SÉJOUR CHEZ MA TANTE
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2018 dans la catégorie Pour la première fois
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SÉJOUR CHEZ MA TANTE
Cet été, mes parents vont célébrer leur 20° anniversaire de mariage. Pour leur lune de miel, ils étaient partis en croisière, ils ont donc décidé de refaire le pèlerinage. La différence, c'est leur situation financière. La première croisière avait eu lieu dans une cabine en deuxième classe et n'avait duré qu'une semaine. Cette fois-ci, ils ont réservé une cabine 1°classe avec balcon et partent 2 semaines.
Habituellement, quand ils s'absentent, je garde la maison. Mais parce qu'ils partent plus longtemps, pendant les vacances d'été, ils ont demandé à mon oncle de m'héberger.
"Écoute, Jean" m'a expliqué mon père. "Je sais que ça ne te plaît pas, mais c’est comme ça. On te fait confiance, mais nous serons absent plus de deux semaines avec les voyages aller et retour. Ta mère et moi serons plus tranquilles si nous te savons chez mon frère. Tu mangeras de la nourriture saine et si tu as un problème, il y aura quelqu'un pour t'aider. De plus, après ce qui s’est passé chez les voisins l’an dernier, ta mère n'est pas rassurée."L'an dernier, quand les voisins se sont absentés, leurs enfants ont organisé une petite fête qui a dégénéré en un truc incontrôlable, provoquant des dégâts matériels et l'intervention de la police.
"Quoi qu'il en soit, tu t'es toujours bien entendu avec ton oncle Jonas et peut-être que tu verras tes cousins. Et puis, maintenant, il a fait creuser sa piscine."De toute façon, je n'avais pas le choix, alors j'ai décidé d'en tirer le meilleur parti. J'avais un travail à temps partiel, donc je serais quand même pas mal occupé et je pourrais toujours voir mes amis quand je voulais puisqu'ils habitent dans la même ville. Comme je pouvais rentrer chez moi, je n’avais pas besoin de beaucoup d'affaires et j'ai pris le minimum, quelques vêtements de rechange et un nécessaire de toilette, plus mon ordinateur portable. Avec mon oncle Jonas, nous avons accompagné mes parents à l'aéroport.
Mon oncle Jonas est plus jeune que mon père. Il a divorcé de sa première femme après 14 ans de mariage et deux enfants, mes cousins, Jonas Junior, qui a 14 ans, et sa sœur aînée, Adeline, qui a 16 ans. Oncle Jonas s'est remarié l'an passé avec une enseignante de quelques années plus jeune que lui. Tante Laura est une charmante personne, vraiment gentille et sympathique.
"Tu pourras camper dans la chambre de Jonas. Tes cousins vivent avec leur mère. Ils ont leur chambre chez nous, mais c'est assez sommaire car ils ne restent jamais bien longtemps.""Et si Jonas venait passer quelques jours?" Ai-je demandé.
"On verra bien. S'il n'en vient qu'un, on se débrouillera. Et s'ils viennent tous les deux, on se débrouillera aussi! Et si tu veux, tu peux inviter tes copains, tu es chez toi! Et tu peux aussi recevoir ta petite amie, il suffit d'être discret" me dit-il avec un clin d'œil.
"Merci tonton. Mais Vanessa et moi avons rompu il y a un mois" lui ai-je dit. Nous étions ensemble depuis dix-huit mois et la plupart des membres de ma famille la connaissaient.
"Dommage, pour quelle raison?" Demanda-t-il.
"Rien de particulier, ce sont des choses qui arrivent" répondis-je vaguement.
Que pouvais-je dire? Elle refusait les rapports sexuels avec moi parce qu'elle avait peur que je la blesse! Elle assurait un service minimum avec la main ou avec sa bouche, mais sans conviction. Quand je la caressais, elle se crispait car elle avait peur de perdre son contrôle si elle y prenait du plaisir. Elle était jolie, sympathique, amusante, mais aussi intéressante au lit qu'une poupée gonflable.
La première fois, elle s'était lâchée, et je lui avais fait prendre son pied. Mais ce fut l'unique fois et j'en ai eu marre d'attendre.
Les vidéos pornos et ma main droite font mieux qu'une fille coincée!
Nous nous sommes garés dans la cour à côté de la voiture de tante Laura. J'ai attrapé mon sac pendant que l'oncle Jonas ouvrait la porte d'entrée.
"Chérie, nous sommes là!" cria-t-il.
"Salut! Bienvenue!" cria ma tante Laura en apparaissant au détour du couloir. Elle donna un rapide baiser sur les lèvres à mon oncle et se dirigea vers moi, bras tendus. Il m'a fallu de la volonté pour cacher mon émotion. Visiblement, elle bronzait au bord de la piscine quand nous sommes arrivés.
