SEMAINE DE REUNIONS Chapitre 2
Récit érotique écrit par Chatonjoli [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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SEMAINE DE REUNIONS Chapitre 2
CHAPITRE 2
Odile sortit et se dirigea vers les ascenseurs. La porte s’ouvrit et elle s’engouffra dans la cage. Trois hommes s’y trouvaient déjà et durant la descente, elle sentit la chaleur de leurs regards qui la détaillaient. L’un d’eux, un bel homme aux cheveux d’un blanc immaculé lui adressa un charmant sourire et lui frôla le bras en passant devant elle lorsqu’il sortit au deuxième étage. Elle se sentit étrangement électrisée par ce court contact avec cet inconnu, qui, remarqua-t-elle alors, portait ses cheveux nattés.
Arrivée au rez-de-chaussée, elle partit faire le tour des boutiques, mais son esprit était toujours occupé par cette rencontre qui lui procurait des sensations pour le moins troublantes.
Elle craqua pour cette jolie pochette qui l’avait séduite précédemment. Dans une boutique voisine, elle acheta un fin bracelet d’argent qu’elle accrocha aussitôt à son poignet, rejoignant ainsi ceux qu’elle portait déjà.
Il lui restait une demie heure de libre aussi s’installa-t-elle au bar de l’hôtel et commanda un thé à la menthe pour patienter. Elle en profita pour lire et répondre à quelques sms.
Le bar commençait à se remplir car de nombreuses personnes attendaient comme elle l’ouverture de la séance. Elle reconnut plusieurs chercheurs qui vinrent la saluer. Elle les invita à s’assoir à sa table car la petite salle était maintenant comble.
On vint les informer qu’ils pouvaient maintenant se rendre dans l’hémicycle où leur seraient donc présenté les maîtres de conférences ainsi que les différents thèmes et horaires des débats de la semaine.
Odile nota la présence de pas mal de visages connus, elle fut ravie à l’idée de discuter avec eux pendant le cocktail. Elle consigna dans son agenda électronique les heures des réunions qui la concernaient et constata qu’elle aurait pas mal de périodes libres pour s’octroyer quelques loisirs.
A l’issue de la présentation, un maitre d’hôtel les invita à se diriger vers la salle où se tenait la réception.
Là de petits groupes se formèrent selon les affinités. Elle navigua de l’un à l’autre pour saluer tel ou telle .chimiste, non sans remarquer que de nombreux mâles la suivaient du regard. Elle constata il n’y avait que peu de représentantes féminines, et critique, elle admit qu’elle était de loin la plus sexy.
Une voix au fort accent américain la héla. Se retournant, elle reconnu Axel, un ingénieur de sa boite, mais de l’agence de New-York. Il arriva à grandes enjambées jusqu’à elle et lui plaqua deux bises sonores sur chaque joue.
-Odiiiiiile !! Comme je suis heureux de te revoir. Kevin m’a prévenu que se serait toi qui te collerais au colloque. Dit-il en riant. Ca faisait un bail que nous ne nous étions plus vus !!
-Oh oui, trois ans au moins !! Je suis vraiment ravie moi aussi, Axel.
-Viens, je vais te présenter à des potes super cools !!
-Hey les gars !! Je vous présente la plus jolie chimiste que je connaisse : Odile, de l’agence de Bordeaux.
Toutes les mains se tendirent, qu’elle sera tour à tour en échangeant quelques mots avec chacun. Puis, Axel la faisant pivoter sur se talons en la prenant par les hanches, elle se retrouva face à face avec l’inconnu de l’ascenseur. Son émoi réapparut immédiatement. Elle se sentait hypnotisé par le regard inquisiteur mais pourtant bienveillant de cet homme.
-Fabrice, voici Odile dont je t’ai tant parlé !! Odile, je te présente Fabrice, avec qui je bosse de temps à autres !!!
Alors qu’elle lui tendait la main pour le saluer, celui-ci lui fit un baisemain qu’elle estima beaucoup plus troublant que désuet.
Dans ce petit groupe, les conversations démarrèrent au quart de tour, sur bien des sujets, la plupart n’ayant rien à voir avec les énergies nouvelles. Odile était régulièrement approvisionnée en coupe de champagne rosé et amuse-bouche aussi variés que goûteux.
