Série insolite. Épisode 21 « Sarah » : Baisée en pleine séance de cinéma. Partie 12/13
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série insolite. Épisode 21 « Sarah » : Baisée en pleine séance de cinéma. Partie 12/13
En un an et demi, j’avais connu d’innombrables partenaires, pour la plupart des parfaits inconnus. Souvent je me retrouvais nue, les yeux bandés au milieu du salon où un matelas remplaçait le grand tapis en laine, pour vivre des trios que j’appréciais de plus en plus. Ces petites parties toujours organisées par Gédéon étaient filmées. Ces types choisis par mon amant venaient uniquement pour me baiser. Je ne me posais plus de question, j’adorais ça et je savais que c’était pour mon plaisir et celui de William. Cela se déroulait souvent de la même manière, un des hommes se plaquait derrière-moi en posant ses mains sur mes hanches pendant qu’un autre prenait mes deux seins et que le troisième frottait son sexe contre ma bouche en disant des choses telles : « Putain ! Elle est bonne cette salope. » ou « Quel cul elle a, cette pute. » ou encore « Ouvre la bouche sale chienne et suce-moi. »
Je n’avais pas envie de refuser quoi que ce soit à Gédéon, je devais accepter ce que me faisaient vivre ces types. William désirait m’offrir à trois inconnus sans m’en parler au préalable. Une heure après, je ne me rappelais plus de leurs prénoms, il s’agissait souvent d’hommes d’âge mûr, voire bien avancé. Je devais faire un effort car je ne désirais pas décevoir mon homme. Je ne me forçais plus, après qu’un type m’enfilait un doigt puis deux, voire quelques fois trois, je jouissais en arrosant le trio, j’étais déjà conquise et ne pensais plus à rien, qu’à mon plaisir.
En principe les inconnus faisaient une tournante, ils échangeaient leur poste régulièrement, tout en étant de plus en plus brutaux avec moi, ils ne me laissaient pas récupérer de mes jouissances. J’étais épuisée, je passais plus d’une heure à me faire baiser comme une chienne et j’aimais ça. Tout était filmé et William recevait les images en direct dans la chambre d’à côté. Lorsque Gédéon m’enlevait le bandeau, Je reconnaissais quelques fois des amis de mon mari que j’avais déjà rencontré, des hommes de soixante-dix ans. J’avais honte pour eux qui trompaient leurs épouses.
Le plus drôle, c’était lorsque la porte du salon s’ouvrait sur mon futur mari, sa queue en érection à la main. William prenait possession de ma bouche, pendant que les trois septuagénaires et Gédéon venaient autour de moi pour se branler et m’envoyer tour à tour leur sperme sur le visage et sur ma poitrine. J’étais humiliée, du sperme sur les yeux, je me sentais souillée par ce foutre sur ma peau. Malgré cela, j’appréciais et j’étais fière d’avoir satisfait une nouvelle fois William qui était heureux de mes performances.
Ces expériences et celle des agents de sécurité, lui démontrait que j’étais prête à tout pour son propre plaisir et le mien par la même occasion.
Quelques fois, le mercredi après-midi, il me laissait les yeux bandés dans la salle de réunion. J’étais aux prises avec quatre partenaires inconnus, pendant une heure et demi. Lorsque Gédéon me libérait les yeux, je voyais ces types âgés très satisfaits. Je fus baisée sans retenu, devant la caméra, comme une vraie pute par des vieux qui s’en étaient donnés à cœur joie, en m’humiliant et en m’insultant mais j’appréciais de voir le regard enchanté des types qui éjaculaient sur moi. Même si dans ces parties de l’après-midi, je ne jouissais pas énormément, je jubilais, rien qu’à l’idée de savoir que le soir venu, j’avais ma récompense. Gédéon ne manquait jamais de me faire vivre une soirée mémorable et de voir William se branler devant nous, cela augmentait la puissance de mes orgasmes.
Pendant les six derniers mois, j’étais devenue une pute pour vieux. En effet, tous les hommes que choisissait pour moi Gédéon, étaient en principe que des septuagénaires qui ne prenaient plus de plaisir avec leurs épouses. D’autre part, aucun d’entre eux n’avait un pénis de plus de quinze centimètres et encore, ils étaient peu nombreux, la moyenne tournait plus autour de treize. J’avais compris que c’était le moyen de me garder sous son emprise, il savait que j’étais accroc à son beau phallus, je ne devais pas m’habituer à celle d’un autre, même si quelques fois je retrouvais dans nos parties de sexe, certains vieux m’ayant déjà baisée. Ceux-ci n’avaient qu’une petite bite et étaient obligés de prendre une pilule bleue avant de venir s’amuser avec la salope que j’étais devenue.
