Série l’adultère « Kathleen » : (Partie 20). L’histoire d’une tromperie pas comme les autres. (Épisode 1/3)
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série l’adultère « Kathleen » : (Partie 20). L’histoire d’une tromperie pas comme les autres. (Épisode 1/3)
Samedi 17 octobre 9 heures
Je me nomme Kathleen, l’histoire que vais vous raconter a débuté l’an dernier. J’avais trente-deux ans, mariée depuis quatre ans à Guillaume un homme charmant de quarante ans que j’avais rencontré à la sortie de mes études de commerce. Je suis blonde avec de longs cheveux légèrement bouclés m’arrivant sur les épaules. Mon physique me plait, je mesure 1,68 m pour 59 kg, j’ai de longues jambes fines et musclées avec des fesses arrondies et bien galbées. Mais j’ai surtout de très beaux seins symétriques, ronds et fermes et que de nombreuses femmes jalousent et que presque tous les hommes aimeraient palper. En effet, je suis très fière de mon 90B, c’est la raison pour laquelle, je mets ma poitrine toujours en valeur.
Au travail et pour les sorties avec certaines tenues, je porte des soutien-gorge sans bretelles, invisibles sous les vêtements avec un fini dentelle ne recouvrant que les tétons, élégant avec une forme push up, ce qui permet de recentrer le buste et offre ainsi un décolleté pulpeux et plongeant. Je suis le plus souvent en jupe, quelques fois en robe courte et légère car j’aime que l’on voit mes jambes même si je porte des bas autofixants lorsque la température baisse. En tenue décontracté, j’aime toutefois être en jean-basket, mais cela ne plait guère à mon mari.
Je travaillais depuis plusieurs années dans une PME de 80 salariés où j’occupais le poste de secrétaire comptable, je vérifiais tous les devis des commerciaux, les modifiaient et les corrigeais au besoin, j’établissais toutes les factures et j’aidais ma collègue Sandrine, au moment des payes. Vu les compétences acquises depuis mon embauche, je connaissais tous les produits sortant de l’atelier et leur temps de fabrication. Étant réservée mais pas timide, je m’étais liée d’amitié avec mes collègues de l’administration et du service commercial, j’étais appréciée par mes supérieurs et respectée par tous les salariés de l’entreprise. Mon travail me plaisait beaucoup et ma situation professionnelle me permettais de gagner correctement ma vie.
Mon mari Guillaume était chef de maintenance dans une petite entreprise fabriquant des pièces métalliques. Lui aussi avait un bon salaire et il avait la chance de ne pas faire les tournées, il était affecté uniquement de journée. Pour des raisons professionnelles, je n’avais pas encore d’enfant même si c’était le rêve de Guillaume qui désirait que je lâche un peu mon boulot pour m’occuper un peu plus notre intérieur. C’était la réalité, je n’étais pas une grande cuisinière, ni une bonne ménagère. Ayant des horaires plus souples que les miens, mon mari en faisait beaucoup à la maison.
Heureusement, nous pensions nous aimer et nous nous entendions bien, sur de nombreux sujets, nous nous disputions rarement, sauf peut-être au moment de l’aspirateur, car le bruit de notre engin l’empêchait d’entendre sa musique ou la télé. Nous entendions ces jours-là de ma part : « Tu n’as qu’à le faire » et lui rétorquant : « Tu crois que je n’en fais pas assez à la baraque ? ». Mais aussi lorsqu’il ne me faisait pas confiance, il voulait peut-être gérer tout, seul sans mon aide, ce qui me gênait profondément. Après nos petites disputes, nous nous prenions dans les bras l’un de l’autre et nous nous embrassions tendrement.
C’était sur le plan sexuel que le bât blessait, j’aimais faire l’amour et prendre du plaisir. Depuis que je vivais avec Guillaume, il n’était jamais parvenu à me faire prendre un véritable orgasme. Je jouissais certes mais très faiblement et pas assez souvent à mon goût car il n’était pas très performant. D’autre part, il n’était pas trop porté sur le sexe et il manquait cruellement d’imagination. J’aurais aimé jouer autre chose qu’au papa et à la maman, mes envies de faire l’amour me venaient soudainement. Lorsque je voulais qu’il me prenne à la cuisine ou sur la terrasse ou même sur le fauteuil du salon, il trouvait toujours une bonne excuse pour échapper à ses devoirs conjugaux et cela j’avais du mal à accepter.
