Série "textes en commun" Olga et le docteur, chapitre deux : hôtel et téléphone mobile
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Série "textes en commun" Olga et le docteur, chapitre deux : hôtel et téléphone mobile
AVERTISSEMENT
Dans la série « Textes en commun », le texte « Olga et le docteur, chapitre premier : le cabinet » est paru sur la page d’Olga T le 1er juillet dernier. Nous avons décidé que ce chapitre deux serait publié sur la page de Micky.
RESUME
Olga, hypersexuelle quadragénaire, a mal vécu les confinements successifs qui, malgré la complicité de Philippe, son mari candauliste, l’ont privé des étreintes qui permettent de répondre aux besoins de sa libido exacerbée.
Ne pouvant plus supporter cette situation, Olga a jeté son dévolu sur un médecin, le Docteur Joseph Martin. Malgré ses principes déontologiques qu’il pensait bien ancrés, malgré des années de fidélité à son épouse Karine, Joseph Martin a répondu aux attentes de la volcanique Olga, en la baisant dans son cabinet, à la suite de manipulations pour soigner le mal de dos de la jeune femme.
Pour Joseph, il s’agit d’un dérapage qu’il ne s’explique pas. Pour Olga, au contraire, sans que cela ne débouche sur une relation durable, elle entend remettre ça. Dans cette période, les occasions qui lui sont données de répondre à ses besoins sexuels sont suffisamment rares pour ne pas être négligés. Olga doit reconnaître que Joseph s’est montré à la hauteur de ses attentes et que, lorsqu’il l’a possédée, elle a vraiment pris son pied. Olga compte donc mettre son mari candauliste dans la confidence et poursuivre ses relations avec le docteur dans ce cadre.
*****
La première étape pour Olga consiste donc à expliquer à son mari ce qui s’est passé. Elle ne veut pas recommencer les errements du passé et veut donc crever l’abcès très vite. Dès que les enfants sont couchés, Olga et Philippe sont sur le canapé, pour regarder la télévision. Olga est lovée dans les bras de son mari, elle se fait chatte.
· Mon chéri, j’ai des choses à te raconter. Je t’ai dit ce matin que j’avais rendez-vous au cabinet du Docteur Joseph Martin.
· Oui et je sais qu’il est réputé en tant qu’ostéopathe.
· Il est un excellent chiropraticien
· Il s’est occupé de ton mal de dos ?
· Parfaitement. Il s’est aussi occupé d’un autre manque dont je souffre.
Philippe comprit immédiatement et jeta un regard sévère en direction de son épouse. Elle était décidément incorrigible !
· Il t’a baisé, c’est ça ?
· Oui, mon amour et j’ai adoré ça !
· Chérie, je croyais qu’on s’était mis d’accord. Je suis d’accord que tu aies des amants, mais c’est moi qui choisis et je dois être présent.
· Je sais, mon Philippe, mais j’en avais tellement envie.
Olga se mit à raconter à Philippe ce qui s’était passé, sans oublier aucun détail, en insistant sur le plaisir qu’elle avait pris. Olga observa, à l’érection qui déformait le pantalon de son mari, que son récit avait émoustillé le candauliste.
· Mon chéri, c’est toi que j’aime. Les autres, c’est seulement pour le sexe. J’ai envie de remettre ça avec ce Joseph Martin, mais je veux partager mon plaisir avec toi, je veux t’offrir ma jouissance. Je sais combien tu aimes ça, dit-elle en le caressant à travers le pantalon
· Tu me connais et tu sais comment te faire pardonner tes écarts, ma cochonne.
· Je sais combien tu aimes quand je me fais baiser devant toi, mon vicieux, dit Olga, qui avait sorti la queue de son mari et après l’avoir branlé, la prit en bouche comme elle aimait tant le faire.
· Hum, quand je suis dans ta bouche, je suis prêt à tout accepter de ta part. Allez, tu as mon accord, organise ça, je veux voir ce Joseph Martin t’honorer devant moi.
Olga poussait des grognements de satisfaction, offrant à son chéri une de ses fellations qu’il aimait tant. Oh oui, elle allait satisfaire une fois de plus son mari candauliste et était bien décidée à remettre ça avec le Docteur Martin.
****
Après ce coït inoubliable avec la belle inconnue dans son cabinet, le docteur Joseph Martin passa quelques journées tourmentées. Même si les relations avec son épouse Karine n'étaient guère épanouissantes depuis quelque temps (alors qu'elles l'avaient été à leurs débuts de couple), il culpabilisait pour son infidélité doublée d'une sévère entorse à la déontologie professionnelle. Mais un événement inattendu changea sa perspective. Un matin, alors qu'ils se préparaient l'un et l'autre pour aller au travail, leurs enfants étant déjà partis au collège ou au lycée, le portable de Karine sonna sur la table de la cuisine pendant qu'elle prenait sa douche. Par réflexe, Joseph voulut répondre et entendit une voix d'homme prononcer :
· Allo Karine ?
· Non, c'est son mari, qui est à l'appareil ?
Et l'homme au bout du fil raccrocha.
