amélie et moi nous allons nous déshabiller tout de suite afin que vous puissiez vous rincer l’œil. Vous connaissez tous les us et coutumes de la maison, donc on va faire honneur au buffet que Greg et Edouard nous ont préparé, tant pis pour les retardataire qui arriveront un peu plus tard. Bonne soirée à tous ! » Nous nous mettons nues, en gardant nos chaussures uniquement et nous commençons à déguster quelques toasts avec une coupe. L’obscénité de la situation m’excite énormément, nues au milieu de tous ces homme comme si de rien n’était. Il me tarde que l’un d’eux me prenne dans ses bras, mais tous semblent pour l’instant plus préoccupés par leur appétit.
Au bout de quelques instants, je me retrouve assise entre deux grands sur le canapé, ils prennent chacun une de mes jambes qu’ils posent sur leurs genoux. Je me retrouve écartelée face à tous, la chatte béante d’envie. Les caresses sont de plus en plus précises et leurs doigts commencent à pénétrer mon intimité. Je me laisse aller, sans aucune pudeur, entre leurs doigts experts. Mes mains se posent sur leurs braguettes et je caresse leurs sexes avec douceur. Très rapidement leurs bites se gonflent et durcissent. Ils me proposent de passer dans la chambre, et je les devance, pressée de devenir leur objet et de m’abandonner. A peine allongée, plusieurs d’entre eux m’ont suivie, je me retrouve écartelée, les cuisses en l’air, la bouche de l’un d’eux plaquée contre mon ventre. Plusieurs paires de mains caressent mon corps, mes seins. Les sexes se présentent devant ma bouche, et je commence à sucer avidement, m’appliquant à prendre ceux que je peux au fond de ma gorge. Ils sont tous plutôt bien dotés. Tous sont très doux, prévenants, et j’aime le mélange d’odeurs qu’ils dégagent, la douceur de leur peau d’ébène. Je sens une main préparer mes orifices en les enduisant de gel soigneusement. Je pousse pour ouvrir mon anus aux doigts qui massent ma rondelle. Malgré une légère douleur quand je sens les doigts bouger dans mon anus, je me laisse préparer sans protester, car je n’ai pas envie de subir une nouvelle déchirure par manque de lubrification. Je sais que les sodomies vont s’enchaîner et je dois m’ouvrir largement pour les accueillir.
Le premier s’allonge sur moi et me pénètre la chatte en allant buter au fond du vagin, puis il commence à me pistonner violemment, comme j’aime, je jouis bruyamment en quelques coups, puis il se retire et un autre prends sa place. J’ai un sexe dans chaque main, un dans la gorge et plusieurs mains me pelotent les seins énergiquement. Après un nouvel orgasme violent, je sens un long jet de sperme au fond de mon ventre, puis un second dans ma gorge. Le suivant me sodomise et lâche sa semence dans mon anus en râlant très fort. Puis tout s’enchaîne, je suis prise sans arrêt, dans la chatte, dans le cul, dans la bouche, certains me manipulent comme une poupée pour me prendre en double. Le sperme coule à flots dans tous mes orifices et sur tout le corps, je jouis plusieurs fois d’affilée. Certains hommes quittent la pièce, d’autres rentrent, parfois j’entrevoie Laure ou Greg qui profitent du spectacle obscène que j’offre. Au bout d’un long moment je réclame une pause entre deux pénétrations, j’ai soif et je veux marcher un peu pour reprendre mon souffle et mes esprits.