Pour lui, très prude et pudique, faire l’amour consistait à se mettre nu dans un lit, s’embrasser, se caresser et me pénétrer lorsqu’il obtenait son érection, rarement totale soit dit en passant. Lorsqu’au début je lui faisais une fellation, il se retirait de ma bouche car il allait éjaculer trop vite. Il n’appréciait pas non plus de lécher ma petite chatte ou de me sucer le clitoris. Cela semblait le dégouter et il avait l’impression d’être un pervers en faisant ces choses-là. Je pense que ce n’était pas de sa faute, c’était l’éducation qu’il reçut dans ma belle-famille où avec leur religion, les plaisirs charnels étaient tabous. Enfin, je m’en étais fait une raison et quelque fois, lorsque le besoin s’en faisait sentir, je me masturbais dans la salle de bain ou au lit lorsqu’il dormait à côté de moi, cela avait le pouvoir de m’exciter encore plus, sachant qu’à tout moment il pouvait me surprendre en se réveillant ou en pénétrant dans la salle de bain.
Je lui avais déjà parlé plusieurs fois de mes besoins sexuels depuis notre mariage mais il semblait faire la sourde oreille. Il essayait de me contenter pendant une semaine puis très vite, tout retombait dans la monotonie et la routine. Un an et demi plus tard, je lui reprochais une nouvelle fois sa faiblesse sexuelle, il s’était contenté à ma grande surprise, de me dire en souriant, de prendre un amant. Je savais très bien qu’il avait dit cela sur le coup de la colère mais depuis l’idée de trouver un homme sachant me faire du bien, me trottait dans la tête.
Ce n’était pas les occasions qui me manquaient, surtout au travail avec certains salariés, les jeunes commerciaux et les nombreux clients qui me draguaient, j’aurais pu déjà le tromper à plusieurs occasions. Toutefois il était hors de question que je trahisse Guillaume et que fasse cela dans le cadre professionnel. Pourtant Jérôme Vaillant, ce beau commercial de 40 ans, fraichement remarié, avait toujours essayé de me draguer depuis mon arrivée dans l’entreprise.
Las de mes refus catégoriques, il avait renoncé à me faire ses avances, surtout depuis qu’il sortait avec Sandrine la comptable. J’aimais plaire à la gente masculine, cela me fascinait beaucoup et m’amusait aussi de porter des vêtements sexy afin d’être désirée. Attention, l’idée était là, il ne fallait pas que je franchisse la ligne blanche. Pourtant un mois plus tard, Guillaume n’avait fait aucun effort pour assumer ses devoirs conjugaux.
Ce soir-là, il était 16 heures, j’étais avec Sandrine à la machine à café, lorsque l’on vit Jérôme venir vers nous. Après avoir fait une bise sur la bouche de sa femme, Il me mit la main sur la hanche, se pencha et me déposa ses lèvres sur ma joue en disant « Salut Kat ». Le contact de sa bouche sur ma peau fut pour moi l’agent déclencheur.
Nous avons parlé de tout et de rien comme souvent à la pause puis Sandrine nous avait quitté. Nous nous sommes fixés dans les yeux et nous avions compris qu’il se passait quelque chose. Il me prit la main et me dit :
— Comme tu es bandante Kat un vrai canon.
J’avais adoré ses propos et lui répondis du tac au tac :
— Tu n’es pas mal non plus tu sais !
J’étais tellement en manque de sexe, que j’osai faire le premier pas. Je l’ai immédiatement invité à me rejoindre discrètement en prétextant que je devais lui montrer une erreur sur un de ses devis.
Je réalisai avec lui un de mes nombreux fantasmes, être possédée sauvagement sur un bureau. Je n’avais pas attendu, je m’étais jeté sur lui en lui défaisant son pantalon et après une petite fellation, je m’étais couchée à plat, mes seins collés sur la plaque de verre, la croupe bien en arrière et lui demandai de me prendre sans attendre. Il bandait depuis mon invitation, rien qu’à la pensée de pouvoir me baiser. Il me releva la jupe, écarta mon string et me perfora avec sa verge d’un beau gabarit en me ramonant à grands coups de rein. Ce quarantenaire avait su me procurer du plaisir en me prenant comme une bête, tout en me traitant de : « Salope, sale pute, je vais t’en mettre plein le cul. » Cela m’avait très excité et j’étais rentrée chez moi avec le sourire, satisfaite d’avoir pris enfin mon pied.