La bonne humeur était omniprésente, et Fabrice, qui était resté à ses côtés possédait un humour sensationnel auquel elle répondait du tac au tac. Leurs joutes verbales engendrèrent pas mal de fous rires qui firent souvent se retourner les têtes dans leur direction.
Elle ne vit pas le temps passer, pas plus que le nombre de verres de champagne car elle ressentait maintenant une légère ivresse.
.-Oh, je crois que je vais regagner ma chambre !! Je pense que j’ai un peu abusé de ce délicieux breuvage. Confia-t-elle à Fabrice, en déposant la coupe encore pleine qu’elle tenait à la main. Et se faisant, elle vacilla imperceptiblement, mais son compagnon le remarqua néanmoins.
-Oui, cela me semble très raisonnable Odile !! lui répondit-il en souriant. Je vais vous raccompagner, je préfère.
-Merci, mais c’est juste un petit étourdissement. Deux coupes de kir ne vont pas m’empêcher de regagner ma chambre tout de même !! fit-il mutine.
-Je dirai plutôt 4 !!fit-il dans un grand éclat de rire
-Quatre ???
-Et sans compter celui que vous venait d’abandonner.
-Oh là là !!
Fabrice lui enserra délicatement la taille pour la conduire à travers les longs couloirs jusqu’aux ascenseurs où de nombreux participants attendaient déjà.
-Vu tous les hommes que vous avez fait fantasmer ce soir, je ne voudrais pas que certains abusent de votre griserie dans un coin sombre d’un couloir !! fit-il d’un ton badin.
-Ooooooooooh !! fit-elle avec une moue amusée. Qui me dit que ce n’est pas vous le plus dangereux des prédateurs ? demanda-t-elle d’un ton énigmatique.
Le regard qu’ils échangèrent fut chargé d’électricité. Un magnétisme puissant les attirait irrémédiablement l’un vers l’autre et l’issue de la soirée ne faisait plus aucun doute dans leur esprit.
Entrant enfin dans l’ascenseur, il l’amena jusqu’au fond de la cabine, se plaçant dans son dos. La maintenant toujours par la taille il se plaqua plus que nécessaire contre son corps. Son autre main remonta lentement sur son bras, atteignit l’épaule qu’elle pressa doucement, puis glissa jusque dans son cou où les doigts caressèrent sensuellement le velouté de la peau fine.
Fabrice la sentit frémir imperceptiblement sous ses légers attouchements. Et sa sensuelle réceptivité lui fut confirmée lorsque, pressant son ventre contre les fesses de la belle, elle se raidit en renversant sensiblement sa tête en arrière contre son épaule.
-Tu es à quel étage ? fit-il en passant librement au tutoiement.
-6ème, chambre 669 ! répondit-elle dans un souffle.
-huuuum 69, quelle délicieuse invite !!Lui asséna-t-il en laissant ses lèvres frôler sa nuque. Et il ressentit l’accélération des battements de son cœur contre son torse.
Au 5ème, la plupart des personnes étaient sorties. Il ne restait que deux couples en plus d’eux deux.
Quand la porte s’ouvrit à leur étage, il la retint.
-Attends !!
Les autres passagers descendirent sans leur accorder d’attention. Il laissa la porte se refermer sur eux. A ce moment là il sortit une clef de sa poche qu’il introduisit dans une serrure sous le tableau de commande.
-Que fais-tu ? demanda-t-elle étonnée.
-Je bloque les portes. Te voilà ma prisonnière !!Fit-il en souriant. Et il pianota au hasard sur les touches du tableau.
-Nous avons cette cabine pour nous maintenant.
Il la colla contre le fond de l’originale prison. Ses mains sur ses hanches qu’il pressait délicatement, ses yeux rivés aux grands iris verts, il vint goûter ses lèvres du bout des siennes. Leurs baisers restaient furtifs, comme timides, mais se n’était que pour faire reculer l’instant d’intense plaisir où leurs bouches se fonderaient dans un baiser profond. Ils jouèrent de leurs nerfs quelques minutes, se butinant, se picorant, puis Odile pointa le bout de sa langue et se fut le signal de la curée. Ils s’enlacèrent fermement, leur deux corps vibrants d’envies païennes, leurs deux langues virevoltaient, s’enroulaient, se fouettaient.