Je me lève et je vais vers la salle à manger, nue, je sens le sperme couler de mes orifices jusqu’aux chevilles. Je vois que certains sont encore habillés, d’autres sont nus, tous me regardent ! L’un d’eux me lance : « Tu abandonnes déjà, on a encore envie nous ? »
- « Non, je fais juste une petite pose, vous abandonnerez avant moi »
Ma réponse déclenche une salve de rire. A ce moment-là je me sens plus chienne que jamais, bien décidée à les prendre tous en moi. Je n’ai plus aucune pudeur et je suis même fière de mon corps que j’expose aux vues de tous, dégoulinant de jus. Au bout d’un quart d’heure, après avoir bu deux coupes de champagne et grignoté quelques toasts, je retourne de moi-même dans la chambre suivie par cinq ou six mâles. A peine installée sur le lit, je suis à nouveau prise en main et je me retrouve très vite pénétrée par tous les orifices. J’ai plusieurs orgasmes violents, je suis remplie de semence. Mon anus doit beaucoup leur plaire car il est rempli en quasi permanence, et je sens qu’il n’a plus le temps de se refermer entre deux sodomies. Au bout d’un moment, je jouis plus mentalement de la situation que physiquement. Mais je suis un peu étonnée que malgré tout les rapports ne soient pas douloureux. Il faut dire que mes mâles prennent le soin de m’enduire régulièrement de gel. Je me sens comme un objet entre leurs mains, ils font de moi ce dont ils ont envie, et c’est une sensation que j’aime. Je ne suis plus capable de dire combien de pénétrations j’ai subies, je me laisse juste aller en acceptant tous ceux qui veulent me prendre. Cela dure jusqu’au milieu de la nuit, je me rappelle juste qu’à un moment je me retrouve allongée entre deux gars et je m’endors ainsi.
Le lendemain, je suis réveillée par des bruits de plongeon dans la piscine qui est juste sous la fenêtre de la chambre. Je suis seule dans le lit, je suis toute courbaturée, mais je me sens très bien. Je sens les draps mouillés sous mon corps, surtout entre mes cuisses. Je passe un doigt et je sens qu’il y a encore du sperme qui s’écoule lentement de ma chatte et de mon cul. J’ai encore le goût du sperme dans la bouche, et par endroit la peau me tire sous l’effet de la semence séchée.
Je sens mon anus légèrement douloureux, mais la sensation n’est pas désagréable. Je me lève car l’odeur que je dégage me pique un peu, et en me regardant dans la glace de la salle de bain je me trouve affreusement souillée, mes cheveux sont collés et mon maquillage à coulé sur mon visage. Je passe longuement sous la douche, et en sortant je vois Laure qui entre dans la salle d’eau. Elle me dit :
- « Bonjour Amélie, comment vas-tu ?
- Bien merci, et toi ?
- En pleine forme malgré une courte nuit »
Je ne sais pas si elle a été partouzée aussi, mais je n’ose pas lui poser la question. Elle me dit qu’il est midi et que plusieurs des garçons ont dormi sur place, et que je suis attendue pour manger autour de la piscine. Comme je suis surprise qu’il soit si tard elle rajoute :
- « T’inquiètes pas, on a tout le temps, ça m’étonne pas que tu ais fait la grasse matinée.
- Pourquoi ?
- Je me suis réveillée vers quatre heures du matin pour aller aux toilettes et tu étais encore en train de crier, donc je ne sais pas à quelle heure vous vous êtes arrêtés mais certains dorment encore. »
J’avais donc passé toute la nuit, ou presque, à satisfaire ces messieurs, j’étais fière de moi. Comme je ne trouve pas ma jupe et mon bustier, elle me prête un grand paréo et je sors avec elle rejoindre les autres. Ils sont encore cinq ou six de mes amants de la nuit à être restés dormir sur place, Edouard est en train de faire des grillades et je vois que la table est dressée pour déjeuner. Certains, dont Greg, sont habillés, d’autres sont en caleçon et tous m’accueillent en m’embrassant. Ils sont tous satisfaits de la nuit qu’ils ont passée avec moi. L’un d’eux me retire mon paréo en disant que je suis très belle et qu’il n’y a aucune raison que je cache mon corps. Je me retrouve donc toute nue au milieu d’eux, n’ayant pas mes chaussures à talon, je me trouve toute petite au milieu d’eux. Après un café en guise d’apéritif, indispensable quand je me lève, je passe directement au champagne. Je mange avec bon appétit après tout le sport de la nuit passée. Tout en dégustant une excellente tarte aux abricots, je discute avec mon voisin, quand il me dit :
- « Bon on remet ça si tu es encore en forme ?