Avant d’en parler à Guillaume, j’attendais la suite de mon incartade mais celle-ci ne vint pas. Sandrine se doutant de quelque chose avait mis en garde son mari. Jérôme m’en parla le lendemain et d’un commun accord, nous avions suspendu notre relation. Plus les mois passaient, plus je me languissais de trouver un homme sachant m’apporter ce que je recherchais.
Ce ne fut que deux ans plus tard, un lundi matin, lors de la réunion hebdomadaire du début de semaine, mon chef de service me prévient que, dès mon arrivée je devais me rendre dans le bureau du patron. Je ne savais pas pour quelle raison j’étais convoqué et j’appréhendais beaucoup car le boss était une personne presque inaccessible dans l’entreprise et lorsque qu’un salarié y était convoqué, en principe c’était pour une remontrance. Ce fut blanche et morte de peur que je pénétrai dans son bureau après avoir frappé, en restant immobile devant la porte capitonnée :
— Bonjour Kathleen ! Qu’avez-vous ? Installez-vous, j’ai à vous parler.
— Bonjour Monsieur Guérin…Répondis-je d’une voix chevrotante.
François Guérin avait un certain charisme, il était impressionnant, grand, bedonnant, presque chauve avec une grosse moustache poivre et sel. Ses lunettes à monture épaisse, lui donnait un air encore plus sévère. Néanmoins, lorsqu’il m’avait souri en m’invitant à m’assoir en face de lui, je compris que je n’étais pas convoquée dans son bureau pour recevoir quelques remarques désobligeantes :
— Kathleen, vous savez que nous sommes très bien implantés dans le grand Est mais nous devons nous développer pour faire face à cette crise financière.
— Oui, je devais en parler ce matin à la réunion, notre nouvelle unité de production ne tourne qu’à 50%, il faut donc pour la rentabiliser, trouver d’autres clients.
— Justement Kathleen, vous êtes dans le vrai et c’est là que j’ai besoin de vous. Dit-il en lui expliquant son problème.
Voulant se développer en France où la concurrence faisait rage, par l’intermédiaire d’un ami commun, François était rentré en contact avec un industriel Lyonnais qui pouvait représenter à lui seul 20% de notre chiffre d’affaire. Il fallait donc le convaincre à nous choisir parmi nos concurrents. Depuis plus d’un an, Jérôme Vaillant, un des meilleurs commerciaux s’y afférait mais à chaque fois, il échouait dans les négociations et ne parvenait pas à obtenir ce marché tant convoité. François Guérin après enquête, sut que c’était au niveau du fils que cela coinçait. Cet homme aimait trop les femmes et avait choisi à chaque fois les produits présentés par une commerciale belle et jolie.
Mon patron ne s’avouait pas vaincu, il voulait s’en occuper personnellement, il me proposa donc de venir avec lui le mercredi et jeudi de la semaine suivante, rencontrer ces clients potentiels récalcitrants. Lui répondant que je n’étais pas commerciale que je ne pouvais donc pas faire l’affaire, il me rétorqua qu’au contraire, j’étais la personne la plus à même à convaincre ce fils prétentieux et très fier de sa personne et que ma beauté serait, sans en douter, le petit plus. J’étais estomaquée, mon patron voulait se servir de mon physique pour parvenir à ses fins.
Je fus prise entre deux sentiments, d’une part j’étais très fière de ce compliment mais d’autre part, je fus vexée de me sentir aussi petite, encore un homme qui ne prend les femmes que pour des potiches. Je ne pus m’empêcher d’être franche et directe sans penser aux conséquences :
— Vous me prenez pour une Escort-girl ?
— Non Kathleen, ne vous méprenez pas s’il vous plait, je me suis mal exprimé. Vous connaissez tous nos produits sur le bout des doigts, de la matière première au conditionnement en passant par sa fabrication, tous les coûts, les marges. Avec votre aide, je négocie et je vous laisse finaliser.
Après de longues minutes de discussion, je compris que mon patron m’estimait beaucoup, non pas pour mon cul mais réellement pour mes compétences. J’avais accepté sa proposition mais je devais passer une nuit à l’hôtel et ce serait la première fois que je ne dormirais pas avec mon chéri. Guillaume n’était très enchanté de la situation, néanmoins il savait que mon travail était très important pour moi et financièrement parlant, j’obtiendrais une commission sur toutes les commandes à venir et futures si nous obtenions le marché.