Joseph en fut passablement interloqué. Infirmière libérale, Karine travaillait avec une collègue femme. Pas avec un homme. Il était difficile d'imaginer un de ses patients l'appeler par son prénom, et surtout ne pas laisser le moindre message. Joseph fit part de cet appel à son épouse qui, à sa grande surprise, marqua une réelle confusion, arguant d'abord d'une erreur, puis d'un collègue dont elle ne put dire le nom et finalement abrégea par un "peu importe" qui ne satisfit guère l'époux. Lequel ne retint que le trouble de son épouse. Le téléphone portable, malédiction des couples adultères, avait-il frappé ? Ce fut en tout cas la thèse privilégiée par le mari. Il comprenait mieux maintenant pourquoi Karine se montrait si peu allante au lit alors qu'elle s'était montrée passionnée par le sexe dans le passé. Elle avait donc un amant, il en était sûr. Comme beaucoup d'infirmières libérales, il le savait d'expérience même s'il n'en avait jamais profité, en dépit de sollicitations multiples.
Du coup, il se sentit plus libre vis-à-vis de la belle inconnue, qui ne l'était pas de sa queue. Mais elle ne lui téléphonait pas pour un nouveau rendez-vous. Alors, faisant acte d'audace, il saisit ses coordonnées et l'appela, prétextant une prise de nouvelles en cours de traitement.
La réponse enjouée d'Olga T. le rassura. Et le ravit. Oui, elle allait bien. Oui, son traitement faisait de l'effet et pas seulement celui non médical (rire mutin au bout du fil). Et oui, répondant à sa sollicitation, elle aimerait bien prendre un verre avec lui après le boulot.
Enhardi, sur une autre planète, le précautionneux médecin osa le nom d'un café discret ("pas en terrasse, hein "?), les bars n’étant pas encore fermés alors que s’annonçait le second confinement. Rendez-vous fut pris pour le lendemain.
Et c'est ainsi que Joseph Martin, déjà installé à l'intérieur du bistrot, vit apparaître la silhouette élégante de sa "patiente", vêtue exactement comme le jour de leur union sauvage, ce qui ajouta à son excitation.
· Alors, docteur, comment ça va ?
· Bien et vous-même ?
· En pleine forme ! Prête à recommencer !
· Euh... C'est-à-dire ?
· Idiot ! Tu sais très bien ce que je veux dire. J'ai envie de baiser avec toi, et pas en cinq minutes chrono.
Sidéré par la franchise de la belle brune, le médecin resta bouche bée, ce qui fit rire sa vis à vis, contente de son petit effet. Non seulement elle le tutoyait mais en plus, elle lui lançait d'emblée une invitation à coucher avec elle ! Au moins, elle ne se perdait pas en circonvolutions préliminaires. Et c'est ainsi qu'à peine leur consommation bue, elle le tira littéralement vers un hôtel proche, assez discret, prit les affaires en main devant le réceptionniste en demandant une chambre "pour la nuit" malgré l'absence de bagage et, une fois dans l'ascenseur, roula une pelle magistrale au médecin avant d'ouvrir elle-même la porte de la chambre avec la clé remise. Dans un état second, mais bandant comme un Turc, Joseph Martin entra dans la pièce sur les talons de la brune, décontractée comme si elle était accompagnée de son époux légitime.
****
Aussitôt entrée dans la chambre, Olga prétexta que la batterie de son mobile était presque vide pour brancher le chargeur sur le secteur. Joseph ne se rendit pas compte que le téléphone était en communication et qu’Olga avait mis le haut-parleur. A l’autre bout de la ligne, il y avait Philippe, confortablement installé sur le canapé de son salon et qui pourrait ainsi suivre ce qui allait se passer dans cette chambre. Olga avait pris soin de confier les enfants à Agun. A défaut de l’image, Philippe aurait en quelque sorte le son. Il était tellement familier des frasques de son épouse qu’il pouvait facilement imaginer, les yeux fermés, les ébats des amants. Il bandait déjà, sans avoir besoin de se toucher. Philippe et Olga étaient d’accord que ce « candaulisme auditif » était une étape. Cela rappelait au couple ce qui s’était passé 14 ans auparavant quand Olga, lors d’un séjour à Rio, s’était offerte à de jeunes Brésiliens et que Philippe, resté en France, avait pu suivre les ébats de sa chérie par téléphone (voir sur la page d’Olga T « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (8) : adultère et partouze sous les tropiques », texte publié le 27 décembre 2016).
Joseph n’avait jamais découché en près de 20 ans de mariage. Quelle explication allait-il donner à Karine ? Puis il se dit qu’il n’avait pas à se justifier envers son épouse, compte tenu de sa propre relation adultère.
· Tu as dit au réceptionniste « une chambre pour la nuit ». Quelle explication vas-tu donner à ton mari ?
· Ne t’inquiète pas pour ça. Il sait que je suis ici. Je ne lui cache rien et il est d’accord.
· Oh ! Il est bien permissif !
· Il est candauliste !
Joseph Martin ignorait l’existence de cette pratique. Devant son air étonné, Olga expliqua :
· Ca veut dire qu’il aime me savoir et surtout me voir avec un autre homme.
· Je trouve ça bizarre, mais si c’est ce qu’il aime.
· C’est ainsi que nous nous aimons.
Joseph apprécia qu’Olga ne l’interroge pas au sujet de son épouse. Malgré ce qu’il avait découvert le matin, il aurait été embarrassé.