Elle portait un minuscule bikini avec une tunique transparente et des tongs. Je n'avais jamais réalisé à quel point elle était sexy. Lors des réunions de famille, elle était toujours habillée de manière pudique. Elle semblait gracieuse, mais là, c'était une bombe.
Elle m'enlaça en soulevant sa petite taille pour m'embrasser. J'ai senti contre mon torse la pression de ses petits seins fermes. J'ai vu aussi son nombril orné d'un piercing.
"Jean, contente de te voir. Nous sommes ravis que tu viennes passer ces quelques jours chez nous. As-tu une petite faim?""Non merci tante Laura, j'ai dîné avant de venir. Pour l'instant, je veux juste ranger mes affaires!""Bien sûr, Jean. Chéri, si tu allumais le grill pendant que je montre sa chambre à Jean?""J'y vais, Laura. Les steaks seront prêts en un tour de main. Jean, si tu as faim, il y en a beaucoup, n’hésite pas. Nous serons au bord de la piscine" répondit mon oncle avant de se diriger vers la terrasse.
J'ai suivi ma tante pour monter l'escalier jusqu'au deuxième étage. Contre ma volonté, mes yeux étaient attirés par le cul ferme de tante Laura qui dansait deux pas devant moi. Le balancement de ses fesses charnues m'hypnotisait. Plusieurs fois, elle s’est retournée vers moi avec un demi-sourire énigmatique sur le visage. En haut des escaliers, avons tourné à droite dans le couloir.
"La première porte, c'est notre chambre, la deuxième est celle d'Adeline" dit-elle en passant devant une porte fermée. "La chambre de Jonas est tout au bout et possède sa propre salle de bain, ce qui lui confère une grande confidentialité."Elle ouvrit la porte au bout du couloir et entra. La pièce était de bonne taille, plus grande que la mienne, et était modestement meublée. Il y avait un lit double contre un mur, une commode, un bureau et une chaise. Une petite télévision à écran plat était accrochée au mur et une porte ouverte donnait sur la petite salle de bain. Il n’y avait aucune trace de la présence de mon cousin qui ne vivait pas ici n’avait rien fait pour s'approprier l'espace. J'ai posé mon sac et mon ordinateur portable sur le bureau.
"Je te donnerais le code wi-fi pour surfer sur le net!" m'a informé Tante Laura "Nous serons au bord de la piscine si tu nous cherches. Je passe pratiquement tout l’été à me prélasser au bord de la piscine!"Depuis mon arrivée et cette vision idyllique qui m'avait accueilli, le câlin qu'elle m'avait accordé contre sa poitrine dodue et la vision de ses fesses joufflues dansant devant mes yeux, je livrais une bataille perdue pour empêcher le développement d'une érection. Heureusement, mon pantalon était assez ample pour dissimuler mon manque de savoir-vivre. Ma tante commençait à partir, mais elle se ravisa et se retourna.
"La vue de cette fenêtre donne sur l'allée. Dommage, qu'elle n'offre pas de vue sur l'arrière. Je suppose d'après ton regard que tu aurais davantage apprécié cette vue!"Elle est sortie en refermant la porte derrière elle et en me laissant me débattre avec cette phrase à double sens. Avait-elle remarqué la concupiscence de mon regard? Est-ce pour cela qu'elle a commenté la vue? Les prochains jours seront difficiles pour moi. La nouvelle femme de mon oncle m'annonçait qu'elle passait son temps au bord de la piscine, seulement vêtue d'un maillot de bain minimaliste et m'invitait à la rejoindre. Ma libido hyperactive sera en transe et le pire c’est que mon maillot de bain ne pourra pas cacher mon émotivité. Je devais absolument passer le moins de temps possible dans son giron, sous peine de me trahir. J'allais être occupé par mon travail, je passerais voir mes copains et le reste du temps, je resterais dans la chambre à surfer sur le net. Parce que c'était la nouvelle femme de mon oncle, je ne devrais pas la remarquer de cette façon. Et puis je n’ai pas envie de bouger.
J'ai trouvé un tiroir vide pour ranger mes vêtements, mis mes affaires de toilette dans la salle de bain. J'ai branché mon ordinateur portable et je l'ai allumé. Ajustant mon érection, je me suis assis au bureau. Inutile de résister à ma libido pour l'instant. Certains soirs, j'ai dû me branler trois fois pour me calmer et avec le stimuli que m'avait donné Laura, j'étais enfiévré. J'ai déboutonné mon pantalon, je l'ai glissé jusqu'aux genoux avant d'ouvrir un fichier dans lequel je stockais mes vidéos préférées, et posais mon casque sur mes oreilles.
