Série insolite. Épisode 23 « Carine » : Dépucelé par la meilleure amie de ma mère, mon fantasme
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-08-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série insolite. Épisode 23 « Carine » : Dépucelé par la meilleure amie de ma mère, mon fantasme
Le plus beau jour de ma vie, fut incontestablement le jour où l’amie de ma mère, ma nounou occasionnelle, m’a dépucelé. Je me nomme Xavier, à l’époque, je vivais seul avec ma mère depuis que mes parents s’étaient séparés, six ans auparavant. Maman rencontrait des hommes régulièrement, cependant elle ne les amenait jamais à la maison. Lorsqu’elle sortait, Carine sa meilleure amie, habitant dans le même quartier, me gardait chez elle quand je n’allais pas chez mon père. Étant célibataire et désirant le rester le plus longtemps possible, jusqu’à ma puberté je dormais avec elle. Néanmoins devenant adolescent, comme je fantasmais sur cette femme aux formes aguichantes, je commençais à me masturber en pensant à elle et ce qui ne devait pas arriver, se produisit. Une nuit, couché contre elle qui dormait profondément, j’avais pris sa main dans la mienne et de l’autre, je m’étais astiqué et avait éjaculé dans mon sous vêtement de nuit.
Bien entendu, au réveil, j’avais une tache sur mon pantalon de pyjama et une grosse sur le drap. Carine fut très discrète sur le sujet, lorsqu’elle s’en était aperçue le lendemain matin, elle n’avait fait aucun reproche sur ma masturbation mais la semaine suivante, elle m’avait préparé mon lit dans le clic clac. Plus tard, devenant plus âgé, lorsque ma mère sortait, je restais seul à la maison car Carine de son côté, avait trouvé un chéri, j’en étais devenu jaloux. Ma mère et son amie passaient des soirées entières à raconter leurs histoires d’amour, j’adorais écouter leurs ébats amoureux, dissimulé dans le couloir, avant d’aller dans les toilettes me masturber. Cela dit, venons-en donc au fait ! À cette époque, nous étions la semaine précédant le week-end de la toussaint, Carine avait rompu avec son jules après les vacances et maman avait prévu de passer trois jours avec son nouvel amant en Normandie.
Ne désirant pas que je reste seul à la maison, elle voulait que je passe ce long week-end chez mon père. D’être avec papa ne me gênait pas vraiment, mais je détestais sa compagne et la supporter trois jours, ne me plaisait guère. Vu ma moue et mon désarroi Carine comprit ma forte déception et vint à mon secours :— Pourquoi Xavier ne viendrait-il pas chez moi ? demanda-t-elle à ma mère.
— Je ne voudrais pas t’imposer ça, ta vie est déjà assez compliquée depuis ta rupture.
— Justement, ça me changera les idées et tu sais bien que je ferais n’importe quoi pour Xav, c’est comme mon propre fils.
À ces mots, je me levai et allai prendre Carine par le cou et l’embrassai sur les joues en la remerciant. Pendant le restant de la semaine précédant le départ de ma mère, je ne pensais qu’au moment où j’allais me retrouver seul avec ma nounou adorée, je ne savais pas si j’en étais capable mais j’avais bien l’intention de lui avouer mon secret. En effet, depuis très longtemps, j’étais complètement dingue de cette femme, je n’arrêtais pas de me branler avec sa photo des dernières vacances où elle était en maillot de bain. À la sortie du lycée, j’étais vite rentré chez moi afin de déposer mes affaires, je lus le mot que ma mère avait écrit, me précisant d’être sage et je m’étais précipité chez Carine.
Arrivé chez elle, je lui sautai au cou pour venir me blottir contre elle et l’embrasser sur les joues. Quelle déception, elle me repoussa et recula avec un certain dégout : « Dis-moi Xav, tu aurais pu prendre ta douche. Excuse-moi de te le dire mais tu sens mauvais. » J’étais très vexé, surtout que je savais qu’elle était très maniaque. Je ne savais plus quoi dire, ni que faire, je marmonnai alors quelques excuses : « Allez Xav, ce n’est pas si grave, viens à la salle de bain. » Elle m’accompagna jusqu’à la douche et me dis qu’elle allait m’apporter une serviette propre, en me déposant une petite bise sur la joue, tout en excusant de s’être emportée : « Pardon mon chou, je ne suis pas tout à fait dans mon assiette ces jours-ci. » Tout en rajoutant qu’elle était très exigeante sur la propreté.