Je n’en revenais pas moi-même, j’étais parvenue à me transformer, j’étais devenue une vraie chienne en chaleur, j’avais tout le temps envie de sexe, j’en voulais toujours plus, les trois soirs que venait passer Gédéon à la maison et les parties de sexe une fois par semaine avec tous ces vieux ne suffisaient plus, je ne pensais qu’à me faire baiser sans retenu et recevoir ma récompense. J’étais accroc de sexe et je ne vivais que pour ça, je voulais en profiter car je savais qu’après mon mariage tout s’arrêterait car nous avions prévu de fonder une famille avec au moins deux enfants.
Me voyant friande à ce point, William toujours à l’écoute de mes désirs, me demanda ce que je désirais encore vivre avant le jour J. Sans hésiter un seul instant, je lui expliquai que j’aimerais qu’il me baise dans un lieu public. Lors de ma visite au sexshop, j’avais remarqué qu’il y avait une salle de projection de films porno et je lui dis : « Comme au cinéma par exemple. » William m’embrassa tendrement et me promis de réaliser mon vœu et demanda à Gédéon d’organiser ça.
Celui-ci invita quatre de ses meilleurs amis pour une partie de baise puis s’était arrangé avec Mohamed pour organiser une séance dans sa salle de cinéma le lundi, le soir le plus calme de la semaine et avait réservé les deux premières rangées devant l’écran. Afin que je me retrouve dans des conditions optimales, il était convenu que le gérant remplisse au moins la salle au trois-quarts. Il ne voulait que des figurants hommes et femmes, ne se positionnant qu’en voyeurs. Pour l’occasion, William m’avait conseillé de porter les sous-vêtements et la petite mini robe transparente achetés au sexshop.
La soirée étant fraiche, j’avais un manteau en fourrure qu’il me fit enlever au moment où je pénétrais dans la salle de projection. Même si elle n’était pas immense, j’étais heureuse de voir que celle-ci, était une réplique d’un vrai cinéma. Elle était disposée en trois parties, deux de celles-ci avait six rangées de deux sièges sur les extérieurs et une centrale de cinq fauteuils accolés, le tout séparées par deux allées, devant l’écran surélevé. Cette salle contenait une cinquantaine de places dont plus de la moitié étaient occupées par des gens de tout âge, de toute race et des deux sexes, avec toutefois une bonne majorité d’hommes.
L’écran était encore noir et toutes les lumières éclairaient la salle, dans cette tenue bien plus que sexy, de très nombreux regards se portèrent sur moi, j’en étais ravie. Gédéon et William se placèrent au premier rang sur les sièges de la partie extérieure après que ce dernier m’ait installée sur le fauteuil central devant l’écran entre deux hommes et devant deux autres. Je fus quelques peu déçu de connaitre mes quatre partenaires, j’aurais préféré quatre inconnus mais cette organisation s’était passé si vite que je n’en voulais pas à Gédéon d’avoir choisi ces quatre septuagénaires que j’avais déjà rencontré une fois ou deux lors de parties libertines : Serge, René, Alain et Didier un ami à mon chéri.
Une fois installée confortablement sur mon fauteuil Mohamed fit un signe au projectionniste qui coupa les lumières et le film débuta. L’espace fut plongé dans la pénombre, seuls le faisceau lumineux de projection donnait un éclairage indirect, principalement sur le premier rang où je me trouvais. Sur l’écran, une femme nue à genou suçait déjà un homme pendant qu’un autre lui caressait le minou mais mon attention ne fut pas portée à l’écran, j’étais venue ici pour autre chose. René et Serge placé derrière moi avaient chacun, un de mes seins dans les mains qu’ils massaient, malaxaient et soupesaient, pendant qu’à côté de moi, les mains et les doigts d’Alain et de Didier prenaient possession de ma chatte qui commençait fortement à mouiller et de mon anus pour un double doigtage. Mes mains étaient elle aussi occupées, ma droite branlait délicatement la bite de Didier et mes doigts de la gauche, s’activaient autour des douze centimètres du pénis bien dur d’Alain.