Mais au bout d'un moment de vains efforts, j'ai réalisé que je n'étais pas dedans. Je pensais trop à ma tante et je n'arrivais pas à me concentrer. J'ai fermé mon fichier pour surfer sur mon site porno préféré. J’ai parcouru un tas de vidéos avant que j’en trouve une où la femme ressemblait à ma tante Laura. Rapidement, je me suis imaginé baisant cette femme. Le point de non-retour approchant, je ralentissais la cadence lorsque mon œil fut attiré par un mouvement. Tournant la tête, je vis ma tante Laura dans l'embrasure de la porte, la bouche ouverte, les yeux écarquillés, le visage rouge d'émotion.
Malgré ma surprise, impossible de stopper mon élan. Sa seule vue a suffi à déclencher mon orgasme. En gémissant, mon premier jet s'est élevé haut et j'ai vu dans les yeux de ma tante l'envie remplacer la surprise. Elle est restée plantée là, regardant ma bite éjaculer en passant la pointe de sa langue sur ses lèvres entrouvertes.
La dernière goutte s'échappait de ma bite lorsqu'elle est partie en claquant la porte. J'ai entendu le bruit de ses pas s'éloigner dans le couloir. Je me suis précipité pour nettoyer le désordre. J'ai été surpris par la quantité de sperme. Ensuite, j'ai attendu l'arrivée de mon oncle. Sûrement, elle lui avait tout raconté et il allait venir me jeter dehors. Comme rien ne se passait, je me suis relaxé. Je me suis changé pour dormir.
Le lendemain matin, la maison était silencieuse lorsque je me suis levé. Je suis parti travailler rapidement car j’aurais eu du mal à croiser le regard désapprobateur de ma tante Laura.
Après le travail, je suis allé voir mes amis et nous avons passé la soirée ensemble. J'ai rencontré une jolie blonde nommée Cathy qui m’a donné son numéro et m’a dit que je pouvais l’appeler.
Dans la soirée, mon oncle m'a appelé pour me demander où j'étais.
"Désolé, tonton, après le travail, je suis passé voir mes potes. Je vais rentrer bientôt, je te le promets. À l'avenir, je te dirai où je vais. Mes parents ont l'habitude, mais j'aurais dû te prévenir.""Ça va, Jean, c'est juste Laura qui s'inquiète. Amuse-toi bien et à tout à l'heure!"La mention de son nom m’a rappelé pourquoi je ne voulais pas rentrer tout de suite. Je suis rentré après minuit et j'ai grimpé les escaliers jusqu'à ma chambre sans bruit. J'ai eu du mal à trouver le sommeil, la vision de ma charmante tante m'obsédait.
En m'éveillant le lendemain matin, j'ai senti contre moi quelque chose de doux et de chaud. J'ai ouvert mes yeux en grand pour constater la présence de ma tante blottie contre moi.
"Hum, ne bouge pas Jean, je suis si bien. Tu veux bien t'amuser un peu, hum?" Je regardais sa main caresser mon torse et saisir mon bois du matin dans mon short. Elle a palpé mes noix gonflées en susurrant: "Comme ce doit être douloureux, ces bourses gonflées! Je pense que quelqu'un doit prendre soin de toi, mon chéri, laisse-moi faire!" en glissant ses doigts dans ma braguette pour se saisir de ma chair brûlante. J'ai soulevé mes fesses pour repousser mon short sous mes genoux, mais elle n'a pas attendu que je finisse, elle a gobé ma queue. Je retombais et la laissais poursuivre son assaut. Elle a posé une main à plat sur mon pubis, encerclant la base de ma bite entre ses doigts. L'autre main sous mon scrotum, elle a soulevé mes bourses en les pressant contre la base de ma queue. Ainsi maintenu, je ne pouvais plus lui faire la surprise de lui inonder la bouche. Elle a utilisé sa bouche, ses lèvres, sa langue de façon experte, dénotant une grande pratique.
Elle jouait avec ma queue, me suçait comme s'il s'agissait d'un cornet de crème glacée, pour engouffrer l'instant suivant ma bite au fond de sa gorge en faisant des petits bruits charmants. Aux anges, je l'encourageais par mes grognements et mes gémissements, jusqu'au frémissement dans mes bourses qui annonçait l'arrivée imminente de mon orgasme: "Putain! Je vais jouir!"Tante Laura s'agenouilla entre mes jambes en relâchant la pression sur la base de ma bite et retira sa bouche, provoquant un cri de déception de ma part. Elle a attrapé ma bite pour me masturber fermement et j'ai explosé en inondant mon torse, ma figure et même mon lit. Elle a éclaté de rire en disant: "Tu n'espérais pas que j'allais avaler tout ça? Tu es beaucoup trop abondant!"Je glissais ma main entre ses cuisses, elle frissonna légèrement et j'empaumais son pubis, mes doigts écartaient ses grandes lèvres à la recherche de son clitoris et de son orifice moite. Elle rampa sur moi pour m'embrasser à pleine bouche, frissonnante sous mes caresses. Elle n'avait pas lâché mon sexe et continuait de le caresser machinalement. Ma queue durcissant à nouveau, elle appuya sa chatte sur ma bite et commença à se caresser la fente contre mon gland en oscillant du bassin. Mouvement volontaire ou pas, mon sexe s'engouffra dans sa chatte détrempée et avide. Aussitôt, elle replia ses jambes contre mes flancs et commença à sauter sur ma bite tendue.