Avec cette bise et ses mots doux, j’avais vite oublié ses reproches et en pensant à elle, tout en me savonnant, je me masturbais lentement. Je me trouvais dos à l’entrée, soudain la porte n’étant pas fermée, Carine pénétra sans prévenir dans la salle de bain. Face à mes fesses, elle déposa la serviette en disant : « Tu aurais pu tirer le rideau. » Surpris de sa venue, je sursautai en me retournant avec ma verge en érection dans ma main. Je ne pouvais plus me cacher, j’étais très gêné qu’elle me surprenne et je m’étais aperçu que son regard s’était dirigé immédiatement sur mon entrejambe avant qu’elle ne se retourne pour quitter les lieux : « J’espère que tu as amené des sous-vêtements. » Me lança-t-elle.
— Merde, j’ai oublié mes affaires de rechange.
— Attends, je dois avoir un short de Julien mais je n’ai pas de slip. Tant pis !
Après le repas, elle était partie se démaquiller et se changer, elle avait passé son long tee-shirt de nuit qui recouvrait à peine ses fesses. À cet instant, elle m’annonça qu’elle n’avait plus son clic clap mais qu’elle m’avait préparé un lit improvisé avec un matelas posé à même le sol, dans sa grande chambre : « J’espère que ça ne te dérangera pas car je ne voudrais pas abimer mon canapé tout neuf. » N’ayant pas joui sous la douche, j’avais bandé toute la soirée, nous étions devant la télé côte à côte, je n’avais pas regardé l’émission, mes yeux allaient de l’échancrure de son large débardeur, me dévoilant une partie de sa forte poitrine, au haut de ses cuisses dénudées, me laissant apercevoir de temps en temps, sa petite culotte blanche.
N’ayant aucun maintien au niveau de mon entrejambe, j’étais dans l’obligation de dissimuler l’énorme bosse qui tendait le tissu léger de mon short en polyester. Il n’était pas loin de onze heures lorsque Carine me fit comprendre qu’il était temps d’aller se coucher. Comme je m’en doutais, elle s’était aperçue de mon érection : « Le matelas est à mon voisin, prends un essuie-tout ou passe aux toilettes, je ne voudrais pas lui rendre tout tâché. » Carine venait de sortir la phrase qui tue, mon envie retomba dans les oubliettes immédiatement. Me voyant une nouvelle fois très gêné, elle s’approcha de moi et me fit la bise et pour remettre un peu d’ambiance, elle me nargua : « J’espère que je ne te réveillerai pas, je ronfle la nuit. » Me dit-elle en pouffant de rire.
Le matelas était bien trop inconfortable pour que je puisse m’endormir, pendant plus d’une heure je me tournais et retournais dans mon lit en pestant à voix basse, pensant que Carine dormait. Cependant elle non plus, ne dormait pas, elle avait des remords de m’avoir installé dans ce lit improvisé : « Xav, tu n’arrives pas à dormir ? Si tu es si mal installé que ça, viens dormir avec moi. » Je sautai sur l’occasion, pendant des années je rêvais de redormir à ses côtés : « Ce n’est pas de refus, je ne voudrais pas te vexer, mais franchement c’est comme si je dormais sur le parquet. » Dis-je en me faufilant sous les draps.
Il faisait très chaud chez elle, j’avais enlevé mon tee-shirt avant de m’allonger, Carine s’était levé et éteint la lumière. Lorsqu’elle était revenue, j’aperçus dans la peine ombre qu’elle avait chaud également car elle avait passé une nuisette beaucoup plus fine. Elle se glissa sous la couette en évitant que nos corps se touchent, elle me tournait le dos, alors que j’étais tourné vers elle. Pendant plusieurs minutes, nous étions restés silencieux, j’avais très envie de lui dire que je l’aimais, mon érection était à son apogée, je n’arrivais toujours pas à m’endormir :— Tu ne dors pas Xav ? Je suis contente d’avoir quelqu'un pour me tenir compagnie. Je me sens très seule tu sais, depuis que Julien est parti. Dit Carine en se reculant un peu vers moi.
