Semaine à Paris

- Par l'auteur HDS Amélie46 -
Récit érotique écrit par Amélie46 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Semaine à Paris Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2014 dans la catégorie Plus on est
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Semaine à Paris
Jusqu’à la fin d’année, il ne se passe pas grand-chose de nouveau. Marie et moi faisons régulièrement l’amour, parfois à trois avec Michel. Michel me prend à peu près toutes les semaines. Je vois régulièrement Grégoire qui passe 1 ou 2 nuits avec moi, de temps en temps le week-end entier chez moi ou chez lui. Durant ces week-ends nous passons la majorité du temps à baiser sortant juste pour aller déjeuner ou dîner en ville. De temps en temps aussi il nous prend toutes les deux avec Marie, et à une occasion nous faisons une soirée à quatre avec Michel. Je revois Jacky une fois en trois mois pour une nuit ensemble chez moi. Les week-ends ou les nuits avec Grégoire sont intenses et épuisants car il a vraiment de gros besoins, me prenant parfois 6 ou 7 fois par jour. Côté boulot, les travaux du bureau en ville se terminent début décembre et Marie recrute finalement 3 personnes qui attaqueront début janvier. Je suis promue secrétaire de direction avec une augmentation de 20% de salaire. Je suis parfaitement installée dans ma nouvelle vie et je suis pleinement heureuse et épanouie. Mes parents sont enchantés de mon évolution professionnelle et personnelle et ma mère me dit souvent qu’il ne me reste plus qu’à trouver un homme. Je lui dis que j’ai le temps, que je me contente et me satisfait de quelques copains occasionnels. D’ailleurs en parlant de mes parents il se passe une chose cocasse un samedi soir début décembre.
Je passe le week-end chez Grégoire et l’après-midi du samedi se passe à baiser avec lui et Jacky qui a réussi à se libérer quelques heures. Le soir, il est prévu que nous nous retrouvions avec Marie et Michel dans un restaurant du centre-ville. Pour faire plaisir à Grégoire, je m’habille sexy, avec juste des bas et un porte-jarretelle sous ma jupe, et la poitrine nue sous un bustier pailleté. Je porte des bottines avec des talons de 10 cm et un manteau de laine. Nous arrivons à 20h00 comme prévu et je suis blottie dans les bras de Grégoire en marchant du parking à l’entrée du restaurant. J’ai aussi un peu chargé sur le maquillage pour essayer de masquer les cernes de fatigue après à un après-midi très intense. Heureusement que Grégoire et moi nous décollons et qu’il me précède pour rentrer en me tenant la porte avec galanterie. Dans le hall je vois mes parents en train de discuter avec Marie et Michel. Je crois que j’ai failli m’évanouir sous le choc. Pendant que nous posons nos manteaux au vestiaire, je parviens à dire à Grégoire que c’est mes parents et devant mon visage décomposé il évite de me prendre dans ses bras. Je vois au regard que me lance ma mère que ma tenue la choque, mon père ne semble pas concerné mais je crains quand même sa réaction. Je fais la bise à mes parents et à Marie, mais Michel qui a dû remarquer la gêne de la situation me serre la main et s’empresse de dire :
- Le monde est petit quand même, vos parents avaient réservé dans le même restaurant que nous .
Puis il présente Grégoire comme un ami que j’ai connu chez eux. Grégoire rajoute que nous nous sommes retrouvés par hasard dans le même parking et que c’est pour ça que nous arrivons ensemble. L’explication semble convenir à mon père mais je sens ma mère sceptique. Michel rajoute qu’il serait idiot de manger à des tables différentes et propose de dîner tous ensemble, mes parents acceptent. Le serveur propose une grande table ronde dans un coin de la salle. Ma mère prétexte un besoin de se rendre aux toilettes pour m’entraîner avec elle. Nous sommes seules aux lavabos et elle me fait part de son mécontentement :
- C’est quoi cette tenue ? Et c’est quoi ce noir avec qui tu es arrivée, tu sors avec ? Il pourrait être ton père ».
- Mais non maman, ça s’est passé comme on te l’a dit, tu me vois sortir avec un vieux franchement ? »
- Bon, bon je te crois ».
- Et la tenue qu’est-ce que tu lui trouves ? Je n’ai pas l’air plus vulgaire que certaines dans la salle, et puis ce n’est pas à quarante balais que je m’habillerais sexy. Après manger je vais à une soirée chez une copine avec des jeunes de mon âge si ça peut te rassurer ».
Elle se calme, rassurée, et m’embrasse en s’excusant : « C’est bien ma chérie, c’est mieux que tu sortes avec des jeunes de ton âge, surtout pour trouver un copain ».
- Mais oui, maman, t’inquiètes pas ».
Si elle savait que je suis nue sous ma jupe ! La pauvre !
Je la renvoie en salle pour aller aux toilettes et en ressortant c’est Marie qui est là et qui m’attends. Je lui explique, elle comprend et me dis qu’elle va mettre discrètement Michel au courant pour ma soi-disant soirée. Elle me dit que Grégoire va faire en sorte de partir avant le dessert et qu’il m’attendra à la voiture. Quelle soirée compliquée ! Nous retournons à table. Michel et Marie ont orchestré intelligemment le placement à table afin que je ne sois pas à côté de mes parents. Je suis entre Grégoire et Marie et mes parents sont en face. Le repas se passe bien, mon père discute boulot avec Michel, Marie dit à ma mère tout le bien qu’elle pense de moi question travail. Grégoire pose deux ou trois fois sa main sur ma cuisse que je repousse très vite.