Ils durent se séparer pour reprendre leur souffle. Leurs baisers se firent plus calmes mais tout aussi intenses. Odile lui caressait la nuque de ses deux mains, alors que les siennes palpaient maintenant tout le corps de sa conquête. Elles vinrent se poser sous sa poitrine, puis remontèrent sur le galbe des seins durcis par le désir. Il les sentait palpiter sous ses paumes alors que du bout des doigts ils effleuraient la peau offerte du décolleté. Les doigts de la belle remontaient sur son crâne, lui transperçant tout le corps de délectables décharges électriques. Elle s’abandonnait totalement à son emprise. Il tira sur le tissu de l’encolure de la robe et du soutien-gorge pour venir happer un téton arrogant qui se tendit encore davantage entre ses lèvres.
Et pendant que la cabine continuait ses allers-retours dans les étages, les mains de Fabrice suivaient le même rythme sur le corps d’Odile qui ne se privait pas non plus de découvrir la musculature ferme des fesses de son agresseur.
Celui-ci se mit à genoux devant elle, sa bouche se trouvait ainsi à la hauteur de la féminité qui savait parfaitement enfiévrée. Les effluves suaves d’une chatte en chaleur flottaient dans l’air.
Toujours dos contre le miroir, Odile se cramponna à la barre de maintien qui faisait le tour de leur habitacle. Elle tendit son ventre alors que Fabrice, agrippé, lui à son popotin, embrassait son pubis avec ferveur. Par-dessus les tissus. Puis elle sentit qu’il relevait sa jupe, centimètre par centimètre et bientôt, pelotant alors la peau libre entre les bas et la culotte, il happait les poils de sa toison à travers la soie.
Levant un instant les yeux vers sa proie, il constata qu’elle ne perdait rien du spectacle. Et au même instant elle lui asséna :
- Ouiiiiiiiiiii, bouffe-moi la chatte !! Qui eut l’effet d’un coup de fouet sur lui. Il se rua alors sur la faille humide pour la parcourir de ses lèvres tout d’abord, puis du plat de la langue. Elle posa alors une jambe sur son épaule pour la lui offrir intégralement. Le tissu flottant s’écartait avec facilité, et sa langue touchait tour à tour la soie ou la chair, la faisant ronronner chaque fois davantage. Il poussa l’audace à lui planter toute la langue dans la foune. Elle le gratifia d’un « Ooooooooooooooooooh ouiiiiiiiiiiiiiii continuuuuuuuuuuuue !!! »
Cette belle cochonne adorait manifestement les cunnis. Ne cessant pas de mordiller, fouetter, titiller le gourmand clito, il triturait hardiment son cul. Il poussa son avantage encore plus, en laissant filer un doigt entre ses fesses, jusqu’à l’immobiliser sur la petite étoile brune.
Mais il sentit un léger raidissement, aussi supposa-t-il qu’elle n’était pas une adepte de cette pratique, ou bien qu’elle n’y avait encore jamais gouté. Il n’insista pas. Il aurait tout le temps de revenir la tester.
Aussi son majeur frustré glissa jusque sur les grandes lèvres moites et se fraya sans mal un passage au fond de l’antre inondé. Un « ouuuuuuuuuuuuuuuuuuui » retentissant accompagna sa jouissance, et elle avait plaquait une de ses mains sur sa tête, se frottait la minouche sur sa bouche.
-Ouiiiiiiiii encooooooooooore, ne me lâche pas !!! Et un autre cri jaillit. Il la regarda, sans pour autant stopper la folle course de sa muqueuse sur sa fente. Il vit le trouble de ses yeux et devina qu’elle en voulait encore.
-Je continue ?
- Ouiiiiiiiiii, broute-moi !!! Fourre-moi ta langue !! Il s’exécuta pour leur plus grand plaisir. Il aimait les femmes libérées et celle-ci semblait être une bonne baiseuse.
Le troisième orgasme la fit tremblait sur se jambes, aussi, il libéra son épaule de la jambe posée dessus, se redressa et embrassa tendrement Odile, pendant qu’elle reprenait son souffle.
