seminaire lol - histoire érotique

Mon mari venait de rentrer tard du travail, et je sentais en lui une contrariété inhabituelle. Richard est chef d’entreprise, à la tête de trois cents personnes, et la pression du business est rude. M’inquiétant de son stress, j’essayai de le sonder.


— Que se passe-t-il, chéri ? Tu as l’air contrarié ce soir.
— Oui, je le suis, les résultats ne sont pas bons, et je dois reconnaître une grosse baisse de motivation sur l’ensemble de mon staff d’encadrement. Il faut que je trouve un moyen de les motiver rapidement, sinon le chiffre d’affaires continuera à baisser.
— Pourquoi n’organises-tu pas un séminaire de team building, je me souviens, quand je travaillais encore, cela avait des résultats toujours très positifs.
— Mais c’est vrai, tu as raison, c’est une excellente idée ! Tu pourrais aussi te charger de l’organisation, cela t’occuperait.

Très emballée par l’idée, j’acceptai immédiatement. De plus, les enfants étant grands et indépendants, ils pouvaient vivre sans moi pendant une semaine. Nous avons donc passé le reste de la soirée à établir ce que Richard espérait retirer de ce séminaire, la liste des participants, les différents ateliers, et une stratégie commune pour remotiver cette équipe. Cette activité m’excitait au plus haut point, réveillant des réflexes professionnels que j’avais perdus depuis bien longtemps.


Mon engouement n’échappait pas à Richard qui souriait à me voir dépenser tant d’énergie à l’organisation de ce séminaire. Une ultime idée de mon mari était d’essayer de les surprendre, mais aussi de les motiver par un système de récompenses personnelles suffisamment équilibré pour que chacun y trouve son compte. Il me prit pour exemple.


— Vois-tu, en te proposant ce job, j’ai réveillé chez toi une motivation professionnelle éteinte depuis bien longtemps. Cela doit mériter une récompense. À chaque nouvelle idée qu’ils apporteront pendant le séminaire, ils auront un cadeau.
— Quelle sorte de cadeau envisages-tu ?
— Pour eux, je ne sais pas encore, mais pour moi, la récompense ce soir, ce sera toi !

Il se rapprocha alors de moi et m’embrassa voluptueusement. Sa langue pénétrait au plus profond de ma bouche, cherchant le contact de ma langue. De ses mains il palpait mes formes généreuses, passant de mes seins lourds à mes hanches. Il me prit alors le visage qu’il dirigea vers son bas-ventre et son sexe fièrement dressé. D’une pression sur ma tête, il enfouit dans ma bouche son sexe qui disparut entièrement. Je suçai et léchai son sexe, acceptant de n’être que sa récompense. Cette situation m’excitait au plus haut point, et je m’appliquais à lui administrer cette fellation qu’il avait bien méritée.


— Ohhhh ! ta bouche est si bonne, tu m’as toujours si bien sucé, continue, ma beauté, comme je t’aime. Tu serais une merveilleuse récompense pour l’ensemble de mon équipe, et j’en connais plus d’un qui donnerait tout pour te posséder.
— J’aime te sucer comme une secrétaire suce son patron, ton sexe est bon et dur…
— Si ce séminaire est réussi, je te prendrais en tant qu’assistante personnelle. L’avantage est que je pourrais t’avoir n’importe quand. Tu es si bonne ! Ah oui ! continue, je vais jouir, oui, oui…

Il m’envoya tout son jus dans la figure, dirigeant ses jets vers ma bouche afin que je puisse avaler sa semence.


Le lendemain, avant de partir, Richard me demanda de tout préparer par écrit et de passer au bureau en fin de journée afin de lui présenter le projet final.