Après le plat, je vois Marie manipuler son portable sous la table pour faire sonner celui de Grégoire. Il décroche, fais semblant de parler avec une infirmière de la clinique et conclut en disant qu’il arrive. Il s’excuse auprès de nous pour ce contretemps et s’en va.
Nous terminons de manger, Michel refuse que mes parents payent quoi que ce soit et il règle l’addition, puis il me propose de me déposer à ma voiture. Je craignais que ce soit mon père qui propose, donc je suis bien contente qu’il ait pris les devants.
Je rejoins donc Greg et nous passons la nuit et la journée du dimanche à faire l’amour. Je rentre épuisée le dimanche soir chez moi.
Pour les fêtes, Greg part trois semaines aux Antilles dans sa famille, il me propose de partir avec lui mais je refuse, surtout parce qu’il est hors de question que je passe noël ailleurs que chez mes parents, mais aussi parce que je n’ai pas trop envie de m’éloigner de Marie. De plus elle me propose de passer une semaine shopping avec elle à Paris avant les fêtes, et cette invitation me plaît beaucoup.










SEMAINE A PARIS
Nous partons donc pour Paris le dimanche, en voiture, où nous arrivons en milieu d’après-midi. Marie a réservé une chambre dans un hôtel assez luxueux à deux pas de l’arc de triomphe. C’est la deuxième fois que je viens à Paris dans ma vie, et la première remonte à 4 ou 5 ans auparavant avec mes parents. De plus je n’ai jamais mis les pieds dans un hôtel aussi luxueux. Je suis sidérée qu’il suffise de s’arrêter devant pour être pris en charge par plusieurs employés comme des stars. Il y a un voiturier qui s’occupe de l’emmener au garage, deux personnes qui prennent les bagages et une qui nous guide vers la réception. Marie s’amuse de me voir pousser des cris de surprise à chaque instant.
Une employée nous accompagne à la chambre et nous la fait visiter. Que dire de la chambre ! C’est un vrai appartement. Nous entrons dans un salon bien meublé avec plusieurs vases remplis de fleurs fraîches, une salle de bain gigantesque avec baignoire immense qui fait jacuzzi plus une grande douche, des serviettes à profusion et de magnifiques peignoirs avec leurs chaussons. Enfin une chambre avec un superbe lit extra large. Je m’ébahis de tant de luxe pendant que Marie règle les détails avec la gouvernante. Les bagages sont déjà arrivés et posés dans la chambre. Nous déballons nos affaires et les rangeons dans le dressing. Nous buvons un jus de fruit et je constate que le minibar est bien garni. Marie propose de tester le jacuzzi dans lequel nous traînons plus d’une heure.
Après un repas excellent au restaurant de l’hôtel nous nous mettons au lit vers 21h30. A peine allongées Marie commence à me parler de Greg. Je crois déceler dans ses propos qu’elle me reproche de passer trop de temps avec lui depuis quelques mois. Je lui demande si elle m’en veut, mais elle me dit que non. Elle poursuit :
- Tu le considères comment ? Tu es amoureuse ? Vous envisagez de vous mettre en couple ?
- Pas du tout Marie ! C’est vrai que je suis bien avec lui, mais je ne suis pas amoureuse de lui, sinon je serai aux Antilles avec lui en ce moment.
- Oui tu as raison, je me fais des idées sans doute.
- J’aime coucher avec lui, mais c’est tout, je n’ai jamais pensé me mettre en couple avec lui, et il ne me l’a jamais proposé non plus. C’est vous que j’aime Marie vous le savez bien.
- Excuses-moi ma puce, moi aussi je t’aime, conclut-elle.
Je lui fais quand même remarquer que je continue à coucher avec Michel quand il en a envie, et avec elle très souvent aussi. Elle reconnaît que j’ai raison. Elle me dit qu’elle est juste surprise que je n’ai couché avec d’autres hommes depuis l’été. Je la rassure en lui disant que c’est juste parce que l’occasion ne s’est pas présentée. Elle me demande si je suis toujours d’accord pour qu’elle m’impose certaines choses et je lui réponds que oui. Elle me dit :
- Tu as envie qu’on s’amuse à fond cette semaine en plus du shopping, tu sais Paris c’est pas Toulouse et il y a de quoi faire.
- Je suis prête.
Elle me parle d’une autre proposition, elle attendait cette explication pour m’en parler, pour le réveillon du 31 décembre. Elle éveille ma curiosité. Elle me demande si je veux bien participer avec Michel et elle à un réveillon échangiste. Je lui dis d’accord et lui pose quelques questions, mais elle me demande si je ne préfère pas la surprise plutôt. D’accord, je ne pose aucune question et je lui fais totalement confiance.
Nous faisons longuement l’amour et nous nous endormons blotties l’une contre l’autre.
Le lendemain matin je suis réveillée à 6h00 alors que Marie dort encore profondément. Je décide de me lever et de prendre un bain. Je me laisse aller dans l’eau bien chaude en buvant un café, et je repense à notre discussion d’hier soir à propos de Greg. Je m’interroge sur mes sentiments pour lui en me demandant si je ne suis pas en train de tomber amoureuse inconsciemment. Je chasse vite cette idée de ma tête car si j’étais amoureuse il me manquerait et ce n’est pas le cas. Je me remémore les nuits ou les week-ends passés avec lui et je réalise que nous passons bien plus de temps à baiser qu’à discuter. Donc non je ne suis pas amoureuse, peut-être de sa bite mais pas de lui j’en suis sûre. Je me dis que je vais faire en sorte de passer moins de temps avec lui à son retour.
