Sentier glissant (pov Aline)
Récit érotique écrit par phidnsx [→ Accès à sa fiche auteur]
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Sentier glissant (pov Aline)
Salut tout le monde. Moi c’est Aline. Marc vous a parlé de moi. Souvent même. Il raconte bien, hein ? Mais bon, il a tendance à se focaliser sur certains détails… disons, physiques.
Et moi alors ? Il oublie de dire que lui aussi c’est un beau morceau. Pas du genre à passer des heures à la salle, non. Juste naturellement athlétique. Sec, bien proportionné. Un joli petit cul. Et son sexe ? Ah ça, il ne vous le dira certainement jamais. Disons qu’il est dans la norme. Mais bien utilisé. Très bien utilisé.
Bref, on a toujours été proches. Enfin… Si on considère qu’être ensemble à 14 ans, c’est une vraie relation. Ça compte, non ? En tout cas, à chaque fois qu’on s’est recroisés, un petit truc s’allumait en moi. Comme une étincelle. Lui aussi, il le sentait. Mais on s’est perdus de vue. Merci à son ex, qui ne me sentait pas. (J’aurais pu faire un effort et lui rendre la pareille, mais je suis trop polie.) Pendant ce temps, j’ai fait ma vie. Un fils. Une famille. Des histoires. Et pourtant... parfois, dans un coin de ma tête, il revenait. Je me demandais ce qu’il devenait, où il était.
Et puis on s’est retrouvés.
Aujourd’hui, c’est une autre histoire que je vais vous raconter. Une de celles où on aime bien jouer.
Nous adorons la randonnée. Pas pour la performance. Pour l’aventure. Pour les sentiers qui s’ouvrent devant nous. Pour le plaisir de s’y perdre un peu.
Ce matin, on prépare nos affaires. On dépose mon fils chez son père et c’est parti pour un week-end en amoureux.
Ça caille drôlement en ce début de mois de juin. C’est vrai qu’il est tôt. Chaussures lacées, sac à dos en place, on est prêts au départ.
Je jette un coup d’œil à ma tenue. Nouveau legging. Il moule bien mes jambes, mes fesses. Confortable, pratique. Et puis, un peu provocant, aussi. J’ai pris un short pour plus tard, quand le soleil chauffera un peu. Marc m’observe.
- Mh sympa ce bas. C’est nouveau ?
- Oui, je suis passé l’acheter hier.
- Alors balance pas trop tes hanches si tu veux pas que je te le déchire avant la fin de la journée !
- Bah, pour ce qu’il m’a coûté…
- Hahaha ben ça commence bien !
Oui, ça commençait déjà bien. Juste ça et j’ai déjà une vague de chaleur qui me traverse. Faut que je me calme. Sinon, on n’arrivera jamais au sommet. Mais j’ai une envie, juste pour voir.
- Marc ?
- Oui ?
- T’as ajouté des objets non indispensables pour la randonnée dans ton sac ce matin ?
- Du genre ?
- Du genre comme la dernière fois, en Suisse ?
- Haha non pas cette fois…
- Ha. Dommage !
- Comment ça dommage ?
- Ben je sais pas, la dernière j’ai pas pu y goûter, c’est toi qui as volé la vedette !
- Non mais je rêve… C’est moi qui ai subi tes attaques et c’est ma faute ?
- Tu appelles ça « subir » ? A entendre tes gémi…
- Ouais bon ok, j’ai rien dit.
Petit rire. Mais je le connais. Il vient de commencer à imaginer des choses. Très bien. La première manche est pour moi.
On marche. L’air est frais, mais mon corps chauffe vite. L’effort, l’excitation, ou les deux, je sais pas trop. De temps en temps, je sens son regard glisser sur moi. Je fais semblant de ne pas m’en apercevoir, mais chaque fois que je ralentis, il me frôle légèrement en passant à côté, juste assez pour me faire frémir.
Arrivés à une clairière, il s’arrête et pose son sac.
- Petite pause boisson ?
- Oui… j’en ai besoin !
J’attrape ma gourde et commence à boire. Un frisson me parcourt quand un souffle chaud caresse mon cou. Tu sais, ce genre de frisson qui n’a rien à voir avec le froid.
Sa main glisse lentement sur mon bras. Un geste presque innocent, et pourtant une onde de chaleur se diffuse en moi. Il sait ce qu’il fait, le bougre. Je ne bouge pas. J’attends. Je savoure chaque seconde de cette attente insupportable. Il se rapproche encore, ses lèvres effleurent ma nuque.
Je penche la tête en arrière, m’abandonnant à ses caresses. Je l’imagine déjà passer sa main sous mon t-shirt, son doigt s’enroulant autour de mon téton dressé. Son autre main écartant l’élastique de mon bas pour atteindre mon string.