Alors qu’il s’apprêtait à réintroduire la clé pour déverrouiller la porte, elle immobilisa son bras.
-Non, pas encore !! fit-elle espiègle. Et sans rien ajouté, elle l’adossa contre une paroi latérale et enroulant sa langue à la sienne, elle s’attaqua à la braguette de son pantalon. Celui-ci tomba au sol. Elle déboutonna sa chemise, écarta les pans. Et à son tour, elle s’agenouilla lentement, tout en laissant folâtrer ses lèvres sur le torse de l’homme. Elle lécha les petits tétins, les aspira, puis sa langue parcouru le ventre de nombreuses arabesque. Arrivée à la hauteur de la belle protubérance, elle recula sa tête, et palpa d’une main experte la raideur prometteuse.
Elle releva son visage, et le fixant effrontément, elle donna un coup de langue sur le bourgeon caché, puis partant de son entrecuisse, elle remonta langoureusement, appliquant le plat de sa langue tout le long de sa hampe, et fouettant fermement au niveau de son gland.
-Tu veux me sucer cochonne ? fit-il la voix rauque.
-huuuuuuuuum !! fut sa seule réponse, mais ses yeux parlaient pour elle.
-Alors, vas-y, tête-moi !!
Alors le boxer rejoint vite le pantalon, libérant un phallus turgescent qu’elle empoigna à pleine main. Elle le lécha sur toute sa longueur sans oublier les deux bourses gonflées à bloc. Elle laissa tournoyer la pointe rose de sa langue autour du renflement du champignon violacé, puis d’un coup, le goba de ses lèvres brûlantes.
Fabrice lui aussi se laissait captiver par la vision de cette jolie bouche se démenant sur son pieu. Il savourait aussi la vision qu’il avait de sa suceuse, dans le miroir de la cabine.
-Putain, que tu suces bien !!! fit-il alors qu’elle débutait un pompage de tous les diable, l’avalant jusqu’aux burnes, qu’elle pétrissait avec art.
-Oui, ma poupée, pompe ma bite !! Oooooh quelle bonne pipeuse tu es !!
Et elle poursuivait son diabolique ballet, lâchant parfois sa queue, pour venir lui aspirer les couilles entre ses lèvres, et repartant de plus belle à la conquête de son mandrin palpitant. Il sentait monter sa sève sous l’étau expert de cette jolie salope.
Mais la coquine dut le sentir, car elle libéra sa pine pour la branler d’une main.. Il supposa qu’elle n’envisageait pas de se faire crémer. Mais elle le regarda d’un air taquin.
-Elle est bonne ta queue !! Et enfourna tout l’engin au fond de sa gorge avant de le branler de nouveau de ses lèvres avides. Ses bruits de succion l’allumer au plus haut point. Il était au bord de l’éjaculation, et il savait qu’elle s’en rendait parfaitement compte.
Elle raffermit sa pression sur sa trique et sentit la première perle de sperme contre son palais.
Jusque là passif, l’homme lui saisit la tête de ses deux mains pour lui baiser maintenant convulsivement la bouche, et dans un rugissement rageur, lui expédia un geyser de foutre entre les lèvres.
-Ooooooooooooooh !! Quelle piiiiiiiiiiiiipe !!!! fit-il alors qu’elle s’appliquait consciencieusement à le vidanger, ne l’ayant pas libérer du cercle de ses lèvres.
Elle le garda ainsi en bouche jusqu’à ce que son sexe se recroqueville. Il l’aida à se relever, l’enlaça et leur baiser se fit plein de tendresse.
Il déverrouilla enfin la porte. Ils remirent de l’ordre dans leurs tenues avant de sortir dans le couloir du 6ème étage. Il n’y avait âme qui vive, aussi il la ceintura de ses bras et c’est en se roulant un long patin, qu’il la mena à sa chambre. Il dût la libérer pour qu’elle puisse prendre sa carte magnétique au fond de sa pochette. Mais il s’était collé contre son dos, lui pelotant les seins de plus belle.
Vous voulez encore plus torride??? Alors guettez le prochain chapitre!!....A bientôt.