Nos corps s’étaient insensiblement rapprochés, le bout de ma queue touchait la peau d’une de ses fesses. Je pris l’initiative de passer mon bras sur elle, ma main posée sur son ventre. Je m’attendais franchement à ce qu’elle la retire en protestant mais ce ne fut pas le cas, au contraire : « C'est vraiment bon de se sentir aimé. » Dit-elle en se poussant un peu contre mon sexe. Ne voulant pas paraitre trop opportuniste, je me reculai afin qu'elle ne remarque pas mon érection. Cependant elle continua sa pression en se collant un peu plus à moi en remuant du cul, jusqu’à ce que ma bite soit prisonnière dans la raie de ses fesses :— Voilà qui est mieux, tu ne crois pas ? Dit-elle en prenant ma main posée sur son ventre. Tu aimes Xav ?
— J’en rêve depuis toujours, tu m’excites.
Elle eut un petit rire, caressa ma main puis après un moment de silence, tandis qu’elle frottait doucement son cul toujours contre ma queue, elle me demanda si je me masturbais en pensant à elle : « Depuis bien longtemps, tu hantes mes pensées jours et nuits. »— C'est très flatteur qu’un beau garçon puisse être excité par sa vieille nounou.
— Tu as à peine quarante ans, tu n’es pas vieille et moi, me prends-tu encore pour un bébé ?
— D’après ce que j’ai vu sous la douche et ce que je ressens contre mon cul, je dois avouer que tu es un homme, un vrai. J’ai sommeil Xav, veux-tu que je te branle ?
Il était évident que Carine ne voulait pas aller trop loin avec moi, sans attendre ma réponse, elle se retourna, baissa mon short et pris ma queue dans la main. Elle alluma la lumière car elle me dit qu’elle voulait voir mon beau pénis. Elle retira de l’essuie-tout du tiroir de son chevet et me caressa la verge délicieusement d’une main tandis que l’autre, elle me massait les testicules. Tellement surexcité, il ne m’avait pas fallu longtemps pour j’explose, j’éjaculai en grand jets sur mon ventre, Carine essuya le sperme coulé sur sa main et se retourna : « Essuie toi et n’en mets pas partout. » Dit-elle d’un ton assez froid.
D’un côté, j’étais aux anges, je n’avais jamais joui autant et si fort mais de l’autre je sentais que Carine regrettait déjà ce qu’elle venait de faire, pourtant j’avais vraiment eu l’impression qu’elle avait pris un certain plaisir dans cette masturbation. Je me collai contre elle, avait remis mon bras sur elle et m’apercevant qu’elle avait quelques petits sanglots, je lui déposai un petit baiser dans le cou en lui disant merci. Après un long silence, je pris le taureau par les cornes, ces quelques minutes de réflexion m’avaient permis de prendre conscience qu’il fallait que je me lance, je devais lui avouer franchement que j’étais puceau : « Tu sais Carine, je n’ai encore jamais fait l’amour et j’aimerais tant le faire avec toi. »
— C’est impossible mon chéri. Me répondit-elle en se retournant.
— Mais je t’aime Carine, tu ne peux pas l’imaginer.
— On ne peut pas Xav, ce serait malsain. Tu penses à ta mère, ce serait une trahison.
— Dis-moi franchement ! Tout à l’heure, tu n’en avais pas envie ?
— Si bien sûr, j’étais très excitée mais je me sens fautive…— Arrête ! personne ne le saura. Lui dis-je en me penchant vers elle et en venant poser mes lèvres sur les siennes.
Carine s’abandonna entièrement dans ce baiser plein de fougue, elle posa une main sur ma fesse, l’autre dans mes cheveux et m'attira encore plus contre elle. Il se passa quelques secondes sans que je puisse réagir alors que je sentais mon sexe reprendre de la grosseur. Ce fut elle qui rompit le silence, voyant que je ne prenais aucune initiative, elle le fit pour moi, elle remuait le bassin contre mon membre durci et déboutonna sa nuisette : « Caresse-moi les seins, je sais que tu les admires. » Je passai ma main l'intérieur de la nuisette ouverte et pour la première fois, je touchais enfin cette poitrine qui m’avait tant fait rêver. Ses seins étaient gros, fermes, je les pelotais, massais, je prenais plaisir à jouer avec ses mamelons qui se dressaient, s’allongeaient et durcissaient entre mes doigts.