- On devrait repartir.
- …
Ho le salaud !
Je cligne des yeux. Il est déjà en train de remettre son sac, un sourire en coin.
J’expire lentement, essayant de calmer les battements de mon cœur. Ok, je vois le jeu. Il veut me rendre folle. Il veut que je sois celle qui craque en premier. Soit, jouons encore.
Je remets mon sac à dos et le rejoins, feignant l’indifférence. Nous marchons en silence pendant un moment, mais je sais qu’il m’observe. Je sens son regard se poser sur moi à intervalles réguliers, surveillant mes réactions.
Nous continuons notre marche jusqu’au sommet. Il est temps de prendre une pause plus longue. Le soleil s’est levé et il commence à chauffer. La sensation est agréable.
C’est alors que l’idée me traverse l’esprit. Une idée délicieusement provocante.
- Je vais aller faire un petit pipi derrière un rocher un peu plus loin.
Je prends mon sac et m’éloigne un peu. Un regard circulaire autour de moi, personne à l’horizon. Mes doigts glissent sous mon legging. D’un geste discret, je fais glisser mon legging le long de mes cuisses, laissant tomber le tout jusqu’à mes chevilles. Le vent sur ma peau nue me fait frissonner. Je devrais peut-être me rhabiller avant de trop apprécier cette liberté.
Je sors le short de mon sac. Je l’adore. Gris clair, bien moulant, assez court pour dévoiler le pli de mes fesses, sans en montrer trop. Je m’accroupis pour l’enfiler. Un instant d’hésitation. Pourquoi garder ma culotte ? Une idée me traverse l’esprit. Je me débarrasse du bout de tissus.
Je me penche légèrement pour ramasser ma culotte. Je la glisse dans la poche de mon sac et enfile mon short à même la peau. Oh oui, voilà qui change la donne !
Et ma brassière. Elle est un peu serrée non ? Et si… et si ? J’hésite. Je secoue la tête. Non, c’est peut-être un peu « too much ».
Je retiens un sourire en revenant vers lui, comme si de rien n’était. Il fait mine de ne rien avoir remarqué, mais ses yeux écarquillés me laissent comprendre qu’il n’est pas indifférent à ma tenue.
On finit la pause sans rien laisser transparaître, puis nous reprenons la marche.
Quelques minutes plus tard, je le vois accélérer pour marcher à ma hauteur.
- T’as changé de tenue derrière ton rocher tout à l’heure, mais j’ai l’impression que t’as oublié un détail…
- Ah oui ? Quel détail ?
- J’sais pas, j’crois bien que t’as un peu trop d’air sous ce short, non ?!
Ha ça y est. Il a capté. Ou alors, il devine et il veut me faire avouer.
Je glisse une main dans la poche de mon sac et referme mes doigts sur le tissu de ma culotte. Puis, me rapprochant de lui, la lui tends discrètement.
- C’est ça que tu cherches ?
Il s’arrête net. Un bug d’une fraction de seconde. Je crois que je viens de déclencher un court-circuit dans son cerveau. Puis son regard change. Il prend le tissu entre ses doigts, le porte à son nez. Il ferme brièvement les yeux, inspire légèrement et un sourire en coin se dessine sur son visage.
Là je me dis que ce mec est encore plus vicieux que moi. Et j’aime ça. J’adore ça !
Il me fixe droit dans les yeux, sort la langue et lèche le bout de tissu d’un air provocateur. Il le plie ensuite soigneusement et le range dans sa poche.
- T’en auras certainement plus besoin pour aujourd’hui.
Je devine dans sa voix l’effet que ça lui fait. Ça l’a retourné autant que moi. D’ailleurs, là j’aimerais bien qu’il me retourne. Je suis fière de mon coup. Mais aussi incroyablement excitée par la situation.
Je reprends la marche avec un sourire satisfait, mais à l’intérieur c’est la tempête. Chaque pas, chaque mouvement me rappelle que je ne porte plus rien sous mon short. Et je sais qu’il y pense aussi. À chaque fois que le vent s’engouffre légèrement entre mes cuisses, je ressens une vague de chaleur qui me fait presque regretter mon audace. Presque…
Je décide de pousser le jeu un peu plus loin. Juste parce que j’adore voir jusqu’où il peut tenir.
- T’es sûr de pas avoir pris un petit jouet cette fois ?
- Pourquoi ? Tu regrettes déjà ?
- Je me dis juste que ça aurait pu être… intéressant, vu la situation.
- Intéressant comment ?
- Disons que j’aurais apprécié un peu plus de stimulation avec les frottements…
Je le vois déglutir. Bingo !
Il passe une main dans ses cheveux, comme s’il essayait de garder son calme, d’évacuer une pensée gênante.