Odile sortit et se dirigea vers les ascenseurs. La porte s’ouvrit et elle s’engouffra dans la cage. Trois hommes s’y trouvaient déjà et durant la descente, elle sentit la chaleur de leurs regards qui la détaillaient. L’un d’eux, un bel homme aux cheveux d’un blanc immaculé lui adressa un charmant sourire et lui frôla le bras en passant devant elle lorsqu’il sortit au deuxième étage. Elle se sentit étrangement électrisée par ce court contact avec cet inconnu, qui, remarqua-t-elle alors, portait ses cheveux nattés.
Arrivée au rez-de-chaussée, elle partit faire le tour des boutiques, mais son esprit était toujours occupé par cette rencontre qui lui procurait des sensations pour le moins troublantes.
Elle craqua pour cette jolie pochette qui l’avait séduite précédemment. Dans une boutique voisine, elle acheta un fin bracelet d’argent qu’elle accrocha aussitôt à son poignet, rejoignant ainsi ceux qu’elle portait déjà.
Il lui restait une demie heure de libre aussi s’installa-t-elle au bar de l’hôtel et commanda un thé à la menthe pour patienter. Elle en profita pour lire et répondre à quelques sms.
Le bar commençait à se remplir car de nombreuses personnes attendaient comme elle l’ouverture de la séance. Elle reconnut plusieurs chercheurs qui vinrent la saluer. Elle les invita à s’assoir à sa table car la petite salle était maintenant comble.
On vint les informer qu’ils pouvaient maintenant se rendre dans l’hémicycle où leur seraient donc présenté les maîtres de conférences ainsi que les différents thèmes et horaires des débats de la semaine.
Odile nota la présence de pas mal de visages connus, elle fut ravie à l’idée de discuter avec eux pendant le cocktail. Elle consigna dans son agenda électronique les heures des réunions qui la concernaient et constata qu’elle aurait pas mal de périodes libres pour s’octroyer quelques loisirs.
A l’issue de la présentation, un maitre d’hôtel les invita à se diriger vers la salle où se tenait la réception.
Là de petits groupes se formèrent selon les affinités. Elle navigua de l’un à l’autre pour saluer tel ou telle .chimiste, non sans remarquer que de nombreux mâles la suivaient du regard. Elle constata il n’y avait que peu de représentantes féminines, et critique, elle admit qu’elle était de loin la plus sexy.
Une voix au fort accent américain la héla. Se retournant, elle reconnu Axel, un ingénieur de sa boite, mais de l’agence de New-York. Il arriva à grandes enjambées jusqu’à elle et lui plaqua deux bises sonores sur chaque joue.
-Odiiiiiile !! Comme je suis heureux de te revoir. Kevin m’a prévenu que se serait toi qui te collerais au colloque. Dit-il en riant. Ca faisait un bail que nous ne nous étions plus vus !!
-Oh oui, trois ans au moins !! Je suis vraiment ravie moi aussi, Axel.
-Viens, je vais te présenter à des potes super cools !!
-Hey les gars !! Je vous présente la plus jolie chimiste que je connaisse : Odile, de l’agence de Bordeaux.
Toutes les mains se tendirent, qu’elle sera tour à tour en échangeant quelques mots avec chacun. Puis, Axel la faisant pivoter sur se talons en la prenant par les hanches, elle se retrouva face à face avec l’inconnu de l’ascenseur. Son émoi réapparut immédiatement. Elle se sentait hypnotisé par le regard inquisiteur mais pourtant bienveillant de cet homme.
-Fabrice, voici Odile dont je t’ai tant parlé !! Odile, je te présente Fabrice, avec qui je bosse de temps à autres !!!
Alors qu’elle lui tendait la main pour le saluer, celui-ci lui fit un baisemain qu’elle estima beaucoup plus troublant que désuet.
Dans ce petit groupe, les conversations démarrèrent au quart de tour, sur bien des sujets, la plupart n’ayant rien à voir avec les énergies nouvelles. Odile était régulièrement approvisionnée en coupe de champagne rosé et amuse-bouche aussi variés que goûteux.
La bonne humeur était omniprésente, et Fabrice, qui était resté à ses côtés possédait un humour sensationnel auquel elle répondait du tac au tac. Leurs joutes verbales engendrèrent pas mal de fous rires qui firent souvent se retourner les têtes dans leur direction.