Les râles et gémissements de la blonde à l’écran, couvraient les miens, ces quatre mains me donnaient incontestablement du plaisir. Très vite mes sous-vêtements disparurent, il ne me restait plus que ma mini robe qui ne me couvrait à peine. J’avais écarté un peu plus mes cuisses pour faciliter la main d’Alain de rentrer en action. Pendant ce merveilleux fist, des doigts me trituraient les tétons et deux de Didier perforaient mon anus. J’étais dans un délire total, je me cambrais vers l’arrière, j’haletais puis au moment où j’atteins mon premier orgasme, je poussai de petite cris qui ne passèrent pas inaperçus.
Je constatai avec joie que les places inoccupées des deux premières rangées avaient trouvé preneurs. Il semblait que le spectacle que j’offrais était plus important pour eux que le film qui passait à l’écran. Je m’étais agenouillée sur mon siège, je suçais la petite queue de Serge afin de laisser tout le loisir à mes deux voisins de poursuivre leurs doigtages qui me faisais mouiller de plus belle, des filets de cyprine coulaient le long de mes jambes. Le sexe très raide de René avait pris la place de Serge qui venait de se vider dans ma bouche, je m’attelais à le faire éjaculer à son tour. Comme me l’avait demandé Gédéon, je ne devais faire à ses amis que des fellations et masturbations. C’était la raison pour laquelle, mes deux mains branlaient énergiquement les deux bites d’Alain et de Didier.
J’avais une nouvelle fois réussi ma mission, mes doigts étaient tous recouvertes de sperme et ma bouche reçut la semence de René. Les quatre septuagénaires éjaculèrent mais continuaient leur pelotage et leur doigtage, jusqu’à mon deuxième orgasme. Je me retournai et m’installai normalement sur mon fauteuil, satisfaite de leur avoir donné du plaisir. Je n’étais pas pour autant, tout à fait comblée, j’attendais que mes petits vieux récupèrent en regardant la fin du film, tout en observant ces voyeurs se branler également.
Après ma seconde jouissance, je fus étonnée de ne pas avoir eu la petite surprise que Gédéon m’avait promise. Je le regardais régulièrement, je pensais qu’il allait venir me prendre devant tout ce public, une bonne trentaine de spectateurs étaient présents à cette séance qui ne tarderait pas à se terminer. Cependant, celui-ci restait stoïque assis confortablement dans son fauteuil aux côtés de William. C’est alors que j’aperçus Mohamed descendre l’allée aux côtés de deux jeunes maghrébins. Il me montra du doigt et repartit après m’avoir fait un sourire. Mon sang ne fit qu’un tour, lorsque je vis ces deux types venir vers moi l’air menaçant. Immédiatement j’avais pensé qu’ils venaient me punir pour m’être donnée en spectacle en public.
Je compris en apercevant William me faire un signe que c’était là, ma surprise. Ils me tirèrent de mon siège, déchirèrent le seul petit vêtement qui me restait et me jetèrent à terre. Le film étant terminé, la lumière éclaira la salle, mais le spectacle n’était pas fini pour autant, pour celles ou ceux qui désiraient voir une scène de sexe sauvage en direct :
— Mesdames Messieurs ! Cria Gédéon. J’offre Sarah à ces deux jeunes gens. Vous pouvez donc rester et en profiter.
Puis il enchaina en s’adressant directement aux deux magrébins :
— Baisez-la, faites-en votre jouet, elle est venue pour ça. Leur dit-il en leur tendant des préservatifs.
Assise nue devant l’écran, je remarquai que personne n’avait quitté la salle, toutes et tous s’étaient agglutinées debout dans les allées et derrière la première rangée de sièges, afin d’être au plus près pour assister à la scène qui allait suivre. Les deux jeunes enlevèrent leur pantalon et leur boxer, laissant à ma vue leur bite, assez longue mais fine pour le premier et une un peu plus large et légèrement recourbée pour le second. Rachid me plaça à quatre pattes et mit sa queue dans ma bouche pendant qu’il me massait la tête. Saïd quant à lui avait pris possession de ma chatte mouillée avec ses gros doigts. D’être ainsi à la merci de ces deux types, m’avait mise dans tous mes états.