- Putain, Aline… tu sais que tu joues avec le feu, là ?
- C’est pas trop avec le feu que j’aimerais jouer, là tout de suite
Sa main vient se poser sur ma hanche et serre légèrement. Son pouce glisse à peine, comme une menace.
- Tu vas le regretter…
- Paroles, paroles et paroles… Dis-je en chantonnant
Nous continuons à marcher, mais l’air est maintenant chargé d’une tension presque insoutenable. Chaque pas est une torture délicieuse, chaque mouvement de mon short contre ma peau me rappelle que je suis nue en dessous. Et je sais que Marc en est tout aussi conscient.
Je l’observe du coin de l’œil. Je l’aperçois parfois ajuster son short discrètement. Enfin, il essaye. Mais ce tissu n’a pas beaucoup de marge de manœuvre. Ah, je l’ai eu, je joue avec lui et il le sait. Il lutte, mais il aime. Il me hait pour ça, mais il adore.
J’accélère un peu le pas, prenant volontairement une légère avance. Je sens son regard brûler mon dos – ou plutôt, mes fesses. Je le sais, je le devine. Je joue avec lui, mais il ne tardera pas à reprendre le contrôle. Le sentier devient plus étroit, nous forçant à marcher l’un derrière l’autre. Parfait. Je ralentis légèrement, histoire qu’il me rattrape. Et pile au moment où il est juste derrière moi, je fais mine de trébucher. Mon poids bascule en arrière, son torse percute mon dos, ses mains se referment immédiatement sur mes hanches pour me stabiliser. Un réflexe. Mais il ne me lâche pas immédiatement.
- Oups… désolée…
Ma voix est faussement innocente, mais je sens la pression de ses doigts qui se resserre un instant avant qu’il ne se force à reculer. Il souffle lentement, comme s’il essayait de garder le contrôle.
- Aline…
- Oui ?
J’attends la suite. J’ai gagné là, non ? Il va craquer ? Non. Non, il me dépasse, me jetant un regard en coin avant de reprendre la marche, légèrement plus vite cette fois. Comme s’il avait besoin de prendre de la distance. Je souris, mais ma victoire est de courte durée. Quelques minutes plus tard, nous atteignons un replat offrant une vue spectaculaire sur la vallée en contrebas. Marc s’arrête, pose son sac au sol et se tourne vers moi. Son regard est… Ok. Alerte rouge.
- Pause.
Son ton ne laisse aucune place à la discussion. Il s’assoit sur un rocher et m’observe. Juste ça. Il attend. L’intensité dans son regard me fait presque hésiter, mais je décide de ne pas me laisser impressionner. Je m’approche lentement et m’assois à côté de lui. Silence. Le vent souffle doucement autour de nous. Puis il se penche et me murmure à l’oreille :
- T’as une idée du nombre de fois où j’ai imaginé te prendre depuis qu’on a commencé cette randonnée ?
- Même pas une fois, j’imagine !
Mensonge évident. Je me mords la lèvre, tentant de garder mon calme, mais mon corps entier réagit à ses mots. Il le sait. Je sens ses doigts glisser lentement sur ma cuisse nue. Légers. Trop légers, frôlant la peau juste au-dessous de mon short.
- C’est malin, ça… venir randonner sans culotte. Ça ne se fait pas, ma p’tite dame !
- Désolé, un méchant monsieur me l’a volée !
- Et maintenant ?
Sa main remonte légèrement, effleurant l’intérieur de ma cuisse. Juste assez pour me faire perdre le fil de mes pensées.
- Maintenant… je veux voir jusqu’où tu comptes aller.
Erreur stratégique. Je lui redonne la main dans le jeu.
En un éclair, il attrape mes poignets et me fait basculer en arrière, mon dos rencontrant doucement la mousse d’un rocher plat derrière moi. Je suis coincée sous lui, son souffle brûlant sur mes lèvres, son regard verrouillé dans le mien. Je suis en feu. Dégoulinante. J’ai envie de lui. Maintenant. Là. Qu’il m’arrache mon short et me prenne sans attendre. Mais il ne bouge pas. Il se contente de me fixer, un sourire joueur au coin des lèvres.
- Ça va ? Tu t’es bien amusée aujourd’hui ? T’as obtenu l’effet escompté ?
- Pas encore complètement, non…
Je l’observe. Son sourire est joueur, mais son regard me dit qu’il est à deux doigts de craquer (mh, deux doigts ça m’irait bien aussi, là…). Il le veut, je le sais. Je le vois hésiter une toute petite seconde. Mais il est fort ce con. Quelle maîtrise ! Il se redresse brusquement :
- On a encore du chemin ma belle, il faut y aller !