· Nous ne sommes pas là pour philosopher. Je veux une nuit d’amour avec toi. Viens !
Joseph s’approcha de son amante et la prit dans ses bras. Il serra Olga contre lui, pour qu’elle sente bien le désir exacerbé qu’il avait d’elle. Puis il prit possession de ses lèvres. Ils étaient insatiables de longs baisers fougueux, ne s’interrompant que quand ils perdaient haleine. Olga mordillait les lèvres de son amant et leurs langues prenaient possession l’une de l’autre. Les mains de Joseph caressaient le dos de la femme, puis se posaient sur les fesses. Le cul d’Olga le fascinait.
Mari fidèle, Joseph n’imaginait pas qu’on puisse embrasser avec autant de force, de hargne presque.
· Oh ma chérie, tu me rends fou de désir.
Il faillit lui dire « je t’aime ». Elle le comprit, lui déposa un nouveau baiser tendre sur les lèvres, puis son doigt :
· Chut, ne dis rien. Ce soir, je suis à toi. Cette nuit, je suis ta femelle, tu es mon mâle. Nous allons nous aimer, Docteur.
Ils eurent soudain la même envie, celui de découvrir le corps de l’autre. Ce fut Joseph qui prit l’initiative. Il fit tomber les bretelles du débardeur puis fit passer le vêtement par-dessus la tête d’Olga. Il admira, fasciné, ses petits seins fermes et devina qu’ils devaient être particulièrement sensibles, les tétons durcis traduisant l’excitation de la femme. Sans laisser de répit à Olga, Joseph ouvrit les boutons de la jupe crayon, qui tomba au sol. Il fit ensuite descendre le mini-string, dont l’humidité trahissait lui aussi les envies de la jolie quadragénaire. Une fois qu’il fut au sol, il le ramassa et le mit dans la poche de son pantalon. Il s’agissait pour lui d’une prise de guerre en quelque sorte, un symbole de ce qu’il osait faire ce soir.
A son tour, Olga entreprit de déshabiller son amant, le débarrassant aussi vite qu’elle le pouvait de sa chemise, de son pantalon et de son pantalon.
A l’attention de Philippe, Olga commenta la formidable érection de Joseph :
· Vous êtes particulièrement équipé, Docteur
· C’est toi qui me fais cet effet. J’ai envie de toi.
Joseph poussa Olga sur le lit. Le toubib était impatient mais, contrairement à ce qui s’était passé au cabinet, Olga voulait prendre tout son temps, en profiter pleinement.
· Doucement, Docteur, ne soyez pas impatient, prenons le temps avant de parvenir à l’extase. Viens m’embrasser et me caresser, tes mains fines sont douces, elles sont faites pour caresser le corps des femmes.
Joseph obéit au désir de la femme. Maîtrisant ses pulsions, il couvrit, pendant de longues minutes, le corps d’Olga de caresses et de baisers. Devinant ses points sensibles, il insista tout particulièrement sur les seins, titillant de la langue les tétons, les aspirants.
Olga perdait le contrôle, le plaisir montait en elle.
· Oh c’est merveilleux ce que tu me fais ! Continue, n’arrête surtout pas.
Joseph, avec ses baisers, descendait le long du corps de la femme. Quand sa bouche fut à la hauteur de la chatte humide et ouverte, où le clito dardait d’excitation, Joseph entreprit de fouiller de ses doigts et de sa langue le sexe de sa maîtresse.
· Oh Mon Dieu, vas-y, lèche-moi, bouffe-moi la chatte ! Ta langue est diabolique !
Joseph mit tout son désir dans ce cunnilingus et découvrit alors qu’Olga était multi-orgasmique, enchaînant les orgasmes, poussant de petits cris plaintifs qui exprimaient sa jouissance.
Quand, fier de lui, il s’interrompit pour qu’elle puisse reprendre ses esprits, son visage était barbouillé par la cyprine de la femme. Olga lui sourit et l’embrassa pour exprimer sa reconnaissance
Ce fut au tour d’Olga de gratifier son amant d’une fellation dont elle avait le secret. Sans savoir qu’il expliquait au mari de sa maîtresse ce que celle-ci était en train de lui faire, Joseph l’encourageait avec des paroles qu’il ne se pensait pas capable de prononcer :
· Oh salope, jamais on ne m’a taillé une pipe comme ça ! Je vais te faire bouffer mes couilles, petite putain !
Olga, la bouche pleine, ne disait rien. Son amant lui tenait la tête et s’enfonçait dans sa gorge. Les larmes lui coulaient et elle devait lutter contre les nausées, tellement la verge de ce mâle allait loin dans sa bouche. Mais elle ne lâchait pas prise, sachant ralentir le rythme quand elle sentait qu’il était sur le point de jouir. Car si elle avait bien l’intention de le boire, elle veillait, pour le moment, à préserver ses forces pour le coït qu’ils voulaient l’un et l’autre.
Sans qu’ils aient besoin de se parler, au stade de leur désir, ils savaient ce qu’il leur fallait.
Olga s’installa sur Joseph et vint s’empaler sur la verge de son amant. Elle aimait cette position, qui lui permet de contrôler le coït, de retarder l’instant inéluctable de leur jouissance. Elle permettait aussi aux amants de s’embrasser avec fougue, Joseph empoignant à pleines mains les seins de son amante.