Saïd me pistonnait de ses deux doigts à toute vitesse tout en excitant mon clitoris. Après quelques minutes à ce rythme, il ne m’avait pas fallu longtemps avant que je parvienne à atteindre un orgasme, en lâchant une quantité de jouissance quittant ma chatte, en longs traits avant d’atterrir sur la moquette du cinéma. Bandant suffisamment, Rachid retira sa queue pour laisser la place à son copain disant : « Allez salope ! Fais-moi une pipe maintenant. » Il m’avait fait m’installer devant lui, debout pliée en deux, les fesses en arrière et pendant que je le suçais il dit à Rachid :
— Baise cette sale pute. Défonce-lui le cul avant que je l’encule, prépare-moi le passage.
Sous les coups de reins sauvages des deux maghrébins qui avaient coordonné leurs mouvements à la perfection. Je m’étais laissé baiser par les deux trous pendant un très long moment. Possédée par ses deux lascars qui faisaient de moi leur chose en changeant régulièrement de place et de positions incongrues, je ne contrôlais plus rien et j’adorais ça. J’avais joui longuement, comme si une décharge électrique me parcourait tout le corps, de la tête aux pieds. Lorsque je pris mon orgasme en criant mon plaisir, je coulais une nouvelle fois comme une fontaine, ce qui les avaient fait se retirer. Ils s’étaient présentés devant moi, leurs queues bandantes devant mon visage et en se branlant et ils explosèrent leur foutre sur mon visage.
Comme au sexshop, il avait fallu qu’un des voyeurs vienne éjaculer sur moi pour qu’une bonne quinzaine de types viennent comme eux se masturber et éjaculer sur mon corps. J’avais reçu une pluie, un orage de sperme sur moi, j’étais trempée, souillée mais ça m’avait énormément plu.
William m’apporta un peignoir éponge, puis après m’avoir essuyé avec, me fit une bise en me disant : « Je t’aime Sarah, c’est fini maintenant. » Pour aller prendre une douche, accompagnée de mon chéri, je traversai la salle à son bras, j’étais très fière car les quelques spectateurs encore présents, me félicitaient à notre passage.
Quel étonnement pour moi, je savais que tout avait une fin mais si près du mariage, je m’apercevais que je regretterais toutes ses parties de sexe que je ne connaitrai plus. Je savais que j’étais bien trop accroc au sexe de Gédéon pour ne pas continuer en cachette, mon amant me l’avait promis. J’étais devenue sa soumise et je ne pouvais plus m’en passer, quelque chose me disait, au plus profond de mon être, que je ne devais pas interrompre la relation que j’entretenais avec ce jeune africain. Cependant je ne savais plus comment faire, ma conscience me disait de tout arrêter comme le suggérait mon chéri. J’aimais William d’un amour profond, j’avais envie de partager ma vie avec lui et d’avoir des enfants.
Avant de ressortir du sexshop, Nabil le fils du gérant profita que Gédéon soit en grande discussion au comptoir, avec son père Mohamed, afin de venir à notre rencontre discrètement et nous dit, en s’adressant à mon homme : « Je suis heureux de vous rencontrer Mr Fischer. Il faut que je vous parle, c’est très urgent. » Intrigué, mon chéri lui demanda de nous dévoiler ce qu’il y avait de si important à lui dire. Cependant celui-ci nous répondit qu’il ne le pouvait pas ici car cela concernait notre chauffeur : « Venez ! Allons dans le bureau de mon père. » Surpris de me voir pâlir, William me regarda, me pris la main et nous avions suivi le fils du gérant.
William fut sidéré d’entendre Nabil rapporter les faits, Gédéon n’avait pas l’intention de me laisser tranquille. Il avait prévu avant le mariage, de me séquestrer afin de faire de moi sa propriété en continuant à m’offrir à un clan africain où je passerais mon temps à me faire baiser dans des caves, ou faire des pipes sur les parkings, faire la pute dans des sexshop de la région et toutes sortes de soirées bizarres. Il désirait me soumettre, en m’initiant à la domination jusqu’à ce que je sois entièrement dépendante de lui : « Si vous ne me croyez pas, demandez à Sarah. » finit-il par dire, puis en me regardant droit dans les yeux il poursuivit : « Avoue-lui tout avant qu’il ne soit trop tard. »
— Dis-moi chérie ! Tu étais au courant de quelque chose ?