Carine frottait toujours sa vulve contre mon sexe, sa respiration s’accélérait, elle gémissait : « Mon dieu, que c’est bon ! Continu mon chéri, suce-les. » Je fis ce qu’elle attendait de moi, je passai ma tête entre sa nuisette ouverte et me penchai sur sa poitrine qu’elle m’offrait, tout en accélérant les mouvements de bassin. Elle me prit la tête entre ses deux mains et j’embrassais chaque téton à tour de rôle, je les suçais doucement : « C’est super Xav ! Oh c’est bon appuie ta queue contre moi. » Murmura-t-elle à mon oreille.
Je l'embrassai sur la bouche, ses lèvres s'ouvrirent doucement, puis s'ouvrirent de plus en plus sous la pression de ma langue, elle n’avait plus aucun scrupule, elle répondait avec ardeur. J’alternais entre sa poitrine et sa bouche, ce fut à cet instant qu’elle me repoussa, se leva, enleva sa culotte et sa nuisette en me demandant de retirer mon dernier rempart. Puis elle se recoucha exposant son corps entièrement nu devant moi. Je trouvais sa petite chatte magnifique avec son pubis recouvert d’une fine toison de poils noirs. Pressée d’en découdre, elle écarta les jambes, tout en me guidant entre ses cuisses : « Viens maintenant mon chéri. » Carine posa sa main sur mon sexe, enfila une capote qui emprisonna mon pénis et le frotta quelques secondes entre ses lèvres.
Elle était trempée, de la cyprine suintait de l’intérieur. Ma nounou adorée guida ma queue dans son vagin en me demandant de pousser vers l'intérieur. « Oh Mon dieu ! Elle est plus grosse que ce que je pensais. Enfonce-toi ! » Cria-t-elle en me tenant fortement par les fesses. Quel sentiment d’orgueil d'avoir la possibilité de pénétrer pour la première fois sa bite dans une chatte, surtout celle d’une femme qui au départ était pour moi inaccessible. Ce fut Carine qui donnait le rythme, je synchronisais mes va et viens avec son bassin, mes testicules cognaient contre fesses à chaque coup de boutoirs.
Chaque poussée était un pur plaisir, Carine était autant excitée que moi, elle mouillait beaucoup et gémissait en disant : « Mmm ! c'est trop bon. » Nous étions dans le même tempo, assez lent afin que je n'éjacule pas trop vite. Elle me prit la tête entre ses mains et m’embrassa de nouveau. Nous continuions à nous embrasser amoureusement pendant que nous baisions de plus en plus fort, ses mouvements de hanches m’entrainaient dans des aller-retours très rapide. Je ne pus attendre plus longtemps avant de jouir, Carine remua son corps violement et mes coups de rein, faisant pénétrer profondément ma queue dans sa petite chatte juteuse, la fit crier fortement.
Elle émettait des gémissements, des ronronnements et me pressa fortement contre elle pendant que je me déversais dans ma capote. Puis elle se détendis tout d'un coup et s'effondra sous moi. Nous étions épuisés, ma bouche encore sur la sienne, ma bite encore tremblante à l'intérieur de sa chatte dégoulinante. Nous restions immobiles avant que je dise :— C’était génial Carine lui dis-je en lui faisant la bise. Tu as joui aussi ?
— Non pas vraiment mais j’ai très apprécié. Ce soir c’était pour ton plaisir, je suis contente et fière d'être ta première fois ! Nous avons trois jours pour que je t’enseigne comment faire jouir une femme. Dors bien et pense à moi. Surtout ne dis jamais rien à ta mère.
Après avoir dormi quelques heures, nous avions recommencé à nous embrasser et nous caresser. Dans la lumière pâle de l'aube, Carine posa sa tête sur mon entrejambe et entrepris une fellation qui me fit durcir ma queue comme jamais. Elle me dit de me laisser aller au plaisir et je fus très surpris qu’elle me demande de me vider sur sa langue. Après ma première pipe, j’eus droit à l’apprentissage de mon premier cunnilingus où je vis de mes propres yeux une femme en plein orgasme, c’était terrible et magique, je bandais de nouveau. Après notre petit déjeuner, nous avions à nouveau refait l'amour.