Pour me faire pardonner de mon absence, la veille de mon départ, je m’étais donné à fond à mon mari. Je n’avais pas simulé, je voulais qu’il prenne son pied et que cela le décide à recommencer dès mon retour. Ce soir-là, je commençai mes attouchements après le diner, je me frottais à lui comme une chatte à chaque passage à ses côtés puis lorsqu’il était face à l’évier, je me collai à lui l’enserrant dans mes bras. Mes caresses intimes commençaient à faire son effet et il ne m’avait pas repoussée gentiment comme à son habitude. Il se retourna et m’embrassa.
Après ce baiser passionné, je m’agenouillai, baissai son short et d’une main posée sur la base de sa hampe et l’autre sur ses testicules que je massais délicatement, je plaçai ma bouche devant ce gland rouge sang et l’avalai avec gourmandise. Je devais faire attention de ne pas enfoncer son pénis jusqu’à la garde, je connaissais trop bien mon mari, je savais qu’il éjaculerait instantanément. J’aspirais son gland à deux, trois reprises puis tournait ma langue tout autour et ressortais sa belle queue pour la lécher tout au long de sa veine gonflée et je recommençais.
Son érection était parfaite pour une fois, son pénis dur et droit pointait vers le plafond. Il semblait apprécié car il me demanda de recommencer, ce que je fis volontiers. Mais à la troisième reprise, il sentit qu’il ne tiendrait plus longtemps, il me prit sous les aisselles et me releva. Suffisamment intelligent, Guillaume savait que nous ne baiserions pas dans le lit conjugal ce soir. Il me demanda si je voulais faire l’amour à la cuisine. Sans attendre ma réponse, il me porta et je me retrouvais assise au bord de la table. Je me penchai en arrière, reposai mes bras derrière moi, agrippant les rebords de la table et lui demanda de s’occuper de ma petite chatte.
Il s’accroupit devant moi, tout en me caressant du bout des doigts l’intérieur de mes cuisses, il lécha mes grandes lèvres, passa sa langue dans ma fente humide et aspira même mon clitoris gonflé de désir. Je mouillais, mon excitation prenait de l’ampleur, je désirais qu’il poursuive encore et encore, j’avais besoin de beaucoup de préliminaires mais lorsqu’un effluve de cyprine s’échappa de mon vagin pour s’écouler dans sa bouche, il eut un haut le cœur, il stoppa net ce cunnilingus et se releva en essayant de ne pas me montrer son dégout.
Sa verge était redevenue presque molle, je me redressai et tout en restant assise, je me mis à le masturber de nouveau. Il était debout devant moi, il n’osa pas me demander mais je compris qu’il voulait que je le suce de nouveau. Après une fellation gourmande de ma part, très vite son érection repris forme, sa queue était en pleine expansion. Il me repoussa délicatement dans ma position initiale sur la table et approcha sa verge à l’entrée de mon vagin. À ce moment-là, je savais que je ne prendrais pas d’orgasme car après quelques va et vient tout en douceur, je sentis son sperme couler par saccades à l’intérieur de mon sexe. Afin de ne pas le décevoir, je mimai ma jouissance ce qui eut pour effet de lui redonner le sourire.
Quoiqu’il en soit, j’avais tout de même apprécié cette petite sauterie, Guillaume avait fait de très gros efforts et cela uniquement pour me faire plaisir. J’avais très apprécié et après nous être embrassés et essuyés, nous avions poursuivi nos tâches ménagères avant de nous coucher dans les bras l’un de l’autre. J’avais essayé de le faire bander une nouvelle fois mais il m’avait gentiment repoussée, prétextant qu’il était fatigué de sa journée et que je devais me lever tôt le lendemain. Je lui souris, lui posa mes lèvres sur les siennes dans un dernier bisou avant qu’il ne s’endorme.
Je m’étais masturbée deux fois avant de m’endormir comme une souche, épuisée par mes jouissances successives. Le lendemain matin, malgré ce lever à l’aube et une nuit courte, j’étais en grande forme et bien décidée de réussir ma mission. En embrassant mon chéri avant de partir pour deux jours, j’étais à mille lieues de penser que j’allais franchir cette ligne et tromper Guillaume. Je vous raconterai cela dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, n’hésitez pas à laisser votre commentaire. Je vous en remercie par avance, je compte sur vous.