J’étais écœurée, jamais je n’aurais pensé à cela, c’était bien réel, je l’aurais suivi dans ses délires mais pas à ce point, les choses allaient trop loin, jamais je n’avais eu l’intention de me séparer de mon chéri. Je ne voulais pas mentir à William, surtout après avoir entendu Nabil qui était un très bon ami à moi (Mon jardin secret). La conversation prit fin, Gédéon était venu nous chercher en disant que la voiture était prête. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sarah, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Je n’avais pas envie de refuser quoi que ce soit à Gédéon, je devais accepter ce que me faisaient vivre ces types. William désirait m’offrir à trois inconnus sans m’en parler au préalable. Une heure après, je ne me rappelais plus de leurs prénoms, il s’agissait souvent d’hommes d’âge mûr, voire bien avancé. Je devais faire un effort car je ne désirais pas décevoir mon homme. Je ne me forçais plus, après qu’un type m’enfilait un doigt puis deux, voire quelques fois trois, je jouissais en arrosant le trio, j’étais déjà conquise et ne pensais plus à rien, qu’à mon plaisir.
En principe les inconnus faisaient une tournante, ils échangeaient leur poste régulièrement, tout en étant de plus en plus brutaux avec moi, ils ne me laissaient pas récupérer de mes jouissances. J’étais épuisée, je passais plus d’une heure à me faire baiser comme une chienne et j’aimais ça. Tout était filmé et William recevait les images en direct dans la chambre d’à côté. Lorsque Gédéon m’enlevait le bandeau, Je reconnaissais quelques fois des amis de mon mari que j’avais déjà rencontré, des hommes de soixante-dix ans. J’avais honte pour eux qui trompaient leurs épouses.
Le plus drôle, c’était lorsque la porte du salon s’ouvrait sur mon futur mari, sa queue en érection à la main. William prenait possession de ma bouche, pendant que les trois septuagénaires et Gédéon venaient autour de moi pour se branler et m’envoyer tour à tour leur sperme sur le visage et sur ma poitrine. J’étais humiliée, du sperme sur les yeux, je me sentais souillée par ce foutre sur ma peau. Malgré cela, j’appréciais et j’étais fière d’avoir satisfait une nouvelle fois William qui était heureux de mes performances.
Ces expériences et celle des agents de sécurité, lui démontrait que j’étais prête à tout pour son propre plaisir et le mien par la même occasion.
Quelques fois, le mercredi après-midi, il me laissait les yeux bandés dans la salle de réunion. J’étais aux prises avec quatre partenaires inconnus, pendant une heure et demi. Lorsque Gédéon me libérait les yeux, je voyais ces types âgés très satisfaits. Je fus baisée sans retenu, devant la caméra, comme une vraie pute par des vieux qui s’en étaient donnés à cœur joie, en m’humiliant et en m’insultant mais j’appréciais de voir le regard enchanté des types qui éjaculaient sur moi. Même si dans ces parties de l’après-midi, je ne jouissais pas énormément, je jubilais, rien qu’à l’idée de savoir que le soir venu, j’avais ma récompense. Gédéon ne manquait jamais de me faire vivre une soirée mémorable et de voir William se branler devant nous, cela augmentait la puissance de mes orgasmes.
Pendant les six derniers mois, j’étais devenue une pute pour vieux. En effet, tous les hommes que choisissait pour moi Gédéon, étaient en principe que des septuagénaires qui ne prenaient plus de plaisir avec leurs épouses. D’autre part, aucun d’entre eux n’avait un pénis de plus de quinze centimètres et encore, ils étaient peu nombreux, la moyenne tournait plus autour de treize. J’avais compris que c’était le moyen de me garder sous son emprise, il savait que j’étais accroc à son beau phallus, je ne devais pas m’habituer à celle d’un autre, même si quelques fois je retrouvais dans nos parties de sexe, certains vieux m’ayant déjà baisée. Ceux-ci n’avaient qu’une petite bite et étaient obligés de prendre une pilule bleue avant de venir s’amuser avec la salope que j’étais devenue.
Je n’en revenais pas moi-même, j’étais parvenue à me transformer, j’étais devenue une vraie chienne en chaleur, j’avais tout le temps envie de sexe, j’en voulais toujours plus, les trois soirs que venait passer Gédéon à la maison et les parties de sexe une fois par semaine avec tous ces vieux ne suffisaient plus, je ne pensais qu’à me faire baiser sans retenu et recevoir ma récompense. J’étais accroc de sexe et je ne vivais que pour ça, je voulais en profiter car je savais qu’après mon mariage tout s’arrêterait car nous avions prévu de fonder une famille avec au moins deux enfants.