- On peut à moins que Greg veuille rentrer ! »
Greg me dit qu’on avait tout le temps et que je pouvais profiter autant que voulais. Laure rajoute :
- « Profites ma chérie, tu peux rester tout le week-end si tu veux »
Je me laisse donc à nouveau entraîner vers la chambre. A ce moment précis, ce n’est pas que j’ai spécialement envie, mais je me suis vantée de pouvoir tous les satisfaire, donc je suis bien décidée à le faire. Avant de prendre le premier sexe en bouche, je demande à être bien lubrifiée pour ne pas avoir mal, et l’un d’eux m’enduit l’entrecuisse et l’anus. A nouveau je passe plusieurs heures les cuisses ouvertes, baisée, sodomisée et remplie de foutre. Je n’ai qu’un seul orgasme réel, mais je simule un peu, malgré que certaines pénétrations soient un peu douloureuses. Je finis par vider complétement les six hommes qui étaient restés, sauf Greg que je n’ai pas revu de l’après-midi. J’apprends en me levant qu’il a passé l’après-midi à baiser Laure devant son voyeur de mari.
Avant de partir, nous échangeons nos coordonnées avec Laure qui m’invite à venir quand je veux passer un séjour sexe chez eux. Je sais que je reviendrais, avec Marie peut-être, mais je reviendrais c’est sûr.
Nous rentrons à la villa que Greg à louée en fin d’après-midi, et comme nous partons le lendemain, nous restons sagement à profiter de la piscine et nous nous couchons de bonne heure.
La suite de l’été se passe sans problème, nous reprenons nos habitudes avec Marie et Michel. Quelques nuits avec Greg viennent rompre la monotonie routinière. Marie à entrepris de me dilater un peu plus l’anus en m’initiant au fist et elle parvient à me rentrer une main au bout de quelques séances. Nous faisons régulièrement l’amour toutes les deux et nous passons aussi de longues heures à discuter. Nous sommes toujours aussi amoureuses l’une de l’autre et au fil des semaines j’envisage de moins en moins d’être un jour en couple avec un homme, au grand désespoir de mes parents qui souhaiteraient être grands-parents avant d’être trop âgés. Je ne sais pas si un jour je leur offrirais cette joie, mais je n’ai aucune envie de maternité car je souhaite continuer à profiter de la vie le plus longtemps possible. Marie, Michel et moi formons de plus en plus un ménage à trois et cette situation me convient très bien.
Avec Marie, nous avons pris un abonnement dans une salle de sport et nous y allons deux soirées par semaine au moins. Nous avons toutes les deux la chance d’avoir un corps qui plaît aux hommes et nous faisons tout pour rester attirantes. Nous sommes d’ailleurs très souvent draguées lors de nos sorties ou de nos déplacements, et de temps en temps nous cédons à ces sollicitations. Marie envisage une grosse opération immobilière sur la côte basque et nous sommes fréquemment sur Biarritz et Hendaye. Marie m’associe de plus en plus aux négociations, car elle souhaite que j’investisse à chaque fois pour augmenter mon capital pierre comme elle dit. Il est vrai que plus j’aurais d’appartements en location, plus j’aurais de fonds pour en acheter d’autres.
Nous arrivons le samedi en fin de matinée, et il me propose d’aller déjeuner en ville après avoir déballé nos bagages. La maison est en effet très grande et très agréable. Pour aller déjeuner il me demande de mettre juste une robe légère, courte et de rester nue dessous. En arrivant au restaurant de plage, je vois qu’il connaît bien le personnel et le patron ne tarde pas à passer une main sous ma jupe pour me caresser. C’est un gars costaud d’une cinquantaine d’années. Sa main pelote fermement mes fesses devant tout le monde. Mais en voyant le monde présent dans le bar, je vois d’autres femmes se laisser caresser de la même manière que moi, je ne cherche donc pas à me soustraire à ses mains baladeuses. Puis nous passons à table en terrasse, alors que je suis toute excitée et frustrée, j’ai envie de baiser et j’espère qu’après le repas, Greg veuille bien me satisfaire.