Puis je pense aux canailleries que Marie veut que nous vivions cette semaine en me demandant ce qu’elle prévoit. Je suis aussi intriguée par ce fameux réveillon échangiste. Je sors de mon bain au moment où Marie entre dans la salle de bain, elle m’embrasse, me dit qu’elle m’aime et file sous la douche. Nous passons la journée à dépenser de l’argent dans les boutiques du quartier, enfin je regarde surtout Marie en dépenser. Le soir venu Marie recherche sur le net un endroit sympa, ouvert le lundi, où nous pourrions nous dévergonder. Elle opte pour un sauna échangiste. Après dîner, nous faisons un tour en taxi pour que je vois quelques monuments parisiens de nuit, puis nous arrivons au sauna vers 22h30. Je découvre pour la première fois ce genre d’établissement, Marie me dit qu’il y en a sur Toulouse mais que Michel et elle ne peuvent pas se permettre de fréquenter ce genre de lieu. Je comprends que Michel risquerait trop de croiser des gens qu’il connaît ou pire qui travaillent pour lui. Il y a quelques couples et quelques hommes seuls qui flânent de pièce en pièce ou dans le grand jacuzzi. Je ne suis pas très emballée, surtout que je me retrouve rapidement seule dans le bain. Marie se laisse rapidement entraîner vers une chambre par un black pas trop mal, mais ils ferment la porte à clef derrière eux. Je décide donc de remettre mon peignoir et de m’installer au bar. Rapidement je suis abordée par un gars qui me caresse par derrière sans que je le vois. Je me laisse faire, car ses caresses sont agréables, il défait la ceinture de mon peignoir et me caresse la poitrine. Il me prend par la main et m’invite à le suivre. Je suis un peu déçue en le voyant car il est âgé d’au moins 50 ans, à moitié chauve, mais surtout bien bedonnant. Je me fais une raison, trop tard pour reculer. Il m’allonge sur un grand lit rond et commence à me caresser, il essaie de m’embrasser mais je refuse. Je ferme les yeux pour ne pas le voir et le laisse faire. Je n’arrive pas à trouver agréable ce qu’il me fait. Ça dure environ ¼ d’heure, puis je l’entends enfiler un préservatif et il se couche sur moi en me pénétrant. Il est lourd et j’espère qu’il finira vite. Pendant qu’il me besogne en respirant très fort je sens une bite essayer de forcer ma bouche, je refuse. J’ouvre les yeux et je vois 7 ou 8 personnes qui regardent en se masturbant, il y a aussi deux femmes dont une qui se caresse et que j’entends dire : « Défonces-la chéri ». Je comprends que c’est son mari qui me couvre, et elle le regarde se taper une jeunette. Au moment où il remplit sa capote en gémissant, je reçois une giclée de sperme sur le flan. Quand il se dégage, un autre essaye de prendre sa place, mais je le repousse et me relève, j’enfile mon peignoir et file me doucher. Je rejoins Marie au bar, elle me raconte s’être bien faite baiser, je lui dis que je veux partir. Nous ressortons vers minuit. Maintenant je connais ce genre d’établissement, mais ce n’est pas pour moi. Je lui raconte ma mésaventure dès notre retour à l’hôtel et elle me raconte ce qui s’est passé avec son black : c’était pas mal, mais elle est restée sur sa faim.
Elle passe un texto à Michel, au cas où il ne soit pas encore couché, pour qu’il la rappelle. Elle sait qu’il connaît pas mal Paris pour y venir souvent. Il rappelle presque de suite. Ils discutent une dizaine de minutes. Elle m’explique qu’il lui a donné quelques adresses sympas pour se faire draguer, mais qu’il sera difficile de ne pas être séparées. Il n’est pas question de ramener des gars à notre hôtel. Mais elle me parle aussi d’un site internet de petites annonces sur lequel ils ont une fiche et qu’ils utilisent parfois surtout en voyage. C’est Michel qui s’en occupe d’habitude mais il vient de lui donner le mot de passe pour se connecter. Marie a son PC portable avec elle et nous allons voir le site. Après une exploration pour voir comment cela fonctionne. Consulter les annonces est trop long et contacter les annonceurs par message est fastidieux car il faut attendre les réponses, et nous voulons voir si une rencontre est possible d’ici la fin de semaine. Par contre sur ce même site il y a un chat et la possibilité de faire un chat privé avec webcam. Nous regardons uniquement parmi les connectés les fiches de membres de Paris. Nous établissons deux ou trois contacts mais ils n’aboutissent pas. Nous sommes surprises par le nombre de connectés vu l’heure plutôt tardive. Nous finissons par entrer en contact avec un gars qui montre des photos de lui sur sa fiche. Le texte de son annonce parle d’un groupe constitué de 35 à 40 ans habitués aux gang bang. Sur la fiche annonce il y a un onglet qui permet à ceux ou celles les ayant rencontrés de laisser leurs commentaires. Il y en a beaucoup émanant de couples pour la plupart, mais tous sont plutôt élogieux et parlent de lui et ses potes comme des hommes courtois, respectueux et plutôt doués pour satisfaire ces dames. Marie lui écrit un message plutôt direct : Nous sommes 2 copines canons, sur Paris pour la semaine, et nous cherchons un groupe de mecs pour s’éclater. Comme il est connecté, il doit lire assez rapidement le message. Quelques minutes après le gars nous réponds et nous demande à passer en discussion privée, nous acceptons bien sûr. Nous échangeons quelques messages, le gars nous demande combien nous souhaiterions de gars. Marie lui répond quelle ne sait pas mais fixe le minimum à quatre. Le gars dit qu’il ne sait pas combien il peut en réunir, mais que quatre devrait être possible pour le mercredi soir. Il est tout de même méfiant et veut la preuve que nous sommes bien des filles. Il veut que nous passions en dialogue avec webcam juste pour voir. Nous acceptons et Marie active la caméra intégrée à son PC. Le gars connecte sa caméra aussi et nous voyons que c’est bien le même que sur les photos. Lui aussi est satisfait de voir que nous sommes bien réelles. Nous lui donnons les conditions pour une rencontre sécurisée :
- La rencontre doit avoir lieu sur Paris exclusivement.