Si comme Kathleen, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Je me nomme Kathleen, l’histoire que vais vous raconter a débuté l’an dernier. J’avais trente-deux ans, mariée depuis quatre ans à Guillaume un homme charmant de quarante ans que j’avais rencontré à la sortie de mes études de commerce. Je suis blonde avec de longs cheveux légèrement bouclés m’arrivant sur les épaules. Mon physique me plait, je mesure 1,68 m pour 59 kg, j’ai de longues jambes fines et musclées avec des fesses arrondies et bien galbées. Mais j’ai surtout de très beaux seins symétriques, ronds et fermes et que de nombreuses femmes jalousent et que presque tous les hommes aimeraient palper. En effet, je suis très fière de mon 90B, c’est la raison pour laquelle, je mets ma poitrine toujours en valeur.
Au travail et pour les sorties avec certaines tenues, je porte des soutien-gorge sans bretelles, invisibles sous les vêtements avec un fini dentelle ne recouvrant que les tétons, élégant avec une forme push up, ce qui permet de recentrer le buste et offre ainsi un décolleté pulpeux et plongeant. Je suis le plus souvent en jupe, quelques fois en robe courte et légère car j’aime que l’on voit mes jambes même si je porte des bas autofixants lorsque la température baisse. En tenue décontracté, j’aime toutefois être en jean-basket, mais cela ne plait guère à mon mari.
Je travaillais depuis plusieurs années dans une PME de 80 salariés où j’occupais le poste de secrétaire comptable, je vérifiais tous les devis des commerciaux, les modifiaient et les corrigeais au besoin, j’établissais toutes les factures et j’aidais ma collègue Sandrine, au moment des payes. Vu les compétences acquises depuis mon embauche, je connaissais tous les produits sortant de l’atelier et leur temps de fabrication. Étant réservée mais pas timide, je m’étais liée d’amitié avec mes collègues de l’administration et du service commercial, j’étais appréciée par mes supérieurs et respectée par tous les salariés de l’entreprise. Mon travail me plaisait beaucoup et ma situation professionnelle me permettais de gagner correctement ma vie.
Mon mari Guillaume était chef de maintenance dans une petite entreprise fabriquant des pièces métalliques. Lui aussi avait un bon salaire et il avait la chance de ne pas faire les tournées, il était affecté uniquement de journée. Pour des raisons professionnelles, je n’avais pas encore d’enfant même si c’était le rêve de Guillaume qui désirait que je lâche un peu mon boulot pour m’occuper un peu plus notre intérieur. C’était la réalité, je n’étais pas une grande cuisinière, ni une bonne ménagère. Ayant des horaires plus souples que les miens, mon mari en faisait beaucoup à la maison.
Heureusement, nous pensions nous aimer et nous nous entendions bien, sur de nombreux sujets, nous nous disputions rarement, sauf peut-être au moment de l’aspirateur, car le bruit de notre engin l’empêchait d’entendre sa musique ou la télé. Nous entendions ces jours-là de ma part : « Tu n’as qu’à le faire » et lui rétorquant : « Tu crois que je n’en fais pas assez à la baraque ? ». Mais aussi lorsqu’il ne me faisait pas confiance, il voulait peut-être gérer tout, seul sans mon aide, ce qui me gênait profondément. Après nos petites disputes, nous nous prenions dans les bras l’un de l’autre et nous nous embrassions tendrement.
C’était sur le plan sexuel que le bât blessait, j’aimais faire l’amour et prendre du plaisir. Depuis que je vivais avec Guillaume, il n’était jamais parvenu à me faire prendre un véritable orgasme. Je jouissais certes mais très faiblement et pas assez souvent à mon goût car il n’était pas très performant. D’autre part, il n’était pas trop porté sur le sexe et il manquait cruellement d’imagination. J’aurais aimé jouer autre chose qu’au papa et à la maman, mes envies de faire l’amour me venaient soudainement. Lorsque je voulais qu’il me prenne à la cuisine ou sur la terrasse ou même sur le fauteuil du salon, il trouvait toujours une bonne excuse pour échapper à ses devoirs conjugaux et cela j’avais du mal à accepter.
