Semaine à Paris, jour 4 et épilogue

- Par l'auteur HDS BPG -
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Auteur couple.
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Récit libertin : Semaine à Paris, jour 4 et épilogue Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2022 dans la catégorie A dormir debout
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Semaine à Paris, jour 4 et épilogue
Jour 4

Clémentine avait fini par accepter la proposition de Thomas, même si elle n’était pas très fans de ne pas prévenir son amant que son mari assisterait à la scène ce matin. Mais il lui bien précisé que ce genre de jeux ne doit pas être à discrétion de son amant, mais qu’il n’est qu’un « sextoy » dans leur couple. Donc Thomas se tenait juste derrière le couple illégitime. L’inconnu ne se doutant de rien, entraîna Clémentine dans la rame. Thomas se plaça derrière lui de manière à pouvoir regarder sa femme dans les yeux. Clémentine masturba son amant tout en regardant son mari par-dessus l’épaule carrée de l’athlète. Ce dernier jouait avec la télécommande de l’œuf. Il réussit à la faire jouir juste avant la fin de son trajet. Elle descendit de la rame, et Thomas aussi, quelques pas derrière elle. Une fois le métro parti, ils se retrouvèrent pour échanger sur leur expérience. Thomas avait été très excité de la voir ainsi. Même s’il n’avait pas vu en détail, il savait ce que sa femme faisait à son amant. Il lui demanda si elle serait d’accord pour qu’il participe ce soir. Clémentine demanda le temps de la réflexion.
C’est en milieu d’après-midi qu’elle décida d’accepter la proposition de Thomas. Elle contacta son inconnu, mais pas en mode masqué ce coup-ci. Pendant la pause elle fila dans les toilettes pour se prendre en photo, dénudée. Elle s’était dit que la nouvelle passerait mieux comme ça. Et puis elle avait envie de s’exhiber de toute façon ! Elle défit son chemisier, et baissa sa jupe pour dévoiler son bustier et le porte-jarretelle.
- « Bonjour beau mâle, est-ce que ma lingerie vous plaît ? »- « Bonjour belle inconnue sexy, je suis ravi que vous vous dévoiliez un peu plus chaque jour.
Et oui vous lingerie est ravissante, et celle qui l’occupe aussi. J’ai hâte d’être tout à l’heure pour vous sentir contre moi encore. »- « Je dois vous informer que mon mari, qui suit nos aventures depuis le début, souhaiterait participer ce soir. Vous ne l’avez peut-être pas remarqué, mais il était présent ce matin dans le métro. »- « Mme, tant que je peux sentir votre corps contre le mien, je me plierai à tous vos désirs.
Et sachez que la présence, et l’implication, de votre mari ne me gêne pas du tout, bien au contraire. »Pour conclure la conversation, elle se prit de nouveau en photo, en pointant ses fesses pour lui montrer ses courbes généreuses. La réponse ne se fit pas attendre très longtemps : une photo de lui, enfin surtout de sa bosse sous la braguette.