Comme j'avais déjà éjaculé une fois, j'ai pu résister à sa douce caresse et c'est elle qui a craqué la première, se contractant en tremblant et en gémissant fortement. Aussitôt, je l'ai basculée sur le dos pour l'empaler profondément. Elle a écarté largement ses cuisses bronzées et posé ses talons sur mes reins pour m'encourager, comme on encourage un cheval à atteindre le galop.
Elle perdait la raison et m'encourageait par des grossièretés, me demandant des choses précises comme de lui mettre un doigt dans le cul ou m'encourageait à augmenter mon rythme. La trouvant très bruyante, je l'ai embrassé à pleine bouche pour la faire taire. Ses muscles vaginaux ont commencés leur travail, me pressant la bite et j'ai automatiquement augmenté le tempo, sentant ma fin proche.
Dans le même temps, elle a exulté pour la deuxième fois, et nous nous sommes libérés presque ensemble.
Reprenant ses esprits et son souffle, elle me donna des petits baisers sur la bouche en déclarant:"Il y a longtemps que je n'avais pas baisé un tel monstre. Le jouet de ton oncle est beaucoup plus petit!"Doucement, nous avons laissé redescendre la pression en nous bécotant et en nous caressant. Ma bite redevenant molle, elle m'a repoussé en disant: "Va prendre ta douche pendant que je prépare ton petit-déjeuner!"Après une douche rapide, j'enfilais mon short et mes tongs et la rejoignait à la cuisine. Elle avait mis un tablier sans rien dessous et la vision de ses petites fesses qui s'agitaient me mettait en transe.
"Assieds-toi et mange, il y a des fruits pour commencer.""C'est toi que je vais manger" dis-je en essayant de l’embrasser. Ma tante m'a habilement évité et a contourné la table. À contrecœur, je me suis assis et j'ai pris une orange que j'ai pelée. Elle a placé devant moi une assiette avec des œufs brouillés en m'embrassant sur le front.
"Comment aimes-tu ton café, Jean?""Noir avec juste un peu de sucre. Par contre, j'aime bien ta peau sucrée!"Elle a laissé échapper un grognement d'épuisement devant ma balourdise et m'a donné une petite tape sur la joue. Elle a pris une pêche dans le plat et commença à la grignoter doucement. Le fait de regarder sa bouche sur le fruit m'a rendu dur comme une poutre d'acier. Je me suis levé, j'ai choisi une pêche juteuse, j'en ai pris une bouchée. J'ai écarté le haut de son tablier pour frotter la pêche sur son sein galbé. Le jus a recouvert son téton dressé. J'ai remplacé le fruit par ma bouche avide. Je l'ai sucé fort, l'obligeant à enfoncer ses doigts dans mon bras. J'ai recommencé avec l'autre sein. J'ai suivi la piste du jus d'un sein à l'autre. Elle m'a caressé la tête en gémissant.
Je l'ai soulevée et assise au bord de la table. J'ai tiré une chaise pour m'asseoir entre ses jambes écartées. Ma bite était si dure que je voulais l'enfiler, mais j'ai quand même résisté. Penché devant elle, je plaçais ses jambes sur mes épaules. Puis j'ai enfoui mon visage dans la chatte la plus savoureuse du monde. Ma langue écartait ses grandes lèvres et explorait le sillon qui les sépare. Elle m'encourageait par des grognements d'approbation. Sa respiration devint rapide et inégale lorsque je me concentrais sur son clitoris.
Je me levais en gardant ses jambes sur mes épaules et commençais à glisser ma bite à l'intérieur de ses lèvres humides. Ses yeux me suppliaient de la pénétrer mais je prenais plaisir à la faire attendre pour la taquiner. Mes bras entouraient ses reins tandis que ses mains s'agrippaient à mes épaules. Je savourais ma position de dominant en frottant ma bite sur sa chatte, la faisant gémir. Mais d'un brusque mouvement du bassin, elle a interrompu la torture en s'empalant sur ma bite. Mon plan était de la taquiner un peu plus, mais une fois que j'ai senti ses lèvres s'ouvrir et happer mon gland, j'ai perdu toute capacité cognitive.
