Série "textes en commun", Olga et le docteur, chapitre 5, Partages (fin) - histoire érotique

AVERTISSEMENT : écriture en commun et publications alternées

Cette série de textes fictifs, « Olga et le Docteur » est le fruit d’un travail en commun sur HDS entre Olga T et Micky. Les quatre premiers chapitres ont été publiés, entre le 1er juillet et le 2 août 2021 alternativement sur la page d’Olga T (chapitres 1 et 3) et de Micky (2 et4)

Cette alternance dans les publications a pour objet d’inciter nos fidèles lecteurs et lectrices à découvrir les publications de chacune des deux auteures.

RESUME :

Olga, hypersexuelle quadragénaire, a mal vécu les confinements successifs qui l’ont privé des étreintes qui lui permettent, avec la complicité active de Philippe, son mari candauliste, de répondre aux besoins de sa libido exacerbée. Elle a en conséquence a jeté son dévolu sur un médecin, le Docteur Joseph Martin. Malgré ses principes déontologiques, qu’il pensait bien ancrés, malgré des années de fidélité à son épouse Karine, Joseph Martin a fini par répondre aux attentes de la volcanique Olga, en la baisant dans son cabinet, lors d’une consultation pour soigner le mal de dos de la jeune femme.

Ayant découvert par hasard l’infidélité de son épouse Karine, Joseph a repris contact avec Olga. Les deux amants ont alors passé une nuit torride dans un hôtel, puis Joseph s’est laissé aller à retrouver Olga à son domicile, où il l’a baisé devant Philippe, découvrant ainsi le candaulisme.

Joseph et Karine ont fini par s’avouer leurs frasques respectives. Mieux, ils se sont mis d’accord pour inviter Philippe et Olga à un week-end coquin à la campagne. Dès l’arrivée du couple, Philippe et Karine d’une part, Joseph et Olga d’autre part, ont baisé dans le salon de la grande maison. Olga et Karine ont pris le total contrôle de la situation et entendent poursuivre cette séance échangiste.

***

Les deux couples prennent une rapide collation dans la grande salle du rez-de-chaussée. Olga cache son irritation devant le comportement de Karine, qui se montre particulièrement tactile envers Philippe, qu’elle ne connaissait pourtant pas quelques heures auparavant. Manifestement, Karine a flashé sur Philippe !

Olga se décide alors à donner le signal :,

· Bon, allez, tous au lit maintenant, on n'en a pas terminé.

Les deux couples montent à l’étage où se trouvent les chambres. Ce sont deux couples reformés, Olga tenant la main de Joseph, Karine celle de Philippe.

Ils se dirigent vers la chambre conjugale, où se trouve le grand lit, dont la taille permet de les accueillir tous les quatre. C’est alors que Karine reprend la situation en mains.

· Philippe et moi, nous occupons la grande chambre, Olga et Joseph, vous prenez la chambre d’amis. Nous laissons les portes ouvertes, de façon à ce que nous puissions entendre tout ce qui se passe dans la chambre voisine.

Olga fait la moue. Certes, elle entretient avec Joseph, depuis des mois, une liaison adultère et les amants se voient plus souvent seuls qu’en la présence candauliste de Philippe.

Alors que, de son côté, son mari candauliste lui accorde les libertés les plus inattendues, Olga, comme la fourmi, n’est guère partageuse. Elle a montré à plusieurs reprises que SON Philippe est à elle et se comporte en tigresse lorsqu’elle sent qu’une autre avait des visées sur son homme. Que veut cette Karine ?

· C’est que Philippe, en tant que candauliste, adore me voir avec un amant. Avec ce que tu proposes, il ne le pourra pas.

· Il faut savoir varier les plaisirs. Depuis des mois, sans que je le sache, tu retrouves Joseph à l’hôtel, à son cabinet, chez vous, dans sa voiture. Maintenant nous savons à quoi nous en tenir. J’ai juste envie de ce moment d’intimité avec Philippe. Tu peux bien prêter ton mari un week-end, tu disposes bien du mien, non ?