Clémentine retrouva son amant sur le quai. Thomas était resté un peu en arrière et les regardait s’engouffrer dans la rame. Ils les suivaient de près de manière à ce que personne ne puisse s’interposer. L’inconnu se dirigea vers le fond de la rame, et thomas se mis en face de lui, et lui tendit la télécommande. Clémentine se glissa entre ses deux mâles, face à la cloison, offrant un profil chacun d’eux. Les hommes se tinrent à la barre au plafond, relevant ainsi les pans de leur manteau, qui cachaient presque entièrement Clémentine. Thomas ouvrit le chemisier de sa femme pour exhiber sa poitrine. Puis il descendit sa main sous la jupe. Il commençait à la caresser et sentit que l’œuf vibrait déjà. Clémentine caressa de la même manière les deux verges gonflées et comprimées par les pantalons. Elle mit un peu de temps à les sortir toutes les deux, mais elle les avait enfin en main à la troisième et avant dernière station. Elle masturba au même rythme son mari et son amant. Ce dernier avait délaissé la télécommande sur la position trois pour caresser les seins de Clémentine. Thomas masturbait énergiquement le clitoris de Clémentine. Elle ne réussit pas à jouir. Trop de tout certainement. Mais l’expérience fût démentielle. Elle était tellement excitée qu’elle ne voulait qu’une chose : rentrer à l’hôtel. Sir le chemin, elle aborda un sujet qui devrait ravir Thomas :- « J’ai envie de le rencontrer en dehors du métro mais j’ai un peu peur du contexte dans lequel ça pourrait avoir lieu. »- « A la chambre d’hôtel ! C’est le plus simple. »- « Non parce que nous n’aurions aucune possibilité de sortie si ça se passe mal. Alors que là, c’est toujours écourté par la fin de mon trajet. Mais toujours très limité en pratique sexuelle.»- « Excuse-moi, mais d’après ce que j’ai vu, c’est déjà pas mal ce que vous faites. Et je n’aurai jamais cru qu’on pourrait être aussi libre d’agir dans une foule. Les parisiens sont tellement fermés, qu’ils ne voient rien. »- « Sinon au restaurant, comme ça je pourrais lui faire ce que je t’avais fait avant-hier soir ! »- « ok. Tu n’as qu’à lui demander s’il connait un restaurant sympa pour ce genre de ‘’repas’’.
Il doit bien en connaitre un ou deux. Mais pendant que tu textotes avec lui, j’aimerai bien te prendre en levrette. »- « Alors vu mon état d’excitation, tu me prends comme tu veux mais tu me défonces ! »- « ça me va ! Tu retireras juste ton chemisier et ta jupe. » A peine entrés dans la chambre que les vêtements de Thomas volèrent dans la chambre.
Clémentine n’eut même pas le temps de retirer son chemisier qu’il fût déjà nu, la queue à la main.
Elle se mit à quatre pettes, offrant ses hanches à son mari, et tapa le message suivant :- « Bonjour bel inconnu, j’aimerai beaucoup que l’on se voit, tous les trois, ce soir dans un restaurant. Connaîtriez-vous un établissement qui nous permettrait de profiter l’un de l’autre, dans des conditions similaires à nos trajets quotidiens ? »- « Bonjour belle inconnue, j’en connais un qui offre la possibilité de s’isoler, visuellement, du reste de la salle. Il est tenu par un patron de club libertin qui se trouve juste à côté. Je peux faire une réservation pour 20h. »- « ok pour le restaurant seulement. »- « D’accord. Au fait, il me semble que vous n’avez pas joui ce soir. Est-ce que cela ne vous a pas manqué ? »- « Mon mari est justement en train de s’en occuper. » Et elle joignit une photo d’ensemble d’elle en train de se faire prendre par Thomas.
- « Quel chanceux. » Et il joignit une photo de son pantalon bien tendu au niveau de l’entrejambe.
- « Sortez-la et soulagez la ! »- « J’aurai préféré que vous vous en occupiez. Mais souhaitez-vous me voir le faire ? » Thomas se pencha sur sa femme et lui proposa de l’appeler en visio. Clémentine hésita, puis cala le téléphone sur les oreillers et lança l’appel. Le cadrage était parfait. On voyait sa poitrine danser au rythme des à-coups de Thomas. L’inconnu décrocha, il était allongé sur son lit, nu, les muscles parfaitement dessinés, la main sur sexe qu’il masturbait doucement. Clémentine fût terriblement excitée par lui, la situation, la frustration du métro, l’émerveillement dans le regard de son amant quand il a découvert dans quelle position elle était. Il se mit à se masturber nettement plus rapidement. Elle jouit rapidement, et Thomas pris le téléphone tout en continuant de filmer. Il tourna autour d’elle, ses seins, ses hanches, ses fesses qui l’accueillent. Il en fit profiter pleinement l’amant de sa femme qui ne tarda pas à jouir aussi.