Ho. Le. Salaud. Je le regarde s’éloigner, mes pensées sont un chaos brûlant. Mon regard glisse vers mon short. Tache humide. Putain, il a clairement pris l’avantage !
- T’es un enfoiré, tu le sais ?
- Oui oui, je sais.
Son ton est trop satisfait, je le hais. Enfin, presque. Enfin, pas tout à fait. Je l’aime trop, en fait. Il récupère son sac et repart de plus belle. Il sait très bien que je suis au summum de l’excitation, que je suis chaude bouillante. Peut-être même qu’il a vu la tâche humide sur mon short ?
Je n’ai pas dit mon dernier mot. Je prends mon temps
Je traîne un peu à l’arrière. Lorsqu’il remarque que je suis plusieurs mètres derrière lui, il ralentit. Il jette un regard par-dessus son épaule. J’en profite pour essayer de reprendre l’avantage. Je m’arrête près d’un arbre et m’étire. Bras levés au ciel, je cambre mon dos pour faire ressortir mes fesses. Mon short remonte d’un cran sur mes cuisses.
Lentement, je glisse mes doigts sous le bas de mon t-shirt et tire la brassière pour faire apparaître mon téton dressé. Mon doigt décrit de petits cercles tout autour. Je le fixe droit dans les yeux quand ma main glisse lentement dans mon short. Je passe un doigt dans ma fente puis le porte à mes lèvres. Je lèche mon doigt de manière provocante, juste du bout de la langue. Marc scanne rapidement les alentours, puis il remonte rapidement vers moi. Je m’arrête immédiatement et réajuste mes vêtements.
- Haaaaaaaaaaaaa mais non ! T’abuses !
- Je vois même pas de quoi tu parles…
- Tsss…
Il secoue la tête, frustré. Un sourire victorieux se dessine sur mon visage. Je viens de marquer un point, mais je sais aussi que la partie n’est pas finie. J’en ai absolument pas envie d’ailleurs. Toutes ces montées et descentes de désir ont mis tous mes sens en émoi. Je sais qu’au moment où Marc me touchera je jouirai vite, très vite !
Quand nous atteignons enfin la voiture, je jette mon sac à l’arrière de la voiture. Je prends une serviette et l’installe sur le siège passager pour ne pas le salir et m’installe comme si de rien n’était. Marc s’installe à son tour et démarre.
Le silence s’installe. Pas un silence gêné, non. C’est un silence pesant. Electrique. Comme si chacun attendait que l’autre avance la prochaine pièce de l’échiquier. Je prends l’initiative, vu qu’il conduit il ne peut pas faire grand-chose. Je prends sa main et la pose sur ma cuisse dénudée. Il ne résiste pas, mais ne participe pas non plus. Il veut garder le contrôle. Oh, il veut la jouer comme ça ? Je fais lentement glisser sa main vers l’intérieur de ma cuisse. Petit à petit. Juste assez pour voir s’il va craquer. Toujours rien. Mais sa respiration a changé. Je sais qu’il est en train de lutter. Ça m’excite encore plus.
- On dirait qu’il y a pas que l’essence qui brûle dans cette voiture. Je sens la chaleur de ton sexe à 20 centimètres
Bordel. Cette phrase me fait quelque chose. Je serre les jambes pour retenir sa main. Je dois reprendre la situation en main. Lentement, je passe ma main sur son short. Je le déboutonne, le baisse et tire sur son boxer pour libérer son membre.
- Dommage que tu sois en train de conduire, tu peux pas te défendre.
- Je peux toujours m’arrêter tu sais.
- Non, continue, ça m’excite encore plus.
Je glisse mes lèvres près de son oreille
- Reste bien concentré sur la route, alors…
Je me penche en avant et m’approche de son sexe d’où s’est échappé un peu de liquide séminal. J’effleure son gland du bout de la langue. Son corps se tend aussitôt. Je le prends dans ma bouche et le suce lentement. Il essaie de garder son calme, mais je sens que son corps est à bout. Il lutte. Mais cette fois, il perd. En quelques secondes à peine, un grognement sourd s’échappe de sa gorge et il jouit dans ma bouche. Je ne m’y attendais pas, en tout cas pas si tôt, mais je continue sans broncher, le goût salé envahissant mes papilles. Je le sens frissonner sous mes caresses, encore tremblant du plaisir qui vient de le submerger.
- Putain… Dit-il dans un souffle
Je me redresse, le regardant avec un sourire amusé.
- Désolé, souffle-t-il.
- Pourquoi tu t’excuses ? C’était exactement le but recherché.
- Tu m’as tellement excité toute la journée… j’en pouvais plus.
- Tant mieux. Mais je te rappelle que moi, j’ai pas encore eu mon dû !