Pour Philippe, qui imaginait parfaitement les choses, Olga commentait ses sensations et complimentait le mâle qui la faisait grimper aux rideaux.
Le docteur entendait bien reprendre le contrôle :
· Mets-toi à quatre pattes, je vais te prendre en levrette. C’est la position qui convient à la chienne que tu es !
Et Joseph commença à la pilonner, à la baiser comme elle aimait : il la défonçait littéralement. Les couilles de Joseph tapaient sur les fesses de la femme.
Les gémissements d’Olga étaient devenus des cris, puis des hurlements, qui devaient retentir dans tout l’étage de l’hôtel
· Oh, oui, vas-y, encore ! Encore, encoreeeeeee !!!!!
Ni l’un ni l’autre n’avaient pensé à se munir d’un préservatif. Olga n’était pas en période « dangereuse » et elle avait sur ce point l’accord de Philippe.
· S’il te plait, ne te retire pas, je veux que tu jouisses en moi, je veux ta semence, remplis-moi ! Je suis saine, toi aussi. Vas-y, je suis à toi !
Joseph n’avait plus la force de dire non et de se retirer. Lui aussi il avait envie de marquer ainsi sa possession de la belle brune.
Parfaitement coordonnés, les deux amants jouirent en même temps, Joseph envoya plusieurs puissantes giclées dans l’utérus de sa maîtresse.
L’ultime orgasme d’Olga fut comme une longue plainte, un feulement. Elle resta un moment comme inanimée. Elle se réfugia dans les bras de son amant, pour le remercier du plaisir si fort qu’il lui avait donné.
Il leur fallait reprendre des forces, l’un et l’autre, insatiables, étant bien décidés à remettre ça.
***
Après avoir éjaculé, Joseph Martin bascula sur le dos, l'esprit brouillé tandis que la belle brune se mettait sur un coude pour le regarder, un sourire au coin des lèvres.
· Alors, c'était bien, non ? lui dit-elle
· Génial ! lui dit-il simplement.
Il n'en revenait pas de s'être ainsi lâché, d'avoir exprimé la bête qui était en lui. Cette déesse l'avait sorti de lui-même plus que ne l'avait jamais fait Karine. Et pourtant, les deux femmes n'étaient pas sans se ressembler physiquement. Son épouse était également fine et brune avec des membres longs, sensuelle lorsqu'elle le voulait. Son visage légèrement anguleux avec une grande bouche n'était pas sans provoquer le trouble. Il pensa à elle en cet instant si particulier. Jouissait-elle avec son amant autant que lui avait joui avec cette femme prénommée Olga ?
Celle-ci, en l'observant, eut la prescience qu'il pensait alors à son épouse. Elle le prit comme un défi et se mit à lui taquiner la queue d'un doigt coquin.
· On ne va pas en rester là, hein ? J'ai encore envie, moi. Tu sais ce qui me ferait plaisir ? Que tu me la mettes dans le cul. Tu as déjà fait ça avec maman ?
Joseph bredouilla quelques mots embarrassés. Cette femme était décidément une diablesse. Lui faire remettre aussitôt le couvert et en plus en sodomie... Mais elle se retourna et lui mit les fesses pratiquement sous son nez. Et quelles fesses !
· Lèche-moi, intima-t-elle à son amant.
Et de s'écarter les jumelles en ouvrant son petit trou. Impossible de se dérober. Et Joseph Martin lécha. D'abord avec précaution puis de toute la largeur de sa langue et l'effet fut immédiat : il se remit à bander. A quatre pattes, elle tourna son visage vers lui et lui lança :
· Qu'est-ce que tu attends ? Viens, tout doucement d'abord puis à fond.
Un peu emprunté, il posa son gland déjà gonflé sur l'orifice et d'une petite rotation des hanches, Olga l'insinua plus profondément et sans qu'il ait eu le temps de comprendre, il se retrouva totalement engagé. Elle vint alors à sa rencontre à grands coups de hanches et ce fut un nouveau coït endiablé. Elle semblait vouloir l'essorer en tournicotant de la croupe et il se mit à relever franchement le défi. Les peaux claquèrent. Il se sentait de plus en plus dur et elle le lui confirma verbalement. Il sentit sa main se poser sur ses couilles, ce qui le fit couiner. Jamais Karine ne lui avait fait ça ! Il rua tellement en elle qu'il faillit la sortir du lit. Puis il la vit relever la tête et pousser un cri de ventre. Il sentit une nouvelle giclée sortir de ses reins et remplir le fondement de la belle brune, vidant d'un coup toute énergie en lui. Il s'effondra sur son dos, en sueur. Elle l'avait bien eu, une fois de plus.
Puis il bascula à nouveau sur le dos et s'endormit illico, sa maîtresse lovée dans ses bras.
Au réveil, Olga n'était plus là. Elle lui avait juste laissé un petit mot manuscrit : "merci, à bientôt".
Il rentra chez lui à 5h du matin. Karine dormait. Il prétexta une urgence pour expliquer son retard. Son épouse ne sembla pas s'en formaliser. Ce n'était d'ailleurs pas la première fois. Et c'est ainsi que Joseph Martin, médecin de son état, entra dans le monde trouble de l'adultère.