En rentrant à la villa, Greg me baise une première fois devant la piscine, puis comme nous sommes enlacés sur un matelas il me demande si j’ai des envies particulières que je souhaite réaliser ici. En effet, le cap d’Agde en été est l’endroit idéal pour se lâcher et je sais que Greg m’a invitée pour ça. Je lui dis que j’ai envie d’en profiter, de m’offrir sans compter à tous les plaisirs de la débauche. Il insiste en me disant qu’il connaît beaucoup de monde et qu’il peut organiser ce que je veux avec des hommes, des femmes et des couples. Je finis par lui avouer que j’aimerais bien être partouzée par des blacks, en groupe. J’ai envie de revivre ce que j’ai connu avec Marie dans la boîte antillaise à Paris. Etre prise durant des heures jusqu’à ce que je n’en puisse plus. Il est vrai que j’aime être utilisée comme un pantin jusqu’à épuisement total, mais cette situation est rare dans les parties auxquelles je participe habituellement. Greg me dit qu’il va passer quelques coups de fil pour réunir quelques amis blacks et il me promet qu’avant la fin de notre séjour j’aurais droit à un vrai gang bang black. Sur ce il me sodomise longuement, et plongée dans mes pensées de partouze il parvient rapidement à me faire jouir violemment.
Dès le lendemain, il me fait visiter tous les lieux de débauche qu’il fréquente habituellement, boîte échangistes, lieux de débauche en pleine nature… Je suis baisée et sodomisée copieusement à chaque fois, mais rarement rassasiée par des rapports à la sauvette dans la nature. Les boîtes échangistes sont bondées en cette saison et il est parfois difficile de trouver de la place pour s’allonger et s’offrir du bon temps confortablement. Au cours d’une soirée, Greg me présente un couple qu’il connaît depuis longtemps et qui habite à l’année à quelques kilomètres du cap. Lui est un sexagénaire bien conservé et sa femme, quinze ans plus jeune que lui est une adoratrice des blacks comme moi. C’est eux qui doivent organiser une soirée le vendredi afin que je réalise mon vœu de gang bang black. Elle me dit pouvoir réunir une vingtaine de ses connaissances, que des blacks ou des métis avec qui elle couche très régulièrement. Le nombre me paraît énorme, mais je me dis qu’à deux cela devrait suffire. Elle me propose aussi que cette soirée soit « no-capote ». Je suis un peu réticente, mais elle me confirme que tous les hommes couchent aussi avec elle de cette façon depuis longtemps. Il n’y aura que des blacks entre 30 et 50 ans, tous sûrs et que je peux avoir entièrement confiance. Je finis par me laisser convaincre par ses certitudes, d’autant que Greg s’est de son côté porté garant pour moi, il est vrai que par son intermédiaire je fais un test HIV tous les six mois. Rendez-vous est donc pris le vendredi soir pour une folle soirée de luxure.
Le vendredi midi, elle et son mari viennent déjeuner à la villa, et nous passons une partie de l’après-midi à flâner autour de la piscine. Je suis dans un état oscillant entre la crainte, l’excitation et l’impatience. En fin d’après-midi, Greg et Edouard partent devant pour préparer la soirée et nous devons les rejoindre vers 21h00. Laure m’aide à me préparer et à me maquiller. Je m’abandonne entre ses mains expertes pour me maquiller, et je la laisse choisir dans ma garde-robe la tenue que je vais porter. Elle opte pour une jupe légère et courte qui se soulève à chaque pas. Un bustier sans bretelles et des nu-pieds à talons très hauts. Elle juge inutile que je porte le moindre sous-vêtement, ce dont j’ai l’habitude pour ce genre de soirée. Ayant sans doute remarqué que j’étais un peu nerveuse, elle me parle beaucoup pour me rassurer. Elle a l’habitude de ce genre de soirée qu’elle organise soit pour elle, soit pour des amies et elle m’affirme que tous les blacks présents sont de parfaits gentlemen qu’elle connaît depuis plus de 10 ans. J’apprends aussi que depuis plusieurs années Greg fait partie de son cercle d’amants réguliers et qu’il la prend aussi sans préservatif depuis longtemps. Elle et son mari connaissent aussi Marie et Michel pour qui ils ont déjà organisé des soirées par le passé. Mes craintes sont rapidement estompées par ses paroles rassurantes et font place à une grande impatience.