- Alors on verra ça à la maison…
- J’y compte bien !
- Ho, crois-moi, t’es pas au bout de tes surprises !
Et moi alors ? Il oublie de dire que lui aussi c’est un beau morceau. Pas du genre à passer des heures à la salle, non. Juste naturellement athlétique. Sec, bien proportionné. Un joli petit cul. Et son sexe ? Ah ça, il ne vous le dira certainement jamais. Disons qu’il est dans la norme. Mais bien utilisé. Très bien utilisé.
Bref, on a toujours été proches. Enfin… Si on considère qu’être ensemble à 14 ans, c’est une vraie relation. Ça compte, non ? En tout cas, à chaque fois qu’on s’est recroisés, un petit truc s’allumait en moi. Comme une étincelle. Lui aussi, il le sentait. Mais on s’est perdus de vue. Merci à son ex, qui ne me sentait pas. (J’aurais pu faire un effort et lui rendre la pareille, mais je suis trop polie.) Pendant ce temps, j’ai fait ma vie. Un fils. Une famille. Des histoires. Et pourtant... parfois, dans un coin de ma tête, il revenait. Je me demandais ce qu’il devenait, où il était.
Et puis on s’est retrouvés.
Aujourd’hui, c’est une autre histoire que je vais vous raconter. Une de celles où on aime bien jouer.
Nous adorons la randonnée. Pas pour la performance. Pour l’aventure. Pour les sentiers qui s’ouvrent devant nous. Pour le plaisir de s’y perdre un peu.
Ce matin, on prépare nos affaires. On dépose mon fils chez son père et c’est parti pour un week-end en amoureux.
Ça caille drôlement en ce début de mois de juin. C’est vrai qu’il est tôt. Chaussures lacées, sac à dos en place, on est prêts au départ.
Je jette un coup d’œil à ma tenue. Nouveau legging. Il moule bien mes jambes, mes fesses. Confortable, pratique. Et puis, un peu provocant, aussi. J’ai pris un short pour plus tard, quand le soleil chauffera un peu. Marc m’observe.
- Mh sympa ce bas. C’est nouveau ?
- Oui, je suis passé l’acheter hier.
- Alors balance pas trop tes hanches si tu veux pas que je te le déchire avant la fin de la journée !
- Bah, pour ce qu’il m’a coûté…
- Hahaha ben ça commence bien !
Oui, ça commençait déjà bien. Juste ça et j’ai déjà une vague de chaleur qui me traverse. Faut que je me calme. Sinon, on n’arrivera jamais au sommet. Mais j’ai une envie, juste pour voir.
- Marc ?
- Oui ?
- T’as ajouté des objets non indispensables pour la randonnée dans ton sac ce matin ?
- Du genre ?
- Du genre comme la dernière fois, en Suisse ?
- Haha non pas cette fois…
- Ha. Dommage !
- Comment ça dommage ?
- Ben je sais pas, la dernière j’ai pas pu y goûter, c’est toi qui as volé la vedette !
- Non mais je rêve… C’est moi qui ai subi tes attaques et c’est ma faute ?
- Tu appelles ça « subir » ? A entendre tes gémi…
- Ouais bon ok, j’ai rien dit.
Petit rire. Mais je le connais. Il vient de commencer à imaginer des choses. Très bien. La première manche est pour moi.
On marche. L’air est frais, mais mon corps chauffe vite. L’effort, l’excitation, ou les deux, je sais pas trop. De temps en temps, je sens son regard glisser sur moi. Je fais semblant de ne pas m’en apercevoir, mais chaque fois que je ralentis, il me frôle légèrement en passant à côté, juste assez pour me faire frémir.
Arrivés à une clairière, il s’arrête et pose son sac.
- Petite pause boisson ?
- Oui… j’en ai besoin !
J’attrape ma gourde et commence à boire. Un frisson me parcourt quand un souffle chaud caresse mon cou. Tu sais, ce genre de frisson qui n’a rien à voir avec le froid.
Sa main glisse lentement sur mon bras. Un geste presque innocent, et pourtant une onde de chaleur se diffuse en moi. Il sait ce qu’il fait, le bougre. Je ne bouge pas. J’attends. Je savoure chaque seconde de cette attente insupportable. Il se rapproche encore, ses lèvres effleurent ma nuque.
Je penche la tête en arrière, m’abandonnant à ses caresses. Je l’imagine déjà passer sa main sous mon t-shirt, son doigt s’enroulant autour de mon téton dressé. Son autre main écartant l’élastique de mon bas pour atteindre mon string.
- On devrait repartir.
- …
Ho le salaud !
Je cligne des yeux. Il est déjà en train de remettre son sac, un sourire en coin.