Le ton était amical, mais l’affrontement couve entre les deux femmes. Philippe siffle la fin de la partie

· Chérie, il ne s’agit pas d’échanger nos conjoints. Karine propose seulement un partage provisoire, limité à ce week-end. Nous sommes chez nos hôtes, nous nous devons de suivre le programme qu’ils nous proposent.

Olga obtempère du bout des lèvres.

· Si c’est ce que tu veux ! Allez, viens, Joseph, j’ai une furieuse envie de baiser !

· Et moi de faire l’amour avec Philippe, dit Karine, défiant ainsi Olga.

La nuance n’échappe pas à Olga qui lance un regard noir à sa rivale. Les deux femmes prennent leur amant respectif par la main et se dirigent vers la chambre qui avait été affectée à chaque couple.

***

Karine a choisi de porter une nuisette translucide qui magnifie son corps. Elle s’installe sur le lit,

· Viens dans mes bras !

Philippe rejoint alors Karine dans le grand lit. Ils avaient d’abord besoin d’un long moment de tendresse et de complicité. Karine pose sa tête sur l’épaule de Philippe, qui lui caresse les cheveux.

Philippe se place au-dessus de Karine et va chercher ses lèvres. Sa langue prend possession de celle de Karine et le baiser qu’ils échangent est interminable et passionné.

Les mains de Philippe ne restent pas inactives et parcourent le corps de Karine. Les caresses de Philippe électrisent Karine, qui ferme les yeux et se sent au paradis. Caressant avec la main gauche les seins de Karine à travers la nuisette, sa main droite descend, caresse les fesses et les cuisses, puis

se pose sur sa chatte. Sans surprise, celle-ci est humide et ouverte. Avec ses doigts, Philippe commence à branler le clito en feu et ses doigts pénètrent le vagin.

Philippe demande à Karine de lever les bras, ce qui lui permit de faire passer la nuisette au-dessus de la tête.

Abandonnant la bouche de Karine, Philippe descend lentement vers son objectif, prenant soin, pour accroitre encore l’excitation de Karine, de l’embrasser derrière l’oreille et dans le cou, avant que ses lèvres et sa langue ne se consacrent aux tétons de Karine, en les excitant avec sa langue, en les suçant, en les mordillant.

Philippe, voulant conserver la direction des opérations, demande à Karine de se placer en 69.

Karine serre ses lèvres autour de la verge, la prenant bien au fond de la bouche. Sa langue s’occupe du gland, alors qu’elle gobe régulièrement les couilles pleines de semence.

Philippe, lui aussi concentré sur le plaisir qu’il voulait donner à Karine en lui bouffant la chatte, comprit que Karine était, comme Olga, de la race des grandes fellatrices. En experte, Karine savait que le plaisir de l’homme était proche et sentait aussi monter son propre orgasme. Elle sait faire en sorte que l’éjaculation de Philippe et sa propre jouissance soient concomitantes. Karine a un orgasme violent et elle inonde la bouche et le visage de son amant avec sa cyprine abondante. Les éjaculations de Philippe se succèdent, puissantes, expédiées au fond de la gorge de Karine.

Après une telle jouissance, ils observèrent un moment de calme, qui fut court car perturbé par les cris de plaisir d’Olga qui, à ce moment-là, devait se faire baiser par Joseph. Cela eut pour effet de réveiller les envies de Karine :

· Fais-moi l’amour !

Philippe choisit la position du missionnaire qui lui offre un contrôle total sur l'acte sexuel. Il maitrise ainsi la profondeur et le rythme de la pénétration. En face à face, les deux amants échangent caresses et baisers. Cela permet à Philippe d'admirer Karine, mais aussi de voir peu à peu monter sur son visage l’inexorable plaisir.

Philippe est entièrement tendu vers le plaisir de sa partenaire. Karine met ses jambes sur les épaules de Philippe pour que la pénétration soit plus profonde.

Et Philippe pilonne la femme, à un rythme soutenu et régulier, encore et encore. Karine enchaîne les orgasmes, et leur force est crescendo. Philippe, quant à lui, parvient à maîtriser son propre plaisir.