Nous arrivons chez eux à l’heure prévue et je remarque de suite un grand nombre de voitures dans la cour. La propriété est immense et plutôt isolée au milieu des vignes, une ancienne ferme sans doute.
En rentrant dans le salon nous sommes accueillies par une dizaine de blacks, tous plus beaux les uns que les autres et tous habillés très classe. Laure me les présente un par un, je leur fait la bise un peu intimidée. Elle me fait visiter la villa, surtout la pièce où vont se passer les ébats. C’est une grande pièce avec une moquette épaisse, de grands rideaux épais, un lit immense et une salle de bain privative. Laure me dit que tout est à ma disposition, elle me montre où sont les serviettes et les produits de douche, sur le chevet il y a un gros tube de lubrifiant intime. En revenant vers la salle ou sont les invités, je remarque que d’autres sont arrivés, et le nombre me fait un peu peur. Laure fait taire tout le monde et dit : « Bon, messieurs, pouvez-vous nous servir une coupe de champagne ? Amélie et moi nous allons nous déshabiller tout de suite afin que vous puissiez vous rincer l’œil. Vous connaissez tous les us et coutumes de la maison, donc on va faire honneur au buffet que Greg et Edouard nous ont préparé, tant pis pour les retardataire qui arriveront un peu plus tard. Bonne soirée à tous ! » Nous nous mettons nues, en gardant nos chaussures uniquement et nous commençons à déguster quelques toasts avec une coupe. L’obscénité de la situation m’excite énormément, nues au milieu de tous ces homme comme si de rien n’était. Il me tarde que l’un d’eux me prenne dans ses bras, mais tous semblent pour l’instant plus préoccupés par leur appétit.
Au bout de quelques instants, je me retrouve assise entre deux grands sur le canapé, ils prennent chacun une de mes jambes qu’ils posent sur leurs genoux. Je me retrouve écartelée face à tous, la chatte béante d’envie. Les caresses sont de plus en plus précises et leurs doigts commencent à pénétrer mon intimité. Je me laisse aller, sans aucune pudeur, entre leurs doigts experts. Mes mains se posent sur leurs braguettes et je caresse leurs sexes avec douceur. Très rapidement leurs bites se gonflent et durcissent. Ils me proposent de passer dans la chambre, et je les devance, pressée de devenir leur objet et de m’abandonner. A peine allongée, plusieurs d’entre eux m’ont suivie, je me retrouve écartelée, les cuisses en l’air, la bouche de l’un d’eux plaquée contre mon ventre. Plusieurs paires de mains caressent mon corps, mes seins. Les sexes se présentent devant ma bouche, et je commence à sucer avidement, m’appliquant à prendre ceux que je peux au fond de ma gorge. Ils sont tous plutôt bien dotés. Tous sont très doux, prévenants, et j’aime le mélange d’odeurs qu’ils dégagent, la douceur de leur peau d’ébène. Je sens une main préparer mes orifices en les enduisant de gel soigneusement. Je pousse pour ouvrir mon anus aux doigts qui massent ma rondelle. Malgré une légère douleur quand je sens les doigts bouger dans mon anus, je me laisse préparer sans protester, car je n’ai pas envie de subir une nouvelle déchirure par manque de lubrification. Je sais que les sodomies vont s’enchaîner et je dois m’ouvrir largement pour les accueillir.
Le premier s’allonge sur moi et me pénètre la chatte en allant buter au fond du vagin, puis il commence à me pistonner violemment, comme j’aime, je jouis bruyamment en quelques coups, puis il se retire et un autre prends sa place. J’ai un sexe dans chaque main, un dans la gorge et plusieurs mains me pelotent les seins énergiquement. Après un nouvel orgasme violent, je sens un long jet de sperme au fond de mon ventre, puis un second dans ma gorge. Le suivant me sodomise et lâche sa semence dans mon anus en râlant très fort. Puis tout s’enchaîne, je suis prise sans arrêt, dans la chatte, dans le cul, dans la bouche, certains me manipulent comme une poupée pour me prendre en double. Le sperme coule à flots dans tous mes orifices et sur tout le corps, je jouis plusieurs fois d’affilée. Certains hommes quittent la pièce, d’autres rentrent, parfois j’entrevoie Laure ou Greg qui profitent du spectacle obscène que j’offre. Au bout d’un long moment je réclame une pause entre deux pénétrations, j’ai soif et je veux marcher un peu pour reprendre mon souffle et mes esprits.