- On se retrouve avant dans un lieu public.
- La soirée se passe dans une chambre d’hôtel correct.
Il accepte et nous propose de le rappeler sur son portable le lendemain vers 18h00 et il nous dira combien il a de copains dispos et où se passera la soirée. Nous acceptons et il nous donne son numéro de portable et son prénom : Thierry.
Nous nous mettons au lit car il est 3h00 du matin, nous discutons un peu et nous nous endormons assez rapidement. Le lendemain nous émergeons vers 10h00, et sommes prêtes 1h plus tard pour aller dépenser de l’argent dans les boutiques des environs. L’après-midi Marie me demande si je peux la laisser seule, car elle souhaite m’acheter une robe pour le soir du réveillon et elle souhaite que je ne la vois pas avant. Ce sera une surprise que je découvrirai le soir du réveillon. De plus nous faisons la même taille 36-38 et elle mesure 1 cm de moins que moi, elle peut donc essayer pour moi sans problème. Nous nous donnons rendez-vous à l’hôtel à 17h30. Ces quelques heures de liberté me permettent d’aller acheter quelques fringues pour moi dans des magasins plus adaptés à mes moyens que ceux où Marie m’entraîne habituellement. Ma CB chauffe pas mal ce jour-là. Ayant dépensé plus que de raison, je rentre à l’hôtel vers 16h30. Je reçois un texto de Greg, je lui réponds. C’est le premier contact depuis son départ il y a 5 jours. Ça me confirme qu’il n’est pas amoureux de moi sinon il m’aurait contacté avant, ça me rassure au fond. Et puis il ne me manque pas non plus, juste quand j’ai envie de baiser, mais c’est sa queue qui me manque, pas lui. Marie arrive à son tour, les bras chargés de paquets. Nous nous allongeons sur le lit, en nous embrassant copieusement, mais son téléphone sonne. C’est Michel qui prend des nouvelles. Ils discutent un moment, je les entends se disputer un peu alors que je suis sortie de la chambre. Marie me rejoint, elle me dit que Michel n’est pas d’accord pour qu’on se rende à un rendez-vous avec un groupe de gars rencontrés à la va-vite. Il lui a fait la morale, il a peur qu’on se fasse agresser. Elle a cédé et promis de ne pas contacter le gars. Je suis déçue et je crois qu’elle aussi. Nous nous consolons dans les bras l’une de l’autre, nous faisons longuement l’amour. Marie me fait merveilleusement jouir, mais je reste sur ma faim, j’ai envie d’un homme. Pendant la douche, que nous prenons ensemble, je lui parle de mon envie d’homme, elle aussi à envie. Nous décidons donc de nous habiller sexy et d’aller draguer en boîte de nuit après dîner. Une petite recherche sur internet nous pousse à choisir un club antillais pas trop éloigné de l’hôtel, en plus il y a un restaurant antillais aussi juste à côté. Nous aimons bien les blacks toutes les deux et on espère passer une bonne soirée. Marie appelle pour réserver une table à 20h30. Nous décidons de nous habiller très sexy et nous partons en taxi.
Le restaurant est bien rempli, une serveuse qui a l’air plutôt débordée nous conduit à notre table. Pas mal de regards se tournent vers nous quand nous retirons nos manteaux. La serveuse nous propose un apéritif, Marie choisit un cocktail, je prends la même chose. C’est la première fois de ma vie que je bois du rhum et je trouve ça délicieux et très doux. Nous en prenons un second et je sens rapidement la tête me tourner un peu. Le service est relativement long vu le monde. Marie engage la conversation avec la table d’à côté et demande des renseignements sur la boîte de nuit. Une femme, un peu éméché, lui répond que c’est une boîte sympa, plutôt classe et qu’il y a toujours de beaux blacks pour faire danser le zouk.
La boîte est ouverte et nous rentrons. C’est vrai que c’est plutôt classe, un bar style paillotte, une grande piste de danse. Nous faisons rapidement le tour et découvrons qu’en fait il y a plusieurs salles. Nous choisissons la petite salle qui a une piste de danse plus intimiste, avec une lumière plus tamisée et de petits boxes salon tout le tour. Il y a encore peu de monde et Marie va au bar nous chercher 2 cocktails, sans alcool cette fois. Il y a une majorité d’hommes dans la salle, surtout des blacks dont certains sont pas mal. Nous sommes les seules attablées dans la petite salle, il y a un peu plus de monde dans la grande. De là où nous sommes nous avons la vue sur une partie du bar et un des gars derrière nous regarde avec insistance. Il faut dire que lui aussi doit avoir une belle vue sous nos jupes vu que nous sommes assises face à lui. Nous en plaisantons avec Marie et décidons d’en jouer un peu en croisant et décroisant les jambes. Au bout d’un moment, nos verres sont vides, et le gars vient vers nous. Il nous propose un autre verre. Nous commandons la même chose. Pendant qu’il repart préparer notre commande Marie me glisse à l’oreille qu’il est plutôt pas mal. Je lui réponds que je me laisserais bien aller dans ses bras. Il revient nous servir et s’assoit face à nous pour discuter :
- C’est la première fois que vous venez, deux jolies filles comme vous je m’en souviendrais.
- Oui on est de passage sur Paris, répond Marie.