Je me suis enfoncé dans ses profondeurs vaginales d'une seule poussée rectiligne, prêt à la baiser comme une salope, lorsque nous fûmes surpris par le claquement de la porte d'entrée qui se refermait.
"Bonjour, quelqu'un? Hello, c’est Adeline!
Habituellement, quand ils s'absentent, je garde la maison. Mais parce qu'ils partent plus longtemps, pendant les vacances d'été, ils ont demandé à mon oncle de m'héberger.
"Écoute, Jean" m'a expliqué mon père. "Je sais que ça ne te plaît pas, mais c’est comme ça. On te fait confiance, mais nous serons absent plus de deux semaines avec les voyages aller et retour. Ta mère et moi serons plus tranquilles si nous te savons chez mon frère. Tu mangeras de la nourriture saine et si tu as un problème, il y aura quelqu'un pour t'aider. De plus, après ce qui s’est passé chez les voisins l’an dernier, ta mère n'est pas rassurée."L'an dernier, quand les voisins se sont absentés, leurs enfants ont organisé une petite fête qui a dégénéré en un truc incontrôlable, provoquant des dégâts matériels et l'intervention de la police.
"Quoi qu'il en soit, tu t'es toujours bien entendu avec ton oncle Jonas et peut-être que tu verras tes cousins. Et puis, maintenant, il a fait creuser sa piscine."De toute façon, je n'avais pas le choix, alors j'ai décidé d'en tirer le meilleur parti. J'avais un travail à temps partiel, donc je serais quand même pas mal occupé et je pourrais toujours voir mes amis quand je voulais puisqu'ils habitent dans la même ville. Comme je pouvais rentrer chez moi, je n’avais pas besoin de beaucoup d'affaires et j'ai pris le minimum, quelques vêtements de rechange et un nécessaire de toilette, plus mon ordinateur portable. Avec mon oncle Jonas, nous avons accompagné mes parents à l'aéroport.
Mon oncle Jonas est plus jeune que mon père. Il a divorcé de sa première femme après 14 ans de mariage et deux enfants, mes cousins, Jonas Junior, qui a 14 ans, et sa sœur aînée, Adeline, qui a 16 ans. Oncle Jonas s'est remarié l'an passé avec une enseignante de quelques années plus jeune que lui. Tante Laura est une charmante personne, vraiment gentille et sympathique.
"Tu pourras camper dans la chambre de Jonas. Tes cousins vivent avec leur mère. Ils ont leur chambre chez nous, mais c'est assez sommaire car ils ne restent jamais bien longtemps.""Et si Jonas venait passer quelques jours?" Ai-je demandé.
"On verra bien. S'il n'en vient qu'un, on se débrouillera. Et s'ils viennent tous les deux, on se débrouillera aussi! Et si tu veux, tu peux inviter tes copains, tu es chez toi! Et tu peux aussi recevoir ta petite amie, il suffit d'être discret" me dit-il avec un clin d'œil.
"Merci tonton. Mais Vanessa et moi avons rompu il y a un mois" lui ai-je dit. Nous étions ensemble depuis dix-huit mois et la plupart des membres de ma famille la connaissaient.
"Dommage, pour quelle raison?" Demanda-t-il.
"Rien de particulier, ce sont des choses qui arrivent" répondis-je vaguement.
Que pouvais-je dire? Elle refusait les rapports sexuels avec moi parce qu'elle avait peur que je la blesse! Elle assurait un service minimum avec la main ou avec sa bouche, mais sans conviction. Quand je la caressais, elle se crispait car elle avait peur de perdre son contrôle si elle y prenait du plaisir. Elle était jolie, sympathique, amusante, mais aussi intéressante au lit qu'une poupée gonflable.
La première fois, elle s'était lâchée, et je lui avais fait prendre son pied. Mais ce fut l'unique fois et j'en ai eu marre d'attendre.
Les vidéos pornos et ma main droite font mieux qu'une fille coincée!
Nous nous sommes garés dans la cour à côté de la voiture de tante Laura. J'ai attrapé mon sac pendant que l'oncle Jonas ouvrait la porte d'entrée.
"Chérie, nous sommes là!" cria-t-il.
"Salut! Bienvenue!" cria ma tante Laura en apparaissant au détour du couloir. Elle donna un rapide baiser sur les lèvres à mon oncle et se dirigea vers moi, bras tendus. Il m'a fallu de la volonté pour cacher mon émotion. Visiblement, elle bronzait au bord de la piscine quand nous sommes arrivés.
Elle portait un minuscule bikini avec une tunique transparente et des tongs. Je n'avais jamais réalisé à quel point elle était sexy. Lors des réunions de famille, elle était toujours habillée de manière pudique. Elle semblait gracieuse, mais là, c'était une bombe.