- « si cela ne vous dérange pas, j’aimerai finir seul avec ma femme. »- « Ho mais vous avez été d’une générosité sans précédent avec moi. Je ne peux qu’accepter vos demandes. On se voit tout à l’heure. »- « A tout à l’heure. »Il raccrocha, et invita sa femme à prendre une douche. Enfin… une douche, c’est vite dit après ce qu’il venait de se passer. Clémentine fût entreprise sans cesse par Thomas. Son corps était à l’abandon entre les mains de son mari. Elle le laissait faire ce qu’il voulait ou faisait ce qu’il lui ordonnait. Il avait vite compris qu’elle était totalement soumise à lui et il en profita à souhait.
La douche ayant été longue, il n’y avait plus de temps aux coquineries. Ils se préparèrent.
Thomas enfila une chemise et un jean, sans caleçon, pour que Clémentine puisse le caresser facilement. Et elle choisit un ensemble bustier/bas recouvert d’une blouse qui s’ouvre facilement et qui est courte. Le décolleté est bien plongeant. Elle enfile une paire d’escarpins, et pris pour que le restaurant ne soit pas loin.
Ils arrivèrent frigorifiés au restaurant. L’inconnu se leva immédiatement quand il vit Clémentine. De toute évidence, il était impatient de la voir et sans caleçon aussi. Clémentine s’approcha de lui et glissa sa main sur sa bosse et l’embrassa furtivement sur la bouche. Thomas suivait esilence en observant sa femme avec amusement. Ils s’installèrent dans une alcôve au fond de la salle. Certes, c’était discret mais totalement isolé. Clémentine s’assit à coté de Thomas sur une banquette et en face de l’inconnu. Le serveur arriva de suite avec une bouteille de champagne et trois flûtes.
- « J’ai pris la liberté de commander du champagne, ainsi que le repas. Cela ne vous dérange pas ? »
- « C’est parfait, comme toujours avec vous ! » Gloussa Clémentine.
Le serveur remplit les coupes, puis les quitta.
- « En effet, c’est discret. On va pouvoir s’amuser. » Clémentine ajoutant le geste à la parole, avait plongé sa main entre les cuisses de Thomas. Et il voyait bien qu’elle avait déjà commencé à faire du pied à son amant.
- « J’allais oublier : Tenez, voilà sa télécommande. »L’inconnu reconnut la télécommande et la pris délicatement. Comme si c’était un objet précieux et fragile. Et puis il l’alluma sur la puissance une. Clémentine remonta son pied le long de la jambe musclée de son amant, et vint chercher cette bosse qui l'attirait tant. Et elle reprit le double massage de verges gonflées.
- « Alors ma croquette, ça te fait quoi d’avoir deux verges à ta disposition ? »- « J’ai vraiment l’impression d’être une grosse salope. Et le pire, c’est que ça m’excite. Mais je ne sais pas jusqu’où j’aurai envie d’aller. »- « Ne vous inquiétez pas pour ça, vous êtes accompagnée de gentleman. » Et il en profita pour augmenter la puissance encore d’un cran. Clémentine se tortilla un peu sur elle. Le serveur arriva avec les plats. Une farandole de petits plats à partager. Des mets que le couple n’avait jamais vus.

- « Je me suis dit que des plats à partager seraient dans le thème de nôtre rencontre. »- « Vous avez bien fait, mais je tiens à préciser qu’il n’y a que ma femme à partager. »- « Douce précision, cela évite de malencontreux désagréments. »- « Ha les hommes ! Toujours promptes à voir les femmes entre elles, mais dès qu’il s’agit de jouer entre vous, il n’y a plus personne. »- « Mais c’est parce que vos charmes nous suffisent ! » En disant cela, l’inconnu se leva et tira un rideau que ni Thomas ni Clémentine n’avait remarqué en s’installant. En un geste, ils étaient coupés du reste de la salle. Les yeux de Clémentine s’illuminèrent :- « Messieurs, sortez les ! Je veux sentir leur contact. » Thomas se retourna brusquement vers sa femme et la dévisagea avec un mélange de surprise et de satisfaction. Il s’exécuta sans demander son reste. Mais l’inconnu resta debout, s’approcha de Clémentine et attendit qu’elle s’en occupe. Elle caressa doucement mais fermement la verge à travers le pantalon. Puis elle ouvrit sa braguette, et glissa sa main dans le pantalon. Elle caressa cette magnifique verge, bien grosse, bien gonflée. Elle la sortit délicatement, et continua à la caresser sans masturbation. Juste de délicates caresses.