Pendant mon petit séjour chez Carine, ce fut des grands moments de débauche, la dernière nuit, elle m’avait même demandé de la sodomiser. Nous n’avions fait que manger et baiser, j’étais rentré chez Maman épuisé mais comblé. Carine avait un visage fatigué, cependant ma mère la trouva radieuse. Mon aventure avec ma nounou adorée se prolongea dans le temps, pendant deux ans, nous trouvions toujours un moment pour une petite pipe, un doigtage et une baise rapide et torride. Aujourd’hui marié et satisfait sexuellement, cette histoire avec Carine restera gravée à jamais dans ma mémoire.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Xavier, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Bien entendu, au réveil, j’avais une tache sur mon pantalon de pyjama et une grosse sur le drap. Carine fut très discrète sur le sujet, lorsqu’elle s’en était aperçue le lendemain matin, elle n’avait fait aucun reproche sur ma masturbation mais la semaine suivante, elle m’avait préparé mon lit dans le clic clac. Plus tard, devenant plus âgé, lorsque ma mère sortait, je restais seul à la maison car Carine de son côté, avait trouvé un chéri, j’en étais devenu jaloux. Ma mère et son amie passaient des soirées entières à raconter leurs histoires d’amour, j’adorais écouter leurs ébats amoureux, dissimulé dans le couloir, avant d’aller dans les toilettes me masturber. Cela dit, venons-en donc au fait ! À cette époque, nous étions la semaine précédant le week-end de la toussaint, Carine avait rompu avec son jules après les vacances et maman avait prévu de passer trois jours avec son nouvel amant en Normandie.
Ne désirant pas que je reste seul à la maison, elle voulait que je passe ce long week-end chez mon père. D’être avec papa ne me gênait pas vraiment, mais je détestais sa compagne et la supporter trois jours, ne me plaisait guère. Vu ma moue et mon désarroi Carine comprit ma forte déception et vint à mon secours :— Pourquoi Xavier ne viendrait-il pas chez moi ? demanda-t-elle à ma mère.
— Je ne voudrais pas t’imposer ça, ta vie est déjà assez compliquée depuis ta rupture.
— Justement, ça me changera les idées et tu sais bien que je ferais n’importe quoi pour Xav, c’est comme mon propre fils.
À ces mots, je me levai et allai prendre Carine par le cou et l’embrassai sur les joues en la remerciant. Pendant le restant de la semaine précédant le départ de ma mère, je ne pensais qu’au moment où j’allais me retrouver seul avec ma nounou adorée, je ne savais pas si j’en étais capable mais j’avais bien l’intention de lui avouer mon secret. En effet, depuis très longtemps, j’étais complètement dingue de cette femme, je n’arrêtais pas de me branler avec sa photo des dernières vacances où elle était en maillot de bain. À la sortie du lycée, j’étais vite rentré chez moi afin de déposer mes affaires, je lus le mot que ma mère avait écrit, me précisant d’être sage et je m’étais précipité chez Carine.
Arrivé chez elle, je lui sautai au cou pour venir me blottir contre elle et l’embrasser sur les joues. Quelle déception, elle me repoussa et recula avec un certain dégout : « Dis-moi Xav, tu aurais pu prendre ta douche. Excuse-moi de te le dire mais tu sens mauvais. » J’étais très vexé, surtout que je savais qu’elle était très maniaque. Je ne savais plus quoi dire, ni que faire, je marmonnai alors quelques excuses : « Allez Xav, ce n’est pas si grave, viens à la salle de bain. » Elle m’accompagna jusqu’à la douche et me dis qu’elle allait m’apporter une serviette propre, en me déposant une petite bise sur la joue, tout en excusant de s’être emportée : « Pardon mon chou, je ne suis pas tout à fait dans mon assiette ces jours-ci. » Tout en rajoutant qu’elle était très exigeante sur la propreté.
Avec cette bise et ses mots doux, j’avais vite oublié ses reproches et en pensant à elle, tout en me savonnant, je me masturbais lentement. Je me trouvais dos à l’entrée, soudain la porte n’étant pas fermée, Carine pénétra sans prévenir dans la salle de bain. Face à mes fesses, elle déposa la serviette en disant : « Tu aurais pu tirer le rideau. » Surpris de sa venue, je sursautai en me retournant avec ma verge en érection dans ma main. Je ne pouvais plus me cacher, j’étais très gêné qu’elle me surprenne et je m’étais aperçu que son regard s’était dirigé immédiatement sur mon entrejambe avant qu’elle ne se retourne pour quitter les lieux : « J’espère que tu as amené des sous-vêtements. » Me lança-t-elle.