Dans la série « Textes en commun », le texte « Olga et le docteur, chapitre premier : le cabinet » est paru sur la page d’Olga T le 1er juillet dernier. Nous avons décidé que ce chapitre deux serait publié sur la page de Micky.
RESUME
Olga, hypersexuelle quadragénaire, a mal vécu les confinements successifs qui, malgré la complicité de Philippe, son mari candauliste, l’ont privé des étreintes qui permettent de répondre aux besoins de sa libido exacerbée.
Ne pouvant plus supporter cette situation, Olga a jeté son dévolu sur un médecin, le Docteur Joseph Martin. Malgré ses principes déontologiques qu’il pensait bien ancrés, malgré des années de fidélité à son épouse Karine, Joseph Martin a répondu aux attentes de la volcanique Olga, en la baisant dans son cabinet, à la suite de manipulations pour soigner le mal de dos de la jeune femme.
Pour Joseph, il s’agit d’un dérapage qu’il ne s’explique pas. Pour Olga, au contraire, sans que cela ne débouche sur une relation durable, elle entend remettre ça. Dans cette période, les occasions qui lui sont données de répondre à ses besoins sexuels sont suffisamment rares pour ne pas être négligés. Olga doit reconnaître que Joseph s’est montré à la hauteur de ses attentes et que, lorsqu’il l’a possédée, elle a vraiment pris son pied. Olga compte donc mettre son mari candauliste dans la confidence et poursuivre ses relations avec le docteur dans ce cadre.
*****
La première étape pour Olga consiste donc à expliquer à son mari ce qui s’est passé. Elle ne veut pas recommencer les errements du passé et veut donc crever l’abcès très vite. Dès que les enfants sont couchés, Olga et Philippe sont sur le canapé, pour regarder la télévision. Olga est lovée dans les bras de son mari, elle se fait chatte.
· Mon chéri, j’ai des choses à te raconter. Je t’ai dit ce matin que j’avais rendez-vous au cabinet du Docteur Joseph Martin.
· Oui et je sais qu’il est réputé en tant qu’ostéopathe.
· Il est un excellent chiropraticien
· Il s’est occupé de ton mal de dos ?
· Parfaitement. Il s’est aussi occupé d’un autre manque dont je souffre.
Philippe comprit immédiatement et jeta un regard sévère en direction de son épouse. Elle était décidément incorrigible !
· Il t’a baisé, c’est ça ?
· Oui, mon amour et j’ai adoré ça !
· Chérie, je croyais qu’on s’était mis d’accord. Je suis d’accord que tu aies des amants, mais c’est moi qui choisis et je dois être présent.
· Je sais, mon Philippe, mais j’en avais tellement envie.
Olga se mit à raconter à Philippe ce qui s’était passé, sans oublier aucun détail, en insistant sur le plaisir qu’elle avait pris. Olga observa, à l’érection qui déformait le pantalon de son mari, que son récit avait émoustillé le candauliste.
· Mon chéri, c’est toi que j’aime. Les autres, c’est seulement pour le sexe. J’ai envie de remettre ça avec ce Joseph Martin, mais je veux partager mon plaisir avec toi, je veux t’offrir ma jouissance. Je sais combien tu aimes ça, dit-elle en le caressant à travers le pantalon
· Tu me connais et tu sais comment te faire pardonner tes écarts, ma cochonne.
· Je sais combien tu aimes quand je me fais baiser devant toi, mon vicieux, dit Olga, qui avait sorti la queue de son mari et après l’avoir branlé, la prit en bouche comme elle aimait tant le faire.
· Hum, quand je suis dans ta bouche, je suis prêt à tout accepter de ta part. Allez, tu as mon accord, organise ça, je veux voir ce Joseph Martin t’honorer devant moi.
Olga poussait des grognements de satisfaction, offrant à son chéri une de ses fellations qu’il aimait tant. Oh oui, elle allait satisfaire une fois de plus son mari candauliste et était bien décidée à remettre ça avec le Docteur Martin.
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Après ce coït inoubliable avec la belle inconnue dans son cabinet, le docteur Joseph Martin passa quelques journées tourmentées. Même si les relations avec son épouse Karine n'étaient guère épanouissantes depuis quelque temps (alors qu'elles l'avaient été à leurs débuts de couple), il culpabilisait pour son infidélité doublée d'une sévère entorse à la déontologie professionnelle. Mais un événement inattendu changea sa perspective. Un matin, alors qu'ils se préparaient l'un et l'autre pour aller au travail, leurs enfants étant déjà partis au collège ou au lycée, le portable de Karine sonna sur la table de la cuisine pendant qu'elle prenait sa douche. Par réflexe, Joseph voulut répondre et entendit une voix d'homme prononcer :
· Allo Karine ?
· Non, c'est son mari, qui est à l'appareil ?
Et l'homme au bout du fil raccrocha.