Elle ne vit pas le temps passer, pas plus que le nombre de verres de champagne car elle ressentait maintenant une légère ivresse.
.-Oh, je crois que je vais regagner ma chambre !! Je pense que j’ai un peu abusé de ce délicieux breuvage. Confia-t-elle à Fabrice, en déposant la coupe encore pleine qu’elle tenait à la main. Et se faisant, elle vacilla imperceptiblement, mais son compagnon le remarqua néanmoins.
-Oui, cela me semble très raisonnable Odile !! lui répondit-il en souriant. Je vais vous raccompagner, je préfère.
-Merci, mais c’est juste un petit étourdissement. Deux coupes de kir ne vont pas m’empêcher de regagner ma chambre tout de même !! fit-il mutine.
-Je dirai plutôt 4 !!fit-il dans un grand éclat de rire
-Quatre ???
-Et sans compter celui que vous venait d’abandonner.
-Oh là là !!
Fabrice lui enserra délicatement la taille pour la conduire à travers les longs couloirs jusqu’aux ascenseurs où de nombreux participants attendaient déjà.
-Vu tous les hommes que vous avez fait fantasmer ce soir, je ne voudrais pas que certains abusent de votre griserie dans un coin sombre d’un couloir !! fit-il d’un ton badin.
-Ooooooooooh !! fit-elle avec une moue amusée. Qui me dit que ce n’est pas vous le plus dangereux des prédateurs ? demanda-t-elle d’un ton énigmatique.
Le regard qu’ils échangèrent fut chargé d’électricité. Un magnétisme puissant les attirait irrémédiablement l’un vers l’autre et l’issue de la soirée ne faisait plus aucun doute dans leur esprit.
Entrant enfin dans l’ascenseur, il l’amena jusqu’au fond de la cabine, se plaçant dans son dos. La maintenant toujours par la taille il se plaqua plus que nécessaire contre son corps. Son autre main remonta lentement sur son bras, atteignit l’épaule qu’elle pressa doucement, puis glissa jusque dans son cou où les doigts caressèrent sensuellement le velouté de la peau fine.
Fabrice la sentit frémir imperceptiblement sous ses légers attouchements. Et sa sensuelle réceptivité lui fut confirmée lorsque, pressant son ventre contre les fesses de la belle, elle se raidit en renversant sensiblement sa tête en arrière contre son épaule.
-Tu es à quel étage ? fit-il en passant librement au tutoiement.
-6ème, chambre 669 ! répondit-elle dans un souffle.
-huuuum 69, quelle délicieuse invite !!Lui asséna-t-il en laissant ses lèvres frôler sa nuque. Et il ressentit l’accélération des battements de son cœur contre son torse.
Au 5ème, la plupart des personnes étaient sorties. Il ne restait que deux couples en plus d’eux deux.
Quand la porte s’ouvrit à leur étage, il la retint.
-Attends !!
Les autres passagers descendirent sans leur accorder d’attention. Il laissa la porte se refermer sur eux. A ce moment là il sortit une clef de sa poche qu’il introduisit dans une serrure sous le tableau de commande.
-Que fais-tu ? demanda-t-elle étonnée.
-Je bloque les portes. Te voilà ma prisonnière !!Fit-il en souriant. Et il pianota au hasard sur les touches du tableau.
-Nous avons cette cabine pour nous maintenant.
Il la colla contre le fond de l’originale prison. Ses mains sur ses hanches qu’il pressait délicatement, ses yeux rivés aux grands iris verts, il vint goûter ses lèvres du bout des siennes. Leurs baisers restaient furtifs, comme timides, mais se n’était que pour faire reculer l’instant d’intense plaisir où leurs bouches se fonderaient dans un baiser profond. Ils jouèrent de leurs nerfs quelques minutes, se butinant, se picorant, puis Odile pointa le bout de sa langue et se fut le signal de la curée. Ils s’enlacèrent fermement, leur deux corps vibrants d’envies païennes, leurs deux langues virevoltaient, s’enroulaient, se fouettaient.