J’expire lentement, essayant de calmer les battements de mon cœur. Ok, je vois le jeu. Il veut me rendre folle. Il veut que je sois celle qui craque en premier. Soit, jouons encore.
Je remets mon sac à dos et le rejoins, feignant l’indifférence. Nous marchons en silence pendant un moment, mais je sais qu’il m’observe. Je sens son regard se poser sur moi à intervalles réguliers, surveillant mes réactions.
Nous continuons notre marche jusqu’au sommet. Il est temps de prendre une pause plus longue. Le soleil s’est levé et il commence à chauffer. La sensation est agréable.
C’est alors que l’idée me traverse l’esprit. Une idée délicieusement provocante.
- Je vais aller faire un petit pipi derrière un rocher un peu plus loin.
Je prends mon sac et m’éloigne un peu. Un regard circulaire autour de moi, personne à l’horizon. Mes doigts glissent sous mon legging. D’un geste discret, je fais glisser mon legging le long de mes cuisses, laissant tomber le tout jusqu’à mes chevilles. Le vent sur ma peau nue me fait frissonner. Je devrais peut-être me rhabiller avant de trop apprécier cette liberté.
Je sors le short de mon sac. Je l’adore. Gris clair, bien moulant, assez court pour dévoiler le pli de mes fesses, sans en montrer trop. Je m’accroupis pour l’enfiler. Un instant d’hésitation. Pourquoi garder ma culotte ? Une idée me traverse l’esprit. Je me débarrasse du bout de tissus.
Je me penche légèrement pour ramasser ma culotte. Je la glisse dans la poche de mon sac et enfile mon short à même la peau. Oh oui, voilà qui change la donne !
Et ma brassière. Elle est un peu serrée non ? Et si… et si ? J’hésite. Je secoue la tête. Non, c’est peut-être un peu « too much ».
Je retiens un sourire en revenant vers lui, comme si de rien n’était. Il fait mine de ne rien avoir remarqué, mais ses yeux écarquillés me laissent comprendre qu’il n’est pas indifférent à ma tenue.
On finit la pause sans rien laisser transparaître, puis nous reprenons la marche.
Quelques minutes plus tard, je le vois accélérer pour marcher à ma hauteur.
- T’as changé de tenue derrière ton rocher tout à l’heure, mais j’ai l’impression que t’as oublié un détail…
- Ah oui ? Quel détail ?
- J’sais pas, j’crois bien que t’as un peu trop d’air sous ce short, non ?!
Ha ça y est. Il a capté. Ou alors, il devine et il veut me faire avouer.
Je glisse une main dans la poche de mon sac et referme mes doigts sur le tissu de ma culotte. Puis, me rapprochant de lui, la lui tends discrètement.
- C’est ça que tu cherches ?
Il s’arrête net. Un bug d’une fraction de seconde. Je crois que je viens de déclencher un court-circuit dans son cerveau. Puis son regard change. Il prend le tissu entre ses doigts, le porte à son nez. Il ferme brièvement les yeux, inspire légèrement et un sourire en coin se dessine sur son visage.
Là je me dis que ce mec est encore plus vicieux que moi. Et j’aime ça. J’adore ça !
Il me fixe droit dans les yeux, sort la langue et lèche le bout de tissu d’un air provocateur. Il le plie ensuite soigneusement et le range dans sa poche.
- T’en auras certainement plus besoin pour aujourd’hui.
Je devine dans sa voix l’effet que ça lui fait. Ça l’a retourné autant que moi. D’ailleurs, là j’aimerais bien qu’il me retourne. Je suis fière de mon coup. Mais aussi incroyablement excitée par la situation.
Je reprends la marche avec un sourire satisfait, mais à l’intérieur c’est la tempête. Chaque pas, chaque mouvement me rappelle que je ne porte plus rien sous mon short. Et je sais qu’il y pense aussi. À chaque fois que le vent s’engouffre légèrement entre mes cuisses, je ressens une vague de chaleur qui me fait presque regretter mon audace. Presque…
Je décide de pousser le jeu un peu plus loin. Juste parce que j’adore voir jusqu’où il peut tenir.
- T’es sûr de pas avoir pris un petit jouet cette fois ?
- Pourquoi ? Tu regrettes déjà ?
- Je me dis juste que ça aurait pu être… intéressant, vu la situation.
- Intéressant comment ?
- Disons que j’aurais apprécié un peu plus de stimulation avec les frottements…
Je le vois déglutir. Bingo !
Il passe une main dans ses cheveux, comme s’il essayait de garder son calme, d’évacuer une pensée gênante.
- Putain, Aline… tu sais que tu joues avec le feu, là ?