Je passai ma journée à rédiger le scénario, définir les ateliers, chercher le lieu du séminaire et établir les dates possibles. En fin d’après-midi, je me rendis au bureau de mon mari. Il était 18 heures et les locaux étaient pratiquement vides. Nous passâmes assez rapidement en revue l’ensemble du projet, étant d’accord sur l’essentiel. À la fin, Richard me dit :


— Tu as fait un travail exemplaire, tu auras donc toi aussi droit à ta récompense.
— Oh ! Richard, voyons, je fais cela pour toi, car je t’aime, mais c’est vrai que c’est excitant de me retrouver, quinze ans après mon dernier job, à retravailler à nouveau dans mon domaine de compétence, je ne me trouve pas trop rouillée.

Richard savait que faire l’amour était devenu pour moi une véritable obsession, et que j’avais connu de multiples amants après notre aventure avec David. Il se rapprocha de moi et ajouta :


— D’ailleurs, voici un premier préambule…

Il me leva de mon fauteuil et me poussa face vers son bureau. Je pris appui sur son bureau pendant que ses mains relevaient ma jupe. Il écarta mon slip et enfonça son sexe dans mon vagin, qui était déjà affreusement humide. Ses mains maintenaient ma croupe pendant que son sexe me pilonnait. Sachant que sa secrétaire était juste à côté, je me bâillonnais la bouche avec la paume de ma main pour ne pas attirer l’attention. Peine perdue ! Le claquement de son sexe rencontrant ma croupe et ses gémissements ne laissaient aucun doute sur nos activités. Toutefois, il se soulagea rapidement sur mes fesses, déversant son liquide sur ma croupe, comme pour marquer son territoire.


Le séminaire démarra trois semaines plus tard. J’avais choisi, en Bourgogne, en plein milieu d’un vignoble, un château qui allait nous accueillir pendant quatre jours (et trois nuits). Toute l’équipe avait rendez-vous à 11 heures le premier jour pour une introduction.

Nous avions plusieurs salles à notre disposition et toute une série d’ateliers (loisirs ou professionnels) organisés. Mon mari commença par un discours d’introduction expliquant l’objet du séminaire, les challenges que la société devait affronter, et la façon dont le séminaire se déroulerait.

Il me présenta comme l’organisatrice. Je pris la parole devant ce public presque exclusivement masculin (seulement trois femmes pour douze hommes composaient l’équipe d’encadrement, bel exemple de parité !), passant en revue les différents ateliers et présentant aussi le système de récompense.

Chaque soir une enveloppe personnelle serait remise dans la chambre des convives contenant un descriptif de la récompense de la journée.


La première journée se déroula agréablement, toute l’équipe étant parfaitement motivée. En fin de journée, nous avions prévu un break de deux heures avant le dîner du soir. Je remontai dans ma chambre pour trouver un peu de calme, la journée ayant été éprouvante pour moi. À ma grande surprise, je trouvai sur mon lit une enveloppe. Me doutant de ce que cela pouvait être, je l’ouvris rapidement :


« Ton travail a été exemplaire ce soir, tu vas donc aussi avoir droit à une récompense. Tu vas prendre le bandeau dans le sac noir en dessous du lit et le passer autour de tes yeux. Tu te t’assiéras sur le lit à baldaquin jusqu’à ce qu’un autre vienne chercher sa récompense : TOI . Sois obéissante, mon amour, et donne-toi avec passion. »


Me voilà donc récompensée et récompense à la fois. Richard me savait avide des choses de l’amour et, depuis qu’il m’avait partagé avec David, j’avais pris de nombreux amants, tout en lui racontant ce qu’ils me faisaient, en publiant mes textes sur «Revebebe», site d’histoires érotiques. Il avait donc suivi mes aventures par l’intermédiaire de mes écrits, et cela avait renforcé encore plus l’amour que nous nous portions. Je décidai donc d’obéir. Les yeux baillonnés, j’attendais, assise sur le lit. Au bout d’un certain temps, la porte s’ouvrit.