Je me lève et je vais vers la salle à manger, nue, je sens le sperme couler de mes orifices jusqu’aux chevilles. Je vois que certains sont encore habillés, d’autres sont nus, tous me regardent ! L’un d’eux me lance : « Tu abandonnes déjà, on a encore envie nous ? »
- « Non, je fais juste une petite pose, vous abandonnerez avant moi »
Ma réponse déclenche une salve de rire. A ce moment-là je me sens plus chienne que jamais, bien décidée à les prendre tous en moi. Je n’ai plus aucune pudeur et je suis même fière de mon corps que j’expose aux vues de tous, dégoulinant de jus. Au bout d’un quart d’heure, après avoir bu deux coupes de champagne et grignoté quelques toasts, je retourne de moi-même dans la chambre suivie par cinq ou six mâles. A peine installée sur le lit, je suis à nouveau prise en main et je me retrouve très vite pénétrée par tous les orifices. J’ai plusieurs orgasmes violents, je suis remplie de semence. Mon anus doit beaucoup leur plaire car il est rempli en quasi permanence, et je sens qu’il n’a plus le temps de se refermer entre deux sodomies. Au bout d’un moment, je jouis plus mentalement de la situation que physiquement. Mais je suis un peu étonnée que malgré tout les rapports ne soient pas douloureux. Il faut dire que mes mâles prennent le soin de m’enduire régulièrement de gel. Je me sens comme un objet entre leurs mains, ils font de moi ce dont ils ont envie, et c’est une sensation que j’aime. Je ne suis plus capable de dire combien de pénétrations j’ai subies, je me laisse juste aller en acceptant tous ceux qui veulent me prendre. Cela dure jusqu’au milieu de la nuit, je me rappelle juste qu’à un moment je me retrouve allongée entre deux gars et je m’endors ainsi.
Le lendemain, je suis réveillée par des bruits de plongeon dans la piscine qui est juste sous la fenêtre de la chambre. Je suis seule dans le lit, je suis toute courbaturée, mais je me sens très bien. Je sens les draps mouillés sous mon corps, surtout entre mes cuisses. Je passe un doigt et je sens qu’il y a encore du sperme qui s’écoule lentement de ma chatte et de mon cul. J’ai encore le goût du sperme dans la bouche, et par endroit la peau me tire sous l’effet de la semence séchée.
Je sens mon anus légèrement douloureux, mais la sensation n’est pas désagréable. Je me lève car l’odeur que je dégage me pique un peu, et en me regardant dans la glace de la salle de bain je me trouve affreusement souillée, mes cheveux sont collés et mon maquillage à coulé sur mon visage. Je passe longuement sous la douche, et en sortant je vois Laure qui entre dans la salle d’eau. Elle me dit :
- « Bonjour Amélie, comment vas-tu ?
- Bien merci, et toi ?
- En pleine forme malgré une courte nuit »
Je ne sais pas si elle a été partouzée aussi, mais je n’ose pas lui poser la question. Elle me dit qu’il est midi et que plusieurs des garçons ont dormi sur place, et que je suis attendue pour manger autour de la piscine. Comme je suis surprise qu’il soit si tard elle rajoute :
- « T’inquiètes pas, on a tout le temps, ça m’étonne pas que tu ais fait la grasse matinée.
- Pourquoi ?