Il nous demande comment nous avons trouvé l’adresse, je lui réponds que c’est par le net. Puis il dit :
- Pourquoi vous avez choisi une boîte antillaise ? Pour danser le zouk ou pour les beaux blacks ?
- Un peu les deux, répond Marie.
Il se met à rigoler puis rajoute : «Alors amusez-vous bien» puis il repart derrière son bar.
La boîte s’est un peu remplie, surtout des gars, deux d’entre eux viennent nous inviter à danser. C’est parti pour un zouk ! Mon cavalier danse bien, mais il n’est pas très bavard. Au bout de deux morceaux j’aperçois Marie assise seule sur la banquette, je me dis que je vais arrêter aussi à la fin du morceau, mon partenaire n’a pas décroché la mâchoire. Je le remercie gentiment, et je vois que Marie discute avec le serveur assis à côté d’elle, j’en profite pour aller aux toilettes. En sortant je vois une porte marquée « privé », un couple entre juste à ce moment par cette porte. Je retourne dans la salle et comme Marie est toujours avec le serveur je fais un tour dans la grande salle. J’ai l’impression qu’il n’y a pas plus de monde qu’à notre arrivée malgré l’heure tardive. Plusieurs gars m’invitent à danser mais je refuse poliment. Je dois même en repousser un fermement car il insiste lourdement. Je retourne près de Marie qui est seule maintenant. Elle me raconte sa discussion avec le serveur, qui est en fait le patron et qui lui a expliqué qu’il y avait une salle privée dans la boîte et que si nous voulions y aller ne serait ce que pour visiter, il nous guiderait. Marie m’explique qu’en fait quand elle a répondu qu’on avait connu l’adresse par internet le gars a cru qu’on l’avait connu via un site coquin qui référence la partie privée de la boîte alors qu’en fait on l’a connu via les pages jaunes qui ne parlent absolument pas de la partie privée. Le gars lui a aussi dit que ce sont en général des couples qui viennent dont le mari aime voir sa compagne s’amuser avec des blacks. Les femmes seules sont très rares, ou alors c’est qu’elles sont déjà venues accompagnées avant. Il lui a aussi dit que nous aurions sûrement beaucoup de succès toutes les deux. Marie me précise que les hommes seuls qui rentraient dans cette zone étaient des habitués triés sur le volet et qu’une fois à l’intérieur tout était permis, mais rien n’était imposé. Elle tenait à m’en parler avant de lui dire si la visite nous intéressait. Nous hésitons, mais finalement une visite n’engage à rien et nous acceptons. Marie va voir le patron et il nous rejoint quelques minutes plus tard. Il ouvre la porte que j’avais vue près des toilettes avec une clef. Un mètre plus loin il y a une grosse porte battante capitonnée de cuir noir. Nous entrons dans une salle pas très grande, un petit bar à notre droite et une piste de danse ronde pas très grande. Une grande banquette devant la piste avec 4 ou cinq blacks et deux blancs qui regardent 2 couples danser. Les filles sont des blanches et leurs cavaliers des blacks, je souris en me disant que les blancs sont sûrement les maris. Tout le tour il y a des alcôves séparées entre elles par des murs capitonnés de 2 mètres de haut. Le patron nous mène voir le premier de près. Il forme un U et un grand rideau rouge permet de fermer l’accès. Une grande banquette au fond avec plein de coussins est couverte d’une housse. Une table de salon et une banquette plus petite contre la paroi de droite. Sur la table il y a un grand saladier de verre rempli de préservatifs, ne laissant aucun doute sur l’utilité du lieu. La lumière est très tamisée autour du bar et sur la piste de danse, et encore plus dans les alcôves. Le patron nous invite au bar et nous présente le barman, Louis, comme son frère et associé, et la barmaid Eliane. Lui s’appelle Etienne. Il n’y a personne au bar, nous commençons donc à discuter, Etienne nous quitte pour rejoindre l’autre partie du bar. Louis et Eliane sont mariés et ce sont eux qui s’occupent de cette partie privée, alors que son frère et sa femme s’occupent de l’autre partie. Un black vient m’inviter à danser, il est grand, plutôt costaud, dans les 25 – 30 ans. Je laisse Marie seule au bar et commence à danser, en bordure de la piste. Il me plaque contre lui, nous échangeons quelques mots, il a l’air sympa et j’aime l’odeur de son parfum. Tout en dansant, il m’entraîne petit à petit à l’intérieur du box que nous avons visité et nous nous retrouvons devant la petite table basse. Je sens ses mains passer sur mes fesses, puis remonter dans mon dos. Nous sommes joue contre joue, sa main dans mon dos est agréable, je me laisse aller dans ses bras. Il dépose un bisou sur le coin de mes lèvres, me regarde comme pour me demander l’accord d’aller plus loin, c’est moi qui l’embrasse à pleine bouche. Dès le premier baiser ses mains passent sous ma jupe et me malaxent les fesses. Puis au second baiser je sens ses mains dégrafer les premiers boutons de mon chemisier, puis il dégage mes seins du soutien-gorge et commence à les malaxer fermement. Je m’offre à lui, il baisse un peu mon string puis un de ses doigts s’immisce entre mes fesses en caressant de haut en bas, son autre main me pétrit un sein. Je place mes bras autour de son cou et je dépose de doux baisers sur son visage, il a la peau très douce. Nous ne dansons plus, je suis plaquée contre la paroi capitonnée. Il se dégage un instant et ferme le rideau, j’aperçois Marie, toujours en pleine discussion au bar. Je le vois prendre une capote au passage et il m’allonge sur la grande banquette. Il retire mon string et