— Bonsoir, je vois que ce système de récompense n’est donc pas une blague ! Je dois te lire le contenu de mon enveloppe :

« Vous avez gagné une heure en compagnie de mon épouse. Elle vous attendra dans sa chambre, les yeux bandés. En aucun cas vous ne devrez enlever le bandeau, elle ne saura jamais qui vous êtes. Attachez-lui les mains au baldaquin et vous pourrez profiter d’elle comme bon vous semble. Vous devrez lui faire part de vos instructions en lui lisant ce texte. »


— Je dois avouer que tu es la plus belle récompense que j’ai jamais eue.

Il m’attacha les poignets au montant du lit et m’embrassa fougueusement. De ses mains, il découvrit mon opulente poitrine qu’il malaxa avidement.


— Quels beaux seins tu as, je n’ai pas arrêté de les mater de toute la journée.
— Masturbe-toi entre mes seins, vas-y !

Il plaqua son sexe entre mes deux grosses mamelles qu’il pétrit afin de resserrer l’étreinte sur son membre. Je sentais les mouvements de son sexe entre mes seins. Quelle extase ! À chaque mouvement vers le haut, son gland forçait l’entrée de ma bouche. Il me souleva les cuisses et passa en-dessous afin de me prendre assise, toujours bien attachée et soumise à son désir. Ses mains avaient saisi mes fesses et, écartant ma culotte, il passa son sexe dans ma fente. Il était d’une bonne taille et me besognait avec expérience, pétrissant mes fesses, me titillant la raie et se rapprochant de mon petit trou.


— Non, pas par là, je ne veux pas !

Obéissant, il arrêta, remontant une de ses mains pour s’occuper de mes seins qui ballottaient au rythme des coups de bassin que je recevais. Il jouit très vite, l’excitation de la situation étant telle qu’il n’aurait pu tenir longtemps, mais me donnant tout de même un bel orgasme, quand il vida sur mes seins le contenu de son préservatif rempli de son liquide chaud .


Il sortit, me laissant attachée au lit et les yeux toujours bandés.


— Tu as été magnifique, mon amour, j’ai tout vu.

C’était Richard qui avait assisté à la scène. Je sentis son sexe s’introduire dans ma bouche. Lui aussi, surexcité, déchargea presque immédiatement au fond de ma gorge.


— Et ce n’est que le premier soir, il en reste deux, ajouta Richard avant de me libérer.

Nous nous embrassâmes longuement avant de rejoindre les autres pour le dîner.


Conformément à la première journée, la seconde se déroula sans accroc. Je sentais même l’ambiance devenir complètement détendue. La confiance revenait. Comme en fin de première journée, une enveloppe m’attendait en fin de journée dans la chambre.


« Ce séminaire est au-delà de mes espérances, tu as très bien travaillé. Tu dois descendre dans les caves. Il y a, dans la cave centrale, une grande table avec des anneaux. Au bout des anneaux, tu trouveras des menottes que tu enfileras. Bien évidemment, tes yeux seront encore bandés. »


J’obéis et me retrouvai donc allongée, yeux bandés, sur une immense table en chêne, entre les grands crus ou premiers crus qui avaient fait la joie de notre dîner, le soir précédent.


Des mains remontèrent le long de mes douces cuisses, suivies d’une langue qui sillonnait la couture de mes bas. Ma culotte fut promptement enlevée et une langue s’introduisit en moi.

Jamais je n’avais senti une si grande expertise.

Cette langue était partout à la fois, léchant mes parois, fouillant le fond de mon vagin, alors que deux mains d’une douceur inhabituelle s’occupaient de ma poitrine.

Je resserrai les cuisses autour de la tête de mon inconnu qui ne prononçait pas une parole. Au bout d’un certain temps, je sentis son corps bouger pour amener son sexe au-dessus de ma bouche. Sa tête replongea entre mes cuisses et je partis à la recherche de son sexe.

Ma surprise fut de taille car, à la place d’un sexe bien membré, je trouvai… une femme ! Une des trois femmes de l’équipe. Pour la première fois, je me donnais à une femme !

Ceci avait été mon fantasme inavoué depuis tant d’années sans jamais oser franchir le pas. Et nous voilà toutes deux respirant nos sexes avec nos langues pour un orgasme que je n’oublierai jamais !