Joseph en fut passablement interloqué. Infirmière libérale, Karine travaillait avec une collègue femme. Pas avec un homme. Il était difficile d'imaginer un de ses patients l'appeler par son prénom, et surtout ne pas laisser le moindre message. Joseph fit part de cet appel à son épouse qui, à sa grande surprise, marqua une réelle confusion, arguant d'abord d'une erreur, puis d'un collègue dont elle ne put dire le nom et finalement abrégea par un "peu importe" qui ne satisfit guère l'époux. Lequel ne retint que le trouble de son épouse. Le téléphone portable, malédiction des couples adultères, avait-il frappé ? Ce fut en tout cas la thèse privilégiée par le mari. Il comprenait mieux maintenant pourquoi Karine se montrait si peu allante au lit alors qu'elle s'était montrée passionnée par le sexe dans le passé. Elle avait donc un amant, il en était sûr. Comme beaucoup d'infirmières libérales, il le savait d'expérience même s'il n'en avait jamais profité, en dépit de sollicitations multiples.
Du coup, il se sentit plus libre vis-à-vis de la belle inconnue, qui ne l'était pas de sa queue. Mais elle ne lui téléphonait pas pour un nouveau rendez-vous. Alors, faisant acte d'audace, il saisit ses coordonnées et l'appela, prétextant une prise de nouvelles en cours de traitement.
La réponse enjouée d'Olga T. le rassura. Et le ravit. Oui, elle allait bien. Oui, son traitement faisait de l'effet et pas seulement celui non médical (rire mutin au bout du fil). Et oui, répondant à sa sollicitation, elle aimerait bien prendre un verre avec lui après le boulot.
Enhardi, sur une autre planète, le précautionneux médecin osa le nom d'un café discret ("pas en terrasse, hein "?), les bars n’étant pas encore fermés alors que s’annonçait le second confinement. Rendez-vous fut pris pour le lendemain.
Et c'est ainsi que Joseph Martin, déjà installé à l'intérieur du bistrot, vit apparaître la silhouette élégante de sa "patiente", vêtue exactement comme le jour de leur union sauvage, ce qui ajouta à son excitation.
· Alors, docteur, comment ça va ?
· Bien et vous-même ?
· En pleine forme ! Prête à recommencer !
· Euh... C'est-à-dire ?
· Idiot ! Tu sais très bien ce que je veux dire. J'ai envie de baiser avec toi, et pas en cinq minutes chrono.
Sidéré par la franchise de la belle brune, le médecin resta bouche bée, ce qui fit rire sa vis à vis, contente de son petit effet. Non seulement elle le tutoyait mais en plus, elle lui lançait d'emblée une invitation à coucher avec elle ! Au moins, elle ne se perdait pas en circonvolutions préliminaires. Et c'est ainsi qu'à peine leur consommation bue, elle le tira littéralement vers un hôtel proche, assez discret, prit les affaires en main devant le réceptionniste en demandant une chambre "pour la nuit" malgré l'absence de bagage et, une fois dans l'ascenseur, roula une pelle magistrale au médecin avant d'ouvrir elle-même la porte de la chambre avec la clé remise. Dans un état second, mais bandant comme un Turc, Joseph Martin entra dans la pièce sur les talons de la brune, décontractée comme si elle était accompagnée de son époux légitime.
****
Aussitôt entrée dans la chambre, Olga prétexta que la batterie de son mobile était presque vide pour brancher le chargeur sur le secteur. Joseph ne se rendit pas compte que le téléphone était en communication et qu’Olga avait mis le haut-parleur. A l’autre bout de la ligne, il y avait Philippe, confortablement installé sur le canapé de son salon et qui pourrait ainsi suivre ce qui allait se passer dans cette chambre. Olga avait pris soin de confier les enfants à Agun. A défaut de l’image, Philippe aurait en quelque sorte le son. Il était tellement familier des frasques de son épouse qu’il pouvait facilement imaginer, les yeux fermés, les ébats des amants. Il bandait déjà, sans avoir besoin de se toucher. Philippe et Olga étaient d’accord que ce « candaulisme auditif » était une étape. Cela rappelait au couple ce qui s’était passé 14 ans auparavant quand Olga, lors d’un séjour à Rio, s’était offerte à de jeunes Brésiliens et que Philippe, resté en France, avait pu suivre les ébats de sa chérie par téléphone (voir sur la page d’Olga T « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (8) : adultère et partouze sous les tropiques », texte publié le 27 décembre 2016).
Joseph n’avait jamais découché en près de 20 ans de mariage. Quelle explication allait-il donner à Karine ? Puis il se dit qu’il n’avait pas à se justifier envers son épouse, compte tenu de sa propre relation adultère.
· Tu as dit au réceptionniste « une chambre pour la nuit ». Quelle explication vas-tu donner à ton mari ?
· Ne t’inquiète pas pour ça. Il sait que je suis ici. Je ne lui cache rien et il est d’accord.
· Oh ! Il est bien permissif !
· Il est candauliste !
Joseph Martin ignorait l’existence de cette pratique. Devant son air étonné, Olga expliqua :
· Ca veut dire qu’il aime me savoir et surtout me voir avec un autre homme.
· Je trouve ça bizarre, mais si c’est ce qu’il aime.
· C’est ainsi que nous nous aimons.
Joseph apprécia qu’Olga ne l’interroge pas au sujet de son épouse. Malgré ce qu’il avait découvert le matin, il aurait été embarrassé.
· Nous ne sommes pas là pour philosopher. Je veux une nuit d’amour avec toi. Viens !