- « Retournez-vous asseoir avant que je décide qu’elle fasse partie de mon menu. »- « Mais cela ne m’aurait pas dérangé. »- « Comme c’est surprenant ! » répondit-elle en souriant malicieusement.
L’inconnu retourna s’asseoir à sa place, et Clémentine reprit ses caresses avec ses pieds tout en continuant à masturber son mari. Thomas profita de l’excitation intense de sa femme pour déboutonner sa blouse. Il fit glisser les pans sur son corps pour le dévoiler à l’inconnu. Il prit soin de regarder chaque courbure de son corps, chaque détail. Il monta la puissance de l’œuf. La dernière avant que ça devienne audible. Clémentine se crispa sous la stimulation de son sextoy. Et Thomas plongea sa main entre ses cuisses pour venir masser le clitoris. Elle jouit ainsi, à table, ses pieds tenant une verge d’un inconnu, elle à moitié nue, la verge de son mari dans sa main, son clitoris très sollicité, sous le rythme de son œuf. Et tout ça, entouré d’une vingtaine de clients de l’autre côté du rideau.
Clémentine décida de retirer son œuf. Elle n’en pouvait plus d’être assaillie de la sorte.
Elle voulut se rhabiller quand son inconnu l’interrompit dans son élan : « Sachez que la clientèle de ce restaurant est quasi exclusivement composé de clients du club attenant dont je vous avais parlé. »Clémentine suspendit son rhabillage.
- « Et donc ? »- « Et bien vous pouvez parfaitement vous rendre aux toilettes avec votre robe ouverte. C’est tout à fait dans le thème du restaurant. Et les habitués se sont certainement imaginés bien plus que ce qui s’est passé entre nous. Mais avant, je vais vérifier que ce ne soit bien que des habitués. »- « Hmmm, mais dis-moi ma croquette, es-tu prête pour une session d’exhib’ en live ? » - « C’est la question que je me pose justement. Je n’ai pas tellement fait attention aux autres clients quand je suis rentrée dans le restaurant. »- « Pour ce que j’ai vu avant qu’on tire le rideau, c’était du 30/50 ans en couple, bien sapé. »L’inconnu appuya sur un bouton que le rideau cachait quand il était replié. Un serveur arrivé promptement. Clémentine avait toujours sa blouse entre-ouverte. Elle croisa rapidement les pans pour cacher sa tenue sexy.
- « Dites-moi Monsieur, est-ce que la clientèle est exclusivement composée d’habitués au club ? »- « Oui, Monsieur, exclusivement, à part vos amis. »- « Merci, vous pouvez débarrasser. » il se tourna de nouveau vers Clémentine : « Vous pouvez donc sortir avec votre blouse grande ouverte. »- « ça me paraît un peu plus que je ne me sent capable de faire. »- « Alors rabattez les pans de votre blouse, sans les superposer, et maintenez les seulement avec la ceinture. »Clémentine se laissa guider par son amant, sous le regard excité de son mari. Elle ajusta la robe selon les suggestions de son amant. Elle se retrouva avec un décolleté qui s’arrêtait sur la ceinture, et la partie jupe qui est fendue jusqu’à la ceinture…. Niveau décence, on repassera.
Mais ça ne montrait pas trop son corps. Elle prit son courage à deux mains et se leva, prête à affronter la salle, pour le plaisir de son amant, de son mari mais surtout pour le plaisir de relever le défi et de s’exciter à le faire.