— Merde, j’ai oublié mes affaires de rechange.
— Attends, je dois avoir un short de Julien mais je n’ai pas de slip. Tant pis !
Après le repas, elle était partie se démaquiller et se changer, elle avait passé son long tee-shirt de nuit qui recouvrait à peine ses fesses. À cet instant, elle m’annonça qu’elle n’avait plus son clic clap mais qu’elle m’avait préparé un lit improvisé avec un matelas posé à même le sol, dans sa grande chambre : « J’espère que ça ne te dérangera pas car je ne voudrais pas abimer mon canapé tout neuf. » N’ayant pas joui sous la douche, j’avais bandé toute la soirée, nous étions devant la télé côte à côte, je n’avais pas regardé l’émission, mes yeux allaient de l’échancrure de son large débardeur, me dévoilant une partie de sa forte poitrine, au haut de ses cuisses dénudées, me laissant apercevoir de temps en temps, sa petite culotte blanche.
N’ayant aucun maintien au niveau de mon entrejambe, j’étais dans l’obligation de dissimuler l’énorme bosse qui tendait le tissu léger de mon short en polyester. Il n’était pas loin de onze heures lorsque Carine me fit comprendre qu’il était temps d’aller se coucher. Comme je m’en doutais, elle s’était aperçue de mon érection : « Le matelas est à mon voisin, prends un essuie-tout ou passe aux toilettes, je ne voudrais pas lui rendre tout tâché. » Carine venait de sortir la phrase qui tue, mon envie retomba dans les oubliettes immédiatement. Me voyant une nouvelle fois très gêné, elle s’approcha de moi et me fit la bise et pour remettre un peu d’ambiance, elle me nargua : « J’espère que je ne te réveillerai pas, je ronfle la nuit. » Me dit-elle en pouffant de rire.
Le matelas était bien trop inconfortable pour que je puisse m’endormir, pendant plus d’une heure je me tournais et retournais dans mon lit en pestant à voix basse, pensant que Carine dormait. Cependant elle non plus, ne dormait pas, elle avait des remords de m’avoir installé dans ce lit improvisé : « Xav, tu n’arrives pas à dormir ? Si tu es si mal installé que ça, viens dormir avec moi. » Je sautai sur l’occasion, pendant des années je rêvais de redormir à ses côtés : « Ce n’est pas de refus, je ne voudrais pas te vexer, mais franchement c’est comme si je dormais sur le parquet. » Dis-je en me faufilant sous les draps.
Il faisait très chaud chez elle, j’avais enlevé mon tee-shirt avant de m’allonger, Carine s’était levé et éteint la lumière. Lorsqu’elle était revenue, j’aperçus dans la peine ombre qu’elle avait chaud également car elle avait passé une nuisette beaucoup plus fine. Elle se glissa sous la couette en évitant que nos corps se touchent, elle me tournait le dos, alors que j’étais tourné vers elle. Pendant plusieurs minutes, nous étions restés silencieux, j’avais très envie de lui dire que je l’aimais, mon érection était à son apogée, je n’arrivais toujours pas à m’endormir :— Tu ne dors pas Xav ? Je suis contente d’avoir quelqu'un pour me tenir compagnie. Je me sens très seule tu sais, depuis que Julien est parti. Dit Carine en se reculant un peu vers moi.
Nos corps s’étaient insensiblement rapprochés, le bout de ma queue touchait la peau d’une de ses fesses. Je pris l’initiative de passer mon bras sur elle, ma main posée sur son ventre. Je m’attendais franchement à ce qu’elle la retire en protestant mais ce ne fut pas le cas, au contraire : « C'est vraiment bon de se sentir aimé. » Dit-elle en se poussant un peu contre mon sexe. Ne voulant pas paraitre trop opportuniste, je me reculai afin qu'elle ne remarque pas mon érection. Cependant elle continua sa pression en se collant un peu plus à moi en remuant du cul, jusqu’à ce que ma bite soit prisonnière dans la raie de ses fesses :— Voilà qui est mieux, tu ne crois pas ? Dit-elle en prenant ma main posée sur son ventre. Tu aimes Xav ?