Joseph s’approcha de son amante et la prit dans ses bras. Il serra Olga contre lui, pour qu’elle sente bien le désir exacerbé qu’il avait d’elle. Puis il prit possession de ses lèvres. Ils étaient insatiables de longs baisers fougueux, ne s’interrompant que quand ils perdaient haleine. Olga mordillait les lèvres de son amant et leurs langues prenaient possession l’une de l’autre. Les mains de Joseph caressaient le dos de la femme, puis se posaient sur les fesses. Le cul d’Olga le fascinait.
Mari fidèle, Joseph n’imaginait pas qu’on puisse embrasser avec autant de force, de hargne presque.
· Oh ma chérie, tu me rends fou de désir.
Il faillit lui dire « je t’aime ». Elle le comprit, lui déposa un nouveau baiser tendre sur les lèvres, puis son doigt :
· Chut, ne dis rien. Ce soir, je suis à toi. Cette nuit, je suis ta femelle, tu es mon mâle. Nous allons nous aimer, Docteur.
Ils eurent soudain la même envie, celui de découvrir le corps de l’autre. Ce fut Joseph qui prit l’initiative. Il fit tomber les bretelles du débardeur puis fit passer le vêtement par-dessus la tête d’Olga. Il admira, fasciné, ses petits seins fermes et devina qu’ils devaient être particulièrement sensibles, les tétons durcis traduisant l’excitation de la femme. Sans laisser de répit à Olga, Joseph ouvrit les boutons de la jupe crayon, qui tomba au sol. Il fit ensuite descendre le mini-string, dont l’humidité trahissait lui aussi les envies de la jolie quadragénaire. Une fois qu’il fut au sol, il le ramassa et le mit dans la poche de son pantalon. Il s’agissait pour lui d’une prise de guerre en quelque sorte, un symbole de ce qu’il osait faire ce soir.
A son tour, Olga entreprit de déshabiller son amant, le débarrassant aussi vite qu’elle le pouvait de sa chemise, de son pantalon et de son pantalon.
A l’attention de Philippe, Olga commenta la formidable érection de Joseph :
· Vous êtes particulièrement équipé, Docteur
· C’est toi qui me fais cet effet. J’ai envie de toi.
Joseph poussa Olga sur le lit. Le toubib était impatient mais, contrairement à ce qui s’était passé au cabinet, Olga voulait prendre tout son temps, en profiter pleinement.
· Doucement, Docteur, ne soyez pas impatient, prenons le temps avant de parvenir à l’extase. Viens m’embrasser et me caresser, tes mains fines sont douces, elles sont faites pour caresser le corps des femmes.
Joseph obéit au désir de la femme. Maîtrisant ses pulsions, il couvrit, pendant de longues minutes, le corps d’Olga de caresses et de baisers. Devinant ses points sensibles, il insista tout particulièrement sur les seins, titillant de la langue les tétons, les aspirants.
Olga perdait le contrôle, le plaisir montait en elle.
· Oh c’est merveilleux ce que tu me fais ! Continue, n’arrête surtout pas.
Joseph, avec ses baisers, descendait le long du corps de la femme. Quand sa bouche fut à la hauteur de la chatte humide et ouverte, où le clito dardait d’excitation, Joseph entreprit de fouiller de ses doigts et de sa langue le sexe de sa maîtresse.
· Oh Mon Dieu, vas-y, lèche-moi, bouffe-moi la chatte ! Ta langue est diabolique !
Joseph mit tout son désir dans ce cunnilingus et découvrit alors qu’Olga était multi-orgasmique, enchaînant les orgasmes, poussant de petits cris plaintifs qui exprimaient sa jouissance.
Quand, fier de lui, il s’interrompit pour qu’elle puisse reprendre ses esprits, son visage était barbouillé par la cyprine de la femme. Olga lui sourit et l’embrassa pour exprimer sa reconnaissance
Ce fut au tour d’Olga de gratifier son amant d’une fellation dont elle avait le secret. Sans savoir qu’il expliquait au mari de sa maîtresse ce que celle-ci était en train de lui faire, Joseph l’encourageait avec des paroles qu’il ne se pensait pas capable de prononcer :
· Oh salope, jamais on ne m’a taillé une pipe comme ça ! Je vais te faire bouffer mes couilles, petite putain !
Olga, la bouche pleine, ne disait rien. Son amant lui tenait la tête et s’enfonçait dans sa gorge. Les larmes lui coulaient et elle devait lutter contre les nausées, tellement la verge de ce mâle allait loin dans sa bouche. Mais elle ne lâchait pas prise, sachant ralentir le rythme quand elle sentait qu’il était sur le point de jouir. Car si elle avait bien l’intention de le boire, elle veillait, pour le moment, à préserver ses forces pour le coït qu’ils voulaient l’un et l’autre.
Sans qu’ils aient besoin de se parler, au stade de leur désir, ils savaient ce qu’il leur fallait.
Olga s’installa sur Joseph et vint s’empaler sur la verge de son amant. Elle aimait cette position, qui lui permet de contrôler le coït, de retarder l’instant inéluctable de leur jouissance. Elle permettait aussi aux amants de s’embrasser avec fougue, Joseph empoignant à pleines mains les seins de son amante.