- C’est pas trop avec le feu que j’aimerais jouer, là tout de suite
Sa main vient se poser sur ma hanche et serre légèrement. Son pouce glisse à peine, comme une menace.
- Tu vas le regretter…
- Paroles, paroles et paroles… Dis-je en chantonnant
Nous continuons à marcher, mais l’air est maintenant chargé d’une tension presque insoutenable. Chaque pas est une torture délicieuse, chaque mouvement de mon short contre ma peau me rappelle que je suis nue en dessous. Et je sais que Marc en est tout aussi conscient.
Je l’observe du coin de l’œil. Je l’aperçois parfois ajuster son short discrètement. Enfin, il essaye. Mais ce tissu n’a pas beaucoup de marge de manœuvre. Ah, je l’ai eu, je joue avec lui et il le sait. Il lutte, mais il aime. Il me hait pour ça, mais il adore.
J’accélère un peu le pas, prenant volontairement une légère avance. Je sens son regard brûler mon dos – ou plutôt, mes fesses. Je le sais, je le devine. Je joue avec lui, mais il ne tardera pas à reprendre le contrôle. Le sentier devient plus étroit, nous forçant à marcher l’un derrière l’autre. Parfait. Je ralentis légèrement, histoire qu’il me rattrape. Et pile au moment où il est juste derrière moi, je fais mine de trébucher. Mon poids bascule en arrière, son torse percute mon dos, ses mains se referment immédiatement sur mes hanches pour me stabiliser. Un réflexe. Mais il ne me lâche pas immédiatement.
- Oups… désolée…
Ma voix est faussement innocente, mais je sens la pression de ses doigts qui se resserre un instant avant qu’il ne se force à reculer. Il souffle lentement, comme s’il essayait de garder le contrôle.
- Aline…
- Oui ?
J’attends la suite. J’ai gagné là, non ? Il va craquer ? Non. Non, il me dépasse, me jetant un regard en coin avant de reprendre la marche, légèrement plus vite cette fois. Comme s’il avait besoin de prendre de la distance. Je souris, mais ma victoire est de courte durée. Quelques minutes plus tard, nous atteignons un replat offrant une vue spectaculaire sur la vallée en contrebas. Marc s’arrête, pose son sac au sol et se tourne vers moi. Son regard est… Ok. Alerte rouge.
- Pause.
Son ton ne laisse aucune place à la discussion. Il s’assoit sur un rocher et m’observe. Juste ça. Il attend. L’intensité dans son regard me fait presque hésiter, mais je décide de ne pas me laisser impressionner. Je m’approche lentement et m’assois à côté de lui. Silence. Le vent souffle doucement autour de nous. Puis il se penche et me murmure à l’oreille :
- T’as une idée du nombre de fois où j’ai imaginé te prendre depuis qu’on a commencé cette randonnée ?
- Même pas une fois, j’imagine !
Mensonge évident. Je me mords la lèvre, tentant de garder mon calme, mais mon corps entier réagit à ses mots. Il le sait. Je sens ses doigts glisser lentement sur ma cuisse nue. Légers. Trop légers, frôlant la peau juste au-dessous de mon short.
- C’est malin, ça… venir randonner sans culotte. Ça ne se fait pas, ma p’tite dame !
- Désolé, un méchant monsieur me l’a volée !
- Et maintenant ?
Sa main remonte légèrement, effleurant l’intérieur de ma cuisse. Juste assez pour me faire perdre le fil de mes pensées.
- Maintenant… je veux voir jusqu’où tu comptes aller.
Erreur stratégique. Je lui redonne la main dans le jeu.
En un éclair, il attrape mes poignets et me fait basculer en arrière, mon dos rencontrant doucement la mousse d’un rocher plat derrière moi. Je suis coincée sous lui, son souffle brûlant sur mes lèvres, son regard verrouillé dans le mien. Je suis en feu. Dégoulinante. J’ai envie de lui. Maintenant. Là. Qu’il m’arrache mon short et me prenne sans attendre. Mais il ne bouge pas. Il se contente de me fixer, un sourire joueur au coin des lèvres.
- Ça va ? Tu t’es bien amusée aujourd’hui ? T’as obtenu l’effet escompté ?
- Pas encore complètement, non…
Je l’observe. Son sourire est joueur, mais son regard me dit qu’il est à deux doigts de craquer (mh, deux doigts ça m’irait bien aussi, là…). Il le veut, je le sais. Je le vois hésiter une toute petite seconde. Mais il est fort ce con. Quelle maîtrise ! Il se redresse brusquement :
- On a encore du chemin ma belle, il faut y aller !
Ho. Le. Salaud. Je le regarde s’éloigner, mes pensées sont un chaos brûlant. Mon regard glisse vers mon short. Tache humide. Putain, il a clairement pris l’avantage !