Pour lui, très prude et pudique, faire l’amour consistait à se mettre nu dans un lit, s’embrasser, se caresser et me pénétrer lorsqu’il obtenait son érection, rarement totale soit dit en passant. Lorsqu’au début je lui faisais une fellation, il se retirait de ma bouche car il allait éjaculer trop vite. Il n’appréciait pas non plus de lécher ma petite chatte ou de me sucer le clitoris. Cela semblait le dégouter et il avait l’impression d’être un pervers en faisant ces choses-là. Je pense que ce n’était pas de sa faute, c’était l’éducation qu’il reçut dans ma belle-famille où avec leur religion, les plaisirs charnels étaient tabous. Enfin, je m’en étais fait une raison et quelque fois, lorsque le besoin s’en faisait sentir, je me masturbais dans la salle de bain ou au lit lorsqu’il dormait à côté de moi, cela avait le pouvoir de m’exciter encore plus, sachant qu’à tout moment il pouvait me surprendre en se réveillant ou en pénétrant dans la salle de bain.
Je lui avais déjà parlé plusieurs fois de mes besoins sexuels depuis notre mariage mais il semblait faire la sourde oreille. Il essayait de me contenter pendant une semaine puis très vite, tout retombait dans la monotonie et la routine. Un an et demi plus tard, je lui reprochais une nouvelle fois sa faiblesse sexuelle, il s’était contenté à ma grande surprise, de me dire en souriant, de prendre un amant. Je savais très bien qu’il avait dit cela sur le coup de la colère mais depuis l’idée de trouver un homme sachant me faire du bien, me trottait dans la tête.
Ce n’était pas les occasions qui me manquaient, surtout au travail avec certains salariés, les jeunes commerciaux et les nombreux clients qui me draguaient, j’aurais pu déjà le tromper à plusieurs occasions. Toutefois il était hors de question que je trahisse Guillaume et que fasse cela dans le cadre professionnel. Pourtant Jérôme Vaillant, ce beau commercial de 40 ans, fraichement remarié, avait toujours essayé de me draguer depuis mon arrivée dans l’entreprise.
Las de mes refus catégoriques, il avait renoncé à me faire ses avances, surtout depuis qu’il sortait avec Sandrine la comptable. J’aimais plaire à la gente masculine, cela me fascinait beaucoup et m’amusait aussi de porter des vêtements sexy afin d’être désirée. Attention, l’idée était là, il ne fallait pas que je franchisse la ligne blanche. Pourtant un mois plus tard, Guillaume n’avait fait aucun effort pour assumer ses devoirs conjugaux.
Ce soir-là, il était 16 heures, j’étais avec Sandrine à la machine à café, lorsque l’on vit Jérôme venir vers nous. Après avoir fait une bise sur la bouche de sa femme, Il me mit la main sur la hanche, se pencha et me déposa ses lèvres sur ma joue en disant « Salut Kat ». Le contact de sa bouche sur ma peau fut pour moi l’agent déclencheur.
Nous avons parlé de tout et de rien comme souvent à la pause puis Sandrine nous avait quitté. Nous nous sommes fixés dans les yeux et nous avions compris qu’il se passait quelque chose. Il me prit la main et me dit :
— Comme tu es bandante Kat un vrai canon.
J’avais adoré ses propos et lui répondis du tac au tac :
— Tu n’es pas mal non plus tu sais !
J’étais tellement en manque de sexe, que j’osai faire le premier pas. Je l’ai immédiatement invité à me rejoindre discrètement en prétextant que je devais lui montrer une erreur sur un de ses devis.
Je réalisai avec lui un de mes nombreux fantasmes, être possédée sauvagement sur un bureau. Je n’avais pas attendu, je m’étais jeté sur lui en lui défaisant son pantalon et après une petite fellation, je m’étais couchée à plat, mes seins collés sur la plaque de verre, la croupe bien en arrière et lui demandai de me prendre sans attendre. Il bandait depuis mon invitation, rien qu’à la pensée de pouvoir me baiser. Il me releva la jupe, écarta mon string et me perfora avec sa verge d’un beau gabarit en me ramonant à grands coups de rein. Ce quarantenaire avait su me procurer du plaisir en me prenant comme une bête, tout en me traitant de : « Salope, sale pute, je vais t’en mettre plein le cul. » Cela m’avait très excité et j’étais rentrée chez moi avec le sourire, satisfaite d’avoir pris enfin mon pied.
Avant d’en parler à Guillaume, j’attendais la suite de mon incartade mais celle-ci ne vint pas. Sandrine se doutant de quelque chose avait mis en garde son mari. Jérôme m’en parla le lendemain et d’un commun accord, nous avions suspendu notre relation. Plus les mois passaient, plus je me languissais de trouver un homme sachant m’apporter ce que je recherchais.