Me voyant friande à ce point, William toujours à l’écoute de mes désirs, me demanda ce que je désirais encore vivre avant le jour J. Sans hésiter un seul instant, je lui expliquai que j’aimerais qu’il me baise dans un lieu public. Lors de ma visite au sexshop, j’avais remarqué qu’il y avait une salle de projection de films porno et je lui dis : « Comme au cinéma par exemple. » William m’embrassa tendrement et me promis de réaliser mon vœu et demanda à Gédéon d’organiser ça.
Celui-ci invita quatre de ses meilleurs amis pour une partie de baise puis s’était arrangé avec Mohamed pour organiser une séance dans sa salle de cinéma le lundi, le soir le plus calme de la semaine et avait réservé les deux premières rangées devant l’écran. Afin que je me retrouve dans des conditions optimales, il était convenu que le gérant remplisse au moins la salle au trois-quarts. Il ne voulait que des figurants hommes et femmes, ne se positionnant qu’en voyeurs. Pour l’occasion, William m’avait conseillé de porter les sous-vêtements et la petite mini robe transparente achetés au sexshop.
La soirée étant fraiche, j’avais un manteau en fourrure qu’il me fit enlever au moment où je pénétrais dans la salle de projection. Même si elle n’était pas immense, j’étais heureuse de voir que celle-ci, était une réplique d’un vrai cinéma. Elle était disposée en trois parties, deux de celles-ci avait six rangées de deux sièges sur les extérieurs et une centrale de cinq fauteuils accolés, le tout séparées par deux allées, devant l’écran surélevé. Cette salle contenait une cinquantaine de places dont plus de la moitié étaient occupées par des gens de tout âge, de toute race et des deux sexes, avec toutefois une bonne majorité d’hommes.
L’écran était encore noir et toutes les lumières éclairaient la salle, dans cette tenue bien plus que sexy, de très nombreux regards se portèrent sur moi, j’en étais ravie. Gédéon et William se placèrent au premier rang sur les sièges de la partie extérieure après que ce dernier m’ait installée sur le fauteuil central devant l’écran entre deux hommes et devant deux autres. Je fus quelques peu déçu de connaitre mes quatre partenaires, j’aurais préféré quatre inconnus mais cette organisation s’était passé si vite que je n’en voulais pas à Gédéon d’avoir choisi ces quatre septuagénaires que j’avais déjà rencontré une fois ou deux lors de parties libertines : Serge, René, Alain et Didier un ami à mon chéri.
Une fois installée confortablement sur mon fauteuil Mohamed fit un signe au projectionniste qui coupa les lumières et le film débuta. L’espace fut plongé dans la pénombre, seuls le faisceau lumineux de projection donnait un éclairage indirect, principalement sur le premier rang où je me trouvais. Sur l’écran, une femme nue à genou suçait déjà un homme pendant qu’un autre lui caressait le minou mais mon attention ne fut pas portée à l’écran, j’étais venue ici pour autre chose. René et Serge placé derrière moi avaient chacun, un de mes seins dans les mains qu’ils massaient, malaxaient et soupesaient, pendant qu’à côté de moi, les mains et les doigts d’Alain et de Didier prenaient possession de ma chatte qui commençait fortement à mouiller et de mon anus pour un double doigtage. Mes mains étaient elle aussi occupées, ma droite branlait délicatement la bite de Didier et mes doigts de la gauche, s’activaient autour des douze centimètres du pénis bien dur d’Alain.
Les râles et gémissements de la blonde à l’écran, couvraient les miens, ces quatre mains me donnaient incontestablement du plaisir. Très vite mes sous-vêtements disparurent, il ne me restait plus que ma mini robe qui ne me couvrait à peine. J’avais écarté un peu plus mes cuisses pour faciliter la main d’Alain de rentrer en action. Pendant ce merveilleux fist, des doigts me trituraient les tétons et deux de Didier perforaient mon anus. J’étais dans un délire total, je me cambrais vers l’arrière, j’haletais puis au moment où j’atteins mon premier orgasme, je poussai de petite cris qui ne passèrent pas inaperçus.