Elle m'enlaça en soulevant sa petite taille pour m'embrasser. J'ai senti contre mon torse la pression de ses petits seins fermes. J'ai vu aussi son nombril orné d'un piercing.
"Jean, contente de te voir. Nous sommes ravis que tu viennes passer ces quelques jours chez nous. As-tu une petite faim?""Non merci tante Laura, j'ai dîné avant de venir. Pour l'instant, je veux juste ranger mes affaires!""Bien sûr, Jean. Chéri, si tu allumais le grill pendant que je montre sa chambre à Jean?""J'y vais, Laura. Les steaks seront prêts en un tour de main. Jean, si tu as faim, il y en a beaucoup, n’hésite pas. Nous serons au bord de la piscine" répondit mon oncle avant de se diriger vers la terrasse.
J'ai suivi ma tante pour monter l'escalier jusqu'au deuxième étage. Contre ma volonté, mes yeux étaient attirés par le cul ferme de tante Laura qui dansait deux pas devant moi. Le balancement de ses fesses charnues m'hypnotisait. Plusieurs fois, elle s’est retournée vers moi avec un demi-sourire énigmatique sur le visage. En haut des escaliers, avons tourné à droite dans le couloir.
"La première porte, c'est notre chambre, la deuxième est celle d'Adeline" dit-elle en passant devant une porte fermée. "La chambre de Jonas est tout au bout et possède sa propre salle de bain, ce qui lui confère une grande confidentialité."Elle ouvrit la porte au bout du couloir et entra. La pièce était de bonne taille, plus grande que la mienne, et était modestement meublée. Il y avait un lit double contre un mur, une commode, un bureau et une chaise. Une petite télévision à écran plat était accrochée au mur et une porte ouverte donnait sur la petite salle de bain. Il n’y avait aucune trace de la présence de mon cousin qui ne vivait pas ici n’avait rien fait pour s'approprier l'espace. J'ai posé mon sac et mon ordinateur portable sur le bureau.
"Je te donnerais le code wi-fi pour surfer sur le net!" m'a informé Tante Laura "Nous serons au bord de la piscine si tu nous cherches. Je passe pratiquement tout l’été à me prélasser au bord de la piscine!"Depuis mon arrivée et cette vision idyllique qui m'avait accueilli, le câlin qu'elle m'avait accordé contre sa poitrine dodue et la vision de ses fesses joufflues dansant devant mes yeux, je livrais une bataille perdue pour empêcher le développement d'une érection. Heureusement, mon pantalon était assez ample pour dissimuler mon manque de savoir-vivre. Ma tante commençait à partir, mais elle se ravisa et se retourna.
"La vue de cette fenêtre donne sur l'allée. Dommage, qu'elle n'offre pas de vue sur l'arrière. Je suppose d'après ton regard que tu aurais davantage apprécié cette vue!"Elle est sortie en refermant la porte derrière elle et en me laissant me débattre avec cette phrase à double sens. Avait-elle remarqué la concupiscence de mon regard? Est-ce pour cela qu'elle a commenté la vue? Les prochains jours seront difficiles pour moi. La nouvelle femme de mon oncle m'annonçait qu'elle passait son temps au bord de la piscine, seulement vêtue d'un maillot de bain minimaliste et m'invitait à la rejoindre. Ma libido hyperactive sera en transe et le pire c’est que mon maillot de bain ne pourra pas cacher mon émotivité. Je devais absolument passer le moins de temps possible dans son giron, sous peine de me trahir. J'allais être occupé par mon travail, je passerais voir mes copains et le reste du temps, je resterais dans la chambre à surfer sur le net. Parce que c'était la nouvelle femme de mon oncle, je ne devrais pas la remarquer de cette façon. Et puis je n’ai pas envie de bouger.
J'ai trouvé un tiroir vide pour ranger mes vêtements, mis mes affaires de toilette dans la salle de bain. J'ai branché mon ordinateur portable et je l'ai allumé. Ajustant mon érection, je me suis assis au bureau. Inutile de résister à ma libido pour l'instant. Certains soirs, j'ai dû me branler trois fois pour me calmer et avec le stimuli que m'avait donné Laura, j'étais enfiévré. J'ai déboutonné mon pantalon, je l'ai glissé jusqu'aux genoux avant d'ouvrir un fichier dans lequel je stockais mes vidéos préférées, et posais mon casque sur mes oreilles.
Mais au bout d'un moment de vains efforts, j'ai réalisé que je n'étais pas dedans. Je pensais trop à ma tante et je n'arrivais pas à me concentrer. J'ai fermé mon fichier pour surfer sur mon site porno préféré. J’ai parcouru un tas de vidéos avant que j’en trouve une où la femme ressemblait à ma tante Laura. Rapidement, je me suis imaginé baisant cette femme. Le point de non-retour approchant, je ralentissais la cadence lorsque mon œil fut attiré par un mouvement. Tournant la tête, je vis ma tante Laura dans l'embrasure de la porte, la bouche ouverte, les yeux écarquillés, le visage rouge d'émotion.