Ce ne fut que deux ans plus tard, un lundi matin, lors de la réunion hebdomadaire du début de semaine, mon chef de service me prévient que, dès mon arrivée je devais me rendre dans le bureau du patron. Je ne savais pas pour quelle raison j’étais convoqué et j’appréhendais beaucoup car le boss était une personne presque inaccessible dans l’entreprise et lorsque qu’un salarié y était convoqué, en principe c’était pour une remontrance. Ce fut blanche et morte de peur que je pénétrai dans son bureau après avoir frappé, en restant immobile devant la porte capitonnée :
— Bonjour Kathleen ! Qu’avez-vous ? Installez-vous, j’ai à vous parler.
— Bonjour Monsieur Guérin…Répondis-je d’une voix chevrotante.
François Guérin avait un certain charisme, il était impressionnant, grand, bedonnant, presque chauve avec une grosse moustache poivre et sel. Ses lunettes à monture épaisse, lui donnait un air encore plus sévère. Néanmoins, lorsqu’il m’avait souri en m’invitant à m’assoir en face de lui, je compris que je n’étais pas convoquée dans son bureau pour recevoir quelques remarques désobligeantes :
— Kathleen, vous savez que nous sommes très bien implantés dans le grand Est mais nous devons nous développer pour faire face à cette crise financière.
— Oui, je devais en parler ce matin à la réunion, notre nouvelle unité de production ne tourne qu’à 50%, il faut donc pour la rentabiliser, trouver d’autres clients.
— Justement Kathleen, vous êtes dans le vrai et c’est là que j’ai besoin de vous. Dit-il en lui expliquant son problème.
Voulant se développer en France où la concurrence faisait rage, par l’intermédiaire d’un ami commun, François était rentré en contact avec un industriel Lyonnais qui pouvait représenter à lui seul 20% de notre chiffre d’affaire. Il fallait donc le convaincre à nous choisir parmi nos concurrents. Depuis plus d’un an, Jérôme Vaillant, un des meilleurs commerciaux s’y afférait mais à chaque fois, il échouait dans les négociations et ne parvenait pas à obtenir ce marché tant convoité. François Guérin après enquête, sut que c’était au niveau du fils que cela coinçait. Cet homme aimait trop les femmes et avait choisi à chaque fois les produits présentés par une commerciale belle et jolie.
Mon patron ne s’avouait pas vaincu, il voulait s’en occuper personnellement, il me proposa donc de venir avec lui le mercredi et jeudi de la semaine suivante, rencontrer ces clients potentiels récalcitrants. Lui répondant que je n’étais pas commerciale que je ne pouvais donc pas faire l’affaire, il me rétorqua qu’au contraire, j’étais la personne la plus à même à convaincre ce fils prétentieux et très fier de sa personne et que ma beauté serait, sans en douter, le petit plus. J’étais estomaquée, mon patron voulait se servir de mon physique pour parvenir à ses fins.
Je fus prise entre deux sentiments, d’une part j’étais très fière de ce compliment mais d’autre part, je fus vexée de me sentir aussi petite, encore un homme qui ne prend les femmes que pour des potiches. Je ne pus m’empêcher d’être franche et directe sans penser aux conséquences :
— Vous me prenez pour une Escort-girl ?
— Non Kathleen, ne vous méprenez pas s’il vous plait, je me suis mal exprimé. Vous connaissez tous nos produits sur le bout des doigts, de la matière première au conditionnement en passant par sa fabrication, tous les coûts, les marges. Avec votre aide, je négocie et je vous laisse finaliser.
Après de longues minutes de discussion, je compris que mon patron m’estimait beaucoup, non pas pour mon cul mais réellement pour mes compétences. J’avais accepté sa proposition mais je devais passer une nuit à l’hôtel et ce serait la première fois que je ne dormirais pas avec mon chéri. Guillaume n’était très enchanté de la situation, néanmoins il savait que mon travail était très important pour moi et financièrement parlant, j’obtiendrais une commission sur toutes les commandes à venir et futures si nous obtenions le marché.