Je constatai avec joie que les places inoccupées des deux premières rangées avaient trouvé preneurs. Il semblait que le spectacle que j’offrais était plus important pour eux que le film qui passait à l’écran. Je m’étais agenouillée sur mon siège, je suçais la petite queue de Serge afin de laisser tout le loisir à mes deux voisins de poursuivre leurs doigtages qui me faisais mouiller de plus belle, des filets de cyprine coulaient le long de mes jambes. Le sexe très raide de René avait pris la place de Serge qui venait de se vider dans ma bouche, je m’attelais à le faire éjaculer à son tour. Comme me l’avait demandé Gédéon, je ne devais faire à ses amis que des fellations et masturbations. C’était la raison pour laquelle, mes deux mains branlaient énergiquement les deux bites d’Alain et de Didier.
J’avais une nouvelle fois réussi ma mission, mes doigts étaient tous recouvertes de sperme et ma bouche reçut la semence de René. Les quatre septuagénaires éjaculèrent mais continuaient leur pelotage et leur doigtage, jusqu’à mon deuxième orgasme. Je me retournai et m’installai normalement sur mon fauteuil, satisfaite de leur avoir donné du plaisir. Je n’étais pas pour autant, tout à fait comblée, j’attendais que mes petits vieux récupèrent en regardant la fin du film, tout en observant ces voyeurs se branler également.
Après ma seconde jouissance, je fus étonnée de ne pas avoir eu la petite surprise que Gédéon m’avait promise. Je le regardais régulièrement, je pensais qu’il allait venir me prendre devant tout ce public, une bonne trentaine de spectateurs étaient présents à cette séance qui ne tarderait pas à se terminer. Cependant, celui-ci restait stoïque assis confortablement dans son fauteuil aux côtés de William. C’est alors que j’aperçus Mohamed descendre l’allée aux côtés de deux jeunes maghrébins. Il me montra du doigt et repartit après m’avoir fait un sourire. Mon sang ne fit qu’un tour, lorsque je vis ces deux types venir vers moi l’air menaçant. Immédiatement j’avais pensé qu’ils venaient me punir pour m’être donnée en spectacle en public.
Je compris en apercevant William me faire un signe que c’était là, ma surprise. Ils me tirèrent de mon siège, déchirèrent le seul petit vêtement qui me restait et me jetèrent à terre. Le film étant terminé, la lumière éclaira la salle, mais le spectacle n’était pas fini pour autant, pour celles ou ceux qui désiraient voir une scène de sexe sauvage en direct :
— Mesdames Messieurs ! Cria Gédéon. J’offre Sarah à ces deux jeunes gens. Vous pouvez donc rester et en profiter.
Puis il enchaina en s’adressant directement aux deux magrébins :
— Baisez-la, faites-en votre jouet, elle est venue pour ça. Leur dit-il en leur tendant des préservatifs.
Assise nue devant l’écran, je remarquai que personne n’avait quitté la salle, toutes et tous s’étaient agglutinées debout dans les allées et derrière la première rangée de sièges, afin d’être au plus près pour assister à la scène qui allait suivre. Les deux jeunes enlevèrent leur pantalon et leur boxer, laissant à ma vue leur bite, assez longue mais fine pour le premier et une un peu plus large et légèrement recourbée pour le second. Rachid me plaça à quatre pattes et mit sa queue dans ma bouche pendant qu’il me massait la tête. Saïd quant à lui avait pris possession de ma chatte mouillée avec ses gros doigts. D’être ainsi à la merci de ces deux types, m’avait mise dans tous mes états.
Saïd me pistonnait de ses deux doigts à toute vitesse tout en excitant mon clitoris. Après quelques minutes à ce rythme, il ne m’avait pas fallu longtemps avant que je parvienne à atteindre un orgasme, en lâchant une quantité de jouissance quittant ma chatte, en longs traits avant d’atterrir sur la moquette du cinéma. Bandant suffisamment, Rachid retira sa queue pour laisser la place à son copain disant : « Allez salope ! Fais-moi une pipe maintenant. » Il m’avait fait m’installer devant lui, debout pliée en deux, les fesses en arrière et pendant que je le suçais il dit à Rachid :
— Baise cette sale pute. Défonce-lui le cul avant que je l’encule, prépare-moi le passage.