finit de déboutonner mon chemisier sans l’enlever. Il se déshabille et s’allonge nu à côté de moi puis commence à téter mes seins. Je saisis sa queue et commence à le caresser. Il est de belle taille, mais paraît petit à côté de Grégoire. Dès qu’il lâche mes seins je me glisse le long de son corps pour prendre sa queue dans ma bouche. Elle devient vite très dure et je l’enfonce jusqu’à la garde au fond de ma gorge, il grogne de plaisir. Sa main caresse mon sexe, je me place tête bêche pour lui faciliter l’accès. Il commence à me sucer à son tour. Il est doux et m’arrache rapidement quelques gémissements. Au bout de quelques instants il repousse ma tête, je comprends qu’il ne veut pas partir trop vite. Il se met à genou à côté de moi et enfile un préservatif puis se caresse un moment en me regardant. J’ouvre mes cuisses largement pour l’inviter à me prendre. Il s’enfonce en moi d’un coup m’arrachant un cri, puis il commence à me besogner en changeant fréquemment de rythme, il aspire mes tétons un par un sans cesser de me pistonner. De temps en temps il se plante en moi et amorce des rotations du bassin qui font monter le plaisir dans mon ventre, je lui dis : « Vas-y, plus fort, plus fort », mes cris s’intensifient et je jouis violemment. Il me pilonne durant tout mon orgasme, puis se plante au fond de moi sans bouger, il m’embrasse et me demande s’il peut jouir sur mon corps. Je lui dis : «Non, viens dans ma bouche », j’ai toujours mes vêtements sur moi et je ne tiens pas à ce qu’il éjacule dessus. Il approche son sexe de ma bouche, je le repousse pour lui enlever la capote et quelques va et viens suffisent à le faire cracher sa semence dans ma gorge. Il s’écroule en soufflant très fort à côté de moi, je suce délicatement son gland du bout des lèvres pour récupérer les dernières gouttes de son plaisir. Nous restons immobiles 2 ou 3 minutes puis il me dit « merci » et commence à se rhabiller, puis il sort en laissant le rideau fermé. Je suis un peu déçue qu’il parte si vite, car j’ai encore envie. Je reste allongée quelques courtes minutes de plus puis, résignée je réajuste ma tenue et ma coiffure. Quand je sors de l’alcôve, je suis surprise de toujours voir Marie assise au bar devant un verre et en train de discuter avec Eliane et Louis. Je viens m’asseoir à côté d’elle, elle souris en me voyant et me demande si c’était bien. Je lui dis que c’était très bien mais un peu bref à mon goût. Elle sourit, Eliane et Louis aussi en me servant un cocktail. Marie m’annonce que nous revenons le lendemain soir, et devant ma surprise, elle rajoute qu’elle m’expliquera après. Il n’y a plus personne sur la piste, je vois juste le rideau d’un salon fermé. Je bois mon verre en attendant le taxi que Louis nous a appelé. A deux heures du matin nous sommes à l’hôtel.
Après une bonne douche, nous discutons allongées dans les bras l’une de l’autre. Marie me demande de lui raconter ma partie de jambes en l’air, ce que je fais brièvement. Je lui fais part de ma frustration que cela se soit terminé aussi vite. Elle me demande :
- C’est toi qui a fermé le rideau ?
- Non, c’est le gars, pourquoi ?
- Parce que quand le rideau est fermé ça veut dire que plus personne n’a le droit de rentrer. Louis m’a expliqué qu’en général ce sont les femmes qui décident si on ferme ou si on laisse ouvert.
- Ok, je comprends mieux. Et vous personne ?
- Non j’ai refusé un type, mais Eliane m’expliquait le fonctionnement du club et je voulais attendre qu’on ait fini, mais il n’y avait plus personne après.
- Ok, et pour demain alors ?
- En fait il y a surtout pas mal de monde les vendredis et samedis soir, un peu moins en semaine. Par contre ils peuvent appeler certains garçons à la demande et même en semaine. Il y en a pas mal qui préfèrent venir pour des coups sûrs et ainsi ne pas payer les 40,00€ pour rien sans compter les consommations. Il n’y a que les femmes qui rentrent gratuitement, on ne paye que ce qu’on boit.
- D’accord, donc demain vous avez réservé ?
- Oui je nous ai réservé un salon, et au moins on aura quelques garçons pour nous deux.
- Combien ?
- Ah, surprise, tu verras bien, mais j’espère que tu seras en forme.
- Je suis toujours en forme pour ça, dis-je en riant.
La matinée du lendemain nous décidons de tester l’espace détente de l’hôtel vu que nous nous levons assez tard. Nous terminons par un bon massage avant de déjeuner à l’hôtel. Après déjeuné nous faisons une sieste, ponctuée de quelques orgasmes, afin d’être en forme pour le soir. On a finalement dormi assez longtemps car il fait nuit quand de je me réveille. Je vois que Marie est déjà debout et dès qu’elle me voit elle vient vers moi en riant : »
- Dis donc, tu avais du sommeil en retard, tu as dormi comme un loir.
Je lui demande l’heure : il est presque 18h00. Je me lève et me fais un café avant d’aller sous la douche pour finir de me réveiller. Marie me dit avoir réservé une table à proximité de la boîte, mais pas l’antillais de la veille, pour 20h30. Nous nous préparons pour sortir. Je décide de m’habiller sexy et surtout pratique. Bustier blanc sans bretelles, jupe portefeuille écossaise, porte-jarretelles noir à large ceinture, bas noirs et bottines talons aiguilles. Toujours pour le côté pratique, je ne mets pas de culotte. Marie fait de même. Je fais des essais devant la psyché voir si ma jupe ne s’ouvre pas trop quand je marche, ce qui provoque un fou rire de Marie :
- Tu as peur qu’on te voit le minou ? Tu ne vas pas garder la jupe bien longtemps là où on va !