Pour me faire pardonner de mon absence, la veille de mon départ, je m’étais donné à fond à mon mari. Je n’avais pas simulé, je voulais qu’il prenne son pied et que cela le décide à recommencer dès mon retour. Ce soir-là, je commençai mes attouchements après le diner, je me frottais à lui comme une chatte à chaque passage à ses côtés puis lorsqu’il était face à l’évier, je me collai à lui l’enserrant dans mes bras. Mes caresses intimes commençaient à faire son effet et il ne m’avait pas repoussée gentiment comme à son habitude. Il se retourna et m’embrassa.
Après ce baiser passionné, je m’agenouillai, baissai son short et d’une main posée sur la base de sa hampe et l’autre sur ses testicules que je massais délicatement, je plaçai ma bouche devant ce gland rouge sang et l’avalai avec gourmandise. Je devais faire attention de ne pas enfoncer son pénis jusqu’à la garde, je connaissais trop bien mon mari, je savais qu’il éjaculerait instantanément. J’aspirais son gland à deux, trois reprises puis tournait ma langue tout autour et ressortais sa belle queue pour la lécher tout au long de sa veine gonflée et je recommençais.
Son érection était parfaite pour une fois, son pénis dur et droit pointait vers le plafond. Il semblait apprécié car il me demanda de recommencer, ce que je fis volontiers. Mais à la troisième reprise, il sentit qu’il ne tiendrait plus longtemps, il me prit sous les aisselles et me releva. Suffisamment intelligent, Guillaume savait que nous ne baiserions pas dans le lit conjugal ce soir. Il me demanda si je voulais faire l’amour à la cuisine. Sans attendre ma réponse, il me porta et je me retrouvais assise au bord de la table. Je me penchai en arrière, reposai mes bras derrière moi, agrippant les rebords de la table et lui demanda de s’occuper de ma petite chatte.
Il s’accroupit devant moi, tout en me caressant du bout des doigts l’intérieur de mes cuisses, il lécha mes grandes lèvres, passa sa langue dans ma fente humide et aspira même mon clitoris gonflé de désir. Je mouillais, mon excitation prenait de l’ampleur, je désirais qu’il poursuive encore et encore, j’avais besoin de beaucoup de préliminaires mais lorsqu’un effluve de cyprine s’échappa de mon vagin pour s’écouler dans sa bouche, il eut un haut le cœur, il stoppa net ce cunnilingus et se releva en essayant de ne pas me montrer son dégout.
Sa verge était redevenue presque molle, je me redressai et tout en restant assise, je me mis à le masturber de nouveau. Il était debout devant moi, il n’osa pas me demander mais je compris qu’il voulait que je le suce de nouveau. Après une fellation gourmande de ma part, très vite son érection repris forme, sa queue était en pleine expansion. Il me repoussa délicatement dans ma position initiale sur la table et approcha sa verge à l’entrée de mon vagin. À ce moment-là, je savais que je ne prendrais pas d’orgasme car après quelques va et vient tout en douceur, je sentis son sperme couler par saccades à l’intérieur de mon sexe. Afin de ne pas le décevoir, je mimai ma jouissance ce qui eut pour effet de lui redonner le sourire.
Quoiqu’il en soit, j’avais tout de même apprécié cette petite sauterie, Guillaume avait fait de très gros efforts et cela uniquement pour me faire plaisir. J’avais très apprécié et après nous être embrassés et essuyés, nous avions poursuivi nos tâches ménagères avant de nous coucher dans les bras l’un de l’autre. J’avais essayé de le faire bander une nouvelle fois mais il m’avait gentiment repoussée, prétextant qu’il était fatigué de sa journée et que je devais me lever tôt le lendemain. Je lui souris, lui posa mes lèvres sur les siennes dans un dernier bisou avant qu’il ne s’endorme.
Je m’étais masturbée deux fois avant de m’endormir comme une souche, épuisée par mes jouissances successives. Le lendemain matin, malgré ce lever à l’aube et une nuit courte, j’étais en grande forme et bien décidée de réussir ma mission. En embrassant mon chéri avant de partir pour deux jours, j’étais à mille lieues de penser que j’allais franchir cette ligne et tromper Guillaume. Je vous raconterai cela dans un prochain récit.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le tromper c’est votre choix mais baiser sans capotes c’est vous montrer irrespectueuse
envers vous même et votre mari question MST.
envers vous même et votre mari question MST.
Bon début. Nous espérons qu'à l'avenir Kathleen saura se comporter en épouse aimante et
fidèle...
fidèle...
Super. Continuez votre histoire. est. si. interessante. et. Si belle. bravo