Sous les coups de reins sauvages des deux maghrébins qui avaient coordonné leurs mouvements à la perfection. Je m’étais laissé baiser par les deux trous pendant un très long moment. Possédée par ses deux lascars qui faisaient de moi leur chose en changeant régulièrement de place et de positions incongrues, je ne contrôlais plus rien et j’adorais ça. J’avais joui longuement, comme si une décharge électrique me parcourait tout le corps, de la tête aux pieds. Lorsque je pris mon orgasme en criant mon plaisir, je coulais une nouvelle fois comme une fontaine, ce qui les avaient fait se retirer. Ils s’étaient présentés devant moi, leurs queues bandantes devant mon visage et en se branlant et ils explosèrent leur foutre sur mon visage.
Comme au sexshop, il avait fallu qu’un des voyeurs vienne éjaculer sur moi pour qu’une bonne quinzaine de types viennent comme eux se masturber et éjaculer sur mon corps. J’avais reçu une pluie, un orage de sperme sur moi, j’étais trempée, souillée mais ça m’avait énormément plu.
William m’apporta un peignoir éponge, puis après m’avoir essuyé avec, me fit une bise en me disant : « Je t’aime Sarah, c’est fini maintenant. » Pour aller prendre une douche, accompagnée de mon chéri, je traversai la salle à son bras, j’étais très fière car les quelques spectateurs encore présents, me félicitaient à notre passage.
Quel étonnement pour moi, je savais que tout avait une fin mais si près du mariage, je m’apercevais que je regretterais toutes ses parties de sexe que je ne connaitrai plus. Je savais que j’étais bien trop accroc au sexe de Gédéon pour ne pas continuer en cachette, mon amant me l’avait promis. J’étais devenue sa soumise et je ne pouvais plus m’en passer, quelque chose me disait, au plus profond de mon être, que je ne devais pas interrompre la relation que j’entretenais avec ce jeune africain. Cependant je ne savais plus comment faire, ma conscience me disait de tout arrêter comme le suggérait mon chéri. J’aimais William d’un amour profond, j’avais envie de partager ma vie avec lui et d’avoir des enfants.
Avant de ressortir du sexshop, Nabil le fils du gérant profita que Gédéon soit en grande discussion au comptoir, avec son père Mohamed, afin de venir à notre rencontre discrètement et nous dit, en s’adressant à mon homme : « Je suis heureux de vous rencontrer Mr Fischer. Il faut que je vous parle, c’est très urgent. » Intrigué, mon chéri lui demanda de nous dévoiler ce qu’il y avait de si important à lui dire. Cependant celui-ci nous répondit qu’il ne le pouvait pas ici car cela concernait notre chauffeur : « Venez ! Allons dans le bureau de mon père. » Surpris de me voir pâlir, William me regarda, me pris la main et nous avions suivi le fils du gérant.
William fut sidéré d’entendre Nabil rapporter les faits, Gédéon n’avait pas l’intention de me laisser tranquille. Il avait prévu avant le mariage, de me séquestrer afin de faire de moi sa propriété en continuant à m’offrir à un clan africain où je passerais mon temps à me faire baiser dans des caves, ou faire des pipes sur les parkings, faire la pute dans des sexshop de la région et toutes sortes de soirées bizarres. Il désirait me soumettre, en m’initiant à la domination jusqu’à ce que je sois entièrement dépendante de lui : « Si vous ne me croyez pas, demandez à Sarah. » finit-il par dire, puis en me regardant droit dans les yeux il poursuivit : « Avoue-lui tout avant qu’il ne soit trop tard. »
— Dis-moi chérie ! Tu étais au courant de quelque chose ?
J’étais écœurée, jamais je n’aurais pensé à cela, c’était bien réel, je l’aurais suivi dans ses délires mais pas à ce point, les choses allaient trop loin, jamais je n’avais eu l’intention de me séparer de mon chéri. Je ne voulais pas mentir à William, surtout après avoir entendu Nabil qui était un très bon ami à moi (Mon jardin secret). La conversation prit fin, Gédéon était venu nous chercher en disant que la voiture était prête. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sarah, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
A quand la suite !!!!
Gedeon doit être viré car trop dangereux et irrespectueux.
A quand la suite ????
A quand la suite ????
Mr Gédeon va t'il subir un blâme de la part de William et se faire virer ou au contraire
recevoir les pleins pouvoir sur Sarah pour satisfaire son candauliste.... À suivre...
recevoir les pleins pouvoir sur Sarah pour satisfaire son candauliste.... À suivre...