Pour Philippe, qui imaginait parfaitement les choses, Olga commentait ses sensations et complimentait le mâle qui la faisait grimper aux rideaux.
Le docteur entendait bien reprendre le contrôle :
· Mets-toi à quatre pattes, je vais te prendre en levrette. C’est la position qui convient à la chienne que tu es !
Et Joseph commença à la pilonner, à la baiser comme elle aimait : il la défonçait littéralement. Les couilles de Joseph tapaient sur les fesses de la femme.
Les gémissements d’Olga étaient devenus des cris, puis des hurlements, qui devaient retentir dans tout l’étage de l’hôtel
· Oh, oui, vas-y, encore ! Encore, encoreeeeeee !!!!!
Ni l’un ni l’autre n’avaient pensé à se munir d’un préservatif. Olga n’était pas en période « dangereuse » et elle avait sur ce point l’accord de Philippe.
· S’il te plait, ne te retire pas, je veux que tu jouisses en moi, je veux ta semence, remplis-moi ! Je suis saine, toi aussi. Vas-y, je suis à toi !
Joseph n’avait plus la force de dire non et de se retirer. Lui aussi il avait envie de marquer ainsi sa possession de la belle brune.
Parfaitement coordonnés, les deux amants jouirent en même temps, Joseph envoya plusieurs puissantes giclées dans l’utérus de sa maîtresse.
L’ultime orgasme d’Olga fut comme une longue plainte, un feulement. Elle resta un moment comme inanimée. Elle se réfugia dans les bras de son amant, pour le remercier du plaisir si fort qu’il lui avait donné.
Il leur fallait reprendre des forces, l’un et l’autre, insatiables, étant bien décidés à remettre ça.
***
Après avoir éjaculé, Joseph Martin bascula sur le dos, l'esprit brouillé tandis que la belle brune se mettait sur un coude pour le regarder, un sourire au coin des lèvres.
· Alors, c'était bien, non ? lui dit-elle
· Génial ! lui dit-il simplement.
Il n'en revenait pas de s'être ainsi lâché, d'avoir exprimé la bête qui était en lui. Cette déesse l'avait sorti de lui-même plus que ne l'avait jamais fait Karine. Et pourtant, les deux femmes n'étaient pas sans se ressembler physiquement. Son épouse était également fine et brune avec des membres longs, sensuelle lorsqu'elle le voulait. Son visage légèrement anguleux avec une grande bouche n'était pas sans provoquer le trouble. Il pensa à elle en cet instant si particulier. Jouissait-elle avec son amant autant que lui avait joui avec cette femme prénommée Olga ?
Celle-ci, en l'observant, eut la prescience qu'il pensait alors à son épouse. Elle le prit comme un défi et se mit à lui taquiner la queue d'un doigt coquin.
· On ne va pas en rester là, hein ? J'ai encore envie, moi. Tu sais ce qui me ferait plaisir ? Que tu me la mettes dans le cul. Tu as déjà fait ça avec maman ?
Joseph bredouilla quelques mots embarrassés. Cette femme était décidément une diablesse. Lui faire remettre aussitôt le couvert et en plus en sodomie... Mais elle se retourna et lui mit les fesses pratiquement sous son nez. Et quelles fesses !
· Lèche-moi, intima-t-elle à son amant.
Et de s'écarter les jumelles en ouvrant son petit trou. Impossible de se dérober. Et Joseph Martin lécha. D'abord avec précaution puis de toute la largeur de sa langue et l'effet fut immédiat : il se remit à bander. A quatre pattes, elle tourna son visage vers lui et lui lança :
· Qu'est-ce que tu attends ? Viens, tout doucement d'abord puis à fond.
Un peu emprunté, il posa son gland déjà gonflé sur l'orifice et d'une petite rotation des hanches, Olga l'insinua plus profondément et sans qu'il ait eu le temps de comprendre, il se retrouva totalement engagé. Elle vint alors à sa rencontre à grands coups de hanches et ce fut un nouveau coït endiablé. Elle semblait vouloir l'essorer en tournicotant de la croupe et il se mit à relever franchement le défi. Les peaux claquèrent. Il se sentait de plus en plus dur et elle le lui confirma verbalement. Il sentit sa main se poser sur ses couilles, ce qui le fit couiner. Jamais Karine ne lui avait fait ça ! Il rua tellement en elle qu'il faillit la sortir du lit. Puis il la vit relever la tête et pousser un cri de ventre. Il sentit une nouvelle giclée sortir de ses reins et remplir le fondement de la belle brune, vidant d'un coup toute énergie en lui. Il s'effondra sur son dos, en sueur. Elle l'avait bien eu, une fois de plus.
Puis il bascula à nouveau sur le dos et s'endormit illico, sa maîtresse lovée dans ses bras.
Au réveil, Olga n'était plus là. Elle lui avait juste laissé un petit mot manuscrit : "merci, à bientôt".
Il rentra chez lui à 5h du matin. Karine dormait. Il prétexta une urgence pour expliquer son retard. Son épouse ne sembla pas s'en formaliser. Ce n'était d'ailleurs pas la première fois. Et c'est ainsi que Joseph Martin, médecin de son état, entra dans le monde trouble de l'adultère.
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