- C’est surtout pour le restaurant que je vérifie !
Et je la suis dans son fou rire.
Une fois calmées, j’enfile un gilet de laine puis un long manteau car il fait très froid dehors, quand la réception nous signale l’arrivée du taxi commandé. Heureusement que la table qui nous est attribuée dans le restaurant est dans un coin. Ma jupe, juste tenue par un double crochet à la ceinture, ne cesse de s’ouvrir. Les pans de tissus, qui glissent sur mes bas, ne tiennent pas en place et je ne parviens pas à les retenir en serrant les cuisses. Marie qui a remarqué mon manège repart dans un fou rire interminable qui ne manque pas d’attirer l’attention des tables voisines.
A 22h00 nous arrivons dans la boîte, il y a beaucoup plus de monde que la veille, sûrement parce que nous sommes mercredi. Nous parvenons à nous faufiler au comptoir du bar où Etienne nous accueille avec un grand sourire et un grand bonjour. Il se penche vers moi et me dit :
- Alors la demoiselle s’est bien amusée hier soir ?
Je lui réponds que oui en rigolant. Je constate que l’information circule très bien entre les deux parties du club. Il téléphone brièvement et nous annonce que son frère nous attend à la porte de la partie privée. Il nous fait la bise et avant de franchir la porte capitonnée il nous dit qu’il y a plus de monde que la veille de ce côté-là aussi. Je passe la première pendant qu’il me tient la porte, et en me retournant je le vois parler à l’oreille de Marie, qui lui répond de la même manière, je me demande ce que Marie complote. Nous laissons nos manteaux, gilets et pochettes au vestiaire, puis nous nous installons au comptoir pour boire un cocktail au rhum. Dès que je me hisse sur le tabouret, bien sûr ma jupe s’ouvre largement. Eliane vient nous dire bonjour et désigne le salon qui nous est réservé, elle précise que personne ne nous abordera tant que nous ne serons pas dans le salon, et que nous pourrons accepter ou renvoyer les garçons qui se présenteront. Puis Louis rajoute que quand nous fermerons le rideau plus personne n’entrera. Nous prenons un second verre, ma tête commence à tourner un peu, je suis assise face au comptoir. Je ferme le pan le plus long de ma jupe et je le tiens en place avec ma main. Je me retourne pour voir ce qui se passe. Il y a 5 ou 6 couples qui zoukent, et à part ça je vois une quinzaine d’hommes qui matent les danseurs. Je tourne un peu sur mon tabouret et je vois une autre banquette avec 5 ou 6 blacks qui nous regardent Marie et moi. Je retire ma main et je laisse ma jupe s’ouvrir face à eux. Je les fixe quelques secondes, le spectacle semble leur plaire. Puis je me retourne face au comptoir en me disant qu’il faut les laisser baver un peu pour qu’ils s’occupent bien de nous plus tard. Cinq minutes plus tard, Marie nous commande un troisième cocktail et demande à ce qu’il nous soit servi dans le salon.
Ce salon est beaucoup plus grand que celui de la veille. Un vaste lit couvert de coussins au fond qui va d’un mur à l’autre, une banquette en arc de demi-cercle autour d’une table basse ronde avec en son centre un saladier de verre rempli de préservatifs. Il y a aussi à proximité du lit une tablette avec dessus un gros paquet de lingettes, des petits berlingots de gel lubrifiant dans une coupe et une poubelle en dessous. Marie me propose de danser un zouk ensemble dans le petit coin prévu pour ça entre le lit et la banquette. Nous entamons notre danse, Louis nous amène les verres sur la table basse. Quelques têtes se glissent dans l’entrée pour nous regarder, puis un petit groupe rentre, certains s’installent sur la banquette la tête tournée vers nous. Deux autres nous séparent, Marie et moi, et commencent à zouker avec nous. En quelques secondes celui qui est avec moi m’embrasse longuement en frottant sa jambe contre mon ventre. Ma jupe s’ouvre et je sens sa cuisse sur mon sexe nu. Je commence à mouiller et rapidement son pantalon est taché par mon jus. Il s’en aperçoit et dit à mon oreille :
- Tu as de grosses envies, coquine, tu vas inonder la moquette.