· Oooooh Philippe, mon chéri, oh baise-moi, démonte-moi, c’est trop bon, tu me tues !

Karine secoue la tête, des larmes sortent de ses yeux.

Les cris des amants, leurs paroles étaient si fortes que Joseph et Olga, dans la chambre des amis, n’avaient pas pu ne pas les entendre.

Philippe remplit, avec plusieurs giclées et un flot de foutre, le vagin de Karine. Les amants ont encore envie de tant de choses ensemble, mais leurs ébats et leur longue journée les ont épuisé. Ils s’endorment nus dans les bras l’un de l’autre.

***

Son instinct a fait deviner à Joseph que sa jolie maîtresse affectionne les pratiques SM. Joseph prend Olga sur ses genoux et la fesse allégrement. Olga ne s’attendait pas à cela de la part d’un amant qu’elle pensait de nature réservée. Elle ressent très vite un mélange de douleur et de plaisir inconnu jusqu'à présent. Chaque fois que la main de Joseph claque sur ses fesses, elle prend du plaisir. Elle prend conscience de l'excitation que son amant tire de ces fessées. Elle sent son sexe dur contre son ventre. Sa chatte est détrempée. La chaleur ressentie au niveau de son cul s'étend à tout son corps. Olga contracte ses muscles, crie, pleure, hurle et un puissant orgasme l'envahit.

Joseph aide Olga à se relever et l'allonge sur le lit. Il la positionne de côté et vient se caler sur elle. Il n'en peut plus. Il veut la baiser maintenant. Il écarte ses fesses et introduit brutalement et profondément sa bite en elle. Olga réagit aussitôt sous cet assaut puissant.

· Ahhhhhhh. Doucement.

Joseph n'écoute pas sa partenaire. Il entame aussitôt des coups de boutoirs. Il halète. Ses coups de reins sont puissants et perforent l'utérus d'Olga qui gémit, qui crie à chaque poussée.

· Ahhhhhhhhh. Non…

Quand elle sent monter le plaisir en elle, Olga n'a plus d'appréhension. Au contraire, elle encourage son amant.

· Ouiiiiiiiiii. Vas-y !!!! Encore. Plus fort !!!! Ne t'arrête pas. Défonces-moi.

Sentant Olga soumise à ses assauts profonds, Joseph se retire pour venir positionner son gland sur son anus. Il attend que sa partenaire, maintenant bien prise en mains, vienne s'enculer elle-même. Et, c'est ce qu'elle fait. En ondulant son bassin, Olga enfonce son cul sur le pieu de son amant, jusqu'à sentir ses couilles contre ses fesses. Joseph jouit de l'instant, calé tout au fond des entrailles de son amante. Il ne bouge toujours pas. Elle branle son amant avec son cul et frotte son clitoris en feu simultanément. Olga est totalement focalisée sur son bassin, le centre de son plaisir et de celui de Joseph. L'amplitude et le rythme des ondulations s'accroissent. Elle s'agite furieusement. Elle se déchaîne. Elle crie. Elle pleure. Elle hurle le plaisir qui l'envahit.

· Ouiiiiiiiiiiiii. Ahhhhhhhh.

Sa respiration se fait plus courte. Elle entend que Joseph halète au-dessus. Tout le corps d'Olga est pris de frissons et de tremblements. Elle se raidit. Les ondulations de son bassin se transforment en coups de boutoirs qu'elle impose à son amant pour le faire jouir.

· Ouiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiii.

Un violent orgasme arrive et la dévaste entièrement. Sous les assauts de sa femme, Joseph ne peut se retenir davantage et jouit à son tour.

· Rahhhhhhhhhhhh. Salope. Tu m'as eu !!!!!

Joseph, épuisé par son puissant orgasme, s'allonge derrière Olga, l'enlace et l'embrasse dans le cou. Ses mains empaument sa poitrine.

Joseph veut encore donner du plaisir à Olga. Sa main descend retrouver le clitoris. Sans bouger, ses doigts enserrent le bourgeon. Plus le plaisir viendra lentement, plus il sera puissant.