Malgré ma surprise, impossible de stopper mon élan. Sa seule vue a suffi à déclencher mon orgasme. En gémissant, mon premier jet s'est élevé haut et j'ai vu dans les yeux de ma tante l'envie remplacer la surprise. Elle est restée plantée là, regardant ma bite éjaculer en passant la pointe de sa langue sur ses lèvres entrouvertes.
La dernière goutte s'échappait de ma bite lorsqu'elle est partie en claquant la porte. J'ai entendu le bruit de ses pas s'éloigner dans le couloir. Je me suis précipité pour nettoyer le désordre. J'ai été surpris par la quantité de sperme. Ensuite, j'ai attendu l'arrivée de mon oncle. Sûrement, elle lui avait tout raconté et il allait venir me jeter dehors. Comme rien ne se passait, je me suis relaxé. Je me suis changé pour dormir.
Le lendemain matin, la maison était silencieuse lorsque je me suis levé. Je suis parti travailler rapidement car j’aurais eu du mal à croiser le regard désapprobateur de ma tante Laura.
Après le travail, je suis allé voir mes amis et nous avons passé la soirée ensemble. J'ai rencontré une jolie blonde nommée Cathy qui m’a donné son numéro et m’a dit que je pouvais l’appeler.
Dans la soirée, mon oncle m'a appelé pour me demander où j'étais.
"Désolé, tonton, après le travail, je suis passé voir mes potes. Je vais rentrer bientôt, je te le promets. À l'avenir, je te dirai où je vais. Mes parents ont l'habitude, mais j'aurais dû te prévenir.""Ça va, Jean, c'est juste Laura qui s'inquiète. Amuse-toi bien et à tout à l'heure!"La mention de son nom m’a rappelé pourquoi je ne voulais pas rentrer tout de suite. Je suis rentré après minuit et j'ai grimpé les escaliers jusqu'à ma chambre sans bruit. J'ai eu du mal à trouver le sommeil, la vision de ma charmante tante m'obsédait.
En m'éveillant le lendemain matin, j'ai senti contre moi quelque chose de doux et de chaud. J'ai ouvert mes yeux en grand pour constater la présence de ma tante blottie contre moi.
"Hum, ne bouge pas Jean, je suis si bien. Tu veux bien t'amuser un peu, hum?" Je regardais sa main caresser mon torse et saisir mon bois du matin dans mon short. Elle a palpé mes noix gonflées en susurrant: "Comme ce doit être douloureux, ces bourses gonflées! Je pense que quelqu'un doit prendre soin de toi, mon chéri, laisse-moi faire!" en glissant ses doigts dans ma braguette pour se saisir de ma chair brûlante. J'ai soulevé mes fesses pour repousser mon short sous mes genoux, mais elle n'a pas attendu que je finisse, elle a gobé ma queue. Je retombais et la laissais poursuivre son assaut. Elle a posé une main à plat sur mon pubis, encerclant la base de ma bite entre ses doigts. L'autre main sous mon scrotum, elle a soulevé mes bourses en les pressant contre la base de ma queue. Ainsi maintenu, je ne pouvais plus lui faire la surprise de lui inonder la bouche. Elle a utilisé sa bouche, ses lèvres, sa langue de façon experte, dénotant une grande pratique.
Elle jouait avec ma queue, me suçait comme s'il s'agissait d'un cornet de crème glacée, pour engouffrer l'instant suivant ma bite au fond de sa gorge en faisant des petits bruits charmants. Aux anges, je l'encourageais par mes grognements et mes gémissements, jusqu'au frémissement dans mes bourses qui annonçait l'arrivée imminente de mon orgasme: "Putain! Je vais jouir!"Tante Laura s'agenouilla entre mes jambes en relâchant la pression sur la base de ma bite et retira sa bouche, provoquant un cri de déception de ma part. Elle a attrapé ma bite pour me masturber fermement et j'ai explosé en inondant mon torse, ma figure et même mon lit. Elle a éclaté de rire en disant: "Tu n'espérais pas que j'allais avaler tout ça? Tu es beaucoup trop abondant!"Je glissais ma main entre ses cuisses, elle frissonna légèrement et j'empaumais son pubis, mes doigts écartaient ses grandes lèvres à la recherche de son clitoris et de son orifice moite. Elle rampa sur moi pour m'embrasser à pleine bouche, frissonnante sous mes caresses. Elle n'avait pas lâché mon sexe et continuait de le caresser machinalement. Ma queue durcissant à nouveau, elle appuya sa chatte sur ma bite et commença à se caresser la fente contre mon gland en oscillant du bassin. Mouvement volontaire ou pas, mon sexe s'engouffra dans sa chatte détrempée et avide. Aussitôt, elle replia ses jambes contre mes flancs et commença à sauter sur ma bite tendue.