— J’en rêve depuis toujours, tu m’excites.
Elle eut un petit rire, caressa ma main puis après un moment de silence, tandis qu’elle frottait doucement son cul toujours contre ma queue, elle me demanda si je me masturbais en pensant à elle : « Depuis bien longtemps, tu hantes mes pensées jours et nuits. »— C'est très flatteur qu’un beau garçon puisse être excité par sa vieille nounou.
— Tu as à peine quarante ans, tu n’es pas vieille et moi, me prends-tu encore pour un bébé ?
— D’après ce que j’ai vu sous la douche et ce que je ressens contre mon cul, je dois avouer que tu es un homme, un vrai. J’ai sommeil Xav, veux-tu que je te branle ?
Il était évident que Carine ne voulait pas aller trop loin avec moi, sans attendre ma réponse, elle se retourna, baissa mon short et pris ma queue dans la main. Elle alluma la lumière car elle me dit qu’elle voulait voir mon beau pénis. Elle retira de l’essuie-tout du tiroir de son chevet et me caressa la verge délicieusement d’une main tandis que l’autre, elle me massait les testicules. Tellement surexcité, il ne m’avait pas fallu longtemps pour j’explose, j’éjaculai en grand jets sur mon ventre, Carine essuya le sperme coulé sur sa main et se retourna : « Essuie toi et n’en mets pas partout. » Dit-elle d’un ton assez froid.
D’un côté, j’étais aux anges, je n’avais jamais joui autant et si fort mais de l’autre je sentais que Carine regrettait déjà ce qu’elle venait de faire, pourtant j’avais vraiment eu l’impression qu’elle avait pris un certain plaisir dans cette masturbation. Je me collai contre elle, avait remis mon bras sur elle et m’apercevant qu’elle avait quelques petits sanglots, je lui déposai un petit baiser dans le cou en lui disant merci. Après un long silence, je pris le taureau par les cornes, ces quelques minutes de réflexion m’avaient permis de prendre conscience qu’il fallait que je me lance, je devais lui avouer franchement que j’étais puceau : « Tu sais Carine, je n’ai encore jamais fait l’amour et j’aimerais tant le faire avec toi. »
— C’est impossible mon chéri. Me répondit-elle en se retournant.
— Mais je t’aime Carine, tu ne peux pas l’imaginer.
— On ne peut pas Xav, ce serait malsain. Tu penses à ta mère, ce serait une trahison.
— Dis-moi franchement ! Tout à l’heure, tu n’en avais pas envie ?
— Si bien sûr, j’étais très excitée mais je me sens fautive…— Arrête ! personne ne le saura. Lui dis-je en me penchant vers elle et en venant poser mes lèvres sur les siennes.
Carine s’abandonna entièrement dans ce baiser plein de fougue, elle posa une main sur ma fesse, l’autre dans mes cheveux et m'attira encore plus contre elle. Il se passa quelques secondes sans que je puisse réagir alors que je sentais mon sexe reprendre de la grosseur. Ce fut elle qui rompit le silence, voyant que je ne prenais aucune initiative, elle le fit pour moi, elle remuait le bassin contre mon membre durci et déboutonna sa nuisette : « Caresse-moi les seins, je sais que tu les admires. » Je passai ma main l'intérieur de la nuisette ouverte et pour la première fois, je touchais enfin cette poitrine qui m’avait tant fait rêver. Ses seins étaient gros, fermes, je les pelotais, massais, je prenais plaisir à jouer avec ses mamelons qui se dressaient, s’allongeaient et durcissaient entre mes doigts.
Carine frottait toujours sa vulve contre mon sexe, sa respiration s’accélérait, elle gémissait : « Mon dieu, que c’est bon ! Continu mon chéri, suce-les. » Je fis ce qu’elle attendait de moi, je passai ma tête entre sa nuisette ouverte et me penchai sur sa poitrine qu’elle m’offrait, tout en accélérant les mouvements de bassin. Elle me prit la tête entre ses deux mains et j’embrassais chaque téton à tour de rôle, je les suçais doucement : « C’est super Xav ! Oh c’est bon appuie ta queue contre moi. » Murmura-t-elle à mon oreille.