Le serveur gratifia clémentine d’un regard rassurant, mais aussi mateur un peu. Il ouvrit les rideaux et passa devant. Tous les regards de la salle se dirigèrent vers eux pour voir s’ils avaient bien deviné ce qui s’y était passé. Mais clémentine traversa le restaurant dans sa tenue indécente, d’un pas sûr (alors qu’elle ne l’était pas du tout), la tête haute sans penser un seul instant qu’elle devrait sortir des toilettes avec l’œuf à la main car elle n’avait pas pris son sac.

La clientèle avait de toute évidence pas eu besoin de l’intimité du rideau pour s’amuser aussi. Ce n’était quasiment que des tables de couples, et pourtant on ne voyait jamais le bon nombre de pieds sous les tables. Il en manquait toujours un ou deux dont il n’était difficile d’imaginer ou il se trouvait. Thomas suspecta un homme de se masturber dans une chaussure de sa compagne. Une cliente n’était de toute évidence pas passé sous la table pour ramasser sa serviette, ou alors elle avait vraiment du mal à la trouver.
-« En fait, je me demande à quoi servent les rideaux si tout le monde faisait plus ou moins la même chose que nous ! »-« A préserver votre pudeur ! C’est la table des débutants. Je me suis dit que ce serait un décor parfait pour notre, comme pourrais-je dire ? L’évolution de notre relation. »-« De toute évidence, vous êtes un habitué de ce milieu. Il serait préférable de ne pas trop s’étendre sur le sujet auprès de.. Madame. Ça pourrait la refreiner dans son élan. »-« Ho mais votre femme est un ode à la sensualité. Je m’en voudrais de refreiner. D’ailleurs, avez-vous une petite idée de ce qu’elle aimerait pour poursuivre la soirée ? » Thomas regarda la porte capitonnée au fond de la salle, qui de toute évidence amenait au club. Lui, il savait exactement où il voulait que la soirée se finisse. Mais ce serait certainement pousser le bouchon trop loin. Il faudra la jouer fine, même pour voir.
Clémentine sortit des toilettes, l’œuf à la main, à peine caché. Perdue pour perdue, autant assumer jusqu’au bout. Elle traversa la salle sous les regards curieux et excités. Elle rangea son jouet dans son sac, et alla pour s’asseoir. Thomas se leva et l’attrapa par le bras :-« Attends, tu n’es pas tout à fait raccord avec le reste de la clientèle. »Elle avait traversé la salle deux fois, et les deux fois elle avait le regard porté loin devant pour faire croire qu’elle assumait pleinement ce qu’elle faisait. Elle prit soudain conscience qu’à part les serveuses, elle était la plus habillée de toutes les femmes. Ou de moins, la moins déshabillée. Thomas se la prit par les hanches, et lui retira sa ceinture : « fais-moi confiance.
Ça n’ira pas loin. » Il écarta les pans de sa blouse et les passa dans son dos, en veillant à ce qu’ils contournent parfaitement ses seins. Il noua la ceinture autour des pans. Il avait transformé sa blouse en sorte de boléro. Les clients regardèrent la scène avec amusement. Certains levèrent leur verre pour trinquer ou à l’idée de Thomas ou au résultat obtenu. Quoiqu’il arrive, Clémentine attisa les convoitises.
-« Alors Messieurs, quel programme avez-vous décidé ? »-« Celui que tu veux qu’on fasse. »-« J’ai envie d’aller à l’hôtel maintenant, tous les trois. »
EPILOGUE

Les règles avaient été parfaitement comprises par son amant : pas de coït ni d’attouchements sexuels. Hormis ça, il pouvait la toucher, la caresser, se frotter sur elle comme il faisait dans le métro. Elle voulait juste vivre l’aboutissement de cette relation. Elle voulait le sentir jouir sur elle et toujours avec le strict minimum de paroles. Ils rentrèrent donc tous les deux à l’hôtel pendant que son amant alla chercher une nouvelle bouteille de champagne dans une épicerie de nuit.