- T’es un enfoiré, tu le sais ?
- Oui oui, je sais.
Son ton est trop satisfait, je le hais. Enfin, presque. Enfin, pas tout à fait. Je l’aime trop, en fait. Il récupère son sac et repart de plus belle. Il sait très bien que je suis au summum de l’excitation, que je suis chaude bouillante. Peut-être même qu’il a vu la tâche humide sur mon short ?
Je n’ai pas dit mon dernier mot. Je prends mon temps
Je traîne un peu à l’arrière. Lorsqu’il remarque que je suis plusieurs mètres derrière lui, il ralentit. Il jette un regard par-dessus son épaule. J’en profite pour essayer de reprendre l’avantage. Je m’arrête près d’un arbre et m’étire. Bras levés au ciel, je cambre mon dos pour faire ressortir mes fesses. Mon short remonte d’un cran sur mes cuisses.
Lentement, je glisse mes doigts sous le bas de mon t-shirt et tire la brassière pour faire apparaître mon téton dressé. Mon doigt décrit de petits cercles tout autour. Je le fixe droit dans les yeux quand ma main glisse lentement dans mon short. Je passe un doigt dans ma fente puis le porte à mes lèvres. Je lèche mon doigt de manière provocante, juste du bout de la langue. Marc scanne rapidement les alentours, puis il remonte rapidement vers moi. Je m’arrête immédiatement et réajuste mes vêtements.
- Haaaaaaaaaaaaa mais non ! T’abuses !
- Je vois même pas de quoi tu parles…
- Tsss…
Il secoue la tête, frustré. Un sourire victorieux se dessine sur mon visage. Je viens de marquer un point, mais je sais aussi que la partie n’est pas finie. J’en ai absolument pas envie d’ailleurs. Toutes ces montées et descentes de désir ont mis tous mes sens en émoi. Je sais qu’au moment où Marc me touchera je jouirai vite, très vite !
Quand nous atteignons enfin la voiture, je jette mon sac à l’arrière de la voiture. Je prends une serviette et l’installe sur le siège passager pour ne pas le salir et m’installe comme si de rien n’était. Marc s’installe à son tour et démarre.
Le silence s’installe. Pas un silence gêné, non. C’est un silence pesant. Electrique. Comme si chacun attendait que l’autre avance la prochaine pièce de l’échiquier. Je prends l’initiative, vu qu’il conduit il ne peut pas faire grand-chose. Je prends sa main et la pose sur ma cuisse dénudée. Il ne résiste pas, mais ne participe pas non plus. Il veut garder le contrôle. Oh, il veut la jouer comme ça ? Je fais lentement glisser sa main vers l’intérieur de ma cuisse. Petit à petit. Juste assez pour voir s’il va craquer. Toujours rien. Mais sa respiration a changé. Je sais qu’il est en train de lutter. Ça m’excite encore plus.
- On dirait qu’il y a pas que l’essence qui brûle dans cette voiture. Je sens la chaleur de ton sexe à 20 centimètres
Bordel. Cette phrase me fait quelque chose. Je serre les jambes pour retenir sa main. Je dois reprendre la situation en main. Lentement, je passe ma main sur son short. Je le déboutonne, le baisse et tire sur son boxer pour libérer son membre.
- Dommage que tu sois en train de conduire, tu peux pas te défendre.
- Je peux toujours m’arrêter tu sais.
- Non, continue, ça m’excite encore plus.
Je glisse mes lèvres près de son oreille
- Reste bien concentré sur la route, alors…
Je me penche en avant et m’approche de son sexe d’où s’est échappé un peu de liquide séminal. J’effleure son gland du bout de la langue. Son corps se tend aussitôt. Je le prends dans ma bouche et le suce lentement. Il essaie de garder son calme, mais je sens que son corps est à bout. Il lutte. Mais cette fois, il perd. En quelques secondes à peine, un grognement sourd s’échappe de sa gorge et il jouit dans ma bouche. Je ne m’y attendais pas, en tout cas pas si tôt, mais je continue sans broncher, le goût salé envahissant mes papilles. Je le sens frissonner sous mes caresses, encore tremblant du plaisir qui vient de le submerger.
- Putain… Dit-il dans un souffle
Je me redresse, le regardant avec un sourire amusé.
- Désolé, souffle-t-il.
- Pourquoi tu t’excuses ? C’était exactement le but recherché.
- Tu m’as tellement excité toute la journée… j’en pouvais plus.
- Tant mieux. Mais je te rappelle que moi, j’ai pas encore eu mon dû !
- Alors on verra ça à la maison…
- J’y compte bien !
- Ho, crois-moi, t’es pas au bout de tes surprises !
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Intéressant cette version féminine, continuer les histoires, on adore !