Comme le jour d’avant, son départ fut suivi de l’arrivée de Richard qui, à nouveau, força l’entrée de ma bouche.


— Tu étais si belle avec ton amante, je t’ai vue jouir comme jamais ! Quel dommage de ne pas avoir pu voir tes yeux briller !

Il me baisa la bouche avec force, déchargeant son sperme une fois de plus sur moi, comme pour renouveler le marquage de son territoire. J’étais à lui pour toujours.


Le troisième jour se déroula comme les précédents. Réservant son lot de surprises, de fous rires et de débats animés.


Et, bien évidemment, une dernière enveloppe se trouvait dans ma chambre ; je l’ouvris avidement.


« Rends-toi dans la salle de conférence, ils t’attendent. »


Toujours obéissante, je me rendis dans la salle. J’entrai et m’assis au milieu sur une chaise disposée à mon attention, mon bandeau toujours solidement attaché.


J’entendis les portes s’ouvrir et se refermer.


— Elle est plutôt sacrement gaulée, notre récompense.
— Oui, elle me fait bander depuis le début de la semaine !
— Bon, les mecs, je pense qu’on va se la farcir, notre petite bourgeoise…

Trois voix différentes, cela promettait d’être chaud.


Les premières mains se posèrent sur mon corps, avides de palper mes formes, et me levèrent, se saisissant de mes fesses et de mes seins. Un doigt s’introduisit dans ma bouche pendant qu’une main me relevait la jupe. Une autre main fit ressortir mes seins de mon décolleté. Une langue remplaça le doigt dans ma bouche, cherchant ma langue. Je sentais ces mains fortes palper activement mes fesses. Je fus agenouillée et les trois sexes libérés se présentèrent à moi.


— Allez, prends-nous dans ta bouche, dans le mot il est dit que tu suces comme personne !

J’engloutis un premier membre alors qu’ils me plaçaient les deux autres dans les mains. Pendant que ma langue s’occupait du premier, je masturbais les deux autres, pendant que leurs mains s’occupaient de ma poitrine sans ménagement… Ils échangèrent plusieurs fois leur place afin de tous goûter à ma bouche.


— Quelle gourmande ! Une vrai pipeuse ! Oh oui ! sa langue sur mon gland, c’est si bon !
— Et ses nibards ! Un vrai paradis ! Un séminaire comme ça tous les ans et je multiplie mes ventes par quatre…

Ils me redressèrent. Ma culotte fut alors arrachée. Ils me poussèrent à m’asseoir sur le premier homme qui avait pris ma place sur la chaise. Il me pénétra, tout en embrassant les tétons de mes gros seins. Je sentis un autre sexe devant moi. J’ouvris la bouche et engloutis son sexe. Quant au troisième, il avait entrepris de me prendre par-derrière.

Ne voulant pas faire de jaloux, je le laissai faire, lui demandant de faire doucement. J’étais donc au milieu de ces trois hommes qui jouaient de mon corps, s’échangeant les positions, tout en me caressant les seins ou les soupesant comme un paysan vérifiant les pis de sa vache avant la traite.


Le premier jouit dans mon sexe, laissant la place libre au second qui, libérant ma bouche, m’envahit le sexe. Le troisième, qui avait abandonné mon anus, se plaça dans ma bouche, en me disant :


— Je veux jouir dans ta bouche et te faire goûter mon jus !

Je l’avalai à nouveau pour l’amener à ce qu’il m’avait demandé. Il sortit de ma bouche et se masturba, son sexe enfoui dans mes cheveux. Il jouit abondamment dans ma chevelure rousse, laissant dégouliner des traces blanchâtres dans mes cheveux. Le dernier semblait de loin le plus endurant, il continua longtemps à me pilonner, m’ayant couchée sur une table, son sexe rentrait et sortait, me pénétrant à chaque fois. Il finit tout de même par jouir au fond de mon sexe, m’amenant à mon dernier orgasme.