C’était une excuse qu’elle avait trouvée pour passer quelques instants pour se préparer.
L’inconnu frappa à la porte de la chambre. Elle attendait avec impatience son arrivée.
Thomas lui ouvrit la porte et le débarrassa de sa veste et du champagne. Il entra dans la chambre et découvrit Clémentine : les yeux bandés, les mains menottées, s’accrochant au dormant de la porte de la salle de bain. Elle ne portait plus que des bas, chaussée de cuissardes et une minijupe ultra courte qui devait à peine être plus large qu’une grosse ceinture. Thomas fit comprendre à l’inconnu qu’il souhaitait filmer la scène et lui proposa un masque de type vénitien pour préserver son anonymat. Il l’enfila, et laissa le mari à son plaisir candauliste. L’inconnu s’approcha de Clémentine et laissa filer ses doigts sur son ventre, puis sur sa taille. Il remonta le long de son dos, ce qui la fit frissonner. Agrippée au dormant de la porte, elle se dandina sous les effets des effleurements de son amant. Thomas les laissa volontairement s’amuser entre eux. Il filmait, tout en sirotant une coupe de champagne. Parfois il se fumait un pétard. Pendant 4 jours, ces deux-là n’avaient pas pu s’amuser plus que le temps de faire les 4 stations de métro. Maintenant ils profitaient et allaient tout doucement. Enfin surtout l’amant, car Clémentine voulait restée suspendue, offerte à ses caresses. Il se collait contre elle, pour ressentir son corps dénudé contre lui. Il se retirait un vêtement, puis reprenait les caresses, tout en respectant scrupuleusement les règles éditées. Elle fondait sur place. Elle n’avait qu’une hâte c’était d’en recevoir beaucoup plus. Si dans le métro, tout était toujours très rapide, très intense de par la précipitation, là, c’est tout l’inverse. Clémentine était sans cesse frustrée de ne pas en vivre plus. Elle tentait désespérément de garder le contact avec lui en dandinant ses fesses sur sa verge encore habillée. Et lui s’amusait de ça pour lui donner qu’à toute petite dose, de nouvelles excitations. Au bout d’une demi-heure il était toujours torse nu, et il ne faisait que caresser son buste et l’embrasser sur les épaules ou le cou. Et puis, visiblement, lui aussi commençait à en vouloir plus. Il se déshabilla, et se colla contre elle, ses mains entre ses cuisses pour les écarter, et son sexe bien calé entre ses fesses. Thomas commençait lui aussi à en vouloir plus. Il se déshabilla aussi et s’approcha de sa femme, la queue à la main.
Il glissa son sexe sur le pubis de sa femme puis entre ses lèvres pour lui caresser son clitoris.
Les règles ne concernaient que l’amant, pas le mari. Donc il pouvait lui faire ce qu’il voulait.
Les hommes tournèrent autour d’elle, complètement offerte, sans trop savoir qui lui faisait quoi, ce qui ne faisait qu’augmenter l’excitation. Elle finit par reconnaitre son mari quand elle sentit une verge cherchant à la pénétrer. Elle se cambra, et s’offrit à lui. Son amant, en face d’elle, lui prit les menottes et les positionna sur autour de son cou. Elle se retrouva plaquée sur son amant tout en se faisant pénétrer par son mari par derrière. Elle susurra à l’inconnu qu’il était qu’il jouisse sur elle. Thomas glissa sa main sur le clitoris et s’attaqua à la tâche de faire jouir sa femme une énième fois. Ce qui provoqua l’orgasme de l’inconnu, qui éclaboussa le ventre et les seins de Clémentine. Il essuya son sexe dégoulinant sur les seins offerts. Cet acte, en soi qui pourrait être considéré comme abject, déclencha l’orgasme de Clémentine. Elle se colla à son amant, et tout en le câlinant, et son mari continuait à la pénétrer doucement.
-« Je crois que j’ai besoin d’une bonne douche. »

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