- Je me suis réveillée vers quatre heures du matin pour aller aux toilettes et tu étais encore en train de crier, donc je ne sais pas à quelle heure vous vous êtes arrêtés mais certains dorment encore. »
J’avais donc passé toute la nuit, ou presque, à satisfaire ces messieurs, j’étais fière de moi. Comme je ne trouve pas ma jupe et mon bustier, elle me prête un grand paréo et je sors avec elle rejoindre les autres. Ils sont encore cinq ou six de mes amants de la nuit à être restés dormir sur place, Edouard est en train de faire des grillades et je vois que la table est dressée pour déjeuner. Certains, dont Greg, sont habillés, d’autres sont en caleçon et tous m’accueillent en m’embrassant. Ils sont tous satisfaits de la nuit qu’ils ont passée avec moi. L’un d’eux me retire mon paréo en disant que je suis très belle et qu’il n’y a aucune raison que je cache mon corps. Je me retrouve donc toute nue au milieu d’eux, n’ayant pas mes chaussures à talon, je me trouve toute petite au milieu d’eux. Après un café en guise d’apéritif, indispensable quand je me lève, je passe directement au champagne. Je mange avec bon appétit après tout le sport de la nuit passée. Tout en dégustant une excellente tarte aux abricots, je discute avec mon voisin, quand il me dit :
- « Bon on remet ça si tu es encore en forme ?
- On peut à moins que Greg veuille rentrer ! »
Greg me dit qu’on avait tout le temps et que je pouvais profiter autant que voulais. Laure rajoute :
- « Profites ma chérie, tu peux rester tout le week-end si tu veux »
Je me laisse donc à nouveau entraîner vers la chambre. A ce moment précis, ce n’est pas que j’ai spécialement envie, mais je me suis vantée de pouvoir tous les satisfaire, donc je suis bien décidée à le faire. Avant de prendre le premier sexe en bouche, je demande à être bien lubrifiée pour ne pas avoir mal, et l’un d’eux m’enduit l’entrecuisse et l’anus. A nouveau je passe plusieurs heures les cuisses ouvertes, baisée, sodomisée et remplie de foutre. Je n’ai qu’un seul orgasme réel, mais je simule un peu, malgré que certaines pénétrations soient un peu douloureuses. Je finis par vider complétement les six hommes qui étaient restés, sauf Greg que je n’ai pas revu de l’après-midi. J’apprends en me levant qu’il a passé l’après-midi à baiser Laure devant son voyeur de mari.
Avant de partir, nous échangeons nos coordonnées avec Laure qui m’invite à venir quand je veux passer un séjour sexe chez eux. Je sais que je reviendrais, avec Marie peut-être, mais je reviendrais c’est sûr.
Nous rentrons à la villa que Greg à louée en fin d’après-midi, et comme nous partons le lendemain, nous restons sagement à profiter de la piscine et nous nous couchons de bonne heure.
La suite de l’été se passe sans problème, nous reprenons nos habitudes avec Marie et Michel. Quelques nuits avec Greg viennent rompre la monotonie routinière. Marie à entrepris de me dilater un peu plus l’anus en m’initiant au fist et elle parvient à me rentrer une main au bout de quelques séances. Nous faisons régulièrement l’amour toutes les deux et nous passons aussi de longues heures à discuter. Nous sommes toujours aussi amoureuses l’une de l’autre et au fil des semaines j’envisage de moins en moins d’être un jour en couple avec un homme, au grand désespoir de mes parents qui souhaiteraient être grands-parents avant d’être trop âgés. Je ne sais pas si un jour je leur offrirais cette joie, mais je n’ai aucune envie de maternité car je souhaite continuer à profiter de la vie le plus longtemps possible. Marie, Michel et moi formons de plus en plus un ménage à trois et cette situation me convient très bien.
Avec Marie, nous avons pris un abonnement dans une salle de sport et nous y allons deux soirées par semaine au moins. Nous avons toutes les deux la chance d’avoir un corps qui plaît aux hommes et nous faisons tout pour rester attirantes. Nous sommes d’ailleurs très souvent draguées lors de nos sorties ou de nos déplacements, et de temps en temps nous cédons à ces sollicitations. Marie envisage une grosse opération immobilière sur la côte basque et nous sommes fréquemment sur Biarritz et Hendaye. Marie m’associe de plus en plus aux négociations, car elle souhaite que j’investisse à chaque fois pour augmenter mon capital pierre comme elle dit. Il est vrai que plus j’aurais d’appartements en location, plus j’aurais de fonds pour en acheter d’autres.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
super nana
excellent, ce que j'aimerais pour moi
Quelle joie de lire ce devergondage.
Rudy
Rudy