L’hypersexualité à fleur de peau d’Olga génère chez elle une vague de chaleur qui inonde son corps. Elle se tourne pour venir se positionner sur Joseph. Elle plonge sa langue dans la bouche de son amant.

Olga est déchainée. Elle sent son corps avide de sexe et de jouissances multiples. Elle se redresse et vient s'assoir et s'empaler sur Joseph qui empaume ses seins. Il a bien compris le fonctionnement d'Olga. Il sait qu'elle est dorénavant hors contrôle. Il doit se soumettre à cette femme qui va lui faire l'amour comme elle veut. Elle va prendre son plaisir en jouant avec sa queue. Elle a une main sur le torse de Joseph et l'autre sur son clitoris qu'elle maltraite durement. Son amant serre puissamment ses seins et pincent fortement ses tétons. Son corps est envahi de sensations multiples, de plaisir, de douleur, de douleur et de plaisir qui s'entrecroisent et qui la transportent. Elle crie. Elle pleure. Elle hurle son plaisir.

· Ouiiiiiiiii. Ouiiiiiiiii.

Joseph subit les assauts. Il sent sa jouissance approcher. Il ne contrôle rien. Il pince encore plus fort ses tétons. Olga monte et descend de plus en plus violemment, ses fesses tapent sur les cuisses de son amant. Puis, sentant l'orgasme arriver, elle se contracte, éjacule sur le ventre de Joseph et hurle sa jouissance.

· Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Un cri inhumain qui déclenche aussitôt l'orgasme de Joseph.

Il sent sa semence gicler dans l'utérus de son amante.

Olga, exténuée, emportée par ce nouvel orgasme, reste sans force. Joseph, la renverse sur le côté et vient se placer sur elle pour l'embrasser.

Dans leurs chambres respectives, chacun des deux couples illégitimes, épuisés, s'endorment enlacés.

***

Olga fut la première à se réveiller au petit matin et descendit à la cuisine se faire un café, vêtue sommairement d'un déshabillé qui la faisait plus nue que nue. Par l'odeur du café alléchée, Karine la rejoignit avec sa tenue de la veille et les deux femmes se retrouvèrent face à face de chaque côté de la table. Une certaine gêne s'installa, que Karine se décida à rompre la première :

· Bon, tu as pu voir que je ne cherche pas à te piquer ton homme, pas plus que tu cherches à me piquer le mien. J'ai vécu ça comme une expérience, passionnante je dois dire. Mais rien de plus.

· Je suis heureuse que tu le prennes comme ça, répondit Olga, et je reconnais que je suis un peu jalouse. Oublions tout ça. C'était un merveilleux moment. Philippe t'a fait jouir, à ce que j'ai pu entendre...

· Oui, et je crois que Joseph t'a bien régalée aussi. On n'est pas plus discrètes l'une que l'autre dans le plaisir...

Les deux femmes se mirent à rire. La glace était rompue. S'ensuivit de la part d'Olga une longue narration de ses plaisirs candaulistes, son dada. Karine l'écoutait, de plus en plus passionnée. Et elle finit par avouer :

· Finalement, c'est bien mieux que l'adultère. J'avoue que j'en avais un peu marre de me cacher. Je partais du principe que Joseph ne me surprenait plus sexuellement. J'avais envie d'aventures. En fait, je me trompais. Nous étions aussi responsables l'un que l'autre du ronron de notre couple. Et l'aventure, c'est cette nuit que je l'ai connue. Je regrette juste qu'on n'ait pas été vous rejoindre avec Philippe. C'était de ma faute. Il y aurait encore plus de piment. J'aurais adoré te voir jouir avec Joseph. Mais ce n'est peut-être que partie remise ? Qu'en dis-tu ?

Olga ne pouvait qu'être ravie de l'intervention de Karine. Une bouffée de désir était montée de son bas-ventre. Et elle glissa à son invitée :

· Allez viens, on monte, on va les réveiller, nos mecs, et ils ont intérêt à être en forme.

Lorsqu'elles entrèrent dans la grande chambre où dormait Joseph, celui-ci se trouvait dans une curieuse position. Couché en chien de fusil, son sexe était coincé entre ses cuisses et exposait son gland proéminent juste sous ses fesses. Un véritable appel à la langue.