Je lui réponds : « Continues, fais-moi monter au ciel. » Il baisse mon bustier pour dévoiler mes seins et il commence à les caresser. Je sens un second gars qui se colle derrière moi et déboutonne ma jupe, puis la jette sur le dossier de la banquette. Puis mon bustier rejoint la jupe, je m’abandonne dans leurs bras. Je regarde vers le lit pour essayer de m’en rapprocher et j’y vois Marie entourée de 4 gars. Elle est nue, les gars aussi et il y en a un qui a la tête entre ses cuisses, un autre la prend par la bouche. Cette vision m’excite encore plus. Je me sens soulevée, je vois quelques gars en train de se déshabiller, d’autres sont encore sur la banquette, puis je me retrouve allongée à côté de Marie qui gémit sous les premiers coups de boutoir. Je ne vois que ses cuisses en l’air car elle est couverte par plusieurs gars. A mon tour je suis prise par la chatte et par la bouche en même temps, et plein de mains me caressent. Je suis incapable de voir combien ils sont, et Marie à côté qui commence à hurler de bonheur. Je me retrouve à quatre pattes, empalée par celui qui est couché sous moi, des bites se succèdent dans ma bouche, je les prends une à une sans compter. L’homme sur qui je suis empalée jouit dans mon ventre en même temps que moi, je suis au paradis. Puis il se dégage et un autre se glisse à sa place en rampant entre mes cuisses. Je sens du gel couler sur mon anus et des doigts me pénétrer, je me cambre quand une bite force mon entrée la plus étroite. Je reçois une giclée en pleine bouche que j’avale avec plaisir. Je suis pris par les trois trous en même temps. Rapidement celui qui était dans mon cul en sort et je comprends qu’il a joui quand il vide sa capote sur mes fesses. Celui en dessous de moi me bourre toujours, un autre entre dans mon cul au moment où un autre se lâche dans ma bouche, puis un second. Je n’arrive plus à avaler tout et ça coule sur mon menton jusqu’entre mes seins. Je sens que ça jouit entre mes fesses et dans ma chatte, et j’ai un nouvel orgasme, le plus fort jusque-là. Je demande une pause, je suis essoufflée et j’ai soif. Je me lève et me dirige vers la banquette où s’entassent des fringues. Il y a deux gars assis, encore habillés qui essaient de m’attirer vers eux, je leur dit : « Après, dans 5 minutes » et me laissent boire tranquillement. Sur le lit je ne vois que les jambes de Marie qui sont en l’air, son corps est couvert et dans la pénombre je n’arrive pas à voir combien d’hommes sont sur elle. En tout cas vu comment elle crie de plaisir, le nombre doit lui convenir. Eliane entre dans la pièce et me demande si tout va bien, je lui dis que oui et je lui demande une bouteille d’eau qu’elle ramène une minute après. Elle me montre un placard dans le mur que je n’avais pas remarqué et elle me dit que nous avons des peignoirs dedans ainsi que des serviettes et des produits de douche. Je la remercie, lui demande où sont les douches et elle ressort en laissant le rideau ouvert. Je vois d’autres gars rentrer, mais je suis à nouveau soulevée par derrière et ramenée sur le lit. Marie se lève à son tour, elle dépose un baiser sur mes lèvres, du sperme coule de son visage sur le mien. Je suis encore plusieurs fois baisée et sodomisée, voire les deux ensemble. Je reconnais certains qui repassent sur mon corps pour la deuxième fois, ou plus, je ne sais plus. Les orgasmes s’enchaînent, les garçons se font moins nombreux et je finis par crier grâce en repoussant les derniers qui se présentent. Marie est à côté de moi, prise en levrette. Elle me voit, rampe vers moi avec son homme accroché à ses hanches qui la besogne violemment en lui claquant les fesses d’une main. Elle m’embrasse, sa langue est couverte de sperme. L’homme jouit en elle et elle repousse celui qui veut le remplacer. Elle s’allonge à mes côtés et dit aux quelques mâles qui restent : «Crachez votre foutre sur nous si vous voulez, mais plus de pénétrations». Quelques giclées nous arrosent, Marie en ramasse un peu à deux doigts qu’elle glisse dans ma bouche. Je lui nettoie les doigts avec ma langue et j’avale le liquide salé. Marie se relève sur un coude et me dit : «Plus personne !» puis elle se lève et ferme le rideau pour signifier la fin des hostilités. Je me relève à mon tour et lui dit en riant : «Pas la peine, on les a tous vidés» puis elle se jette sur moi et nous roulons enlacées sur le lit tout en nous embrassant. Nous nous levons et enfilons un peignoir, en jetant l’emballage je vois que la poubelle est pleine de lingettes, de capotes usagées et d’emballages. Je regarde le saladier sur la table, il est presque vide. Je retire et je jette mes bas qui sont en lambeaux. Heureusement j’avais prévu et j’en ai une autre paire dans mon sac.
Après une douche réparatrice, nous revenons au bar. Louis nous propose un café, que acceptons avec plaisir en attendant le taxi. La boîte est presque vide, juste un couple qui boit un café sur une banquette. La femme, une belle blonde est encore en peignoir les cheveux collés par le sperme. Son mari, un blanc bien plus âgé qu’elle, est en tenue impeccable. Nous nous regardons avec Marie, et rions à l’idée de cet homme qui a dû passer la soirée à regarder sa femme se faire baiser. Nous discutons un peu avec Louis et Eliane, ils nous remettent une carte de visite et nous les quittons en promettant de revenir chez eux lors d’une prochaine visite à Paris. Nous rentrons à l’hôtel à 4h30 du matin épuisées.
Nous dormons jusqu’à midi passé, mais nous traînons au lit 1 bonne heure en discutant de la soirée passée. Je demande à Marie :
- Vous savez combien ils étaient ?
- Aucune idée, une douzaine je pense, Peut-être plus.
- C’était super !
- Oui j’ai tellement crié que j’en ai mal à la gorge, ça t’a bien plu ?
- J’ai adoré, on revient quand vous voulez.
- On reviendra c’est sûr.
Nous passons un long moment à discuter, puis nous nous levons. Je regarde dans le miroir ma chatte dont les lèvres sont encore rouges et gonflées. J’ai très mal à l’anus et j’applique de la crème. Marie fait de même et me dit :
- On est cassées ma pauvre chérie, abstinence jusqu’à samedi.
J’éclate de rire et nous filons sous la douche, ensemble.
Le reste du séjour se passe à dépenser plein de sous, et nous rentrons le samedi en début d’après-midi.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très bon récit qui donne envie de lire la suite.

Non désolée mais je ne suis pas du Lot

Histoire Erotique
Bonjour petite coquine, très joli récit...
Ton pseudo signifierait il que tu es de notre joli département du Lot?

Maitre M

Histoire Erotique
Trop difficile à lire, il est impératif d'aérer votre texte



Texte coquin : Semaine à Paris
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