Je l'embrassai sur la bouche, ses lèvres s'ouvrirent doucement, puis s'ouvrirent de plus en plus sous la pression de ma langue, elle n’avait plus aucun scrupule, elle répondait avec ardeur. J’alternais entre sa poitrine et sa bouche, ce fut à cet instant qu’elle me repoussa, se leva, enleva sa culotte et sa nuisette en me demandant de retirer mon dernier rempart. Puis elle se recoucha exposant son corps entièrement nu devant moi. Je trouvais sa petite chatte magnifique avec son pubis recouvert d’une fine toison de poils noirs. Pressée d’en découdre, elle écarta les jambes, tout en me guidant entre ses cuisses : « Viens maintenant mon chéri. » Carine posa sa main sur mon sexe, enfila une capote qui emprisonna mon pénis et le frotta quelques secondes entre ses lèvres.
Elle était trempée, de la cyprine suintait de l’intérieur. Ma nounou adorée guida ma queue dans son vagin en me demandant de pousser vers l'intérieur. « Oh Mon dieu ! Elle est plus grosse que ce que je pensais. Enfonce-toi ! » Cria-t-elle en me tenant fortement par les fesses. Quel sentiment d’orgueil d'avoir la possibilité de pénétrer pour la première fois sa bite dans une chatte, surtout celle d’une femme qui au départ était pour moi inaccessible. Ce fut Carine qui donnait le rythme, je synchronisais mes va et viens avec son bassin, mes testicules cognaient contre fesses à chaque coup de boutoirs.
Chaque poussée était un pur plaisir, Carine était autant excitée que moi, elle mouillait beaucoup et gémissait en disant : « Mmm ! c'est trop bon. » Nous étions dans le même tempo, assez lent afin que je n'éjacule pas trop vite. Elle me prit la tête entre ses mains et m’embrassa de nouveau. Nous continuions à nous embrasser amoureusement pendant que nous baisions de plus en plus fort, ses mouvements de hanches m’entrainaient dans des aller-retours très rapide. Je ne pus attendre plus longtemps avant de jouir, Carine remua son corps violement et mes coups de rein, faisant pénétrer profondément ma queue dans sa petite chatte juteuse, la fit crier fortement.
Elle émettait des gémissements, des ronronnements et me pressa fortement contre elle pendant que je me déversais dans ma capote. Puis elle se détendis tout d'un coup et s'effondra sous moi. Nous étions épuisés, ma bouche encore sur la sienne, ma bite encore tremblante à l'intérieur de sa chatte dégoulinante. Nous restions immobiles avant que je dise :— C’était génial Carine lui dis-je en lui faisant la bise. Tu as joui aussi ?
— Non pas vraiment mais j’ai très apprécié. Ce soir c’était pour ton plaisir, je suis contente et fière d'être ta première fois ! Nous avons trois jours pour que je t’enseigne comment faire jouir une femme. Dors bien et pense à moi. Surtout ne dis jamais rien à ta mère.
Après avoir dormi quelques heures, nous avions recommencé à nous embrasser et nous caresser. Dans la lumière pâle de l'aube, Carine posa sa tête sur mon entrejambe et entrepris une fellation qui me fit durcir ma queue comme jamais. Elle me dit de me laisser aller au plaisir et je fus très surpris qu’elle me demande de me vider sur sa langue. Après ma première pipe, j’eus droit à l’apprentissage de mon premier cunnilingus où je vis de mes propres yeux une femme en plein orgasme, c’était terrible et magique, je bandais de nouveau. Après notre petit déjeuner, nous avions à nouveau refait l'amour.
Pendant mon petit séjour chez Carine, ce fut des grands moments de débauche, la dernière nuit, elle m’avait même demandé de la sodomiser. Nous n’avions fait que manger et baiser, j’étais rentré chez Maman épuisé mais comblé. Carine avait un visage fatigué, cependant ma mère la trouva radieuse. Mon aventure avec ma nounou adorée se prolongea dans le temps, pendant deux ans, nous trouvions toujours un moment pour une petite pipe, un doigtage et une baise rapide et torride. Aujourd’hui marié et satisfait sexuellement, cette histoire avec Carine restera gravée à jamais dans ma mémoire.
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