· Tu commences ? souffla Karine à Olga.

· Oui mais va chercher Philippe et demande-lui de nous rejoindre.

Olga se débarrassa de son déshabillé, se mit à genoux et avança son museau vers sa Tentation. Sa langue trouva illico le gland de Joseph qui remua légèrement les hanches. Avec une impressionnante rapidité, son sexe grossit au point de dépasser largement l'entrecuisses. Olga pouvait maintenant l'emboucher totalement. Joseph se renversa sur le dos, leva la tête et découvrit Olga en plein "travail". Béat. Mais elle s'interrompit et lui dit :

· On ne reste pas là, on va à côté.

Joseph, raide comme la justice, l'accompagna sans rechigner dans la chambre conjugale où se trouvait le grand lit et où Karine et Philippe étaient passés à l'action sans attendre. Karine, profitant de la position allongée de Philippe, jambes écartées, avait saisi son pénis pour le porter à sa bouche et très vite, le couple avait adopté la position du 69, Karine au-dessus, en train de pomper allègrement, les cheveux noués à la diable.

· Faites-nous de la place, ordonna Olga, que l'activité buccale de Philippe entre les jolies cuisses de Karine, le visage presque totalement enfoui, avait inspiré.

Et c'est en parallèle que le couple qu'elle formait avec Joseph vint s'installer, exactement dans la même position, ce qui permettait à Olga d'observer à quelques centimètres le contact goulu de la bouche de Karine avec le pénis de son mari-amant. Du coup, les deux hommes se virent pompés jusqu'à l'os, les deux femmes rivalisant d'aspiration, de succion et autres activités linguales, dans une étonnante confrontation.

· Stop ! hurla Philippe, qui se voyait gicler prématurément dans la bouche ardente de la brune aux pommettes saillantes.

Et Olga s'interrompit à son tour avant de prendre la direction des opérations :

· Baisez-nous maintenant mais à tour de rôle. Karine d'abord avec Philippe et Joseph, moi ensuite.

Obéissants, les deux hommes exécutèrent leur travail de mâle comme deux relayeurs se passant le témoin, à la différence près que celui qui ne "relayait" pas se voyait branlé et sucé par la femme inoccupée, histoire d'entretenir sa raideur. Ce petit jeu avait l'avantage de permettre une longue fornication à quatre. Mais Philippe finit par mettre le holà :

· Bon, ça suffit maintenant. On baise nos femmes, elles nous ont assez échauffés avec leurs initiatives de cochonnes.

Et c'est ainsi qu'Olga et Karine se retrouvèrent allongées manu militari en travers du lit, côte à côte, leur conjoint retrouvé entre leurs cuisses ouvertes. Surexcités, Philippe et Joseph leur firent subir un traitement de choc, dans une position certes très classique mais qui leur permettait d'exprimer toute leur virulence. Fouillées, chahutées, écartelées par leur mâle, les deux femelles, tout en se tenant mutuellement la main, braillaient leur plaisir d'être ainsi honorées aussi virilement.

Elles se regardaient, le regard noyé, le rictus aux lèvres, comme pour vérifier leur plaisir réciproque. Elles étaient si proches qu'Olga tendit ses lèvres à Karine qui y répondit entre deux cris de joie. La pièce sentait la sueur, le foutre, les odeurs corporelles du sexe brut. Philippe gicla le premier en arrosant le ventre d'Olga et Joseph suivit quelques minutes plus tard, sans pouvoir se retirer, étant verrouillé par les mollets de Karine. Et les deux couples se dissocièrent lentement, les jambes molles, sidérés par la scène qu'ils venaient de vivre.

· Bon dieu, j'aurais jamais cru ça possible, souffla Joseph.

· Tu m'as fait jouir comme jamais, répondit Karine.

Olga répondit par un petit rire. Son candaulisme libertin avait visiblement trouvé deux nouveaux adeptes. Et peut-être même favorisé une meilleure union d'un couple au bord de la rupture.