Ils durent se séparer pour reprendre leur souffle. Leurs baisers se firent plus calmes mais tout aussi intenses. Odile lui caressait la nuque de ses deux mains, alors que les siennes palpaient maintenant tout le corps de sa conquête. Elles vinrent se poser sous sa poitrine, puis remontèrent sur le galbe des seins durcis par le désir. Il les sentait palpiter sous ses paumes alors que du bout des doigts ils effleuraient la peau offerte du décolleté. Les doigts de la belle remontaient sur son crâne, lui transperçant tout le corps de délectables décharges électriques. Elle s’abandonnait totalement à son emprise. Il tira sur le tissu de l’encolure de la robe et du soutien-gorge pour venir happer un téton arrogant qui se tendit encore davantage entre ses lèvres.
Et pendant que la cabine continuait ses allers-retours dans les étages, les mains de Fabrice suivaient le même rythme sur le corps d’Odile qui ne se privait pas non plus de découvrir la musculature ferme des fesses de son agresseur.
Celui-ci se mit à genoux devant elle, sa bouche se trouvait ainsi à la hauteur de la féminité qui savait parfaitement enfiévrée. Les effluves suaves d’une chatte en chaleur flottaient dans l’air.
Toujours dos contre le miroir, Odile se cramponna à la barre de maintien qui faisait le tour de leur habitacle. Elle tendit son ventre alors que Fabrice, agrippé, lui à son popotin, embrassait son pubis avec ferveur. Par-dessus les tissus. Puis elle sentit qu’il relevait sa jupe, centimètre par centimètre et bientôt, pelotant alors la peau libre entre les bas et la culotte, il happait les poils de sa toison à travers la soie.
Levant un instant les yeux vers sa proie, il constata qu’elle ne perdait rien du spectacle. Et au même instant elle lui asséna :
- Ouiiiiiiiiiii, bouffe-moi la chatte !! Qui eut l’effet d’un coup de fouet sur lui. Il se rua alors sur la faille humide pour la parcourir de ses lèvres tout d’abord, puis du plat de la langue. Elle posa alors une jambe sur son épaule pour la lui offrir intégralement. Le tissu flottant s’écartait avec facilité, et sa langue touchait tour à tour la soie ou la chair, la faisant ronronner chaque fois davantage. Il poussa l’audace à lui planter toute la langue dans la foune. Elle le gratifia d’un « Ooooooooooooooooooh ouiiiiiiiiiiiiiii continuuuuuuuuuuuue !!! »
Cette belle cochonne adorait manifestement les cunnis. Ne cessant pas de mordiller, fouetter, titiller le gourmand clito, il triturait hardiment son cul. Il poussa son avantage encore plus, en laissant filer un doigt entre ses fesses, jusqu’à l’immobiliser sur la petite étoile brune.
Mais il sentit un léger raidissement, aussi supposa-t-il qu’elle n’était pas une adepte de cette pratique, ou bien qu’elle n’y avait encore jamais gouté. Il n’insista pas. Il aurait tout le temps de revenir la tester.
Aussi son majeur frustré glissa jusque sur les grandes lèvres moites et se fraya sans mal un passage au fond de l’antre inondé. Un « ouuuuuuuuuuuuuuuuuuui » retentissant accompagna sa jouissance, et elle avait plaquait une de ses mains sur sa tête, se frottait la minouche sur sa bouche.
-Ouiiiiiiiii encooooooooooore, ne me lâche pas !!! Et un autre cri jaillit. Il la regarda, sans pour autant stopper la folle course de sa muqueuse sur sa fente. Il vit le trouble de ses yeux et devina qu’elle en voulait encore.
-Je continue ?
- Ouiiiiiiiiii, broute-moi !!! Fourre-moi ta langue !! Il s’exécuta pour leur plus grand plaisir. Il aimait les femmes libérées et celle-ci semblait être une bonne baiseuse.
Le troisième orgasme la fit tremblait sur se jambes, aussi, il libéra son épaule de la jambe posée dessus, se redressa et embrassa tendrement Odile, pendant qu’elle reprenait son souffle.
Alors qu’il s’apprêtait à réintroduire la clé pour déverrouiller la porte, elle immobilisa son bras.