Comme j'avais déjà éjaculé une fois, j'ai pu résister à sa douce caresse et c'est elle qui a craqué la première, se contractant en tremblant et en gémissant fortement. Aussitôt, je l'ai basculée sur le dos pour l'empaler profondément. Elle a écarté largement ses cuisses bronzées et posé ses talons sur mes reins pour m'encourager, comme on encourage un cheval à atteindre le galop.
Elle perdait la raison et m'encourageait par des grossièretés, me demandant des choses précises comme de lui mettre un doigt dans le cul ou m'encourageait à augmenter mon rythme. La trouvant très bruyante, je l'ai embrassé à pleine bouche pour la faire taire. Ses muscles vaginaux ont commencés leur travail, me pressant la bite et j'ai automatiquement augmenté le tempo, sentant ma fin proche.
Dans le même temps, elle a exulté pour la deuxième fois, et nous nous sommes libérés presque ensemble.
Reprenant ses esprits et son souffle, elle me donna des petits baisers sur la bouche en déclarant:"Il y a longtemps que je n'avais pas baisé un tel monstre. Le jouet de ton oncle est beaucoup plus petit!"Doucement, nous avons laissé redescendre la pression en nous bécotant et en nous caressant. Ma bite redevenant molle, elle m'a repoussé en disant: "Va prendre ta douche pendant que je prépare ton petit-déjeuner!"Après une douche rapide, j'enfilais mon short et mes tongs et la rejoignait à la cuisine. Elle avait mis un tablier sans rien dessous et la vision de ses petites fesses qui s'agitaient me mettait en transe.
"Assieds-toi et mange, il y a des fruits pour commencer.""C'est toi que je vais manger" dis-je en essayant de l’embrasser. Ma tante m'a habilement évité et a contourné la table. À contrecœur, je me suis assis et j'ai pris une orange que j'ai pelée. Elle a placé devant moi une assiette avec des œufs brouillés en m'embrassant sur le front.
"Comment aimes-tu ton café, Jean?""Noir avec juste un peu de sucre. Par contre, j'aime bien ta peau sucrée!"Elle a laissé échapper un grognement d'épuisement devant ma balourdise et m'a donné une petite tape sur la joue. Elle a pris une pêche dans le plat et commença à la grignoter doucement. Le fait de regarder sa bouche sur le fruit m'a rendu dur comme une poutre d'acier. Je me suis levé, j'ai choisi une pêche juteuse, j'en ai pris une bouchée. J'ai écarté le haut de son tablier pour frotter la pêche sur son sein galbé. Le jus a recouvert son téton dressé. J'ai remplacé le fruit par ma bouche avide. Je l'ai sucé fort, l'obligeant à enfoncer ses doigts dans mon bras. J'ai recommencé avec l'autre sein. J'ai suivi la piste du jus d'un sein à l'autre. Elle m'a caressé la tête en gémissant.
Je l'ai soulevée et assise au bord de la table. J'ai tiré une chaise pour m'asseoir entre ses jambes écartées. Ma bite était si dure que je voulais l'enfiler, mais j'ai quand même résisté. Penché devant elle, je plaçais ses jambes sur mes épaules. Puis j'ai enfoui mon visage dans la chatte la plus savoureuse du monde. Ma langue écartait ses grandes lèvres et explorait le sillon qui les sépare. Elle m'encourageait par des grognements d'approbation. Sa respiration devint rapide et inégale lorsque je me concentrais sur son clitoris.
Je me levais en gardant ses jambes sur mes épaules et commençais à glisser ma bite à l'intérieur de ses lèvres humides. Ses yeux me suppliaient de la pénétrer mais je prenais plaisir à la faire attendre pour la taquiner. Mes bras entouraient ses reins tandis que ses mains s'agrippaient à mes épaules. Je savourais ma position de dominant en frottant ma bite sur sa chatte, la faisant gémir. Mais d'un brusque mouvement du bassin, elle a interrompu la torture en s'empalant sur ma bite. Mon plan était de la taquiner un peu plus, mais une fois que j'ai senti ses lèvres s'ouvrir et happer mon gland, j'ai perdu toute capacité cognitive.
Je me suis enfoncé dans ses profondeurs vaginales d'une seule poussée rectiligne, prêt à la baiser comme une salope, lorsque nous fûmes surpris par le claquement de la porte d'entrée qui se refermait.
"Bonjour, quelqu'un? Hello, c’est Adeline!
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