-Non, pas encore !! fit-elle espiègle. Et sans rien ajouté, elle l’adossa contre une paroi latérale et enroulant sa langue à la sienne, elle s’attaqua à la braguette de son pantalon. Celui-ci tomba au sol. Elle déboutonna sa chemise, écarta les pans. Et à son tour, elle s’agenouilla lentement, tout en laissant folâtrer ses lèvres sur le torse de l’homme. Elle lécha les petits tétins, les aspira, puis sa langue parcouru le ventre de nombreuses arabesque. Arrivée à la hauteur de la belle protubérance, elle recula sa tête, et palpa d’une main experte la raideur prometteuse.
Elle releva son visage, et le fixant effrontément, elle donna un coup de langue sur le bourgeon caché, puis partant de son entrecuisse, elle remonta langoureusement, appliquant le plat de sa langue tout le long de sa hampe, et fouettant fermement au niveau de son gland.
-Tu veux me sucer cochonne ? fit-il la voix rauque.
-huuuuuuuuum !! fut sa seule réponse, mais ses yeux parlaient pour elle.
-Alors, vas-y, tête-moi !!
Alors le boxer rejoint vite le pantalon, libérant un phallus turgescent qu’elle empoigna à pleine main. Elle le lécha sur toute sa longueur sans oublier les deux bourses gonflées à bloc. Elle laissa tournoyer la pointe rose de sa langue autour du renflement du champignon violacé, puis d’un coup, le goba de ses lèvres brûlantes.
Fabrice lui aussi se laissait captiver par la vision de cette jolie bouche se démenant sur son pieu. Il savourait aussi la vision qu’il avait de sa suceuse, dans le miroir de la cabine.
-Putain, que tu suces bien !!! fit-il alors qu’elle débutait un pompage de tous les diable, l’avalant jusqu’aux burnes, qu’elle pétrissait avec art.
-Oui, ma poupée, pompe ma bite !! Oooooh quelle bonne pipeuse tu es !!
Et elle poursuivait son diabolique ballet, lâchant parfois sa queue, pour venir lui aspirer les couilles entre ses lèvres, et repartant de plus belle à la conquête de son mandrin palpitant. Il sentait monter sa sève sous l’étau expert de cette jolie salope.
Mais la coquine dut le sentir, car elle libéra sa pine pour la branler d’une main.. Il supposa qu’elle n’envisageait pas de se faire crémer. Mais elle le regarda d’un air taquin.
-Elle est bonne ta queue !! Et enfourna tout l’engin au fond de sa gorge avant de le branler de nouveau de ses lèvres avides. Ses bruits de succion l’allumer au plus haut point. Il était au bord de l’éjaculation, et il savait qu’elle s’en rendait parfaitement compte.
Elle raffermit sa pression sur sa trique et sentit la première perle de sperme contre son palais.
Jusque là passif, l’homme lui saisit la tête de ses deux mains pour lui baiser maintenant convulsivement la bouche, et dans un rugissement rageur, lui expédia un geyser de foutre entre les lèvres.
-Ooooooooooooooh !! Quelle piiiiiiiiiiiiipe !!!! fit-il alors qu’elle s’appliquait consciencieusement à le vidanger, ne l’ayant pas libérer du cercle de ses lèvres.
Elle le garda ainsi en bouche jusqu’à ce que son sexe se recroqueville. Il l’aida à se relever, l’enlaça et leur baiser se fit plein de tendresse.
Il déverrouilla enfin la porte. Ils remirent de l’ordre dans leurs tenues avant de sortir dans le couloir du 6ème étage. Il n’y avait âme qui vive, aussi il la ceintura de ses bras et c’est en se roulant un long patin, qu’il la mena à sa chambre. Il dût la libérer pour qu’elle puisse prendre sa carte magnétique au fond de sa pochette. Mais il s’était collé contre son dos, lui pelotant les seins de plus belle.
Vous voulez encore plus torride??? Alors guettez le prochain chapitre!!....A bientôt.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Compté par le sexe féminin c'est encore bien meilleur
J'avais loupé la parution de cet épisode. Quelle erreur heureusement réparée. J'ai adoré
votre récit seule une femme est capable de décrire ainsi l'abandon total d'une femme.
J'en ai encore des frissons. Merci
Je me précipite sur la suite qui vient de sortir...
votre récit seule une femme est capable de décrire ainsi l'abandon total d'une femme.
J'en ai encore des frissons. Merci
Je me précipite sur la suite qui vient de sortir...